LE BALISTE Au SÉNÉGAL, ÉTUDE DES DONNÉES DE ...
LE BALISTE Au SÉNÉGAL, ÉTUDE DES DONNÉES
DE 1979 A 1980
CROISSANCE DU BALISTE EN BASSIN
TRAITEMENT DES DONNÉES DES CREVETTIERS ESPAGNOLS
ANNÉES 1977-1979
PAR
~CHEL KULSICKI
RAPPORT INTERNE
IV" 61.

S 0 m m a i r e
-- .---- -.
Première partie
Le baliste au Sénégal, Etude des données de 1979-1980 ..,.............._......-................
4
Deuxième partie
Croissance du baliste en bassin . .._.._....._...._. _ . . . . . . . ..-.._............-..-......-..-....-....-..-....
_.._
4 3
Troisième partie
Traitement des données des crevettiers espagnols (années 1977-I 979) . . . . .._...._
6 7
Annexes . . . ..-....................-...._...........
_ .._..........., _ . . . . . . . . . . . . . . .
..I._................_......... I ...._...._....I.._I...
105

4
PREKSE P- PITIE
LE YALISTE AU SENEGAL, ETUDE DES DONJ!GZS
DE 1979 - 198@ . .
DETERYINATION DE L*&E
-A :
Lecture d’épine :
On utilise la première 4pine dorsale.
Les coupes sont faites dans le premier tiers basa1 de l’épine. La
Figure ! donne une coupe type. On observe un noyau central parfois
creux surtout chez les Individus âgés, puis se succddent des plages
claires et des plages sombres.La première plage est semble-t-il,
toujours une plage claire.
es plages claires sont plus larges
que les plages sombres, on peut penser :que lespremlres sont formds
durant les pdriades de croissance rapide et les dernibres durant
les périodes de croissance l.ente.,On peut formuler deux hypothèses.
szlcloIls,
cil LJC?,LL
~,,t?rlser
:a’= i’associat!on dk.n~ si.rie -iaL1*e db
d’une strie sombre reprosente une année. L’âge du +zoisson serait
dor,c d o n n é r>ar l e nombre de couples strie sombres-stries claires,
Une deuxième hypothèse serait que la formation de stries sombres
corresponde à des périodes de reproduction. En effet durant ces
pdriodes les poissons ont tendance à orienter l’utlllsation de leur
&ergle vers la formation des genades au ddtriment de la croissance.
Par consc$uent les pléces osseuses croissent plus lentement durant
ces ;:&riodes. Cet!. pourrait en particulier expliquer le fait que
l’on ne peut déterminer de stries chez des balistes ?e moins de 15cm
taille qui ccnrespond ‘2. la premlére maturité sexuelle. Si cette
hypoYhàse e s t v&r?fi4e i l e s t ?oss 1 ble que certains poissons -aient
plusieurs s:ries ?,~ur une même annde. En ef.bet, il existe en dehors
-le 1 ’ ?+
‘& 7ernage ‘. ul ?s% l a prlnclpale périoàe d e reproducti~zn, des
~OlSs0r.z prGts à
Tondre ?resc:ue tcute 1
‘ariné’e,

Strie claire ‘
Noyau centr
Strie sombr
Vaisseau san@n (?)
ématique d'une épine de baliste. Ago relatif
z-e?résentée : 4.5 l

Pour ?ouvolr attribuer un âge absoiü zu:c balistes à partir
d e al lecture fies kpSnes,ll reste 9 savoir a S!ue1 2ge correspond
ia <ormatign d e s yemlères s t r i e s . D e ::e fait dans un premier tempo.
nous ne mentionnerons qu’un âge rela%if en couples (de stries.
Les Fleures 2a,b,c donnent la elat!on entre nombre de stries
scmbres et la longueur.Ncus n’avons pas décelé de dlff&r??nce dans
la sroLssance entre mâles et femelles. Cependant les individus les
plus vieux sont en maJorlt& des mâles(aucune femelles de -lus de
quatre stles).
La Figure 3 donne la relation entre le nombre de stries et le
poids. Pour les mâles , la courbe a une forme loglstlque classique
que l’on ne retrouve pas pour les femelles .Les femelles ont un
e f f o r t ci3 reproduction beaucoup plus laportant que les mâles, le
poids des gonades pouvant atteindre de 5 à 1C % du poids total chez
les femelles et guère plus de 1% chez les mâles. Cet effort de re-
production peut notablement Influencer la courbe de croissance
?ond&ale des femelles.
La varlabllitk de longueur et de poids pour un même âge est
sctns doute dûe au fait que les &hantil!ons ont et& rdcolt6s s u r
une longue période ( et pour certains échantillons en dehors du
SQnégal, en particulier en Guinée).
Avec nos données Il est possible d’estimer une courbe de
croissance calculée sur le modèle de vonBerthalanffy. La Figure 4
nous donne uL1e estimation de L, p ar les mdthodes de Walford et
.
de Gulland. Les deux mdthodes donnent 40 cm. L,,, n’a pas de valeur
blologlque > mals on peut noter que be plus. gros baliste que nous
ayons pêché au S&&a1 en trois ans attel@alt 40 cm. Cependant
la littérature cite des balistes de pi.us iie 60 cm. On peut est:ner
exp(-K) par la moyenne des Lt4j/ Lt, ce qui donne exp(-ii)= 0.83.

Longueur encm e
GraDhe pour les femelles .
-
-
4 0
35
4
3 G
4
i
Y
t
2!
2c
i
4
15
1c
#.
c
1
L
1
2
3
4
5
hubre de stries
P&ure 2’a : Relation entre la longueur et l'@
sombrea .
relatif déternrihé d'après les lectures
d'épines. Balistes femelles du Sénégal
seulement .

Lontpeur e n :m .
Granhe pour les mâles et indeterminss .
:me:, : cercles :noirs.
hd :r.ermlncis : cercles blancs,
40
l
3s
0
:
90
3c
2lc
2c
0
15
10
5
0
- ---
1
2
3
4
--z
l'ombre de stries
sombres.
Fi--e 2b :
- -
Relation entre la longue~ur et l'âge:
relatif déterminé oar la lecture d'éipine
pour les balistes mâles et ind6termiks
pris au Sénégal.

3
.
.
:
:
.
B
-
.
.
.
.
-f
.

t.-
.
k
.
.
4.
.
.
?Sombre de stries sombres
?l*zze 2c : Zelatlcn nouihre d e sries-longuew. L e s s e x e s
sont
confondus , l e s poissons d’origfnes d i v e r s e s
(SQnQgal, fuine?e, C ô t e d'I7olre).

l
l
.
b
3
.
4
b
3,
.
t
r=
0
?
.
-. i, 1.; :,
Hombrs de stries
somb 9s.
E
b
l
l
a
l
:
a
a
.
..v.“.-----
2
3
sombres :
:tro 1s poids rt Lt&g? relatif
es lec&s dlépimi. Ya c-1X,
30~~ les mâles et .indétsrainris.,
u bas pour les femslles.

\\
\\
i
/
/
i
t-t
I
+t
/
f
/
/+ +If

12
e t l e chalut péla;r:sue ~ Ces deus sngi!:s ne capturent ?a: Za TèElC?
fraction ?u stock, le skalut ?é*aql-:ue ae:~a:x.nt e n ~c?ér,éra; 3.es
individus pl.cs peilts. :ecl geut Stre l
e

“..ir, i’un problème -3e
s&ectivié o u d e répaA: tlon batkymétrlque s u i v a n t a1 taille. Vu
que dans certains coups de chalut pélagique on obtient parfc is un
fort pourcentage de go3 balistes, 11 sembl.e~*donc q u e c ’ e s t l’hy-
-othèse d ’ u n e régatiticn bathyméwique selcn L a tcille o u l ’ â g e
qu’il fa:lle r e t e n i r .
N o s 6chantlllons ie c:kalut ;e f0r.d n e zorn?ortsnt ‘:ce 2es in-
iivldus d e -lus d e 15 “fi* L e c h a l u t ;ue ncus u t i l i s o n s yeut capturer
<es balistes de ricins de 10 cm, dons ce
n’est ?as à cause de la
sélectivit8 du chalut que nos cagturus dB?assent 15 cm.
L analyse des histogammes ,de fréquence d’a?r&s les &sul:.zts
des chalutaaes de fond se heurte à plusieurs ?roblèmes.D’une ?ar.:
la période de reproduction est étalée sur plus de quatre ~131s de
l’annee, et il semble qu’il y aie de 3 pontes-eecDndaires tDUte l’zn-
n&e.D’autre part les lndlvidus de plus ie 25 cm sont relativement
?eu nombreux soit à cause d’une forte mortalité naturelle soit qu’ils
ne sont pas accessibles .?!t nos méthodes d’6charrtl.llona~e. La faible
croissance après 25 cm entralne forcèment un chevauchement lm?ortant
des différentes classes d’âge. Il faut Oqalement noter que le dé-
veloplement d u b a l i s t e a u Sén6gal e s t t r è s ré’cent, c e qui -eut ex-
_.
?liquer- la pauvreté de nos éi?hantill.ons en poissons de qrande taille.
_--
. ’
Enfin, le S&&a1 est la limite Nord ;lu dévelonpement d e c e t t e e s -
5 ,
‘--UP_
pète e t ilsemble qu’une grande partie du stock ne soit pas sdden-
tarigée, xais mIere
-. a u SQn&gal e n saison cha’ude T)our r e d e s c e n d r e
e n Gulnf$e 3lssau durant l3. s a i s o n ;&i:he. I)a:~c u n zel zas 11 e s t

13
?ossible que 1’ on aie un m&lawe de sous-populations.
La CLFure 5 montre 1’4volwtiJc dans le temps des fre?uences
mie longueur (les données brldtes sont données en Annexe 1 ). 11 n’est
g a s oossible de suivre unpi? dékermin& au cours du temps. Ceci est
aeut-être <û ‘ac des migrations , ce ,-lue suggèrent 1 ‘a :parltion et
1
La disparition rapide de certains modes prlnclnaux d’un mcls sur
1 ‘autre. Ces migrations pouvant, être soit Nord-Sud soit bathyn&iques.
Dans le tableau 1 nous avons regroupé les ?rlncipaux modes
(cf annexe 1) en leur attribuant une classe d’âge. Cet âge n’est
que relatif par rapport aux plus petits poisaons capturés. Ainsi
15ge 1 signifie l’appartenance à la première classe d’age repérable
da.ns nos captures et non des ooissons de un an.. Le tableau 1 a
donné lieu à la Figure 6. Cette Figure est très semblable k la
figure 2c. Les balistes auraient donc une croissance d*apnroxima-
tivement 5 cm par an à partir ,de la taille de 15 cm. La faible
cmissance a p è s 15cm sugg>e que les balistes atteindraient cetze
taille vers 2-3 ans .Malheureusement les Qplnes des -oissons d e
mcins de 15 cm sont lllidlbles et nous manquons de donndes ^our
l’analyse des frtiuences de taille pour les -oissons infkleurs
à 15 cm.
Au cours des campagnes de Gulnée 1 e t Guinde I I c e 5ont
surtout des poissons en phase p&aglque qui furent captures. La
Fl.gure 7 montre que les modes sont nettement séparés. SI ces modes
représentent des classes d’âge distinctes nous obtenons comme pour
le SénBgaf une croissance annuelle de 5 à 6 cm. Les poissons de 15
cm auraient donc 2-3 ans d’âge et l’âge des plus vieux bal!stes
arégents dans la pècherie Sénégalaise serait alors de 7 ou 8 ans.
Au oours d’expériences en bassins sur la croSs?ance des balistes,
nl,:ds avons obtenu une croissance de 9 cm en 200 jours pour -?es

IA
--
I
Tableau 1 : Hodes et classes "relatives" correspondantes des echiLIItillolm
1979430 . T+es. modes sou.l.j.gnës sont ;ewc dort l a n a t u r e n’es-i;
3as certaine.

i? r ----0‘>
2
0
h
,
0’ ?

0

Campagne de Guinée r.
.
20
Taille en
2 5
cm.
Campagne de Guinée II.
03-79
Taille en cm o
Fie;um 7 : Eisto.~ammea des longueurs pour les campagnes de Guinée 1
( 1311 poissons meswés) et Guinée II.( 3387 poissona mesurés).
Pour Guinée II: il existe un pic à 17 cm non visible sur
l'histogramme.

18
:rèr impri,ant d e n o t e r lue ce? i\\ascCns étalent, ?i une température
â -eu p r è s constante e t supérieure A l a ~lzn~rwJrr3.t,i~r~e
.
ambl ant e dar,s
la m e r a v o i s i n a n t e . E au:re Fart ,‘9:; ‘0: SS311.S ! ‘&l.eva~e é t a l e n t
nourris à satiété. Il faut cependant reten1.r lue le taux de con-
version de la nourriture par les ‘?a1 Istes ust très dlevé (22% en
moyenne ,ex?rimk en poids frais) e De ?~US cet:e expérience a confirmk
la gamme étendue des aliment8 de ce poisson, ce Gui peut être un
des facteurs de sa soudaine expension.
CCURBE LZ?iGUECR-F’CIDS
:
Les, ?‘lsures 8a, b donnent la reiat s on ;;C:c: s. -l.o.rgueur g~our
133 3oissons d u Séndgal e t l a ?Izure ‘SC ?our l e s ?oisscns d e
Guinée. Nous n’avons ?u calculer les 6sua.L ions ?cur l e s figures
Sa et 5. On note cependant que mâles et femelles ont des relations
poids-lon,gueur semblables avec
p e n d a n t une ?~US qrande xrariabilité
pour les femelles, sans doute
a u fait ‘;ue l e s 2rodults SQnitaux
des femelles sont asse
importants en:rsltna.nt ainsi u n e c e r t a i n e
.l
..
v a r i a b i l i t é sais&lère
de la relation ~:~olds longueur. On remarque
que dans l’ensemble les 21~s gros lndlvldus sont des mâles.( 35
mâles de plus de 700 g gour 9 femellen. >
RX~RODU CT I CN :
Age de première repro?uctlon: Les plus gc-tits in-“i’ritiUS matUPeS
que nous ayons pêchks avalent 13,5 cm de lonr . Ces Individus Etalent
femelles. A 20 cm nous n’avons pour ainsi dire glus d’immatures,
tout au moins pour les femelles, Les nonader miiLes sont très petites
et 11 est toujours di?ficlle de déterminer leur sta.de de maturité,

Poids des poissons
100
C en g-1
l.
u‘
.
801
l
l
.
.
4‘. ‘
4,
0
.
:
‘ 4
600

:*
0‘


‘‘ .:
A“
0‘8.
l @a
Fi-gure 8a : Courbe longueur -pofds
dcp balistes femelles prises au
Sénégal .
40t
200
400 Longueur

?O
49
.
Po lds Jcs,poissons
l
C en tyo. )
*
b
.
1000~
0
.
.
.
.
.
.
.
.
.
0
.
.
.
. :*
0’ * .
Fi,we 8b : Courbe longueur- poils
de balistes rzbles p r i s a u S é n é g a l .
400 m
L
200 ’
c
*
400
‘,on.-u-ur
!X!l,

-
-
_ -..-
'oids ( en Q. )
t
,
l
.,
.
150
(en ml..)
Fime ai : Courbe longueur-pdrids pour &s balistes males et femelles
pris au cours de la campagne Guicée 1 et II.

22
de !:P fait , II n e ncuy a p a s Qté ‘1;‘:;. :.bl.s .e df3:,erminé l a t a i l l e
;le prem?ère r?aturlté des m â l e s .
Razoort zonado-somatiaue : ,tiGS!. L e ?GS est f o n c t i o n d e Ia
-.-
-
-
süiscn (la R,J-S ries màles .z ‘a 3a: hF,é ‘rli *i;.L+ vu la peti;e taille
-le ieurs :ronades ) , mals n e v a r ! e
pai en fcnction d e l a f a i l l e
te la femelle
(Figure 9 ).
La Plicure
2
10 nous donne les vari ai!ons salsonnières du RSS.
L a varlance aymente aussi sensiblement à cette saison. Oh p e u t
enconclure que la ponte se situe durant :L’hlvern.age. Mais on trouve
des ?ndlvidus prêts à :)ondre jusqu ‘ e n no.rembre ce qui suggère me
ponte assez étalée dans le temps. La Figure 13 montre que le pour-
centage de femelles en stade 4 et 5 recoune 1a courbe de la Fi~urel 0.
Le poids des Fonades est fonction de la :a2lle de la femelllls
pour un stade sexuel donn&(P:;ure 11). P& les femelles mûres on
obtient la relation statistique suIvante:
Poids .des gonades= C,55+ 6,36x10e2x ?a!ds de la femelle
avec un coefficient de correlaiicn r=0,,82.
Par ,des comptages d’oeufs de femelles pretes à -ondre on a
la relation suTvante entre poids des gonades et nombre d’oeufs
(Fiyure 12):
Poids des gonadesr8,2+9,2x10V5 x Nombre d’oeufs/‘femelles
I
,
avec un coefficient de correlation r z C) ,85.
D’où une première estimation de la courbe de fr$con.dlté’:
Xombre d’oeufs/femelle =5,3x10
+0,6!?x~03xPo.lds de la femelle (en g)
7’.
L e sex/ratlo: Contrairemén; à :~e qu’il. avait été trouve a u
cours des ?ambagnes d e Guln6e T et TI -iurant lesquelles le pourcen-
tage de femelles
plus de ?Y?$, le .-j urcentage de femelles
au SenéSal est proche de 50s.
tous supérl eurs à 16 cm de long, don\\:- du :!el? ie la taille à première

Poids des gonades
9oc
( en g.)
4
a0 q
*
10 .
//
0.55
Y
=
+ 6,.36x 18 IC
.
r
= 0.82
0
4
0.
/
/’
.
Fiqre 11 : Relation entre
.
le poids des gonades ?t des
femellescmûres .
. 0
l
.
.
t
SO0
1000
Poids des femelles ( en g-)
moyen
F5qnreI.O : Variatfons du KGS
t
avec le temps, A côté de cha.qe
point an a donné Ia taille et la
date de r'échantillon. La barre
reprpsente ~S/T 6 pour na2 80
il s'agit d'une estimation à
partir du stade sexuel moyen,.
40 /‘.
,\\ 90
Wi
,y JO
P
r- "Y ,
II.19 L
_.
l
20
i
l
’ h48
. .
1. .* ---);a0
2%
0,
.
c
.
.
a
4
J F M A
M
J J A’ S 0 N
Cl
.
Figure 9 :Relatioo entre le
.
.
RGS et le poids des femelle;
l
4
.
.
en stade 5.
b
b
.
a
m
4
l l
l
b
.
.
t
.
Poids des femell.es. (en q.)
400
SOI
100
1000


I
I
c
0
l on
ml
100
400
SO0 Nombr!' d'oeufJ"en
Figure 1T :
Relation du nombre A*oeufs
milliers K.
au poids des gor,ades pour des
femelles prêtes à pondre.
cl 2e femelles
flo&3 stade 4 et 5.
.
60 l
.
4 0 ’
.
2 0 .
.
t
a
MJJASOND
Figure 3 : Variations saisonnières du ?ourcente de femelles
mures. Les nombres A tâté des pointa *Présentent
la taille de l'échantxl?on.

