,*ANALYSE CO?4PAREE DES COUTS DE PRODUCTION DAN$ ...
,*ANALYSE CO?4PAREE
DES COUTS DE PRODUCTION DAN$
LES PERLYIETRES
DE LAWSAR ET DE NDOMBO-THIAGO :
/ LA PROBLEHATI~ DU DESENGAGEMEAI
!
j
PAR
IraOUSTAFHA GAYE
M&oire de confirmaMon
l
*
DIRECT~ONDE RECHERCHES
SYSTEMES
CRA DEI SAINT-LOUIS
REFERENCE : GAYE (Moustapha).- Analyse comparée des coûts de production
dans les périmètres de Lampsar et de Ndombo-Thiago : la pro-
blématique du désengagement/Moustapha GAYE.- DAKAR : Direction
de Recherches sur les Syst6mes agraires de l'ISRA,
Août 1987.-
(Mémoire de confirmation)
DIRECTION DE RECHERCHES
~
SUR LES SYSTEMES AGRAIRES
ET L’ECONOE1IE AGRICOLE - B,P. 3120 - DAKAR
TEt.
22JI4,42
rb.
Csntr@
de Docunsntatfon

“HAPITRE
11 : LES PERIHETRES
AUToNaMES
DE NDaMBO
ET TWIAGCI
1.l.kpplicatim-J
d’herbicLide
i.2.Absençe
de d&skterGage
chimi
qua

ii
45
47
58
62
64
&3
A- $EW-iptiün
du prüjet
IGS
bS
7r;
. .
il
CHIwtITRE IV : Cof3pAiRAIsDpI ENTRE LES ZONES RICHARD-TDLL
ET
L6#WS#%

iii
LIÇT-E
IIE5
T-rPLEAUX

LIS-I-E
L?ES
FIGUFIES
PAGES
3

LISTE
IDES
SIGLES
CrJCdS : CAISSE NGT3UNALE DE CREDIT AGRICCILE DU SENEGAL
ÇAED : SICICIETE D'A~NAGEf'tENT ET D'EXFLCIITATICW DES TERRES DU
DELTA ET DES VALLEES DU FLEUVE SENEGAL ET DE LA FALEME

vi
UI-SUME
A
partir;
d’urie
arralyse
comparative
entre
ia gestion
!%ED d’un grand
p&r .mPtre
et
la
geçtion
)~aystnne
des pPrim&treç
autonwnesi
cette
@tude
ten~“:.e de
d+myw
les implicatians
de l”hjt~ctif
de responsabilisatim
de% pay&ms
sur leut-s
techni queç de prnducti
m-r, la E;tr-ucture
des coiitci
et
revenus
de
la
prcrductimt
ainsi
que leç pw-farmances
réalisées.
Au
prthl abl E,
‘un E
puemi Pr-e
analyse
avait
pi-rmis
d’identifier
lfsç
difi-érents
itinéraires
techniques
çuivi~
d’ W-IE part
danc, les cultures
du
riz
et
de
la
tcrmate
Ncru-vel 1 E
Fçrlitiqut-
Ggr-icale.
De m@me, Ur3E attent i cIri tcxtt
aussi
part .i cItA i érti
dsi t
2tre
pürtPE
sut-
1 es
pr uLr 1 Èmes
de financement
de
l~aCt:iYit&
agricsle.

Vii
Thrciuyh
a cornparat i Ve
anal ysi ç b~~tween
çtate
ri..trJ
1 argc--5cal
E
if-r i gatt;d
pdri
Jnder
and
ccmper
at i ve
managed i rri gated
peri meter
thi s
papqy
attemgtç
ta identify
the implicatiwis
of total
faurrrer
management
ideiltif
ied
i’n
the
ccsaperative
manayed
perimeters
crf Ndambct
arrd
Thiago
in
additicjn
to thcrse
identified
fw- rice
produetitx-+
irr the
large-scale
per:. meter
Eif fsdrq3sar a
Crop
budget ç CUrrE?5~C.Xldil-Kj

the
dif ferent
cropping
j3%kterns
Wt?f-E?
used
tçs &-J&yse
thfr
cust
and
rEtw-rs~
re~atian&-tip%
far
rice
and
trsmé:itoe
Ndarnba
arrd
irJ
Thiagcr
on
t he
one
Land
and
ter compare
rice
paçsibility
Qf a dr-ap
in prûductivity
that
mdy ~CCL~- during
tbJe
prcxesç

REMERCIEMENTS
prés au de lain d l'élaboration
de ce papier
et tout partiçuliPrement
A
dacumentatick
du Centre de Ndiaye de la SFtED.

1.
L’abjectif
d’autosuffisance
alimentaire
E< 80 X en 1”an 2OOU que s”est
.&?A.
fixé
i’Etat
$énégafais
bien
que th&wiquement
compatible
avec les
poten-
tialités
des’ aménagements
hydre-agricoles
et des technologies
nc~uveZlfss,
demeure tauj&urs
une grande
incertitude
quant
& sa réalisation.
Une série
de préalablerfi
duit
8tre
rkolue
tant
au niveau
technique
que saciw-é~cbno-
miQ#? pour q&e cet objectif
puisse
être
une rfialité
dans
l’&ch&anre
:.e*
Les prindipales
wientatians
de l”agriculture
sénégalaise
d&finies
danr,
la
kuv~)llti
Politique
Agricole
CNPh) en 1984 puis
reprises
dans le
.-.
VII Plan de Ebelqspement
Economiques
et Scsrial
pour la p6riode
i9EE-1989
sws
fat-me dti Prtx~ramm~c; d”&ctians
Wiaritaireç
mettent
en exergue
Sa
w
respansabiliiation
deç Pay=s
par une dynamisatisn
de l’action
cacrpérati-
ve et I’améli&-atictn
de ~“environnement
de la production
agricole
et pastw
raie,
Ceci sfi
traduirait
par un dkengagement
de 1’Etat
et des S~ci&és
de
Déve3appemen~
et donc par un transfert
de certaines
fonctions
de 1’Etat
aux paysans
eit aux pf-ivés.
Ce transfert
devant
se faire
dans des ccw~#i-
tiwrs
satisf&santes
pour
une meilleure
rentabi~i!satiari
deç ouvrages
hydre-PI
ectri’ques
UC ama et Planarital i 1 Y des futurs
aménagements
hydrw-
agrjcsles
t-t deç p&entialités
humaines,
tout
un effort
de recherche
et de
dévelappement~
est en cours
et devra
Stre
maintenu
pour atteindre
les abjec-
tifs
d’autrîsuiff
i sance a1 imentaiP-e
dans un environnement
sc)ci w+canomi
que
vi abl f.

*
2.
Far ra@mrt
a 1 ‘objectif
de responsabil
isation
des
paysans
~CHI-
5
tenu dans la NF&? une camparaiscrn
des pratiques
cufturales
et des
çtrutlw-es
des c&ts
et reverwç
de la production
entre
la gestion
SFIED de
Grand périmètre
et la geE;tian
paysanne
des périm&tres
amtonames
peut
fcturnir
des r?ltS&z?ts d’infcwmatlon
sur les probl
Pmeç pauvartt
se pwer
dans
la respunsabilisation
des praducteurs
agricoles.
Un pr&alable
à cette
camparaison
est ia typologie
des
itinéraires
techniques
du riz
et de la
tcrmate et l’analyçe
des ccKXs et revenus
carrespnndant
à reux-ci
s Une
classidicatian
des techniques
de production
dans ces deux types
de péri-
mètres
peut EêtrfC) faite
en analysant
les différentes
composantes
des
budget+
dc culttire
puur
chaque parcelle
cultivk.
._
,: .; . :,
11 ex!ste
une abondante
littkature
sur la culture
irriguée
dans
v
la rkyiun
du F1~+uve et certains
de ces écrits
renferment
deç budgets
de
culture
m&?me si ‘I~F
fit-talitk
nӎtait
pas
de permettre
une
typcilagie
des
.o
di f f isrents
i ti fierai
Fer; çui vi ç. Une limite
A ces budgetç
de culture
est
qu’ils
scrnt
des
budgets
de cadre
type
et
les
données
ayant
servi
A leur
canfeckion
ne pr%viennent
pas
d’une
enqLt@te
et d’urc 5uivi
pluridiscipli-
naire.
Le travail
accampli
par 1’ équipe
de recherche
sur les systèmes
de
produckion
et
le@ transferts
de teçhn&oyie
en milieu
rural,
basée 21
..:: .:.:-
:.‘; :
Saint-l.ai-tiç
est remarquable
en matike
d’opérations
pluridisciplinair,es
..
asscrci ;wt des enkg..t8tes,
des
suivis
et des essais
dans certains
vi 1 lages
du
Del toi.
Les c&$ectifs
de 1’Pquipe
SystPmes
Fleuve
w-tt
t-t&
fixés
pour
Faire
face à différents
prablémes
d’actualité
que pcsse le développement
de
1 ‘ayic
ulture
en général
et de 1 a cul turc
irri
yu&e et de 1 ’ &l evage en
?artictilier.
Ces’probfémes
sont
:
.- la di+erçit&
des situatiûns
agro-éçoloÿiques
qui
nécessite
la
iris@ +3--j compte dols spPcificitPs
j
r

3.
- la
diver&t&
des
objectifs
de praductian
des
paysans
;
- 14 problématique
de l”Aprés-barrage
et la rentabilisation
des
aménagements
hydro-agricoles
par
la
double
culture
t-t
les
cultures
de
di%Fsificat{on
;
- 14 t-gductiün
des coûts
de praductian
et des temps de travaux
;
- 1q développement
de la
production
animale
;
- 14 gestion
des aménagements
hydre-agricales
et des
wgenisation+
paysannes,
ete-. I
L’approc&
çystémique
a permis
une analyse
plus
compl&te
des systPmes
de pruductioti
paysans
et des
organisatickns
paysannes
qui
3eç
regraupent.
Les
donrt&es
recuei
If ies
font
I ’ objet
d” étude
xw
le
f onçtiwnement
des
w
çyst:èmes
de pkuduction
et de leurs
sous-syst&meç
(d+z culture,
d”tllevaqe1,
5ur
les
contr&intes
pesant
sur
wx,
sur des modifications
4 apporter
pour
une mari ileure
util
isatian
de leurs
ressaurceç,
etc. (ISRA.
&FG. St-LUUIÇ
i9E&I.
S’il
ekiçte
une littérature
sur 1 es aménaqement
s hydra-agri
tales
au
S&n&gal
et
SU~- les
syst Pmes de praducti
i3n et
1 eurs saus-systhmes,
aucune
tentative
d’apalyse
de CPS derniers
tenant
compte
de la variabilité
et de
la gamme des ktuations
agriccrles
dans une rur-342 gén&ralement
tenue pcwr
hawgéne
n’a Pté entreprise
21 nckre
connaissance.
Le zanage du Del ta fait
par I’équipe
tcxf6titue
une
prwtiPre
contribution
vers
un& analyse
syr;téma-
tique
des
technicq.es
de production
dans
le Delta
du Fleuve
Sénégal.
En
effet,
3. a di verçi té des conditions
saci a-écanümi
ques
j CSUE en faveur
d” une
différenciati@n
dans les techniques
de production
alors
que
le
Delta
a
tuujaurs
été considéré
c~imme homag&ne
du pcrint
de VUE des techniques
d.e
production
dams les
grands
périmétres
par
oppwitiun
eaux itinéraires
suivis
dans
lers périmétres
irrigués
villageois
de la vallée
du Fleuve
SPnégal.

4.
darils
les pPr’imPtres
de Lampsar
et de Ndombo-Thiayo
a pour csbjectif
glabal
de faire
ressortir
les implicatians
éventuelles
de Ia
NFIS çw
les
terhni
-
ques de prw&ctian
actusallement
pratiquées
dans le grand p&rimétre
de
Lampr;ar d’une part
et de faire
des recwmandatiarrç
g~ar rapport
A ces
implications:
d’autre
parta
DE ifaçan plus
spPcifi
que, 1’ Ptude se prr?pose de :
3i Faire
une typolcrgie
des itinéraires
techniques
du riz
et de la
tmate
dans tes pkimétres
cités
plu5
hauts
;
2/’ $nalyçer
la structurt-
des caûts
et reve~rttç de ces itinéraire
;
3/ 4air-e une analyse
des c&ts
de 1 “irri~atian
dans la gestion
.
payscrnne de PfdWfThiago
;
4/ daire
une analyse
comparative
entre
les deux types
de gestion;*
El-
REVU?
RE LA LITTERATURE
---1----c----------------------------------
SUR LES HJXETS
DE Cl&TURE
--w-e
La l@ttérature
rkente
çw
les itinPrai~-es
techniqueç
et les

5.
cette
étude
b-w le volet
budget
de culture
principalement
les
travaux
de
Crewfard
et
&s Lambcsht
~IPEKFi~ dans la cmfectian
des
budgets
de culture.
Ils
ont Plabw-P
dec; budgets
de cadre
type
qui
s’ils
n”mt
pas
été
suivis
à
la lettre
csnk &eaucoup
influencé
ceux qui sont utiliçés
dans cette
Ptude
i.
IVoir
Annexe
sur
Extmples
de Budget?
Type).
Les
travaux
de Martin
(i986)
!z.ur” les budg&ts
de culture
bien
que
synthétiques
et ne d&cculant
pas de
dannêes d'en@.tZ?tes
sur le terrain
décrivent
assez bien certaines
techni-
ques
de pradguztion
et la structure
de
Ieurs
c#Yts
(Vair
Annexe).
tes'données
utilisées
dans cette
étude sont celles
qui ont étt2
calJ,,ectées
par
1 “Equipe
SystPmes
Fleuve
dans
le
cadre
des
suivis
et
, ’
enqu@tes
men@
depuis
198 5 dans
le
Delta
du Fleuve
Sént-gcil.
,.
Ce choix
dkoule
de l’objectif
glcrbal
d’analyse
des
disparités
entre
deux ty/pes de gestian,
1 ‘un
pcsuvant
8tre
cansidéré
cmm
I ‘avant-NPA
et I’autre
c&me
&tant
une r-éfér-ence
A l’objectif
de respansalilisaticm
des
producteuls
agricoles
de la
NPA.
LE grarrd
p8rimbtre
de Lampsar
a été’
choj?i
pour
rieptrésenter
la
situaticrn
avarrt-NPA
avec
une
gestion
du P&i-
mPtre
par
la ScxiPt&
de Déveioppement
iSAEI)l
et
les
périmétres
de Ndomtm
et Thi ayo dwkmt
représenter
1 a gwzti cm paysame
i 1 lustrent
1 e madéle de
r&fbr+mce
des
futurs
p&rimètres
tenant
campte
des
principaux
axes
dbgaghs
dan%, la NPA,
:

tes don~ks
ayant
servi
de support
à cette
étude
ont
été
ccsllec-
:ées pc.r 1’Equip&
pendant
la campagne
d’hivernage
IP85/198b
pot.~ le riz
h
_ampsav
et à Thiago
et pendant
1 a ctmtre-çai5cm
froide
~985/1986
pauu
3a
:omate h Thiagrs.
Préalablement,
1’Equipe
Système
avait
mené
une
erfquBte
niveau village
qui
a permis
de découper
la zone de travai
1 en sept
zones
nmoy)è~es
(voir
C=artel dont trois
zanes prioritaires,
Lampsar,
Houndsum--
3euve
et Richar&Toi
I !A( une vingtaine
de vi 1 laÿes
ant sw-vi
de base
pour
me enau8te
rrivelu
cuncessicrn
qui a permis
la s.&lectiar~
de 69 cancessic,~-+s
hnt 21 dans 1 a tant-
de Lampsar
g 24 a Bwndoum
et 24 A Richard-Ta1
1.
Vingt
s+pt
(271 cancessions
cent étf
ainsi
retenues,
Quinze
provien-
:: . Ij : :_
ient de la zone &e Lampsar
et sont situPe5
danç les vi 1 lages
de Thiléne,
t
-amp!Sar
Wol a? J W.+dabes Navar
et Eandiaye.
fautes
les dwze
autres
conces-
iians sAvie
dans
la zone Richard-Tell
çont
issues
du vi 3. lage de Thiaqcr.
*
- . . .
Soixant&
dix huit
1781 parcelles
cultivée5
en riz
or-t fourni
>ezxntiei
des dannées
paur
Ia
canfectiun
des
budgets
de culture
et
3a
.ypcrl~~gie des itineraires
techniques
suivis,
dont 34 parcelles
dans
la
zane
iimpsar
et
24 parkelleç
dans
la
zone
Richard-7031.
Paw
la
tamate,
tcxkes
es 30 ,aarcelles
Isuivies
sont de la zone Richard-Tell.
. : : .
:y.
Toutes
Pes concessions
de5 zwïes
Lampsar
et
Richard-TaX
1 nP ont
pas
ait
l’:&jet
d’urk
analyse
détaiitlise
paur
1~s raisons
suivantes
:
- dans
le
souci
d’isoler
les
variations
de rendement
pcruvant
ti 1 i s&e pendant
:Cette
campagne.
- & cause
du caractère
dauteui:
des
dunnks
recueillies
certaines

I
I
ZOWES
l?otlocDIEs :
l
j
:LAC 9E GUIERS”

8.
3-
i
Le que~tiannaire
ayant servi pour la rellecte
des données est tons-
titué
de deux +rties
:
- une partie
"enqu8te cwlcessian"
sur les caractéristiques
des con-
cessi
CrE,
le patentiel
humain, les resscwrces
disponibles,
les immabilisa-
tiens,
le
bétail
et
iecr
activitbs
extra
agricüles,
- ure fiaftie
"çui vi des paf-ce3 1 es" 5x1~
la SituatiLrn
de la parcel-
if-, les pratiques
culturales,
les entrées/scwties
d'intrants
et d'extrants,
1~ trsmps de trivaux
pour
les opératims
culturaies
t3t l'utilisaticn
de la
.
Le qu&tiwtnaire
a étb
&latrarP
suivant
les fi.chef; FARMAP pcmr
fa-
ciliter
Ie trai$ement
infwmatique
des dclnn&eS avec ce lugicitsl
<Voir anne-
.
xel.
4 ‘- M’ANALYSE ----a--
Des budgets de culture
cmt
&tP
élabor&~ à i"aide
du i~~~iciel
FAR-
MAP IFBRM MANAGEMENT
ANALYÇIS PACKAGE) d&veloppé par la Fktr,
La partie
CRCWSTAEULATIDM
'de FARMAP pef-met de cûnfectianner
des budgets de culture
ou
taut aLitre tableiau utilisant
des données FARMAP tzw tenant compte des spéci-
.- ,. :
; .
ficit&t,
du probl:éme étudié.
Si FARMAP fcrurnit
des tableaux
standards
appli-
I
tables aux ca5 g;én&raux, sf-ule la partie
crwz.stabulaticïn,
a été utilisée
dans cette étudd compte
tenu des spécificités
dan-;
chacun
des
périmétres.
Des budg&S de cblture
ont étP Plabarés sur quatre
(41 riiveaw:
suivanto
:
f/ le n!ivt?au parcelle
tient
romptt? de 1 a grande diffPrenciation
jans 1~:'s techniques
de praductirsn
avec l'hypckhése
qu’une
rrr&r~e uriit&
de pro-
Juctiûr! peut utiliser
différents
itinbraires
terhniqueç
dans l'allocation
je
~85
ressourc&.
C'est dam
à ce niveau qu'une typol~)gie
de CES itinérai-

9.
2/
;le niveau
ménage repcrse
çur
l’hypothése
qu’ut-r
menage
ayant
plu-
çiew-5
parcekles
ne suit
pas n&ressairement
le même d9tm.w
prmh.kctif
dans
313 k niveau
cancessi
csn est 1 e premier
degr 6 d’aggr
Bgatian
pcruvant
.y
perjettre
dek
extrapolatims
au niveau
macro-écanmiques
puisque
servant
de
>’
trait
d’urrim
entre
les
entit&s
purement
micra-Bcmmniques
que
sont
ies
p;w*-
celles
et
feg
ménages.
Toutefois,
ce niveau
runcessior~
est
discutable
s~lcm
qu’il
est
as~/~imilé
à l’unité
de praduction
cfu d l’unit&
de résidence
et
ne
co~;sspcndra~t
dcmc
plus
a I’exploitatim
agricole
familiale
(LEGAL
.l5587)
3
et
enfin
>
4/lft
niveau
zme
servant
de budget
de cadre
type
pm.w
l’analyse
cam
rative
i’ntef
-zone,
cctrstitue
un scwbassement
au futur
programme
de
rect?erche
SUT ia
madélisatian
niveau
régional
de l”agriculture
qui
est
en-
vic;,hg&e dans ‘le prc3gramme
de 3 ‘économie
de la prcsduction
1’338/1942.
Les
&dgets
de culture
ant fourni
des colts
et des revenus
de pro-
duct:ic~n
en pl;us
des
quantités
d’intrants
utilisées
et
d’entrants
obtenufss
dans
les
diffkrents
détours
productifs.
Ces quantités,
c&ts
et
revenu5
ant
ét& repris
pok
une analyse
statistique
avec un lagiciel
statistique
MSTAT
iPI~C:~CICCHP~UTER
STATISTICAL
ANALYSISI
m Cette
anal yse
uti 1 i se des
corrélaticms
k-t des
statistiques
de tendmce
centrale
et
de dispersion
par
. ”
ailfeurs,
Une’anafyse
biamétrique
a été
faite
entre
le
rendement
et
1s
va-
raatfes
exogt?hes
cançtitu&s
par
It-s
intrantç
et
des
variables
qualitatives
uu catégorielles
devant
décrire
le çaractke
grande
parcelle
cw petite
par-
re31e
et
quantité
d’uuk
~uptiriwre
à la
recammandation
agrm-mmique
et
quao-
tité
d’urcPe
i+f&-ieure
à la
recommandation
agrmomique.
Touteç
ces
varia-
bles
qualitatives
ont
muntrt!
WI niveau
de significaticm
obçervPe
trP-;
I31evé
égale
A O,OcZO$ et sont
donc
un élément
expliquant
les év~1utim-1~
du ren-
demw-it
. A ce iitre,
elles
ont donc
&tt! partie
int&grante
de l’analyse
et

r;e sant
révélée~i
fort
utiles
dans
la
typalugie
des
différents
itinéraires
A
tecfini ques.
tes
tatileaux
utilisés
dans
cette
étude
décaulent
des
rP5ultats
des
analyses
çtatfst!iques
et
des
budgets
de culture.
te
lugiciol
LOTUS
I-2-3
a
permiç
la préserkation
de certains
sous
fwme
de tableaw:.
Les
graphiques
cw-respandants
drtt
étP
obtenus
& l’aide
du lcqiciei
MICRCEDFT
CHART partiçu-
Cette
Pkude
a nPcessit8
beaucaup
de travail
informatique
principa-
lement
pc)w
1 a val idatiGn
des
données
primaires
avec
FAHMCS-P et
pour
la
aise
sur
pied
de prrsgrammes
crosstabulatiwt
pour
chaque
sptculatian,
chaque
zcrne
et chaque
niveau’
d’aggrégation
des
budgets
de cultures.
En dehors
de cette
.;
Ptude
t:n tel
exercice
aurait,
dans
taus
3~s
cas,
Pté
fait
vu l’objectif
?.
jYautaeratisation’
des
budgets
de culture
et
des
comptes
d”exploitatian.
Cet
3bjecti
f 9 a nstrie
avis,
nécessite
l’utilisatian
de FARMAP
m?Sme si ce dw--
*
: .
Cette
@bude
campwte
quatre
(4)
chapitres
:
_. :: .:..-
- le
pr-/mieT
chapitre
introductif
comprend
Ici présentaticn
du pru-
-.’
(1 Pme,
1 es <sbjecki
fs,
une
brPve
revue
de la
littPrature
et
la
méthodologie;
- le
setand
chapitre
traite
des
périmètres
de Ndumba/Thiago
atS une
:ypsl crq;i e de-i
2 t i. nérai
rw
techrti
ques
du riz
et
de la
tCr!mêite
a ttP
tentée
;uivi
e d’ une
anal yse
deç
coûts
et
rE-vww+z
de ce-;
i ti r{Prai
r-es
;
- le tr-&sième
chapitre
traitant
du périm&tre
de Lampsar
a suivi
e mgme ctit-minem&t
que
le
prtscédent
chapitre
avec
l’exclusion
de 1a
.amate ;
u
‘- le
dernier
chapitre
est
une
tentative
d’analyse
comparative

11.
K types de périm&tres
; et enfin
ç tonclusians
ant été tirées
et des recommandations
faites
çur
ç ulthrieurs
de recherches.

