A l a i n CAVERIVIERE Modou THIAM D j...
A l a i n
CAVERIVIERE
Modou
THIAM
D j i b y
THIAM
Luis LOPEZ ABELLAN
R A P P O R T D E S Y N T H È S E D E S Q U A T R E
C A M P A G N E S
C O N J O I N T E S
HISPANO-
S É N É G A L A I S E S D E C H A L U T A G E S S U R
L E S S T O C K S P R O F O N D S D U S É N É G A L
c 1 9 8 2 - 1984 >
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C.R.O.O.T.
A R C H I V E
C E N T R E D E RECHERGHES OCÉ.ANO6llAPlllQllES OI D A K A R - TIAROYE
1
N" 151
I
* I N S T I T U T S É N É G A L A I S D E R E C H E R C H E S A G R I C O L E S *
NOVEMBRE 1986
1

S O M M A I R E
1. CARACTEQ.ISTIQIJES ENVIRONNEMENTALES DE LA ZONE ETUDIEE . . . . . ..*......*
7
1.1. Délimitation géographique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
7
1.2. Cartographie des fonds . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
7
1.2.1. Bathymétrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
7
1.2.2. La nature des fonds et leur praticabilité au chalutage . .
7
1.3. Caractéristiques hydrologiques et dynamiques du milieu . . . . . . . .
9
1.3.1. La.température . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9
1.3.2. La salinité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9
1.3.3. L’oxygène dissous . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9
1.3.4. Les courants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
9
2. LES CAMPAGNES EXPERIMENTALES ET LEURS RESULTATS
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
11
2.1. Description des campagnes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
11
2.1.1. La première campagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
11
2.1.2. La deuxième campagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
11
2.1.3. La troisième campagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1 2
2.1.4. La quatrième campagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
12
2.2. Comparaison des engins de pêche
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
13
2.3. Les espèces rencontrées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
13
2.4. Répartitions rendements et éléments de biologies pour les
principales espèces et groupes d’espèces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
13
2.4.1. Répartitions et rendements par grands groupes systé-
matiques
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
13
2.4.1.1. Prise totale et poissons téléostéens . . . . . . . . . .
13
2.4.1.2. Sélaciens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
14
2.4.1.3. Céphalopodes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
14
2.4.1.4. Crustacés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
14
2.4.2. Les requins-chagrins (squalidés du genre &~kropharus) . .
14
2.4.2.1. Répartition et rendements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
14
2.4.2.2. Données biologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
15
2.4.3. Les merlus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
17
2.4.3.1. Le merlu noir (MerZuccius polli) . . . . . . . . . . . . . . .
17
2.4.3.2. Le merlu sénégalais (Mer~uccius senegaZensls) . .
20
2.4.4. Autres poissons . . . ..*....m.<.............*........*
. . . . .
23
2.4.4.1. Chlorophthalmidae . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2 3
2.4.4.2. Scorpaenidae . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
23
2.4.4.3. Sparidae . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2 3
2.4.4.4. Triglidae . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
24
2.4.5. Les crevettes d’intérêt commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
24
2.4.5.1. Parapenaeus Zongirostris .......................
24
2.4.5.2. Aristeus varidens .............................
26
2.4.5.3. Plesiopenaeus edwardsianus ....................
28
2.4.6. Les autres crevettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2 9
2.4.6.1, flematocarcinus spp. ...........................
2 9
2.4.6.2. Plesionika spp. ...............................
30
2.4.7. Le crabe rouge (Geryon maritae) ........................
30
2.4.8. Autres crustacés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
32
2.4.8.1. Munidae sp. ...................................
32
2.4.8.2. La langouste rose PaZinurus mauritanicus ..* .a*
33
2.5. Evaluation des biomasses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
35
2..~.1. Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . “ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . < A .
35
2.5.2. Méthodologie et résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
...
36
2..~.3. Discussion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
38

BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE .e........*....................,..".,.....,..,..
41
FIGURES ...............................................................
45
TABLEAUX ..............................................................