7atrrltd. Le tableau 3 montre lue 31 1'0~ ne tient pas com?te des
?olssons inddtermlnés Il. y a signiflratlvement p l u s d e feme:lles
que de mâles. Par contre si l:n assln.Lle l e 3 :ndf$terminés à $53 mâle3
i du fait que les gonades mâle3 sont, très petites , elles peuvent
passer Inaperçues d’o& une -lus qrande tendance à ce ceue les DO~S-.
3ons I n dkterminds soient en fait c7es mâles.) les 3exes son’: en
/
v
quantit 3 Qqulvalentes, Par nontre on note une certaine se~r&atlon ~’
2es sexes durant la saison des pontes. En effet certains cougc d e
chalut sont composé3 à plu3 f.2 70%
soit de mâles soit de femelles,
Ce ?hénom&e s’observe dans '7% des ca3 en saison sèche contra 32%
des cas en saison des pluies (qui colncide avec la saison de3 pontes).
Le Tableau 4 montre que dan3 un même coup de chalut les mâles
son2 en sknéral plu3 gros que les femelle3 (dans 70% des cas les
mâles sont -lus grands que les femelles; dacs 2C$ des cas :Les fe-
melles dominent; dans 10% -‘es cas pas de dlffdrence). On note que
cetse différence est encore 31~3 nette pour le chalut p&agique,
pou:.~ lequel la diffgrence entre mâles et femelles d’un même Sanc
peut atteindre plusieurs cm-o
EISPk.ilTITION:
@partition bathymétrlque :
Le Tableau 5 montre que Les ba-
Il.s:es en phase ddmersale se trouvent de préf6ence entre 15 et 30 m,
mais sont aussi présent3 frdquemment dans la zone de3 O-15 m et
30-50 m. Au delà de 5G m leur présence chute considérablement. Le
Tableau 6 Indique que c’est toujours à 15-30 m que se situe la fr-c-
tion la plus importante du stock démersal,quelque soit la saison,
Par contre on note que c’est de Mars & Juin que les balistes sont
les plu3 fr6quents.A noter que ce pic d’abondance correspond à la
p&iode deponte et la saison chaude.
Une partie Importante ,iu stcck est p&aglque d’apràs ce qu’ont

26
It-
or-80
1.0
03-m
L
I-
cg-80
, 07 et08-80
-m-m ---
Tzblen 3. : 3s~ rgxio. i,es données sont p2.r coup de chalut et par mois,
L+es CO-S ie. chdttt ;nzrq-.uiz ci'un x indique plus de 70$ d'un
séxe cians l'&~hzntillon, :Ii~~10
FEfemelle Ei?zd&erminé
Sncmbrtu Le ccn? ze chalnt :i.?= nc,nbre de coups où prédominent
x.cs clnslas
.l~~ncr.;i3+0, La 30:i.z:; Sl prédoninent les femelizs.
L
-_ .Ch
.:

(5 MALES
MALES
DATE
- - - - - JN-L-2
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X7-79
1ta 317’ 12 10 293 15 u
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18
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4
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H
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15
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15. -
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18
8 205
14
-
112
252
:4"
11:
232
28 M
16
207/
7
4 206
5
-
1LO
212
32
a!l.r
15, -
5
22u
18
15
231
21
-
6
227
17
z
206
15
l-l
14
238
24
10 2 4 2
27
-
l&-79
5
292
25
10
2s4
2 7
M
15
2 2 9
16
B’ 2 4 2
29
F
3
260
23
13
239
22
M
13
2 3 5
16
11 2 4 4
27
F
1 2 - 7 9
114 285
32
20
2 5 6
2 7
M
14
2 3 3
16
10 2 2 9
28 -
114
279
26
26
2 4 8
2 9
M
ll2
213
25
8 204
16
M
0140
A 231
2 5
9
2 4 2
19
y
17
220
13
3
198
2tj M
110, 254
19
11
247
2 5
M
7!
223
11
13 2 0 3
12
M
Ojr80~
7
234:
11
234
3 9
-
12
243
16
11 221
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8
2 4 2
37
9
243
2 7
-
32
230
16
8‘ 215,
12,
M
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- - - - - -
pc3lagiqcLC 4
2 1 5
40
5
180
5 2
u
a
2 1 1
2 7
4 185
11
M
7:
192
11
5
156
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H
Y
207
l7! 15" 166
36 M
7
22ll
2 9
222
10, SG
5
2 2 3
2 3
73
2314:
12
M
.-.-
------
Tableau 4; 1 Taklle moyenne en mm dee baliatee mâles et femelles pria dans
les ooups de chalut erperimentaux,
N I nombre dlindividun de l'éohantillon.
E : taitle moyenne de l!'&3hanti)lon.
B a Boart type de Y'Bohnntillon,
D a M ~Ii.1 y.a plw de Srnrn de &iff8rence an faveur des mâles,
F s'il y a plus de 5mrn de différenoe en faveur dez femelles,
- quand if n'y a pas de differenoe..

f L’j- ;OF
) 3l.w 1 ,
soit
,-. -.-.----;-
!hi 7b
+J
Octobre 70
.1-d!
Juillet 77’ : 5-Z
Mai
78 j 3-L
Jkin7B,
5-o
lU-2
Juillet '18 i
3 - i
T;
Septenbaç: 78 3-T
T - 2
Décembre 78 I j-1
Mars 79
j j-cr
Avril3 7p
i l5-4
Juin 79
i
29-6
Juillet 79
8-6
Aout 79
LfLt,O
Octobre 79
16-6
Novembre 79
Février 80
3-2
&Il
~a$ 80
3-3
6-n
Jitillet 80
/
7-r
Aout 8U
13-5
16-7'
T&i&au 2 Répartition bathymétrique St la fraction démersale des balistes
au S..né,g~L Le nombre total; sic campa le chalut dans un mois pour
une profondkw donnée e8t le chfffre de qauckieie, Le chiffre de
droite est le nombre de coups de chalut avec plus de S$ de balistes.
PROFONDEUE
Rwveebre -
Février
Kt3lY3
Juin
Jtrillet
Cctobrs
Tableau 6 : R6partition saisonnière batbetrique des 'balistes en phase
démersale au SénégaPL, Le chiffre de gauche représente le nombre
de coups de chalut total, le chiffre de droite étant le nombre
de traits avec plus db 3$ de bal,istes,

2 9
montre les campagnes d’6chointjration faites depuis 1976 en Afrique
de l’ouest. On constate d’a;;rè:- La fizure 14 que la taille des ba-
listes augmente avec la ,rofon:eu,- de pêche quelque soi: ia profondew
du fond. On constate aussi .;:~e les balistes en phase p&agique se
tiennent dan3 la couche des 30 premiers mètres et de grdfhsence
entre 5 et 2C m. 31 trouve zes balistes pélagiques Jusqu’au dessus
des r’onds le 2CG q ( la zone au .lelà des 200 m n’a pas dt6 prospectée) +
Cependant la zone prdfdrentleile semble être la zone de 30 3 50 m
( 58% des traits ), les zones de 0 à 30 m et 60-100 m ayant une
importance égale( 16% des trai!,s) , la zone des plus de 100 m &ant
la moins importante (10% des traits ).
Rdpartition le long de la côte et variation d’abondance :
Abondance relative :
- - - - - - a - - -
Le Tableau 7 et la ?lgure 15 indiquent
les variations de l’abondance :!es balistes au Sénégal depuis 1976.
zn 1976 et 1977 nous manquons de données ?OU~ ktabllr l’abondance
relative 2e ces poissons. Au plus -eut-on noter qu’en octobre
197611 g a eu un cou? de chalut comportant 77% de balistes qui
explique la forte abondance r e;ative obtenue ce mois là.. En 1917
1’6chantlllonage fut trop Insuffisant pour tirer aucune conclusion.
EXI 1978 on note que sur la côte Sud les balistes forment de
un a deux $ du ooisson capture au chalut de fonct,alors que sur la
côte Nord ils sont pogr ainsi dire absents ( tout comme en 1976
et 1977 )+ Xn 1979 on assiste à une augmentation assez spectaculaire
de l’abcndance de ces poissons qui reprhsentent sur la côte Sud
Jusqu’à 40 % (octobre 70 ) les captures en poids et en moyenne
50% des traits comportent au aoins 10% de balistes. Il faut re-
marquer que certains traits sont à 90-100% composés de bal?stes
et que ces :ralts s o n t en géndral d’un tonnage &levé, Ceci suggère
dvidemment un c3msortement en banc très marqu&. ?In 1979 sur la cote

i3 32
~Taille moyenne
fr;m:
30
I
ProSIndeur (III)
8 0
“i
$ de balistes
dans
% de ti its
les captures expérimentales
8
avec p: à de
, , lW$ de
alistes.
7 0
I \\
et%
1 b
ïiY.qare 15 :Variazion de l'abondance relative
I -
des balistes de 70 à 80. Les points
6C
oorzzespondent à l'ordonnée de droite,
I
les losanges 5. l'ordonnée de muche.
I
ti
i I
78
79
8 0

(‘; ” 3
31
Tabl~~a~ 7 : Les bal: stes lans le:; pêches expérinentiiles .5 : .;uc! ,?T:nord
ToncaTe
Surface Densi é
Tonna;g5
DATE
=OTE (1) (2) (3)
(4)
bal! ste
balayée @/km t!
total(T)
04-76
S
05
G O
0
0
a
0
0
05-76
S
12
04
0
1 . 1
1 oc
0.80
125
: 000
10-76
S
04
lh
3 0 . 0 ”
380"
0.17%
2200*
36000*
N;
2
00
0
0
0
07-Z
S
02
2
5 .4
58
0.40
150
?5OC
N‘
E8
00
0
05-76
S
03
0
0.5
1 0
0.48
21
350
N;
:;
00
0
06-78
S
04
1
2.1
44
0.49
30
15oc
F
1;
00
0
0
07-78
S
12
03
1
1.9
50
0.53
94
1500
x 12
00
0
09-78
S
12
07
0
103
24
0.53
45
750
K 12
01
0
0.1
12-7ç3
S
12
04
0
1 .2
16
0.53
30
5OC
N' 11
CO
0
0 3 - 7 9
S
12
02
0
0.1
2
0.40
5
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N
11
00
0
c4-79
S
16
03
0
0.1
3
0.71
3
50
S
14
05
0
0.8
13
0.76
17
260
06-75
14
8
2.2
142
2.00
71
1200
05
1
3.0
78
0.62
125
460
07-79
S
41
19
12
3600
2.13
1690
28oco
N‘ 29
10
2
3z*e
.
120
1.58
76
280
08-79
S
36
19
10
21.0
1295
1.97
655
1 1 ooc
N
14
05
3
6.4
9 5
0.65
145
540
10-79
S
36
22
18
42.9
5045
1 .fl
3340
55110
02-80
S
23
06
02
4.8
183
1.68
108
1300
N
06
00
0
*K
nw
a*
05-80
S
13
08
O!F 53.0*
2450**
0.62
3940
65'000
N
12
01
00
0
07-80
s
09
09
07 250.0
-1000
0.58
1900
3 1 000
08-80
S
24
17
16
52.3
1790
0.84
2130
35000
N
28
10
06
10.0
340
1.81
190
'7OC
(1):Nbre t o t a l d e t r a i t s
(2) :Nbre de traits contenantf ‘du Valis%e
(3):Nbre de traits avec plus
(4):s du touage en balistes’;
de 10% de balistes.
SC: un seul trait contenait 36Oi:q ~6 : 1~: seul +ra’t
a
A.2 contenait~ 2CCOlq

Yorti ies ?ffectlfs d e b a l i s t e s jn” ka!ement augmenth p2r r a p p o r t
aux anr.ées prkcédentes. Cepeniün’ ! 3 :3l*,par” des captures sur 1.a
c ô t e N o r d Jni. e u Lieu 9u sus ?ç
ti fesse je TCa;yar.
L ‘ annde 1 980 marr:ue crie
ui;n:eni,zt ion tiensible de 1! abondance
des balistes, surtout sur la -ôte Sud où ?n mai, Juillet et août
ils formèremt 305 d e s sa?tures, Er fèv?iel,~ ‘980 l e s b a l i s t e s
raptur&s a u chalut de fond ne I’orrtsient :uf? 5% des captures dd-
mersales t a n d i s q u e 65% d e s cept!,:es pdlai-iciues ktaient constl-
tuées de balistes. Teci est dc ab très faible 4vltenent du chalut
pélagique ?ar les balistes et au tait. qu’en pélagique le filet
n’est Immergé que sur des bancs ddtectés au sondeur. Sur la côte
Nord la situation est stationaire
tout au moins en ce qul con-
cerne la partie ddmersale du stock, La campagne Echosar II devrait
nous renseigner sur l’État du stock p&laglque dans cette région.
Les balistes semblent êtz-e prdrents en masse surtout
durant la saison des pluies, qui correspond également ii leur
p&lode de reproduction, Ils redescendraient cm nJu:nde durant la
saison sèche . Les campagnes de GuSnQe 1 et11 ainsi que les cam-
pagnes Echosar 1 et la Carn?age FAO 80 en Guinée
ont montre qu’il
exlstiilt des stocks de balistes très Important en “Julnée qui
pourraient servir de r&servolr au stock S&.egalals.
.ESTIXATION DES STOCKS:
Elle peut se faire soit par kholntéoration soit par pêche
exp6rlmentale. Les rdsultats des campagnes Echosar 1 et11 ainsi
que la campagne FiO 80 devraient donner une indication sur les
stocks p8lagiques. Kos chalutages de fond ne sont pas orientés
vers l’estimation d’abondance, mals vu l’absence de pêcherie
L
commerciale pour le baliste
c’est notre seule source gour obtenir
une première estimatfon. Pour celà on a utlllsk la formule suivante:
Blomasse Estim&e: Tonnage pêchB x Surface du secteur,/Surface Pêch&e.
du secteur

33
L’évitement a ét6 conoldér6 comme ndgligeahle, quant ‘a
la sélectivité il faut noter ‘;ue notre chalut peut prendre des
301 ssons de moins de 10 cm mals que les balistes sont pélacclques
Jusqu’à au moins une taille de 14 cm , donc tout baliste démersal
passant. ians le chalut de fond
sera vraissemblablement retenu.
Le tableau 7 Indique ‘que la plus grande partie de la
biomasse dknersale des balistes se trouvent sur la c ô t e Sud, Cn
note aussi que cette biomasse démersale ne semble pas dépasser
les 60 CO0 T.. La partie la plus importante du stock serait cons-
tituée de poissons pélagiques c o m m e semble l’indiquer les résultats
de Février 1 %O ( 182 kg yis en démersal, 9200 kg en pdlagique ) .
Il faut noter cependant que les methodes de pêche diffèrent,
outre la nature du filet, ?ar un caractère essentiel: la pêche
au chalut .de fond se fait enaveugle alors qu’au p&aglque le filet
n ‘est mouillé qu’anrès ddtectlon d’un banc au sonar ou au sondeur,
5”où les r endements beaucoup plus dlevés. Mis à part le rt?sultat
d’octobre 76 qui n’est d’ailleurs pas fiable vu la faible surface
pêchke, 20 n’est pas avant Juillet 79 que le tonnage de baliste
a déeassé les 10 000 T.
ESTI&?ATI?X DE LA YORTALITE.:
La mortalitd par pêche est ndgligeable vu que cette espèce
n “est -as oour l’instant l’objet de débarquements importants et
?ue les balistes résistent très bien au reJet une fois capturés,
Donc L’estimation de la mortalité sera la mortalitd naturelle.
Il se aose divers problèmes -our évaluer ce paramètre. D’une part
le stock est très &Cent donc la mortalité Four être correcte
devrait être calculée sur les olus Jeunes classes d’âge. Ces
dernières sont Justement les classes d’âge qui sont en partie
p4lagique en ?artie ddmersale. D’autre part comme nous l’avons

3 4
4
25.6
27-31
5
7-9
EJOV-DC’;
-n ,21-25
4’
68
27231
5 24.7
Octobnz 7?
3
Juil:e?, 7: 115-20 y-21
3
26-31
5
r-t?
-- --.--- - ._... -_--
-_I-.----

-
-
-

-
-
Tabl .:;:c CI : &)tcc)upaq ep. claz;e3 4'?~0 ie'. hi3togzaznes ?e lowpew
~--- (cf. données Annexe 1) na.~- ia tcr5zique du "hachoir".
L: étendue de la classe,
C 6 numéro estimé de la cals.?e dl-âge.
fi: fréquence de la cl.asse,
DATI:
BOUT 80
- 1 :c
j-gj-g-1
JUILLET a0
1
0.40
MAI a0
j
0.40
! 0.10 I 0.25
l
I
!?EVRDK 80
/
046
,
0.11 j Q-223
NOV-DEC a0
/
0.36
l
ccTOBRE79
j
0.24
JUILLET 79
j O-09
O-03
0.35
l
CL-t
i
=
2
1
x
0.m
0. oy
0.23
s
0.x3
0.04
0,09
M
L.2
1.3
1-j
Tableau 2 : Zstiaation de %a mortalité natwelle par M = - 2 log ftcl/ f,)r
dt
f : moyenne des ft/ft+,l
S : écart type
FI : estimation de la mortalité naturelle-

35
ddj& vu,les migrations compliquent l’estimation de l’âge. Nous
avons donc procddé comme suit:
on suppose Nt : NC exp( -Mt )
M:coefficlent d e
mortalité
soit N, ,N2, f ,f les effectifs et fréquences des
1 2
classes 1 et 2 o On a NI : No exp(-Mtl)
e t N2: NO e x p (-Mt2)
N
f “YT e:. x
1: 1'
2 : f2N ( N e f f e c t i f t o t a l d e l a population). D’où
“1/E2
: f,/f2
e t N,/N : exp -M(t, -t2) p a r cons4quant o n a :
2
M : -1
1% f,/f2
h
t
Nous avons découp les histogrammes de longueur en classes
d’âge d’après la technique dite du “hachoir”. Les classes consi-
dt?rdes et leur fréquences sont données au Tableau 8.. Le Tableau
9 donne les ft/ft +ht utilisant les donndes du Tableau 8. On obtient
ainsi un coefticient de mortalité FI: 1 ,3 . Cette valeur est très
forte comparée à la valeur moyenne de 0,2 trouvée pour la plupart
des espèces des mers tempér6es. Four donner un ordre de grandeur
après quatre ans il ne subsiste que 0,5$ de l’effectif Initial.
Ceci entraine donc un turnover très rapide.

