REPUBLIQUE DU SENEGAL INSTITUT SENEGALAIS DE...
REPUBLIQUE DU SENEGAL
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES
. ..-----...---
3
SENEGAL, SINE ShLOUil, GAXiiIE, ChS,WANCE
HYDROGRAPHIE, PECHE CREVETTIERE
CENTRE DE RECHERCHES OCEANOGRAPHIQUES
DE DAKAR-THIAROYE
-----Me

1
1, INTRODUCTION
Ce document d'archive a pour but de mettre à la dis-
position des utilisateurs des renseignements relatifs :
- a
: l'hydrographie des 4 r'flclJves'r rencontres au
Sénégal et en Gambie (le mot "fleuve" au sens large sera
également employé pour le Sine Saloum).
- cl' l’inventAire des points de d(!barquement des
crevettes sur ces fleuves.
- aux usines de traitement des crevettes en prove-
nance de ces fleuves.
Des données relatives aux statistiques et mensura-
tions disponibles feront l'objet d'un document scienti-
fique intitulé :
"Biologie et dynamique de Penaeus duorarum notial.is au
Sénégal : IV-Phase juvénile!'.
2. LE FLEUVE SENEGAL
2.1. Hydrographie
Nous nous sommes r&férGs aux *<tudes de hOCHETTE(1964),
CAMUS et 2 (1968), CONkNû (1976) et aux Instructions nau-
tiques (SERVICE HYDROGRAPHIQUE DE LA MARINE 1970). Une
carte est donnée (fijure 1).
Le fleuve Sér-k:lal est le plus important de la partie
nord ouest de l'Afrique. Son cours supérieur est torrentiel.
Dans la plaine sén&yalaise sa vallée s'&largit. Apres Dagana,
il s'étale en de nombreux bras, formant un pseudo delta,
qui se rejoignent 5 l'embouchure, au sud de St-Louis. Il est
navigable jusqu'à Kayes (472 milles) pendant une partie de
l'année grâce aux inondations périodiques.

2
2.1.1. Courants :;\\I!- 1.;: b;irre :
Ils sont très variables. De novembre à
juillet, les courants portent au SiJ et ont en général
une vitesse de 2 noeuds à l'heure de la pleine mer. Ils
paraissent plus forts la nuit que le jour.
2.1.2. Embouchure :
Les apports de sable dûs à l'alizé pro-
duisent des dépôts qüi d'octobre à avril, allongent vers
le sud la 1anGue de barbcrie* et, pendant l'hivernage,
l'élargissent. Ainsi la passe se déplace lentement et
réguli$rement vers le sud sauf pendant l'hivernage. Mais,
à des intervalles variables et pour des raisons encore
indéterminées,
lorsque la passe a gagné plusieurs milles
vers le sud, le cordon lj,ttoral crève et le fleuve creuse
une nouvelle passe tandis que celle du sud se bouche.
2.1.3. Profil :
On distin*Jue :
a) le cours supgrieur jusqu'à aakel : la pente
est élevée, les lits sont assez étroits, le fleuve pré-
sente des rapides et des chutes.
b) le cours moyen de D&el 51 Da,gana : la pente
diminue. Le fleuve de:;sine de nombreux méandres dans
une vallée large de 10 a 25 km et sillonn&e par des sys-
tèmes de hautes levêes postnouakchottiennes qui délimi-
tent les dépressions couvertes d'argile brune submergées
par la crue. Le lit mineur larae de 3 ti 400 m est souligne
sur la rive convexe par des lev6es subactuelles, plus
basses, riches en limon et en sable fin.
c) la region du delta ou cours inferieur :
les levées sont plus basses et la son? d'inondation s'élar-
git. De nombreux bras partent du fleuve puis le rejoi-
gnent avant l'embouchure ; des marigots et 2 lacs sont
alimentés par la crue.
l on appelle ainsi le cordon
littoral orienté nord-sud
qui dévie vers le sud l'embouchure du fleuve.