145
ANNEXES ...............................................................
217

R A P P O R T D E S Y N T H È S E D E S Q U A T R E
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L E S S T O C K S P R O F O N D S D U S É N É G A L
( 1982
- 1984 >
L’accord en matière de pêche maritime entre le Sénégal et l’Espagne, en
date du 16 février 1982, stipule en son article 9 la réalisation de deux cam-
pagnes de prospection par an, dont l’objectif principal est l’évaluation par
chalutage des stocks profonds de crustacés et de merlus du Sénégal.
Le programme de recherches a été établi et exécuté conjointement par le
Centre de Recherches Océanographiques de Dakar-Thiaroye (CRODT) et l’Institut
Espagnol d’océanographie (I.E.O.) par le biais du Centro Costero de Canarias
(Tenerife).
Quatre campagnes de prospection ont été effectuées entre octobre 1982
et juillet 1984. Les données de chaque campagne ont été analysées et ont fait
l’objet d’un rapport détaillé. Le personnel qui a participé a la réalisation
des campagnes est donné ci-après par ordre alphabétique.
Pour la partie sénégalaise :
Chercheurs : Alain CAVRRIVIERR, Djiby THIAM, Modou THIAM
Techniciens : Alphonse SAGNA, Moustapha SECK, Ibrahima SOW, Alassane SYLLA.
Pour la partie espagnole :
Chercheurs : Javier ARIZ TELLERIA, Alicia DELGADO de MOLINA ACEVRDO, Luis
LOPE2 ARELLAN.
Techniciens : Juan Antonio GARCIA VELA, Eligio RODRIGUE2 RODRIGUEZ, José
Carlos SANTANA FERNANDEZ, Sergio TORRRS NmEZ.
Le présent document fait la synthèse de l’ensemble des résultats obte-
nus à partir des campagnes conjointes de chalutages.
Il a été réalisé par :
- Alain CAVRRIVIERE (CRODT)
- Modou TRIAM (CRODT)
- Djiby THIAM (CRODT)
- Luis LOPEZ ARELLAN (IEO).

7
1.
CARACTERISTIQUES%ENVIRONNEMEN-
T A L E S D E
L A Z O N E
E T U D I E E
1.7. VELlMXTATTON GEÛGRAPHT~UE
Le programme de prospection et d’évaluationdes ressources profondes
intéresse le talus et la pente continentale entre les isobathes 150 et 800
mètres ; cette zone s’étend de 16”OO’N à 12”20’N, à l’exception des eaux
sous juridiction de la Gambie.
Sa superficie totale est de 4 813 km2 contre 23 040 km2 pour le pla-
teau continental (O-150 mètres). Elle représente 1,4 % de la superficie de
la zone économique exclusive du Sénégal.
La figure no 1 indique les limites géographiques et bathymétriques de
la zone étudiée.
1.2. CART0G??AW'lE l?ES FONDS
1.2.7. Bathtjmétttici (&iguU 1) :
La structure des isobathes permet de distinguer trois ensembles topogra-
phiquement différents :
- a) Une région nord, comprise entre 16”OO’N et Dakar (14”45’N), où la
rupture de pente du plateau continental s’observe à partir de l’isobathe 100
mètres ; dans l’ensemble, l’inclinaison du rebord du plateau et du talus y
est relativement faible (entre 3 et 5 X).
Cette région présente de nombreux canyons et fosses disposés quasi-per-
pendiculairement aux isobathes ; le plus important de ces accidents géolo-
giques est la fosse de Kayar.
- b) Une région comprise entre Dakar et la Gambie, où la rupture de pente
se dessine à partir de 150-200 mètres ; l’orientation des canyons,plus irré-
gulière, rend la topographie plus tourmentée : la pente du talus varie de 3
à 8 % selon les endroits.
- c) Enfin une région située au sud de la Gambie (Casamance) où la topo-
graphie est très accidentée et très irrégulière ; l’inclinaison du talus,
plus forte que dans les autres régions, atteint 9-10 %.
