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.J
.

1, !’ rlTzcn?,r:ticn xmmnirc
p;Lp? 1
'1' -
_‘ . . tiplr;At ions de recherche et'&.:hodologic..... <;
YT. I)I: 1 :&ifr ci calcnrlri(sr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .t!
iv. ;:o;~cnr; a.kc~~xi.rcs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
11
Anne xc : dvzluation des coûts du progrmm

-:-.*mm:-:-:-
-r
*.
I rt!:;c;r,i6i:ien sommaire
A
7 -
I. UCI $!chF! a~; Sdn&gal prend place au troisi&me rang des activitk
,;d ;wys, et représente, de loin, la première source de protzine
2 r ) : e secteur artisanal, avec plus de 100.000 tonnes par an,
f c,i.i: r-6 i t les deux tiers des débarquements. Ceci montre assez
i'importance nationale de ce secteur.
Lt:. q zadrup2enent de la production dans les vingt cinq dernièrrs
'
;inl-ie et*.5 t;-ndu:t la capacits de modernisation de la péche arti-
J c-i ri a 1 (5 > qui réagit avec une surprenante vitesse aux inri3vntiOru
- Si la motorisation a débuté en î951, elle n'est
devenue reellement possible qu‘avec la vente hors- taye
des moteurs et du carburant aux ptkheurs, en '1966.
D::s 1971, la flottille etait motorisk à 49 % ; en
3977, elle l'était a 86 %, soit 2 4OG pirogues équipées
de moteurs de 8 à 25 chev aux sur le littoral sd&-
galais.
- Les pirogues ont éte adaptées au moteur, sans modifi-
cation majeure , par adjonction d'un puits de fixation
.<1 ?*arri&re de l'embarcation. Leur efficacitk en mer
n'est. plus 2 demontrer.
- De nouveaux engins de pêche sont apparus: Las sennes
tournantes coulissantes (STC).Cet engin rAcessite
cieux pircgues, dont une de transport et permet des
prises pouvant aller jusqu'à25 tonnes. Mobilisant un
capital important, ce type de pêche se traduit par
l'entr& de non-pêcheurs dans ce secteur.
Lc7 diffusion de la serine tournante ayant début& en
1'37Qnen compte 120 en 1978. La pêche piroguibrc
emploie environ 30 000 pkheurs, et g&nère de nombreux
i-emplois 21 terre, pour la fabrication et la réparation
(1-s embarcations et des engins , pour la tranSformaœ
tion artisanale et la commercialisation. Mais elle

- -
cioncoLrt. ;Iussi cl3 l'emploi industriel en participant 11 I'appro-
vi 5 i cir,nenerît des usines. Elle alimente aussi directement des
~-rtcturs strangers à :a pêche : ainsi les artisans qui chaqueannée
rrcor-,struisent les habitats saisonniers des rrCampagnardsrr.
f'
l,,i
, ,, '(y f>d >
tndustrielle étant surtout tournée vers l'exportation,
-;. !a pkhe artisanale revient la tâche d'alimenter la population
rlLi Sfh-,+-i 1 .
0
;’
;?f\\t:i:f~rcl-i~
bioloqiqce et socio-économique
l
L’;im(:lioration constante des techniques de p&cht% conduit
'1 !, (1 y;*#r‘. <'
( \\Jfic: tiirninution des rendements par unit6 d'effort de
i,t?Ci,tf. Lt-5 exemples de la crevette, des sparides, des sardinèlles
0'1 f , i i: .q ;3Gnadasys en sont lrillustration au Sénegal. On se trouve
211or:i cjilns une situation qui peut évoluer selon le schéma suivant:
,l.
Auqnc,,
-mtation de l'effort de pêche
I,, nrrisse des rendements
c. compensation de la baisse des rendements par augmenta-
tion de l'effort jusqu'au seuil de rentabilité.
a. nugmti:ntation de l'efficacitd des techniques de pêche
(diminution des mailles, etc...)
fie . nouvelle baisse des rendements etc...
L*c!ifort de p&che doit alors cesser ou diminuer tr&s
: (Jr l.,‘*rr,~*nt
pour que le stock se reconstitue de lui-meme s'il
!c; W!Ut encore,
3’autres données entrent en jeu dans la sur ou sous-
'.;,;, 1 (j : i <.i tien dc;s stocks ; purement économiques telle la valeur
f:,-,fll,T~~ 1 r[: j ;i 16.' des espkces ou sociales telles les habitudes de
r:~::sc,rnmtit.ion ou les traditions liées a la p&che.
UC.? s stscks sont actuellement utilises comme objet dtx
'
; ) T ( i r ) " , - - ' .