La pente du fleuve est prnti~~uement nulle. Sa largeur
est variable. Aux basses eaux, des seuils de grès quartzite
ou calcaire apparaissent. Le fond du lit est au dessous du
niveau de la mer, vers la côte -Sm.
2.1.4. Régime :
Le régime des hauteurs (et des débits) est de type
tropical pur caractérisé par une seule période annuelle de
hautes eaux (juillet-août h octobre-novembre) et par un
effondrement des débits d'étiage- A l'aval de Kayes, ces
régimes sont influencés exclusivement par la pluviométrie
sur le Fouta Djalon et non par les pluies locales. Les va-
riations interannuelles de régime sont considérables.
a) CRUE : les premièresp!uies
tombent sur les hauts
plateaux du Fouta Djalon et de la L aléné d$s le début du
mois de mai.Dans le haut fleuve, 12 crue commence dans les
premiers jours de juin et se prcduit en deux ou plusieurs
étapes avec des baisses int%rmGdiaires.
Dans le bas fleuve,
en aval de Mafou, la crue est réguli$re. L'inondation ne se
propage que très lentement et son maximum n'a guère lieu 5
St-Louis que fin octobre alors qu'& Kayes le niveau est déjà
en baisse. D'apres ?a moyenne sur plusieurs ânnees, l'époque
à laquelle la crue atteint son maximum se situe à:
Eakel (403 milles) vers le 1 se-+
‘,,embre(débit moyen 4500m3/s)
Saldé (260 milles) l1
SC: septembre
Podor (147 milles) lt
10 octobre
Dagana( 93 milles) II
18
"
(débit moyen 2500m3/S)
Richard Tell (SO milles)
22
v1
St-Louis (embouchureJ1'
1 novembre
En année moyenne, les eaux sont douces à St-Louis
des le mois d'août. La renverse des courants 2 la barre ne
se produit en général plus à partir de la Premiere quinzaine
d'août l'eau douce de crue refoule le flot.

4
b) DECRUE : lor-s,que les plutes diminuent en sep-
tembre sur le haut b~~ssin,
les débits d&roissent, mais
ce phénomxne est influl:nc& par la nature du substratum,Le
minimum ou étia\\Je est citt:eint d65ut ju<n 5 ‘5 a k e 1 ùvec un
débit de 3 m3/s. D;l r, :; 1 ;i b ; :! c, c: v <I 1 1 / S-A-9 ies apports de la
nappe phréatique coxpensent lrsvapor2tizn en maintenant un
débit de 10 m3/s. Dés la fin de l'hivernar3e (novembre)
l'eau salée remonte et atteint en fin I-c saison sèche un
point variable avec l'imnortance
.
de L-. crue précedente qui
oscille entre Richard 7'011 et r>a.;ana (53 milleu).
Ce phénon;.?ne ~;;pc;ic~~ Iv! <in ;uc :‘, :II'(~" a (:t.'. t:tudie en
-L
en détail (ROCHETTE 1964). Lrintrusion (iz- la salure ne
dépend que du débit tant ~$2 celuS.-ci reste su+rieur à
50 m3/s. A chaque valeur du d$bit cqarrespond une limite en
amont bien précise de la zone sai!?e.DGs que le dGbit devient
infsrieur 5 50 m3/s,
1~ remont!:c (!t: 1 . :; ilure tlg?!-znd cxclu-
sivement du temps qui sf6coulera
avant la date d'arrivée de
la prochaine onde de crue.
L'évolution de la sr!linit& mojenn;: mensuelle d
St-Louis est reprt+sent<e sur la fi:>ure 2.
2.1.-S. Marée fluviale (1)
Son amplitude moyenne '1; l'enbouchure variè de 1,2 m
en vives eaux i 0,s m en mortes eaux. t:l?e se r~ropa:;e vers
l'amont en s'amortissant pro';ressivc:~t.tr,t. En vives eaux
elle n'est plus que 0,9 m 5 St-Louis, (3,s m 5 Dajana, 0,3 m
à Podor. Elle est encore X6-i;?remer.t sensible %> plus de
400 km de llembouchure.
2.2. Traitement de la production de crevettes
La seule usine importante de conditionnement des
crevettes ayant fonctionné à St-Louis fut l'usine PROPECSEN
(Entreprise de Traitez8ent. de COrnriierc'iclisation et d*Expor-
tation des Produits do 1;; Pache au J;In5-;al). Install6 en
1968, elle fut trùnsf<r+ t, Ziquinci;or en juin 1970 car
les potentialit&s loc.iles s'&taient rf~ve1ée.s inf&rieures c?Ur:
prévisions. Actuellement,
il existe quelques petites usines

fr igorif iqucs d Ssint-Logis
qui n'exploitent qu@en sai-
son durant la pé riode de pêche ,i la crevette. Une part
importante des d~~bs!:qcct:twnts est vendue fraîche sur les
marchés de St-Louis et Dakar.
3. LE SINE SALOUM
3.1. Hydroqraphie
Les références utifishs sont principalement MARIUS
(i972), DIOP (1975) et les Imtructions Nautiques (SERVICE
HYDROSRAPHIQUE DE L.4 i+iAR.IhE 1970). La carte dz Sine Saloum
est representée sur la figure 7.
3.1.1. Geoloqie - Mor~holo~~le
Ni delta, ni rrht‘ v;ritablement estuaire, le Ssloum
n'est aujourd'hui, qu'une ria dont le chenal est exclusi-
vement parcouru par lés eaux mariner;. La mar:lci remonte en
effet biquotidiennement jurqurcn amont de Kaolzck situé 2
112 km de l'embouchure, et aucun cours d'eau de quelque
importance que ce soit ne vient ii 1~. rencontre de l'eau
salée.
Ce bras de mer est p-arscn6 d'une multitude d'îles
Sépar&es par un lacis de che?a.ux de mar&e. Ces Iles, formées
généralement de vases plus ou moins sableuses sont d'âge
probablement flandrien dans le cas des tannes (1) qui
correspondent à d'anci ennes 9asieies 7 et subactuelles
dans le cas des mangroves Colonis&es actuellement par les
palétuviers,
les formations actuelles Ctant représentées par
la vase nue'de la basse slikke.
Du point de vue morpholo;iquz,
on observe une nette
dissymétrie entre les 2 rires du Saloum. Cette dissymétrie
est due au fait que, arrêt6 par la longue jet& de la
pointe de Sangomar, le flot n'entre pas directement dans
les marigots de la rive droite du Saloum, alors qu'il peut
pénétrer de plein fouet dans les bouches du Diombos et du
Bandiala. Il en résulte que les vasisres qui bordent la
rive septentrionale du Saloum sont sillonnées par un laby-
rinthe de chenaux de marée dont le reseau est moins dense,

moins travailleur et surtout moins in:;tcible qu(: sur la
rive meridionalc q:li *or-me au contr.:.ire un milieu v&-i-
tablement insulaire soumis aux rcm;ni~?zents d'un réseau
actif de chenaux directement ouverts sur l'océan.
DU point de Vue géolo;iqUe, -2 bassin du Saloum
n'a pratiquement fuit l"objet d'<ucunc étude ?articuliere
et nous ne pouvons n3u:-> réfcker qu’a P.
>1LCti!CI. q u i ;I succout
étudié le fleuve 0:Jr.G; a1 t;t: la C~:L:~~.:;ISC~. D*a?r.+~ cet
auteur, les bouches dl-i SalOUR GtC?i.t?Ct CCCUPF5S - aU moment
de la transgression nouakchottienna - -ar un ,;olfe marin
remontant jusqu'à l'amont de K~ola~!-: sur le fleuve prin-
cipal et de Fatick Four la valIGe d, Sine.
Cette trans.jression a laiss<: des dGpôts sableux
qui forment une terrasse en bordure du plateau du Continen-
tal Terminal. Sllc subsi.stc >arfoi:; en Ilots au milieu
du plateau des alluvions nlus r6c!?n:1-!r. Apr;?s le Nouak-
chottien, la derive ? ittora?e PJor34ud t3 en.-;endrG la for-
mation de cordons littoraux succcss;~~
. .A..& yi ont fermé par-
tiellement le ~olf'e, -,u mil.i.eu du!l!~c:l zr? sont d&pos&es des
.
vases. Par suite de 1 a 1&7.>res
.4
r&; r;:
,..-~zion de la mer depuis
le Nouakchottien, ces anciennes v~si5rz.s ne sont plus recou-
vertes à marge haute et se sont transformées en "tannes".
3.1.2. M,rées et (1:ocr;int.s
-
-
Dans le chei;ti.:l sur 1.~ b.2rre,
le courant montant dû
au flot -orte dans l'axe et ?elJt atteindre 2 noeuds. Le
courant descendant d!> uu jusant est d'environ 0,s noeuds.
Les étales de courant dont la dur;lt.l v;lrLe avec les saisons
de 20 Ù SO mn Feuvcnt Gtrc cb~~ retard dc L PI et m&me 2h 45
(courant descendant) sur les Ct=ILrr: de marées. La mar$e
dans le fleuve c, P!!C? -mSme un rot;ird F:I~- rappor't k 1'heurc
de la pleine mer S:JL- la b,?rre de C a;, 3h 30 suiv,;nt 1s dis-
tance du point cor.sidSré 5 la barre (voir table,zu 2.1. A
partir du coude du VtSlor, les marees sont forte:r,ent inf-
luencées par le dCbit de la rivi.':re variable avec les Sc3i-
sons.

7
SalinitG
De février 1. mai, lri salinit:: du Salo~n est su-
périeure a celle di: 12 mer.
Elle ;ju,;mente quand on re-
monte la rivisre. Elle atteint son maximum en juin (72 x0
à Kaolack et 93 %oii fcltick).
De septeml~re t* d&cembre,
l'eau de la rivière est
plus ou moins dessalae par les pluies qui representent
le seul apport d'c-.lu douce.
L'évolution
mensuelle de 1~~ salinitci et de la
pluviomgtrie S Foundiougne est rc~r<scntée sur la fi.c,ure 4.
Nous avons choisi 1907, ann6e norm;ile sur le plan pluvio-
\\
metrique, et 1972, ,':iÎ n iI4 E? t r- '2
cd fortment déficitaire pour
montrer que les sc!:<mizs rencontris peuvent être tr&s dif-
férents d'une ann& .& l'autre.
3.2. Traitement de la nroduction de crevettes
Une usine a etk installee 2 Xaolack par la Socié-
te AMERGER en 1908. Ch;~q,ue snn&e elle n'ouvrait ses portes
que 5 à 6 mois pai- c:n (saison de p&che). N*a:/snt jamais
fonctionné au maximum de sa capacit6, elle a fermé ses
portes en 1975 par suite de:; difficult&s d'approvisionne-
I
ment. Les crevettes trni.t;es 4t;tient pratiquement toutes
décortiquées à cause de leur petite taille.
4, LA GAMBIE
4.1. Hydrographie
Les reférenccs corl5ult&e5 :;Ont principalement
SCHEFFERS (1976) et les Instructions nautiques (SERVICE
HYDROGRAPHIQUE DE LA MARIXE 1970).
La Gambie a s;3 source dms le Fouta Djalon en
,Guinée. Sa longueur est de 1100 km. La rivière est navi-
gable jusqu'à Seor:;etown (l5G milles) Une carte est
l
donn& (figure 5).

4.1.1. Embouchure :
Y* l*emb0cchc~-e Cc l:i yi~~i.~rc~ ‘-.i c? trouve le port de
3anjul. Les courants rz~:u!t~nt:Z 2.2:; :. ?Ottffet de m;:r-e et du
courant de rivisre atteignent 3 T! 0 (5 l.!<ri s c!êvant 3anjul en
vives eaux et causent des tourbillon: considérables.
4.1.2. %!Fyirne :
4.1.3. SalinitG :
4.1.4. Mar?e fluvl.c7!e :
A Banjul, 1 '<l-üle de nilfe;;j e;t en retard de lh 12
sur celle de Dakar. Co:nmc dan2 le Sir;.3 Saloum, Ic courant
de marée est en retard d'environ f heures sur l(&tale de
niveau correspondante.
4.2. Zones de p&zhe :
La zone de pCCh2 sV,3tend ju:~:it& i;O milles en
amont de Ganjul (SCHEFFYHS, 197Gj.
Les principaux points de d:>barqucment sont :
MANDINARI ( 5 rr,Illes ~3 a;:ont Cl<:
Ydnjul)
DOJ'S ISLAND(G,S " w
!r
!>
I,
1
TUBXKOLON
(9,s
0
1t
I>
1f
It
)

4.3. Traitement de l,? 7:‘oi:!c t.j. nn cji, c: r‘:'vt-:ttes
-
-
5. LA CASAMANCE
5 . 1 . Hydroclraphie
Les références c:-,nr:u;! teSes sent y)rincipnlemcnt ZRUNCT-
I;IORET (1970) et les lnr;t?.rct-i.onr, nz:!ti;uus (SERVTCE F!YDRO-
GRAPHIQUE DE LA XARINE ig7i)) w :,t? flec!qJe est navi ;ablti jusqu'E1
Ziquinchor, 2 34 milles de itembourchure.
Une carte est donncie
sur la figure5.

10
Entre Dio;Ue et 7i.;TJinchor, il n'y a ptis seulement
comblement par alluvionr: !'luvi,:!.cv ~1s acSsi ;IX ;ij;oorts
*
de sable amenés par le cnur;:nt gui vient du Ncrd. Cette
zone est parcourue ;);l:- dt? multi>?.cr; m?:i.,;ots t:ordGs de nal<-
tuviers, anastomas6-; CI~ 1 :li:;Sant de:; îioS de !:oUteS tailles
et entretenus par les cour2nt5 de ;r..2rLe.
5.1.1. IGai-ée flUvi3:e :
Elle est confortée LC Sch.Tm~ ;<n::ral décrit en
annexe. Le tableau 2 donne les r+?t;^rdS de la mcr& ctinsi
qce la durée moyenne OU perdant et dc montant es divers
-oints du fleuve.


.
:
c
.
:
-.--
-.-
-me..---

:.,
c:
.
j!
t 3:: .y
u ;’
..A
,. . . 1
. ,
<
.
i
.
. . I .., i
_
t‘
:I.
.

- S0SECYF.L : salle dr! z..nut-cntir>n, x::inr- d? con;:llation de
12 t/jour, chambre froid? de î7O t, ftiUrJ.qcc de ;lacc de
1 t/j.
- PROPECSEN : usine de cxn,~1;:Clon 5 t:/j, ::I.,a!nbre: froide
de 45 t, 1 camion r.I~r:-i I Trt'.

G. !~IsLIO~~R~~.FHIE
;in. 1974.r "3ydrolo,Jiccl 2nd topo.;rs:?Slc.al
studie:; of trie
?<?m5ia river basC>.n".
p L-r) 5 (?fs t. C>!3P/l!/OTC, Fie;. 60.
Final report (5 voll;mcs). Ri-Tf. <O?OO (Howard
ii.dm,phre;; ;; Yc)I?L; , Cor:c;ul t i n’; cn -;ineers , Readincj,
Enyland).
AIJSRAY (F.).,1975.- The Fisher.)f of ~;!miji:l - a comprehensive
ceport.
*
i',?r; j I!i - Ro:,:o.
C.O.P.A.CnE., 1977.- R:!!pcr? d:: yroune de t:-,~vaiL ad hoc sur
1 texploit.aticn de lri crevett- (Penzeus düorarum
-
-
notialis) du sectellr
e...
~~~~3ritanS--Lib~ria.
.<
COPACE/PACC series 77/5 (F) 85~.
C.R.O.D.T., 1904.- .Sii::,-:tlan c!r- 1:: crcvtltte' en C;llscmance.
Note techniqlle Centre Rech. Oceanoyr. Dakar -
'ï'hiaroye. Ror!23 8 3.
CROSNIER (A. > , OO!JDY (Ci(-*)
: " )
\\.-0. ] lrjC,7.-- :.i-~:; c:revct!-t?r, com-
mi~rci.3iis:;~l~~; rie 1,: cAtc ni!~c,!- c-le 1 ‘$.frLcr,ue intcr-
tropicale.
Init. dot. *cc!-,. O.!? z
.,.Y. 0 .Y-:. 7,co p .
DIOP (EL H.S.), 1975.- F.tude -cio~c:rr:~-;o:n7i:~l~e de 1% Pointe de
S?n3omar e t tics î l e s EL: Yundoul ( î l e s d u S a l o u m -
SVsnér;al).
Fsculte des lettres et Science:; kumzines.

XARIL’S (C.

SCHEFFERS


du Sine Ssloum.
Distance
Retard dc 1 .
en milles
:lzree LpJ;(c r ‘y;-
de la
?ort i; lâ hcrre
barre
1‘.IITC
0
Zou& 14
13
Ile de Ndar
2 3
Found iou ;ne
23
NI.xxni.or~
37
K;imstsne
46
Lyndiqne
57
Kaolack
66
.---
En un
ieu donnx
Heure Sasse mer Dakar i- C - ?:ecr-e de dt,hu'z Ac flot (montant)
Heure haute mer Dakar + C = ~PII~C?
I.-U.. de d&hut jusant (descendant)
Tibleau 2 : Décalage de la I??r'? p-:r rarnor? 1: Ti;\\:inchor et dur4e
moyenne du flot en diff4rents lieux (Czsz~znce!.



JFMAMJJASOND
L, Y
or.
‘i
I
b
30- I
1
j
Mois

.

.

.:,.L\\
.

..Y. ,..::y

C!

;, :/

It
5 0
500
4 0
i4v3
3 0
.- 3 0 0
2 0
L200
1 0
7 1 0 0
I

0
Ann& normale (mai G7 a rn:~r 68 ) d’:,s-cs
de BONDY 19û8 (S%ol ASECNA ( p!tiviûr~;~:i:,~ )
l
- 4 0 0
i-200
t- Ii20
PJ-+1..
,-!---f---l 1-r-.,.--m- r--,----J
:vl J J A S 0 N 0 J F: h9 A h:

1
40’
30’
20'
1 0 ’
.13O
50’
4 0 '
30'

i
VT-
-
--+L
J.--
j

---l-----
-
l
/
I
<:
t” . h,
i ‘.
1
-.
s
_-.
..--

~-

_.I..

---^_.-

_______