36
?h ILLa
.
1>!45073$ ;t: 7' #
12
1,'
/ :,,
'4 1:: l(j ,-y
'c$ ;c
-
i
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__----------
15
1
16
7
5
1 3
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1
l-7
16 2
1,;
7 18 15 7 33 3c 7 15 18
6
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8
27
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11
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1 2 4 4 2
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21
2 112
L
1
2
1
216
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22
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1
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‘1L..
21 22 23
TOTAL
P
15
2
0 . 2
15
0.1
17
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3:;
29.2
18
13
2 15
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2 9 . 2
rg
13
16
157
16.6
2 0
7
2
1
82
7 . 0
21
5
3 9
22
2
21
Y*8
2 3
2 0
1:e
2 4
1
10
0.9
25
4
0 . 3
2 6
0.1
28
ii
0 . 5
10
O.?
29
0.9
30
:*z
::
0:4
33
0.1
34
2
0.î
1189

OCTOEBE '79
TAILLE
.
'
î
3
4
5
6
7
8
9 10 11
12
TOTAL
$
- 10
1
2
3
5
5
16
1.3
17
2
9 548183736
4
1 5
159
12.6
18
12 15 '7 40 39 49 45 20
3 4 3
3
256
20.0
19
33
6 27 le 28 18 23 34
3 18 6 10
224
18.1
CC
27
2 39 4 18 5 5 20 10 32 22 17
202
16.;
Cl
17
2 '5 3 3 2 3
9
4 2E 31 23
140
11.3;
22
il
18
C
1
2
4 35 29 15
108
8.7
23
4
e
1
5 13 25 11
.61
4.5
24
4 612
5
35
2.E'
25
1
3
2 718
2
23
1.9
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2
11
4
27
1 1 2
28
4
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0::
1 l2
0 -5
id-
l

NOVEMWE-DECEMSRE 79
TAïLXE
1 2 3 4 5 6 7
TOTAL %
10
1
2 3
5
1 ..Of L
19
3
7 8
18
3.9
2 0
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1.7
II
;1;24:;
25
4.9
2 2
12
2.6
23
8 2 4'; 6 ; ;
83 9.0
24
7 12 9 9 15 18 13
17-g8"
25
4 10 8 15 12 27 15
19-5
26
916 3 6 319 8
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11
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2 2
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1 3
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1
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1
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41
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1
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1
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1
2
1
1
2 2
1.3
27
1
1
31
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28
21
1.3
12
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1
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1
0.3
31
:
0.4
1
4
0.3
32
33
2
0.1
34
0.06
A-

4 2
ANEXE 2
Rapport gonado-somatique des balistes femelles. Le rapport
est exprime en dizlème de % : exemple 4.5% devient 45. x est
la moyenne pour un mois, s est l’&art type et N la taille de
l’échantillon.
07-79
1 o-79
Il-79
12-79
02-80 03-80
q-80
08-80
*
.
.
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10 14
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l
l
2 7
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1 0
1 4
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10
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12 13
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12
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10
14
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24. 11
14
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16 10
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N:21
44
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N : 23
1 1
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61 13
s:23.8
12 16
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N:25
15 20
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10 54
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58 52
1 1
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128 16
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16
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66 13
10
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1 1
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1 1
13 14
1 1
1: 50
;7
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4
40 60
11
L-f
X : 23.5
5
: 22
3
ii : go
x : 8.6
* 5.6
It I 48

43
DEUXIEY-.: PART Ir
2
CROISSANCE DU BALISTE a BASSIN
1. MATERIEL ET MET!!ODE :
11; Descriction d e l’lnstalatlon :
Nous avens utillsk les bassins
- - _ & - - - - - - - . - - - - -
en ctrcuit fermé(Flgure 1 ) déjà decrits par LsO@E( ?976), mats
modlflds comme suit:
- L’eau passe par des filtres à sable puis est ramenee au
bassin par trois pompes (débit total 3 m’/heure); l’oxygénation
est assurde par l’eau sous pression venant dès pompes.
- Il existe une pompe diesel de secours d’un ddbit de ‘5 m3,/h,.
- L a stdrdlisation UV n’est plus utilisée.
12. Surveillance et traitement du milieu : Les paramètres phy-
sico-chimtques suivants sont relevés:
- tempdrature au dixième de degré, chaque jour.
- salinité à O,l$< , chaque jour.
.
- oxygene a 0,l p-m, chaque jour.
- nltrites par colorimètrie.
-pH n’a pu $tre mesur qu’à partir du mois de mai (O,l unité)
La salinitd esg maintenue entre 34 et 38 ‘/OC par apport
d’eau douce. En cas de taux de n.itrite excessif le filtre biologique
est nettoyQ e t 1 a nourriture supprim8e jusqu’à disparition de cet
excès. L’eau des bassins est remplacée? de moitié tous les six
mois ou cons&cutlvement à tine panne prolongée du systême de filtrage.
13. Observation et traitement desballstes :
Une fois la mortalité
d u e à l’acclimatation au bassin réduite a zéro, les poissons restants
furent repartis en trois lots:
- 25 polsscns avec une marque Petersen dans le muscle de la
deuxième dorsale (marque de type 1, Figure 2)
- 25 poissons avec une marqu’e de Tetersen fixée sur le ?re-
mier rayon de la dorsale (marque de type 2, Figure 2)
- 66 poissons non mrrquf53

44
Au ,>7eme .;3ur ) 25 ?olss..r,:
‘r?çl::‘ent u n e inJe-tlos, de tfStra-
cycllne e t furen: maryués I’une car,;L,ce ?e Petersen 3e type 1. Cette
injection de tétracycll2e a étd frzlte er: vue de rdallser une marque
interne. Les dP’tai1s ?e re:te expér!ezf:e seront donnés ?ar ailleurs,
Aucun antlbictl :ue n e fu?, il:., -?s,O gendant les deux premiers
marquages. Les ta:.iles noj~ennes les ii ffdrents groupes en début
d’expérience sontfournies au Tableau 1. Les mensurations sont faites
tcutes les deux semaines et els rksul.tats sont donnés dans le Ta-
bleau 1. Les balistes sent alors anesthésiks dans un bain de Qulnal-
dine( 1) d o n t l a ccncentratlon e s t m a i n t e n u e à 1 0 gpm. Lcanesthésie
est effective après a yoximatlvement une minute. Le poids des
bal:stes e s t d&termln& à 3g près et La 1o:ngueur au mm prés.
Nous avons observé deux cas de yollf6rat:on de mycoses,
lori de l’intrcductlon des 3oissons en ddbut d’expérience et au
dabut du mol8 de mars(ce dernier cas étant dû k ia présence de
?olssons contaminés dans le grand filtre). Le traitement consista
h lntrodulre du sulfate de cuivre à une concentration de lppm, Les
mycoses disparurent au bout d’une semaine. A partir du 200 leme j o u r
les poissons ont progressivement cessé de 68 nourrir et la mortallt6
s ‘est rapidement élevt$e entrainant la fin prématu&e de 1’ exphlence.
14. Allmemtation : La nourriture est donnée me fois par jour
approximativement à la même heure. La ration alimentaire n ‘est pas
fixe: la nburrlture est fournie jusqu’à la baisse apparente d’ap-
petit chez les poissons (aliments d&.alss6s quelques secondes,
tombant au fond du bassin).
Dans certains cas aucune naurriture n’est fournie:
- Lorsque des mensurations sont effectudes.
- Lorsque les conditions hydrologlques atteignent des seUi:S
dangereux (taux de nitrltes, matières organiques , oxygène
) .

4 5
D?V~YS types d’aliments ont ,6té expérimentés au ddbut ,le
1’ élevage : mollusques bivalves, ;é?halopodes, sardinelles, thon,
friture 0 Les balistes marquent, une prkference pour les mollus.ques,
Ce-endanl: ils acceptent tout type de nourriture. L’ordre ?reférent!el
semble être le suivant:
- lamellibranches
- cdphalopodes
- sardlnelles
- frlture( Brachydeuterus)
- thon et ;arangidés
Four des raisons matérielles nous n’avon8 nu dtaolir un ré-
glme à base de lamellibranches. Ainsi la olupart des cas nous a-‘cris
fourni une alimentaticn alternée céphalopodes et sardinelles. La
ration alimentaire varie quotidiennement entre 1 ,5 et 3,i &. Les
aliments au début de l’expériencr;ltaient coupés en d8s de 1 k
3 cc. Par la suite, ktant donnde la croissance des poissons et
leur voracité, nous nous sommes comtent6s de fournir les poissons
en filets et la seiche
en gros dés;.
II. RESULTATS :
21. Evolution du milieu :
- Oxygène: la teneur en oxygène futi toujours -roche du niveau
de saturation dans l’ensemble du systême. Un seul cas de baisse
est apparu, le 7 mal, & la suite d’une coupure de courant et d’un
malfonctionnement de la pompe de secours. Deux poissons sont morts
et la croissance a dt6 sQrleusement ralentie.
- SallnltB : des observations In altu ayant montré la tolé-
rance de 3allstes carollnensls
à des variations même fortes de

------.---..----.--..- -. -__
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56
69
II
9 6

49
salinité, nous n’avons pas été tenus de maintenir ‘Ine salinité
rigoureusement constante. Noz13 nous sommes imposds pou limiter
de 34 à 38,5 pour mille.
- température : e l l e a var?Q e n t r e 2 2 e t 2 8 !egré, l’amplj-
tude moyenne des variatlons journaiiéres étaient de C,4 degré, le
maximum étant 1 ,5 degré,
-matières organiques : s e u l s l e s n l t r l t e s on: et6 d o s é s {
Tetratest Colorlmeter-452 melle W.Germany), afin de tester l’ef-
ficacité du filtre. En règle générale le taux de nltrltes fut in-
ferleur à O,l mgjl. Par deux fols cependant les nlcriced ont atteint
des concentrations très lmportantes(plus de 10 mg/l) sans que les
balistes aient paru er, scuff-lr. ‘Lors de ces deux occas:ons, l e
filtre a Qté régénéré, et el taux 1e nitrltes est retombé à molr,s
de O,lmg/i. en moins de dix jours.
22. Observations sur le narqu-s;e : La mortalité dûe au marquage
a été nulle. Par contre les pertes de marques ont 6té assez lmoor-
tantes(flgure 31, principalement pour les marquesde type 2 5 cause
de la rupture du 9remler rayon de la dorsale.. Les marques de tgoe
1 ont été beaucoup olus robustes: 100% des marques de types 2 ont
dt6 perdues en trois mois contre seulement 16% de marques de type
1, Ces dernières ont tendance & rentrer dans la chair par suite
de la croissance des -oIssons.
23,Mortalltf? : Deux cent Individus capturés au chalut de fond
(fond de 15 m) ont Bté introduits dans les bassins le 7 décembre
La mortallt6 lnltlale fut tr&s Importante, mals de courte durée,
l e 15 décembre la mortallt6 Otant devenue nulle. Au 21 décembre
115 Individus furent dénomb?Gs, la mortalité resta nulle jusqu’au
7 rai . Le ncmbre variable I ’ ’ ndlvldus mesurds ( T a b l e a u 1 ) e s t

50
dû à des indlvldus s’échapoant au momemt de la capture Tour les
mesures.
En flnd’exp&lence, pour une cause lnexpllqu4e, la mort a11 té
s’est brusquement 6lev6e et l’exp&lence a dû être termlnde. D*autres
polasons {serranldés) maintenus dans $a l’eau provenant du même
filtre sont &alement morts. Ceci semble Indiquer que ce serait
une degradation de la qualltd de lheau qui Se:rait en cause.
24. Croissance :
Les courbes de cro!saance en poids et en lonqeur sont donntjes
par les Figures 4 et 5. Les quatre premières semaines ?a croissance
fut ldgèrement exponentielle, puis de la quatrième semaine jusqu’au
‘39 eme jour o n peut consld&er q u e la crolssame fut linéaire. A u
13i’eme Jour de l’expérience une rianne entralna une forte diminution
de la teneur en oxygène et une nette augmentation de la matière o
organique dans l’eau. Cecl provoqua un arrêt de croissance des oois-
sons, Cet arr&t &ait dû non seulement aux conditions du milieu
mals aussi au peu de nourriture distribuée durant cette pdrlode.
(Tableau II). Cependant on constate que c’est, surtout la croissance
pondérale qui fut affectée par cet Incident. Entre le 1 50eme e t
200eme
jour la croissance en longueur et en pal&3 ralentit un peu,
les poissons atteignant sans doute le d8but du plateau de leur
courbe de croissance. A partir du 200eme jour d’expdrience noua
avons eu des problèmes de maladie ce qui 88 tradufsit par une perte
de poids et une stagnation de la croissance en longueur.
La Figure 6 suggère que la croissance en longueur suit une
courbe de type logistique. En eftet e n dçjbut d’exp&lence la vitesse
de croissance augmente rapidement, puis passé un pic,, diminue rdgu-
llàrement . En toute logique si l’expérience avait pu se poursuivre,
le taux de croissance se serait stablllsb près de zéro et la croissance

(
320 Longueur en mn.
Poids en grammes.
.
m
mAi
A
300
IOOC
n
28C
A
aoc
n A
A
mA
6OC
2&
$
A
A
m
8
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A
= A
1
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I
I
1
I
1
20 3
0
40
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'Oo Nombre de
40
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160
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Nombre
de jours
jours.
Figure 4: Croissance pondérale des balistes marqués(l), non marqués(A)
Figure 5 : Croissance en longueur des balistes
marqués(m), non marqués (A) et injectés(A).
et injectés (AI.
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55
TABLL4C’ :I- R é s u l t a t s sw ! . a ,:yols:ar,ce (süite e t fin ).
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I 211 : 71 I 321,9 : 756,2 : 1,27 : O,OCl?
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0,449;
:
.
.
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:
:
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z
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: Sans M.
: 223 : 69 i 322,5 t '740,4 : -1.32 : -0,OOlE
:
0,436:
:
:
:
:
15,2 : 110,5 :
:
:
:
:
:
:
:
:
.
: T o t a l
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: 223 .
87 : 321,4 : '731,6 i' -1,31 i -C,OOl8
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0,439;
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0,03?
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:
:
:
:
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.-
:
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t : temps
n : nombre de poissons
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P : poids en g
-M-:
m$me formtile utilisée mais longueur au lleu du poids,

T a u x d e c r o i s s a n c c ’ a b s o l u
( en longueur)
t
0.8
. 0.6
‘3
0
20
40
60
80 100 120 140 160 180 2 0 0
1
T e m p s ( j o u r s )
.
Fi,:, 6 .- Vrariation du taux de croissance absolu en lon,y&ur aveo
u
l
10 temps. Clrquc poiîxt est la rr.oyanrm i>our tous Ics poicuonn.
---
Rapport
.
0
20
40
60
80
100
120
140
160
1 8 0
2 0 0
--
- - . .---
Temps ( jours)
- - -
.
- - - .-__-_-.
Pic. d ..- Courba dc vzrf2tion du rapport longuour/poi.ds
cn foncticn dc 1'1,y (trr‘ps.0 = début d'exp<ricnce).
Chquc point est 12 m0yor.r.e pour tous ha pOiz!.Om.

57
TAE?Lfh.E I I : U t l l l s a t l o n ?e l a ncurrlture+.
:.
:
:
.
:
: Pkrlode : At : Nourriture i Gain total:
Rat?on/jour : Ccefficiect i
:
:
: distribuée : en Yo!ds
: /poisson : de
:
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en
(kq) : (kg)
-
-
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:
:
:
:
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.
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3 9
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i 13 :
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l
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.
.
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i 181-196 1. 15 :
22,7
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4,2
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2c:
.
.
.
0,rg
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:
..
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: 15 i
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15
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:
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i 211-223 i 12 :
19,3
l
:
25
.
-1
,5
:
:
.
:
+ C o e f f i c i e n t d e converslor, : @In t o t a l e n xolds
nourriture distribuée

5 8
rut atteint un plateau.Le taux de croissance pond6rale(Tableau 1,
colonne 5) suggère aussi une courbe logistique pour la courbe de
croissance ponddrale mais les fluctuations de ce taux sont beauccup
plus Importantes.
La Figure 7 donne le rapport longueur-poids avec l’âge. Ce
rapport se stabilise autour de 0,46 en Pin d’ exp&ience. Cette va-
leur est similaire à ce que l’on observe en milieu naturel. SI
cependant on compare le taux de croissance observe au COUTS de notre
exphlence avec le taun de croissance calcul8 pour le milieu naturel,
on remarque qu’en bassin la vitesse de croissance est près de quatre
fols plus Qlevée (lgcm/an en bassin, !jcm/an 4332 nature). Ceci peut
en partie s’expliquer par les conditions d’&.evage , la nourrltiwe
abondante et r&ullère, l’absence de prédateurs. L a nature des ali-
menta a sans doute aussi ]OU& un rôle Important. En nature, les
balistes sont omnivores et une grande partie de leur alimentation
se com?ode de mollusques, khlnodermee et au.tres organismes ben-
thlques de faible valeur &erg&lque. En baersln nous les avons
nourris de sardlneale et de seiche, aliments beaucoup plus énergé-
tiques.
La croissance entre polsaons marqu6s et nom marqu& fut à
p e u pr&s identlque,tant e n p o i d s q u ’ e n longueur(Flgurea 4 et5 ).
Au début de l’exp6rlence le lot des poissons marqu6a avalent une
moyenne l&&ement supérieure , mals cette dlff6rence s’inversa
après 1’ incident du 1 37eme Jour, E n fin d’exp&rlence les pOl88On8
non marques eurent une croissance 18g6rement meilleure Indiquant
peut-être une ;ellleure r&istance 8 la maladie. Les poissons inr
Jectds & la t&tracycllne eurent une croissance Identique au lot
t8moln. La relation longueur-poids (Figure 8) est Identique pour
l e s tir013 groupes:marqufiis, InJectds, t6moins.

IPoids en grammes.
Poids en grammes.
80(3-
800
601 O-
600
l
A
‘A
c
A
m
=A
40 O-
400
A
n
A
w
t
A
20(
250
200
250
3001~ongueur(mm)
3oo longueur(mm)
Figure 13 : Kelation longueur poids pour les balistes
Figure 8 :Relation longueur-poids pour !es balistes
mâles et femelles.
marqués (m), non marqués (A) et injectés (Al.

_ .

. . _
_ I _ y c - _ . .

- - -

. -
- . . -
60
Les Figures 9 et 10 donnent la dl”f6rence de croissance
observt?e entre mâles et femelles. Il faut noter qu’au depart les
mâles sont plus grands et plus lourds que les femelles. Cependant
leur taux de croissance (Figure 11 et 12 ) sont presque Identiques;
les femelles ayant en debut d’expérience un taux Je croissance un
peu plus rapide et lnversemént en fin d’expérience. En nature ,
dans un même banc les mâles sont en ghkal plus gros que les
femelles, et les plus gros Individus captur6s , abstraction faite
de leur provenance, sont des mâles.La Figure 13 indique que les
femelles ,. k poids &a1 ont un poids molndre que les mâles, alors
qu’en nature les deux sexes ont des rapports longueur-poids simllalres.
EZI fin d’exp&rlence nous avons fa.lt des coupes d’&plnee sur
les balistes narquds en début d’expdrlence. Comme pour les poissons
de milieu naturel, nous avons trouve” des stries claires et des stries
sombres. Tous lespoissons montralent une strie très nette que nous
avons assocl6e au début de l’expérience. Une deuxième strie est
apparue en fin d’exp&ience.La Figure 14 donne la correlatlon
existant entre l’accroissement en poids et l’accroissement en dla-
m&tre d e s dplnes. A partir de cette figure on apu estime que la
deuxième strie observée est apparue quand les poissons pesaient
entre 550 et 650 g, ce qui correspond au ralentissement de croissance
observe vers le 140eme jour de l’exp8rlence.
Le tableau II Indique que la ration journalière diminue en
rapport avec le poids du poisson au cours ?a l’expérIence.Le taux
de conversion des aliments reste à peu près constaRt au cours de
1 ‘exphlence, mis h part les al&as dûs aux Incidents techniques.
25. Reproduction:
L’exp&lence n’dtalt pas orient& vers l’dtude d e Pa reproduc-
tion, mais nous avons pu faire quelques obssrvatlons.

ca 0 0

,
Croissance relative en poids (g/j)
hoissance relative en longueur (mm/j)
3(
2(
l(
FEMELLES
,
I
1
I
I
1
I
50
100
150Nombre de jours
50
100
150 Nombre de jours.
Figure 11 : Croissance relative des balistes mâles et femelles.
Figure12: Croissance relative en longueur des balistes
mâles et femelles,
N
- -__--

Poids initiallpoids total
en %.
60 -
50”
a
a
J
40 -
a a
-
a
n
i
30 -
/ ,
0’
î
I
25
5 0
75
Z du diamêtre
final.
Figure’ 14 : Relation entre la croissance en poids et l’augmentation
du diahêtre de l’épine dorsale.

