AURIFERE
PORTAIL DOCUMENTAIRE DE L'INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
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Éditeur Université Assane Seck de Ziguinchor /Département Agroforesterie
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Conséquences agro-écologiques de la régénération naturelle assistée dans la Communauté Rurale de Tattaguine [texte imprimé] / Baba Ansou Camara, Auteur . - Sénégal : Université Assane Seck de Ziguinchor /Département Agroforesterie, 2014 . - 47p. : cart ; tab ; ill. ; graph ; photos ; ref. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Agroforesterie, Régénération Naturelle Assistée, Défrichement, Fertilité, Perception paysanne, Bassin arachidier, Tataguine, Fatick, Sénégal | Index. décimale : | k113-Sylviculture: regénération des peuplements, renouvellement par ensemencement,; boisement et reboisement | Résumé : | La zone agro-écologique du bassin arachidier fait face à une dégradation des ressources naturelles causée par la conjonction de facteurs abiotiques et anthropiques. Les conséquences de cette situation ont été la réduction du couvert végétal, la baisse de la fertilité des sols avec comme corollaire une baisse de la production agricole. L’objectif de cette étude est d’avoir une meilleure connaissance de l’impact agro-écologique de la conservation des rejets de souches dans les parcelles de cultures. La méthodologie a consisté à d’abord installer en milieu paysan un dispositif expérimental en blocs complets randomisés portant sur l’effet du type de défrichement sur le rendement de trois variétés de mil ainsi que sur la fertilité et l’humidité du sol. Ensuite, des enquêtes ont été menées auprès des producteurs pour recueillir leur perception sur les différentes combinaisons testées. Les résultats montrent que le rendement en grains est plus important au niveau de la RNA pour l’ensemble des variétés. Les meilleures performances pour les paramètres de rendement (le nombre d’épis récoltés et d’épis fertiles, le poids des épis et des tiges) sont obtenues au niveau de la RNA pour les variétés locale et Souna 3 et plus particulièrement au niveau du défrichement avec quatre (04) tiges conservées. Le rendement en grains le plus élevé a été obtenu avec la combinaison défrichement avec quatre (04) tiges et la variété Souna 3. Il ressort également de cette étude que la teneur du sol en carbone au niveau de la RNA est plus élevée que celle obtenue au niveau de la coupe rase. Les enquêtes de perception montrent que tous les producteurs s’accordent à reconnaître que la RNA a des effets agro-écologiques positifs tant sur la protection et la gestion de la fertilité des sols que sur le comportement des cultures. Concernant le type de défrichement, 53% des producteurs pensent que conserver 1 à 2 tiges par souche est moins gênant lorsqu’il s’agit de la culture attelée et 62% d’entre eux affirment que la Souna 3 leur convient plus que la variété Thialack. En somme, cette étude contribuera à la reconstitution des parcs agroforestiers du bassin arachidier et plus spécifiquement à fournir des arguments techniques aux acteurs locaux en vue d’une adoption et d’une diffusion à large échelle de la RNA. |
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FT2200011 | k113-, CAM | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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Effet du greffage horticole et de l’inoculation mycorhizienne sur le raccourcissement du cycle de production du baobab (Adansonia digitata L.) en Haute et Moyenne Casamance (Sénégal). [texte imprimé] / Fatou Gning, Auteur . - Sénégal : Université Assane Seck de Ziguinchor /Département Agroforesterie, 2016 . - 42p. : cart ; tab ; diagramme ; ref. Langues : Français ( fre) Catégories : | FORESTERIE
| Mots-clés : | Mots clés : Adansonia digitata, croissance, greffage, inoculation mycorhizienne, Kolda et Sédhiou | Index. décimale : | K030- Génétique et amélioration des plantes | Résumé : | L’objectif de ce travail est d’étudier l’effet du greffage et de l’inoculation mycorhizienne sur la croissance des plants de baobab dans les régions de Sédhiou et de Kolda. Les plants ont été greffés par la méthode de fente terminale et inoculés avec un mélange de souches de Glomus aggretatum, G. intraradices et G. faciculatum en pépinière. Ces plants ont été transplantés dans huit (8) sites suivant un dispositif en bloc aléatoire complet constitué de quatre traitements (greffé inoculé, greffé non inoculé, non greffé inoculé et non greffé non inoculé (témoin)). Les résultats montrent un taux de réussite supérieur à 90% pour le greffage en pépinière. Les taux de reprise à la fin de l’hivernage et de survie après une année sont supérieurs à 90% pour tous les sites sauf pour Koboyel et Bougnadou. Les plus gros diamètres et le plus grand nombre de rameaux ont été obtenus avec les plants greffés non inoculés alors que les hauteurs les plus importantes ont été notées chez ceux non greffés non inoculés. L’inoculation mycorhizienne n’a pas eu d’effet significatif sur la croissance des plants. Par ailleurs, l’étude a permis de montrer que les plants des sites de Boguel et de Fololo Birane, où une meilleure gestion sylvicole a été remarquée, sont les plus développés. Les résultats de cette étude contribueront à une meilleure maîtrise des techniques de raccourcissement du cycle de production du baobab par greffage horticole et, par conséquent, au développement de politiques de rajeunissement des parcs à baobab au Sénégal.
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FT2200015 | K030- GNI | Diplôme | CNRF | Dépot numérique | Exclu du prêt |
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