1 II - 1,. 1 0 r-l 9 c a rL supposés inépuisables ou infiniment rcproduc-
! .; .; , : {i
. <-
,.,l. Il s'agit d'en faire au contraire un moyen de produc-
?, : r, r, ( .! t-j #-l t il faut prévoir et ménager les possi.bilit$s de re-
prc,4uc: t i on.

.
Pour ce faire, approche biologique et approche socio-
économique sont indissociables.
'..a.J. so‘~r,c~c:s e x i s t a n t e s , données manquantes sur la Pkhe artisanale.
? n
s. ir Les donndcs sont nombreuses et fiables jusqu'au djbar-
quement :nomhre de sortie, composition des captuws,
~!\\:;int i tc:s d&barqu&s,
temps de route, dt~barqucment p3r
F? s pke et par quinzaine. Les données sont recueillies de
f rlçon permanente par le CRODT à des fins de contrale et
;IF- qestion des stocks, et d'études de dynamique des po-
pulations.
3.2, Ddns les domaines non-biologiques, il n'existe que des
Gci\\làes descriptives, ou ponctuelles, monographiques. Si
?'on trouve de nombreuses données sur le poisson, il
n'existe pratiquement aucune donnée de base sur les
&zheurs.
2.3. La p&che est un problkme d'importance nationaleiles types
irt p@chc sont suffisamments différents d'un lieu à un
atitre pour que des résultats partiels ne puissent pas
t?trc extrapoles.
3.4. Toute planification sérieuse du secteur passe par le
r-cueil de données Chiffr&es, sur des questions aussi
diverses que :
- Les emplois lies directement et indirectement à la
p&che.
- Les migrations saisonnikres.
- La commercialisation.
- Les co0ts et revenus de la transformation artisanale
- Les revenus et dépenses des ménages.
L;T l'effort de p@che est lié à la biomasse, à la nature
OOt l*effi.cacit6 des engins de p&he, il est aussi ti;pen-
<?Tqht des revenus familiaux des p&heurs, de la traasfor-
mation artisanale et de la commercialisation du produit.

- --
4
I,f-Jr, <‘i Ce t j V i 1.6 S 1 ic're S 3 la @cl-le constituent une totalit4. 11
(::;t indispensable pour intcrpreter correctement la situation,
(3 +A f<?'tr? porter l'étude sur l'ensemble des niveaux de cette
7, (, t r3 1 i t t: , non rcsductible à -p ni déductible de - l'une des
parties.
4 .jit:t om$'+s attendues du programme.
f
5". - . . Fourniture de données économigues et sociales de base
GIIJ~ scLtrvi.ccs
int&ressés et administrations concernées,
notdmu-ic-^:nt
la Direction des pêches, la Comptabilité
Xtiif-ionale et le Plan.
.
?i i se ç'n place d'un systeme très leger d'observation
‘: l <r *
;>f?rmanent.e à l'issue de l'&tude et 3 partir de l'analyse
des r4sultats.
4 * * l
Zlshoration d'indicateurs de changement dans la ptkherie
2t les activités annexes.
4 . 4 l
Elaboration d'un modèle de simulation du système de la
;S!che artisanale , qu'il serait possible d'utiliser pour
tester la pertinence des projets.
<P
c
*r 1.
iropositions concretes en matigre de p&che, d'infrastruc-
t \\J :' * $ de transformation artisanale, de commercialisation,
(i'action coopérative etode formation*
4.3.
r
214;r,ents d'appréciation des facteurs non biologiques qui
conditionnent l'effort de pkhe.
12” G i ) ~ ~ i, ‘r -~ r, N S DC RZCHERCHE ET METHODOLOGIE
?*r Les pkheurs.
5:r .;c:>i>tiIAtion de pkheurs n'est pas connue, si ce n"est par
(? c; :* i .--..,aCion C-i partir du parc piroguier. Ceci ne donne pas
rj’ ; r,rii catior
sur la structure de cette population, sur la
t ci i 1 1 r-z e '< la composition des familles, ni sur la populatfon
c;ui qravite autour de la pkhe (propri&taire, revendeurs,
rt:pr3.riiteurs,
mareyeurs etc... > Les données minimales à,re-
cueillir seraient les suivantes :

Y-
-
3
.
L
Structure et evolution de la population
.
.
A.
- pi r 11:: i lisaticn hventuelle du recensement de 19*76.
” p;ir utilisation des listes administratives dz popu-
lotion.
. Ijar sondùyés dans les points d'enquête.
. par comparaison àe ces sourcesentre elles et avec les
cjori&es que fournissent les monograp$s existantes.
c
-
1-r
*
~trrlxturti de 1~ main d'oeuvre.
11 :;c-?mhle d'une part que la population de p&zheurs
rCljfiunisse, d'autre part que l'appel au travail salarié
ouymc:f,te.
L*Gtude de la structure de la main d'oeuvre
;>dsse aussi par celle de la division sexuelle et par
?a,]. ::; du trcivail, par le r6le des associations de classes
d'3ges.
Ici, l'etude statistique doit s'appuyer sur des inter-
VLCWS
prklables.
*,,3, Les migrations saisonnières
E:les concerneraient prk de 3 500 personnes selon
r.1 Xl cf Van Chi et conduisent les pkheurs de Guttt N*I~A~
~:S~U*A Ziguinchor. Il s'agirait 12 encore d'utilis<::r
1 ,.. ';. ~!onn~ks existantes dans les inspections des p?chcs,
+n les complètant par un suivi hebdomadaire dans it3s
points d'enquête par questionnaire.
.
*J
’ c
3 <f r’)‘p’, ,p t s
p&che-agriculture
kcjriC:ui türe et pêche sont encore étroitement dgpendants, qut?
?F +cheur cultive lui-même ou que les champs soient entre-
t-kf:US
par des parents ou des dépenàants.
-7
AI
‘;;>ry,;,l,.:
nourtant que l'importance de l'agriculture dininue
r;;,ns zc: temps sur l'ensemble de ia cete., cette hypothész
,:tsnr. :x relativiser en fonction des ethnies.
Cony r 1%: t ctmt:nt , ce travail sera fait dans les divers points
d 'enquc! tes :
*


I
-
cn procèdant (? des interviews
retrosptxtivtr:;
1.) - en tenant compte de lPactivité agricole Sventue1.1;z
dans l'inventaire pr&alable :i l'enqufite budgtTtair(l.
c - en mettant en évidence la part agricole des recettes
et dépenses des ménages.
" . !:r?rp;'. \\
?Le-. CudgfJtaire Y
'f
suivi d'un khantillon
*
r/
UP
de famille sur une annse
;wK-,TJ.: trait enfin d'avoir une idee chiffrée du mode de vie,
(:IL ;nouvoir d'achat et des problèmes des diverses catégories
(if.
;.Jclìeurs.
Xl :;t.rdit possible de vt<rificr les 11ypoth.Jscs t~xist,~ntes
:;\\,r 16: r6le de la femmes dans la commercialisation et l'agri-
ccl t. UT'*?, ainsi que dans l'entretien du ménags,
Er; i-c-:sumtf:, outre les donnczes de base fiables qu'elle
;'o~r:;i~.ait
.
1 cette enquête permettrait de valider ou infirmer
: r,
4~) n r,omWe d'hypoth&ses ne reposant à l'heure actuelle que
5 u r des estimationsrla vue".
.
2.1. i'&hantillon serait constitué de
SO familles au total,
Frises dans 6 points de debarquement, soit 25 familles
clins chaque point de dgbarquement.
?
.I
1-l.
L'enquête se ferait par passages répétés : 1 passage
'%ehc:om;>daire portant sur les entrées et sorties d'argent
1-a: de biens de la semaine &OU~& (d'autres psriodicites .
;>euvent Gtr+ envisagées),
-JJ. 5. CA stratification envisagee tient compte des diverses
Cormes d'activit4 dfrec:ementliées a la pkhc : posses-
secr de pirogue ou non, p&.zhe 2 la ligne, à la senne, au
Cilet maillant. Elle tient compte aussi de 1*3ge du chef
de famille. Elle prend en compte des familles de migrants.
2.4. i,* ~-nclu&te est préc&d&e d"un inventaire des biens poss6ds.s
par la famille, et de ses dettes et cr&ances, ainsi que
d'intcrviehs
retrospectives.
l