P
TAB'LUU III.- Caractéristiques des poissons sacrffi6a
'
t : 181 j o u r s
.
‘1
‘2
‘1
:
1
‘t
1
i XUJXI&O' de '2 *!&e ': Stade des t Poids des .g Po&is tOta% I hWVw ':
1 inarque ':
l gonades '2 gonades 3
k>
f bd 3
t
:
t
f
3
3
f
-
-
-
.
i
926
2
765
3
323
:
92.7
2
575
:
303
-2
928
3
695
:
310
:
932
4
735
t
376
:
934
2.
420
‘:
290
z
936
2
680
‘2
320
2
940
2
530
‘:
293
2
941
2
765
t
332
-2
942
a
440
t
272
2
943
2
530
:
293
t
945
2
730
2
321
2
946
4
480
2
283
:
948
2
640
‘t
316
t
993
2
620
‘2
270

65
TAELJZAU III. suite.
t : 196 jvurs
.~
:
:
:
- - - - -
:
i Numoro de : Sexe : Stade des : Poids des : ?sids total; Lor.geuri
:
icarque
:
:
gonades :
gonades :
(en 3 )
: (on mm):
:
.
.
:
.
:
935
I F
i 2 : 4 6
i
730
I -m-j
:
:
M :
1
.
.
0:1
:
840 :
329
:
:
;z
M :
045
:
342
:
:
933
i F :
:
i
;'g
;
600
i
l
M :
1
:
0:1
:
3:;
;
:
9
9
2
:
:
994
:
M:
1
:O,l:
332
:
t : 228 jours
:
925
: M :
:
:
655
:
321
:
:
:
M :
:
:
.
l
335
.
.
:
:
F :
:
:
yg
2 7 5
:
:
:
:
F :
:
::o”
:
4 6 5
294
:
:
:
:
M :
:
700
:
:
:
:
F :
:
4:o
;
500
zp
:
:
:
:
7 :
:
:
790
.
.
:
:
:
F
:
:
5,o.
:
7 4 0
325
:
:
:
ii8
:
M :
-..
:
690
333
:
:
:
581
:F :
:
l,o :
500
300
:
:
:
982
:
7 :
:
:
5 8 0
312
:
:
:
;:5
:
7 :
:
:
670
.
321
:
a
:
:
F :
:
590
:
6 4 0
.
322
:
.
:
936
:
M :
:
:
600
310
:
:
:
g
:
? :
:
:
6 0 0
3 1 0
:
:
:
:
M :
:
:
337
:
:
:
:
F
:
:
4,o
:
27:
:
:
292
:
990
:
? :
:
:
500
312
:
:
:
991
: F :
:
:
4 5 0
2 8 0
:
:
:
997
:
F :
:
Fi
390
2 8 0
:
:
:
:
r" :
:
4510:
:
6 3 0
331
..
:
:
:M :
.
.
:
700
.
:
.
3 3 5
:
:F.f :
:
:
8 6 5
3 4 4
:
:
:
:M :
:
:
5 8 0
302
:
:
:
:x:
:
:
3 3 8
.
.
:
:
:M :
:
:
7;:
312
:
:
:
:pf :
:
3 2 0
:
:
:
rp :
:
6:0
i
895
357
:
,
:
t
:: M :
:
7 7 0
3 3 8
:
:
:
:: F :
:
3:5
i
4 6 0
2 8 0
:
:
:
: F
:
:
1,o
:
500
3 0 0
.
.
:
:
.
:M
:
..
.
690
.
:
.
3 2 5
:
:M :
:
:
850
.
341
:
.
:
:M:
.
.
:
7 5 5
326
.
.
:
:
: M
:
:
:
329
:
:
l
:
:
.gg
330
:
.
: M
:
:
:pI:
:
:
690
3 2 0
:
:
:
:
.
.
:
:
:
M
:
:

66
Les 5alistes a v a i e n t in co~~orte:zent 3e Fr0üpe, e x c e p t é ?Our
eme
quelques individus entre le 100
e+ 150ene Jour# qui mont&rent
un comportement territorial et pa,-fois UT, caporterent rappelant
une ?ar lade.
D e s poisson8 on% été sacrifiés trois fc!.s a u 3ours d e i’ex-
p é r l e n c e : l e lE?leme j o u r , l e lgOeme Jour e t une senalne a p r è s l a
eme
fin d e l’exp4rience soit l e 228
jour (Tableau III). Le8 balistes
sacrlfi85 la r;rolsième foi8 étaient malades ou mourrants et le
contenu de leur abdomen fréquemsent en mauvais état. L’état des
gonades de ces poisson8 n’éta:t donc: ;3as norma.1.
Le sexe rat10 observé fut de 29mâles pour 24 femelles. On
nature le sexe ratic est ~h?ralement d e 55% cie reneliles. L e *olUs
des gonades des mâles ne dépa8Sai.t Pas C,3g (Tableau III>. Les g
gonades des femelles étaient de 3 à .7& g. Les femelles sz.crlflées
l e 181eme Jour avalent des gonades plus Seveloppkes que celles des
femelles sacrifiéea ult6rieurement. Il est possible qu’à cause ies
maladies le8 femelles examinées a?rès .ia fln de L’expérience afeent
eu des gonades atrofl&es. En nature Les il;onad.es màlrs ddpassent
rarement 2-3 g d’après nos observations. Les gonades femelles
peuvent par contre représenter de 5 à 10% du poids du corps quand
les femelles sont pretes à poncre. Pour des femelles de la taille
de celles de notre exphlence celà corses?ondrait h des gonades
c
de 30 à 80 g..

67
TRA 1 TJXEXT DES DOIWEES DES CF?EVETTILRS
ESPAGNOLS- ANKZES 1977-l 979.
1 o NATU? DES DOlWEES :
Les données brutes sont recueIllies auprès ces patrons des
crevettîers qui ont à rempiir un formulaire tous les Jours de leur
campagne. Les résultats de C:es f o r m u l a i r e s ontéte e n s u i t e codés
sur des bordereaux puis mis sur car-Ces pour un trai5eme:it infor-
matique ultérieur.
Les données qui ont ?u être ;raitées.jusqu’k present portent
sur une période de 26 mois : de ja.nvier 1977 à avril 1979. Cependant
les donnees ne sont pas homogènes. 3n effet au début seuls quelques
bateaux ont rendu des formulaires et k l’heure actuelle nous n’avons
.
?as idée du pourcentage des Tatrons qui ont rempli ces formulaires.
guant au sérieux avec lequel ces formulaires ont étQ’remplis, c’est
sans doute poser le problàme fondamental de ces donndes: leur
validité..
Le deuxième problème majeur a été le codage. En effet trois
codages d.ifférents ont dté utilitids durant cette pdriode. Ces CO-
dages àiffàrent peu entre eux mals celà a ndcessitk d e r e c o d e r
l’ensemble des donndes sous :n format unique. Plus grave est le
fait que les codages utillsks dtaient inad&-uats. Initialement
les auteurs du codage pensaient code r de la même façon toutes les
pêches chalutieres du Sénéaal. De ce fait beaucoup de renseignements
demandes n’ont pu être fournis tandis que d’autres renseignements
utiles n’avaient pas de code provu.. D’autre oart le format des
données ainsi codées a posé un C:ertain nombre de problèmes

informatj.ques qui êusse n t dt4 facllement 4vItér p a r u n forTat
a?proprie.
La Figure 1 indique le format (le base *es Sifférents codaTes.
L a zayte suite s’est rév&& ê t r e u n e sdne pour l a prokrac?atlon.
D’autre -art on constate qu’il n’y a .nier, lze ?r4~u uour les
actlvltks autres que la pêche,tels que temps de route, Immobllisa-
tlon au port, pêche en dehors du Zénéaal..,. Ces actlvltds sont
cependant Importantes à connaltre , en particulier pour Evaluer
l’effort de P&!I~. On remarque Egalement qu’il n’y a aucune dlB-
tinction faite entre prise d8fi&ltlve et. rejet, D’un. point de vue
pratique Il n’y a aucune diffdrence de codage entre donnéees nulles
et donné es q anquaties ce qui a n6cess6rement lntrodult un blal8
dans IesrQsultats finaux.
.,
I I . LE3 PROGRUWES :
Il y-a t’rols types de programmes :
- programmes de recodaqs
- programme de localisation d ‘erreurs
- programmes de calcul
2 1. Programmes de recodap;e: (Annexe 1)
Ils ont perml de transformer Pes donn&s codees dlffdremment
en donndes soua un code unfque.(Tableau 1). ‘Le code final cholal
d6coule des codes prdexlstants, et de ce fait est encore mal adapt6
aux don&es..Pour bien faire Il, faudrait reprendre toutes les ln-
formations provenAnt des formulaires et l.es coder suivant un format
a n a l o g u e à celui qui est propos& à. la F!tqure 2..
22. Programme de localisation d’erreurs : (Annexe II )
Ce programme permet de localiser l.es cartes sur lesquellea
se sont gflss~es des erreurs gro~si&res ,ou dont le format n’est

6 9
TA3L.ELC’ 1. Les différents ?!odages utilisés pour les données des
crevettlers espagnols.
:
:
*
:
:
: Carte maitre.e:
Code'1
I
Cod.e .Z :
Code 3 i
Code final :
:-
-
:
:
:
:
:
:
:
.
:
:
:
:
Code (43) : l-2 i 1-2
:
l-2
:
:
Ann&e
: 3-4
; j-4 :
.
.
Mois
: 5-6
: 5-6
:
:
Jour
: 7-8
: 7-ô
:
7-8
:
:
Numéro d e :
:
:
:
:
:
bateau
;
13-16
14-16
13-16 :
13?16
:
:
Latitude : 22-24
i
20-23*
j
22-24
:
22-24
:
:
longitude :
25-27 : 24-27* : 25-27 :
25-27
:
:
Nombre de :
:
:
:
:
: COU?S d e chai:
39-40
:
39-40 :
39-40
:
39-40
:
:
Temps de :
:
:
:
:
pêche
:
43-45 : 43-45
; 43-45 :
43-45
:
.
.
Prises :
.
:
:
totales
: 51-55
i 50-‘54
I 52-~5+* i
51-55
:
:
Espece
:
56-59
:
55-58
:
55-58
:
56-59
:
:
: modulo 4 : modula 4 :modulc 4 :
modulo 4
:
:
Pri\\se p a r :
60-63
: 59-62
: 59-62 :
60-63
:
:
espece
: nodulo 4 : modu:Lo 4 :modulo 4
:
modulo i+
:
Code
suit::
80 :
80 :
80
:
80
i
:.
:
:
: C a r t e s u i t e :
:
:
:
9
A
:
:
:
:
:
:
:
Code
:
:
l
:
:
:
Année
I
-
:
:
X?lS
:
:
Jour
-
:
:
l
:
Nombre des 1
:
:
:
: espèces sur *
14-15
:
w
:
-
:
-
:
: carte suite
I
:
:
:
:
:
Bateau :
- :
-
:
:
10-12
:
:
Espède
:
16-19
13-16 :
16ig :
13-16
:
l
:
:
modulo 4: modula 4 : modula 4 :
modulo 4 :
:
Prises par:
2 0 - 2 3 :
17-20
: 20-23 :
17-20
:
:
esp‘ce
modula 4 : modulo 4 : modula 4 :
modulo 4 :
:
Code suit
di
80 :
80
:
80 :
80
:
:
:
:
:
:
:
Les donndes dtaient codées sur des cartes de 80 colonnes, les
chiffres donnés Ici sont les colonnes qu’occupent chaque type de
donnée.
4: latitude et longitude en .degrés et minutes; normalement en
degrds et dizaines de minutes.
;C~C: en dizaine de kg, normalement en k-;
e:le c o d e suite e s t d e 9 s u r c a r t e maltreqsi 11 n’y ;1 pas ‘de Suite;
s suites o n a tou:ours 0 .
f

i
70
80
Rejet 8
76-79 Prise 8
74-75 Esp&ce 8
73 ReJet ‘ï’
70-72 Prise 7
68-69 Espèce 7
g-,, x”e 6
62-63 Wpèce 6
61 ReJet 5
’ 58-60
xylge 5
56-57 Espéce 5
55 Rejet 4
51-54 Prise 4.
E 3pèce 4
50
Rejet
3
46-49 Pri$e 3
44-45 mpèce 3
43 Rejet 2
E
39-42 Prise 2
a
;
;:;;;e ,2
z
;z-38 34-35 Prise 1
bl
-
32-33 .espece. 1
z0 27-31 Prise Totale
v
en kg.
PD
25-26 Nbre de C.C.
aQ) 23-24 Heure de ch+
:
21-22 Actlvltd
P
a
1&20Profondeur
+Jcd 15-17 Longitude
E
0
12-14 Latitude
kd. . g-1 1 NumBro de
c
bateau
Q>
k
CI
7-8
SOUr
ta
5-6
ml8
t-z
3-r mn&3
I
l - 2 Code
_.
.___..
---.

71
oas correct. Pour corriger ‘-es cartes, :1 faut bien entendu
reven?r aux formulaires tn!tiaux correspondants,
23. Proaramnes de calcul : (Arnexe III)
Une fois les donndes mises sous format définitif et les
erreurs prificipales corrlgQes, cn peut entamer la phase calcul,
Il ne faut cependant pas crcire que toutes les erreurs ont pu être
détectees, il reste toujours des erreurs de frappe et autres, dif-
ficilement décelable.
Il ya deux programmes de calcul. Le premier traite les données
pour l’ensemble des bateaux; le second traite séparemment les dor,-
nkes de chaque bateau,
Le premier programme (KEU252) donne comme r&sultats priEci-
paux :
t onnag e
1:
nombre de bateaux
nombre de, Jours de rêche total
1:
nombre de Jours de bêche p a r bateau
-. e
nombre de coups de chalut
- f
nombre d’heures de chalutage
ceci pour : -1) toute espèces confondues
-2) pour chaque espèce
- 3 ) pour tout le S&&a1
-4) par zone(on peut définir autant de zones que
1 ‘on veut
-5) par mois et pour l’annde
Le programme donne &alement un certains nombre de r6sultats
dérivés tels que prise /jour/bateau, tonnage/bateau.
Le deuxième programme (XULB552) donne comme r6sultats prin-
cipaux pour chaque bat eau :
-a) le tonnage et nombre de Jours de pêche pour les dix
espàces prlncipales(on dventuellement choisir d’autres espèces).
-b) le tonnage et nombre de jours de pêche pour Jusqu’i
onze zones distinctes.
-c) le tonnage et le nombre de Jours de pêche pour les
différents mois de l’annde.

72
III-TYE‘IERS 9SFULTATS FT C@?WZNTk:RCS :
-.
31 ne commentera Ici que les r4sultats d u premier ?rc-raTme
de calcul. O n an&lgsera d’abord les r9’süïtats i
toute% l e s e s -
pèces confondues guis cn détaillera ‘es résulta:s des Yirinclsales
espèces (du ?Oint ds vue tonnage). Il serai!; s a n s doute inter?essant
d’analyser aussi les espèces ayant ‘un grand Intèret économique
mals Z?OU~ ce disposon.s pour 1 ‘Instant d’aucur!e lnformatlcn à ce
sujet.
31. Rdsultats globaux :
L e s tonnages pê#s sont assez faible-
1825 t ormes
en t977,2800 tonnes en 19rF( et 750 tonnes ?our le
-I_
premier tiers de la(solt 2250 t extra?olB a l’annbe). Ceci est
lié au fblt que les bateaux espagnols p.e pèchent au S&-i&al
qu’une faible aartle de l’anr,ée. Le nombre moyen de Jours de
p$c;he ?ar bateau est en effet le scfvant :
e-1977 : 80 jours
-1978 : 106 Jours
-1979 : 62 Jours(Janvler-avril; soit 185 Jcurs/an)
On note que le tonnage par bateau es+ en augmentation de
1977 à 1979 z-1 977 : ‘57 tonnes/bateanx
-19'78 : 83 tornes/bateaux
-1979 : 54 tonnes/bateau
(Janvier-avril, solt160t/an)
Cette augmentation n’est pas seulement dûe à l’accroissement
du nombre de Jours de pêche par bateau, mals aussi à une augmen-
tation du rendement Journalier:
-1977 : 712kq/Jour/bateau
-1978 : 78Ckg/ J our/bat eau
-1979 : 862kg/Jour/bafieau
par contre, assez curieusement on note une diminution du
nombre de bateaux venant pêcher au Séndgal. durant cette pdriode.
m r6sum8 il ya moins de bateaux, mais Ils restent plus longtemps
et pêchent mieux. Vn certain nombre d’hy-othèses ?ourraient ex?li-
quer c e phtjnomène :

73
N
3 03 -
4 4
-
4 CO
P
w
E
-
-
! .b :i -i
4
-.
c
P P
4 0 cn
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P
%
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w
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Iv
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-
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-
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-
10
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0
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ch
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0 * aJ
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P 8 - w -1,
-
%
G * P
-
-L
8
0,
,
t

3 y @
74
;
- 1 ) viellliaaement, d e l a flntllle : l.ea Bateaux l e s ?lcs
vieux et les moins rentables partent sans être .?efflplaCeS .<eci
expliquerait la diminution du nombre de bateaux, la hausse des
rendements mais pas l’au‘gmentatlcn 3u nombre de j9UrS de pèche
par bateaux. Les résultats du deuxième profjrame 3e calcul Per-
mettront de répondre a cette hypothèse.
-2) l’augmentation globale du rendement ne veut pas. dire
forceiment une augmentation en valeur de la pêche. En effet Il
se Peut fort bien que les rendements pour l’espèce cible solent
stables ou même en diminution, mais que des espèces peu pèchées
jusqu’alors devlennent Importantes dans la pecherie. Set aspect
sera abord8 dans l’analyse des diverses espèces.
-3)l’augnentatlon de rendements pourrait stre dû & l’ox-
ploltatlon de nouvelles sones mais ce ne semble pas être le cas
comme on le verra en fln de ce chzpltre.
Les tornages pêch8s marquent un pic au printemps: de fàvrler
‘à juln(Ffgure 3). Cependant Il y?.a une grand.e varlablllt8 d ‘une
anr&e. sur l’autre. Ainsi en 1977 la pêche d.l.mlnua très senslble-
ment de jula à d&embre alors qu’exb 1978 on observe un deuxième
pic de production & l’automne, Le nombre de bateaux a varié
sensiblement de la même façon que lest tornages (Figure 7). Les
prises mensuelles par bateau sont as ez stables (de 12 & 20 t/mols)
en 78 et debut 79 mais fluctuent cons lddrablement en 1977 marquant
un minimum très net en octobre-ncvembre (Figure 6). Le rendement
jcurnalier est comptrls entre 500 kg et 1 tonne, les maximums
dtant au prlntempxmars à mai, et 1 ‘hiver en novembre -
décembre(Flgure 5). La chute de rendement estival coinclde avec
une diminution du nombre de bateaux & la môme ?&Iode. Le rende-
ment par heure de chalutage est 1s donnde qui reste la plus stable

Prises ( en T.
4 0 0 L
75
3 0 0 .
2oc
7oc
/ . I I I L
7 7
,
L
I
*
C
J J A S
0 N
D
Pri!es m~nsu?lles pour toute la flotille , toutes espk:es
Prises /heure de chalutage (en Ic3; )
.
6 0
--~~
JFMAMJJASO
N D
Fi:we 4 : Rendement horaire moyen ds la flOtilh t‘ tUUb?S %SpdCeS
confondues.

