RAPPORT DE STAGE EFFEC'J“U6 AL1 CROD'l'* DU...

RAPPORT DE STAGE EFFEC'J“U6 AL1 CROD'l'*
DU 15 OCTOBRE 1984 AU 15 .JANVIER ‘1'18.5
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'(*) CENTRE DE RECHERCHES OCI~ANOGRAPHI~~~l1F:P, DE DAKAR-THIAROYE BP. 2241 _-
DAKAR.

~:ARA~TT'ERIS'rI.r~UI-~ YT T[::(:KYT.QII\\ !II; i)!.:CliJc l?ii "T!<AFI,t?i<l"
1.1. Caractéristiques du "Tsiiflohi"
_-~~---- ---. - __--- --_-
1.2. Equipage
.-
1.3. Engins et techniques de pêcht
-
-
_--__ _~ ---.-_.
1.3.1 Les engins
1,3.2. rechniques de pêche
2.1, Origines et nature des données
"_1_
-"^-
2.1.1. Origine
2.1.2. Nature
-,
1.2. Examen critique des données
i
- -
2.2.1, Données observateurs
7
2.2.2. Données SAFCOP
8
2.3. Conclusion.
8
3,z IIEPARTITION SPATIO-TEMPORELLE RE I,YAC"rJVITE Dl? PECHE' Dl! "TSAFLOHr'"
(1
40 EFFORT DE PECHE. : CHOIX D'UNE UNITE D'EFFORT
l t
5a ETUDE DES PRISES
5.1. Importance et répartition géographique des prises
---.-
5.2. Composition spécifique des prises
5.3. Variations saisonnières des prises
5.3.1, Variations pondérales
5.3.2, Variations spécifiques
6, ETUDE DES RENDEMENTS
I 7
6.1. Introduction
1 1
6.2. Rendementss3baux
1 ?
-
6.3. Rendements des principales espèces
1 8

- Sardinelles
1 8
“- Chinchards
1 8
._ Maquereaux
1 9
6 . 4 . C o n c l u s i o n
A - _ - - - - 1 _
1 9
7 e ETUDE D”UNE ZONF’ PtGt’~LCU1,IE:IZF : LA !JASAWNI’:I,
2 cl
CONCLUSION
2 2
BIBLIOGRAPHIE
2 4
TABLEAIJX E T FTCIJRES
ANNEXES
,

I .2. EQUIPAGE
1.,3. ENGINS ET 'TECHNIQUES DE> PECHk
1.3.1, Les engins
-
-
-
Ce navire utilise deux types d ‘engins de pêche : tantôt QI~ chalut @La--
gique tantôt une senne taurnante. Cett.e dernière a une longueur de 728 m et.
une chute de 100 K tandis que le chalut pélagique a une ou~uert.urt! de 40 rr
sur 30.
1.3,2. Technique de pêche
-
-
-
Le patron de pêche peut détectey
‘Les bancs de poisson et apprécier leur
t a i l l e 2 l’aide d u s o n a r .
Très souvent aussi 5 membres de l’équipage se mettent sur le pont supé-
Pleur avec leurs jumelles et. scrutenl:. La surface de l’eau pour déce.ler 1-a
présence éventuelle de bancs.
A 1”approche d’un banc à capturer, un des membres de 1 ‘équipage fait
descendre I a vedette dénormuée “Takoradi” qui est rattachée su navire par une
corde mesurant approximatzivement 100 m,
La vedette permer de retenir lâ serine au moment de l’encerclement du
banc de poisson. La rizussite de l’opération dépend de la vitesse du bateau
(jusqu’à 10 noeuds) ; ainsi un banc peut être encerclé en 1 ‘espace de quel-
ques minut es.

y---. -- _“--- ~_--.-” .,-- I -- -i-------_._nl ._,__-,-_. _,-- ,
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Cette étude a pour but J1analyser I'nc:t i.vit@ ci<, ~)iy:!~t* ,iu ;lavirll Eha-
naeen le “Tsaf lobi’“. Ce chalutier-.senneur, ;-rffrî?té par- y.a Sc‘ciéti7 Africaine
de Commercialisation des Produits de la Mer !SAF(WJ :3 t:t.:ivail 1: sur les
ciites sénégalaises de Novembre 1982 à Août 1984, Clan!5 i,L‘ ! FLC1I-r dii p~OtOCO1~
é t a b l i e n t r e In SAFCOP et l e Secretariat d’l<eal
3 1 ;f Pi;::hto Yari t iw (:Annexe
Ij 1
Les données disponibles pour cette ana’lysc: ont deux origines :
- la Direction de 1’Océanographi.e
et des Pi?cht Marit k?!+ (DOPM) sous
forme de bordereaux d ‘observations I
- la Société Africaine de Commercialisation des Produit::, de la Mer SOUS
forme de déclarations de captures et de fiches de débarquement It
Cette étude décrira le bateau et sa technique de p&he, puis après
1’ examen critique des données, abordera l’analyse de son activité de pêche,.
1 *
C A R A C T E R I S T 3: Q U E S
k. ‘1
T E c 1-I N 1: Q u E s
DE
P E C H E D U
9 5 A F L, 0 B x IY
1.1 o CARACTERISTIQUES DU “TSAFLOBI:”
Le “Tsaf lobi” est un navire de conceptit>n très moderne e Il a été cons-
truit en 1982 en Norvège mais il a travaillé au Sénégal sous pavillon gha-
naeen. Ce chalutier-senneur long de 31 m (hors tout) e’t large de 9 m, jauge
299,52 tonneaux de jauge brute (TJB) et d.éveloppe une Puissanc:e motrice de

