CONTRIBUTION AU GROUPE DE TRAVAIL AD HOC DE...
CONTRIBUTION AU GROUPE DE TRAVAIL AD HOC
DE L'EVALUATION DES STOCKS DE CEPHALOPODES
DE LA ZONE NORD DU COPACE
(TENERIFE, 27 - 30 JANVIER 1982)
PAR
MOUSSA BAKHAYOKHO ET OUSMAN DRAMMEH
R A P P O R T I N T E R N E
No 36

COT,TTRIBUTION AU GROUPE DE TRAVAIL
ad hoc DE L'EVALUATION DXS STOCKS DE CEPHALOPODES
DE LA
ZONE NORD DU COPACL: -
(‘I%XZ?IF’E 2740 JANVIER 1982)
Xléments de biologie et d'identito des populations de seiches
(Sepia officinalis hierredda) des &tes sénega..biennes
Moussa BAKHAYOmO (1)
OusmanDRAMXZH
(21
.
I N T R O D U C T I O N
I~X, esp&ces de seiches sont capturees par les pkheries s6nZG;i~bio:zxx C;
c(;p:;;~.l,yJo&es : Sepia officinalis hierredda et Sepia be;%helotio Cette Le:~iGx
e~;$i;c constituant moins de 15 des prises, c'est Seeia officinsiis hierr?i2..
-y-----~'- .l
q*ti rctia::clra ici notre attention d'autant plus qÜÜe représente plus iio c:3 ;r
(lcr; Ve 1
..i P,'\\ ,
..M., L tcrro de c6phalopode.s.
L1oxploitation de cette seiche a commencé,au Sénégal en 1973 pr us f’l~jt-
3.22~ 2.e chalutiers sénégalais. Celle-ci a été renforcée en 1975 par xie fJottL1L
. .
pirop:lcre.
cz-;rj cc travail, nous analyserons l*evolution,de ces p%hcrias et :t‘t:rc:r~ !i
tX;2’.-
a..." d-3s ccr.naissznces &sur la biologie et l'identité des populations ~@~iti..
de ce coilusque céphalopode'sur le; cetes sénégalaise et gambienne (-ii;* ?)*
I- EVOLUTIONSE L A P E C H E R I E
Dr: SEIC*4ES
D E S COT.ES .SENEG'ALAISES
1. 3Vi)LUTIOX DES FLOTTILLES
Ma flottille chalutière est comnosée principalement de chalutiers *-7-**::
o$rk en boeuf et de quelques chzutiers congélateurs classiquc~(t~biIY~~~~ ::ir
,
-
.--.“a..
I,
i:> Zller¢!:cur au Centre de Rsoherches Oçbanographiques de B&ar-%iare~> ;:::< ~
3?. 2241, Dakar (Sénégal.)~
*
(21 Zologist, Fisheries Department, 6, bkri.na Parade, BarLjul (2%~ G~xkia)

A-., .
dur,s la p&che de la seiche.
\\I”L&.
-qt:cialißés
L L e
<:;k.zt 5 la Îlottiilo artisanale pirog-uibro, elle ne recherche pas 8J-J-t;&,&<‘+. :; __
-*p-t &-c-i’ c‘a3 espke. hile développe son effort sur elle essentiellc::icnt XL CC’Z’T: ‘:;a
pre:.-.ier r;e-ze strc quand le mollusque gagne ,les petits fonds pour la repxi~ùr;;i;ri~ *
y;&:0 &. f &zYectuo alors à la turlutte et au casier. Nous ne connaissons pas weo
cxactivüdo l’affectif des pirogues qui s’adonnent à cette activité penCaz& 1s. ;>l-..
rioce *ü*~~ls~ble.
Z;ou3 pensons toutefois qu’elle avoisine 300 unités.
2 a LX Zi’ATIS~TI~UES DE PECHE
2.1, Los prises
Lcij i;,r~sos de seiche augmentent depuis 1973, aussi bien p01.Ü la p?:>he ik!.“.:-*
triclic &aluti&m que pou la pfkhe artisaz&.e piro&ère (tableLu II), ~~0fiOY.S:
toutefois que les statistiques des années 1973 à 1975 sont peu prrjcisea,
far aillews, la part des captures piro,guiéres dans les prises &!obalea ilz
-e
CCC” de croftrs passant de 22 $ en 1975 à 36 $ en 1977 et 46 5 en !P&I+
2*2. Les rendements
T.,s:: chalutiers boeufs étant plus spécialisds dans la ptche dos scic!xi c:i
e f f(. ,T. : y . ,
. , .,,,x*Ç pins de 40 $J des captures, leurs rendements ont été re%nus CXCS~.
indice 2 r abondance apparente.
Les fi,bg,zes 2 et 3 donnent les évolutions mensuelles et anzuûlles de ces
rerde.2xzlts. On note qu’en 1980 ceux-of ont été surtout élev6s d’avril .k juillcb.
et se sont maintenus au m$me niveau azur331 qu’en i 979. .
.
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I I œ R E P A R T I T I O N , ~
REPRODUCTI,ON
E T
C R O I S S A N C E
D 3 ?,A SEICHE SUR LES
CjTES SE.NEGkii.C- V3S
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* *
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RZPsL?TITIOX ET
3iIGRUXONS