Nombre de bateaux.
Fip;ure 7 : Nombre< de bateaux
par mois ,,toutes e spêce s
confondues.
15-
10 -
5.
0'
I
.
JFMAMJJAS~ND
Prises/Bateanx (en T.)
Fitqlxe 6 : Prises mensuelles
par bateau, toutes cspéces
I
coIlfondues.
J
F
M A
M
J
J A
N
Prises/Bateaux
Pirure 5 : Prises journalières
/jom
par bateaux 9 toutes espéces
confondues.
?
/
/
.
JFMAMJJAS.yN

d’une année sur 1 ‘autre (E+re 4). Ces rendements vat lant, de
30 & 80 kg/heure avec les mêmes maximums et minimums que les
rendements Journaliers.
Cn constate que les -rIses mensuelles par bateau, augmentent
assez régulièrement
Jusqu là. ce que la flotille atteigne ‘15 à
20 bateaux (Figure 8). La c1lminutlon de ce rendement constaté
quand Il y a nlus de 20 bateaux ne semble pas cerreapondre au
fait que la flotllle soit plus concentrée et donc que 1 ‘effort
de pêche aie une répercussion sur le rendement. En effet la cor-
relation entre nombre de bateaux dans une zcne de pêche et le
tonnage mensuel par bateau ou le rendement Journalier
dans cette
même zone , est touJours positive même aux plus fortes ccncen-
trations de bateaux (Figure 9).
Le Sénégal a été divisé el; dix zones de pêche (Figure 10).
Il y a eu des erreurs dans 1 e d4coupage d e c e s z o n e s , l e s divi- .
.
slons auraient dû être celles de la figure 11. De ce fait les
Informations relatives aux zones de pêche ne sont pas excellentes
mals permettent cependant de se faire une id& de la répartition
des captures dans l’espace et le temps.
Les plus forts tonnages sont pris dans les zones e,3,10
et 4(Tableau 1). Le Sud (zones 1,2,5)et les zones côtières (zones
5,6)30nt oeu exploit6e3, d’une part sans doute pour des problèmes
de distance (Sud) d’autre part garce que les especes cibles sont
des crevettes profondes (eaux côtières). Les zones 8,lO,3 et 4
représentent près de 80% des capbures totales r la zone e comptant
& elle seule pour 30%. Ces quatre zones aont celles où pêchent
7,e ?~US de bateaux(Tableau 1) et également où 11s restent le
ylus longtemps (Tableau 1 > . Les rendements Journaliers sent aussi
les meilleurs, dans les zcnes ii et 10 (Tableau 2), mals ‘-les zones

Tcnnap;e me nsue 1
( en T. )
.
1
.
20
*
t
a
Figure 8: Captures
par zones en fonc-
tion du nombre 15
l
de bateaux.
s
.
0
.
b
.
l
I
.
.
,
*
0
5
10
15
20
Latitude ( en dizaine de
mois.
160
150
0
l
140
130
b
.
,
1
I
a
#
I
.
J
F
b+ A M J J A
s 0 N
0
Fltgure- 12’ :
Chaque point repr6se~t~ P-Cars. dea quat9e meilleurs rendements
jouxnalie‘rs
pour une zone donnée . La latitude est la latitude
moyenne de la zone.

1200
Prise journali&re/bai;eau
?rise mensuelle/
en kg,
bateau. en tonnes.
1000
‘1 //
0
ise, mensuelle
/ ’
800
H4.
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CI
E
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O\\
/
Y/
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9
600
/
I
6
400
.
L
L
1
2
2
4
‘5
6
7
8
9
10
11
12
Nombre de bateaux
dam la eoneq
Fip;ure 2 t Relation entre le nombre de bateaux dans une zone et la prise
journaliare ou mensuelle de oes memes bateauY*

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8 0
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3 c,
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FIEjure -TO: .?&&s utiiis&s-gour ZL’gtudedex r é p a r t i t i o n d e s
statistiques de pêche des crevettiers espagnols.

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81
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7
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4
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\\
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1
Flqure. 11 : Zones lnitlalenent prévues.

r;c--
à b o n rendements telle la zone 5 o u 7 sont -eu pêchées. Pour
ces dernières soit la surface pêchée est faible(zone 7) soit 11
se pose des problèmes de distance et sans docte aussi d ‘espèces.
(zone 5). Lu zone 4 qui a un des mi.Ins bons rendements est
cependant l’une des plus activement pêchde, sans doute & cau’se
de sa proxlmlt~ de Dakar . .
Les tonnages, rendement8
et efforts de pêche des diverses
zones varient saisonnièrement.
On constate que quelquesolt la
latitude le printemps est une période de rendement klevt! (Figure
12,Tableau 2). Il semble Egalement que lea rendements soient bons
au Sud en début d’hivernage et qu’au Nord ce soit plutôt en
novembre-décembre que l’on aie un deuxléme pic dans les rendements
(Figure 12,Tableau 2). C’est dgalement en nvembre-d&embre que
l’on frouve le plus de bateaux dans les zones 8,9et 10 (Tableau 3) i ’
Le Lableau’ 3 indique que c ‘est au cours de X ‘Qtd que l’on a les
meilleurs tonnages mensuels par bateau pour les zones sud (zones
1 à 6).
32. D&al1 par e s p è c e :
Les espèce8 déclardes par lea pêcheurs espagnole n’ont pas pu
être toutes Identifiées Jusqu’h pr6eent (Annexe Iv). D’autre part
certaines rubrique8 telles que varlosp bocae... ne reprdsentent
pas des espèces à proprement parl6; d’autre part plusleura noms
peuvent recouvrir la même espèce comme c’est le cas pour le merlu.
N~US avona traité les neuf rubriques ayant le plus fort tonnage
comme s’il s’agissait d’espèces distlnctes,faute de mieux.
Le tableau 4 Indique que l’esp\\ce I(gambas)pr8domlne les
captures, constituant près de 605 du total. Huit autres esp‘ces
(2,3,4,5,7,19,24,29) reprdsentent 3 8 % d u tonnañe total , laissant
2% des captures réparties entre 23 autres espèces.

TABLEAU 2.- Prise journalière par bateau
Moyenne des trois ann6es 1977, 78, 79,
ANNEE
J
F
M
A
M
J
J
A
3
0
N
D
I
Z O N E 1
684
772
641
823
526
1 210
1 038
847
743
671
559
445
460
ZONE 2
619
508
688
850
448
802
714
646
373
565
598
349
0
ZONE 3
774
547
802
1 150
641
Y23
787
757
936
575
570
500
813
ZONE 4
658
750
698
799
591
948
664
683
664
535
601
488
783
ZONE 5
738
1 100
601
531
443
1 250
684
475
724
0
283
468
0
ZONE 6
567
544
687
552
658
668
570
528
529
423
555
ZONE 7
760
1 077
317
665
981
704
494
632
308
851
0
Z O N E 8
843
880
917
FS7
705
949
714
612
717
1 134
I 410
ZONE 9
738
896
863
843
716
690
8%
618
589
822
98
ZONE 10
902
838
744
775
876
784
824
555
745
1 383
I 266

ThBLEAU 3.-
Le premier chiffre indique le nombre de bateaux
P
i
ayant pbché dans une zone pour un moi.3 donné. Le
deuxième chiffre est le tonnage moyler, par bateau
correspondant.

TABLEAU +-
,
1
I
I
L
1977 I
,
1978
1
1979
1
CUWL
I
1977
1
1978
I
1979
1 CLMJL
$ 1 PRISESI
$ 1 PRISES[
k IFvusEs-1
,r
)
U'l."I
5
38044 1
20,9
73963
216
5086
0?7
459 t
8,7
22
70
c-
6
1210
0107
1.t
0
23
400
y,.
-.
, L
7
I
43047 ,
2,4 ,
227020
11752
1,6
282 t
5,3 24
l
I
1
410 1 ---0 I
i - - Y - - i -
I
i
I
5600
0,8
6tt
-?-t
p-.-
..-_-.._
-. -
. .
. _ - _ -.--__. -

8 6
Cependant Il ya d’lmportantes variations dans la n6partt.lon
des captures d’une année sur l’autre(Tableau 4). L’espèce 1 est
relativement stable (autour de 60$), parcontre on note une aug-
mentation sensible du merlu, l’apparitlcn d e i.‘espàce 24 ainsi
que la dI.mknution notoire des rubriques 5 et 10.
Tous les bateaux ayant pêcher de 1977 & 1979 ont captur6
l’esp$ce 1 et de ce fait la courbe du nombre de bateaux/mois pour
tOUteS es-pàcee confonduea (Figure 7) et pour l’espèce 1 sont
identiques (Figure 14a).. Les prises totales pour l’espèce 1 cul-
mine de mars & mal avec des prlses de 150 àt 230 tonnes/mois pnur
la flotllle (Figure 14b). Pour 1977' et 1978 on note ur!e baisse
sensible des captures de mai & aout, date 2 Laquelle les d&arque-
ments &alent proches de 50 tonnes. En 1/78 on assiste à un deu-
xi’eme pic dans les captures au mois de novembre (220 ton.nes),alors
qu’en 1977 le mois de novembre marquait le minlIhum des captures
avec 10 tonnes . Cet &art est dû d ‘uzxe part à une variation Fnrerse
du nombre de bateaux entre les deux anné’es mals aussi ii un rendement
journalier plus faible de 15-X$ en 19T (I?igure 14~ > L
L’espèce 1 est Captur&e dan toutes :Les zones , mais c’est
dans lea zones- 1,5,6,10 qu>eUi 4îktitue le pourcentage le plus
6lev6 des captures (70.75%) WbL
(
. eau 5). Ln zone 2 est cellé qul
a l e plus f a i b l e pourcentage
Tableau 5) de l’espèce 1 dans
se8-captures. On constate que toute la dglon autour de Dakar
(zones 4, 8,9) ont un pourcentage plus falb$e gue la moyenne.
i-
La Figure 15 Indique que les zones a- Il& meilleurs ren-
4 ,<
dements journaliers en gambas aont aussl.6eiles oh les gambas
constituent le plus gros p
centage des iirptures.. Pour la zone
+
8 le pourcentage de l’espèce 1 est relativemort faible : celEb est

/ / r”
0
/ MA
\\/

!!
88
,
TABLEW 5.- Prise par espèce et par 5one - (ebspèces principales)
\\
en pourcentage ‘par zona ~abondance relative).
1
l
I
l
I
I
I
l
-1 1 71,4 1 49 1 43
t---t-----t-t-
2 j 24,6 j 254 1 597
3 / 67& / 8/5 / 2t*
I
4 ] 58,6 1
12t5 1 64
o
3,8 f
0
(
8t8 )
0
6
72t5
88
1195
0 14151 3 10 I O
7
50
26,2
l,*
8
49,5
10;5
lt5

! !
I /
89
Pourcentage de
1
dans les captures.
Rendements journaliers
p o u r l’espéce 1 (kg).
??imre 15 : R e l a t i o n e n t r e l ’ a b o n d a n c e re latine de
l’espéoe 1 et les ftndements j o u r n a l i e r s
poux cette espéce &@& une zone donnée.

dû 4 l’apport d’espsces & h a u t sendemente (espèces 4,24,29 ) *.
On constate aussi que malgré quelques fluetuatlons annuellesg
le rendement Journalier par bateau est stable pour l’espèce 1 en
toutes zones ( Tableau 6) w Par contre pour les espèces 2,. 3, 5,7
on note une tendance assez forte ‘â. la baisse de rendement de 197T
& 1979. Pour 1 ‘espèce 4 on note a ‘L’inverse une forte tendance
à<.l’augmentatlon de rendement dans les zones oÙ elle a dté pêc?h6e
plusieurs années de suite,
De 1977 & 1979 le tonnage total de l’espèce 1 Captur&e devant
l’a Casamance ( zone 1 et 5 ) a augmenté (Tableau 7 ). Cette aug-
mentation est.dÛe à la hausse du nombre de Jours de pêche où
1 ‘espèce 1 a 6t6 capturée, (Tableau 9); les rendements Journaliers
dtant stables (zone 1 ) ou même en baisse (zone 5-). Dans le secteur
sud de Dakar (zones 2,3,6 ) le tonnage de :L’esp$ce 1 a par contre
diminue durant la même période {Tableau 7). Pour la zone 2 ceci
semble dû surtout au moindre nombre Se %5eaux pêchant l’espèce1 ;
pour la zone 3 ce serait dÛ à une baisse du rendement Jour*nalier
(tableau 6); quant 6 la zone 6 c’est une combinaison de baisse de
rendement Journalier (Taleau 6) , diminution du nombre de bateaux
AL. 1
pechant cette espèce (Tableatim) ,et b a i s s e d e l a frdquence des
-
-
captures (Tableau 9). Dana la!$6glon nord ‘de Dakar (zones 4, 9,8,10)
r
a*
on a une tendance & une augmei&tlon du tonnage total pour 1”espèce
1 ( Tableau 7). ah zone 9 cette augmentation est dû a un meilleur
rendement Journalier (Tableau 6) et en zone 10 à une fréquence des
- - - -
captures plus &evt& (Tableau 9)..
La deuxl&ne rubrlque par ordre do tonnage d’après le Tableau 4
est la rubrique 5: ” d!vers”. On constate que les tonnages d&la-
r8s sous cette rubrique ont nettement balasé de 1977 & 1979
(Tableau 4) dans toute:: zones (Tableau 7). Cecl peut être dû, soit

91
T&BLlWJ 6.~ Prise moyenne journalière par bateau (en kg).
Les + indiquent les chiff'res basés sw moins de 5 journées
de p&che.

E S P E C E S
_II-
1
2
3
4
5
7
19
8
.4
0
12
2
0
ZONE 1
8
6
6
1 FF? 16
0
7.~
TABLEXU
Twnages annuels par zone pour Les principak eaphcesr
Pour 1979, les chiffres sont ceux des 4 premiers mois
extrapol& B Lrannke (le premier chiffre étant les rir-
sultats de 1977, le deuxième pour 1978, le troisiéme
pour v79).

93
T!L&EAU 8.0 Nombre de bateaux pbchant une espèce donnée dans une zone
\\
donnée.

i
94
TiiBLEBU 9.- Nombra moyen de jours & une espèce donnée a été péchée
dans une zone donnée par un mI?me bateau,
tESPZCE ESPECEESPECE
1
2
3 4 5
mJ3 ?-
150
6
15
6
12
12
’5’
-
z
,g
14
9
8
-
-
5
I
-
14'
6
3
zom
2
:
17
3
1
;
2 4
ë
z
I
15
2
1
-
1
-
1
2
3
-
3

95
au fait que lespatrons detaillent davantage sur les formulaires
de pêche ce qu’ils notaient sous le couvert de “divers”, soit
qu’effect lvement Ils gardent moins de “divers”. Nous allons
considérer le deuxième cas.
La ‘baisse de tonnage est due en wrt:e
au fait que moins de bateaux ont déclaré du “divers” (Figure 16a,
Tableau 6) mais c’est surtout une baisse considérable du rendement
qui est en jeu (Figure 16~) ceci pour toutes les zones sauf la zone
$3 (Tableau 6). Ce rendement avait été maximum au ryintemp.s 1977,
atteignant près de 7COkg/bateau/jour (Figure 16~) pour s’effondrer
4 20kg/bateau/jour & la même pdrlode en 1979. Il semble y avoir plus
de “divers” au printemps comme l’indique le pic du nombre de bateaux
en capturant (Figure 16a,b). La rdpartitlon géographique des prises
Indique que les-plus gros tonnages proviennent des zones 8,3 et4
(Tableau 7). L
.
es meilleurs rendements aont en zone Y,8 et ‘3,. don.c
au Nord de Dakar. Mais c ‘est en zone 2 que les “divers” représentent
l’abondance relative la ?~US élevée avec 11,4$ des captures(.Tableau ‘j),
L’espèce 2* bien qu’elle aie ét& pdchée en moindre quantltd
que l’espèce 4 (Tableau 4), est A
pechde beaucoup plus régullérement,
\\
42% de la flotllle la capture. Les captures pour cette esp&e sont
maximum en fin de printemps (ma+Juin) et en fin d’Qt.4 (aout-octobre),
le minimum des prises étant en hiver (Figure 17a,b,c). Le tableau 1
montre que les tonnages ont baisse dans toutes les zones, en partl-
culierà cause d’une baisse de rendement (Tableau 6).Le pourcentage
de bateaux capturant l’espèce 2 est en diminution de 1977 ‘3, 1979
dans la plupart des zones, suaf au sud où l’on constate une lég8re
‘----..-
hausse en zone 1 et 2, ainsi que près de Dakar (zone 9) (Tableace).
I,“abondance relative de cette espèce est a ?eu près homogène sur
l’ensemble du &&?gal (Tableau 5 ).

/
P
/

OP
‘3,

ri 4:;
.;)
1
/ ?
97

._._ . .
.--
9 8
L’espèce 3 e. crie abondance relative plus lmgortante au sud
(tableau 5 ). Les tonnages du fait du faible effort de peche dans
ces zones sera donc assez faible, representant 3% du total (Tableau4).
On remarque que les tonnages, comme tour l’espèce 2 , sont en nette
diminution de 1977 à 1979 (Tableau 4).Le nombre de bateaux pêchant.
cette espèce est resté stable de 1977 ii 1978 (Figure laa), mals
par contre le rendement a balsa& (Tableau 6)
( F i g u r e 18~) durant
cefte m&e pdrlode. Cette espèce est capturt3e s u r t o u t 1’056 (maxi-
mum en Juillet et septembre, minimum en dkcembre et avrll)(Flgure
18b,d), ce qui en fait une espèce de remplacement durant une saison
les epseces 1 et 2 sont molna p&h8es..Curiesement c’est en et&
que le nombre de bateaux capturant cette espèce sont les moins
nombrem. (Figure 188) et que les rendements sont les meilleurs.
L%sp&ce 7 semble 6galemen.t &re une espèce estlvale (Figure
19b,d) et du Sud, vu que c’est dans les zones 1 ,2,5 et 9 que son
abondance relative est la plus forte (Tableau 5). Cette espèce a
636 beaucoup ?~US recherchde en 1978 que les autres anndes ‘1
(Figure 19a) bien que les rendements aient (St& sensiblement iden-
tiques d’une annde sur 1,autre (Figure 19c). Le rendement Journa-
lier (Figure 19~ ) est m-a=um 1’6t6 et minimum au printemps. Le
rendement comme l’abor,dan ce’relatlve est meilleur dans les zones
sud (tableau 6). A noter que c ‘est en &6 que la zone sud dans
son ensemble donne de meilleurs rdsultats (I?igure 12). Ceci est
sans doute du en partie aux apports des espkes 3 et 7 qui sont,
comme noua venons de le voir, capturdes principalement durant
l’&& et dans les secteurs sud.
Les espèces 4,.19,24,29 ne sont apparues de façon Importante
dans la $&herle qu’; partir de 1978 (Tableau4). Peu de bateaux

99
CA
0

(
-T
100
.