C e t t e lenteur a u ci6barquement seirait du? 5 une mauvaise planî f içat il,!;
Gnsi qu’.3 dcss pr~bl6mcs d e personnta! a u n i v e a u d e 1 “ u s i n e . 11 Faudra C;I
9- ippc:ler a v a n t t odte u t 11 i s a t i o n dc>c. Tfsu1t:at.s d e 1 ’ walyse FI sui.vrc, C!~I!
13 srr:sté~gi.e de p ê c h e clrj bateail e t >.rls q u a n t i t é s c a p t u r é e s s o n t p-1~~; t-)11
m,3inri l i é e s li c.et tfr C:ontrainte.
2 .
0 K 1 G i N E s
ET
VATURE
D E S
D 0 N h %: 12 s
D ‘C S P 0 N 1. B L E S
E T U D E
c K 1 ‘I’ 1.0 u R
2 I_ 1 > ORIGINE El‘ NATIJRE DES DONNEES
2.1.1. Origine
-~_--I
L e s d o n n é e s dispon.rbles sont de d e u x t y p e s : c e l l e s o b t e n u e s auprPs des
o b s e r v a t e u r s q u i e m b a r q u a i e n t à bord d u “Tsaflobi.” ; et celles de 1.a SAFCOP:
société q u i . t r a i t a i t 1;; t o t a l i t é d e l a p r i s e e f f e c t i v e d u bat,eau.(le s c h é m a
d e l a p a g e s u i v a n t c i l l u s t r e l e c i r c u i t e m p r u n t é p a r les différentes données
depuis le bateau jusqu’au CRODT) e
2.1.2. Nature
S u r l e s f o r m u l a i r e s m i s à I n d i s p o s i t i o n d e s o b s e r v a t e u r s p a r le p r o j e t
PiPS ( P r o t e c t i o n e t s u r v e i l l a n c e de:? P ê c h e s a u S é n é g a l ) ( A n n e x e 21 sont rien-’
t ionnés :
- 1 e n o m cita 1 ‘obs~~rvateur,
- 1 t' i 0111' rlr
d é p a r t et l e io19r tI’:irrivC;. tir! bateau ;1u p o r t I

D I A G R A M M E
D ’ A C H E M I N E M E N T D E S D O N N É E S D U “‘Tsaflobi’
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D e b a r q u e m e n t
d e s
prises
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d ’ o b s e r v a t ior;
S A F C O P
pour la durée dune
d é b a r q u e m e n t
D é c l a r a t i o n
m e n s u e l l e d e
I
c a p t u r e
P r o j e t
p s P si *)
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I
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R é s u l t a t s
R e c o m m a n d a t i o n s
(*] P r o t e c t i o n e t s u r veill ance d e s Pkhes a u S è n é g a l

2.2. EXAMEN CRIT LQUE DI!:S DONNEES
La qualité des données statistiques est la base fondamentale de ton!:<.
i3tude de pêcherie. Pllrsieurs crit.iques peuvent être portées sur les donnr?es
dont nous disposons z
2.2.1. Données observateurs
- La première remarque porte stir la fiche même utilisée par les obser-
vateurs . Elle n’est pas adaptée à la pêche des petits pél.agiques c6t:iers
car seules des espèces démersales y sont inscrites. Ainsi la concept:ion
d’une nouvelle fiche propre aux petits pélagiques côtiers doit être envi-
sagée.
- Les observateur:; confondent assez souvent les différents types d’en-
gins de pêche. C’est: ainsi que pour décrire une senne tournante,ils parlent
de corde de dos, de longueur de bourrelet et de durée de trait alors que ces
termes sont réservés principalement aux chaluts.
- Le temps entre l’heure de calée et l’heure de vir6e est considcrc
différemment selon les observateurs, Certains considèrent cette durée comme
étant celle de l’encerclement du banc et. dans ce cas, elle du.re 4 à 6 mr:
tandis que pour d’autres c’est la .durGe totale de l’opération de :,êchcs der~~~i~
l’encerclement du banc jusqu’à la mise dans les câles du Doisson. Parfois
même le temps de ra-nendsge y gst iTIC1use Ce t.emps varie dc 4 mn :i que Lquez:
heures.
- La composit- ion spGcifici,.<. n’est indiqu6, ~II(‘ trBs rnrcmënt par les
observateurs.

2.2.2. Données SAECOP
--__~----_ “_- -
Par ai41eurs9 les donn6es de Juillet ri A~CJ~ 84 rw ~w~t pas disponibles.
Notons que pendant, les mois d’Avri 1 et de Mai 1.983, per<ode de Car@nage du
bateau, il n’y a pas eu d’activite de pêche..
2 c 3 5 CONCLUS TON
Les données disponibles pour 5 ‘étude de 1 ’ actiwiti? ii.* pêche du “‘Tsaf la-,
bi.” J bien que dPorigines diverses et de qua5 rt:i+ variées i sont incomplètes
si on les examine séparément par origine. De
nombreuse incohérences ont
été relevées à. leur comparaison.
Des mesures en vue d’améliorer 1.e syst&w de col Iscte riez: données
Sevraient donc être entreprises, C:eci par une adaptation des fiches d ‘o’b-.
servation à bord à la pêche péi.agi.que, une fnrmat.ion complémentaire des
observateurs et. par une augment.ati.on du nombre d’embarquement pour couvrir
5 Pensemble des mar6es a Ainsi., 5.es données gagneraient 3 être plus fiables
et complètes.
Toutefois un recoupement assez minutieux des deux types de statistiques
permet de disposer de l’information minimaic. pot.~ 1 !analyse de l’activité
du bat eau,