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1.1. Repartition
.
.,.,.;c: Ltudon rkalisée s au Centre de Recherches océanographiques de D&U.+-?X::i,*’ ‘i,
( 4r:;::y~;yo.. j98f-J) montrent que les seiches se rencontrent sur toute le c8Vo *.‘*.
L. *.* i 1,s
” .,.,.,, :.; .,.-.. ;+
~Lj”“lr.r..d, sais qu’elles sont plus abondantes sur la c8te sud,du Cap Vert h 1~.
Casx:.zcc,par do,p fonds infkrieurs à 50 ma
c’est d’ailleurs dans cette, zone qu’opèrent les chalutiers et les pirogues;?
ccc U*;yr-l’
axes traw.illrtn~ plus cependant cotiere.
Il faut noter aussi que les seiches de grande taille (supZriec,re à 30 CL: ~2
ïJ::c,i ::‘x* &u manteau dorsal) sont capturees uniquement sur la Petite CStee et
~rks;palcxent sur le,* faibles profondeurs, de janvier & avril. 511~s 3e CC~,-:
jazais prises en Casamanoe.
i .2, Xi;-;ratior,::
A l’intérieur de la zone d’abondance maximale définie ci-dessus, on, obx,:-rf.
rCa:: aigrations c3to ‘argc et des migrations nord sud.
Y: < 3 seiches f rrjoi&nent en effet les petits fonds de janvier a juin et 2
cXcc-luor.t des déplacement nord-titi. Elles regagnent ensuite le large au s~c:cz,:,
semestre cn migrant vers le nord (fig.4 ,).
_.
+ .

2,:. Les uériodes de reoroduction
UC+:; seiches se reproduisent de janvier à septeq3re sur les petits fonds, icz
y....::::cs de janvier à avril, les petite s et les moyennes de mai à sept~~bru~ i,
pijrixh do pont e intense se situe cependant de f6vrier à mai.
Xico fixent leurs oeufs sur les algues, herbes narines et débris solL5er
zllo-,~;i;u variés que l’on trouve principalement de Joal à Sangomar et en :a~ &z
fi CY&‘*.(-J L> *
.2 * 2 p Echelle et taille à la nremière maturité
“l..
., _ . ...<
GckA3.e de maturité a été etudiée .(tableau 3) et utilisée pour d&tc-iz;:
1.s t-::::a à la première maturité des femelles. Celle-ci se situe à 13,5 cm-
2,3. Fécondité
F%
II
2,yjp
L
‘t77
oil ?o Sêsigne Pe nombre d’oeufs pondus par ano
c$ ‘s
la longueur du manteau dorsal en cm.
La fécondité varie donc de 250 oeufs pour les femelles de 13 CZQ à 1 ~$2 u ,;..“..,
~0~: celles de 35 cm (taille maximale des femelles). La fécondite relative r;.:~::.,~-
-; &q; rt; CG% de O,52 oe-ufs par gramme de poids.
Z.4. Capacité de reproduction
.
;,a capacité relative de p&duction d'oeufs calculéeS stivan.t la Faille ~<‘y~?‘..:.: 1
r;ue CC sont esseatiellement les individus de 14 & 23 cm qyi pazticipefit le ,‘*”
p-L ..z ’
1:~ r~:~~roduction (fig. ,7) dans la mesnre ob ‘les captures constitue :2x! bon FiCh.Z”i.~~..~~
loEX:;ZZ de la population.
5
2.5. Scx ratio
Le p-n-i
.-.-or trimestre correspond à la période où toutes les t;-i:.:;,.. :; :’
,‘,;li;ic::,
se rcxcntrent sur la Petite CBte.
ua Gchaqtillon de 5 356 individus mesurés à bord d1u.n &a,luti,ti.. .~,:,,..:,.:~rc~~ iiz
SLrû :‘Y79 da.ns cette zone comprenait les pourcentages suivants do f3:“z,.I::09 s-dvzz,,,,.
l a tci,l le (fig.5).
Lru faiSlos valeurs Pi?XUZeS
entre 20& 23 cm et au delà de 32 CE son+, CIL.~!:~
a fa3 G’il y aurait deux classes d*$ges (de 0 à 23 cm et de 24 & $0 cm) at r,-;,.,
pour chacune dlelles les individus de plus grande taille sont constituis de zlzG-;
qui awsicnt uue croissance plus rapide que les femelles.

xotoxi que 1% sa-ratio obsemé tic les captures varie aa coux dti L’Ûu&@
.
3.
FSEXIERE
T E N T A T I V E D'EST~WATIOH
Di;X L A C R O I S S A N C E
L,: *...,, .
r,A .-,izer mode qui. apparaft dans les histogrammes obtenus c1 partir des x,;;~-z’.
.LCS c:-,:Al*&icrs se situe à 9’cm de longueur de manteau dom&
La craissaxe. a été étudi& chez les mues, de 9 cm à 25 cm pc3’ la mdtFc& ,::.>
letcr3 ?rir
C3:~A.ULa.nt 19s periodes d*&losioza, la ~roissanoe a été Bgalemsnt ei;txGc
2c la naixzbnce h 9 tm*
Las équations suG-rantes ont et6 cbtenues (fig. 8)

ri
7 cal 246 t G 10,lO
(1) P intervalle d’observation de 9 à 25 oa
L
tI
2,o
t
+
0,7
(2) P intervalle d'observation de lkeclokxz 3. 5 :.'
L cr, ~3 et
t en mois.
A: uzJiss~co en
ids r&sultant de ces équations et rie la zeh%l.;c -x.ilZ ;--,
pidu sgécrit (fig. 9 :
.i
Il
m
11,85 t 27"
‘^ ” ‘.,
-,-*‘:c iL on gramm3 et t en mois.
-2,
..a.* wp~osant que la croissance est identique pour les deux serw jz:qtly‘iV :..
. . .. . . ..i(Lti a la première maturité (13 cm), les femelles commenceraient leur prr:k~:.~.
t-:rztuxtion sexuelle à 1'3ge de 5 à 6 mois.
;i-
R E L A T I O N T A I L L E - P O I D S
La relation entre la taille et le poids a éte calculée à partir de 512 k.:i\\.:::
r:t ,471 fe~ellos echantillonnés au cours de toute l'année 1979 EILLL+ 13 Patifc C&~L
Lot rsstitats fQgurent dans le tableau ci-apr8s :
III œ I D E N T I T E
D E S P O P U L A T I O N S
Dr:
S E I C H E S
E X P L O I T E E S SUR L E - S C O T E S
S E N E G A IBIENNES
Lc’ft&c de la rspartition et de l'abondance des seiches sux la %Vite CI:52 .::Y,
c -. cr~:;~~;~~-Lcs 3 3_artir de statistiques de pkhe chalutière (BA!!5APGKZO, 19%)) i
rl ::til-;i< S Znettre l'hypothése qu'il pourrait exister deux stocks de part et
ci' r;ütro de la Cmbie.
Ii=1 o?Lct, les schemas de migration (fig.4 ) résultant des variaticxs ;;pu,‘"c1:‘,-
r.,.l:p)?r.:-i.:.Cr; de l'abondance et des tailles (présence de grandes, petites i;t ;ioyx.zx
$ &> j* <: I :__ t; I * i .
"L lz Petite Cbte mais presence uniquement de petites et :~&CIL~;; do
*T. .i~'c;:::c.~ ::cichea en Cüsrmce) sont differentes dans les deux zone::*
c;.: !<....
,l~.~.,'.:.z~t, en absence d'études biologique, biométrique et étholoeiqw des
L<=*.;~::J p8ch6s sur la Petite C8te, en Gtrmbie et en Casamance, il est di.ffic%
à,:, f.: .>y‘".-nner ou d'infirmer cette hypothese.
Lx ::z.p~e conjointe de chalutages de prospection effectueo en jui",!.et et çz
i.-t+ ?Y31 sur le plateau continental sénégambien par le Centre de 3echerc;hes
. ., ',<
5 _' L L- : ;j ,_~*,*.':.::,l=iques de Dakar-Thiaroye et le Visheries Départment" de Gzzbic, à
!' .?t : T' S:I "ux ctiutier spbcialisé de ltarmement sénégalais S?%Bi%SCA, & ocrE7A-i;
_
.., , 1 F ", f
I" . .."/"
~~.x.ltats suivants sur,la répartition et la.bion&trie de Sepia offi,ci,nnlln
k:cm?d:ln.
.