- 7’
7
‘j
2.. *
DU poir,t de vue de la connaissance du systkme de
la pêche artisanale, il s'agit cie l'aspect l,c
plus important du programme ; le plus coûteux
aussi du fait du personnel nécessaire. Cette
+r,qu@te budgétaire est la charnière sur laquelle
vicrnnent s'articuler les diverses parties de
l'étude d'ensemble.
4 .
1 A-* :;
i.1 ivcrscs
formes de pkhe et leur rentabilité
f*.1. Les coQts de production
4 . î-1. Hcconstitu?ion du circuit de fabrication des
pirogues, q ui s'étend de la Casamance 2 St-Louis.
- I:valuation des coGts et de la valeur ajoutée A
chaque étape de fabrication ; coat t o t a l d e c h a q u e
type de pirogue.
- dur&e de vie des divers types de pirogues et des
diverses parties de ces pirogues (tronc d'arbre,
bordés...;.
- ftvaluc3tioq des emplois crt?fs par la fabrication
des pirogues.
4 -2,;‘. Etude des coûts et de la dur& de vie des
clivers engins de pêche : sennes, lignes, palan-
grottes, filets maillants.
4.1.3. Analyse des donntks existantes sur les coats
de la motorisation des pirogues, sur le mode de
financement, les durées d'amortissement et la lon-
g&ité des moteurs.
d1.2, L'activit6 de pkhe
4.2.1, Formes de proprigth liees à la p&chc
Propri6t6 des pirogues, moteurs ot engins
Proprietaires pkheurs et non pêcheurs.

- <.
4
4.2.2. Les divers types de pêche et les relations
de travail qu'elles impliquent.
- coophration de pr0priGtaire.s diff6rc::ts
(pirogue - moteur - engin 1.
- coopCration familiale.
- travail de type quasi-salarial
(serines tournantes).
4.7.3. Modes de rgtribution de la propriété et
du travail.
4 -3.4. Le rôle des femmes.
4.3. La transformation artisanale du poisson.
4.3.1. Les divers types de transformation.
Lt.J.2.
+l
Evaluation des quantités transformees
4.3.3. Evaluation des emplois induits par cette
activitg.
4.3.3. Evolution des prix et quantités sur une an&?.
4.3.5,. Evaluation de la valeur ajoutée.
r:d. Commercialisation.
l-1::. Etalonnage de toutes les unites de mesure employées
2, la vante.
c3.3. LÙ formation des prix.
5 -2-î. Observation permanente des prix au d&bar-,
quement couplée à celle des océanographes du
CRODT portant sur les quantités débarqu&es
par espèce.
5.2.2. Relevés réguliers des prix.
- au niveau des camions des mareyeurs sur
les points de débarquement.
- aux points de revente dans les environs
- par sondages, sur les principaux marchtSs
de Dakar et des villes de l'int6rîeur.*

:-
-
d’
5.2 -2. Les mareyeurs
- Analyse de circuits de mart-?yagc.
- Analyse du r61e des mareyeurs dans la pkhe.
- 3i possihlt, Établissement de quelques
comptes d'exploitation.
5.3.4.
Le rôle des femmes dans la commercialisation
_ pr observation directe
- par recoupement dans l'enquête budggtaire.
5 ?
.,-. 5. Zvaluation des emplois liés à la com~mercialisation
(3~ poisson.
c
3
~~r.6. Possibilités d'amélioration et d'orientation.
6.
A l'issue de l'année d'enquête et au vu des probl$mes
I^er!(:ontrf:z et des rt?sültats obtenus, mis*+ Pn j\\l~oe d'un
d! sposi tif ?&gcr d'observation permanente du systkme de
:A p+!Ic?,e artisanale.
26 mois seront nécessaires, répartis en trois
;.)i,;r:;f':; d’Gtrl.Idc ; Les opérations sont notees dans l'ordre
chronologique.
”.- h~~,‘L”‘~‘ f:fa la documentation existante i-ig~~~-i~‘~-
--l---------l-l----------.--------
;
*
,,! : r>* 1 riu point du dispositif d*engu&te.
--LC----I------I----------------
I--w
i 7
,. cI population et emploi (documentation)
1 -,
1.9.. po~ulst ion, emploi c?t division du travail(intervicws )
4 ..
.* d. Xiqcd tiorïs (interviws > *
1.4. Pk~3e-s de rétribution *
.-,.5. Circuit des pirogues et coiits.
I .'l. Formes de proprieté liées 2 la p+khe*
r-. 7. coût Ces cmgins de pêche.
*a..<<* Zkablisssment d'un glossaire.
;.9. Et~~bljssbmcint d'un calendrier historiqus,
l.lG.Tnlervieh& de femmes (histoires de vie)* *
?CI î?.Xnterviews
sur la transformation du poisson.
.. * -Ii * Intkrviews de mareyeurs.

II
Xise att pofrrt: d u systthnc dc rc?l~~v~~ ~it!s p r i x
a.*
;4.
A -3 r
. . A>. Piise au'point et test des questionnâires.
-l.,ZC:, Recrutement et formation des enquiiteurs.
:i:.t*
?
.
Tc:-taines opérations prennent place nkessairement dans
ldi7*’
phFLSr* diTt~rmide
; d’autres s'krtalent sur plusieurs
I>iiases
: ce sont les interviews
et celles qui se pour-
:;l,jvcnt pendant l'annge d'enqu&te budgétaire. Ces der-
î, ? I: L- e :; sont marquées d'une* La plupart dt-s interviews-
G+vr*ont être faites par le chercheur, ne pouvant &tre
~~c)nTit~s A cltts enqu&teurs.
‘ .
;~::,qllt-~to~;
uar guest:ionnaircs.
--4------c--- -------------
',i 1
‘ t L. Sondages de population dans les quartiers &z pkheurs
des points de débarquement, portant sur l'âge, le
lieu de naissance, les migrations, la rksidence,
l'activité, la taille et la composition de la famille.
. .
'ïirage de l'échantillon de 150 familles.
< .i< l
- -1
L .3. Xise en place de l*enqu&te budgétaire.
2.3-î. Interviews
retrospectives.
LL.L Questionnaire d'inventaire des dettes et cr&a ?C
des biens meubles et immeubles de l’unit&
budgetaire.
2 3.3. q vaLk;onnnife &ebdotmac!aifC, @~k/eeS .SJ-,e5 hio&t-~,f~s cl- e n no~uce
3 .*i.
Rf~levç:,
par quinzaine, des prix et quantites au
Ilfitarquement.
?
L . 5. RC 14 eV&'> par quinzaine, des prix et quantités d la
transformation artisanale.
-,
.-
L ,G.
Sondages, chaque quinzaine, sur les marchés principaux
j,,r,:tJ : 1J mois, dont 12 mois d*enqu$te.
:J ,!3 t Lans cette phase d'enquête, toutes les opérations se
d&roulent simultanement.
‘1, . L;y,~t:h&?
--.* - _- “..-
3.2,
D4pouillements.
3.2, Traitement informatique des données (se fera en
lrcon t i nu" pendant les enauêtes).

3.3. AfialySeS et ridaction
3 . 4 . Xise au point d'un dispositif léger d'obser-
vîition permanente.
j-5, EIC?boration d'un modkle de simulation de la
Pkhe Artisanale.
sui .< e-2 .- 12 2 15 mois.
n
1.
2(2:-sonne 1 .
e
:, i. Z C;~L-chew- expatri65, konomiste et sociologw. LA?
salaire et les charges sont assures par lVORSTOM,
dinsî que les frais de mission et le logement.
il 3
.*i .
1 tgwhnicien sup6rieur, niveau ENZA. Il lui revien-
r!ra d'assurer le contrale de l'enquête au jour
le jour, de réaliser les sondages de comm~?rcia-
lisation et de transformation. Il Cevra Stre
capable de tenir h jour les fichiers et d'aider
le chercheur dans les travaux de depouillement.
3~ pr6sence est requise d'un bout > l'autre de
i'etude, soit trois ans.
f
,
*.
e.4.
G
<2nquGteurs, niveau BEPC. Ils seront: ii poste fixe
dans 6 points d'enquête. Ils assureront le relev&
des prix, la partie de l'enquête avec qucstlon-
naire, les sondages dans les marchés environnants.
Ils devront dont être équipes d'une mobylette. Ils
seront utilisés sur 14 mois, soit 7 années -
enquêteur au total.
1 . Vt”kij.cules.
<. .?. Deux v6hicules type 4 L ou &quivalent seront néces-
sûires, l'un pour 1e suivi de I.*enquGte au jour le
jour, l'autre pour le d&placement du
chez-izhtiur ,
t-t pour assurer la souplesse de d‘splacement indis-
pensable ù ce type d”&tude.