CHAPITRE
_-----
_e--- II
: U&
PERIFIETRES
#UT-S
------------------------------------------
DE ND(IMBQ ET TtiIAGLi
Le prujet
Hdûaba/Thiagtz
est caïïstitué
de 12 ufiitk
hydrauliques
de cari-t-e-saiçarj
chaude
ICSCI b la traisi
&me pour la tamate
de contre-saisûn

33.
Un bmpiste
et un tractcwiste
sont errgagtts de façon
permanente
et
grQupt-ment * kxw
1 ‘w-~çemtle
des grcwpements,
il
existe
deux staticsns
d’ex-
haure,
un at&ier
et 4 GMP de ~e~~ur~.
T)u &LriTrt de vue de la gestian
de l”exploitation,
les graupements
défini3333t
leurs
besainc;
63-1 intrantç
qui leur
sur& livrés
21 crédit
par la
SAED, et s’a&wavisiannent
en carburant
t-t piéces
détachees
auprk
des
1983 par t-ap@P-t 21 62 % en 3984. Pour le travail
du 533X, il
y a Pgalement
sent
fe caleriduier
cultural
et RIS sont pas ch3 igbr; de vcsndre ieur
pruduc-
tiwi
CI la SAEjD dont 1 a part
relative
dans la collecte
du paddy va f-n
dim:~nuant.
C& 4léments
illwstrent
bitsri Ze caract&rl-
autuname
du projet

4

15.
:eyficje
cultivéie
ait
étP prise
comme criter@
de classification
pcsur le
mau
pu 3 mai r-e,
Ces relationi~;
inverses
font
qu’&
une
augmentaticwj
de
::.:.:::
aire cL:l ti vée, corresponde
une diminution
des
quantités
d’intrantr;
uti-
sér;.
Par
can-;éqL~i?rrt
3
pour
des
différences
significatives
dans les çw-
.
ptses 12abplication
en val~.~-
abselue
de la m8me quantitts
d”un
:rant
joue à la fawur
des
attributaires
de petites
parcelles
et
peut
w canférer
w-f
statut
plu5
élevé
quant
aux
objectifs
d’intensification.
En effet
pn peut formuler
1”hypothése
que,
tcsute
chuci@
égale
par
le~s,~~paur
une m@me quantitti
d’intrants
ten valeur
atwlue)
celui
qui
a plus petite
pyrceile
aura le rendement
Ie
plus
Plev& et cela
du fait
KICE intensifitatiw
Zpar
apport
d”irttrants1
plu5
Plevéc-.
Paradoxalement.
:,:::.::::.
n?a pas étts le:caEi
dans ces périm&tres
autcwnmes
aù la superficie
ES~
.“““.‘.’
Fat i vement
cwr&
tse aux
quanti
t 11s d’ i ntrants
et
posi t i Vernet-k
au rende-
lt. Cela paurraif
indiquer
un phénoméne
de diminutic3n
du rendement
mar-
._. -_
!al dans
une rn@rn+ catégorie
d’aire.
,,-a farte
bcwrPlation
positive
~0,96!3) entre
la superficie
et la
iablt-
zatégoriel’le
indicative
de la nature
petite
CILA grande
parcelle
a
i&eemewk
repriç
*les caracthristiques
de 1a variable
superficie.
La va-,
trtle
caiégwielle
aura
eu puur
effet
d”adcrucir
les petites
différences
.: .; ,_.,
.y::::::::...
_
::.; ::,:“.’
valeur
-au sein drune
mISme catégwie
d’aire
et donc
de mieux
refléter
h
correspondançeti
taille
de parcelle
et quantité
d’intrants
utilisés.
ntrüdu:tion
de l’a variable
catégorielle
aura
également
mieux
cern&
les
atiarsa
entre
taille
relative
et
rendement
et
erj valeur
abç=lue
elle
sente
Ilne
valeur
supérieure
A ce1 le qui existe
entre
çwface
et
rende-
t, Ces corrélati,ons
sont respectivement
de IO,2531
et (0,068)
{vair
PIa-
CE de5
carrélati&ssI
.
Parallèlemient
la distributian
statistique
du nombre
de petites
tel 1~s
et
celui
des
grandes
pI, aide
en faveur
du ch&>:
de CC- cri t&re
de

te chcG,x du second critPre
de classificatim
c’est
fait
sur la
base dis i’utilisatian
ciu non d'herbicide
<prapanilI
dans la pratique
cul-
turale,
Pwr l'ertsembie
de l'érhantillan
54 % des parcelles
ont bPntficié
d'herb:cide,
Dar-& les petites
parcelles
25 % en unt utilisti
et 75 % n?unt
pas fart
de d&&erbage
chimique.
La tendance est inversée
au niveau des
cjrandes parce1 1s oCi 64 % en ant uti 1 i 56 et 36 % n'unt
pratiqué
que le
désherbage
manu&.
Du pcrint
de vue
de la
crrrélation
celle
existant
entre
rendemwt
et qkntités
d'herbicide
est assez élevée paur justifier
ce
chaix.
La cwrél'ation
de 0,534 est la plus élevk
exception
faite
de çel-
. ._
._:.._.
le iO,XS4) liant* urée et rendemertt mais 1'crn sait
déjA que la quantité
*
ti'urée est trPs tributaire
de celle des semences d‘une
part
et
que
taus
le-; pa;*Jsans ont kilisP
de 1'urPe dans leurs parcellt-s
ce qui lui canfére
, 4.
me
gérréralité
inccmpatible
avec notre souci de différenciation
à moir-ts
+t'ellcd
ne sait faite
sur la base des quantités
appcw-téeç.
147
iritr;..nt
surface xcupée,
est également reconduit
pour- 1 PS quantitk
3'herbicide
appl3quées.
En d‘autres
termeç,
pcrur w-w Mme quantitb
d’hw--
..: : :.
.:.:: :
jicide
appliquée,
la motivation
d'intensification
est d'autant
plus Pie-
..
+Pe qw
la surf ace est grande.
Para1 3 Plement t ' cela pt-r'mettrait
d'éccxwmi-
ser de la main drc7euw-e dont la demande pour Je déçherbagtz ~'ac~r&t
avec
.a çupçrficie.
Enfin ~ih troisième
niveau de classification
a Ptb crbtenu pour
?applicatlcm
c5u non de l'engrais
complexe NP CPhcjsphate d'kmoniac)
ut:
mur
la
seule raiçrsn qu'efï 19P5 3i;ç paysans dans cet êchantillon
n'ont
!a~ t.ttilisCS du NP sauf dans une seule parcelle.
Ce fait
a étP iscrlt
en
~&Ell
i t r? puut- tenir
compte de l'exiçtence
Eventuelle
d'un itinéraire

17.
t~~$Aique
inc’luant
le
NP dans
Ir
détour
productif.
Ce tas
ne paurra
Btre
canfirmt-
que dans l’avenir
avec la répétition
d’un
te1 PvPnement.
Du
point
de vue des reccxnmandations
agrwwniques
paur le riz
irrigu(é
l’applicatian
de 100
kg de NP est
préconisée
comine engrais
de fand.
Le
.o
paradoxe
aura étP en fait
la non application
du NP dans
les parcellas
en
gPn&-a1
Taut$foir;
1~ différences
dans
les prix
entre
1’urPe
et le NP
l
peuvent
iirtre $I l’origine
d’un
phénom&ne de substitution
entre
ces
deux
intrmts.
Si I&l
est le cas,
des r?tudt-s
plus
fines
devront
Gtre
entrepri-
925
iJaur
analj&xw
les élasticitPs
simples
et craisées
de ces intrants
en

vue
9*uni; mei~eure
connnaissance
des relaticins
prix/quantités
demandées.
Compte tenu des critisres
Pnonctss dans
l’échantillon
suivi
dans
I a ZCI~FS Ndc‘mbcQfhi aga, cinq
itinéraires
techniques
cent il-té identifi&s
pcxtr
I a cul tu$e
du riz
dont deux pc~ur les parcelles
d’ut-e
superficie
sxtpé-
rieur-e
au Pgale
à Il,40
ha et
SE reste
paur
Ier; parcelles
dont
la superfi-
çie est inférieure
2~ 0340 ha Cvair tableaux
de répartition
des itin&ai-
reç
f.erhni qtm& en annexe1
- Les deux
itinkraires
identifitss
pmr-
les
gran-
des w.tperfici@s
sont répartis
en raison
de 64 % pour
ceux qui utilisent.
de 1 ‘twrbitide
avtx
un rendement
mayerr
de 3,772;
kg & l’hectare
et
de 3& %
pour-
les parcelles
ah ~PC, paysans
n’trnt
pas titilis&
dr l’herbicide.
Dans
..y
.
ce dernier
cas’ le
r-ertderaent
mayen
2% 1 ‘hectare
est
de 4bb0,
Le rendement
mctyen
pour
les
grandes
superficies
est de 3841 kg B l’hectare
et celui
Rien qu’en
prati
qia~ les
petites
parce1
1 f-s aient
reçu
des
doses
d’ engrai
s plus
61 evéts,
leur
rendemmt
moyen est inf @rieur
é< celui
des
cette
catPcJwifPm
Lh seul
fait
a plaid&
pour
le haut niveau
d’intensifica-
tion
dans les petites
parcelles
et
cela
S’E>S~ traduit
par
la meilleure

18.
s
serf armance
obterrue
dan-;
1 “ensemble
de l’échantillon
avec tr722 kg & l’hec-
tare.
~,:;inm
C;C) % des
10 meilleurs
rendements
ont
été
obtenus
dans
les
Les can@iticins
d”applicatian
de CEÇ itinbraires
font
qu’A
un
liveau
d”intensification
peut
cw-respundre
une
large
fourchette
de per-
Furmanceç
compte
tenu
du rtcrmbre
très
impwtant
de wariables
exagt?nes
qui
xdxent
en jeu
dans
la
détermination
de celles-ci.
Ces
variables
sont
de
tcus ordres
mais
le plus
impartant
demewe
l’action
des
oiseaux
granivo-
-es
qui peuvent
compromettre
la
production
à presque
100
% dans
le
pire
de5 cas.
A cela peuvent
m’ajouter
les différences
dans la canduite
des
zpPrat
i ans cul turales
proprement
dites
A çavtri r la qua1 itP
du désherbage,
.: : :
le fracticxwement
cru nun dtir; engraiç
chimiques,
la lame d’eau
appliquk,
7tc.
1 “, DESCRIPT1DN DES ITINERFIIRES
SUIVXS
--------------------______________L_____---------------------
DANS LES GRANDES
PARCELLES
Cette
cdtégcxie
regrwpe
4S % de s effectifs
de l’échantillcw~
et
?eut fc,.ire
I’obj+t
d’une
classificaticx’?
sur-
la base
de 1”utilisation
tru
-ton d’herbicide
romme citP
plus
haut,
:,:: i..-,
;. .- .<
_.
1.3. f M’PLIC~Tf5N
D”HERBICIDE
--------cI-----.......
Leç parcelles
qui
ant fait
17c?bjt-t d’un
dPsherbage
chimique
au
r:imum
ce 434
kg.
Dans
cette
çatégwie
il
n’y a pas eu d’application
de NP
i 1 S-46-
Cm) cwwe, engrais
de f and et 1 ’ crr&e qui
est uti 1 iç& comme
engrais
c

! 0.47
1
.
3.04
! 3373.50
!
I
t
! O*#
.
1.06 ! 1723.00
!
! 0.53
I i
4.44
!
4m&l!
l
I
4347.20
! 2tlb765.58
!
I
t
B.?f
!
1
I
1
.- ._“_“__“““““““““““““__L_________________””*
““““““““““““““““““““““““““~
E&W&ENI PfW = WI
x BE lpl
foN = 17.13
GP
= 4Mt7,28
Financi
Prement,
le c&t
moyen pour 3 ’ acqui 5i ti csrï de ceç intrants

,..,..
.“.._
.
..,.
_.
,,
,_..<..,..,_<.
.,.,
_.
,<.
.
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.._ ,,,, .- ,,,, i -.-+-*,“*>g
,,” ,I’
20
:
.
..:
.
.
,.
_:; .
.;
.
I
</
.
;,
.

1.2 :
36 % des
parce3
les
dent
1 a super-f
ici E est
supérieure
2~ 0,40
ha
n’c.~~t pas fait
l’abjet
d’un
da)sherbage
chimique.
Dans cette
catégwie
la
surface
varie
de Q,41
&I Q,53
ha avec
une
moyt-nne
de 0,47
Ia
m@me constatée
dan% les parçefles
csi\\ le désherbage
chimique
d eu 1 ieu,
La quantite
muyennfs
de semences
émplcryée
est
de 225
kg dcrnc
nettement
suptkieure
à la quantité
utilisi-e
dans l’itinéraire
précédent.
Ces quantittç
de
semencr
varient
de
tre*
Cependant
les quantites
Cte semences
ne refl&tent
pas
n&cessairament
la
rel atiun
de <ause
A ef Cet
que
3~s
paysan5
croient,
4211 es peuvent
8tre
Pgale-
ment sur-utilisées
du fait
des oizzauxe
t”urée
a &tP Ligalement
bt-awaup
plu? utilisé&
danç
cet itinkraire
que
dans 1~ prért3dent
A désherbagtz
chimi-
que?*
La quantiité
muyenne
d’urée
sçt
de 270
kg & 1 + hectare-
avec
un 1. ntw-val-
1~ <Je variaticln
allant
de 1?2 kg/ha
(dcrnc
double
du minimum
c?nregistrt
dans
le précédent)
à 434 kg à l’hectare,
Le rendement
moyen
suit
la mE-me tendan-
ce crue les iritrants
par cwaparaiwn
A 3 “itinPraire
02) i 1 y a eu diésherbage
dcsuble de 1 ‘~#quivalent
paddy des ccrGtc;
des
intrants
qui ont servi
dans
cet-
te typai aqi e. Ce rendement
est
aussi
plw
&levé
que
le rendement
moyen
abt$qp..t
paur
fe
suus-graupe
grande
‘rsurfacP”I
L’intervalle
de variation
du
renckment
danb
cet itinéraire
tc-chni que va de 28%
kg i3 6673
kg tvcrir
tatsli-au
31.
.

4
. .
.,,,,,--...*-----I-----------------------~,-,-,----^,,,,-,,,,,,,,,,l
i
l
1
I
1
I
i ÇWIICE ; SEIWCE i UREE
i NEWCI3E i RWCTIDW!
.l____ll.--w
i,,,,,,.,
I',-,,,,,
I,,,--.",,
I,-..--w--
I--,--I
-1
1
a
1
!
I
I
mEN#E
i 0.47
i: m.u5
i 270.55
i
5.50
1 M5.55 I
MNIATHNI
! 0.11
!: 153.05 ! 19215u !
5.55
! 289b,u5 !
? 5.52
!I 317.55
! kW.5u
!
5.55
! &$73.55 !
GMIT
*
1
!j 22555.55 ! 3Rw.55
!
5.55
! 39w5,55 !
z WI CT
!
!i
111.39 !
%bi
!
u*uu
!
I
I
“--_---__-“_--_--*--_______L____________-------------------------------------.
EWIY
=
b39.53
TrIELA
=
13.72
=
5f993.25
.:. .: :f y:,
Cette
partie
des
intrants
Isemences,
urilte)
tCrtalise
un coGt
de
rczyenne I‘ CE coût
reprtisente
640
kg de paddy
valoris&
au prix
de 35 F CFA le
*
.X' -.
:ilogramme
et
dc3i-w lZr 7 % de la
production
tütale.
Dunç
pciur
quasiment
le
-- d'autre
jxrt,
ceux
qui
utilisent
dtt l’herbicide
daivent
le
fair-e

manuel
uni quhwtent
a nécessité
we
pluss
grande
util
ic;aticm
de semences;
et
d*urée
tVoir
Figure
2)

i
,___..._._
m
-.__
-..-.
-”
..-.
_.”
_..-.I-_,_._,
“-,
1
I
.: ._:
,.::.y
_....< .::: :.
a
.
:
:

24”
Z2 ‘X des parcelles
suivies
tombent dans cette catégwie
de parcel-
de F’12
i ‘a-
kg & est dune inftlrieur
de MN3 kg a celui
obtenu
dans
les
grandes
Çu~leP-f icisi.
Cette
classe peut
faire
l’objet
d”une
secunde
classification
s..w la base de l’utilisatian
CIU non d'herbicide
et sur celle
d”une
applica-*
te5’parcel
les qui
ant fait
1 "abjet
de désherbage chimi que au pro-
pan31 repFésl3-Hxwk 25 % de l'effectif
total
des petites
parcelles
avec une
ii%
surface
mc3yenne
de 0 ,24 ht3ctare
qui
varie de 0,1E3 A 0,28 hectare
tt"air
Tatleau
41. La dosE moyenne de 5emence appliquée
A l'hectare
est de 224 kq
darc,
un inteevalle
de variatiw
allant
de
I&l
A 311
kg.
L’ur&e
a étP
intensivement
utilisée
avec une dose
mcryenne
de 463
kg +S l’hectare,
une
minimale drs $79 kg et une max$male de 835 kg. Ce5 quarttitil5
importantes
c;t\\ggérent un& sorte de compensation
par un engrais; de couverture!
~lruré~~
de la nun apelitatian
de l’engrais
de fond
ZNPI.
L’herbicide
a ét& égale-
1.1
ment
applique dans un Pventai 1 de 5,36 1 itres
& f. 1 ,50 litreç
A l’hectare
avec
une
rnoywtne
de El,39
litres.
Cette applicatiwf
de désherbant
chimique
peuil 8tre indicative
d’un enhwbement
trés important
C~L.\\
d’un
gwlat
d’ktran-
gle-irant au rrlveau de la main-d"oeuvre
ne permettant
pas LW dksherbage ma-
nuel narmal
. .La production
moyentre par hectare
varie
dans cet itinéraire
de
1&23
kg si 4742
kg avec une muyenne drs 4 5% de Icrin supérieure
& la mcryenne
g&n~rale
du ruus-grwqx?
des
petites
parcelle5
avec une di+férence
de plus
II
d. uï-ie
tunne.
,iVoir
Tableau 41
,y

I ,,,,,,,,,.,-r---,--------i------,--,,--,,,,,,,,--,,,,,,,,,,,,,,,,,“,,,,,I
I
I
L,
t
t
l
I
I
!sIIRFRcE
ii
!Jm&E
f
UREE i HERBICIDE !PROWTII~
I --1141 *<..e- 1-e,-,
I,---,--
I-,,,-,
I,..,,,,..,,*
l-,-s--,,-,I
.
I
I
il
t
l
l
1
tnBvm3iE
! 0.24
! 224.04 i 465.00 i
Ii”39 i 433bAOj
! ~~~~Ti~
! 0.18
‘! Ibl.@l ! fR.84
!
5,3b
!
ib29.00!
I
! 0.28
9 33l.00 ! B33,oo !
11.50
! 6722.00!
! CNT
i
ii 22404.00 ! !Hm.w
? 119?7,70 ! WbD,bo!
! z PLI CT
!
Il
25.w t
bl,#
!
I4,OO !
.
I
I
!
._--_-“-*^-“----_-_-_______C_C__________-----------------------------------.
tes
!-?mhmCPS,
3 “ur&
et
3 ‘herbicide
repr&sentent
respectivement
*
I
parcelles
repré$ente
24,22 % de la productim
mcsyennc. Ceci prPsage
d’un
revenu
net par $mmtti-jcmr
plus
faible
vu que 76 % d& la production
doivettt
supporter
les autres
cciûts variables
et le5
coûts
fixec;
et permettre
une
rémun&rati~n
de la jm.wn&
de travail
de la main d’cxmvrE
familiale.
:: : :.
.‘_.
-,.
2,2*
: ABSE+&JlE
DESHERBA~~
W-M-
CHIflIQUE
-------c-
Les; parcelles
C&I seul
le désherbage
manuel
a PtP pratiqué
r-egruu-
d’w-i engrais
de ;fond le NP.
B’I
2.
d..
1.
: f&l.ICATIf#l
D’UN
__---_---------___----------- ENGRAIS
DE FDND

26.
application
n’a
concerné
qu’une
seule
parcelle,
est
Ie
plus
proche
du type
d*intensific@&ion
sauhaitée
dans
la rPgion
au vu des
objectifs
d”autosuffi-
5afxe a3 imentaire.
La superficie
est de 0 ,23 ha et le5 quantités
de semen-
urée et l NF) appl i quéeç
sont respectivement
174 kg et 217
kg et
217
kg ci
C(3C,
l’hectare
pc?& une production
de 3043 kg. Pour un colt
total
de 66 876 F
CFA soit
l’&@~ivalent
de XV kg de pciddy ou 2% % de la production,
les
parts
relatiweç
du ccrGt
des
semences,
de 1 ‘WPE
et
du NF’ sccnt
respertive-
ment
de 26 Xs 38 % et
36 % <‘Soir
tableau
51.
! 5‘23 : !
174.55 ! 217.55 ! 0.55
!
217.55 !
3543.55 !
! 5.23 ,!
1x55
! 217.55 ! 5.55
!
217.55
! 3543.55 !
l
! 0.23 i ! 174.55 ! 2f7.55 ! 5.55
!
217.55
! 3543*55 ?
!CwIT
.
i
: ! 17455.55 ! 2i%b!ku5 ! 5*55
! 23875.55 ! 2wRi.55 !
! x D!l CT
!
1
26.52 !
38.29 ! 5.55
!
3!Lb9
!
I
I
I
‘---e---------l----C-----W------l----------------------------------------
-....---s---
2.2.2.
: I&N
4’W=LlC#4lICPd
D’ENGRAIS
,______-------_-l--L------------
DE F#+JD
te5
p$rcefler;
rejoignent
le
cas
g9néral
d’abierjce
d’engrais
de fond
avec 87 % deç petites
parcelles
où seul
le désherbage
manuel
a BtP prati-
qu&.
Leurs
suberf
ici es varient
de 0,2i
ha à 0 ,29
ha avec
une
moyeme
de
OI 24.
Les
semkrtceç
so-rnt
appl i qu&s
SI une. dtxse
de 293
kg 4% l’hectare
et
I E S S
quartit&s
varkerrt
de 17’5 A 2521 k~ A l’hectare.
L’urPe
est
intensPment
uti-
568
kg.
t& ttgwlement
c’ est comme 5‘ i 1 y avait
un effet
compensatoire
de la
non applicati&n
d’un
engrais
de Sand,
Le rendement
moyen
y est
de 28i3
kql-
t-ta ahc
WÎ mihimum
enregistr-&
de 1717 kg/ha et un maximum
de 574~8 kg/ha.