La st rat i r’ j cat Lon @!op,raphi que ~IrilisZc pour cette iitude est ~:ellc déjs
firnp f3yGe poil t ’ (‘t petir:,, pélagiqlie:. iltcritt: p a r ROET~U e
t

CHARANNE‘ PI~ 1q71
(fig. 2 et 3).
Durant GO~; sëjour ;le novembre 82 au mois d ‘Août 84, sur les (:Ote:; séné-
gaiaises, le “Tsaf 10’3i” n’a jamais pêché au nord de la presqu’île ::Lu (:a~-
Vert e Cepend:+nt. son act:ivitë de pêche s’est étendue sur toutes la zow al--
1 ant de Daka I. .IL.~ cap Roxo p entre le:-; strates bathymétriques 10 3 500 XI..
I_;i cart~,graphie des positi.ons {le nêche nous a permis d’indiquer 1r.h.c
zones de pêche fréquentées à chaque mois et Les profondeurs où ie bateau a
travaillé, (Voir. les tableaux 1, 2, 3 et les fi.gures 1, 2, 3).
Au mois de Novembre 1982 > le hateau a prospecté 1 es z,ones Sarene et
Saloum dans la bande 50 ri 100 m.
En Décembre, il descend vers le sud jusqu’en Casamance puis remonte en
zone Gambie pour terminer son activité mensuelle au Saloum et ceci entre les
strates bathymétriques IO et 25 m.
- Le bateau a continué à pêcher en zone Gambie et. en Casamance au mois
de Janvier 83 dans la bande des 10 à 25 m.
- En Février, il remonte vers Dakar et c’est dans cette zone que toute
l’activité. de peche est concentrée durant le mois dans la bande des 100 à
500 m.
- Durant les mois d”Avri1 et de Mai le bateau était en carénage au Ghana...
- Les différentes opérations de pêche effectuées en juin ont eu lieu
dans les zones de Sarène et Saloum à des profondeurs variant de 25 à 50 m,
- En Juillet, Sarene principalement et Dakar ont été prospectés dans,
la bande des 10 à 50 m.
- En Août, les différents lieux de pêche se situant de Sarène au cap
Roxo (exceptée les zones Gambie et (ialoum) ont été visités dans les strates
bathymétriques 15 à 50 m.
En Septembre, l’activité de pêche du “Tsaf lobi” s ‘est dëve Lapée à
Sarène sur les fonds de 50 à 100 me

En Janvier 1984,. 11: bateau .! frequentc, ‘es zone:<
!;aIounI e t Casarlnnce
sur les fonds rie 10 ii SO ;n
Au mois d”Avri 1 84, Lt: bateau en plu., ci<re je112 z o n e s pr@cit&es ;:I visite
la zone Roxo dans la strate bathymétrique il ij 25 m.
En mai f ~MI-es Lee w~rations de @ch+: =nn1 centr.al.isees au Saloum sur
les fonds de 10 a 25 rn.
En Juin, i.:l redr.scenà jusqu’en Casamanc~: p;jllr y réaliser toutes ses can-
tures sur les memes fonds qu’en Xai s
Au mois de Jui Ilet; le “Tsaf :lobi” est n‘est6 au sud en prospectant les
zones Casamance e0 Roxc toujours dans la strate 10 2 25 ;Il.
L’activité de pêche du “Tsaf ~tobi” au Sénégal s ‘est achevée en Août 84
dans les zones Saloum et Casamance dans la bande 10 à 50 m,
En somme, il reste à retenir que : 47 ‘2 des opérations de pêche ont eu
lieu à Sarène ensuite 23 W en Casamance, 19 :i au Sal.oum, 5 X ;Z Dakar, 3 5:
au cap Roxo et enfin 2 % en Gambie.
Il est à noter aussi. que 87 .X, des opérations de pêche ont été effectuées
dans les bandes X0 à SO m ; 1 I % :sur les fonds de 50 à 100 m et les 2 % qui.
restent dans les strates bathymétriques va.rient de 100 à 500 ‘rn (fig. 4, 5 et
tab. 2).
En examinant les différentes opération..- de pêche effectuées (72 coups
de chalut et 71 coups de senne dont 4 coups de chalut nuls et 10 coups de
senne nuls) dans les zones de pêche (fig. l>, on peut. conclure que 24 % des
opérations effectuées par le WIsaflobi” ont eu lieu en. dtrca d,e la frange des
6 miles,
Le bateau a eu le mérite d’aller chercher du poisson dans les zones
non traditionnellement exploitees par la flottille sardinière, notamment en
easamance
et sur Les fonds supérieurs à 100 m en Février devant Dakar. Sa
stratégie, qui l’a amené 2 prospecter toute la côte sud sénégalaise à toutes
les saisons hydroclimatiques semble se dirik;er vers un type de campagne ex-
ploratoire ayant des objectifs à terme plut.6~ que vers IN-W forte rentabilisa-
tion économiqri<. immédiate.