1. !Gpsrtit ion
? -
LQC, seiches sont @sentes sur toute la c8te sud de la Sané~m’oie. Cti;e,rZ:
les cc2wntrations e t le tsilles varient suivant la latitude (Ïit. 10 - II -
la profczdeur (fig. 13 - 14 - 15) et le type de fond (fige 16 - 17!*
?:
? .
Aouteiols, l’hj.stogarnme des tailles regroupées (fig. t8 mont?e *S =;:.Y; i.,.:..;
^. .
+i est ;orcu que les seiches préférent les fonds sablew: (et "c.b~~-t~i..‘.-.~~.; )1 L
v:.u’~;J -ow les jeunes) où elles s’enfoncent quand elles sor.t ;A x::.~r: :‘.L C: /’ .:
.
*
1,:s - . *.. -a?s, ‘r,erbiers et débris &loncés pour fixer leur ponte (?.~~IL’.~L:::i:,C;! : j _ >a,
I &? _ &z ‘,L I y&cn;ent connu (DOXAIN, 1976) que la Petite C8te est trkf; mb2 LJI c.*:
cc\\;‘*a,i 1%~ $1~ prairies d’algues et d’herbiers alors que le littorc;l do 1,~ w:~.:.:i.
I’^ ‘!
\\-c;: AL Casczr,:ance est plut8t vaseux et sablo-vaseux. La sédimeiltolotic 5.l ?l,;~.::::
sist&axbien serait donc B l’origine de la répartition des seiches*
2. Le sex-ratio
Le sex-ratio global calculé en juillet 1981 Ct partir de ‘7 03s i:niii.cii::.:~
.$i;. ::i,c lu c8te sud sén4garnbienne est de 45 $. Il varie cependurt wiv&.nt i,..
.*I ,*j
. . . . 13 Petite C8te, en Gambie et en Casa-nance, il est respectivement de ~$3 i-S,
11 i’
..“V ,,i & 4-4 $, les calculs étant effectues B partir de 5 489, 1 020 et 3”jv 1;: :: i .-‘”
GI-‘ c; *
” cetia 1TLiff6rencegt
est liée au fait que les seiches de 15 à 12 cm, :1$;s ::-
~l.on~~~cl;es pendant cette période sur toute la c8te (fig. 18)) ont un so~-r,!, i:
r;rpbrie-z & 50 $ et se trouvent plus abondamment sur la Petite Cete.
Lorsqu’on examine le sex-ratio suivéwt la taille en fonction de la latitr~
(fie. 19) les courbes sont comparables. Elles reste& toujours conpara’ble,- 2:::‘.
le CU du sex-ratio selon la taille en fonction de la profondeur vur 1,~; fr:.
Ce i0 & 25 voire 30 m (fig. 20). Quelques différences apparaissou çe~~M.z,z.~~ c.;.
iclà de 26 m liées probablement à la faible taille des échaxM.llons et pe,r sti:.
leur non représentativite.
3. Slation taille-poids
LS relation entre la taille et le poids a été calculée pour 611 s%le; v.s
c2 ”
; u 31 ci2 p8chés sur 1 a Petite Côte, et pour 223 m%les de 7 à 25 om ~z:~)tuzLc-~ C:L
:J.;>g‘&yCe* Les equations suivantes ont été obtenues après ajustemont par la zt-
tkode des moindres carrés :
.
P e t i t e Cbte : P lin 1,86 LO,35
- .
Casamance
: P ri 7,80 L o*35
I
I, r i;cz”; -i;-e de 1 ‘exposant est de 0,O’l ; P est mesuré en grez!me ei; L er cm,
Cn constate que le& courbes sont comparables.
C O N C L U S I O N
1-
- ,.
AJC?: ..L a%~ te;Jps, AS rendements obtenus prrr les chalutiers booufz Y~E.*:.,~...
.’( 3C’ù*:sl - butcaux zyant la seiche comme Cible pendant toute l’e.nnQo) zont r-::;t,l;
~:.:ui.~.~:~~t constants à part une chR,te en 19’78 provoq&c peut $:re >UY L;:Z
C:L--..C:..!.*Lrion de l’effort de p&che des bateaux kotiens
opérant à parSi:: dit! 1s
cg;;; 2 ”
;. ..l
I_ uilleurs, la taille moyenne àes prises est restée constaz~to.
CI/.c;;-:;.’e quo les pêches piroguières ne portent que sur les adultes, il est dort
vrs~rcxUilab2s que la ressowce ne soit pas mena$e.
itiSte première conclusion doit cependant $tre considérée avec pr,.&nco,du
.xkx >xq-u’à l’obtention de données fiables sur la production naxim.,.le éqqA2ii;;+Gr
i-ii ;t&j: senégzbien que nous avons tOti lieu& penser ag&terat qpfi% er-;

.
-~~+~+,Y$~> > conpte zenu : .
- de la distribution oontinue des seiches. sur le littoral,
- se la stzmctu.re en taille unimodale des captures justeavatla ;X~XI<:::::
juillet.
_ C*c llLl.lüre àu sex-ratio et de la relation taille-poids qui sois;: co;-,>T.-
CGOY les seiches pachée- sur la Petite Ci333 et,en Casamnce.
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Evolution de la flottille sénégalaise (1973 - 1981)
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~‘~,:-iz~.u,ïj II,-. Evolution de la production de seiches débqc$os au
Sénégal ( 1973 - 1980)
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