->
'i
. . .
C rl71>i~yl t-z t t_CF; SOflt r e(-li~ i SéIS par les enquSt<?urs,
qui auront 23 se déplacer dans un rayon de 20 km
~+utour du point d'enqugte.
*.
-5 . Xat.6~riel.
;,i, L.-I mise ;AU travail des enqu&tcurs nkzessittz un
mifilinurn de matériel. L*&aluatimen a St< faite
,il,r.isc;
~ixx~ssion avec des cht7rcheurs de diverses
(j:s(--p1ines et avec l'agent administ.raL.if ,iu CXGDT
il s'agit de mat&riels dL" genre table et chaise
p!i;intes, petite armoire fermant A clef.
‘1
L~B travr.ril par Fntf?rviêurs, et le r+curz?il d'his-
3..
l
toizcs de vies implique l'achat d'un magnatophone
de bonne qualit&, cOapa'Dle de résister trois ans à
tic*.~ conditions difficiles d'utilisation (appareil
type Ui-iER ou NAKAMICHI).
,.
-;
Un appareil photo parait intgressant tant pokfr
J.-t.
l'illustration de l'étude que pour la constitution
c;i- dossiers photographiques sur les diverses parties
c: L: syst&mé de la Pkhe Artisanale. Cela implique
qn *il soit de niveau professionnel, type NIKON,
équipe de plusieurs optiques, qui demeurrra à la sizc-
tion Pkhe Artisanale du CRODT.
3.G. i%eit--;5riei de bureau, incluant les questionnaires. Il
*st ivalu& " a minima'*, les travaux de frappe et
d'impression étant assurés par le CRûDT.
‘,>*II.
Lt: chefciwur et le technicien auront à p&sse'r
,
r.rc)uiièrement la nuit dans les divers points d'en-
qu$tc, de préférence dans des familles de l'échan-
tillon budçétaire. Il est donc prevu d'acheter deux
ni'cessaires minimaux dc camping.

‘t .
Fonct ionnem+nt.
4 -CL. Les frais de fonctionnement des enqusteurs ont
St4 êvs?u4s tpr&s discussion avec des chercheurs de
(,: ~vc~-['~t.s discipline et Mr: l'Agent administratif
rlu CT\\O3T,
4.2. F’onctionnenent des 2 véhicules. Il comprennent les
frais d ’ e s s e n c e et $‘er$retit?ri c
I#~s v>ificuit!S ::c^
tournant pa3 au r&me rythme la trofsième ;inn$t-, ltss
f rdis <Ie f o n c t i o n n e m e n t o n t ét6 :i râmen&s :; 5 annA
-‘*t?ntretien
U
et d’essence pour les deux (2 ans et
~I~Yfli pmrr chaque) . Les véhicules seront remis :i ia
section P&che Artisanale du CROIX' h l'issuc~ JC itiTt'k?/
al.3. k'onctionnement des mobylettes. Elle?s devront s<?rvir
2.4 mois, avec utilisation intensive pendant cette
pbr iode, soit 84 mois de fonctionnement d’une :noby-
lette. A l'issue de l'dtude, les mohylettcs seront
éventuellement revendues à tarif préferentiel aux
enq*uÊtteurs (garantie d'entretien correct 1, les
fonds ;:tant remis au budget de la Pêche Artisanale
du CROIX'.
l’t-4. Frais de mission technicien : ils correspondent z+
3 jours par semaine sur l'ensemble de l't?tuJe.
I
5. Personnel temporaire.
21 s'agit de manoeuvres a la journje pour aider aux
pes&s
sur l.es marchés, aux frais d'interpr$te, et
au d&dommagement d'informateurs qui ont :i distraire
une jour&@ de travail au profit de l'étude,
CetLe somme est destinée à faire face aux Gven-
tuelles hausses du carburant, des salaires, du
yjCipii3r, et aux aléas qui ne manquent pas d'appa-
raitre dans ce genre d*&tude.

-
- - -
-
-
-II
-.------
v
-
-
e
-
-
-
-
-
-
.
r Zi?ScPJr\\lEL
L
-
1 .î. 1 chercheur cxp--itriG
1 .;. 1 technicien sup$ricI1r
;.700.000 F CFA/an
3 ans
5.;00
1.3. 6 enqueteurs
603.000 F CFk/an
7 annks-enquêteur
4,200
2 - VEXICULES
2.1. Véhicules type 4L
2.400.000 F CFA
2 .2. Mobylettes
200.000 F CFA
3 - NATEiiICL
3.1. MattSriel enqu8tcurs
;100.000 F CFA -
3 .2. Magnétophone
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3.3. Appareil photo
500.000
3.4. Matériel de bureau
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3.5. Matériel camping
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