* L a d u r é e d e s operations dc: pic:he p e u t t r a d u i r e 1 ‘c>f F o r t danx, 1-e cas
--._I_
d e p ê c h e a u c h a l u t p6laRique : PM* i a sennt~ t o u r n a n t e cette d u r é e n”est
i n t é r e s s a n t e à conna?:tre q u e pour .wtwijir l a soustrai rtt du temps passé s11.r
l e s l i e u x d e p ê c h e e t . e s t i m e r Ir tempos dr r e c h e r c h e .
D’autre part, l e : t a b l e a u ci-apr7.s e t 1 a f i g u r e h oïi ne sont: reportées
que les données
d e s
observateurs , e n t r e l e s o p é r a t i o n s d e p ê c h e ef-
f e c t u é e s p a r l a serine t o u r n a n t e e t lr c h a l u t pelaqique.
--“~ -._---- -_____ -.--
CARACTERISTIQUES
SliNNE TOURNANTE
CHALUT PELAGIQUE
Durée moyenne d’une opération
49 mn
de pêche
Nombre total de coups
7 1
Valeur extrêmes de la durée
4 mm .-’ 4 h 13 m n
des coups
Nombre de coups nuls
1 0
O n p e u t r e m a r q u e r q u e c e tablrair e s t p r a t i q u e m e n t inexploi.table e n c e
q u i c o n c e r n e l a d u r é e d e s o p é r a t i o n s d e p ê c h e é t a n t donno l a d i s p a r i t é d a n s
l a q u a l i t é d e l ’ i n f o r m a t i o n .
Les observateurs considèrent
1 :t -irlrée d ’ u n c o u p d e scnne s o i t 3:0IIEW!
é t a n t s i m p l e m e n t l a durge d’enceri.Il-lnent d ’ u n b a n c , s o i t l a d u r é e d ’ e n c e r c l e -
ment et de mise à bord iiu poissw ii 0 i ? c’nçor(a 1 a durée d’encerclement, mise à
bord du poisson et r@parat i o n d u I:i 1111..

* Le temps de mer ‘Quand la mar6c i tic’ I,,I 1sii1 4e f rmpa mer p , cette unité
----_ I - - - -
sera satisfaisante, “Quand !es temps mort3 ‘- t.,t11 i ï mpcrt nnî.5 , e’lle donnera des
indices d’abondances bia i sés 9 peu sensibles il Or irar.iati<);ls de densité’” (in,
-
COPACE/Tech./80/19) m Dan<.; le C:i:ls d u “Tsaf:loL~i” 1 ‘$etirc dl:: :iGpart du p o r t
et 1 ‘heure. d”arriv+e ne sont: PAS indiquées I. : aFjrii rend impO5Sibie le calcul
du temps de mer qui ne peut don- Gtre retenll s:anmc-0 uni ci; d ’ ef >Tort de pêche il
* Le nombre de marée : C’est la seule :.1111ti’ [Jr”6SenrP 3 l,i f o i s d a n s l e s
données SMCOP et observateurs et qui fait &st:aact. ion de la mixitê des en-
gins de pêche.
Toutefois elle ne permet pas de connaât r:+ 1 a répartit- ion de 9. ‘effort
de pêche dans les différentes zone et. elle F*~I i:rGs hét&ogène en ce qui
concerne la du&e d ‘une mar6e ( 1. 2 8 jours>
F-,‘L ‘Le sera ret.enue pour le cal-,
cul et 4,‘analyse des rendements car c’est la seule unité présente à La fois
dans les données SAFCOF et observateurs. E? 1.1 ‘wxmet donc d ‘avoir un indice
de I’ac$i.vité du bateau pendant. la période couverte par- cet.te étude.
La figure 7 qui présente Y’évolutlon mens:.~o11e du nombre de marées
montre que c’est durant 1.e ~nois dl: .Tui..IXet 13 1 q!le I’effort. maximal a été
déployé : 9 marées.

Au total 63 marées ont été dac larees par la SAE’COP r:andis qu’en .JuilLeî
et Août 84, les observateurs ont i’nir des rapports sur 3 marées, ct: qui nous
c,onne edne esti,mat,jon de 66 marées sur 1 ‘ensemble de !a pGri.ode Vovembro 82
à Août 84,
Les débarquement estimés pour la SAFCOP sont alors de 5 926 tonnes tan--
d.is que les captures extrapolées d’après les données des observateurs qui
n ’ ont
couvert que 36 marées sont estimées à 7 601 tonnes. Ceci fait une
différence de 1 675 tonnes soit pratiquement 25 %. Cette différence peut
.a
s’expliquer par une sous-estimation des prises par la SAFCOP où les décla-
rations ne prennent en compte que le poisson en hon état susceptible d’être
t,raité ou par une surestimation des prises par les observateurs.
L’étude de Xa répartition géographique des prises a été effectuée 2
partir des données des observateurs puisque celles de la SAFCOP ne donnent
aucune indication sur la position de pêche du navire.
Les résultats du tableau 4 indiquent que suivant les zones, Sarène a
É!té celle où la prise maximale a étff effectuée (47 % par rapport à la prise
t.otale suivie de ‘la Casamance (23 X) , du Saloum (15,4 %> de Roxo (7 X) ,
Dakar (4 X) et enfin la. Gambie (3,6 X)..

Les pet it.r: pélagiq~ie!:; ;:ot i.erj: capturus ‘1 i.:~ serine tournante stint prin
c ipalement :
Ces espèr:es pélagiques onf constitué 36 fi ~6 de la prise totale (tab, 7).
L e s especes demersales ona eto p$chées au I halait pFI.agi.que C e sant d e s p a -
geots rouges (P,zgeI%u: ::py. j _ 1 ‘ombrine du large (k,?w-z:nc canamhsis) y 1.a
saupe (~?Lpiodtr:: spp. j > 1 a doradc (Spo,zdy?i~:(l)n~
cam9zmws) 1 la seiche (Sepic!
ofCficîna lis) 9 1.a loche C,t?.rotuEa b’zrbaka) ) it: denté (Denkr sp,~.) 9 la rascas-
se
(Scorpaena spp. ) /i
Ces esp@çes démersales vu ‘leur diversitg font partie de la rubrique
“divers” qui n’occupent. que 3,6 % de la prise totale. Ainsi y nous n ‘analy=.
serons en détail que les espèces dominantes notamment 3 es quatres petits
pélagiques prdcitées (tab. 7) ,et: ce pour la période Novembre 1982 à Juin
1984.
Les sardinePles sont bes especes prinr. a paJ..ement capturées par le navire,
Les deux types de sardine’lles sont pêchées t.oujours simultanément.
Elles ont constitué 92,9 ‘Z de la prise totale soi.t 5 257,52 tonnes. La
--w
sardinelle plate a constitué
à elle seule ,SI p6 X des prises soit 4 618
tonnes S
La sardinelIe ronde ne représente que i 1$3 % des prises soit 639,52
tonnes B Les deux types de chinçhards noirs i^;I’rwhUTus $rnaks et Trachr:i.s
trecae) n”ont pas étS différencies dans les prises. Leur tonnage se chiffre
à I64,69 tonnes par rapport à la prise totale soit :2,9 %.
Probahlement 1 ‘espdçe pêchée est Tra&~~tws trmae d ’ aprèss les connais-
sances acquises à partir de la bibliographj 1" (ELWERTOWSKI., BOELY p 1971) :
(0VERK0 et MYLINIKOV, 1978) (J3OET.Y et al. I !978>.
- --’

5.3.1. Variations pondérales
Durant la saison froide de Novembre 82 à Mai 83, un ?ic des prises
s’est desssiné (fig. 71 pour un tonnage de 637,69 tonnes et un ;nini.mum en
Mars pour une prise de 65,7.5 tonnes,
Lors de la saison froide suivante Novembre 83 2 Mai 84, trc::i :+ 9icCr imoor-
tantes ont eu lieu (fig. 7) le premier en Novembre (340,9? tonnes1 1-e second
en Janvier (361,4 tonnes) et le dernier en Avril (708,33 tonnes) a
Durant la saison chaude de .Juin 83 à Octobre 83, .3 es lieu 1s prise
mensuelle maximale du bateau en juillet (783 tonnes). Cependant c’est- durant
cette saison que la prise minimale du bateau a eu lieu en Septembre avec
2 1,82 tonnes (données SAFCOP) .
De Juin 84 d Août 84, un pic a été observé en Juillet (données observa-
teurs) avec un tonnage de 318,31 tonnes,
5.3.2. Variations spécifiques
- -
Les espèces telles que le chinchard noir et le maquereau ne sont a’ppa-
rues dans les prises que durant les deux périodes froides.
- Le chinchard noir n’est présent dans les captures en 1983 que durant
les mois de Février et Mars :Ii1 i-1 B constituci 25,5 S e t 86,2 Z d e s p r i s e s ,

PXCE S6rie.s 8:‘i 9x7 : 1 I<r:
constitué 4,6 Y, et (‘),Oi+
_ Le maquereau. est
prise totale,. IIIJ I:&rie
prises mais wt:1 fips tonnages Irresqur nér Lia+- ;ih: f-:s
I:n FBirt-ies, 34) Ii a
constitue 14,04 9, :-!e La pri:;t: totale
Cet-te j-~ré5.enc~r ‘laus ies captures du
maquereau en sa:~sorh froide correspond à. sa ,IIGT i <.)dC habituelle d ‘apparition
dans les eaux s&Ggalaises. (EJ,rJERTOWS!U ut fi~f<OJ,Y + 1971 1 6
La disparition du maquereau corresponci ? qii nGri»de I~V mieration a u
nord du cap Tirniir I,:; (cf . Annexe V:
(EL\\dERTOWSK i et BOELY I 197 ‘1 ; CHABANNE,
ELWERTOWSKl, 1973)
Quant au chinchard noir,iI migre égalemeri? à cette epoque jusqu’au
nord du cap Blanc (cf. .Annexe S) 03 se situe ~;a. seconde nurserie (BOELY,
1973) t
Il est a noter qu’aucune variation saisonnière remarquable des prises
d e s a r d i n e l l e s n’est apparente dans notre étude (voir fig. 9) t ce qui est
en contradiction avec les observations de EINER1~OWSKI en 1970 qui affirme
que les concentrations de sardinelles situés a~) sud du Ca.p-Vert, semblent
les plus saisonnières * Cela peut iltre en rapport.’ avec 1 ‘insuffisance et la
qualité de nos données,
Cependant o la figure 9 qui montre 1 “évol.aLlonr de 1.a prise des sardi-
nelles plate et ronde et de la prise totale permet de voir que l’évolution
des captures de 1.a sardinelle plate e s t simiI.aire 2 ce1 l e d e l a p r i s e total-e,
Cette constatation, est tout Zi fait prévisible puisque cette sasdinelle cons-
titue l’essentiel de Ea capture globale du bateau.
Pour Ia sardinelle ronde, il existe trois pic cc?irrci.dant à des prises
maximales de sardinelles pl.ates en %Janvier 83 <, Juillet. 8.3 et Avril 84 avec les
tonnages respectifs de : 182,23 tonnes ; lSfE,l7 tonnes et 73,68 tonnes. Cepen-
dant pour les autres périodes de pêche, la prise mensuelle de sardinelle
ronde n’a varié qu’entre 0,03 Z et 6 7 par rapport Zi la prise totale, excep-
tion faite pour le mois de Décembre 83 où IZ pr:.i se :ic, sardinelle ronde a
constitué 25,5 Z de la prise tota’le.