..-.
.

..ab.
/
/’ .
.
*i
0
z
u

les pêchent (Figures 20a,21a, Tableau 2 ). Les prises totales pu.y
les rubriques 4 et 29 (merlu) sont très irrégulières alnsi que les
rendements journaliers ( Figure 2Oa, c ) . Ces derniers comme pour la
rubrique 24 sont beaucoup ?~US dlevds que pour les autres espèces
Importantes (Especes 1,2,3,7,.19), Qtant respectivement de l’ à,
5 tonnes/bateau/jour et de 100 a 700 kg/bateau/jour ceci du fait
que les premiers sont des poissons et les seconds des crustacds.
partout le-merlu est p&chQ les tonnages sont en augmentation
(Tableau 7). C’est une espèce qu:l est plus &clalement pêchde
au Nord de Dakar (Zones 8,9,10 )(Tableaux 7,8,9 ).
Comme le merlu, les espèces 19,24 sont surtout capturées
aux environs de Dakar (Tableaux ‘7,8,9 ). L’espèce 19 a été surtout
capturke en 1978 avec un pic des captures vers aout-septembre
(Figure 2la,b,d), saison a 1aque:Lle les rendements 3ou.r cette
espèce ne sont pas les meilleurs (Figure 21 c) . . *Ju que la fin de
I’eté représente une période creuse au niveau des captures totales
dans la région Nord, il est possible que les bateaux aient tendance
â rechercher ou garder des espèces qu’ils ne garderaient pas au
meilleur de la saison. L ‘espèce ,24 semble également être pêchée
pour palier aux baisses des prises durant l’hiver ou l’&té, En
effet cette espèce qui est d’ailleurs pêchde par un ou deux bateaux
(Tableau 10) , est capturde uniquement durant 1’6th (aout -novembre )
et en début d’annde (janvier -mal )(Tableau 10 )L

4
N 0
0
0


_-.- ..---
I
-
-.
TABLEAU 10, -
.
t
E S P E C E
E S P B C E 2 9
NWBRE DE
TONNAGE
NOMBRE DE
IYINNAOE
BATEAUX
TOTAL (t)
BATEAUX
ToIbAL (t)
D
1
-
f 29,3
-
29,3
-
2 9 2 7
-
(D
-
0
-
0
i
0
-
.

A
ANNEXE: 1;
programmes de recodage
pJjQf$ramme WLBO53
,
//OUt JOti UDE37S4,~ULOl,l[ME=(O,2O),flSGCLASSsS
//*MAIN

L~I~ES=~,
I/ ExEC F T X
J/FORT.SYSIN


D
D

*
a C PRutidAbt~E
Uk HEFOKMAlAGt
DES DUh&l:tS @u FICt-fItll CRtV,t7/5.A79
DIMEhSIUN fJAK1(17),IVAH2(22)
C LtCTURE CAHTt MA1 TYfiSSE
1
~EAD(~,~OO,~I~~=~~,ER~~=~~~)(IVA~~(IA),A=~,~~)
loir ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
IF(IbCKl(S).L1.100) G O rr) 2
IF~lVAK1(17).~ii.l) GU 13 3
REA(~(~,~UO,EIUD=~~,~HH=~~~)(IVIRZ(JA)IJA),JA~~,~~)
200
f~K~A1~412,4X,13r~1614,1~~
IvAP2(1)=44
IVAKZ(b)=IVAHl(S)
~RIT~~2~300~~1JAR1~Ifl~,I~=i,l-7~,(iVAR2(J~),J~=~,22)
GO TO 1
3
~RlTE~2r100~~iVARl~Il~,Il=~~l~~)
300 ~~R~A~~412,4X~13r6X,213,11X,1~~,2X,13,6X,714,X~~
1412,1X,13,1614,3X,111
GO 10 1
.
2
IiACKSPACE
1
HEAD (1,500,END=99,EHR=9961(1VAR1(12),12=~,~7)
SO0
F0kMAT~412rSX~I3,5X,213,11X,1~~,2X,13,6X,714,11~
IF(IVAKl(l7).~~E.l) G
O

TO 4
I
QEAD(l,
&OO,L~I~O=~~,ERR=~~~)(IVAH~(J~~,JE=~,~~)
400 F0RMAT(4I2,1X,213,1h14,1~)
IVAR2(6)=U
~RITt~2,30~J~~IVARl~IC~,IC=lrl7)r(lVAK2~JC~,JC=~,S~,~IV~K2~JO),,
lJO=7,2l)rl~AR2(hJ,iVAR2~221
GO TU 1
4
~RLTE(2,1001(1VAR1(13),13=1,17)
GO 10 1
996
~HlTE~2,500~~1VAK1~t4~,14=1,~‘~~
wRLTt(2rbuO)
GO TO 1

998
nRlTt~2,1001(1J~~l(J11rJl =lrli’)
nRITt (2,hUU)
6 0 0
F~~MAT(I~~,~~K~~u~~)
GO TO 1

i 3YV
~RITEI2,20~~~IvAH2fJ2~,J2=1,2~~1
~RITt(2,bOO)
GO TO’1

9 9 7
wK1TE(2~400~(1’.‘AH2~J32,J3=1,2i!1
GO 10 1
99
S T O P
EN0

//GO.FlOlFOOl D
D
DS~=CIDE~~SU,KULBI.C;WEV.E~~,A~~,
//
DISP=StiR,~NIT=SYSDA,VOt=SEH=RES30fj
//GO.F TOZFOril UI) SYSUuT=r

B
Programme m~~052 (1)
. .
r
DIhthlSIUiJ
101(17),IU2~22)rID3~17~rI04~22~,IDS~8O~
IcPT2=0
1cr1=c
1 HE~~~l,100,t~U=9Y~~IOf~J~,J=lrl~~
ICPT=ICPFtl
100 FO~MAl~4~~,u~,I4,3~,2~4,ll~,I2~2X,I3,4X,I~,~I4,lx,~l~
If~ID1~17).EU.O) GO T
O

6
IF(101(51,Gl.lùOO) G O Tü 4
C
RfiDuC11U~
LA1
LOkG Ot
1
CHIFFRE
101 (tJ)=( (lu1 (t?1+51/101
101~7~=~~101~7~15~/10~
L
RETABLIT
Lt
POJOS EN
KILOS
0 0 2 I=lO,lbrZ
101(1)=(101(1)*101
2 CONlINUE
5
INOILiUE
C A R T E SUITfi
A N C I E N FORMAT
IF~lO1(17).EQ.l) Gü 1 0 3
C
E C R I T U R E
ANCIEN F O R M A T Eh F O R M A T D E F I N I T I F (CM)
wRITt~2,2OO~~IO1~K~rK=l,~7~
2 0 0 FOR~AT(412,üx,~3,6X,2I~,ltX,I2,2X,~3~SX,IS~6~4~I~~
GO TO 1
3 wR1TE~2,ZO0~~101(1~1,1~=1,17~
UEAO.~l,30~,~~~=99~~IoZ(JK)rJK=l,22)
300 FOR~A~~~I~,~X,I~,~~I~~~XII
11
'C
N U U V E A U CUUt
3UITEt 4
4
102(11=U4
C
RETASl.1

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t
POIOS
EN
KILOS
OU 8 IH=7,21,2
1D2~1R1=(L02(1R)*10)
8 CONTINUE
C
ECRITUHk
ANCIEh
FURMAl
EN
f ORMAT
OEFINLTIF
(CS)
~~lTt~2,3oo)~IOZ~I~,,IX=lr4 ~rIDt~S~,~IO2(I~~,Iw=6,2~~
ICPT=ICPl+l
GO 10 1
C
LECTURt CAATk NUUVEAU
FOHtiAl
4 BACKSPACt 1
~~AO~I,4OO,~~O=99)~1~3~Jl)rJI=lr17~
000 FOR~AT~~I~,UX,IY,~X,~I~,~~X,I~,~~,~~,~X,~I~~I~~
ID3(S)=(103(S)/lO~
C
CAHTE
SUI IE
hOUVEAU
FORMAT
iF~103(17~.E61,11GO TO S
\\C
E C R I T U R E C A R T E WUVEAU FORMAT
E N F O R M A T OEFINITIF (Cf')
nRITt~2,200~~f03~JL~,J~=l,l7~
L.- GO TO !
” .-_ -_
.____ _
- .

Programme KULB052(fin)
I
5 ~RITt(2rLu0~(103(JS);jS=1,17)
c
LEC1 UKti
CAHTE
NOUVEAU
FUHMAT
(Sullt)
~EAO(l,500,tND=Y9~(ID4(1~),1~=1,22)
ICPT=ICPT+l
500 FUK~Al(4I2,lX,I3,JX,l6IU,Il)
c
houvEAU
CUOE
SUIlE:
LL4
IU4(1l=uç
c
ECHITUHt CARTE NOUVEAU
FURMAl
Eii FOHhAT
DEFINIILF [csj
~RIlt~2,3~~)(1~4(J~),J~~=~,4~,1~3(5),(1~4(J~l,JN=~,22~
GO Tu 1

h
MACKSPACt 1
C
CUHTE
StJiit
MAL
PLACEE
HEA~(1,600,t~~U=99)(1DSo,K~),KM=~,~Oj
6 0 0 FORWAT(8OAl)
C
ECRI TUHE
FUKMA f
DEFINITIF
ET NUMERO D E
CAR tt
~RlT~(6,7U3)iCPT,(I~S(KL),KL=l,~O)
700 FORMAT[lX,'EkR CART ',14,SX,8OAl)
GO TO 1
9 9 KrzKIND 2
8 0 0 fOK~-‘AT(6XrBOAt,SX,Ib)
: 999 STOP
.-
-.
Programme KULB054
C.
.
;'//'ODE007 JUb uutj7~4,KIJLPI,IIMt=(ur30)rMSGCLASS=S
//*MAIN LINtS=i
// ExEC f-TX
//FOtiI.SYYIN OU *

~1rE1uSlu~r IvuR1(171,1VAR2(22)
1
~tAU(~,~UJ,t~u=991~~VAH1~1~,~=1,1~~
100
~UK~A1(412,4~,l5,6x,213,~1X,12,2x,13,5X,15~614~11~
IF(lvAK1(17).tü.l) L;U TU 2
~KIlE(6,l5O~(iVAK1(I~rI=~,l7~
60 TO i
L Rtk0(;,ZOu,t~~=Y9)(1VAR2(I)rl=lrZZ)
2 0 0 FJ~~AT(u12,1~,15,lbI~,~~,il~
IF(1v~K2(l),t~.44)
tiU Tu 3
IVAP2(1)=44
I~VAKL(S)=IVAH1(5)
3
nK~TE(6,l5ù)(LVAK1(I)rl=l,l7)
wRlTt(6,25ul(IVAH2(I),~=l,22)
1 5 0 ~OKMAT(~X,UI~~~X~IJ~~X,~I~,L~X~I~~~X~I~~SX~I~,~~~~~~~
250
FORMAT (lX,Ul2,1X, 13rlbi4,3Xr 11)
GO 10 1
Y 9
s FOP
EN0

://GO.FTU~FO~~ I)D oSN=O~E3754,KUL~1.CR~V.~7~,~79,~13P=S~R~
t//

UNLl=SySUA,VOL=YtR=KES3~5
//GO.SYSIlr OU *
" 11
--- -- i

D
mNExE11:
PROGRAMME DE DETECTION 3'ZRP3URS
l+op;ramme K u l b 152 C 1)
//DOtOU JUb DDE57~4,~ULoi,TI~E=(O,LO)rMS~CLASS=S
// EXEC FT%

j //FUHl.SYSIN DD *
UIktfbSION Iu1(17~,Zh~l~(9),102(22~
1 TUF>=1
INCAR l=O
ICP r=o

ICP12=0
C
Ltcluiit
CAnIt
idAI THtSSE
1 ~~ADC~,~I~O,~I~U=YY~~ID~~J~,J=~~~Y~
INCAhl=lWAHI+1
~Fmu~.tu.o~ (a ru 12
ITUP=O

100 FO~MAT~4l2,4x,~3,6X,213,11%,12~2X,13~5~~~~5,41U,~1~
I C
VEHlFICAlIU~~
CUDE
dAlEAU
1 0 1 I~~1UlCS).Ll.700.OR,IDl~S).61.77O~~D
TU 4
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VEKIFICA I ION
COUf:
tSrtCE
1
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11 IF(lDl(I).CT.JA)
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2 COkTiWE
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MISt tN
MMUIKE
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9 PRkMlt;HS
PsAHAMkTRtS
22 OU 3 J&=l,9
lNUH(Jnl=lUl(JKl
3 CUN1IhUt
c
VERIFICAIXUh
CARTE
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1F(1U1(17J.tbl.i) GO TU 6
C
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PRISES
SUR
CAH l't
MAIrRfSSk
Ic~T=ID1~l2~+lDl~l~~tIul~l6~
~f~~C~~,~t.AUl~lOll~Hllt~6,~O~~~~~~A~l,~fDl~~K~,~K=l~l7J
ICPl=o

GO TU 1
2 0 0 fOHMAI(lX,‘tHK SUh PHlSk'rZX,'CAHr NUM',2X,I6,4X,Uilr~X,15r6XI
12l3,11X~12,2~,13,5X,15,61~,1~~
4 ~iciH!tt6brUUO11luCAHT,(I~l(d~),K1=~,17)
3 0 0 FURMAT(lX,‘tRti NUH tiAT',i?X,'CAKT &Un',2X,16,4X14I2r4X,15~0~~
1213rllX,12,2Xrl5,5x,IS,~l~rIl)
GO TU 11
5 ~~1~t(6,JO~~)1~~CA~1,(iùl(ll)rlltlol7)
4 0 0 fOH~~Ul(ld,'tHK CIJD fjSP’,,?X,‘CAKT ~~U~',2X,ïbr4X041214X,13~~~8
1215r11X,12,2X,13,5X,15,e14,11~
GO II, 22
C
LECTUHfi
CAKl t
SUP Tt
6 RtAD(l,SUù,t~~=99l~IO2(~Ll,iL=l,22~
IdCAkTtiNCAdIt1
500 FOnnA7(412,lX,13,16I4,3X,~l]
C
VEHIFICAILON
CUDt MAltAU
1F~IO2(Sl.L1,700,U~.lD2(5).GT.770) G O TO 9
66 DO ? 1Aab,20,2
C
VEKlf ICA'llUh
C O D E ESPtCE
IF(ID2(IA).GT,38) G O T U 1 0
7 C0~7ilvUt
C
SUhr*E
ots
PRISES
CARTES
uAITKtSYtS El DETAIL
l - .--LL.QJhLLLrYFL..-.- I
___ .__.. -
.
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-
-

Programe KlJLB152 (fin)
..~--
ICPT2=ICPi2tICPi
UO b 1@=7,dl,2
lCPT2=lCPI2t 102(lM)
8 CONllNUt
!
600 FUHMAT(lX,'tiHSUMPK1S CAHT sU1T',2XI'ldUM CART',2X,1br2X,~llC,1Xr13r
114I4,3X,Il~
ICPT 2=0
GO 10 1
1
1 0 ~~ITt~6r7~~~1~~CA~Tr~I02~iOl,I~=l,22~
701, FùHkAl(lA,'~KCOO~S~'rZXI'CPHT
SU~[',~XI'NUMCA~~',~~,~~,~~~,~~~~,LX~
113,l614rJ~rlll
tio TU 18
’ Y ~~lTE~o,~~~,l~~CA~T,~I~~2~I~~,lt.=l,22~
8 0 0 FOkMAl(lX,'EKtvUM Mwr2Xt'CAHrSUlT,',2X,'~~~MCAH'r2X,16,~~~,4~2,lX~
lIJ,1614,3X,Il)
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tio TU 66
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CI.lMP~RA1St.j~~
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CAHTES
MAlTgESSES
SUCCf.SslVtS
1 2 D O 13 lt=lr5
IF(IDl(It),~t.l~U~(I~~~G~

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13 COUT INUk
j c
VEHIFICATION COUP
CHALUT
IJK=o
iJ~=IDl(B)tI~U~(b)
IF~IJ~.tiI,12~~RI~~~6,9OO~Ir~CA~~,~I~l~JA),JA=l,~7)
900 F3HMAT(lX,'kRK hBt?E CCtiALUl',ZX,'NUkCAR' ,2X116,2X,412r4X113rb;r
12I3,11x,12,2X,13,5X,15rbl4r11)
C
vERlFICAI 101~
iifiUt<E
CHALLlTAL;k
IJL=o
1JL=I~l(Yl+l1vW(9)

IF~iJL.G1.24)~iRiTE~b,lOO~~I~~CAHTIIIU1(J~
lrJB=lt17)
1000 FOH~ATf.lX~‘~RH HkUR CHPLUTAG',ZX,'NUMCAH
‘,2X,Ib,2X,J12,4X?L3*b~,
121~r11X,12,2~,13rSX,15,6i4,11)
110P=l
GO lu
101
9 9 SIcIf
k NO
, //GU.f~OlFOul VU USN=OUE375U.KULMI.CHtV.~7~.~79,~)1Sf=Snkr
! //