1.2.2. l a natunc? dti aon& QA &WL pm.CcabX.té a u &.ahtage :
Les fonds rencontrés entre 100 et 1 000 mètres sont à prédominance vaso-
sableuse ; de nombreuses étendues de nature vaseuse sont égaiement présentes
sur les rebords des fosses et canyons qui entaillent le talus continental,
offrant des risques permanents d’envasement des chaluts.
La bande 100-200 mètres est généralement constituée de formations ro-
cheuses, continues ou discontinues , pouvant occasionner des avaries sérieu-
ses aux chaluts.
Des fonds rocheux peuvent également être présents à diverses profondeurs
sous forme d’affleurements ou de blocs isolés.
Des formations “coralliennes” très localisées sont aussi représentces au
nord et au large du Cap-Vert ; elles sont constituées essentiellement de co-
raux morts mélangés à des débris coquilliers.
La répartition géographique des différents types de fonds selon leur
nature,
leur
topographie,
et leur praticabilité à la pêche au chalut, per-
mettent d’identifier 7 zones :

1) Entre 16’02’N et 15”40’N :
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Cette zone se caractérise dans l’ensemble par des fonds très accidentés
et très irréguliers, surtout entre 400 et 1 000 mètres.
Les fonds les plus difficilement chalutables se rencontrent entre
15’55’N et 16”02’N, avec l’existence de profonds canyons, de nombreux haut-
fonds en dents de scie et de croches rocheuses ; la pente y est assez forte
(5 X). La bande comprise entre 100 à 200 mètres est généralement constituée
de fonds durs correspondant à des bancs rocheux associés à des formations
sableuses.
La partie sud de cette zone (entre 15”55’N et 15”40’N), chalutable en
bien des endroits, est caractérisée par la présence de formations “coral:
liennes” ( en re
t
15’50’N et 15”40’N sur les fonds de 300 à 700 mètres).
2) Entre 15”40’N et 15’20’N :
--__-----------------------
Les fonds rencontrés dans cette zone sont assez réguliers et en pente
d o u c e (3%)) constituant ainsi une zone favorable au chalutage de fond.
31 Entre 15’20’N et 14”45’N :
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Cette zone présente trois types de fonds :
- une partie difficilement chalutable entre 15”20’N et 15”10’N, due à
l’existence de fosses dont les rebords, très vaseux, offrent de hauts ris-
ques d’envasement des chaluts, L’étroitesse des plages chalutables rend
presque impossible des opérations de pêche de longue durée. La pente du
talus y est relativement douce (3 % environ).
- la fosse de Kayar et ses rebords constituent une zone difficilement
chalutable du fait de la forte pente et des risques de croches.
- la partie située au sud de la fosse de Kayar est généralement chalu-
table malgré l’existence de croches (roches et formations “coralliennes”).
4) Entre 14’45’N et 14’31’N :
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Cette zone, caractérisée par des fonds très accidentés et très irrégu-
liers, et par la présence de formations “coralliennes”, est impropre aux
opérations de pêche au chalut.
5) Entre 14’31’N et 14’23’N :
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Proche du canyon sous-marin de Dakar, cette zone présente des fonds ro-
cheux accidentés et dangereux au chalutage (très hauts risques d’avaries)
entre 150 et 500 mètres. Entre 500 et 700 mètres, les fonds bien qu’irrégu-
liers sont chalutables ; la pente du talus y est forte (6 X).
6) Entre 14’23’N et 13’35’N :
---__----------------------
Cette zone est dans l’ensemble chalutable et présente une pente régu-
lière. Entre 14”lO’N et 13’55’N, les fonds bien que chalutables sont assez
accidentés et entrecoupés de nombreuses fosses, la pente est forte (7 a 8
X) sauf dans la partie sud, où elle est d’environ 3 à 4 %.
7) Entre 13’05’N et 12’20’N (Casamancel :
------.--------------------------------
D’une manière générale, les fonds sont très accidentés avec présence de
haut-fonds et de fosses très profondes.
Les seuls fonds chalutables sont situés entre 12’25’N et 12’20’N, de
400 à 800 metres. Dans l’ensemble, la pente du talus y est forte : 9-10 %.

9
1.3. CARACTERlSTZ@-/ES ffYDROlùG12UES ET DYNAMIQUES DU M7llEU
Les caractéristiques physico-chimiques et dynamiques des masses d'eaux
profondes se démarquent nettement de celles du plateau continental côtier où
les variations spatio-temporelles sont de grande amplitude. Des mesures de
température, de salinité et d'oxygène dissous effectuées au CRODT en 1983 -
1984 au sud du Cap-Vert, ont permis d'avoir des indications préliminaires
sur l'évolution de ces paramètres en fonction de la profondeur pour diffé-
rentes périodes de l'année.
7.3.7. la tempétium :
La figure 2 montre l'évolution de la température en fonction de la pro-
fondeur. Elle indique une tendance générale décroissante en toutes saisons
et profondeurs, avec toutefois de faibles variations de température d'un
niveau bathymétrique à l'autre (5'C pour 400 m de dénivellation). Les tempé-
ratures sont comprises entre 10°C et 15OC.
Les différences de température sont également très faibles d'une sai-
son à l'autre.
Des mesures effectuées antérieurement en mai indiquent des temperatures
de 7°C à 9,5"C entre 500 et 600 m ; les figures 3 et 4 représentent les cou-
pes thermiques établies pendant cette saison au niveau de deux radiales si-
tuées lFune au nord et l'autre au sud du Cap-Vert ; elles indiquent des tem-
pératures légèrement plus froides au sud qu'au nord de Dakar, à partir de
300 m.
L'évolution de la salinité en fonction de la profondeur, en différentes
saisons, est représentée sur la figure 5.
La tendance générale est décroissante entre 100 et 300 mètres.
A partir de cette profondeur, la salinité augmente légèrement pour dimi-
nuer à nouveau au-del3 de 400 mètres.
Au total la teneur en sels est comprise entre 35,50 % et 35,14 % de 100
à 500 mètres.
Des profils effectués antérieurement en mai au niveau des radiales
15"25'N (nord du Cap-Vert) et 13'47'N (sud Cap-Vert), et représentés sur les
figures 6 et 7, montrent :
- une diminution régulière de la salinité quand la profondeur augmente ;
- des eaux moins salées au sud du Cap-Vert qu'au nord, à ce moment de
l'année.
7.3.3. l'oxygène d.doun :
La figure 8 montre l'évolution de la teneur en oxygène dissous en fonc-
tion de la profondeur, pour différentes périodes.
Les valeurs observées varient de 1,20 à 2,50' ml/litre.
Globalement, la teneur en oxygène augmente entre 100 et 200 mètres ;
les valeurs maximales, atteintes entre 200 et 300 m, dépassent généralement
1,85 ml/litre.
A partir de 303 m, la teneur en oxygène dissous diminue régulièrement.
7.3.3. lf&!l couhd :
Des études systématiques de courant relatives aux masses d'eaux profon-
des n'ont pas encore été menées.
Cependant, des mesures-tests effectuées récemment au large semblent
indiquer des vitesses de courant comprises entre 0,5 et 1 nœud.

1 1
2. L E S C A M P A G N E S
E X P E R I M E N -
T A L E S
E T L E U R S
R E S U L T A T S
2.1. PESCRlPTlON DES CAMPAGNES
Quatre campagnes de chalutage d’une vingtaine de jours chacune ont eu
lieu en 1982 - 1984 à différentes périodes de l’année. Elles ont été effec-
tuées à partir de chalutiers affrêtés avec des équipages bien entrain& au
chalutage de grands fonds. Le tableau 1 donne les renseignements principaux
concernant ces missions.
2.1.1. lu ptstm&~~e ccunpugnc? (d&zommQe ARALAR ou SENEGAL 8210)
Cette campagne s’est déroulée du 16 octobre au ler novembre 1982 à par-
tir du chalutier “Cruz de Aralar”, navire de 46 m, 432 tonneaux de jauge bru-
te et 1,250 CV.