tj .2. RENDEMENTS i;LO&AUX
~,es rendements mensuels de tout es Les espèces confondues f?nt i!tc k u.
tiies
à partir des données de 1 a SAFCOP et de celles des observateurs.
), ‘et-ude d’une relation entre ces deux PIJFY a été faite (fige 10: II! vue <.!tr
!*alculer la valeur théorique des rendements manquant dans une serie de
données (SAFCOP par exemple) à partir de 1 ‘autre (observateurs) 1
l,e coefficient de corrélati.on obtenu est égal à 0,39, Bien qu’i 1. soit
tlif f érent de zéro, cela ne signifie pas qu’il. existe effectivement une
relation entre PUE SAFCOP et PUE observateurs ‘ Ce coefficient a éte test6
aux seuils de sécurité 1 % et 5 %, en examinant les valeurs obtenues sur lez:%
tabl.es de FISliER (in, S. GELLER, 1979)) il s’avère qu’il n’est pas significa.-
-
tivement différent de z6ro : aucune corrélation ne peut dans ce cas être
mise statistiquement en évidence. Ce résultat illustre hien l’incohkence
existant entre les données SAFCOP et observateurs. Une telle relation n’a
donc pas pu être utilisée pour l’extrapolation des données manquantes et
‘la série de données reste incomplète,
Le rendement moyen global est de 89,79 tonnes par marée pour les données
SAFCOP et 115,16 tonnes par marée pour celles des observateurs (tab. 8) soit
une différence d’environ 25 %.
L’observation d,e la figure 11 qui présente l’évolution de la prise to-
tale et de la PUE (à. partir des données de la SAFCOP) permet de dire qu’une
prise mensuelle 6levée peut ne pas être due exclusivement à une grande abon-
dance du poisson mais serait plutôt liée à une effort de pêche important.
C’est ainsi que durant l’activité du “Tsaflobi” la prise mensuelle la
plus importante (Juillet 83) ne correspond pas au rendement le plus élevé
!:Novembre 82) mais à l’effort maxi.mal. L’abondance n’a donc pas été le fac-
teur limitant du tonnage captur6 par mari?e : ce facteur serait plutôt 1s
capacité d’absornt ion de l’usine.

- Sardine1 les
A p a r t i r de:+ dontbées ZIG? I.:I SAFCOIJ oii i il:. ,,,,:i.ses p a r espcce soiit
ind iquëes , les renden+~nts rnoyei\\t obtenus po~rr
:,i cardinellc plate et la
sdrdinel.1.e roridr sont re,spect rliernt-nt 65,3H et ‘? 75 tonnes par maree
(tab, 8) I
Durant I...i saison froide dtt Novembre 87 ;, %k;i-s 83, l.es rendements sont
ë levés et. ont. ~ari.iT ent re X20,X tonnes, par :i\\arBct en Novembre 132 3 0 tonne
par marée en Yarr: 03 Tc.,utefois, ‘Les renderwrlt 6: élevés de Novembre a Février
pour les deux espèces dc sardineIles sont du:: ;rx-o’bablement au passage des
adultes devan! Les cirt et’: sërGyalaii.ses l o r s dt 1eur migration (Annexe 5).
Durant la saison chaud<* .Juirn 83 5 Octohr e $33: la tendance des rende-
m e n t s de sardinel.les itait ,? Ia baisse
Cet :.c ::lnrte des rendements pourrait
être Piee 2 1~ migra!.ion des adilltes de sardine.i.les vers la Mauritanie.
D’octobre 83 à Ha-i 84 (à 1 ‘exception du mois de février) les rendements
sont élevés, Cette bonne disponibi lit é des sardinel7es durant cet te période
se justifie par les mêmes raisons que celles GvoquGes pour la saison froide
précédente 82-83.
De Mai à -Juin 84, on note une hausse des rendement.s comparativement à
la saison chaude 83,
- Chinchards
En Février 83, 1~ “Tsaflobi”’ n’a évolué qu ‘3 Dakar et la pêche a eu
lieu sur les fonds de 108 à 500 m ; durant ::v mois,, le rendement de chinchard
noir s’êleve 2 2$,16 tonnes na:- marge.
Ceci semble être en concordance avec. %es r&ultats de BOELU et al, en
-v
1973 (ef, Annexe 5) I.orsqu’i.~ indique 1.a pGri.ode d’apparition du chinchard
noir sur les côtes sénégalaises ~II février et mars,. Il est à noter que c’est
durant le mois de mars 83 que Le rendement de chinchard noir est le plus
élevé atteignant 56,77 tonnes nar marée i
Malheureusement, du fait de E ‘inexistence de donnëes d’observateurs
durant ce mois I i L n’est pas possible de cwnna~~tre la zone de pêche corres-
pondante 0
En Février et Avril 84, IP chinchard noir .?st apparu dans les prises
mais les rendements sont tres f aibles c