U~LT=SYSwA,vUL=SEH=HtSj05
j
//


.&SYEXE III
F
CREYJZTTIERS ESPAGNULS
MODE D'ZMPMI DU PROGRm KCJLB252 DONNANT US RESULTATS*
GEREXAUX PAR MOIS,-JWNEZ-ET ZONE,
.
.
Les données doivent être imp&ativement aous le format suivant:
- pour les cartes maitresses: ~2,4X,~j,6X,,213,11X,f2,2~,13,5X,~t
6Gj.+IT
- p&nr les cartes suite-~-4rr,1XrI3;1614,~~11.
L'unité de lecture des donnees est 1'. Une erreur dans le foranat
des données peut entrainer des resultats ernonnks on même okser'lk
non fonotionement du programme, Pour éviter un maxintnm d'erreurs il
est ooneeill8 de faire passer les annees par le programme KULBL~
qui detectera les erreurs susceptibles de nuire an fonctionnsmeztt
de KULEQ~,
Le programme donnera Tes résultats par zone et par an&e. Une
zone sera délimitee par sa latitude minimale et msrimale et sa lon-
gitude minimale et maximale. Latitudes et longitudes seront donnees
en dizainewde minutee, par exemple 23*43 deviunt 234. Si.on dbsire
ne pas tenir compte de la position des bateaux alors on mettra des
zeros comme paremetres de latitude et longitude.L'an&e sera donnée
par ses deux derniers chiffres. Ziimes et armées seront plaodea sur
oartes parambtres avec le format suivant :4(13,lX), LT, Sur 088 oartes
paramètres on a successivement la latitude minimale, la latitude
maximale, la longitude minimale p la longitude maximale et l'ann&.
Il n*ga pas de limite au nombre de zones que l'on peut choisir,
exemple de carte parametre :
230 3M W BO 79
on a ioi delimite une zone oomprise entre le
23*OO sud, 34O40 SM, 12050 ouest et 15*00 ouest pour llannde 79-
exemple d'emploi de KULB252 sur IBW 360 avec dormbes sur
disque:
11 carte job
// MAIl? LIRES -5
// EXEC PT&REGION.GO=30OK
//iWRT.SYSIN DD Y
//G&FTCJOl~Oll DD DSIOI nom du fichier,DISP=SHK~
//
U?JIlWYSDA,VOL&E& n* de volume 06 sont les dodes
// GQ.SYSIIV DD *
120 130 175 180 79
3.30 134 163 172 80
000 000 000 000 78

CREVETTIERS ESPAGNOLS
TABLEAUX ET PARAMETRES DU PROGRAMME KULB252.
Tableaux temporaires :
TTBl(nO de bateau, no d'espèce)= sert au comptage des bateaux dans
a.ne année,
TTBZ(nO de bateau, no d'espèce)= sert au comptage des bateaux paur
un mois. donné.
structure de TTBl et TTIQ:
1
2 .
. . . . ..*..
39
'Espèce
Espèce
no de bateau Total 1
38
p3
pn
702
I
:
*

I
l
I
Chaque case(i,j) est mise à zero ou un suivant que le bateau i a
pêché ou non l'espèce j. Pour TTB2 on fait le total des colonnes
en fin de mois puis on remet les cases à zero pour le mois suivant.
On fait de même en fin d'année avec TTBl.
Tableaux définitifs :
-
IVAR(12,13): donne les douze premiers paramètres du tableau des
résultats final. Cependant IVAR(2, ) et IVAR(3, ) représentent des
résultats intermédiaires jusqu'à la fin de lecture du fichier.
struchuredeIVAR(,): ~&,(vuM-(Lw~
Janv. Fév.
. . . . . . c 'Déc.
'hnée
E nombre de bateaux
~~~~_~~~~~
- nbre de coups de
chaluts
ateau
- nbre d'heures de
chalutage/bateau
I
./
- nbre de coups de
- total des prises
- prises pas bateau
- Prises par bateau
et par jour
l
Iii--II
----
IESP(nO d'espèce,mois+année)
:, prises par espèce pour chlue mois et
38
13
.pour l'année.

G
CRFvETTm ESPAGNOLS
TABLEAUX ET PARAMETRES DU PROGRAMME KULB2552.
Tableaux temporaires :
TTBl(n" de bateau, no d'espèce)= sert au comptage des bateaux dans
une année..
TTBZ(nO de bateau, no d'esp&oe)= sert au comptage des bateaux pan.2
un mois donné.
stature de TTBI et TTR2:
Chaque Case( i, j) est mise & zero ou un suivant que le bateau i a
pêché ou non l'espbos j. Pour TTB2 on fait le total des colonnes
en fin de mois puis on remet les case6 à zero pour le mois suivant.
On fait de même en fin d'année avec T.TBl.
Tableaux définitifs :
IV~(lZ!n13): donne les douze premiers paramètres du tableau des
r6sultats final. Cependant IVAR(2, ) et TvAR(J, ) repr$sentent des
r6sultats interm8diaires jusqu'a la fin de leotuns du fichier.
strucituredeIVAR(
> 1:
D3SP(n" d@esp&ce,mois+ann6e) = prises par espèce pour chaque mois et
38
13
peur l'année.

ORGANIGRANKE 8~ 1mL~252
1
oui
BAexsPAm
I
LEXTURE CARTE MAITRESSE +
CARTE SUITE
-!%iiÜ% des bateaua
du mais précédeti
oui
-par e sphce : NBAT
-toutes espèces:
. \\s
.
mLJ@
.
- 1
LT-I-----
.
Jlbn” de bateau

f
Somme des coupa de chalut
par moi3 et par amIPAR(2,
I
il
Somme! des jonrs de pêche
Somme totale des prises:
IPAR( 8, )
Carte suite P
1
Oaf
I
Calcul par esp&ce sur caxte suite:
-toanage:IESP
- nbre de jours de pêche: IJODE
-nbre de bateaPr:NBAT
1
qt:
où. J'Dl est le no du bateau
KJ2 le no des esp8ce8
ri5sentes su.3 la aarte
chalutage/bat/jour
-nbre dà tkps dk+ohalut/bat/joar

dans l'année ?
I ICTL. ICTL + 31
Iinpression des résultats pour
llemèce r
I
.
Il0n
l Impression zone, année et haut
de tableau
L
I
. .
n0Il
/Impression de la fin du tabl‘eau
Reste-t-il des zones on des années
à calculer 7‘
non

L
Prograrrme KULB252 (1)
//ODt007 JOb u~Jt3154,KULulrTlHE=~l,l~~,~SGCLaSS=S
//*MAiiJ Ll&tS=J
// E X E C f lX,KtGIUN.GU=300~
//FWl.SYSIN UU *
&&L*B lA~l(lti),rA~~llo),lAn3(5)
C
fJAK=VALtUK 0tS 12 ?Ht~ltHES VALtUiiS DU TAULEAU FihuAIs
C
IESP=S'oMME OtS PKISES PAR ESPECtS
C
IJUUR=NUMbKt Ut JOUKS Ot PtiCtiE I-'UUH ChAûUE ESPtCt
C
l*tiAT=hUmt3Ht ut dAftAU% PkCtiANk UtJt tSPtCE
C
TuTuAT= NUMUr(t 0E &AIf?AUX PtCHAivf UNt ESt'tCt DANS L Arrnttt
C
TUAT = IUlAL t$AltAiJk DANS L ANWt.t
C
MOYBAT= PKISt HOYtldNt PAR dAitAU POUK 1 ESPtCE
C
MOYbAJ= k'KlSt mUYtfuNf/UAfEAU/JUuK POUK Utvt ESPtCt
DIMtnSl~~lr 1~An(~2,1~),1CS~C38,1~~,~J~UK~38,13)rNBA~~5~,15J
DiMtNSIlJm
~0YuA1~3~,13~,~UY~AJ~38F13)rlVA~1~171,1V~K2~2~J~

.
DIMEHSIUN 11b1(71,39),TT~2C71,39)
C
IJAPl= VAHlAaLtS DtS CAKTtS MAIIHESSES
C
IVAR2 = VAYLABLES UES CAHTES SUITES
UAIA TAt$l/'NbRt DE ','NBKE CDU','hKES CHA','NWE C.C','t+Kt CHAL',
l'lvuii~ IOl','J,PECtfE/','TOTAL Dk'r'PHISESJ ','PHIStY/J'/
DAIA T*B2/‘BATEAUX ‘,‘CtiAL/bAl’,’
/~AltAU’,‘BAI’/JUU’,‘/~~t/JDU’,
l’J.PECHt ‘,‘tllrlEAU .‘r’rt?ISkS
','ç)AlEAU
','/UAitriiJ '/ -
OATA lAUS/' tSPeCE ','lUf. JU ','YUY/eATE','MOY/U/JU','~~K~
8AT'/
_
Jt=O
1
~~ADC~,l~u,t~U=9Y9)LA~~IN,LATnAXILONGM[,LOf~GMA,I~~
WJTt(6#UU5)
4Oj FOKMAr(3k,17nDEBUT O’EXECUTION]
C
nISt A ZERO DES TABLEAUX
D U 1001 JlC=l,30
O~J 1001 JlE=l,lZ
DCI 1001 JlD=l,l3
ItSP(J1C,JlD)=O
IJOUH(JlC,J10J=O
N~AT(JlC,JlD)=O
HOY~AT(JlC,JlU)=O
kOYdAJ(JlC,JlV)=O
1 0 0 1 iVAKlJlE,JlDJ=O
D O 1 0 0 2 Jlf=lr71
0 0 lu02 Jlü=1,39
TT82(~lP,J161=0
1002 Tfbl(J&F,JlC)=U
C
LECTUf?t OtS PARAMtTRtS DE ZOrut
1 0 0 ~ORMAl(UlI3,lXI,l2)
C
LECTURE: CaRlE MAlTRtSSE
2 READtl,25~,ENO=99)~IvA~l~Jlrl7)
250 f-DKMAT(412,4X,13,6X,2~3,11X,12,2X,13,~X,
135r614rfll
C
REJET Dt LA CARTE SI LE MOIS EST INCDH'RECT
IFIIVAHIC3).LT.f.OH.lVAKl~3~,GT.l2~
60 TO 2
C
HEJET DE LA CARlE SI LE t)ATEAU iv A PAS, Ut4 NUMEKU CUKKECI
~F~~VAK1~~~.L~.700.UR,lVARl(~~,GT.770~
GO T O 2
C TEST POUR CAKlt MALTRESSE
-
-
IFc1vhfti(i).t.u.r3) 60 ru 3
.

Programme XELB252 (2)
c
31 TEST I'dtGilIF IL Y A EHREUK ClRDRt CARTE
~RllE~6,5OO~~IVA~l~JA~,JA=I,l7)
300 FÙRMAT (1X, ‘tRR.uf+UHt: CARlt’r2X,412,4X,I3,6~,2I3,ll~,Ic!,~~~I3,5X,
115,614,Il)
tiu TU 2
C
T E S T CAKit SUIlt Sut4 CAH'TE MA~TK~SSE
3
lf~IVAHl(17J.tQ.Y) GO fLI 31
BAChSPACE 1
C
LECTuHt 0tS C4tiIES MAilHtSSES ET SUirE SihULTAkEMtnf
KtA~(I,4~J~,~~D=9Y~(I~A~l(J~~,J~=l,l7),(IVA~2(JC),J~=l,22~
4 0 0 F~J~~~~l(4I~~4~,13,~X,213,11xr12rZX113r5XI15,~14,11/41~,~~,13,1~14~
13X,11)
C
TES1 ANNEE
31
IF(IVAK~(~).NE.IG~) Go 10 2
C
T E S T zllivt
If(LATMlti.tiU.0) 60 TO 4
IF(lVAK1(6).LT.LAT~IN.OH,IVIHL(b).GT.LATMAX) G O T O 2
IF(lVAKl(7),LT.LO~GMI.UK.IVA~l(7).G7.LONG~Aj ti0 111 2
4 CUNfIh'UE
I f (IVAHl(3l.EQ.JEl
G O IU 6
IF(JE.EU.O) G O TO 5
00 6 2
K2=1,71
IVkR(i,JE~=IVwR(l,JE)+flBe(K2,ll
UO 62 K3=1,38
!
KJ3=K3t 1
62
NB4T~K3,Jt~=~BAF~~3,JtltlT~2~KZIKJ31
Uu lu03 JZF=l,71
.
00 1005% J2G=lr3Y
1003
TTB2(JZF rJLti)=O
C
IVAHl(S)=f'JUM.
U t HATEkll, IVAK.1(3)= NUM. DE M O I S
JU=IVAKl(S)
J01=771-iVARl(5)
s
JE=IVnHl(3)
b
1F(lvAKli~).t~.JD) C;l1 TAJ 7
J~J=l’daKl(5J
! c
SUMrsE Ou Idbdt Ot tr~lEA(lX PAK MOIS
C
SUMt-E UU NURt Ut HAHkifiUX P4H ANNtE
7
Iibl(JUlrl)=l
TTbZ(JUlrl)=l
C
8UPIMt UU Nbiit ut C'JljPS I)&i Ch4LU7 ?AH MOjS
IV4tc~2,JtJ=lvAh(2,Jt)+lvnRl(g)
C
SIJM~E Du NMKt lut CuUrS Ut Cn4LuT PAR Ari
IvAR(2,13)=Iva~(2,13)+lvnH1(~)
C
SU~C~ OES ~EU$S UE CHALUTAGé PAR MUIS
IVAR(3,JE,=iVAR(5,JE)+IvARl(9)
C
SUMME HtlJKtS Ut CkIALLJrAui PAR AN
IVAR(3,13)=IvAR(3,15)tIVARl(9)
C
8ilMME OES JOUKS PA2 MUIS
IVARtb,JE)=IvAR(6,JE)+1
C
SOMMt UtS JUUKS PAR 4N
1VAR(b,l5)=IvAH(br13)+1
C
SOMME IOTALt ufS P~ISES

programme ~LB252 (3)
---_-” _
IVAR(d;J~)=ï~aK.~~-,JtJtlJAHl(lo)
1
i

I~A~(MrlJJ=lVAK(B,lJJt~VA~l(l~J
C
HObCLt OE CALCUL POUR LtS ESYtCtS SUR CARTERS nAl!KtaStS
I
011 1
0

Id=llrlS,2
C
IO=CASt DtS IUiuEtAGtS OE PHISES SUH CAi?ll: MAITHESSt
ID=ib+l
l
IA=IvAHl(I~J
i
IF(IA.Lt.b.Ud.IA.Gf.S8) GU TU 10
lF(IAeNt.fVA~l(lb))
GI1 Tu IIJ
C
S%Mt IUNluAGt; PAR tSPECt(IAJ-/~UIS~JE)~,,ArJ(l3)
I~SP(IA,~~J=I~SP(~A,J~~+~VAK~(XUJ
~tS~~14,1JJ=ltS~~IA,~5JtlVAHI(IU)
C
SWMt JUUHS Irt PECHE PAH ESPtCt (IAJ,MUIS(JtJr4k(15J
IF(Iti.tU.11) tiu 10 81
IF(lvAKl(15J.tü.IV&~l(ll))
GO TO 90
IF~lVAKl~l5~.tU.lVARl~llJ.UK.
lIVAH1~l5J.Eü.IVAKl(l3J~

G
O

10 YU
8 1
IJUUH(~A,J~J=~JUUK(IA,JEJ+~
f
IJUUh(IA,l3J=lJUuK(IA,l3Jtl
1
9
0
COkFINUt
C
SOMME Wdt Ut dATtAU PAK ESPECt(IA,,MfJIS(JE),AN(13,
I
. .
kJl=IAtl
.’ *
f
Tltd~~JDl,~JlJ=l
ITBZ(JDl,KJlJ=l
/
10 CUI%T 1rrut
t
C
1tsr CAKTLS MhIlKESSt
/
iF(k’iAKl(l7J.t0,9)
cc, 10 1
3
C
duUCLt CALCUL CaGTE SUlIt
00 1
2

1C=6,Z0,2 _
IE=lC+ 1
IA=iVAKZtICl
i
IF(IA.Li.U.UK.lA.G~F.36l GO fb 12
1F(lA.~‘Jt.lv4nZ(fCJJ
Gd l u 1 2
C
Yùnht UtS lunrqirGtS PAd tYI'tCt,WIS,AN
'.
ItSP(IA,Jt)=ltSt'(IA,Jt)+IVAK2(ltJ
l~S?(l4,15~=liSP(I4,13~tIVAK2~itJ
C
SU++E UtS J(IUHS Dt PtCtlE PAN tSPECt ,lUOIS,AN
IF~~VAK~~ICJ.~~.~V~~~~~~~J GU 10 9 3
l~IIVAn~~lCJ.tu.lVAKl(I5JJ

GU 10 9 3
l
~f(~VAK~(lCJ,t~.lV4~1(15JJ
I;c1 ib 9
3
vu 45 lCl=br20,2
l~~iCl.Eh~.iC~ Cd l u 6 5
IF(IvAK2(1CJ.tu,lvA~LIIC1))

L;U ICI 93
1
.65 CUNïIiuut
IJoUR(lA,Jt)=IJUUt4(IA,Jt)tl
/
IJDUR(fA,r3)=lJuuK(rA,l5Jtl
/
9
3
COhTIhUE
C
SÜMME DU NBtit Dt t+ATtALlJ PAR tYPEcE /MOIS /AH
KJZ=lAtl
TTBt(JOl,KJZJ=l
TI82(JDl ,KJi!j.=l
C SOMhk ht5kE. UE bAltAUX PAH ESPECE,/MOIS,/AN
KH2=IAtl
TIal(JOl,KH2J=l
I
~TdZ(Ji~l,hn2J=i

P r o g r a m m e KULB252 (4)
- -
__.
_---- --.-
._._. _- -
li! cw-7 1NLc
1 3 CUNI 1NUt
GO TU 2
C CALCUL DtS 10 PRtMIERS PARAMETRES UV TABLEAU FINAL
99 CONI IlVUE
DU 67 K7=lr71
lVAK~l,Jk)=IVAK(l,J~)+l~"2(K7,1)
DO b7 K8=1,3d
KJS=KB+
1
67
NHAT(hB,JE)=~~~Al(h~,Jt)trra2~h7,~JS)
DO b5 KU=1,71

IVA~~~,lJJ=~v~R(l,l3~t~~61~~~,1~
ou 63 ns=1,5s
KJir=nS+l

63
NnAi(K5,13)=NbAT(KS,l3)trT~l(Kü,KJ4)
ÙU 15 Ji-=lr13

IF(IVAH(l,JF).liu,O) GO TO 15
IVAH(2,JFj=ftAR(2,JF)/lVAR(l,J~)

IVAh(3,JF)=IVAH(3rJ~I/IVAR(l/JF)
1VPR(7,JF)=1VA~~~,JF)/IVAR(1,JF)
IVAfi(9,JF)=IVARiB,JF1/lV4ti(l,JF)
IF~IVAK(7,JF).tQ.O1
G O
10 15
IvAK(U,JFJ=IvAK(Z,JfI/IuaH(7,J~~
IvAR(5,JF)=fVAH(3,JF)/lvaH(7rJF)
lv4k~lu,Jf~=l~AK(YrJF)/IVAH(7,JF~
1 5 Cork1 1kUk
I F (IVAti(l,lJI.EO.ff) GU T O il
1F(IAN.t'd.u) GO TU 21
DU 19
KFi=l,3&
D U l b KEJ=l,lmt
IF(~~BAf(Km,Y~j.~U,O)
Gu rlJ 18
M~Y~AliK~,K~)=ItSP(Kh,K~)~r~~AT(K~,K~l
n~raAJ(KM,K~~)=lESr(KM,n~~~,/IJ~~u~[Kr~,~~~

IU
CU~lIrrut
1 9 CU~?iruUt
IclL=o
~H~lt(~rSOû)LAThl~.~,LAl~AX,LU~~~MI,L~~ti~~A,~A~~
500
FUH~Af(lhl,lX,SO~,'T~AI~t~trIr
CREvtTTIiKS
kblJkb@iJLS'//
150x, 'ZUîk :
L.4rIdIrd :',15,'
LATHAX :',13,'
LUNb~l~U : ' F 13,
2'
LUNtiNAX :
',15//6UX,'ANNEt :
19',12//1X,l31~1~-1/1~~
3' .
',lZ(Vb
1"'
‘/1X,
ü’
‘ t JL\\~vfEti
b tLKltH
MAHS
AvH~L
994 1
5'
JlJIh
JdLtl
A (JU 1
StYTEw
UC IbdKfL
NUVk~tl
0tA (' ' ,
b’
1UIAL
‘/1X, ’
‘rlL(YH
1”’
‘/
71X~13lCln-))
C
tCHITUt?t DU tiAUT DU TAtjLtAU
'00 16 KA=l,lU
i
~R~T~~6,6OO)~A~l~KAl,lA~2~KA),~lVAR(KA,K~),K~=l,l3J~
600 FUHMAT(5n ' ,AU,2H
,12(8X,', ‘),10X,’ ‘/
JH
,Atiilti
t
llZii7r2H
)rlY,ZH 1
1
6
c~~lIr\\tut
~clL=IclL +31

< .f ii
. * - fi
L
Q
Programme IZLLB252(fln)
OU 17 KC’=l,3tr
-
IcTL=IcTLt5
IF(ICTL.Lt.54) tiu ro 20
ICTL=0

nHITE(6,900)
~~~TE(o~~~~~LA~~~I~,LA~~A~,Lu~~M~,L~~~~M~~,IA~