partie:
qui est .de 58 P46 F CFA F?ait 1 ‘Pquivalent
de AP4 kg de paddy QU 25
% de 1? product$m
d l’hectare
IVcjir
Tableau
isl.
---v-s-
-s----..----
------,,,-,---,--,--,,-,,-,,,,,,I
-T-----
!SURFRM !
!
UREE
! rnICIW
! P~T~~~
--“.-e---
le---,--,
I--e +--
! -----------
! -----------
1 -,.---,-,,-l
lumE
i 0.24
1 2iKQQ ! 29?‘00
!
Q.00
2313.00 1
9~I~T~3~ ! Ki!l
! $mo
! M.00
!
0.00
171f.00 !
! 563,oo
!
Q,QO
!mwo
!
I
COUT
!
.eQ !3!%4b,oo
!
0.00
239105.50
!
1
l
!
SP,45
!
0,Qo
1
_“---___*--.-------------
i------------------------------------------’
:
DY
=
693.43
.
34
=
24.65
CP
=
5394b.QO
De fagan c@nPrale,
çi certaif~i-5
pratiques
culturales
5e retrouvent
s
1 1’ i dcnti
que dans toute
1 a zune ccmme par exemple
le semis direct
aprbs
:icm d’un enyrai$
de fund,
les
différences
dans
les tailles
de-; parcelles
:Gmme 1 a prati qu& #u nm
du dt-sherbaye
chimi que aurcmt
@w-mi 5 de faire
untz
:ypuluc~i~
des itinbraires
techniqueç
dans une zc<nfs cGnsidér&fG
i~~mme hcsmcsqé- : : <-
le par +-appcrrt aG rünage
du Delt a eff wtu&
par 1 ’ équipe
SystPnres
du Fleuve,

- .-.-..--~1
_
_
-
-...
.
28

C -. ~YFULU&
IlES ITINERAIRES
----------------------
TECHNIQUES DE LA TOMATE
-----...-.“...‘.I--w-m--
Paur
la’typAagie
dec, ItinPeaires
techniques
suivis
pcsur la rultu-
*eçt&.
Ld &galem$wt
unfi variable
catégorielle
a été introduite,
Le rende-
,:.' :
ierrt eût n&gativ~ment
currÉ1 P aux pr i rfc i paux intrants
~mr~me la quantith
de
c1
iE?!TlE3?CEÇ
9 cl" urée,
de ptrosphate
d" ammcrrtiaç
W3-46-001
et des produits
phyto-
;ani tai rEç.
Des tz&lP-rPlatian5
p#çitivEs
5cirlt
abtenue5
aveç
la
!m"fate,
le
c
SBRFBCE SEN+E
r.00
: .,.
-0*35?
-0.121
1,000
-O*Z2
-0.072
1,ooo
-0 r4t
rd J
0. rio 0.w 0,213 1.000
-0.428
-O*Of4
o*ooo -0.108
0.507
f,OOO
0.642
-0.2#3
-0.094 -0.355 -0.459
-0.129
1.000
-0.329
0, If1
0.450 -0,072
0.235
0.32b
0.090
1,000
0.131
-0,217
-0.078
0.028 -0.299
-0.210
0.505
0.129
1.000
0. lb0
-0.212
-0.030 -0.290 -0.213
Ci.243
0.507
0.32b
0,541
f.000

les ~wrélatim-tç
négatives
entre
rendement
et intrantcj
physiques
superficie
çbltivk?
et
les
intrants
et
qui
suggtkent
une
diminutiot-,
des
quantités
d”kntrants
appliquées
lorsque
la
surface
augmente.
CE mPme phéntlc-
-..
mPne d’intensification
avec la petiteL;se
de la surface
avait
t-té constat&
lors
de la tipalcsgie
pour les itinéraires
du riz.
Plus
la
taille
de la pair-
quer par 1~s”unitPs
dans lesquelles
ces intirants
scsnt vendus
dans le cQmmer+
ce ‘15 csavrsir par sac de 50 kg ce qui peut avoir
paur
f-f f et
do influer
rS la
hauss;l- 5ur
l& quantité
mise
çur-
la parcelle-
Eji celle-ci
est trP5
petite.
En
d’autres
ter&s,
le producteur
applique
la mEsme quantitt
quelque
soit
la
taille
de la‘parcelle.
La que5ticxt
& paser
par
rappart
24 ~42s contrainte5
d”unit&r,
mis&s W-I vente
eçt de savoir
si des
unités
inftrieureç
existaient
que les quan’eit+
d’t-rtgrais
appliquées
resteraient
les m?meç
(-ru *qc-ruait-+x
WÏEZ di minuti
“r-f dans
1 es chçrses.
Ceci peut
avoir
un effet
b&nPf
ique i3u
néfaste
:
- d2cine
part,
les prsductexw-s
qui
n’utilisaient
pas certaine;
in-.
- la situation
inverse
peut isgalement
arrivt-r
d -;avcrir
ceux
qui en
uti “. 1 serft ac$uel fement
de f aFçjrr suffi
sante
peuvent
Etre
conduits
21 appl i -
ment et super’fice
indiquent
que
les
apports
impwtants
d’intrants
dans
les
petites
parce”lleç
ne sant pas explicatifs
de l’&vulutiw~
dans W-I premier

v-irxipal
effet
une auymentatian
des cc&ts
de prçjducticm
d’une
par-t
et
d*U--
ie uti 11 saticrn
iurati
annel
le des RESSOURCES
rareç
ce
qui
çanstitue
une
per-
:e pour 1’ écm-famie.
Ce phéncrméne
de diminuticm
du rendement
marginal
peut
%re illu5trP
=I tpcaver5 la figure
4.
!-‘interprbtaticwi
qui
peut
être
donnée
WY la
courbe
croissante
des
rendemerltr;
obtenuç
dans
les
grandes
parce1
les
5x.t que
cette
courbe
peut
Etre
approchée
A 1 a partie
crcjissante
de la cour-
re de praductiart
tcrtale.
Par appcsitiün,
la caurbe
décFcAssante
des rende-
ients
obtenus
dans
les
petites
parcelles
peut
FtrEs
interpr&tte
comme
rf;pr&-
.: :
_-
_: :

t.-.
.
..-
.
f
._.I._.....
--+-....
-.-.-
#
CrJ
t .--.”
-.-.
-
.
..X.._.
-.--...!
-\\
<._.
I-
..--._
ll.w--.“..-.-..l..l
-..--*-+
/
_I,I__,_..,,_,
----

(LI
73.
Le secotid critére
de classificaticn
e5t l’utiliçatian
ou nan de pro-
L
duits
ahytasanitaires
pc-iur la lutte
cantre
les maladie5
et
ler;
insect,es.
Cette
slassificàtion
ne ç’applique
qui2 pour
la catégwie
ah le repiquage
n?est
pas
tardif
car
dans
l’autre
cat&garie
A repiquage
tardif
toutes
les
parce1’; E~S wtt h&éf ici P de pradui ts phytusanitaires.
57 X de l’effectif
ta-
tal
de i’Prhantl’1lai-1
ont
effectué
un repiquage
précace
et
parmi
QLW wi peut
différencier-
cinq
itinéraires
techniques
dont
deux
csQ il
n”y
a pas
d’appli-
çatian
de produits
phytosanitaires
et le reste
~VET l’utilisation
df: ces
arodui ts.
Four
Ie-ç’ parcelle5
~43 le repiquage
a btP effectué
aprPci
la
premike
seitiair<C:* de décembre
an peut
di St i nguer
deu>:
itinéraires
qui ont
@té diffd-
1:.
renci&~, sur- la bpse de 1 Ü taille
de fa
parcelle,
Cette
seconde
cstégcrrie
oi
p32grltk.y e 43 % ptïcw- les
parcelles
dant
la superficie
est wpbieure
d 8,213
?a. Le rendement
muyen
peur
la cdtf%qarie
ayant
c3té repiquée
tardivement
est
*
je 2934:’ kQ/hG
cotrtre
%%l
kg pcsur
les parcelles
i3<\\ le rE?piquagr> a été apbré
155ez
t lit ce qui ’ montre
I ’ importmce
de 1 a période
de repi quage dans i. a
j&terminatiun
du rtzndement.
%Ci
S’ES~ i~luStr&
&Qalement
avec la Qraride
:cwrPlbtian
entr&
la variable
catégwielle
indicative
de la prPcocit6
tlu
xx-i dtt repi
quagei
et
I E rendement.
1 - IWCXC&PI~jN
DES ITINERAIRES
TECHNIQUES
c--------1---------------~--F.m--~~~--~~-~~~-~N”.~m..,~ A REPIQUAGE
PRECOCE
Cette
caaégarie
ccmprend
deux
claçc;es
diffbrsnciées
sur la base de
?appl i catian
ou ~RD~-I CJE prudui tc; phytosanitaires.
1.1.
- fl@XGEK& DE PRODUITS
PHYTUSANITAIRES
~---_----_---_-_-------------
35 % dE dr?ux
qui wtt repiquP
a~t;ez
tôt
rr’unt
par? fait
de lutte
phy-
st?ani t Aire
dant ‘&7 % de cet effectif
avec l’application
d’ur&e
et 1p reste

Dans! cet itinéraire
techniques
la surface
moyenne
cultivét-
est
de
0,&4
ha avec
un intervalle
de variation
allant
de Us39
ha A CI,%
ha.
Le )rem
dement
de Il&&&
kgfha
est
trPs
élevi-
par
rapport
au rt-ndement
moyen
de tau-
te Ia catégw-ie
qui
est
de 9261
kg.
bs quantités
d’intrantç
y sont trPç
faibles
et céla çcrrroticrre la relatian
négative
entre
rendement
et
intrants
d’une
part
et celle positive
entre rendement
et superficie,
La quantite
des var-iatiwk
ûG~x?rvPes
tant paur
les quantitt- -i d’ irttrants
que
pc)ur
le rew
dement
c;ont révélatrices
de fa grande
variabilitb
d’une
multitude
dsP1é-
I.r_.,
t
1
0.00 i Mbb.90 1
0.25
!
100.00
wi ! 4854,oo
!
,
1.28 ! 250.00
0.00 ! 18437.00 !
6883.2f.i ! I7228.00
OAO ! 478306.00
!
N.23 !
25.62
0.00 !
l 1
repr4?sentent
respectivement
10 %s 25 %? X5 % et 31 % du caCit total
partiel

25,
v
Cet Oqui valent
tcrmate repréçente
14 % de f
3-l
1985.
a prcrducticm
gli-~bale
ob-
33 % de‘cew:
qui
n’ont
pa5
uCilisP
de produits
phytosanitaires
et
l’ont
pas
égale&nt
utilisé
de 1’urP~
tmtbmt
dans
cette
catt?garie.
La su-
jruduct
ian moyrm@e
de 23801 kr~/h $a dcmc infk-ieure
Cc la mcryerme yén&rale
de
.a catbgat-ie
>‘r-e@i.quage pr écmxe”.
Les raûts
des
intrantc;
représmtent
TE~-
sectivwnent
b X,:56
% et
38 % pour
le5
!?x3m?i-lces,
le
NP et
le
I-CCL dru-{
caUt
,_::-
ait
11 % de la braductim
obtenue
iVuir
Tableau
91 valorisPe
B 41 F CFA,
:e COL~$ partiel
est le plus
faible
enregistré
dan5
l’ensemble
des itinkrai--
-eç tee hni ques
i$ent
i fi Os pm.w”
1 a tamate
<‘gai r Tableau
7).
.: ..-
,:. ;
! SURFAEE !I SEHEm ! UREE
!
XP
!
KCL
!PHYTD ! PRDDUCTIDN !
l_______l_l __ I,-,---,,,-
I;,,.,,,,..
I..-,,--.,-
l-.,-,--,,
I-------e--
I,,,-..-
I-,,,,,----..
1
.;
##EW#E
; D.%
!i
tL%
i
O.DO i
200.00 i 2uo.00 i 0.00 i 88U1.UU i
~~I~TI~~
! 0.50
!:
0.25
!
o,oa
f
205.00 ! 200.00 ! u,uo ! #714,00
i 0.50 ! 0.25 ! û.#U ! 200.00 ! 255,oo ! u,uu ! 674J.00 i
CWT
!
" 2390,2Q !
'_
0.00 t 22OOO.UU
! iXWO5 ! 0.00 ! 3M841.00
z w ET
1
I'
*, 6.07 ! 0.00 !
55.85 ! 3.03 ! o.uu !
_______,__,~---,,,,-----,,i,,,--~---------------"-------~------~----~--------------------------~
EQIIIWT T@ï!ME
=
%JO*73
4 M LA PROWTIOII
=
10.92
CP
=
;9390,00
1 .2 - UI~&~$$$TIDN DE PRODUITS PHYTDÇNJIT~IRES
--------------------------------
Les
parcelles
qui mt
fait
1’ ahjet
d’w-te
lutte
phytcwanitaire

256.
‘il”
ccsntrtr
les
m$ladies
cryptogamiques
et
1-s
insectes
reprtsentent
65 % de
l’effectif
tc3tal
de celles
qui
crnt
eu u~r repiquage
prkcxe.
Cette
~~)LIS--
cat&garie
5e:çubdiviçe
+xi trDi5
itinéraire5
tcschnique5
5~1~
qu'il.
y a eu
apport
GU pa$
d’urt.2~
et/ou
de NF’. Lrs chlarure
de pc3tasse
comme
erqr-ais
de
*+Y
ccrwerture
a 6th
appliqub
dans
le5
trais
itinéraires
identifits.
1.2.1
- +jPPLICATION
D’UREE
--------------------------
ET DE NÇ’
Les
parcelles
qui
répandent
Er ces
caractéristiques
représentent
St,
% de l'effec'çif
de celles
qui
ant
GénPficiP
d”un
produit
phytosnitaire.
ta
grarrde
varîaticrrn
de la
superficie,
par
rapport
~L{X
di 5cLtssion5
pctur
les
cor-
48
r-Platicws
entke
superficie
et
intrants
et
entre
superficie
et
rendement
Je
d’a&re
part
'plaide
pour
WE
différenciatiw
-~LIT
la
base
de la
superficie
taire
général2té
et
de nf: par;
tamber
dan5
le cas
e>:tr@me
de l'unicité
de la
rai
de I’apprbche
scientifique
est
inccxnpatible
avec
le5
spécificités
de
cha
E i?lPmenk
d’un
ensemble.
Le tableau
B dçnrie
les
quantités
d'intrantç
utilisée5
dans
cet
iti-
re
alers
que
&et
itinPraire
n’exhibe
que
143
Irgfha
en moyenne.
tes
quanti-
tés
CI~E. NF’ et
C!E KCL sont
dans
les
1 imites
de-> recommartdati
u-es agrurtc3mi
que5
avec
298
kg et
39&
kg respectivement.
Néanmain5,
l'intervalle
de variation

üutes lac, cun~inai~arts
de qttantiths
d'intrants
utilisables
par 1~ prodttc-
L?
tilisé;s
dans cet itinéraire
et qui xx&
de !5,2.4 unités
il’uriité
en litre
I~i kilcqramme
t-s’a pas étb diffkenciée
dans cette
Ptude à caws.i- des
OR~S-
.ions pendant
la’période
des
suivis
d2une part
et d’autre
part
ct C~LES des
larie
mtre
1080
et
7816
à l’hectare.
Ceci est trés
indicatif
de-, petites
iifférexeci
ccrns$atées
dans
la
çupw-ficie
et 1~5 différentes
cümbinaisûns
,: “‘2
/? intra,-Sts
di spcjnibles
au praduc%Eur , L’Bquivaltmt
de
59 % de
la
producticm
*
w-t
entre
1~5 5$merct-5,
1 ‘urée,
1~ NP et ECL et 1~s produits
phytasanitai-
ircrductlon
pcrur
&a rémunération
des autreç
facteurs
de produrtiwr
et des
33-vi CES. Ceci pr&sage
dPjCI un
_: .y .:_ .
rcwenu
par
hcrmrw-jour
familial
négetif.
:_:
TABLEGU
10 : ITIIIERAIRE
TEWIPW ZOWE
Uf
-TU TWTE
REPIRIME PRECOCE
157 21 AVEC PiIQWTS PIfYTO Ib5 2)
WPPLHZ#TIWI
D'WGE ET W (36 XI
____m^.m-
__.___________-_----____^________^______-----------------------------------------------------
I
I SURFGCE
!: SEHEXCE
! UREE !
tip
!
KCl ! PHYTO
! ~~~~~CT~~~ ;
__--.%sw---- -- ! ___..--r--- t! ---------^
l-,..--,,----
I,--,-----w..
!----me----
1,----..----
!----,,-,,,,,
f
.:
596,OO !
5.24
!
J914.00
!
166.00 !
3.3
!
1080.00
!
555.00 !
a.53
!
7916.00
'
1 29700.00 ! 8200*h0
! lm84.00
I
31.56 !
0,?2
!
l
t
-----------~-----------~*“---------------------------------------.
---_---"----------------------------
.
__-_ --
F:
lW'GlE#T TOMTE
=
2294 a 98
Q DE Lk PRDDUCTIOII
Z
58,4?
CP
=
94094.20

18 1! des effectifs
sant dan5 cette
catttyarie
avec une superficie
moyenne de 0;4 2 ha sa-e grande
variati
an (Vrrir
Tableau
13) d’unfl
extrémité
2 I;,at,.ttre.
L$I quantité
de c;emences
utilisées
est de 1’21
kg/ha
et
cette
é-
narme
quanti$&
peut s’expliquer
à travers
le
remplacement
des
manquants
aprhc,
repi
què&.
LFurée
e5t
sous-utilisée
dan-;
cet
itinéraire
avec
une
mo-
Les
produits
phytosanitaires
!xmt
mayennement
uti
2. isPs
et
smt
de Z ‘ordre
;_1
de 9,8f
unit&
IW+NEEE9 THYMUL 75 et DECISI I Cet itinéraire
a praduit
le
II.
rtiqires
identi’fik
dans
cette
Ptude avec 147Wkq.
Tautefois,
cela
n”est
pas
un i: ritère
sttkfisant
de sup&~iarité
par
Fappwt
aux
autres
itinéraires
caf
,I--,--..“--------------i---r------1-^-r-------------------------------------------^------L----------------“”
\\
I 1
I
I
I
l
I
I
I
t
I
i ÇURFAfjE
; SEIWCE 1 UREE I
fff
;
KCL
! Pim
I P~~~~TI~U 1
,--,,,^.,-,.“---
a-,,,,,,,-,
L,,,,,,-,,,
!,,,,,,,,,,,
\\,,..-,,,-,,,
l-,i,,--,
I,-,,,,,,,-
le..--,,,,,,,,,
\\
1
I
t
I
1
I
I
I
f
1.21 I
241.00 i
o,ou
i 9f0.00 1
4.85
i 14709‘00
i
1.19 !
23LPD !
0.00
! 794,OO !
2.38
! t2647.00
!
I
! 0.42:
!
1.22 !
243.00 !
osio
! 1025.00 !
7.32
! 1677O.M)
!
! CMIT
I
! 11567.21 ! 2M38.00 !
o*oo
! 682508.00 ! 7590,oo
! b03069,0#
!
!ZD#ET
i
1
9.99 !
24.55 !
0.00
!
58.91 !
6”’
I
.JJ
.
t
I
I
.c------~-r-^-----------t------C---------------------------------~--------------~------------------------------
EWI WBT TWTE
=
2825.51
z DE IA P~~~T~~~
=
19.21
CP
=
îf5845.35

39.
8
Le caCit
variable
partiel
de 31” ré 8315 F CFA soit
ut-r équivalent
tama-
cc3C;t çti r&partit’
entre
les
5em+33ct25, l’ur-&e,
le KCL et les produits
phytcrsa-
un effet
compensa-
la
non
apiplic&ion
de NF dans
le
d&tour
praductif.
Dan-, Ia sous-catégorie
des
parcelles
UC{ il
y a eu utilisatian
de
srodui
1 E; phytuçahitaires,
46 % de l’effectif
n’ont
pas
bBnPfici&
de l”urée.
Le NF r-t le
KCL tint
tté
uti I i r;és moyennement
en ccrnf ormi tt3 avfx
le5 r-ecc<m-

*,-,,..,,,,---,--------I----------,,-,-,------------------------------------------~-------------*---------
,
1
I
1
I
I
I
4
1
I
,.
I
! SuRFpGE ! SElwcE !UREE
!!iP
!
X&l.
PHYTU ! ~~~T~~
!
I ---*e ..-e..-..“-- t---p---
1-*-.-e.,“,,
I-,,,..,,-,
I,%-..-,a,-.
1-m-,-.--
s---e---m- 4---..-w.--
I
t
1
I
I
t
t
I
4
! I1DYErn
! 0.55
!
1.05 !
o.Qu
! 317.00 ! 4pB.Qo
2.73 i
9598.00 i
! ~~I~TI~
! O.$O !
0.27 !
0.00 ! 25b.00 ! 32Q.W 4
2.29 !
495o.M) !
I
! Q,$P !
1.67 !
Q.QQ ! 468.00 ! 557,QQ t
3.33 ! r32f3.00 !
.! cw
t
! 10038.00 !
0.00 ! 34870.00 ! 3DbOO.W
! 4272.45 ! 39351fLoO !
! r BU CT
i
1 12.58 ! Q,QQ ! 43.71 ! 39.3& ! 5.3b !
\\
I
I
.-“--*uD--------------------------------------*----------------”----------------------------------------
.
ElWNKUT WWE
:
1945.85
IpEl.A
I@l
=
20.27
&P
Z
79780.45
Une comp+z@ais3n sommair42 entre
ces différents
itinéraires
techniques
d
rep--.'qua-je pr&cice
i-fi#rttrP UBE cGn5tante
qui E!!st la grande
part
qufGrcupent
les tG;its
de+ engrais
chimiques
dans Ia çtructurt-
des çGUts variables
par-
n’c(rit
pas u->&j de fongicide
et
de peçticide
ont W..I à appliqutw
des dtrses
CE rsiveau
d‘ékalysr,
il
apparalt
qua tmtte
twttative
de r&ductian
des
coUts
1
de prmh.xtianj
devra nécessairement
çe faire
isn tenant
cumpte
de CES c#Cits
prP?s anal yse kkr, risques
de chute
de pr-crducti
W-I pcwvant
déccrul
çw de ce1 ~3 et

L ..,............. .._............< ,......_......... ..,.,,.......... ,............... .,......._...... ,.-.-_-_-
-.-..“--
_.I-
I
..-,......-.
i
__._.-,-,.._._
..-..--i--“---L-d
.<..... . uII~“LIu”I~- ..<.........
.
ca gj Cd iii
Ld
.,
:
:
._::.
:
,,_..”
.< .
*u
.
.,
:.

42.
2-
DESCtiIPTIClN
-------m-w
DES ITINERAIRES
TECHNIWES
-----------------------------------------------
A REPIQUAGE
TARDIF
Les
caucjes
de repiquage
tardif
peuvent
se r;ituer
& différents
ni-
veaux parmi
1;esquel s 8x3 peut ci ter
:
- l@ç goulots
d’étranglement
liés
au ralendrier
cultural
camme
la
libb-ation
tardive
des
parcelles
lors
d’une
%.~cessian
WA les
retards
dans
le -Ixavail
du sol
;
- ctiux 5.1 és à la main d” oeuvre
: par exemple
la pbr-iode
optimale
de r*t-piquage
qtti calncide
avec la rkalte
du riz
qui néceççi te une main
- la disponibilité
des intrant-
rcrmme leç çem~ntes,
etc..,
Les parceiles
qui ont Bté repiquPes
tardivement
c’est-a-dire
au-de-
l& de
la
premii&re
semaine
de décembre
canstituent
43 % de l’échantillon
tu-
r*
1
ta1
avec
W-I rendWfiErtt
moyen
de 2932
kgiha.
Ce rendement
E-çt tr&s
faible
si
nnn ccrnstitue
un échec
par
rapport
aux
rendemmts
enregistrés
en gbnéral
dan%
1 a tculture
de Ta tcimate.
Deux itinéraires
techniques
ant
I-t.& identi-
Si&c; dans
cette
catPgcwie.
Le critére
de classification
a Bté la superficie
de la
parcelle
cultivée
car
exceptiorr
faite
de l’aire
de la
parcelle
il
rt*e-
>:istE
que
des
cas
trPs
marginaux
qui raméner-aient
la classific.atiGn
a des
extr@mes
où la conduite
de la culture
de la
tumate
serait
analys&
parcelle:
par
parce1
1 e.
2.1
- F’EWiTES PARCELLES
SUPERFICIE
--------------‘-----------------,---,-~-----
INFERIEURE k 0 25 I-M
l
Entrtknt
danç
cette
rattsgarie
toutes
les parce1 1 es ayant
UI-~F- s..~per--
fiçitl
inf trieure
à 1,25
ha.
Ces
parcelles
reprBsentent
54 % de 1”effectif
des ;~arcelles
au le r-epiqüage
a PT& effectué
tardivement,
La strperficie
mci-
yenne
est
de 0, 18 ha et l”intervaile
de variation
va de O,lS
ha & 0,21
ha

dans cent itinéraire
avec tu-w moyenne de 8,?8 dans un interval
le de varia-
r&,
l++ NPy le tiCL et les produits
phytasanitaires
représentent
respective-
.,I::::.
itinét-,rire
est t,rP-; irrdicatif
de l'effet
de campensaticw
dans la stratégie
c
quage
-:ruuvent
d/eç campençatians
dans les dcisf-s d'intrarfts
appliquées
1;s~
.
.:’ .:.:-
-.. .:
“------------------------“-~-----------------------------------------“--------------------------------~
t
! SURFME
! ÇEH!XE ! UREE ! HP
! KCL ! PHYTO ! PR~~~~TIUM
1
MYEIHE ! 0.18 i
1.33 i lJ5.00
288.00
4b5.00 !
9.98 !
2026,OO
~~RI~TIU~ ! 0.15 !
0.49 !
O.DO
@.OO
277.00 !
4.76 !
5.00
! a.21 !
3.3; f 2b3.00
476.00
555.00 !
22.22 !
7977.00
CUUT
t
! 1271#.30
! 15?30.00 31bao,oQ 34875.00 ! 14053.70 ! 8301rb.00
1 DU
ET
I
! If.64 ! 14.58
29.00
31.92 !
12.86 !
1
_^--w..-----
.---------------i---_____________^______-”-------------------~----~-------------------------
.
j EWVIIIEWT
TOHATF
=
2664,72
x: DE
IPC
PRUOUCTIOM
=
131
.53
CP
z
109253.50

44.
2*2
- dRqNBES_PflRCELLES
: SUPERFICIE
SUPERIEURE
---------*--1-------__________________I
A 0.23
HA
46 ;$ des parcelles
sh le repiquasJe
a été tardif
ant des wpwfi-
qu-$titP
m#y~@ne
de
çf-mentes
de 0,540
kg est
infPrieure
A celle
utilisée
dans l'itinéraire
précédent.
Ceci se vkrifie
t-galwrent
pour les quantit&s
d'uï*Pe,
de N@ de KCL et de praduits
phytcxanitaires
avec des mayennes
A
lutte
phytasanitaire.
Et dans l’ensemtle
il
a étÉ le seul
CA l’effet
de
prmhxtism
valarisb
GI 41 F CFA,
ant t;ervi
pcJur couvrir
les cuCitç variables
par4,ielç.
Ces
coûts
Ejcfft
répartiç
er-ftrt-
le5 5flmwice5,
l‘urP~.,
le NPi, 1~s KCL
et 1 es praduitç
phytcsçanitaires.
Ils
sartt
respectivement
de
10,
20,
77,
28
et hl % pcrur
up Pquivrtlerrt
total
WI tomate
dt-
1304
kg,
I ---_--.-^----------------------------------------------------------------------------------------------
,
I
I
I
I
!
t
I
I
1
I
t S!JRFt@E i SEHEE)ICE
i UREE
;
ffP
i
KCL
! PHYTU i PRDIMKTIOW i
I -*----_-------
le--,-A---
I--,----me-
1--,,,,,----
1--,--,----,
I-,..,-,-,-,
I ----------
!,-,-n.,,,,,,-
l
I
1
I
I
1
1
I
I
I
i 0.50
i
5.54 I
9D.W
I 178‘00 i 204.00 i
1.% f
3389.00 !
! v~r~ro~
! 0,4p
!
0.23 !
32.00
!
12zi,ou
0.00 !
0.00 !
lbOb*00 !
l
! 0.62
!
U,95 ! 18f.UO ! 250.09
2aa.w !
2.73 !
fs827.00 !
! COUT
t
! 5162.40 ! 1062O.M) ! 19580.00 I 15300,00 ! 3Ob7.40 ! lb3544P‘ao !
!ZiMCT
I
I
9.61 !
lP.77
!
3b.44
28.48 !
5.71 !
I
1
.---me-, ---------------i-------*----------------------------------
1
--------------------I________________
.
EBUIVlltEWT
TOllbTE
:
Z DE LA PRU~CT~~R
=
CP
=

LI
4s.
b
Dans l’ensemble
les itinéraires
techniques
a repiquage
tardif
au-
_
ont extibt?
les rendements
les plus
faibles
(Vair
Figure
Cr et 7). i%x.~~
des
3Gtç p;,s nécessairement
inférieurs.
Ceci peut
s”illustrw
par
la grande
x-réIat
iün pcJsit3ve
errtre
la variable
catégürielle
représentative
de la
-écacit
tt au ncm du repiquage
et
le rendement.
Cette
carr&iatian
positive
>trf;
pr écacitP
et
rendement
a\\&ait
tstrt dans une première
analyse
le premier
-itért-
de claçsiCic&ian
deç
itinéraires
techniques
suivis
danç
la
culture
D-
ANCILYSE
---------
D&Z+ BUDGETS
.-.---c------------c-- DE CULTURE
“Un budgkt
de culture
est le rassemblement
de tcrutes
leç damées
‘.
.::.: . y.
:anomi CIL~S portant
sur
la canduite
d’une
culture
sur
une
parcelle
bit-n
C’
-&Ci&&
et pendant
une campagne.
Un budget
de cul turt-
est
1 imité
dans
If-
*
?tnpr; et
dan-s
l’eo;pace”
(Lambrecht
et
al.
J’S36~.
Ces
budgets
peuvent
@tre

aber P4 5ur
la base
des
pratiques
culturali-s
réelles
dES paysans
en hi-
sant
I b-s dw-rrr&es
prcwertant
des
enqu@tes
sur
le terrai
rt c7u d’ autres
pour
i repr&ser&atiw~
des
pratiques
cultufales-
améliwées,
en uti 1 isant
des
.iefficiergtç
synthétiqueç
etiw
hypathétiques
(Crawfurd
t^t
al.
1PB51.
Dans
?tte Étude,
les #onn&es
utilis&w
pour
1ӎlaboratiun
des
budgets
des
: .: : ,y .
:..
.,
.: ..:
il turc
sont
~-;SU&S
des
errqu@tes
E;M~- 1 E terrain
ef f i-ctuées
par
I ’ t-quipe
I

(_-
..“..
--.-
-
--l.l-..,......l

.,_
;
.:
,:.
:.
:
.
.
1
:.
: .
c.
,.
:
:.
.,.

48.
Quatre
niveaux
d’aqgrégation
unt Pt P utilisés
dam
1ӎlaburation
des
budcjets
de cul twe
dans
les z1cxws Lampsar
et Ndamba-Thiaga
;
- If!2 ni veau “parce1
1 et* oh chaque parcelle
dans une çcmce~~jicm
suivie
a f ai lz 1’ ab jet
d’ une
analyse
des caGtE; et des
revenus
;
‘.’
- l& niveau
“ménag~~” pour d&tr;rrrriner
les ccsC?ts support&s
pw
I’uni-
tb du- praductrim
par
excel~enct?
qui danç l’affectation
de EWS trtsmxw-ces
m
vue d’une
prbductian
peut
utiliser
diffhentes
stratdqies
dans
la ccrnduite
des pratiques
culturalec;
sur
les
différentes
parcelles
qui lui
sont al-
lauées.
Ceci .a ét& discute
plus
haut danç la typologie
deç itinéraires
teckmiques
et des pwzsibilités
de cmibinaiçon
des différents
itinéraires
.
qui 5? crf f rai++&
aux pay5ans
3
- 14 ni veau “crmce55i
cm” dans
1s mtlr;ure
tî& la
cmcec>r;ian
représen-
te ‘*> entité
&ciu-&cwmmique
globale
dans
layue21~? les unit&
de productim
“rnêtw~es~” pré:-rwttent
le plus
d’înteractian
les unes des autres
en termes
de
protiuctian
E-t. dts cunsxmmatian
d’une
part
et
de ~auenté
d’autre
part
;
- et, enfin
le niveau
“tcwie’> en vue de 1 ’ abtmt
i un de damées
synkhétiques
‘pcmr
1’ Plabwaticm
des budgets
de cadre
type.
Les budgets
de culture
niveau
parcelle
m-h
fait
I’crbjet
d’une~plu-;
grartdfs
attention
en raiscm
de
leur- représentativité
des
différents
types
d’it,inért\\irec;:
techniques.
Des dif f érencEs
p~uvf-nt
apparagtre
entre
swrme
des
budgetç
d’une
concession
et
budget
d’une
cmc-ession
paur
des
raisons
xi t hméti qtvzcj i sçueç
des arrondi
ssages.
LE nc~~~bre important
de budgets
8-
laborés
dans
le cadre
de cettci
tstude
ne pertcst
par,
une
représentation
en
et
ta-rlate
pcN.M la ZCXE? Richard-Taîl,

49,
6
1 - ~@GET&iE
WL-RIRE
-------------
FC&R LE
-m---3- RIZ
., .
Des bubgets
de culture
automatisés
pour
les
quatre
niveaux
cités
plus
Faut:
ant
ék& ebt,mur;
a l’aide
du logiciel
FARMAP.
Ces budgetç
ne sont
pas
issus
dt)s
tkbileaux
standards
de FARMAP mais
plut9t
des
pcesibilitéç
de
progremmatian
&-Fer-tee
par
la
CRDSSTAPULATION
qui
permet
1 ‘élaboration
de
dans
cette
Ptudh
ccrmpwte
trois
parties
(Vuir
Tableau
15),
- une
&kscription
générale
compwtant
trutr-e
les
numéros
de cunces-
sion
ut
de paucfklie,
1~) rendement
en kilugramme
par
htxtare
et
la
surface
- et
u+3
arfalyse
éçanomique.
s
Clutre
ies
quantith
utilisées
et
leurs
valeurs
manétaires,
srsnt
ê-
*
._
gdleme+-ft
dcfnnhs
les
pwrcentages
représentant
les
rapports
ccslits
spécifi-
. _. _”
: _.:
:.y _.::. :
: _, ., .

TMLEhUlJr ENlPLEM3WET
l---------------------i
---------------*--^-_____________I)_____-------------------------
1
1
i t-x’
I
t
t
t
t
1
!
BELTa:
Ii. SAYE, &-FLEUVE

1
PE CULTURE
fi+UX
: MME TYPE If#)
M!IL 1987
I
l --------------------L----------------------------------------------------------------
1
t
t
t
t
PRIX !VALEUR MME !
i RuaR1WE
! UNITE 1 QWTITE i MITME
!TAIRE IFCW!
f-*----~--------------i--------------
I--..-,-**---
I-,-,,,,,,,
!,-,*---,-,
I,..,,,,..,,-,
1
t
t
t
t
t
t
! P
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1
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t
1
t --me------- I
l
(11 PRPIWIT !3l+T
t
1
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l-.m---,*,,
1
t
fiW.ES
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M%ta-4b-M)
;
I
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4UTRE
EiiGMIS
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ICTPE
! LITRE
!
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t
t w-----*----
t
t
TOTAL 1 MTRqS I!WlE&T!3 i
1
1
1
0
1
1
1
1
1
t---....----
1
1
I
I
t
0
1
I
1
I
I -------^*--
1
t
1
1
l
1
I
1
t
I
t
I
I
1
1
t
i
t
t
1
l
i
!
I
1
I-----,..,,
I
1
13 TDTAL COUT FIXE
;
1
t
1
0
i
?,,,,,,,.,,,,,------------_,,_,-
I-,..,-,,..-,,
1-m--,,.,,,,
l--,-,-,-,-,
I -----------
1
1
(41 COUTS
mup
1
1
1
1
0
i
t
t
‘-------~---------------C--------------”---------------------------------------------------
.
LE5 ccpks
variat3les
n7cmt
pas
fait
1 ‘chjet
d’ttrw
différenciatian

- un prabléme
d G différenciation
au marnent de la collecte
des don-
nées sur les diflférents
intrants
;
b
-- un prablhne
méthodologique
dans 1’Blabaration
des budgets.
En
E?ffet,
une telle2
différenciation
n”a par de “f-ns que si CEE, catégories
font
appara’;:tre
des différences
significatives
dans Ies budgets.
Ceci rr3a pas
4th 1 e Caç pui çque les intrants
fourni 5 par 1 e prsducteur
lui -mEme ~C)RI
valari~;és
A leurs
coûts
d”apportunit&
c’est
à dire
aux coûts
du marché,
fi-
nanci&peement
cela
ne permet
paç de dtsfinir
les rentes
différentieifes
is-
->U~S dis certaineis
pratiques
de production
et stockage
Icomm~ ies ~~rnenc~s1
en vue d’une
utilisatian
ultérieure
dans un procewzus
p2us élabGrP,
En d’au-
tres
tw-meç9
les’ prGduCte&lrs
qui wtt fGUfWi
leurs
propres
5c-mefxts5 dans IE
caç de+ NdGmbG-Th’iagG
ne présenterant
pas de budget
de culture
différents
(a ,::Y ::’
ceux dis paysans
de Lampsar
qui
arJt
acheté
leurs
wsmenter, si dans les deux
*
cas
an prend
le
puix
d’un
kilogramme
de ~;emences
de riz
fi 100 F CFA.
,
L’int&r”t
de 1 ‘a~alyfje
aurait
été de prPsenter
des ccLits
des semw~- -:
c~uj A tYdomba--Thiago
qui seraient
constitués
du prix
de rt-vient
de ces -;emen-
CE-~; de la
campaghe
d’avant
augmentis des frais
de stockage
et autres.
LA
x3-tet&i:~s ferait
reexw-tir
l’oppGrtUnit&
wt nGn de produire
sx?s, propres
~~rnw-~cf~~r>
du moinh du point
de vue de 1’ anal yse fi rranci Pr-e, La di f f &et-ci
a-
:
.:.: .:’
::..:. (. i
.
i^ian rt’a de 5~1s
qu’ert termes
de dispw~ibifit&s
mGnPtaireç
au niveau
des
k?s !3?ffiErlCeS’
des w-~grais
chimiques,
des herbicides,
deç produits
phytutiani-
taires
du travail
du c;ol ; de l’irrigation,
du transpart,
de la main d’oeu-
a--e. DL pair-h de vue de la thbri
i-, un CGit
vari abl e est
le
çulit
de tGUt
Facteur
de prcrdu&ti#n
dont la vari ati#iÎ
dans
~&?ES quanti t&s uti I i s&et pravw-

52.
c&ssificatibn
des
coûts
trPs
arbitraire.
En I‘nccurenc~,
la
préserrce
d’une
mUltitude
de
fXtE?UFS
e>:#qk?fi?~
rend
cette
relatim
incertaine
et ceri
peut
çf- vair
A trjvers
les matrices
des
cwrélatians.
D’autre
part,
certains
fac*
teurs
m@me s’ils
contribuent
A l’obtention
du
produit
final
souhaitP,
leur
II,
car&ztérf-
physique
CIL.\\ leur
forme d” interventian
dans
1 E processus
dft puaduc.
ticfn
rendent
difficile
leur
typulagie.
A ce titre,
l’irrigatian
et 3e trans.
pwt
-;ont
as$ez illustratifs.
L’irrigation
est
l’un
des
facteurç
fandamentaux
de la riziculture
I <I’
irriguée
et if y a un minimum
incompressible
dans la quantité
d’eau
B appor-
ter
A 1 a Pla?te.
Tcrutefois,
les pr&lPmes
de gestion
de ce facteur
de pra-
ductilsn
sont tels
qu’il
est impossible
=i l’état
actuel.
de
dbterminer
fa
.&:
quantitb
exa$te
apportée
à la parcelle,
Ceci est dG principalement
au fait
que la gestidn
de
l’eau
dans CE~ périmètres
se fait
callectivement
et les
c~Ci-ts sent vrpritilk
au prorata
des
superficies
irriguées
et nori des quanti-
tés d’Eau
rétillement
utilisées.
Cela ~CI~E- un prubl
ème dans 1 ‘analyse
de
l”edficience
.de l’irrigatiwr.
De j&me,
1~ transport
des
intrants
et des entrants
~OSE LG pratlb-
me 3j~ catégurisatian
et T”~E)
permet
pas l’ana’Syse
des
gains
diffbrentie3s
pcru~fant exister
dU
fait
des
positilrns
géqraphiques
des lieux
d’origine
et
ii
-,,a
dtt &zséinatich
puisque
1 a tarif
i cati an sfi fait
au voyage
et non & la quanti-
ti? .,:ransportte.
Il arrive
que
la tarification
surit faite
également
au temps
col :! ecte
des
données.
En gris5
Deaucrwp
de t&ts,
dtc fait
de leur
y@çtioTr
c-01: ective
L?U de la
forme
d’interventian
des
intrants
qu’ils
supportent,
sunI. trPs
difficiles
A imputer
A une catk$x-ie
cx..i d une autre
à muinç
de
crSz:r une rubrique
intermbdiaire
qui considérerait
certains
colts
ne tcrm-
bat-31 pas nécessairement
dans la définiticrn
citée
plus
haut.

SS.
F
Cette
di~cusçi~n
rewêt
une grande
impart~nce
si l’un
se çait
que
9
l’inte~sificatio~f
rtze5t
pas seulement
l’apport
toujrsurs
plus
important
::,;,:
jpintra.nts
ni l’augmentation
de 3”intensité
rulturale
mais
attssi
la
mini-
recherche
de l‘optimum
doit
être
pris
en cansidératian
vu 1~s prcibltomes
de
Finan~PmE?nt que pc3se la pruductiarJ.
les analyses
ont surtout
permis
la détermination
du GénPfice
net
3ar hcrmme-jaur
ek le prix
de revient
du kilagramme
de paddy.
ta catégorie
Ihtte
kypottr&se
k?rjt discutable
mais n”est
pas directement
Ifa soucis
majeur
Je cette
sectima
Le revenu
brut
csbtenu dans cette
étude n’est
pas la multi-
.:..:
i: :; .
~lication
entre
la qbwJtit&
produite
et urt prix
de kiltsgramme
de paddy maiç .-=:‘...‘.
tes reverxtç
r4ellement
tirés
de 1 a prudttction
et communiqués
par les praduc-
*
ta.ws
lcsrci
des
epqu@tes
menées
çur
le
terrain.
CES reventiç
sw&
exclusifs
ï
\\.. _..
Se cew
qui ont pu dPccx.tler
de 3”utilisation
de la paille
dE: riz,
du -;sn et
2’ur-e glus
grandp
valorisation
du riz
décortiqué,
Ce5 rf-v.fs3~ts n’ont
pas étP
>ei-,
ttr compte
g$xw
la
çeule
raison
qu’ils
J~‘i3rJt
pas
&t& abtenus
lors
de la
Gu niveaU
parce1 le,
le c#Yt mcryerr du ki logramme
de paddy à Ndombo
.:: .::.:.:..
l-ie dar 5 wJ
largi!
éventail
avec un minimum
de X),13
et
un maximum
de 119,X5
= CFA, Si un arrandissage
eçt fait
au chiffre
supBrieur
pcxtr
1~ coût
,de ra-
hent
~:a>:
i mal
du ki lagramme
de paddy,
il
restera
taujours
45 F CFA pcxtr
SU~-
SQY ter
1 es zu:>ts de décorticage
et de trarJf?qmrt
pcrur
1 a transf wmati
!zitÏ du
9Lxm9lat
i a-l
"
En d’autres
termes,
IF~ ccrcit
i%axiflJal
dt- production
du riz
paddy
3ans 1~ 5 périmPtres
autanomnes
de Ndcîmbci-Thi ago est errcwe
de loin
irtf P-

54.
@tre tir&
du !wn dt-coulant
de la transfwm+3tion.
11 est A ncrtiw qu’8 certains
de ces cuGts de production
du paddy
peuvw&
ccwrespandre
:Iles marges nettes
A 1 ‘hectare
ntsqatives,
Ceci mmtrce
trPs
hien
.a/
le raractére
multidimensionnel
que peut rev@tir
une analyse
des coûts
et
deç revenus
C$WIS les p&rimPtres
irrigués.
Du point
de vue de la gestion
fi-
nanri ére,
un revenu
r-et négatif
peut C-b-e dissuasif
pour 1 a pourçui te de
l’entreprise
A ce niveau
d’analyse.
Du point
de vue &can~mique,
ce rt-yenu
net
n7etz&
parr; nécessairement
disc;uasif
au vu des
prix
du riz
blanc
et des
.d
&
eff,etl;
d”entrainement
çur
les autres
secteurs
de l’écwt~mie.
Enfin
du point
de *rue de la Sisciété
en général
les r&sultats
C)btenus
peuvent
Stre
incita-
tifs
paur
la prsurçuite
de I’affart
entrftprics
et des sacrifices
csnstrrrtis
et
e.
i-“’
dans fes dt-ux
derniers
cas,
le revenu
net n’est
plus
un critère
de jugement
e
En fqit,
mê‘me du point
de vue de l’analyse
financiére,
ce coYt de
pr-cxkctii3n
du kilcjgramme
de paddy dcjit
i-tre
ransidk-é
cjc~us plusieurs
an-
qleç.
En e-i: f &t s u11 suivi
des
temps
de travaux
a Eri:hib&
pour
une
ff&me
opéra-
tîan
et d lPfbctare,
des variations
extr@mement
grandes
au point
que CES
sui dis ne çE3i;tt plus
fait5
par l’équipe.
Ceci. vari atisns
-icrnt dues & deux
çhasf--; difficilement
contrGlables
: 1 a ccrl lette
deç dcrnnt3es
sur
la base de
,T&.
la
capacité
C$E sx.~venante
des
paysans
et d’autre
part
des diff k-entes
per-
mi 5 pçrur acr~mpiir
unir certaine
<-spératicin,
A ce titre,
une parcelle
de 0,50


55.
le dérwticage
si la production
duit
être
transfarmée
WI riz
blanc
valar3sP
+
à Id,65 f’ CFA le kilogramme.
11 est
courant
que
le
décorticage
soit
FayP
avec
‘. .’
le çcm résiduel
et donc & une quantité
déterminée
de paddy correspondra
la
*
valeur
du riz
blanc
cbtertu
sans un autre
coût
additisnnel
et donc a un kilo-
gramme de paddy produit
au cuGt de 96,77,
cwrespandra
1. kg x Q,&
x ,I&5 F
3Fk = : (r7,25 F Ca=A pcxw un taux
drs! transfarmation
de 65 %. En d3autres
ter-
liinecj,
1 kg dt- paady obtenu
à ?7,77
F CFA danne
630
g de riz
blanc
qui
serait
7evfimti
aci paysan
107,25
F &F!A s’il
devait
aller
acheter
cette
m+he
quantité
au marr:hP.
Ceci correspond
d unt- économie
de plus
de l& F CF& ptsur
chaque
kifogçcimme
de ri% blanc
que le paysarf aurait
pu acheter
au marchk.
Dans un <ecund temps,
5i
le paddy n’tsst
pas utiiisé
prsur
:. .
: .- .: :. ::.
3‘actt#{.10fi~~)mmati01~
et qu”urre partie
soit
stockées 2~ des fins
dt- production
ultériuure,
le pgeducteur
qui aura abtenu
un cc& t d!s praducticin
du kilo-
gramme de paddy de 96~~77 F CFA se verra
avec une marge de 3,23 F CFA pcsur
c
*.. _._
périmétreo
devra
I%re
dfLSttgrm:,nP çur la base du ccrût d”appartunité.
11 est d nater
que
84 % des
effeçt:.fc;
de l’échantillan
total
prPsentent
un ccr”t de prfiductiwi
du kilo-
gramme de paddy inférieur
B 5% F CFA.
78 % üßt tm Ci-cCit inf Prieur
c3u égal a
70 F CFA et 48 % ont un cr‘Ut inférieur
d 50 F CFA le ki logramme.
Dans cha-
: -3 . .
..:‘.
y::. .<
turf de tes cas,
1 s kart
entre
le cat?t du paddy et 1 a valeur
de 1 a semence
“““
ç>accri:Gt
avec la diminution
du c&t
du kilogramme
de paddy permettarIt
une
t-entab:. lit&
pvc~pwtiannelle
puur-
uns prcsducticsn
&I des fins
de stockage
et
A CEIUSE des tr&s
faibles
diff Prenceç
entre
~ES diff tsrents
types
de
&ructwe
des c&its
et r~?vwx~ç rits SE fera
que sur 1 a base du budget
de ca-
dre tyf~e ubtiimu pour la zcrne. Ur1+2 limite
par- rapport
41 cette
apprcrche
e5t
w

Dans l’analyse
des ruCits de pvaductiun,
le5
C#iits
vari
ables
ont
fait
l’objet
d’urtt? différenciation
entre
calots var-iablrss
directs
et c&ts
variables
indirects.
Les caCitç variables
directs
sant
les cdits
variables
çarreçpandank
aux intrantç
qui présentent
urie fwme
physique
facilement
variables
indirects
carrespwtdent
les autres
intrants
qui rt~ smtt
cansid&--
~-.&s ni tcxtm~ intrartts
directs
ni cmme çat?ts fixes
et scmt principalement
le travail
du ~31, I”irrigation,
le trartrpar-t,
la mairt
dFc<m,~vre,
etç,.;
Les colrts
variables
directs
constituent
47, .
T4 % des caGts variables
tütattx
et ‘S7,17 % des eçrtits tataux.
Ces caCits
variables
directs
ICVD) t;ar&
t-t.+partiç
entie
les caUtç deç st-mx-tces,
de l’urPe,
de l’herbicide
et du NP
qui représen~ertt
respectivement
t\\7,iO
%? Xi,8
XF 5,3 % et 1,l
% du CVD
(Vair
Grapt-ti- 81. Une r &ducti art de ces cc&ts
r-t’est
envi sayeabl e que dans 1 lu
ca&-e d’une
Etude pluridisciplinaire
pcsur des recommandations
agranomiques
qui prendront
en ccmsidératim-t
1 2wtvircm-temwtt
darts lequel
ces systkrtes
de
pra.:Iuctiûr-t
;volm3-tt,
Plus
expliciteaent,
il
a été eanstatts
que les praduc-
tews
peuvent
avair
éendancie 21 sur-utiliser
certains
de ces intrants
sartç
tw-tir
compte du fait
que les relations
entre
EEB irttuartts
et 1~s rendement
ne :;artt pas rtkesçairement
I inéai res et peuvertt
mhe
accuser
urtf: dimi nutiart
du ~nendemertt marginal
avec des apports
de plus
WI plus
impm-tants.
Les CaGtç irtdirects
se prRer&
davantage
aux impératifs
de mirtimi-
çat GÏI dis. cüûtç,
LE caractke
souvent
roll ectif
de la gestiart
des services
cm-i,espandartt
St ces caCits peut rendre
dibf ici 1~ uTte tentative
d’uti
1 isation
crpt.. ma3 e de CES servi ces et donc de 1 a réducti
m-t des coûts
eürfcifmtxi ttantr;,
Néarmtainr,
df-s am&liaratiarts
p+x~vent être
appartbes
dans la gestiart
de
3 ’ t-r’m dans ce& périt%Ptres.
te cdit
de 1’ irri
yation
représente
m-t tmyenna
-JpJ
i ?:1 X des caGts variableç
indirects
iC’L’I1.
Ce cdit
eçt E>:C~US~ f de 1 3 amw--
ti si+a-ïtent du grüupc
mGtûpGmpe IGMP) , te travai
1 dtt 501 fi’ af3scwbe
qu’urre
.

.L

,: .
.
. :
. .:::- .
.
:
_.
&
v
.
.-
.
,.. .
.

faible
porti&~
des
coûts
EIWX
4,2
% des
CV1 ~2t 2,2
% du caût
total
. . La ca-
técorie
de CV1 la plus
indiquée
pcw-
opPrer
une
réduction
de caiit
reste
le
CC&~; de la
m$irr
d"ueuvre
qui
est
aussi
le
plus
importarrt
dans
la
structure
des
coûts
variables.
Ce caût
est
de 5&,9
% des
&VI
et
de 29,7
% du CC);~ trs-
tal"‘ICTl
[Vuir
Graphe
9).
L'k~aiyse
des
temps
de travaux
montre
que
1~ par-
dieiinage
cckntre
les.
c3issxwx
grarïivce-ws,
la récolte
et les apérati0155
~wst--
récsltes
cun$tituent
le gruç des ttesiriins
en main
dzc3euirre.
Salutionner
ces
prsslPmes
c’sst
tiqalement
rbduire
les
ccrûtç
de fagcm
considérable.
Les
ciAit
fixés
représentent
30,13
% de5
CT et
ç~mprtznnent
l'amUr-
tis:jement
du.GMP,
celui
du tracteur
et de ses. ctléments,
celui
des
battwses
E-tC I Le type'de
gestion
appliqué
au niveau
deç
intendances
deo
grcwpementç
n”a paç permi!s une spkificatian
par
type de matgriel.
L’intendant
calcule
I'a~wtissem~nt
tata1
i-t
transmet
A chaque
utilisateur
le mtsnt+nt
global
der;
fi-ais
d'jmw-tisserrrent
qu’il
doit.
CE3 mantant
est
ertsuite
ventilé
sur
les
parcelles
au prorata
des
superficies..
Ceci rend
trPs
di+ficile
une esti-
mat.,cjn des çcKits r-éels de l'irrigxkian
et de l’utilisation
du matériel
agri-
Pcar t de
18 F CFA net
par
kg pour
riimunérw-
les
tzffûrts
de la
main
d'fi~uvrfs
fam3liaie.
Dal-i5
le
ça5
de
1 a tomate
la distinction
qui a Pté faite
sur
la
de F rodueticjn.
car- pcrur 1~5 “repi quayes
tardif
5” r certaint5
praducteurs
rirrt

f
r””
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_I-“-”
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tc-r,d VE~-Ç l’infini.
Le type dts r-aisanriemertt
appl i qut) à Ta production
dm riz
ne
peut
8trtz
repris
pcrur
la
tomate
paur
la 5impIe
raisfin
qua
CEI~E-C~
est
r-4 .que cc3mwe tif-te perte.
Le
revenu
r-et
par
homme--jour
est
w-t
moyexw-te
de 16
3.36 F CFA avi-c un minimum
nPgati f de 2 541 F CFA et un max i mwt de 81 099 F
CFA, Ce t-evenu net maximal
r~‘tist
pas
considéré
exemplaire
car
wt
sait
que
le rendement
21 1 ‘hectare
peut
a1 ler
CIL\\ del& de 40 trsnnes.
La mame différenciation
des ca;its
variables
est
faite
et les ccrûts
c-es!
dt3
l’urP~,
du
NP, du KCL et des produits
phytusanitaires
qui sartt r-es-
1’ er g-ai
5 chi
mi que constitue
SI,39
% du caût total
f-t 82,&3 % des coiits
va-
riat.fes
directs.
Les semences
et les produits
phytosani
tair-es
ne censti -
tuerat que 8,011 % des cc&ts
tataux
soit
17,32 Y! des caGts variables
directs.

w-4 P4
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J
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I
i
._.
.
..I
.
. :

tian
de l’eau
devra
être
étudîbtl
de façcrn plus
approfondie
en vue dZune
re-
commandation
pour
M-IF- gestian
plw
efficiente.
Cependant,
la
plus
grande
r&
duckian
dans cette
CatPgurit-
pcrrtt-
sur les cclCits de la main-dSwx.~vr-e
qui
peu i/ent
avai si ner lez,
35
% du ccKit
tatal,
Ceci p+3t 542 faire
en prPsentant
de-, i tir&-aires
nécessi tar-& mains dis main d'oeuvre
que
ceux
pr Psentl-s
plus
hauk.. TautefcG çs le sui vi des tt-mpc; de travaux
a mwftrt
ici
aussi
que
m@me
types
trP5
PEevPs.
tués des amortissements
du groupe
mcrtcrpampe,
du
tracteur
et
ser;
t51éments
EtzC"I"
Cc(mmtrs püur
le
riz,
3a spécialisatian
n’a pac; été faite
ce qui r-end
imp,.xsçitile
=t ce niveau
l’all~catian
A chaque matkiel
des frais
d”amartisse-
ment
qui lui +-evi wwent.
.-r
- QNAtYEjE
CWIPAREE
DES COUTS DE PRC)DUCTIUN
DES DEUX SPECULATIONS
. ,:b
-_-_--------------------
---------------------~---~~-~~~~
:
En tekmes
mw-tétaireç,
et
en termes
relatifs,
les
cG2t-i
variatlec;
Cet: est’ prin~cipa3ement
dû aux appwtc;
importants
en i-ngrais
chimiqueci
pour
la
i:t3mate aù leç
cCfGt!s
de ces
ifttr-ants
ont pt-~sque
doublé
par
rappürt
&
LE?U> du riz.
'Les
cüuts
fixes
par
Cc3ntre
5.cnt
sup6rieur5
pcrur
1~ riz
et ceci
pcrut
CE dernier.
Ces
caùts
çcmt
de 2,5
sup&t-iew-c.
pour
1~ riz.
l’incid~-nce

,--w---w---
-*“es---------
---w--
1-e-..-.-..--,--
l,..,,,,,-,,,-,
I
t
t
1
RIZ
! T#!ATE
i
~~~~
i
*"L-----s* .,ms-
c-a.-I-*---L-*
l..,---,--,w.,,..,,
t,..,,,,,,,,,,,
I
t
I
I
c&!Ts
ç
I
114 148
I
127 a53
1
GDUTS
FEES
I
49 218
!
19 278 !
cws mm
!
lh3 3bb
! 137 f31 !
#wE
t
159 11s
! 176 375 . I
lwx
I
il9 900
! 157097 !
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I
1 %3
I
3 LS2 !
Bu WITJU rgi
I
.
iC8.15 1
f37.95 !
5 ORElIT
I
53 a95
!
i-4 453
!
SUIQHtfçTS
i
60 253
!
59100 !
1 243 2#
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82
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1-w,,,,,,-..,- t
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RATIO
BATAT TBTAL
I
z
121
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I
a
37.17 !
Ml.43 i
I#&umT5
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36.49 !
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02.92 !
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I
30.53 !
17.08 !
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l----..---*------, le--,---,
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RhTI[I REW& Du IwRGEl$ TOTAL i
z
i
z
I
--------___-----__---_-"-*^--_^__
1,,-----.-..,-,,-
t-,--*,-,,
I
REVEM RMT
I
173.39 i
206.77 !
M&E RVTE
I
103.52 !
57.97 !
tS&E WETTE
1
73.39
.
I
51*$3 ! t
,I------"--~"--------------i---------------------"--------------------'
:.
.::.:
:...
;:.
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::... ._ :,
Tmttes
les marges abterwea
dans la culture
du rit
sont
inférieures~“““‘~’
(et-~ val EU~ absolue)
A celles
cmstatées
dans I a culture
dts 1a twnate.
Le
-apport
de5
marges nette5
par hammP-jüur
eritre
le riz
et la tomate
qui est
:~Ile
C!E la
tomate.
En effet,
paur
Uft rE?venu
brut
supéric-ur,
la
tomate
?:~hibe aussi
un mût
total
inférieur
A telui
du riz
i-n mcjyenrte.

fixes
ccsmme bientiünné
plus
haut
<Voir
Graphe
III.
DPt$rminer
Ies
caC&s
rPePs
de l”irrigation
dam
3~5
pPrimPtres
au-
différenciaticm
nette
efitre
ce% diffkenteti
catégcrries
de CC&~.
En fait.
.
les dmnées
Qbtenueç
en matiére
de çcrGts d”irriqaticm
n’mt
fait
rcssartir
dans la majorité
des cas que leç cGts
de I’Pnergie
utilisée
et
de 1”huile
+%.A niveau
des intendances
le5
différents
taux d’amortissement
du
GMP et
du mat &riel
acy-i cale
s.mt
le5 mêmeç taux appl i qu&s
a 1 a SGED.
Or ce-;
icm du matérii-1
agricole.

:
;.
..”
.: _.
..,:
Ic
-
n
::.;:.
-.
.
. . .

Le budget
de cul turc
prsur 1 a zwe,
représentatif
du budget
de ca-
dre
type
donniE
tomme
csgt
moyen
de l’irrigatian
pour
la
zc~ne Ndcmbo-Thiaga
si+
des
amart,içsements
du GMF qui
wnt
çamptabîlisés
dans
1~
caiits
fixes.
Le ~ourcentaqe
de ce caUt
par
rapport
au caùt total
est de 14,11
Z et
dts
par
J-ETtarE!
C!aris
l’échantillan
des
parcelles
5ui vi es avec un coût mi ni ma3
de :I 821
F CFA t-t
un coût
maximal
de 37 382
F CFA,
Le rapport
de ce çuût
ccii3s
d’irrigation
et 23 045 F CFA pour
le budget
type.
La matrice
des cor-
rP1~-~tiunç
mo-hre
une grande
carr&laticsr-I
pcrsitive
entre
crrrtitç variab’ies
de
I’irrigatiw3
et les cütits
fixes
tütau,:
qui9 cümme 31 a été -icJuliq-i8
plus
k-faut
9
renfet-ment
aussi
des
tltsments
de colts
fixes
püur
le matériel
agrico-
le c ümme 1~ Wacteur
et
533~ Pl &ments,
Cette
cwrélation
de 0,58tj
mctntreque
les
taux
d’ amw-ti
ssement
sut-h
r Pei lement
1 i PS au fonctiannement
du GMF en
ternes
de nombre dThew-e
d’utilisation.
Malheureusement,
les
dcsrrnbi-s
r-c--
LUE~ 11 i ES TIE dcrnrtent
pas
1 E ncmbre
d’ heures
t-Pei 1 errent
nécessaires
pour
tf3.w
s
Ces dccnnées
au niveau
yraupemertt
indiqueraient
lcr quantiti-
tatale

I
: ,:
::.,
..
. . ..I
.,:,._: . . :
... ‘:

LE grand pPrimPtre
de Lampcjar aménage le long de la rivi&re
dant
1’ hi vernage.
Le drainaye
du périmPtr
e est ae;sur& par trois
-;tatianri
de
p13mpage éf f)c tri que au55i I LE- colt
muyen d’aménagement
par bectar-f,s est d’en-
Les pay-ianç
y sofit
organisés
en 10 coopératives
et en 110 troupe-
mer ts dt- producteurs
encadr&c;
A raison
d’un ertcadrwr
par grçsup~i
de 13 grou
penlents.
II y a une i rttendance
parut- 1’ apprwi
riannement
des prsducteurs
en
in2rants
agràcr?les.
Ut-t service
de génie
civil
assure
la maintenance
des ré-
-;~~ALIX d’irrigation
et de drainage.
Il exi -te
i-galement
wi parc tracteurs
pow
la préparaticgn
du sol
La !%ED gérait
ausçi
Ia fil i Pre de commercia-
l

.- TYPO@KXE DES ITINERAIRES
TECHNIQUES
-_------------------______1_____1_1___
DU RIZ
Une premiPre
çlassifieation
a Pté
O~&F&
s..w
33
base de la surface

69.
*
le çemenc85”
Cette
cwrélaticm
nt?gative
t-zntre çe~enceç
et super-fit-ie
de m@- ,,_
:.,. ;: f
us? que
celle
négative
aussi
Ezntre rie83ef-1~~5 et la variable
catPqoriei3e
re-
ritisentartt
la superficie
indiquent
que plus
1~3 superficie
augmente
plus
la
quantité
de semw~es
appliquée
a 1”hertare
diminue.
1.008
-4.454
1.444
4,48
-a&
1.444
4.4b-4
4.4&
4.4%
1,086
-a%
4483
4,324
4,157
1,444
:: .; : :
: :..
4,w
4.434
4.797
4.224
4sw9
lA#
4,42&
4.337
4.547
4.w
4.4%
4.515
l.ooo
J
Grieflz
reprksentant
la quantitk
d‘urk
~VEX 3a valeur
“1”
pcrur
les
quanti-
te trtDisi&me
critPre
de classification
est la quantité
de NP appli-

jacte en faveur
de5
grandes
superficies.
CWi
peut I-trtz dCi a la plus
grande
dPpendance
des producteurs
21 1’ Pgard~
de
la
SAED pm.w
Lamp!a-
et
que
eel le--
ci fcmrni~saht
les intrants
a crédit
et-t vue d’un
paiemw-rt
a la récolte
ne
ter-mes,
les producteurs
mttent
les quantitk
nécessaires
car les in-
-”
Enf!in
ni
les
prùduits
phytasanitaiues
ni
1~25 quantités
d”herbicide
uti3isés
nScmt
fait
1’Gbjet
de triter-e
dc? rlassificatiun.
Cela
est
dG &
fet;r” faible
niveau
d’utilisation
dans les parcelles
constituant
Iӎchantil-
çtr ucture
des coûts
ce qui sera
di scut Pe dan-; 1’ anal yae des budgets
de cul-
tur E.
Au tcital
sept
C71 itinéraires
techniques
cent été identifies
dans
1’6.chantillm
choisi
dans le grand périmÈtre
de Lampsar,
Four 1~s grandes
I - ~~)~~XPTIfB
DES ITINERAIRES
SUIVIS
DANS
_______-------------------------------------------------
LES GRANDES PERCELLES
Cette
catéguri
e regrcsupe
57 % de l’effectif
tc-ta1
de
lӎchantillon
mcJ) ik?kÏ püw
la catégorie
de 4 153 kgiha.
Trais
itinéraires
techniques
ont

32 % dfis parcelies
dans cette
cat&gorie
ont béftPfiçiP
de min+
de
appli q.~éec, varient
de 9iLI kg 21 171 kg avec w-te moyenne de 123 kg 3 I”hpctare
I:Q dFur~te
,3 l’hectare
tçrfllffte
engrais
de couverture,
Le5
dcrseç
appliqu&es
va-
,.
rient
i++ntre
&S kg a I”hecta;t-e
et
143
kg.
X1 est
B rmter
que
50 X des
ef f ec-
0
tifs
ccjrreqxmdant
2 cet itinéraire
ont appïi qué le r, mEmeç quantit&s
d’urée
.‘-
E?S~ de 4133 kg et également
inférieur
au r-endement
mcryer~ de I’échantill~,
-----------.---------------c-----------------------------------------------
1
! WMCE
i SEISUICE !
BP
! UREE ! F~~Tl~
1
___-_--,.-^-.-- !..-” es..--- i-----
I---..-----..
l--,,,,-,,,
!-,,,,,..,,,,
r
MYEHNE
i i.b3
i 123.00 i 101.00 i 1~3,OO i
3510.00 !
VARIATIQ~ ! 1‘00
!
8LOO !
62.M !
b6.00 !
2k3Q.00 !
* 2.44
!
171.00 ! 163.00 !
143.00 !
43b5.40 !
C!al1
I
! 12300,oo ! 1111OIoo ! 13334,QO ! 2983xLOO !
z DU CT
1
!
33AJ !
30.24 !
31.29 !
I
.
I
.__________ ___------------*------------------------------”-----“-----------
; EQUl~~~T PADBY
=
432.28
4 IIE LB FR~~~~~
=
j2.32
CP
=
367;3.00

Le cotit
partiel
dans
cet
itinéraire
ec;t de SC> 733 F CFA et il car--
respond
au coût
tata1
des
intrants
utilisiés
dans
la
typologie.
Ce cc&t
r-e-
3.2.
: UREE ÇUPERiEURE
A iS0
KG ET
--------------------L___________________---------------- INFERIEURE
DU EGALE A 200
KG
Les: parcelles
qui tombent
dans
cette
saus-catégorie
repréçentent
42 % des grartds
parce1
leç avec ure wperficie
mcryrnne de 1,57
ha variant
entre
1 ha et
X,34
ha.
Les
quantiths
de SP~EIXES
dans
cet
itinkraire
sont
vallE:
de is(s’ a 200
kg.
Malgré
WI apport
plus
important
er! intrant-;
chimi-
ql.tes,
le
rendement
est
encwe
infPrieur
au rendement
de
la
catégwie
des,
-pc=-
TCWKECHI
19 ITIHERAIRE TEWWiE ZONE
LWSAR RIZ
SNWICIE >I=1 ha 157 I)
AFPtICkTIOlL IWEE > 13 K§ ET /( 200 K6 142 XI
!---, ______________---------------------*------------*----------------------
I
l
! SUR;%E ! SE#EIICE !
#P
!
UREE ! PRDI)UCTI#i i
I-..- ----"---r
!----A----
I
.______-_-_ !-,,,,-,*,,
1-m,--,-,
!..-,..,,,-----
1
i ~~~~~E
I ;.$
!
f31.00 I
iOb*QO i
lf9.05
i
3920,OO !
! ~~~~IU~
i 1,qo
!
111.00 !
33.55 !
fbO.OO !
2438.05 !
1
! 2,34
!
184.50 !
Ib5.00 !
200.00 !
4365.05 !
! CDU
I
! 1300.55
! ~fbb&O# ! 21122.55 ! 333200.55 t
!%OVCT
i
t
28.55 !
25.41 !
4b.04 !
I
l
t
'----.-----------------------------------------------------------------------
'

“,
74,
XRii
TEISIIZOIE
UNE
UIIIPSW
RIZ
TCIE
>/l = (57 2)
autre
w!EE > 2%u
Ii% ut4 L)
t”,,,I”-c------------L-------------------------------------------------“------
I
t
I
I
I
l
l
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ISUR~RCE!SEIIEIIEE~ )Ip IWE
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I,,,,,,*,,-,
I
I
t
I
t
I
l
I
.i IMRRE
i 1.h
i 139.00 I 104.00 J 264sUU
i 53zT.M)
i
! ~~i~TruR t t,bo
! 12u.uu ! 855.00
! 214.uu ! 393z.M) !
I
! f.nJ
!
lb2.UU !
135.00 ! 322.05 !
3111,uu !
! CiNf
l
! 13poo,uu ! 11144.00 ! 31f52,00 ! 45511wo
!
! x Bil CT
i
I
24.61 !
20.25 !
SS*14 !
l
t
1
.“---.
--_--------_--------____________________-----------------------------
-
“?’
2-
DESC&IPTION
DES ITINERAIRES
SUIVIS
DAMS
_____1__1--------1--_------------------------------------------- LES PETITES PCSRCELLEÇ
43 % de, effectifs
de lӎchantillw-~
utilisé
sw-,t des parce3fles

.“._
._.”
-.<.
-
._._.
..-
_.._“._.“.
-.
i
r’ .-.
.
.
.

_.
..y..
fi

des grandes
parcelles
-qui est de 4158 kg. CisIte
catPgcwie
fait
l’rsbjet
d’u:w
autre
classificatian
sur la base
de l’applicatian
CI~ non de NP
dans le5
parcelles.
Enfin,
un troisième
niveau
de sélectim
est opPr&
çur
a base
dle la quantité
d+tw&e uti3isPe.
2.1,
: p?‘S D”APPLICATIQFJ
-------------
DE
-----Me- W.
Le5 parcelles
qui n’cifit
pas bbnéficié
de NP reprÉsentent
5\\P %
de t”effectif
deâ petites
paurell+zs.
Le rendement
muyen y est df- 2749
kg,%a * qui eçt i nf éri em- au rendement
pciur la cattgwie.
Une trcGsiPmf3
cl a;i;çi fi cati bn peut I?k-e obtenue
sxw la base des quantités
d”ttr&
app3i-:
A cet effet,
deux itinkuaires
techni ques cmt &tP identi
f i és sui -
&
varf i que 3a quantité
d’urPe
utilisée
est inf&rieure
cm çupit-rieure
2 150
I:gt%aer.
56 X des pareelles
qui n’ant
pas LénPficiP
d’snqrais
de fasnd
(NP: tr?wtt
pas é-)alement
bPnPficiP
de la qumtlt&
d’wPe
recammandée.

77.
t
t
‘w---I_
c------------------------------.
------f
=
2ik4.E
z
:
11,s
;(y
z
24fU.M
tant
d:” irltraRts,
cet ItinPraire
eçt le mcrirîs avmcé,
: ‘..
Entrent
dans cette
catégorie
des petites
parcellss
44 % de I ‘e+-
,ri”..-‘:

78.
diff-&tsnts
types
d’engrais
pour les
différents
types
de pratique
culturaie
d0i ylent jouer
un r8le
nun rthgligeable
tant
au niveau
des techrti queç drs
prmktct i Drî qu’ au niveau de la structure
des cci”ts
de productian.
En effet,
cela pourrait jouer en faveur d’une! application
plus
grande
des engrais
qui
tmtte
chuse étant
éc~a3e par ail leurs.
II
n’est
PC<S difficile
de percevsir
la .grande
préfPrence
des pra-
duci-.eurs
pour 1’wrPe
dans la culture
du riz
et la perception
pcdtive
des
proAux t eur 5 sur les bienfaits
de 1’urBe
sur fa production.
En fait,
les
gr&ïdt?s
rurr8lations
errtre
urée et rendement
sont révélatrices
de cet Ptat.
L?eix~rais
de fond n’est
pas trt?s utilis&
chez les pradurteurs.
En effet
des
~asxwes
éventuelles
des diyuettes
entre
leç parcelles
cmstituent
WI ris-
mw LU-I Investissement
en engrais
de f and IWI
qui dissoute
dans l’eau
sft &r~ait
drain&
dans la parcelle
d’autrui.
LE résultat
est que beaucmp
de xoducteuk!s
n‘en mettent
pas (NPI cx.k alcrrs
lorsqu’ils
utilisent
du NF
c’est
sous for-me d’engrais
de cauverture.
Un #ait
important
6x5-t A çoulever
dans le cadre
de ncm application
d’e-iqrai
s de fund dans ces deux itintkaires
et c’est
l’appwtenante
de
toutes te5
percelleç
aux parcelles
cûllectlves.
Le statut
de CES parce1 les
et
. cw made’dr;
gestiarr
particulike
(elles
cmt étP les seules
dans l’échan-
til
n &t ne ias bt?néf irier
de NF1 les di f f Prencient
des autres
partel
les.
La ;auesti cm 21 pcrser est dt- çavai r si c’est
le caractére
callfxtif
de l’en-

. _________
“..___--------
---_*------“---^----------.
525.29
17.16
P=
1465a’èo
2,2.1*
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33WlE i
i
j----------------------------------------------------------------------j


4x5.
x
crnt çw-vi
pwr
faire
la typcslcrgie
des itinérairas
ttichniques
pouvant
Btre
‘......’
SUiVi5
dam
la riziculture
irric)ué(e
dans le Delta,
1~ budget
au niveau
de
Ia tcml-,
lui,
permet
d’awir
un tableau
synoptique
de Ici structure
des in-
trantc
et des cbtits
carrespondants
pwr
toute
la t~)ne. k la Itmi b-e des Iti -
nérair-es
t~ctini Ques idy&i
f i éc+ grace
aux budg&s
“parce1 le”
1 ‘un pwt
d&ter-
miner
fe budget
mc3yw-i pcw- WI ménage qui dans= 1 ‘util
isatian
de sec; recisc)ur-
ceç pc;;it reccrurir
d une multitude
de camtrinaisons
de ces itinhraires
en vue
nalyse
du campurti-ment
du producteur
par rapport
aux difftsrentc;
itinéraires
n’est
xsç directement
examinPt-
dans le cadre dfs cette
Etude mSme si de-l bud- :. .:
,. _: .<
get-; aitamatisé~4
“niveau
ménage” unt étt4 prézientés
erï annexe.
Les budgets

s.
gets ni.veau inPnag~ mais aussi
ptzuvent
servir
d’intermbdiaire
entre
leri tud-
.
et i E :mdget ni veau zone q...i sert
de cadre type
et qui prctçfsnte
une- structu-
née,
La m&r~e différenciatian
des c#Uts
variables
en cçiûts
variables
di-
,.. .:,.-
‘,: T.‘.
rects
!A c&its
variables
indirects
est reconduite
avant
l’analyse
en termes
-’
de coû-: r; totaux . Les c&tç
variables
directs
tC~JD> ptxw
I;a Z~~SE Lampsar
smt
ctmçtitui-s
dtis coUts des sementeç,
de I’urée,
du NF, des herbicides
tst
des prudtrits
phytusanitaires.
Ces ÇVD représentent
XZ,4f;
% du cüGt variable
tGtal*
11s xv-tt cansti tués de 27, Z % paw- 1 isi ~jemenc~s de 433’ 7 X pour
i ‘UT&!
dt! 23,5 % pcjur 1e NF, de 61~8 7: paur- 1’ herbi ci de et de 2,i
% pwr
1-s prclduits
phytosanitaires.
Les prapar-tians
prises
par les cc&ts
de
l’hef-bicide
et d&s produits
phytasanitaires
devierrnent
encore
plus
faibles

.
...s’-‘-.-
t
_,.._.__.”
_
_
.
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___,_.._..._
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I
.-_...
-
_...._-_
c
.
..i

Brs.
i
Les co$ts
variables
indirects
(WI1
reprPsentent
(54,78 % des caUts
I ’
:,:
variables
tataux
et sont fwacés
des c#iXs
du travail
du saf pmw- 22 Xr des
coûts
tJ'irri@Aun
puur 42 %r des euûts
de la main-d’oeuvre
r&munérée
pcrur
33,s % et des autres
cuûts
(trartspwts
etc. S ) paur 2,5 X. f)anf; cet ensemble
de mûks,
31-s ctiûts
de 3”irrigatiwr
wcupent
la plus
grande
partion.
Cet-i
est imacrrtant
ldWsq~‘tm
sait
que ces caûts
d’irrigation
pt-uvent
Btre crsnçi-
Ce caC;t variable
indir-ect
qui reprttsente
l’imigatiûn
est égal & 2fj 19 % du
ccrüt t 9tal
cv- i-’ est un fo-ût “fixe”
pmr
le paysan
si la dé+initim
des
.; . .:._
. _;
cuûts
-tait
app3iqurSe
3 la lettre
t-t cela
diiiiinuerait
d’autant
le cCrGt va-
riable
tckal
et ‘augmmterait
de fait
la rémun&-atim
du capital
qui est
It-
rappor ‘:: entre
la marge brute
et 362 cc&t variable.
itrnir
Figure
Ifil
.
Tauti- rPduction
des çeGts de prcsductian
devra
tenir
compte de la
sp&cif
cit&
de chaque type de coûts
variables.
Les C’JD tsbtenus
dans tette
trants
dwmés.
kmc
toute
réduction
& ce niveau
doit
se faire
par rapport
aux css;i;ts de cession
des intrants
utili5és
à mciins qu’urf
chancprrrerft
tflczh-
,.: .: :.
gwaduc”: i cm ilqale
m sup#ri cure.
r)#nt
seu3s les coûts
variables
indirects
peuvei-f-
faire
1’ objet
d’une
analyse
par rappar-t
auj: abjectifs
de réductiisn
i)eÇ
CU;itS.
Ces '
tcrGts cc-mme ifidiqués
plus
haut
renfcsrment
certains
&léments
taux fi XE~ pour un hectare
à la S+iED. Ces deux derniers
tata1 isant
64 X des
ZVl #h 41745 : 4 des cdXs
tataux
safrt
incompressibles,
Seuls
les 36 % reç-
.
tarit df5 CV7 çancerrtant
principalement
la main d”mxIvre
fseuvt-nt
faire
l’objet
d’une
FPYisian
à la bai~~fr.
Cette
baisse
des ro<its
de la main

"
I
t
_

qumt 9 tcxttts r&h~ti
un des colts
dfr la main d’ C~E)LWYE devra passer
néceççai-
r-ttmrnt prtr Iyintruduction
d’itinéraires
nécessitant
mcrirrs de main d7~euvr~
itaute
chüçe étdrtt
égale
par ai33wr5~
I Comme i 3 a &tk scju3 igr!P dans 3e
si-tapit-e
pr&c4dcPnt,
le gardiennage
et les #p&ratians
pmt-rPçslte
absxwbt-nt
L~E quantité
cofisid-érable
de la mairi d~~tatvr~
cJiçpwit33e
donc çolutianner
d p &TlGr- ‘:: 1
’ sçt-ment except i un faite
du petit
mat Pri e3 d’ e(tit i 13 age pisur 3 es peti -
tes op.?rations
cultur-aleç
i-(-fmr~r~
le désherbage,
En fait 7 if I-E- serait
pas
pusiti
x-r des xcrGtç f acturh
aux pajeans.
Crs coûts
d’irrigation
et du tra--
rendus
ies tas-ifs
prati quPç au niveau
du Dei t a pour l’irrigatian
duivent
ccwpseiîdu-E. ~tüut cxi partie
des f r-ai “, d’amortissement
des statii-ns
de
puifipag’:.” Si te3 n’est
püç le ca5 dans 3e De3 ta üit 1 a hauteur
maricimét r i q~t+z
*

far.:tew-s
qui
influent
B la baisse
des colts!,
afcirs
urJe
rentabilité
des
C#i'atç tres éievkk
Il est du reste
ais& de comprendre
des c&tç
faibles

09.
0
x)arrs 1~ cadre
de cette
étude ss.tles
les composantes
du caGt: total
peuvent
Être
faites
prtt.w déterminer
le-c; ct~rmgc-rn~ntc; d;bns ce ratiu
A l’aide
te c&t
de pradwtitxt
moyen du I:i l~~~rsrnme de paddy dans 1’ échantil-
1 cm cor-sidéré
est de Skif 33 F CFG avec W-I minimum
de L5,38 F CFG et uri maxi-
mm de 52, 23 F tiFA. CE. cüGt mf;yen est exclusif
de certains
frais
sxtppwti-ç
FCtF-
153
ti%m.
A titre
illustratif
L;i les services
facturks
aux producteurs
fant
1’ ch jet
d” me çthverttiun
de 1 a part
de 1 ‘Etat
!csr qui est le eaç et ex- “‘.
Il y cr une grande
similitude
entre
ce ça;T;t moyen et le coYt rrfayen
rJt*terrtJ pau la ~~SIED pt<ur les charges
directes
et qui est de 74,88
F CFA/kq
jtrl,P+tt im-s de Dagana 2t 74,45 F CF&, L’afialyc;e
qui a PtP faite
dans IE- chapi-

CH@PfIRE-LY
1 COMPARAISON
------------------------- ENTRE
LES ZClN&
RICHARl3-TELL
-------------------__e_l
ET LAMPSAR
L’analyse
camparbe
entre
les deux types
de p&imPtre
a pcrur pain-
ci~al
chjectif
d e mettre
en exergue
cw-taines
disparités
pcwvant
exiçter
entre
t3cw du fait
des différences
otsçervéee
dans les types
de gestion.
6-1
effet,
leç différences
entre
la geçticm
paysanne
dans les pkimétres
autcr-
norws de NdmkmlThiag~
et I a gestim
SGED du grand périmÈtre
de tampt>ar
peuvent
rmduire
r( des pratiques
culturales
diffdrentes,
des structures
de
diff &rentes,
de5 perfarmances
differentes
et enfin
des retcsmti&eE; -~CV-
ci cr-éccsnûmi qwes di f f k-m-k++,
Les pr~ducteucs
dans les grands
périm&tres
ont t7éndficié
pendant
empç d’un envirannement
artificiel
tenu f-t maintenu
gr3ce
à des TA.,&-
ven$ians
impartantes
de 1 ‘Etat.
Si 3435 raiscms
socicr-pcjli
tiques
sant tau-
j c)ws évi dentes
pûur expliquer-
un te3. fait,
le5 cantraintes
f inansi
Pr-f25 et
de ,sroducteuFs
dtfi ni ssent
eu ):-mi-me-. lw.~re‘ bt-çoif12. en ii-tfants,
entretien-

tri- de impsar.
DES difftrencw
dan-; les pratiqutis
cu3turales
snt bté éga-
di ff &t-ené. Ainsi J dans f’échantillw
ransidéré
d iampsar
la dose moyenne

l--,,,.---,,,,,-,,,,----------------------------------------”------------
I
1
i
I
l
I
REMtRwJS
i R~~-T~L
i LA#WR
i
!,,,-,.i,---,--,-,--i,---------
---*-
I,--,,---..
I,,,,,-,,,--
I
I
t
t
l
t
0.75
1
3.98
!
t
0.33
!
1.03
!
t
3662.00
!
4043.00 !
I
198.00
!
t29,3o
!
t
257.48
!
143,311 !
I
t
5.54
!
100.62 !
I
t
5.15
!
2‘00
!
t
0.00
!
1.32
!
I
a.77
!
47.87
!
I
t
a1,93
!
73.ab
!
t
! 283266,OO ! 334934.00 !
t
t . 119900.00
! ~ammo
!
l
!
114148,OO ! 142146,OO !
t
492fiLOO
!
2932.06
!
t
! 1633bb.00
! 145078,OO !
I
f4L3.44
!
2570.413 !
t
48.59
!
35.88
!
t
42,31
!
21.92
!
t
‘56.70
!
b3.b5
!
t
148.16
!
135.63 !
I
1

..Thiaga,
Cette
grande
différence
5’ej:plique
par le fait
que l’utilisa-

t
prPcPdwîts,
le,
dutifz
impwtantes
d’ur-&e
~3 Thia-jt-r et l’inexistence
d’en-
grais
:$E fond peuvent
TStre & l’origine
d’un phénam&ne de rompertsation
sa-
n3ent I ‘intrrxluctiw~
des prix
relatifs
deEs. wtcy-ai~j devient
un facteur
expl i-
Çi dan-; les dw..tx types
de périmétre
i 1 y a EU uti 3 i sati OI-I de d&
Dans I’érhantillon
tir&
dans; les pPrimPtres
de Ndwnbu/Thiaga,
les prc?&..tç-
teur-5. n’ont
pas utiliçh
de prrtduits
phytusanitaiees
pc(ur le riz
cantraire-

par’
zcmttl
* Tûutes
ces di ff értsricws dat-rti les dwses d’ 1 r-itrantr
appl i quéeç se
t-ei-‘fPtent
suc’ ,la ~tructur-e
des çaUt5.
-E
2-z
- ANALYSE CWAREE
‘---<---‘--..s’c---”
I$@ COUTS DE PRCIDUCTIDN
---------------------
Si k-t moyenrtt: les parts
des hauts
variables
direct-;
par rapport
au
rec ts par contre
pasç~rnt presque
du siirrple
au dt-utle
de Thiag~
& tampsar

i
1
-
kW-
.-..
_.-
.+
_._........___._-
_
.._.
$
--..
<
-.-....+.-
-...
---..
.._..
.<.
+-..‘-~--Jr~~
.
..-.-.
-
.
..-..
..<...
_I>’
,a’
c
::

plc.8 tot
et &I une Pyalité
des cuGts pour des quantités
différentes
d”un
bien
doit
n&cessairement
cwrespmdre
WE diffbrente
dans le-
prix
de
Ndc@&ar)Thi ago que dafis la ZDI-te de Lampsar
du mc(ins par rappw-t
aux dmn&es
qui ont Pt& recuei Ilier,,
ii.
Enfin
1 eç cciiits
tcltaux
pottr la campagne 35/36
surit de llL‘3 366 F
CFA a Thiaqo
en moyl-nnt- et de 145 079 F CFA à Lamp!%w,
La diffPrfmce
entre
cc&ts
s’explique
d travers
les différences
dan5 les pratiques
culturafes.
1’
semble
des çcGts
variables
qldi, d&fini-;
par rapport
au rcGt total
&
taspsar g représentent
7S, 67 X en cümparaism
aux cüCitrr vari abl er; 21 Lafftpsar
qui
sant
Cie P;z,PE3 5:. La différence
entre
97,93
% rt 73,&7 % par rapport
a~\\
i-aUt tcrtal
d Lampsar constitue
des &l &mentc; de cctCitr; fixes
& Richard-T&1
s pcîur faire
face aux charges
d’amortissements
plu-; Elevée-;.
Ceci a une
il%plieatiürf
directe
prrur
la pulitique
dts crédit
agricole.
c- ANALYSE COMPMEE DES
--------------------__p_________ PERFUMANÇES

famîlî;llE
ivu'air Graphique 17). Néarl#H3ins, la part dis la production
venckre
et -:CL! i~yant 5wvî
au remhwrsewent
des dettes
s.w les intrantç
est infirrieu-
taujows
i3,42 X de la praductian
qui auraient
dU servir
à cauvri~
les
ïc&tç ZJE prüdurticm
et qui ne l"ont
pas été par rappart
r3ui: donnÉes recueil-
juctîür’.
Autrement dit 5 i 1 reste une port i GB ncrn uti 1 i s& de f a prcrducti cm

.-
.
..-..-..
I .-.......-<
i
-__
.
..-..._-
/
-
---.
l-
“1

--L...--..-.-.~---
^_._
*-----
--
J
e
L

d Thiagcr par rapport
A lampsar
peut s’expliquer
par 3a taille
de 3a famille
Plu$
éleva2
=t Thiagçt,
par W-I rendement
moyen
plus
faibles
et
par-
de
1 :
En moyenne,
Ia
marge
nette
i+ f’h+xtarf-
est
inférieur-t-
& Thiaqcr
kit37 du capital
est supPriaure
a Thiayü
avec 148 h cüfttre
135 ‘y, a Lampsar.
f-el 3 eçt dG au fait
que les LUGES variatiles
safrt
inf&riw..trs
d Thiciycj.
Par
camkre,
3 e revenu
i-et
par
hamme-jour
f ami 1 i al est
supér
i eur
23 tampsar
àwx

Cette
analyse
tumparP~
des caGts de p-rtrtducticm
du riz
irrigué
et
de la tuinate
entre
le grand périn&tris
dt- Lacyjsar
à gestion
contr0iée
par
gesticn
paysanne
ne peut prétendre
c1 l’exhaustivité
dans le cadre
d’un mé-
cp3-we J”exercice
et certains5
vices
liPF; aux d.unTiée5 cal 1 ert Pe5 const i tuerit
kisrw
axPes 53.w la rmuvelle
pcilitique
agricale.
Les dcm-iées calleet&eç
pot--
des exploitatimvs
utilisant
I ‘apprciche
systémique,
L’inventaire
deç dif fP--
i-i-nts
~Farteurç
&çcsnumi queç,
agrnnami queç,
sucia-culturel5
etc. mm rie prxwait

inmt d’ autrP5.
D’ autre part y les résultats
tir-k,
de l’échantillcm
utiliçé
dans

1 r Gtçti vi te
pt-uductive.
Le dbsengagement
de 1 ‘Etat
par ut-e responsatiliça-
t
le.
Lis résultats
ahtenus
dans cette
étude ne plaiderit
pas pcrur W-I tel
prLxhi=t
i cm.
Eiî effet,
le périmPtre
de Lampsw
a eu des rendements
msyens SU~&-
P i
5 pwr
des çcGt5
müyer~s inférieurs.
Cela peut ç‘expl
i quer en partie
d
tr;:i*ver-;
l’envir~~~~~~ent
immt2diat
de ce grand pPr-imPtre
qui t-çt situ&
à plru-
.ç & la riziculture,
tes pruduçteurs
du pkimétre
de Lampçar
ant
s..tivi
re de fi riat3cE?s pub3 i queç.

â
teile
chuter
Cette
dtude
analyserait
les déterminants
principaux
des itiné-
rair
es techniqurzs
les
plus
performants
et
dont
le passage
vers
un autre
type dt^ gestion
minimiserait
les risqws
de baisse
de productivité
tuut
en
aaintelant
Ies acquis
de la gestion
paysanne
en matiare
d”autmcmie
et de
respmsabi
1 isatim
payfzi.amte.
Pu point
de vue du financement
de l’activité
productive,
le passa-
I~achat
des 3.ntrmts,
çwulatiwment
les cctûts fixes
vtsnt augmenter
du fait
de la nrJse en charge
par les groupemer~ts
des
frais
d'amortissement
pcxw fe
renauvalfement
du @atériel
ayricale
et des stations
de pcmgage.
Ces deux ty-
gxz-; dtr ~haryes
agissent
difféummmt
sur I‘açtivité
productive.
Si les pre-
-
mi éres carjsti tuent
wi rtsel
l3esr;ai i-t 33-f financement
d cwrt
terme,
les
secors-
.,
)-$E pas
i-tre
trtç
sensibilisPs
par rappwt
att pr-chl&me
des amartissements
du
pensée par une uswe
supérieure
du mat&riEl
agriça3e
et cela
va nécessiter
d~~t-,~a~:lremt-nt des praducteurs
npBrant
dans 1 es péri métres
CI qeçti tin payçan-
i-je. En fait-
l’adctption
dtj ow-tains
types
d’itinh-aires
techrriquec;
E;oulPve
ie prahi&me
de I’efficiençe
dans
l’utilisation
des ressm,.wç~s
car l’appli-
*

prwni ET- 1 ieu donner
des crsnsei IL-~ sur
les
prati
ques
culturales
mer<êec;
dans
çubstitws-
E5 la
ÇF;Efr dans
la
prise
W-I compte
des
ri squeç
d’ entrepr
i -IE J%d 5
qui
sont
d‘m-dr-e
climatique,
agrWlG&ï~CjLG?, ei-~tciffml agi que et r;ari o-écwfc3mi
-
‘C I,
Cette
étude n’a pas directement
adressé
le
prabléme
de l’apprwi-

E-
KFjiCOMPIJU\\CDAffNS
FV3.H UN PRZffrRMHE
---_--------------__l________l________-------
ULTERIEUR
DE RECHERCHES

pa!:çat-d-if: précwi
SC? par- NFA. Cette
prise
en dompte
se fer-a 22 travers
des
Ptk<dec; plus Eipprûfsndi
ES sur Idunt
certaines
wwt
W-S cm-w-c;> leç dPtermi-
nar~tç das itinéraires
techniques,
les plus
perfwmants
et sur la prçsbltirr~a-
“&f ,“.
ti que de 3 eiir intjet-tim
optimale
dans tu-c autre
type
de yesticm
technique-
mer<t mcsins performante
mais qui a 1 ‘avantage
d’évoluer
danç un urrivers
qui
TiE suit
pars artificiellement
entreterru.
LE désengagement
veut
dire
aussi
dépbrisçement
des sçrciétés
de
dP.\\,,el oppement
et donc transfert
de certaines
de leurs
responsabilités
aux
pi-igducteurs
~ulraux et au secteur
privé.
Ceci devra
SE- traduire
par UT) remu-
de3aye des circuits,
de distributiun
des intrantç
et des services,
,Cela
va
ni!? siter
ut-e étude sur la distribution
et sur I ‘util
iratian
des intrants
et 1 orry terme-i
et SUT 1eç circuits
officiels
et para3lPles
de I’affr-tr
di;

1 - Mit
k5saciater;
Juc
: 223EGkL
C;GRICULTURAL
FDLIW
Ç&ALYGIS
SeptemGer
1984.
Aqricultural
Fûlicy
Analysis
Frcsject,
U!3.UID.
3 -’ IÇRA
* DEPARTEMENT
DE RECHERCHES
SUR LES SYSTEMES
DE FRClDUCTIfiN
ET
LE TR#NSFERT
DE TECHNOLOGIE
EN MILIEU
RURCIL
: Rechi-rchc~
SUP- lt-ç
fyçt&mrc;
de Pr-csducti
an H-I Basse
CasamançE-.
Rappwt
Annuel
d’AçitivïtP5
13~2.
fil - ISRA - CRA DE SGINT
LDUIS.
DEPARTEMENT
DE RECHERCHES
SUR LE5
S’fSTEMES
DE FRODUCTIDN
ET LES TRANSFERTS
DE TECHNDLOGIE
EN
MILIEU
RUR&L
: Rapport
annuel
15%X5 du programme
de rezher-ches
5UF
lt3ç
systémes
de producti
c‘n du Del ta
du Fleuve
Sénégal
I
Jui 1 let
1386.

13 - MARTIN F., FREDERIC : Arraly~;~ de 3 a çituatiort
a1 iEtEntaire
au
SPrrégal . Evalutian
de 1974 a 19B3 et perspective.
1%36
14 - Metzeic c. Jeffreÿ
: THE INJEGRATIDN 13F IRRIGATED AGRfCULtURE
IMTD TRAD3CTIaPdAL
FAf% SYSTEHS 1% THE UPFER RIVER VALLEY : A
LfNEAR FRCM3WWING ANALYSIS CH= ERBK3MIC VARIABLES fN FARM
W;rUEWCTIuN,
A PM. D THESIS PRESENTED TO THE FACULTY OF THE FLETCHER SCHOLL OF
LH AND DIFLUP2XY. Pledfçtrd, Pkss xhsetts.
Fett. 1985,
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des ÇPrtales
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Rhgiwt du Flruviz SPnPyal. ISRA/3&P$E - CRA de Saint-Louis
-
Juillet
1985.
!%RF?IS L, FfIWEAL : Le Marché Dfficiel
des Ch-Pales dans la
Valiite du FIeuvt- Sénégal.
IsRk/EAME. CRA de Saint-Louis
- Acrut
1985.
17 - NEWAN ri., CRAHFCRD E., FAYE 3. : Drlentatianç
et Prcrgramc-s de
Rwd-iercheç Matra-Ecrmamiques
s..w le Sythe
Acjrci-Alimentaire
SPnégalair.
fSRA - BAME - DC
1%34*
19 - FERRANENT INTERSTATE COMMITTEE FOR DRtrWT CONTROL IN THE SAHEL.
Club du SahelKILSS
: DEVELDPW
DF IRRIEATED A"RICULTURE IN
SENEGAL. E&nt;ra1 Uvwview
and F~ticipect~s, - Frapmxlç
Far A Secsnd
Frcsgrae
2980 - 1985. UCTUBER 1979.
19 - SAED : Etude du caGt de prcxhctim
du paddy SUY- les p&rim&trer
ir-riguéç
de la VallBc- du Fleuve SénPgal et de la Falémé.
ICaffipagne agriccde
1984;m).
NaveRhre l?S5


ITINEWXRES
TECHMIQUES
RIZ
RICHARD-f[4LL
24 PARCELLES
I
1
_____cII___-__--I__-------------------------------------------------------.
1
1
I
1
I
1
GRANDES
PARCELLES
i
PETfTES
PARCELLES
f
I
1
48 %
1
52 %
1
1
1
1
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ci de
1
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cl=
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_---l__-----.._--l---___I__
1
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1
t
1
1
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I
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1
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1
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1
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t
1
t
t
.__r,__1___1__--_----------------------------------------------------------.
ITI#ERAZRES
TECHNIRUES
TOIVHSTE RfCHWD-TaL
30 PARCELLES
1 ----
___________-_____---_____1_________1_1__------------------------------
1
I
1
1
1
REF’IQL;AûE
FRECDCE
1
.
REPIlZJAGE
TARDIF
i
1
57 %
1
43%
.
1
1 ---” ._~____------___---_l_____________l____-----------
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1
1
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ÇGNS PHk’Tfi
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AVEC PHYTD
1
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SURF ;’
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I
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-.--1-1.----.-.--------.-----“-------.--------------------~---.”
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--.....-
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ITINERAIRES
TEMfQCIES
RI-Z L-SAR,
54 PARÇELLES
I,,,---,,..,,------------
---^--m?-
--I_------------------------
m--*----m
4
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1
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PETITES PlliaxuES ( f HA
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MEC M’ L1 X
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1
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1
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UREE
:
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1,,------,,,
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1
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I
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i
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291
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321
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I
I
1
I
I
1
I
i
.C___l^r,__“____L___________---------------------------------------------------------------------.
.
.:.:
:,:
. .

E. CRAWFORD,
IÇRA/BAME
UDGET JJE CULTURE:
CADRE TYPE,
PAR HECTARE
AOUT 1785
=-=-==-1====I===========================~=~~~~~~~~==~~~~~~~~=======~=~~=~~~=
i
i
!
PRIX
I Vcw_EW
f4ciNE-
1
LlBRXQUI:,,
I
UhlITE
:QUANTITE
:UNITAIRE
: TAIRE
IFCFA)
:
------.----------------------I------------~---------~---------~
.-.-.-----.“.---““-(
_*
RODUCT 1 ON
:
:
GRAZN
i
!
AUTRE:
f
:
:-------M---v---
:
(11
PRODUIT
BRUT
:
:
~ve..---.-------~
IARGES
VARIABLES
l’#dETAJRES
:
:
SEMENCES
i
:
FUMURE ttR”AN f QUE
ENGRAZS
CHIMIQUE
HERbltXDE/PESTICfDE
EUVRE EXTERIEURE
ANIMALE
EXT.
?%%TIClN
CREDIT
AUTRE:
(2)
TOTAL
C.V.M.
iARGES VARIABLES
NON-MUNET.
SEMENCES
FUMURE ORGANIQUE
MAIN
D”FIEUVRE
FAWILXALE
TRACTION
ANIMALE
FAM.
~‘RA~~RMN
m-iv
‘PAIEMENTS
EN NATURE
(3)
TOTAL
C.V.N.
iARGES FI XE5
AMORTlSSEMENT
COUT DU CAF’ITAL
AUTRE:
(4)
TOTAL
C.F.
I----r~--,--,,,,------------------------------------------’
,-----c---------s;
3UTS VARIABLES
TOTAUX
12+31
i
:
IUTS TOTAUX
( B-31-4 1
I
I
I
,
I=====-----======--==-===~=~~=~~~~~~~~~~~===~=~~~~=----------------------“------ ----_------------1----------

UDGET DE CULTURE
? ANALYSE
paye
2.
======-==========-========--
: PAR HA.
:PAR WI+JOUR TOTAL
:
;---------;
---+--------------;
ARE
BRUTE
iMfrME-iAIRE~
41-21:
!
3
ARGE J%WE
TaTALE
fl-Z-31
:
1
i
hR”E NETTE
t l-Z-3-4
f
:
t
1
:
______CI----LIII-lI-_-------.-------------
; ---.a..?....-- --....-----.,.---
:
FIUX DE REHUNERATICBI
I
x (a)
:
EW
NET DE LA M.d’Q.
FAHILZALE
:
CFA Ibl
!
=====~“----=s=----I-------I-----------------------------
-----....--~-~-I----~-----~-~--..a-....---~---~~~~~....~
la)
{MARGE BRUTE TCITALE
+ FRAI5 DE CREDIT) / CÇSUTÇ
VARIABES TOTAUX
tbl
LE: COUT DE LA M.d’O.
FAMILIALE
N”EST
PAS DEDUIT
ICI
ZCA951TULATIF
DES TEMPS DE ‘?‘RAVAUX
1=-----~-=====2=====3=====--1-
-----
e.---e
I l-tEH+-JQUR : I-KlM-JOUR SALAIRE
: VCU-EURW-
:
:.
ZWtE
EIES TEMPS DE TRAVAUX
:FAMILIAL
IEXTERIEUR
PAR J0UR
f
TAIRE
(CFA)
:
~
---------------------------:-----------~---------
w.m-------;----.....-p
-w.m”--;
<
~~R~C~/~TT~YASE
:
I
f
1
Pfs”EP. E)IJ SOL/LAEG3UR
I
:
t
I
i

Annexe
1.
P . LAMBRECWJ,
I SRA-F1 wve
WDGET 13E CULTURE
IRRIGUEE f CADRE TYPE (/HA)
UCTOBHE
1?85
_________--_--_-----_________1___1___1__---~--------------------------------
.______.-________-1--_______1_1____11____------------------------------------
:
t
:
PRIX
: VALEUR
MOME-
:
iUE(RIQUE
I , UNITE :WA?lTITE :UNITAIRE I TAIRE
(FCFA)
:
e-----e
5-,----,,,,-----------1--1-1-1---------:---------~---------~
---------------;
~RODlJCT XON
I
GRAINS
I
KG
GRAINS
TRANSFORMES
I
MG
PAILLE
I
KG
SON
I
KG
AUJREc
:
:
!ri.$
( 1) PRODUIT
BRUT
: I t
:HARGES VARfAEtLES
MONETAIRES :
SEMENCES
I
KG
FUMU
ORGANIQUE
I
ENGRAE,~ CHIMIWE : UREE
:
KG
CHIMIQUE : 18-46-O I
KG
:
KG
HERBICIDE:
I LITRE
;
f
GMP : ENTRETIEN
f
GMr : CARBURANT
I
TRAVAIL
DU SOL EXT
I
MAIN
D”OEUVRE
EXTERIEURE
:HOM-JOUR
FRAIS DE CREDIT
i
DECORTIQUAOE
I
KG
AUTRE :
f
(2)
TOTAL
C.V.M.
HARGES VARIAHLES
NON-MONET.
f
1
,
KG
:
MAIN
D’OEUVRE
FAMILIALE
IHOM-JOUR
TRACTION
ANIMALE
FAM.
I
DECQRT 1 RUAGE
I
KG
AUTRES PAIEMENTS
EN NATURE
1
(31 TOTAL
C.V.N.
WARGES
FIXES
AMCfRTXSSEMENT
GMP
AMORTiSSEMENT
ERUIPEMENT
COUT ate.! CAPITAL
AUTRE:
(41
TCJTAL C.F.
--I-.-I
.-“--1----------------------------”-----~-I-.
-------------
1
,v-..-..e.--------.--,“..~
WUTS ‘V%%IABLES
TOTAUX
(Z-b31
t
1
OU-l-S
Tt3TAtJX
(B-3+4)
:
I
I

c
UX3ET
DE CULTURE
IRRIGUEE
: ANALYciE
:~=~~~~~~~--
--=-===-l--====2==c------
I PAR HA.
:PAR’ HW-Jm
TOTAL
I
:---------;-----------------,
I
R@$E &RUTE MONETAIRE
(l-2)
I
I
:
$&R@E @?U+l-E TDTt%.efi (l-2-3)
!
I
1
t
$AREE NETTE
( 1-2-3-4~
I
:
:
---------------------------------------,
J-------------------I
‘AUX DE RE~~RAT~~
i
x (a)
f
W,‘ENU NET DE LA M.d’Q.
FAMILIALE
:
CFA (b)
:
c=-I==========I==-==~=~=------===~==~~---r----------------
-----.-
----__-
(a)
(MARGE BRUTE TDTALE
f FRAIS
DE CREZlIT)
/ COUT VARIABLE
TCkTAL
Ib)
LE COUT DE LA M.d’O.
FAMILIALE
N’EST
PAS DEDUIT
ICI
W3W’IfUtATXF
DES TEHF’Ç DE TRAVAUX
.~~---~-~~~-----------~...........~”.e
*?
.----
--..m- . . ..-*m
----_l---“-.------------
: HQM-JIIUH
i-KM~Ji.XkR
: SAl..AIRE
: VALEUR
.MOasJE-
:
I
;iESUME DES TEMPS DE TRAVAUX
:FAMItIAt
EXTERIEURIPAR
JOUR
I
TAIRE
<CFA,
I
“--...--...w .~--------1----1-----_-
;---------
---.----;------...--~
--.-a..--------
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DEFRICHCUSE/NETTQYF
:
I
:
REF’ARATiON
DIGUETTES
f
:
:
TRAVAXL
DU SOL/LABUUR
:
I
:
IRRIIGATIONEi
PRESERMIfWTXDN
SEflIS/REFIQUAGE
GARD IENNAGE
EPAN~
ENGRAIS
AFF’LIC.
tiERBXCXDE/PEST.
SARCLAGE/DESHERBAGE
MAN.
RECOLTE
CONFECTION
MEULES
BATTAGE
VANAGE
MISE EN SACWEMBALLAGE
TRANSPORT
AUTRE:
(6)
TCITAL
T.T.

P.
LAPWRECHT,
ISBA-F1
cuve
BUDGET RE CULTURE
IRRIGUEE
: CADRE TYPE
(/WA)
OCTOBRE
1985
------~,-----------------------------------~--------------------------------~
l_ll___ll_ll------------l-------cLI-----------
-----I-----I---c-----------------
:
:
:
PRIX
! VALEUR
MONE-
t
W)SR 1 a U;
:
UNITE
!QUANTITE
!UNITAIRE
: TAIRE
(FCFA)
I
._-----
*.rew...---....---------“-.-
-e-m.,.--
~--..-----.-.;
~~~~~-~-~~--~~----~~
-....--“----“--.--)
“RODUCT f QN
:
GRAINS
:
KG
3,041
t
82.0
:
249,362
,
GRAINS
TRANSFORMES
:
KG
791
!
165.0
i
130,459
:
PAIL1.E
:
KG
3,649
I
12.5
i
45, hi5
SON
1
KG
912
:
35.0
:
31,931
AUTRE’:
I
I
1,186
:
l&O.C~
t
189,758
:
I
I
~--w-----m-..---
,
-%T!N (11 RRODlJIT
BRUT
: tzt1
I
I
647,125
:
:
ZHARGEEj VARIABLES
MONETAIRES
:
SEZMENCES
:
KG
FUMURE ORSAN I QUE
:
ENGRAIS
CHIMIWE
: UREE
L
I
KG
ENGRAIS
CHIMIQUE
: X8-46-0
:
KG
AUTFGfENSRAIS:
I
KG
HERBiCIDE:
:
LITRE
PESTICIDE:
I
IRRXSATION
EXT
I
Gfw : ENTHETIEN
1
GMP : CARBW1’AN-r
I
TRAVAIL
DU SOL EXT
I
MAIN
D”OEUVKt
EXTERIEURE
: HDM-JOUR
FRAIS
DE CREDIT
!
DECORTIWAGE
f
KG
AUTRE :
I
f
(21 TUTAL
C.V.M.
: (8)
:
IABLES
NON-MONET.
:
t
KG
I
MAIN
D’OEUVRE
FAMILIALE
I HOM-JOUR
TRACTXUN
ANIMALE
FAM.
I
DECORTIQUAGE
I
1
KG
AUTRES PAIEMENTS
EN NATURE
I
:
(31 TOTAL
C.V.N,
: i#)
I
:WARGES F X XES
I
AMORT 1 SSEMENT
GMF
,
,
AMORTISSEMENT
EQUIPEMENT
I
COUT BU CAPITAL
I
AUTRE:
1
i
14)
TOTAL
C.F.
: IL)
-----*-
.-..-m--t.,--“...------..-
---.----------.-..--.
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---I
- ----.
----
-.--_---.--
---:
-
___-.--__._._l.l__
f
UUTS VrlRXAELES
TOTAUX
(L+S)
:
179 fl 33:~
I
OUTG Ta:JTAUX t 2+3+4
1
,
,
1-m #j 5c.m
t
-_____..C_..___ll.. _.------111----.----.-------------------.----------*---------------
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ll-l-.lll.-
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page
2.
3UDSET UE CULTURE
IRRIGUEE
: AfWLYSE
z==.==-
=----I--======-==z==~~~~=~~~
t PAR HA”
:PAR HOM-JOUR
TOTAL
I
:---------I-------------------:
IARGE &F?UTE t%WEl-&IHE
(i-2)
I 479,505
:
2,374
CFA
:
IAREE BRUTE TDTALE
t l--2-3)
I 467,625
I
2,s 15
CFA
1
IARGE hE?-TE
t i -2-3-4
1
: 467,623
;
293 15
CFA
1
_.-- . . ..‘...--_...-“.“---- - L--I--
- e-1-1
- 1-11-w ..-----;
-------------------f
TAUX DE RE
TI0b.l
:
261
% fa)
:
ilEV%hW NET I3E LA M..ds13.
F&f4ILI&LE
f
3,865
CFA (b)
:
x---I-I----------------l----cI---------------------
-.....-----
.-- _l_-p----v------
---------------==========-=
(a)
i MARSE BRUTE TOTALE
f FRATS
DE CREDIT)
f COUT VARIABLE
TOTAL
!b)
LE COUT DE LA M.d”Cl.
FAMILIALE
N”EST
PAS DEDUIT
ICI
tECAF’I?0-ILATIF
DES TE3WS DE TRAVAUX
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:i+W+JO~
:FfolyfsJDLrH3
f SALAIRE
t VALEWI
p4G&E--
:
GZiWME :DES TEWS
DE TRAVAUX
IFAMILXAL
:EXTkRIEUR:PAR
JMH-2
:
TAIRE
(WA.)
1
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---;---------1---------1
“-..-------j-e--“..--
--
:
DEFR I CW/pIEmW
:
:
t
t
0 :
REPARATIW
DTtfQETTES
t
12 :
f
:
0 I
TRAVAIL
DU SOL/LAWW
:
1
:
i
u 1
IRWILIATfQ#S
I
i
I
8 f
I
:
0 i
P~ERMI~T~~
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1 I
t
:
0 I
=SEHIS/REFIQUAGE
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0 :
S~~I~~
:
22
1
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0 1
EP
AGE EN”HAIS
:
c. :
I
I
:
0 :
APPLIC.
HERbICIDE/PEST.
f
f
2 f
SUC~ I
1 ) CKKI :
SARCLAGE/DEçHE
MAN.
1
47
:
25
:
450
!
Ii,233
:
RECOLTE
:
I
3 1 :
:
10,000
:
CONFEiZT 1 ON MEULES
i
12 ;
i
I
0 I
BATTAGE
t
f
23
f
t
35,775
t
VANAG’
!
10 :
I
:
0 I
MISE tN SACS/EMEt&LLAGE
I
-?
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:
:
0 :
TRANSW3RT
1
t
8
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1
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AUTRE:
, 1
I
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I
0 1
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I
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(6)
TOTAL
T.T.
:
121
f
81
1
i
58,025
I
--....---
-...-----
“1======--11--====------------------
------------------
~---------------.-----.--------
.-___
-1----1-------------------------

BMNEXE 1 : BUDGETS DE CULTURE POLIR DIFFERENTS NIVEAUX
D'AGGRECATjON, DIFFERENTES SPECULATIC#S,
DIFFETENTES ZONES :
- NIVEAU PA\\RCELLE
- NIVEAU @NAGE
- NIVEAU C$NCESSloN
-NIVEMZdNE



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ANNEXE 2 : WESTIONNA~RES

IDEEITIFICATION.fl~L'EWIHETIEN
_ FICHE 100
Recensenent
des concessions
I
tu
.-
I
1. CODE DE LA CONCESSION
l I i /OI
Type de fiche
2,WLLAGE
ET QUARTIER I
B . CODE ZONE ET VILLAGE
8. CODE ENQUETEUR
j. HEURE @EUEBUT DE L'ENTRETIEH
a #,fiURE DE LA flY DE L'EWTRETIEB
+ STATUT DU REP6#5AIE7 t'RIRCIPA1
:
B. IRPRESSIO#SSUR
LA COOPERATION OU REPQNDAXT : RETICENCE
POtiCfUALITE
DXSPOHIBIFITE
Code remplissage
8. IMPAESSIOWS DÉ LA FIABILITE OES REPOIISES :
4. M%iRE DE ItENAGES DEPENREWTS (WOIEUL, FBYRE) DAIS LA
tONCESSION (KEUR, GALLE) (OU t@i’tf#E
M
CUISIMES)
LL
* :OHBIEII LIE IfEWtES DE LA CONCESSION ONT PARTICIPE A-L'ERTRETIEN
t
* ÙROUPE SOCIALE fou CASTE) DE LA CONCESSION :
il,
5. Fo4cTxo~
(RESPONSABILITE)
DU CSEF wE imCEssIm
Li.
6. f#DROKT DE L'EITRETIE#
:
7. ND" DU CHEF DE LA CIIWCESSIOW :
8. LIGNAGE fLENOl,GUEwQ);~
Yadabes,
Sonates
:
8. DATE DE L'ENTRETIEN :
?#XE v*)( 3 demander aprés avoir parcouru
le questionnaire
“8” 2i remplir aprh
l’entretien.

NOE DE LA PERSONYE
1
L-----i
!
t
I
1 i 1 ! 1
I
LLLL.i
6.
7.
8.
9. LAIGUES PARLEES
i
i
COURAMEICT
t -1
t0. COMoIEN DE Hi%? D'A&
]
I
SEKE 'ANNUELLE
11.
1-1
ftOTIf DE L'ABSENCI
12. ll3IS DISirOtllt3LE A
PtEfW TEM'S PWR
L'AGRICULTURE
f3.
i
MTIVITES #oW-A&?rCOL
I
FRk~I@JEES ET STATUT
I
l
-7
(3 ~ossibiiith)
i
I
1
f
i
Code activitEs
I
I
non-agricoics
COE DE II\\ c~#.=fisrofi
Dl t I 1 11~/3~01
NON DC LA PLRSONNE
1
1
I
I
i
1
!XDI INDIV!OUELLE
PERHANENCE OU TRAYA!L
TYPI, DE REHUNERAIION
-
-
RElATION
Code
ACT;VI;E
NON AGRIC3LE
NOHBRE DE .%lJR PAR AN
OAIE DE L'ENTRETIEK,

;OMPCSITIOW FABILIALE-ENFANTS
RIMEURS (- 10 ANS} PAR HENAGE - FICHE 110
1. I ODE DE LA CONCESSIOII
0. CWf Of LA COUCESSION
111
1 l I
l
2. !MAGE
I
I
I
t
I
Code
1
j IilljOl I
uu-;
u.L.Li
,lu,l..
1f.x - 4
FILLES
SARÇUUS
1
FTLLES
1
3. REtATIO)I AVEC CHEFDE PA
f GAwB
I
I
I
I------l-------i
CONcESSIûU
I I
f
!
Code
1
l
l-4
4
4
4
Code âge-sexe(aatrinonia1
1
l
‘=l
‘lloloillol
I
8. CGUf DE tA CUUCESSIQN
~4 I I i
I
i
I
1
1
2. %NAGE
i
i
i
i
i
I
Code
j /1/110/
j, jljij0,
1 11/110/
j Il[llO/
fDF = 4
i
GARÇOItS
1
FILLES
GARÇONS
f
FILLES
i
i
I
3. 3ELA:IDN AVEC CHEFDA LA
1
f
1
coucEss10x
+---I-j
Code
--+---/
i
II/
J-4
!-l-i
LI
Code age-sexe/Hatriaonial
1
lWf
tml
0. DATE -JE L"ENTRETiEN :
ut
I
CLLLL
I

6. . :~PI 21 PARCELLE (3 P3RCElLES)
.
i - . -.
-- ---- 1__
I
4. ~3~açtE :0~3.-iwc~t~~~
(HY~XAUL~~~JE)
/
I
i
i- ----
I
/
i
:. CANPAGMS DE CUCTURE
Code parTcell?ire
1. #OH DU #AIIRE i)E CCLTURE
i. FROPRIEIAIRE cif LA PAKELIE
'. IYPE ix CU~RE
--Codes 5 7. 6*ff
. LOCALIS6TIGN PARCELPE (OISTANCE)
. PERIMETRE SAED t SV/GR/CuVET7E
Code périmétre
. SURFACL (Sa)
. GRIGIRE !X L:EAU (plwial,
décrue,
3Prosaqe,
poœpage SAEC, privé, ?XV, pirate...)
I
i
-1
i
I
i.li
! I i I
I I i t
. OUI A.fAl?
t'AI#NAGEt!ENT
01 LA PARCELLE,
I
!
I
i
LE CAS FCHEAIIT
_<I
. . .
I19010UEZ TRAVAIL DU !XL EFFECTUE
t10 1984 ET PAR Qjl
UiIlWiTEOI
U'ftWIS
(GEIRf El
OUA#TlTf-RIZ T@!ATE, OUI/NDY-ASTRES)
PRODUITS TRAITEREWIjttERBICIDE
U?IL!S@
Codes 14, 14, i5-
QUI TRAVlbIllE
tE3 PARCELLE~
Code corposant
Code parcellaire
VARIEIE CJLIIVEE
(84)
Code
PRO8JCTlf.M OBTEHUE
code
SURFACE 0:. LA PARCELLE (ha)
AUTRES SAISûNS DE CULTURE PRATIOUEES
SSE SUR LA PARCELLE
AUTRES CUIIURES, t+E CRS K:%ANT
PROBLEMES REHCDNTRES (voir er; anpere)

PARCELLES NON CULTIVIES OU CULTIVEES EN COLLECIIF AVEC AUTRES COHCESSIORS - FICHE 210 - 230
1. CODE DE LA CONCESSION
Id
1 I I
l'ype de fiche
2. fYPE M PARCELLE (3 PARCELLES)
i
.i
i
3. ~:AMPAGFFES DE CULTURE
I
I
I
i
Iode parcellaire
4. :YPE M CULTURE
::ode
5. PRERIERE M#E DE CULTURE.
5. L5CALISATIOR PARCEILE (casier,
aarigot,.,.)
7. EPURFACE (ha)
8. ORIGIH M L'EAU (pluviale,
d&ruc,
arrosage,
poapage
SAED, privée, PIV, pirate...)
9. BIU: A FAIT L'ARENACERENT DE LA PARCELLE,
If CAS EUIEA#T
10. IWIQUEZ TRAVAIL DU SOL EFFECTUE
EN 1966 ET PAR QUI
11. ~~ri~wr~an
O~EWGRAIS (c;ENRE ET
Q4AHTIfE-RIZ
TORATE, OUi/NON-AUTRES)
12. PWDU1TS lRAiTEWENT/HERRICIDE
UTILISES
“?ç+Codes 11, Il,
12+**
15. Wl FAAWLLE
LES PARCELLES
f4.
t@RE DE PERSONNES (HEffERES) CULTIVAWT
15.
Ccdc composant
Code partiilaire
16,
(84)
Code
17.
Gde
18. DESTINATION PRODUCTION
n. SURFACE DE LA PARCELLE (ha)
19. AUTRES SAISOHS DE CULTURE PRATIQUEES
DAF1S LE PASSE SUR LA PARCELLE
20. AUTRES CULTURES, LE CAS ECHEANT
21, PROBLERES RENCONTRES (Vair
en annexe)
i-
i
i
i
8.

i~EliiI~‘ICAlION
DES fiOVINS, OVINS ET CPFRIW$ - TIC/![ 310
.-,
-
4
Re:ensez+cnt
des concessions
1. 0X-k DE 1A CONCESSION
type, dc fictle
2. GENME D'AXIIIAUX
:
STAUf PHYSIOLOGXQUE
ADULTES (2 ans)
I
JEUNES (2 ans)
i
RALES
1
FEH.
i MIES
l
FEK.
1 2DF i Ir
Code âge-sexe
12
-4 3 0
ll/JjO/
3. !!ODE DE GESTION PAR PERIODE
Code de gestior!
5. NOMBRE
GE TEIES
J t t 1
i-Y
6, OBJECTIF GE PROOUCTIOH
Code objectif
--g--G--a--a
7. NOHBIE DE TROUPEAUX
i-1
J-1
I 1
I
;;:
8. ETHNIE DE L'ELEVEUR
I_- 4 -1
z
J-i
J-4 --
1j-j
.1
10F = 4
9. LIEU DE TRAIJStWANCE
Code lieu
transhumance
*
Type d’inventajrc
*
,’
R. DATE 3E L'ENTRETIEW
PROEtU!ES ELEWAGE
if PARTICIPATIOH ESSAIS - FICHE 260
1. COOE DE IA CONCESSION
ELEVAGE
J
AGRICULTURE
2. CUlIURE
I
OU GE#RE D'ANIRPUX
i
f
l
I
,-n-ri-/-rm/m;
/Ii
f’lGFm4
i
3. PRWEHES CO#FROWTES
.: :
t
>
I
I
/
/
i
I------l
1
I
I
Code problèmes
4. COftHfNT Y REMDIER
7, ~NA~~GE::; ACCEPTABLES (CFA)
ir. INTERESSE EYBOWE
IgTENSfVE (ûlX/YON)
3. COUT AI IHENJS ACCEPTABLE
i;. DATE Df L'EtiTREIIEN
:

$
JEMES
i
I
HALE5
1
FEM.
, aIF i 3
t
3,
-1
i
---A I
1
l
1
i
!
i
t
-1
-1
I
-1
-/
--.
f
1 I
IMNTIFICATION
i)ES MIRES ANIlnAtiX - F:CHE 310
1. CO#E '2: LA CUICESSIGN
2. GENRE D'AWIMAUX
; 1 ] i i
STASE YHYS~CJ~UGI@J~
I
~.W. TES
JEWES
i
RALES
I
FER.
l
HALES
t
L
EN.
I
i
1
2YF = G
Code @e-sexe
3. !IODE 0" r;ES-TIRN PAR PEHlODtj
(PAS i'ilffR VOLAILLE)
t
1
I
i
i
!
Code (te gestion
1
L-IJ
Ii-/
I’/
J+ II
n
3..F e a
4. NUMBRt DE TEIES
l
1 I 1 I
l&.j
l I I ;
1 1 ! j 40F = 26
l
I
I
l
5. OBJECIIF DE PRODUCTION
Code Objectif
I
IJ-)
I
lJq--Tqill
5. WOYBRI OE TROUPEAUX
I-1
$1
L!
‘il
7. ETHXIL DE L"ECEVEUR
I
l.'/
l-l-f
I-4
5. LIEU GE TGANSHUNANCE
1
1
L/
1
Code fieu
de transhumance
f 1
I
i -. ' i
-1
4 I!x * :
?ype G@invc-ntdire
Jsjli
1 i f

PROF!. DL L'EXPLOIIATIGA
A(IHICOlE - 290
ii. CODE i*E LA CDNCiSSION
0. CODE :DNE ET VILLAGE
9. ISOYBRL DE PARCEILES
0, SURFACE TOTALE OES PARCELLES DE L'EXPLOITATIOH
(ha)
8. SURFACE TOTALE CULTIVEE (ha)
5. SURfACf: IOTALE IN JACHERE/NC!i CULTIVEE (ha)
EQUIPEF@ENTS - FICHE 410
8. CGOE EQUIPEMENT
Il[ 1 1 lO]4lliOJ
(jusqu’à 5 entrées Sur milre fiche)
t
, 3ix - 13
1. OBJET
Code
:. DATE O'ACYAT
f. NOMBRE 3'UIIITES
1. PRCPRIE !AIRE
*
lyre
d' :nventaire

5-;1s PS@&fl$ EN ;!O!% - FIC.UE !.!C
-
i.
ELCZ
01 i-4
COKESSION, HFNAYC
I!l t t 1 f6jli3[
PR:luuI T
l
P;:I:LE PQOPPI
1
PAILLF ~r,tiElfc
1
SON ix RIZ
1
l,,'Llylo
LLCIA-
14lsioh
--J-l
! 1 t
Ii
tl
iI1~]!ùF'S
2. MOtEN CL :SbYSPO;IT
--
3. fRalS uE IQENSPORT (CFA)
-Ca+s
3, 2++y
4. QuriNTIlE
5. ORi6INE
6. YAIEUH TOTAlE 3u PWI%
1 1 ; i 1 1 1 i 1
1 I I i I I i !
!
7. QUELS ABIRAUX
!
8. MWL D'EVALdiiTICY
I
9. WM fT LIEI’ 3E j%KAGE
i
I
I
t
B. O&?f: 9E L'tHTRETiEM
fotî i l i 1
*****.********R-************.***********~*******.**********************~.***********~.*******.~~~~**.**~
ACHA1I; CL so:J's-PQoDu~Ts - IIC1E 7%J
5. C@E DC LA CCKESSI3N
2. PWXI T
3. QUELS ANIXAUX
Coco nnirwx
Cote produit
4. NOlrBRE U'ACHSTS
5. $IiAYTi!E
TCT4LE
6. :SQIGIHE
7. VAL:UR TIT1LE i?IJ
8. NOUt PRIE??ENT
5, C0t.G YACEUR/PRfX
.

FICHE DE SUIVI GENERAL DES PARCEi,LES DE RIZ N'l
PLAN ET IRHIciHYiONS
ENQUETEUR
:
VILLAGE :
ADHERE!JT :
CAMPAGNE :
CODE CONCESSION :
CODE PARC2iJtE :
VARIETES :
PERIMETRE :
GROUPEMENT
:
N" PARCELLE SAED :
PLAN DE LA PARCELLE : (Nord, canaux, diguettes,
brains, n' Sous-parccllee,
meswes).
IRRIGATIONS : Imee (Dt5but/Fin),
Remques

INTRANTS,
PRODUCTION E:T AUTOCONSOMMATION - FICHE 700
8. Ca DE LA CONCESSION
1. WEU4GE
2. SPEVULATIOR
3. PAI&%LLE (si culture)
4. ERT~~E~SDRTIEiPR#UIT *
Ci-m
5. DATE
6. W4lITE
INTIWTS,
PRODUCTIONET
AUTOCONSOM~4ATIOk - FICHE 700
,
8. CEE DE LA CWESSION
1
1. YIEMAEE
L /
2. SPECULATION'
I
LU-L 1
3. PARCELLE [si culture)
1 _ll_l...l
I
I
1
4. ERTREE~SORTIE~PRODUIT I
f
CG
f
LLLL J
I
5. D&fE
i
1 I 1 -1
I
6. f+WNTIlE
j
LJ.JJ-u
-i
7. UHITE UTILISEE
u-
-1
8. OR~EIN~/DESTIRATION
I
LL
LIEU
I
: I
9. VALEUR T0TALE.W PRIX(CFA) II
10. HODE DE PAIEMENT
L :/
I
E VALEUR/PRIX
l
t
‘1
J
I .
--meu?Ae-l.d-
.---..
-
- ,_ -.-,. .-&A”.
. . . .-
. __
~‘” _ . .-k..-.
. . .
... .

LSP/I;IRA
PICHE DE SUIVI GENERAL DES PARCELLES DE RIZ N-2
?&PR?
PREPARATION ET IMPLANTATION DE LA CULTURE
ENQUE!kWJR
:
VILLAGE :
ADHERENT :
CAMPAGNE :
CODE DG CONCESSION :
CODE PARCELLE :
VARIETES :
Précédent
culturai
:
grals de
,:tnd
*
Nature
prise du plmage
ti1 :
Id.6
GIC th4or. :
xpage
:
rubation :
Lgine :
ydiennagg au semis
Date début/f in
Lt, natirî, midi, soir?
:eaux :
_1
lange pour Aeeec
113~ en eau
1-s
;atione
110 J,A,S
.e :
--
mrquc 6
:ouleur/Vigueur
I
/
I
I
I
1
-1

INTRANTS, PRODUCTION ET AUTOCONSOMMATION
- FICHE 700
0. CODE OE LA CO#CESSIOW
1. HfNAGE
2. WfCULATiOW
3. PARCELFE (si culture)
4. ~flTREf~SORTlE~PRDOUIT
CUUE
5. OAYE
6. QUANTITE
7. URITE UTILISEE
8. ~~~I~f/~§ïI~ATlON
LIEU
9.
10. VALEUR
Mf
TOTALE
DE
OU PRIX(CFA)i
PAfEHEHT
I
J 1 1.1 1 1 [ i
l-1
1 1 1 1 1 1 1
l-1 1 ilLlllfs
~~
-1
INTRANTS, PRODUCTION ET AUTOCONSOMMATION - FICHE 700
1
I
8. GOQE
M LA CO1ICESFIOti
J&uf
I
I
I
I
1. IEIIAGE
I
t i
2, SPECULATIOR
I
J-J-J-2
3. IJARCfLLE (si wlturt]
4. EWWE~!WIE~PRODUIT
GIDE
5. BATE
6. QUANTITE
I
7. MITE UTIlISEf
I
Il-I
J-u
u
8. ClffIGIfdE/OESTI~ATION
1
1J.J
; 111
II,
LIEU
l
I
t
9, bALEUR TOTALE OU PRIX(CFA) I~I
ULU.~
LLLLLU
10. PODE DE PAIEIIENT
1
1-1
L
I_I
11 a CO5E VALEUR/PRIX
l
t-----
'-1
L.
‘-1
1
t
I
.
t
l
i
l

TlHPS DE IRAVAUX - FICHE 700
I
8. COE OE LA CONCESSION
Iztlll
I
1
I
l
1, WA[iE
2. ~PECUlA~ION
3. PAACELCL (si culture)
4. CATEGORIE
!!AIN-D'OCUVRE I-Z
1
5, GENRE
O'OPERATION
t
COOE
LLJJ
6. DATE
1
LLl
9. TERPS OE TRAVAUX
1
( ~~~ctsonncs x dur&)
1
I
9. RLMNERIITION ESPECESfCFA)
ATIOW IATURE (CFA)
i
CODES
I-ULUl.. l../
1. CODES VAlEUR/PRIX
'IEHPS DE TRAVAUX
- ÇICHE WI
8. CODE DE LA COWCESSION
1. HENAGEg
2. S~ECULAIION
3. PARQLLL (ri cuItura)
. '
4, CATEMRXE HAWO'OEUVRE
5. GENRE D’OPERATIOI
CODE
6. DATE
7. TERS OE IRAWUX
( 14 personnes x du&)
CO&S telnps
8. ORIGI~~/O~SlINATIO~
RAIIOW ESPECES(CFA
10. R~~~~~RATIDN NATURE (CFA
, CODES
11. CODEj YALkR/PRIX
---..-.A'

VILLE.CE :
ADHERENT :
CAriPAGNE :
COSE CONCESSION :
CODE ?ARCELLE
V~U7IETES :
Nudro dee Sous parcelles
--
,Q:r desherbage chinique
r;l'ûdu$t :
q '-,é tt3fXll8.4
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par pul+.
eau :
pxdufti
:
Jw d6aherbage manuel
Outil
Nb gcne, qui
Cible
U~~iiiais&ion :
S?e d&&eFbage manuel
Outil :
Nb .gms, qui
!
CSble :
Utiilestion
:
I
l
-
?e d&Wrbago chiaique
Data
4
:moduit :
qtC: totale :
Stade
cible n*l :
par pufv.
eau :
produit :
t_e2 Engs?aie de couverture
Na.ture :
3e Engr+Pe de couverture
Nature ’
Date
Nsture
Puantlté
,
l
~aitcsmt
phyto
Date
1
t
cible :
--
groduit :
Suantitt!
origine
:
Jfficacitb
I
f
qctation CI 40 J.A.S.
Date :
itodc
3t’marquc
f3 :

INTRANTS,
PRODUCTION ET AUTOCONSOMMATION - FICHE 700
L
8. CODE LIE LA CONCESSION
1. %NAGE
2, SPECULATION
3. PARCELLE
(si culture)
4, ENTR~E,SORTIf,PROOUIT
CODE
5. OATE
6. OUAMTITE
7. UNITE UTILJSEE
8. ORI6~NE~DfSTI~ATION
CIEL
9. VALEUR TOTALE OU
10. HOOE DE PAIEfiENT
11. ÇOOE.
VALEIJRIPRIX
INi=~ms,
PRODUCTION ET AUTOCWSOPIMATION - FICHE 700
.
6. CODE DE LA CONCESSION
1. IIEM&E
2. SPEf2lLATIO#
COU&
5. DAiE
6. OU~NJITE
7. UNlTf UTILISEE
8. 'ORIGIHE~OESTINATION
LIfU
9. VALEUR TOTALE OU PRJX(CFA)
10. MOtlE DE PAIEWENT
11. C0ilE VALE!JR/PRïX

TEM'S DC TRAVAUX
- FICHE 700
I
8. CODE 04 1A COWCESSION
1. YENAGE
2. SPECULATION
3. PARCELLE (si culture)
4, GtiEGORiE WAIN-D'OfUVRE
5. GENRE D'OPERATION
I:ODE
6. BATE
7. 'IEHPS Of TRAVAUX
ermnnes x durit)
Codes terps
8. ~RI~lNE/~ESlINAlION
9. BMUNERATION ESPECES(CFA)
10. ~~~N~RATIow NATURE (CFA)
ÇMES
TE
DE TRAVAUX
- FICHE 700
0. CODE DE LA COWCESSION
I
1. WENAGE
i
L
Lt
* I-i
hoo/
w
2. SPECULATION
1‘
I-
LLU.
I I.-I 1 1
1 I 1 I [
I 1 I I , lOf4
3. PARCELLE (si culture)

1
---Al-l
-1..LLll-1
-~fl
-1-Lu.Lt
4, CATEGORIE
RAIH-D'OEUVRE I
1
LLLl
LLILJ
1
-u.lL.~
I
I
5.'KNRE D'OPERATION
I
f
1
Z$OE
I
LLLL
ULLI
LL.LLl ‘3
1Dfl
6. DATE
I
LLL
Ill;
III/
I/I/
7. ;ENPS OE TRAVAUX
I
l
I
j ci personnes x dur&)
1
I
1
1
hdts
temps
1 Luill
u..
I I 1 .I 1 l..ql
I I I 1 li_jl I I I 114
8. ORIGINE/OESTINATION
I
l I
1 ’ I__IL~__ILI
t
9. REMJNERATION
ESPECES(CFA
3
i------f-------i
I
10. REMMERATION NATURE (CFA
I
l
i
. i:OOES
fizifi
IUI
I*/l 1 1 I 1 I I l-11 I I l l i I 1-l
.
11, (.,O!JEi VAL;UR/PRIX
i.
L.

NQUETEUR
:
VILLAtiE :
ADHERENT :
CAMPACXE :
CODE CONCESSION :
CODE PARCEL,LE :
VARIETES :
TATION,A L'EPIAISON
HuMdit&
&:
(JAs)
H:utzur
marques :
Couleur
Adventice8
Remarques
Rates
Ol.sezux
it,
matin,
midi,
soir?
--
Rcmztrquee/bdg&~~
Luritb
Date
Date
colte / Coupe
Dates 6Bbutif in
C&?iel :
Remarque (Verse,..)
se en meute8
Date
,u :
Remerquee
c tagc
Date@ dgbut/fin
2u :
cOrle :
Remarques
Inage
Dztce dtrbu$/fln
ldy proquit
Nb. petit6
BRCB
ids moyen d'un
gros sac8
3etit f3zc :
;ros
sac
:
poids totnl
rendement
2:
Ne pas
oublier dc noter 8ur fichae sulti3ntee si 17 y 3 des sal.~i&o,
les rtfmuncjr.l-
tiens en cepéces ou en nature qui leur 8ont vern8s9;
Aprrls remplissage dc la ffche "remboursument",
il faut reporter
sur une fiche
J
'lirzrsnts"
lco
co0ta
d'irrigation,
de transport,
et éventuellement
les amortioae--
nt;rrts
et
les
fr?i~
de fonctionnement,

INTRANTS, PRODUCTION ET AUTOCONSOMMATION - FICHE 700
- .”
8. C!XX DE LA COIOCESSIOI(
1. RENAGE
2. SPWLATION
3. PARCELlt: (si culture)
4, E~~E~JS~RTIEtPRUDU~T
GOBE
5. O&R
6. t,WANlITE
7. MITE UTILSSEE
8. ~1GI~~~~STlNATï~H
i
LIEU
4
t
9, VALEUR JOTALE OU
10. Ui3DE DE PAIEMEEIT
INTRANTS,
PRODUCTION ET AUTOCONSOMMATION - FICHE 700
,
8. CODE DE LA CONCESSIOR
1, XéWAGE
2, SPECULATION
3. PARCELLE [si culture)
4. EWfREE~SffRlIE)PRODUIJ
CODE
5. BAT£
6. QUANTITE
7. MITE UTILISEE
8, ~RI&IME~DESlINATI~N
~LIEU
.
i
9, JALEUR TOTALE. OU PRIX(CFA)
10, MDE DE PAJEHEXT
Il. 5DDE VALEUR/P&X
*

SUIVI CONCESSIONS : RIXZAPITULATION i)E LA PRCDUCTION
:
CONCESSION N- :
HC-nage
;
Code culture
:
Parcelle
- PROTON’
TOTALo:
- Qywo
tota1c récoltc?e :
.
I
PTIX
11 i l;-ction
producUion
Produit
Obtenu
(1)
Date
Unîtt
--
) Pm?l&wments coneommation
1)
2)
3)
4)
) Paitratnt rfmltC
battage
vanage
trarleport
) ft .lj?!..t;:-s.:~irt~t dei& intrante
f Done sociwx
r%ligleux
1 Coumercialieation
‘1 Stockage autocaneomation
1)
2)
3)
4)
if Stockage semences
:l) Marquer
forme du produ2t (pour riz p.c pcrddy ou riz blanc)
:2) QuantitO et unité : marquer l’unit&
correspondante p.e
5 ceieaes de 24 kg
3 bnlgnoires
de 8 kg
2 caca de 80 kg

~~P/SUXVI PA.RCELLES
RZ3MBOURSm SAED
a-
: Bclatement par intrant/servlce
fournl eux paysnno
Code concesolon :
$?nage :
.,
i
Code parcelle
:
5:
Prix
uantant
[en CFA)
(en CFA)
Semence8 :
uree
:
10-46-O :
Pr3duits_ehytoo
:
il)
b)
IrrigP.tion
:
e
Omwxlga
1 :
Offsetage 2 ;
hltrea”
:
8)
bJ
cl
d)
Montant total
HERSA
:
en nature : qté de paddy :
kg
valeur
:
CFA
en esptce : montant
CFA
*) indiquer
le n3m du produ3t à cbtb dc a) M/ou b)
“1 80~4 rrutres : -.marqww dt4ventuellee
..: - avances3 faitea .p-. la SA!@
-- chzwgcs pour acquisition
collecttve
dltquipemant
p.e. pulkiriaatew
- amorti8oemcnt GHP
- etc.,.

;
COOE
M LA CONCESSJOM
HEWAGE
SPECULATIBH
PARCELlE isi culture)
~N?RE~iSO%TiE~PR~UIT
CODE
OATE
QUANTITE
UNITE UTfk.iSEE
LIEU
VALEUR TOTALE OU
, HOQE DE QAfEWT
, CODE VALEUR/PRIX
1
“I-w -11-3 œ&m.lP-rrrprnl.*r~rr- UII L.... UI.UII.-IU..*.IUUL--.--.--~
“l
,a... _.
.
INTRANTS, PRODUCTTON
ET AUTOCOMSOMMA'PION
- FIC@ 700
, CON DE LA
,
CONCESSION
, HENAGE
. SPECULATION
. PARCELLE
(si culture)
. ENTR~~IS~TI~ IPRODUIT
CODE
. DATE
. WAllTITI.
. UNITE U3 ILISEE
. ORIGlNE~D~STINATION
LIEU
.
1. VALEUR 10TALE. OU PRIX(CFA)
1. H@E OE PAIUIENT
i. CODE VALEUR/PkIX
*