1 C !YP iilZkT.é!tS
t-i’ ?3;3t:i:-2lli
; t-‘::
.xlr” e1.1
lieti cri DEc~mbrt- 82 (3,5 t o n n e s CI~* .narée,l e t FévricJi Y:4 ! 5 9 23 t.on~ïe:5 par
niai-Ce) .
Ii est f!galemenr apparu dan:i !PS prises ert Février t,t Mars 83 de mème
q u ’ e n ilvril til, ; ci~pendant l e s rendibments iont presque négl i,geabl.es, Toute-
f0i.s ces
m0.i s correspondent
aux @riodes de .:onc.entrat ion d “adulte:; po~ur
la repr-oducti on dans l:t~ eaux sén6gaIaises (BOEI,Y et a1
1978) ; ces fai5les
- -0’
rendements ut: période tl+ concentrat <.on d ‘adultS~ ,:onfi rment notrts hypothèse
de départ <
6 > 4 * CONCLUS 1 O?i
Au terme de 1’Gtude des rendements, il aurait été intéressant de compa-
rer le “Tsaf lobi” à la flottille dakaroise,
Cependant > le “Tsaflobi” a utilisé deux types d’engins de pêche,, une
senne tournante et un chalut pélagique tandis que les sardiniers dakarois
n’utilisent que la serine.,.
Il. aurait fallu d’autre part que le “TsafXobi” et les sardiniers ex-
ploitent la même strate spatio-temporelle avec le même type d’engin ([ce
qui n’a jamais été le cas durant la période d’activité de ce navire).,
13 est pourtant capital d’avoir une idée de la puissa-nce de pêche com-
parée de ce navire moderne avec la traditionnelle flottille dakaroise. C’est
pourquoi, bien que cela soit critiquable nous avons consid&é arbitrairement
qu’en 1983 :
- la durée moyenne des marées du “Tsaflobi” 6tait de 3 jours de mer,
- que ses rendements étaient indépendants de l’engin de pêche utilisé,
- que sa zone d’activité et celle des sardiniers dakarois couvraient les
mêmes stocks et étaient comparables en densité de poisson et en répartition
spécifique de ces densites.
Ces hypothèses posées, on peut comparer le “Tsaflobi” qui a capt.uré au
cours de 36 marée:; en 1983, 3 175 tonnes donc un rendement global de 29,4
tonnes par jour dti? mer 2 la f lottil Ic dakaroise qui a un rendement de 14,CI
tonnes par jour d<? mer.

La Casamance, s’6tendant rlr 1-a Gambie -11 i ~11~ F:o~o, nient dani: d’êt r-e
nouvellement prospectée (depuis que l.‘,act ivi i 6 f,.it p ê c h e d e s p o l o n a i s d
CESSA e n 1 9 8 0 ) _ A i n s i u n e étudc~ d,e l a prise ;.t it
l i.’ p'r
1 I’.>i
r>ai tini.t ;i tl ’ effort
exercées dans cette zone s’avère nécessaire
Les fonds qui ont bté visités varient de 0 I? 25 m. ‘Deux coups de chalut
pélagique ont donné 110 tannes et 44 coups de seniw tournante ( 286,92 tonnes
(tab, 9 ) .
:Les especes pêchées sont d’après la SAE’COP 1;s sardinelle plare, la sar-
dinelle ronde et dans les divers probablement p Ic- fri turc. arqenté ; le maque--
reau, le chinchard jaune, le plexiglass, lan c.avi1, 1~ machoiron j le ‘brochet r
la. carangue du Sénégal et. le Capitaine.
Juin 84 este le seul mois pour lequel nous disposons de la composition
spécifique des prises en Casamance, En cinq marées ont Gté deharquées à la
SAFCOP, 488,209 tonnes de sardinelles plates p 3,430 tonnes de sardinelles
rondes et 4,200 tonnes de divers,soit au total 494,837 %onnes,
Les sardinelles plates ont dclnc représente 48,/ X +:ffectuées exclusive-
ment dans la strate bathymétrique 0 B 25 m?!tres. En moyenne d’après les obser--
vateurs, les rendements sont de 55 tonnes pst* ?Tait d e i.:h.:ilut pél agique e t
-_--. -_
31.39 tonnes Dar coup de senne, Les rendements
----.ll<-l.l.. ” des deux coups de chalut péla-

neb p a r t r a i t tic :hal.ut pélagique- et 27,50 t o n n e s p a r ‘C>~I!, !,. : ;.,
): tS~h~i1
p e n s e r q u e l e s rendemeri,::; d e s e s p è c e * ; p é l a g i q u e s côtibri:: ;.>n’ :;f ; : C:.I~ 3; +U
Casamance q u ’ à Sarènta 5111: h a P e t i t e C ô t e ,