ICIL=ICILtll
l
2
0
Cu~TI~ut
i
iF(ltSP(nC,l5).tJ.O) 1CU 10
7
~~lltt~rlUUllA~3(~)rAC~(l~~~(~C~K~),~~=l,~3~
w~lTE(&,dsO)lAb3(2),(lJ~U~(~C,~~),K~=~,l3~
~8iit(b,aUO~l~o3(3~r (MUroAi (~C,Kf-),Kt-=l,l3)
*kiTt(6,&~uJTn~3~4lr(nOYHAJ(K~,.K~~,~f=l,l3)
<
nHlTt(b,66O)lA~3(~),~t~~ATtKC,K~l,K~=l,l3J
1 7 CmlINUt
arii1t (6,900l
9 0 0 FOK~A7~lXrl3.l~lH-))
!
7 0 0 FOHMAT( 2H ,AU,12,ln r12(17,2l+ )rt9i&l
1
800 fUKMAT(3n
rAtlr2H
ri2(17r2n
lrI9r2H
)
REwIND 1
21 GO TO 1
999 SIUP
EN0
. //GO,FT01FoUl ~0 USr~=UU~37S~.KUL~I.LHEV,E78.E7~.E79,~IS~=ahk~
//
UNIl=SYsuarvuL=Yt~=ffES3US
//GG.SYSlN DO *
0 0 0 0 0 0 000 0 0 0 ICI
122 130 172 lb0 78
1.30 134 172 189 7~.
134 142 172 IttU 16


Programme KVLB352 t, 1 )
s
//ODE()()~ J O B ODE3754,KULBIrTXME= (ti-- 3Qi ,MSGLEUEL=(O,O:
// EXEC FTY,REGION.G0=2SOK
//FORT.SYSIN D O *

~*****************************%**%****%*******************~***********~**
Cjt P R O G R A M M E D O N N A N T L E S RESULT’ATS D E 13 B A T E A U X P R I S IMDIVIDUE~LEMENT

~************Y*************~%%%%**%***~*******************~***********~**
I N T E G E R ESP r TAB
D I M E N S I O N TAB(317.1.443 z XY~l(3”;.?ZONE(~ll,4).nOfS(3171,24)
D I M E N S I O N ESP(lO)rNOM (4)

D A T A ESFd.l,2,3,4,5,7,8~~19~24~29,‘~~O~/”ESP~’~
‘ C E S ’ ,
.l’ ZON’, ‘ E S ‘/,IAND/77/vIANFJ79/
C M I S E D E T A B E T M O I S A Z E R O
D O 10.1 I=l,3
D O dO2 J=i 17.1
D O ,103 K=1,44

TAB(I,J.K)=O
1 0 3 C O N T I N U E
.102 C O N T I N U E
1 0 1 C O N T I N U E
00 .lO.lO. 1.1=.113
D O 1020 J l = l r71
D O 1 0 3 0 K1=?,24
MOIS(Il,J*l,K~l)=O
i 030 CONTINUE
dO20 C O N T I N U E
.l a-10 CONTINUE

IAN.1 =IAND-ï’Cp
IAN2=IANF-76
C L E C T U R E D E S C A R T E S Z O N E S
DO 30 J7=.1 r Il
READ(5,30O)(IZONE(J7.JS,IJS=E,4i
3 0 0 FORMAT(4(13rlX))
3 0 C O N T I N U E
C
L E C T U R E D E S C A R T E S M A I T R E S S E S E T S U I T E S .
.l
READ(1 ,.lOO,END=999) (IV.1 (12),12=-l ,117)
.l 00
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
C T E S T C A R T E S U I T E
IF(IVl(?7).EQ:l) G O
T’O 2
GO TO 3
2
READ(~1.200)(1U~1(13).13=~18~39~
2 0 0 FORMAT(412.1X,I3.1614,3Xri?)
C
T E S T S U R L A N N E E
3 C O N T I N U E

DO 90 LO=IAN*l . IAN2
L=L0+76
fF(XVd(2) .NE.L) G O T O 9 0
C
IDENTIFICATION DU BATEAU
D O S O MO=.1 r 7.1
3
M=M0+699
IF(IVd(J).NE.M) G O T O 8 0
C
CALCUL D E L A S O M M E T O T A L E D E S P R I S E S POUR LE BATEAU hi AU COURS DE
C
L ’ A N N E E L
TAB(LO.MO~l)=TAB(LO,MO~~l~+IUl~lO)
C
C A L C U L D U NOMBRE TOTAL DE JOURS DE PECHE POUR LE BATEAU MI ANNEE L
TAB(LO~MO~2)=TAB(LO,MO,2~+1

R
Programme WLB3522,
ce programme .:aLcule les stat.!stlques pour :jes bateaux pris
lndlvlduellement,
III. faut. impératlvemeni que les donnees soient
sous le même format :aue ~GU Ile programme KUïïB252, Ce programme
donne en a.ort.le Les tableaux des tonnages et nombre de jours de
pêche par zone, par espèce ( 10 espèces -3.l.r max1mu.m 1 et par mois,
Les nuzéros d'espèces que l'on choisit sont ?k mettre entre .Ees I/
qui suit ESP après l.'ord.re DATA au dkbut. du programme (ici les
espéces choisies sont :Lu2,3,4,5,7,8,19,24,29). !On peut traiter
piusleurs années de .9onnées "ar :La fois ) Id. faut fmpQrativement,
mettre en deuxième ligne de d.'ordre DATA 2.a premibre annde a
traiter après U,HD/ (ici 77)et la dernike année après IANF/ (ici
'79). On peut nhobslr Jusqu“ô. *fzones que :'on ecrit en cartes para-
mètre sous le même format que lors du programme l~17.~~3252. Si, on veut
travallber avec moins de Il Lones on complétera les cartes param'etres
comme si on voulait !1 zones mais toute zone supplQmentaire sera
6crite avec des z&os,
Le programme .te3 qu'il est &rit Ici comporte dses cartes de con-
trôle pour IBM 360. Ces cartes :Ont toutes comme p.remiers caractères
/j. Ces cartes ne font pas partie du programme proprement dit.

Programe KuLB352 (2)
T
-.-
C
TEST ESPECE
DO 2 0
N=I 1.10
D O ,lO 14=li,l5.2
c
C A S D E S C A R T E S M A I T R E S S E S
IF(IU.l(I4).NE.ESP(N))
G O T O d0
C
C A L C U L D U T O N N A G E P O U R L E S E S P E C E S IMPORTANTES(C.MAITRESSES>
J2=14+.1
KL=N+2
TAl3(LO,MO,K2)=TAB(LO~MO,K2)+I’.’~liJ2)

C
C A L C U L D E S J O U R S D E P E C H E P O U R L E S E S P E C E S IMPORTANTES(C.MAIRESSES
K3=N+12
TAB~LO,MO,K3)=TAB(LO,MO,K3)71
-1 0
CONTINUE
2 0
CONT 1 NUE
C
C A S D E S C A R T E S S U I T E S
IF(IV*l(.l7) .EQ.9) G O T O 2 4
C T E S T E S P E C E
DO 2.1 N-l=1 t.10
D O 2 2 15=23,39,2
IF(IVl(I5~.NE.ESP(Nl))
G O T O 2 2
C
C A L C U L D U T O N N A G E P O U R L E S E S P E C E S I M P O R T A N T E S tC.SUITE>
J3=15+1
K4=N1+2

TAB(LO,MO,K4)=TAE(LO1MOIK4)+IVl~J3)
.
C
C A L C U L D U N O M B R E D E J O U R S D E P E C H E P O U R L E S E S P E C E S IMPORTANTES(C.SU
K S=Nl +.12
J4=15-2

5
IF(IS.EQ.23) GO TO 26
00 2 3
K6=2*l,J4,2
l
IF(IVl(IS).EQ.IVl(K6)) G O T O 2 3
IF(IV?~I~~.EQ.IV~l~I~l~.OR.IU~l~I5~.EQ.IV~l~~l3~.OR.IU~l~I~~.EQ.:~U~l~l~~~

j
.lGO T O 2 2
TAB(LO,MO,K5)=TAB(LOIMOtK5)+l
iiIf
23 CONTINUE
i,r
GO TO 22
2 6
CONTINUE
I
IF~IV~l~I5~.EQ.IV1~~l~l~.OR.IV1~I5~.EQ.IV~l~~l3~.OR.IV~l~I~~~.EQ.~U~l~l~~~~
3 GO TO 22
TAB(LOrMO,KS~=TAB(LO.MOIKS)+~l
2 2
CONTINUE
2.1 C O N T I N U E
2 4

CONTINUE
D O 3.1 16=-l ,?i
C
TEST DE LA ZONE
IF(IV?~6~.GE.IZONE~I6,~~.AND.IV1(6~.LE.IZO~E~I6,2~
l.AND.IU~~7~.GE.IZONE~I6,3~.AND.IVl.~7~.LE.IZONE~I6~4~~GO
T O 2 5
G O T O 3.1
2 5 C O N T I N U E
C
CALCUL DU TONNAGE ET NOMBRE DE JOUR PAR ZONE
K7=22+16
C
TONNAGE PAR ZONE
TAB(LO,MO,K7)=TAB(LOIHOrK7)+IU~~lG)
C
NOMBRE DE JOURS PAR ZONE
K8= I&i+33
TAB(LO.MO,K8)=TAB(LO,MO,K8)+‘l
31 C O N T I N U E
--
-

Programme KGLB~S
-.
I c
C A L C U L D E S T O N N A G E S E T J O U R S D E P E C H E P A R MOIS
D O 4 0 K9=1,12

C
T E S T D U M O I S
IF(IU?(B) .NE.K9)
G O T O 4 0
C
CALCUL DU TONNAGE PAR MOIS
MOIS(LO,MO.K9)=MOIS(LO.MOvK9~+IV?(10)
C
CALCUL DU NOMBRE DE JOUR DANS LE MOIS
I
1
J5=K 9+.12
MOIS(LO,MO~J5)=MOIS(LO.MO,JS)+I
40 C O N T I N U E
8 0 C O N T I N U E .
C
F I N OE L A B O U C L E B A T E A U
90 CONTINUE
C
F I N DE L A B O U C L E A N N E E
GO TO 1
5’99 C O N T I N U E
C EN FIN DE FICHIER ON ARRIVE EN 999
C
I M P R E S S I O N D U T A B L E A U D E S T O N N A G E S E T J O U R S D E P E C H E P A R A N
D O 1 1 0 L2=IAN?.IAN2
L*l=L2+76
WRITE C6.350) Ll
&l FORMAT~55X,‘TABLEAU D E S T O N N A G E S E T J O U R S D E P E C H E ‘/55X,‘PAR E S P E
ICE v P O U R C H A Q U E BATEAU’/6SX.‘ANNEE : ‘PI~//)
C
P R E M I E R T A B L E A U P O U R L E S D I F F E R E N T E S E S P E C E S P R I N C I P A L E S
C
H A U T DU T A B L E A U
WRITE(6v400) (NOM(I7),17=1,2),(ESP(N),N=~~l0)~
1(ESP(N?),N1=1,10)
4 0 0 F O R M A T (lX/2X,l24(lH-)/2X,‘NUMERO
:‘,62X,2A4,45X1’:‘/2X.
18X.l16(lH-)/2X,‘BATEAU
: T O T A L : T O T A L : ‘~IO(~X,‘:‘)~~O(~XI’:‘)/~X
2,': PRISE : J O U R : ‘,10(’ T’,I2,~lX,‘:‘)~10(‘P’,I2r’:‘)/2X~~l24(1H-)
3)
-
c
R E M P L I S S A G E D U T A B L E A U
D O 1 2 0 M2=1,71
Ml-M2+699

IF(TAB(L2,M2,1).EQ.O)
G O T O 1 2 0
WRfTE(6,450) M+l,(TAB(L2,M2rK)rK=*l,22)
450 FORflAT(3X.I3,3X,':',I6,lX,':'12X,I3,~X,':'~I6~':'~~(I~~':')~
llO~I3,‘:‘)/9~,‘:‘,~~,‘:‘.2(6~,‘:’)19(sX~’~’~,lO~3~~‘:‘~~
1 2 0 C O N T I N U E
WRITE(6,500)
5 0 0 FORMAT(2Xrl24(1H-)a’/)
c
RESULTATS PAR ZONE
WRITE(6,55CJ)Ll
550 FORMAT(lX//SSXr
‘ T A B L E A U D E S T O N N A G E S E T J O U R S D E P E C H E P A R ZONE
?POUR C H A Q U E BATEAU’i65Xs’ANNEE : ‘,I;!//)
WRITE(6,410) (NOM(I2) I X2=3,4) r (N2tN2=-:l,ll), (N3.N3=-lrll)
4 1 0 F O R M A T (lX,i31(1H-)/lX,‘NUM
: T O T A L :: T O T A L : ‘,SOXr2A4.51X.‘:“/ I
IlXr’BAT : P R I S E : J O U R : ‘tl?(’ T’,I2,.lX,‘:‘).?I(‘J’rI2t’:‘)/
2lXrl31(lH-))
C
R E M P L I S S A G E D U T A B L E A U
D O 1 3 0 M3=1,71
1
M4=699+M3
/
IFC’TAB(LZ,M3ri).EQ.
0)
G O T O 130
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
4 6 0 FOR~AT~1X,I3.1X,‘:‘.I6.7X,‘:‘,2X.I3,~X,’:’,I6,’:‘~~O~I5~‘~’~~
~~l(~3,‘:‘)/~X.‘:‘,7x,‘:‘,6xI’:‘,bxI’:’,lo~~x,’:‘~,ll~3x,’:’~~

Prograume WL3352 (fin)
,130 C O N T I N U E
WRITE(6.500)
C
E C R I T U R E D E S R E S U L T A T S P A R M O I S P O U R C H A Q U E B A T E A U
WRITE(6.600) L’l
6 0 0 FoRMAT(IX//~~XI’TABLEAU
D E S P R I S E S E T J O U R S D E P E C H E P A R MOIS POUR
lCHAQ(JE BATEAU’/65X, ‘ A N N E E : ’ , I2/‘/)
C
ECRITURE DU HAUT DU TABLEAU
WRITE(6,650) (N4,Nb=.l 1.12) r (t’d5,f’!5=‘1 r12)
6 5 0
;?RMAT(2X,~28(~H-)/2X,‘~U~ERO :‘,~~XI’MOIS’,~~X,‘:‘/~X,‘BATEAU
:‘,
II~( TON.:‘),l2(’ J.:‘)/2X,7X,‘:‘,12(2X,I2;lX,‘~‘),~~(~3,’:~)/
22X;l28(.lH-))

C
R E M P L I S S A G E D U T A B L E A U
D O 1 4 0 MS=.1 v7.1
Mb=M5+699

I F (TAB(L2,MS.l).EQ.O)’ G O T O 1 4 0
WRITE(6,700)’ M6,(MOIS(L2,MS,K),K=.l,24)
7 0 0 F0RMAT~4X.X3,2X,‘:‘,12~15,‘:‘),12(I3,’:’~/~X,~:~,~2~~X,~:~~,
1.12(3x.‘:‘))
.140 C O N T I N U E
WRITE(6,500)
1 . 1 0 C O N T I N U E
\\
STOP
EN0
//GO.FTO~lFOO.l
D D
DSN=ODE3754.KULBI.CREV.ESP77,DISP=SHRp
//
‘JOL=SER=RES30S,UNIT=SYSDA
/ / G O . SYSIN D D *
1 2 2 1 6 2 l60 2acl

.l 22 .l 3 0 .l 7 2 .l BO
.130 1 3 4 172 .18Q

d34 1 4 2 .172 dl30
1 4 2 1 5 0 ,172 .lE30
,122 1 3 2 -170 ,172
1 32 l 4 4 .l 7 0 172

.150 .l 6 0 .1 7 4 .l 8 0
.lSO .154 .17ci 1 7 4
.144 150 964 ,172

;t 5 4 1 62 t 6 2 1 72
/*
//

Annexe IW. Noms des espèces d&larées par les chalutiers
crevettlers espagnols.
:
:
:
:
:
: Nom Lat In
: Nom espagnol
: Nom français : Code employd
:
::
:
:
:
:
:
:
:.
:
:i?arapenaeua
:
Gambas
: Crevette pro-:
1
: longiroatrl~ :
: fonde
:
:
:
C&ngreJoe
: Crabe
:
2
:Pleslopeneus :
Morunos
: Crevette: pro-:
3
: edwarsianua :
: fonde
:
:Merlucius
:
Pescadllla
: Merlu
:
4
:
merlucius :
:
:
Varlos
: Divers
:
.:
::Brotula barbata:
Brotulas
: Brotule
:
5
:
:Arlsteus valld.:
Alistados
: Crevettes
:
:
:
Boca8
: Plnces(crabe)i
8
:
:
:
Cuespos
:
:
9
:
:
..
Camarones
: Crevettes pr2:
:
:Dentex macro-
:
Cachuchos
: Dent6
:
1(;’
:
:
phtalmus
:
:
:
:
:Carangldae
:
Palometas
: caranges
:
:
2
:
Qulsquilla : Crevettes :
:
:
:
Brillantes :
:
:
:Loph:us
:
Rapes
: Lotte
:
:
:cktopus sp.
:
PIÀlpo
: Poulpe
:
:
Ssettodes
:
Perrito
::
:
:
: belcheri
:
::
:
:
:
:
Chornal
:
:
:
]
.
!
4
:
>
Pedro
: Crabe mn9 :
:
:
:
:
membre
:
:
:
:
:
Paseles
:
:
:
j
I
:
:
Bot08
: CaliL?
:
t
:
:
Colorado
' Lutjanldés T :
:
Ii
i’:
:.
:
Iren.paquemol
-
:
:
1

z
:
Cariocas
:
:
i
::
:
2
Benthorellai
z
:
:
:'
::
Nuelvas :
-
:
:
:
:
Langoata
: Langoustes :
:
::
::
Escuelos
: Requins?
:
t
:.Herluclus
:
Pljotas
: Merluchon ::
:
::
:
Luorunoe :
-
:
30
:
:
.f
Carablnero
; Crevettes pr.: 31
: