RAPPORT suR L'ACTIVITÉ DES PÊCHES MARITIMES...
RAPPORT suR L'ACTIVITÉ DES PÊCHES
MARITIMES SÉNÉGALAISES
1981-1932-1983

DOCUMENT PRESENTE AU GROUPE DE TRAVAIL DU COPACE A TENERIFE
SUR LES STATISTIQUES DE PECHES DU 7 AU 9 MAI 1984.
R A P P O R T
S U R L ' A C T I V I T E
D E S
P E C H E S
M A R I T I M E S S E N E G A L A I S E S
1 9 8 1 - 1 9 8 2 - 1 9 8 3

,
.
?
c:;,
I .
2
/ R E S U L T A T S G E N E R A U X /
STATISTIQUES DE PECHE DES FLOTTILLES INDUSTRIELLES (TOUTE NATIONALITE)
AYANT TRAVAILLE DANS LES EAUX SENEGALAISES
~
----
Sardinier?
1
Chalutier:
Cordier:
senneurs
Palangrier!
Thoniers1 TOTAL
- - -
192(l)
15
22
Nombre
de bateaux
1982
202(l)
21
1 2
2gC2) j
264
1983
193 (')
19
15
28(2)
257
-.~_- -.<-.-- I
1981
60 124
31 363
1 249
2.5 367
118 103
Prises
(tonnes)
1982
61 940
31 786
888
23 349
117 963
1983
63 135
25 9tN
nd
402
17 000
(106 497)
.--~
-~
(1) non compris chalutiers affrêtés
(2) nom compris thoniers transocéaniques
PECHE ARTISANAIZ : PARC PIROGUIER OPERATIONNEL ET CAPTURES
Prises
en tonnes
1981
138 689
-
-
froide
/
509
75
160
3 160
47a
4 382
/
/
;
/
l
'
/
1982
Saison
'
3 19ci
4 526
If
_-
-.--
Saison I
/
froide
j
557
143
150 j
2 997
568
; 4 415
1983
165 217
-~

~-
/ 1.
S T O C K S
D E M E R S A L J X
C O T I E R S /
-
Les stocks démersaux côtiers sont exploités par des flottilles industriel-
les de diverses nationalités (Sénégal, France, Italie, Grèce et autres pays
pour les affrêtés) et par la pêche artisanale sénégalaise.
1.1. EVOLUTION DES PRISES TOTALES :
- Les prises effectuées par les chalutiers basés à Dakar sont en netce
augmentation de 1965 à 1980 ; pour la période 1981-1983, les captures ont en
revanche peu évolué (de l’ordre de 48.000 tonnes).
- Les captures des bateaux étrangers non basés à Dakar restent compara-
tivement: faibles et sont en voie de diminution.
- Les prises du secteur artisanal ont représenté en 1983, 45 % des captu-
res totales.
1.2. EVOLUTION DE L’EFFORT DE PECHE :
- Le nombre de bateaux basés à Dakar est resté constant depuis 1980.
- Cependant, du fait du taux d’activité décroissant d’un grand nombre
de chalutiers (en raison de leur vétusté), le nombre total de jours de mer
est en légère diminution (-5 % depuis 1981).
- Le nombre de marées est également en baisse en raison du remplacement
de> petites unités (coulées ou désarmées) par des bateaux relativement plus
grands effectuant des marées plus longues.
1.3. EVOLUTION DES P.U.E. (EN TONNES/.J~UR DE MER)
- Pêche industrielle :
La P.U.E moyenne (1980-1983) des congélateurs basés à Dakar (Tjb moyen :111))
est de 0.9 Tjb ; celle des glaciers (Tjb moyen : 120) est de 2.2 et c.18 1 les des chw
luti,rs boeufs de 7 t:jm. Ces P.U.E sont restées stables pendant la période consid&r&.
Les P.U.13 moyennes spécifiques montrent cependant des tendances différen-
tes ; ainsi, de 1979 à 1983, les P.U.E de certaines espèces-cibles (Penaeus
noti31 i Li
----------’
Sepia officinalis, Cynoglossus spp) ont accus& ilne baisse sensible..
.--- -~,