a1 lant de Novemi,rcc 82 2 Août. 80..
NOnObsfdr~f leur diverslt6 ::et dorrnee.? ~o:lt
I!i sparaces el: presentent
de nombreuses i.nsuffi sances t an7 en qua1 itfi, ~1.1~ ‘631 quanti té. 11 nous parait
tmpëxat if que l (i c Fichts des‘ observateurs ;ciieni?- ndapte’es B la peche d e s
petits pél;igiquPs côtiers et qr.~‘~w~ meil Leur huivï des baww48 de ce tyne
soit assurë par la DOPM.
Malgré ce: I.xcunes,
à p a r t - ii, tl ‘un rc~cOtJ~:kmen~.
d e c e s StatistïqUeS, d e s
résultats int@.r+ssantp ont ~II Stre obtenus (-1 ;-tlnf i rmex cert.a.ines conclusions
issues d’études autérieures
Le s’Tsaflobl’i a évolué uniquement au sud de 1.a Presqu’île du Cap-Vert
ois l’essentiel de son activité s’est dëroulg: princinalement dans les zones
sarène, Casamauee et Saloum sur Iles fonds de 0 â SO m.
L*analyse du la composition spécifique des nrises a mis en évidence la
prGdominance de quatre aspè<:es principales j Smdine .l2a mxhwnsis, Smdi-
na1 l u au~ita, Trachrms spp. e.t Scombm ~cpmh~s ,.
Les deux es;pSces de sardixnel.les qul sont: la cible du bateau sont appa-
r u e s a u s s i bies en sai.son chaude qu”en sais(;)rI froide dans Les prises alors
que les chinchands noirs et le maquereau n’ont 6tê présents qu’en saison
froide.
Le “Tsafï obi” a débarqué en 66 marêes 7 60 1 tonnes d ‘apr’ès les données
observateurs
et 5 926 tonnes 3 partir des dcsnn~es U;APCOP.
Une êtude même succinte dt:, ‘1 ‘inti5.ractinrr des sardiniers dakarois et d.u
“Tsaflobi’” n’a pu être entrepri.se,
Toutefois, une estimation grossière nou6 a permis de conclure que l’im-
pact du “Tsaf iobi” sur les stocks de petïts pi5laqiques cotiers serait au
moins équivalent 3 trois sardiniers tradit i ;,nnels dakaroi s, d’oï? l’importance
du suivi. de l’activité de ce chalutier-senneur.


HOELY (Ta), WYSOKLNSKI [A Ii BLWERTOWX1 (,i 8; .‘j711. - Le:; chïnchards des
côtes sénGgalaises et mallritanienne9 1 5; 1 Iop;i e '.i dPpI.acements --
ressources S Dot. scientt PLU~. Cent. Re&a. océanoE~.~ _ Dakar-Thiaroye,
._" -.-. --~--_- I-_- ---_-._- ,"._ _ ,- -----.-A-- .-.. - - - - - - -
46 i 47 0
CHABAIVNE (J,) EI,VERTOWSKI (J.11 3 1973,- Carl ~:a ries rendement: f: de la pi4che
des poissons pélagiques sur le plateau <:lontinent: ai l~ord--ouest africain
de lloN 2 26'N.
Cent, Rech. océanogr. Dakar-Thiaroye DW 49..
- -
_ .,
ELWJZRTO!ISKI (J.), 1970,-v Note sur la pêcht CIes poissons pnlagiques par les
chalutiers congélateurs polonais sur ies I'oncjls mauritano-,sénégalais en
février - mars - avril 1970.
Rap. scient. Prov. n" 2/70, 26 pW
-_-_II. --_----->
ELWERTOWSKI (J p)p BOELY (T.), 1971,-. RépartitilJn sai.sonniiZre des poissons
pélagiques côtiers dans les eaux mauritaniennes et siZnG%alaise.
DO~. scient. Prov, Cent. Rech. océanoor* Dakar-Thiaroye 32 : 15 pa
--E--r-p.-
0.. ._.,--. ----m--P --.e9
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appliqué aux petites espèces pélagiques dan: la i:c>ne nord. du COPACE.
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COPACE/PACE Séries/80/19 (Fr).
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FAO, 1983.- Rapport du groupe de travail AD HO(.: sur 1~~ rhinchards et les
maquereaux de la zone nord du COPACE.
,Rome, FAO, 188 p., COPACE/PACE Séries/8%j27 (Fr).
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C;ELLER (Se ) > lY74.~- ,4br+ d e st 1~ I ~rt:ques.
T r o i s i è m e édi.t i o n - Masson .. T)ari s I- N e w Y o r k _. Rarcel.onc
Milan pp e 226 -- 189,
r a p p o r t d u g r o u p e d e travai.1 a d hoc sur les poissons :,élagiquc:,
-. .---.
c ô t i e r s oues:-africains d e l a imritanie a u Liberia (iO*N 5 50”N].
COPACE/PACE Séries/78/10 (Fr) 7 1 _ 7.5 pp*
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62,06
340,77
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DIRECTION DE L'OCEANOGI(APHT~; ;;'i
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d e Sardinella maderense dans la z o n e sgnégalo-mauritanienne
17 _ cycle migratoire, periodes de ponte, nurseries et locallsatiw
mensuelle des principales concentrations d’adultes de
Satdinella aurita dans la zone senegaio-ntauritaniennt

111 “Cycle migratoire, @riodes de ponte et iucalisat1~~1. des
principales concentrations d’adultes de rrac!&Lrus !I~;~:~~
et Trachurus trachurus dans la znnr senétialo...rn;lrlritanierlrlt,
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