4
.- Pêche artisanale :
Les captures du secteur artisanal sont essentiellement faites par les
lignes, les filets dormants et les casiers.
ILes rendements pour ces différents engins ont peu évolué malgré une
augmentation sensible de l'effort de pêche.
1.4. COMPOSITION SPECIFIQUE DES PRISES :
:La diminution de rendement des espèces-cibles a entraîné des modifications
dans la stratégie de pêche des bateaux.
Les espèces de moindre valeur commerciale et les espèces de forte valeur
mais de petite taille font de moins en moins l'objet de rejets en mer. Cette
pratique explique d'ailleurs en grande
partie la stabilité des P.U.E globales.
STATISTIQUES DE PECHE
81
82
8 3
NOMBRE CHALUTIERS
- Basés a Dakar
SEN.
114
122
125
FRAN.
21
11
8
- Non basés Dakar*
1 7
18
11
(Italiens-Grecs)
JOURS DE MER
27 218
26 522
25 813
TOTAL PRISES INDUSTRIELLES*(T)
52 255
51 394
50 244
PRISE PECHE ARTISANALE
36 683
34 000
39 652
-.~-- _-.._- -
-
TOTAL PRISE DEMERSAUX COTIERS
88 939
85 394
87 196
_-.- -_-._--
* Non compris les bateaux affrêtés (Coréens, Mauritaniens, Panaméens) qui
ne débarquent pas à Dakar.

COMPOSITION DES PRISES
- CHALUTIERS BASES A DAKAR
ESPECE?
1 9 8 3
+zteronerca rubra
177.7
135.6
63.8
S n h y r a e n a s’vn
150.9
132.1
153.9
B r o t u l a barbata
1914.5
2442.0
549.5
Loliqo
snn
2.4
4.6
1.0
Pseudotolithus SDD
7375.4
4947.4
4293 9
Carangidae
538.6
952.3
1249:8
Polvnemus S~D
0.7
48.7
39.2
LUtjé3IWS SDD
69.8
22.8
66.6
Congridae-Yuraenidae
64.4
86.6
93.3
Arqyronomus reqius
201.3
154.4
103.1
NeDtunus validus
148.3
36.0
77.0
Penaeus notialis
2586.3
2921.8
2622.0
Paranenaeus longirostris
28.9
0.3
Dentex SPD, QaruS spp
1179.7
1226.2
866.7
PaLinurus reqius
41.5
27.2
22.7
Arius SDD
5899.2
5411.4
6089.8
Merluccius spp
1.4
1.7
3.2
Euinenhel us spo
37.8
28.5
21.3
Paqellus b e l l o t t i i
5933.8
6137.4
708 1 . 1
Drepane af r icana
858.4
427.9
614.8
Hypotrmata
34.2
32.8
25.8
Pleurotremata
13.7
5.0
7.0
Pseuduneneus prayensis
813.9
711.2
1003.9
Zeus faber mauritanicus
66.6
75.9
52.3
Senia officinalis
1306.8
1066.3
685.9
cynoe;lossus spp
3250.7
2864.3
3044.2
Bothidae , loleidae
187.3
211.3
96.8
Pomadasys spp
2959.4
2369.5
2732 .O
Pomatomus saltator
27.0
21.0
44,9
Galeoides decadactylus
4815.5
3941.5
4211.1
EninepheIus aeneus
372.4
449.0
434.9
Psettodes belcheri
49.8
45.6
105.1
Divers
7369.2
8791.4

ÇHAIJJT~ NCN BASES A DAKAR (EXCEPTE BATEAUX AFFRETES)
6
1 9 8 1
1 9 8 2
1 9 8 3
ESPECES
-
-
-
Mycteroperca rubra
1.3
Sphyraena spp
9.8
Brot.ula barbata
73.9
Lol i.go spp
19.0
Pseudotolithus spp
68.9
Carangidae
3.0
ParapenaeuS iongirostris
14.2
Lutjanus spp
1.6
Congridae muraenidae
29.9
Argyrosomus regius
15.6
Neptunus validus
2.2
Penaeus notialis
281.4
Plectorhinchus spp
57.0
Dentex spp, Sparus spp
252.9
Pal inurus spp
21.2
Arius spp
18.8
Merluccius spp
9.7
Epinephelus spp
24.4
Pagellus bellottii
270.7
Drepane af ricana
0. 3
Paeurotremata
Hypotremata
38.7
Pseudupeneus prayensis
281.5
Sepia. officinalis
186.8
Cynoglossus spp
200.7
Soleidae-Bothidae
201 .o
Pomadasys spp
18.5
Pomatomus saltator
0.1
Galeoîdes decadactylus
51.0
Epinephelus aeneus
214.6
Octopus spp
4.7
Divers
427.3
-1
PECHE ARTISANALE :
--
ilrius snp,
5306
3783.0
4064.6
Galeoides decadactylus
323
1030.2
1131.0
Yycteroneca rubra
184.4
155.4
Ep inenhelus aeneus
1534
1781 .O
1’7 12.3
Epinenhelus qigas
509
426.1
508,O
EnineDheIus q0reenSj.S
486
1261.3
1219.4
EpinenheIus caninus
92.3
183.9
Lut j anus SDD.
155.1
116..3
Plectorhinchus mediterraneus
452
674.4
771.8
Pseudotolitus
1595.2
1363.6
SDD
1782
Argyrosomus regius
361
:I 174.3
503 . . 0
Dentex SPP~
790
1056.0
161.3
Pagellus bellottii
2428
2378.4
2498.7
Sna f ùs pagrus suri
1511
1233.9
1026.6
cyn0q10ssus SPD.
482
651.5
651 .l
Hypotremata
1227
2066.4
1035.5
Pleurotremata
450
571.9
87.7
Sepia ‘off icinalis
646
1077.5
1115.4
Divers Demersaux
12695
1573.1
11737.1
Penaeus snn+
1736
1279.7
1184.4
_ a
I
39ofl
‘Q R c; ‘) 9
RL?h ‘7

7
f2.
S T'O C K S
D E F I E R S A U X
P R O F O N D S /
Les stocks profonds sont traditionnellement exploités par les chalutiers
espagnols.
Cependant, depuis 1981, une flottille sénégalaise axe sa pêche sur ces
stocks.
Une analyse des données sommaires disponibles sur la pêcherie espagnole
a été faite pour la période 1977-1980. Les résultats préliminaires indiquent
des P.U.E moyennes annuelles sensiblement stables, de l'ordre de O-6 t/jm.
Une analyse plus fine à partir des statistiques détaillées obtenues de 1981
à 1983 sera réalisée pour effectuer un diagnostic plus précis de la pêcherie
sénégalo-espagnole.
STATISTIQUES DE PECHES
81
82
83
. I I _ - - - - “ -
- .
Crevettiers basés Dakar :
2
7
8
Chalutiers non basés à Dakar
(Espagnols)
- Crevettiers
31
21
- Poissonniers
13
2 0
JOURS DE MER
4 606
(uniquementpour crevettiers)
3 985
PRISES TOTALES ('Y)
7 869
(crevettiers + poissonniers)
10 546

COMPOSITION DES CAPTURES
8
CREVETTIERS ESPAGNOLS
-
ESPECES
1 9 8 1
19 8 2
1 9 8 3
. - - -
i
CREVETTES
2 028
1 357
1 786
- .----~
1
I
CRABES
388
229
294
-
- .-----
lI
CEPHALOPODES
2
2
8
- .-----
DIVERS (POISSONS,...)
21
39
70
- - - - - - -
T O T A L
2 439
'1 6.27
2 158
I
--
CR?ZVETTIElt$ SENEGALAIS
CEPHALOPODES
POISSONNIERS ESPAGNOLS : DONNEESNON DISPONTRLES

/ 3.
S T O C K S
P E L A G I Q U E S
C O T I E R S /
---.
Les petits pélagiques côtiers sont soumis à l’effort de pêche de dif.fé-
rentes flottilles qui utilisent divers engins de capture. On distingue :
- La flottille industrielle, composé de grandes unités (500 Tjb) qui
pêctrent a la senne tournante ou acI chalut pélagique.
- La flottille industrielle des “Sardiniers dakarois”, composée de bateaux
vétustes de taille moyenne (25 m) qui n’ont qu’une faible autonomie. Ils pêchent
exclusivement à la senne tournante dans les zones proches de Dakar.
- La pêche artisanale, quant à elle, utilise de nombreux engins, dont les
principaux sont par ordre décroissant d’importance dans les débarquements :
. les sennes tournantes,
. les filets maillants,
. les sennes de plage,
. l.es 1 ignes .
3.1. EVOLUTION DES PRISES TOTALES
3.1.1. Pêche industrielle :
Après l’arrêt d’activité de la flottille polonaise en fin d’année 1980,
la pêche industrielle a repris en fin 1981 avec l’arrivée d’un grand senneur
danois, suivi d’un senneur ghanéen en 1982 puis d’un deuxième senneur ghaneen
en 1984. 4 chalutiers pélagiques exploitent er outre par intermi.ttencc li*i
les petits pélagiques côtiers depuis 1982.
Les débarquements de la flottille industrielle ont progressé d’environ
28 % entre 1982 et 1983.
3.1.2. Pêche sardinière :
Les débarquements effectués au port de Dakar par les petits sardiniers
chutent depuis 1981. Ils ont baissé de 21 % entre 1981 et 1982 puis de 28 %
entre 1982 et 1983.
Globalement pour la pêche industrielle et sardinière, les débarquements
ont diminué de 18 % entre 1982 et 1983.
La chute des captures de sardinelles est en grande partie responsable
de cette baisse dans les débarquements.

‘.Y !J /! .
1 0
3.1.3. Pêche artisanale :
Les captures ont notablement augmenté depuis 1981 (+ 23 X) en raison
du nombre croissant de sennes tournantes,qui semble maintenant se stabiliser,
et de l’utilisation massive de filets maillants encerclants qui ont pratique-
ment doublé en 1983.
Les prises de ce secteur ont atteint en 1983 75 % des débarquements
totaux.
La baisse notoire des captures de Sardinella (aurita observéeentre 1981
- - - - -
et 1982 (- 20 000 tonnes) a entraîné une diversification des espèces cibles
des sennes tournantes (Sardinella maderensis, Trac:hurus spp, Scomber japonicus
-’
Trichiurus lepturus, Pomatomus saltator, Brachydeuterus auritus) qui maintien-
-
-
-
-
-
-
-
-
nent ainsi des rendements annuels constants. L’augmentation du nombre et les
rendements obtenus par les filets maillants encerclants expliquent en grande
partie les débarquements importants de Sardinella maderensis en 1983.
-
-
-
-
-
3.2. EVOLUTION DES EFFORTS :
3.2.1. Pêche industrielle :
Les statistiques concernant l’effort de la pêche industrielle ne sont
pas disponibles en totalité pour 1983.
3.2.2. Pêche sardinière :
L’effort par bateau est relativement stable de 1981 à 1983 puisqu’il reste
centré sur 1 800 heures par an, L’évolution de l’effort dépend donc essentiel-
lement du nombre de bateaux en activité. au cours de cett.e période.
3.2.3. Pêche artisanale :
Entre 1981 et 1983, l’effort de pêche a augmente de 44 % pour les sennes
tournantes et de 82 % pour les filets maillants encerclants.

I l
3.3. EVOLUTION DES RENDEMENTS :
3.3.1. Flottille industrielle :
Les P.U.E senneurs étaient de 29 t/jm en 1982 et celles des chalutiers
pélagiques de 4,4 t/jm en 1982 et de 4,1 t/jm en 1983.
3.3.2. Flottille sardinière :
Les rendements ont subi une baisse très importante puisqu’ils sont passés
de 26,86 tonnes par joursdemer en 1981 à 14,Ol tonnes par jours de mer en
1983, ce qui représente une chute de 48 %.
Cette chute doit être en partie attribuée aux mauvaises conditions
hydro-climatiques(faiblesse de l’alizé et de l’upweiling) qui ont prévalue
ces dernière années et aux interférences avec la pêcherie artisanale.
3.3.3. Pêche artisanale :
Les rendements des sennes tournantes sont stables depuis 1981 (de 1”ordre
de 2,l tonnes par sortie) tandis que ceux des filets maillants encerclant5
sont passé de 0,7 à 1,0 tonnes. par sortie.
3.4. EVOLUTION DE LA COMPOSITION SPECIFIQUE DES PRISES
3.4.1. Pêche industrielle :
- Chalutiers @lagigues :
---a------- - - - - e-m
La composition spécifique des captures n’est pas très détaillée. Dans ce
sens, les statistiques dont on dispose, regroupent les différentes espèces de
chinchards SOL~S le terme de carangidés avec 30 % de la prise totale. Un pour-
centage de 24 % des captures représente les machoirons et les carpes qui occu-
pent respectivement 12,1 % et Il,5 % des débarquements. Les autres espèces sont
re:*rr!sent:ées par 1 es tassergal s, i.1 ~squvs, brochets, t~iiéii&l:it~s e t t,api.t,line:j:,
soit 20 i,. Enfin, la rubrique des divers atteint 26.,5 2.
La composition des prises permet ainsi de noter la predominance des
carangidés et l’absence de sardinelles ; par ailleurs, la présence assez im-
portante des espèces démersales indique que ces chalutiers pélagiques travaillent
très près du fond.

- Grands senneurs :
------------w-e
Les captures des deux espèces de sardinelles ont augmenté entre 1982
et 1983 (+ 150 % pour les sardinelles rondes et + 20 X pour les sardinelles
plates. Les débarquements de chinchards et maquereaux ont quant à eux diminués.
3.4.2. Pêche sardinière :
Les captures de sardinelles ont globalement diminue mais la chute des
débarquements de sardinelle ronde.. est le plus spectaculsire (- 68 % entre
1981 et 1983). Les sardinelles sont cependant restées le genre dominant dans
les captures puisque représentant plus de 80 % des debarquements de 1983
(85 % en 1981 et 77 % en 1982). Trachurus trecae et Scomber japonicus sont
---
les espèces dont le pourcentage dans les débarquements a le plus augmenté
entre 1981 et 1983.
3.4.3. Pêche artisanale : cf. 3.1.3.
STATISTIQUES DE PECHE
81
8 3
NOMBRE DE BATEAUX :
- Flottille industrielle :
6
6
- Flottille sardinière :
1 5
(Effort-Heures)
(27 989)
(30 6%
PRISES INDUSTRIELLES
11 768
PRISES SARDINIERES
31 363
30 653
PRISES ARTISANALES
102 006
125 565
PRISES TOTALES
133 1369
142 021
167 986

COMPOSITION DES CAPTURES
! 5:
13
-5 .
TV
SARDINIERS DAKAROIS :
E S P E C E S
Sardinella maderensis
Caranx rhonchus
Pomadasys spp.
Chloroscombrus chrysurus
Ethmalosa fimbriata
Trachurus trecae
Trachurus trachurus
Scomber japonicus
Caranx carangus
Boops boops
Brochet
Vomer stap
Divers
PECHE ARTISANALE :
-
-
E S P E C E S
Ethmalosa fimbriata
Sardinella aurita
Sardinella maderensis
Sphyraena spp.
Mugi1 spp
Pomadasys spp.
Brachydeuterus auritus
Decapterus rhonchus
Caranx spp.
Trachurus spp.
Chloroscombrus chrysurus
Pomatomus saltator
Scomber japonicus
Scomberomorus - Orcynosis spp.
Sarda sarda
Euthynnus alleteratus
Trichiurus lepturus
Xstiophorus albicans
Divers Pélagiques
GRANDS SENNEURS :
T
1 9 8 2
1 9 8 3
I
Sardinelle ronde
668
1 684
Sardinelle plate
1 865
2 216
Chinchard noir
1 817
1 626
Chinchard jaune
477
54
109
46
1 965
2 442
-~-_--