La méthode de prospection choisie était l’échantillonnage par radiale.
Onze radiales allant des fonds de 100 m à 1 000 m ont été définies comme re-
présentatives de la pente continentale sénégalaise. Elles se répartissent
entre 15’55’N et 12’25’N, les eaux de la Gambie étant exclues ; seule une
des trois .radiales prévues en Casamance a pu être réalisée en partie du fait
de la nature trop tourmentée des fonds. Sur chaque radiale 9 traits de chalut
en oblique d’une durée d’une heure ont été prévus de 100 m en 100 m, c’est-à-
dire que le premier trait concerne les fonds compris entre 100 et 200 m, le
deuxième ceux compris entre 200 et 300 m, etc... La décision d’effectuer le
trait en oblique plutôt qu’en suivant une sonde précise a été prise d’après
ce qu’il est connu a priori de la répartition des espèces et en particulier
de celle de certaines crevettes qui peuvent être groupées dans une bande ba-
thymétrique large de quelques mètres seulement. De ce fait ‘un trait de cha-
lutréalisé en suivant une sonde et se voulant représentatif d’une bande ba-
thymétrique beaucoup plus large pourrait donner des résultats considérable-
ment biaisés.
Deux engins de pêche ont été utilisés pendant la campagne : un chalut à
crevette dénommé “Classico tangbn” de 76 m de corde de dos (fig. 9a et 9b)
et un chalut à poisson dénommé “Troli” de 48,4 m de corde de dos (fig. 10a
et lob). Le même cul a été monté sur les deux types de chalut, son vide de
maille moyen est de 38,52 mm. 98 traits de chalut ont été réalisés, les 38
premiers avec le chaiut à crevette, les autres avec le chalut à poisson après
rupture des deux chaluts à crevette embarqués et qui n’ont pu être réparés à
bord. Les radiales effectuées avec le premier type de chalut ont été refaites
en grande partie avec le second en fin de mission, ceci afin de pouvoir com-
parer l’efficacité des deux types de chalut. Les positions des stations de
chalutage,
avec leurs numéros, sont indiquées sur les figures lia, b, c et les
tableaux 2 et 3.
2.7.2. la deutieme cumpagne (dQ.vwmmZe ANA 7 ou SENEGAL tl304)
Elle a eu lieu du 29 avril au 18 mai 1983 à partir du chalutier “Villa
Ana” navire de 44 m, 347 tonneaux de jauge brute et 900 CV. Ce navire a été
choisi en remplacement du “Cruz de Aralar” car il offre un bien meilleur con-
fort pour le travail scientifique.
‘La méthode de prospection a été modifiée, il s’agit d’un échantillonnage
stratifié qui permet de calculer les variantes et est scientifiquement meil-
Leur qu’un échantillonnage par radiale, quoique plus difficile à mettre en
œuvre . Six strates et sous-strates ont été définies, soit trois zones divi-
sées en deux bandes bathymétriques chacune :

1 2
- région nord (nord de la fosse de Kayar), 15’05’N à 16’00’N,
- région centre (sud de Kayar à la Gambie), de 15’05’N à 13*35’~,
- région sud (Casamance), de 13’05’ à 12’20’N.
Les ‘bandes bathymétriques vont de 150 à 500 m et de 500 à 800 m ; elles
ont été définies d’après les répartitions spécifiques et la variabilité des
captures observées lors de la Premiere campagne. Les fonds de 100 à 150 m
et de 800 à 1 000 m ne sont plus échantillonnés car ils ne présentent que peu
d’intérêt par rapport aux espèces recherchées.
Chaque strate et sous-strate est divisée en “rectangles” statistiques
de base dont un côté s’étend sur 5’ de latitude et l’autre correspond à la
distance entre les isobathes 150 - 200 m, 200 - 300 m, etc..., les traits
étant effectués en oblique comme lors de la première campagne. Cette répar-
tition donne 77 rectangles statistiques pour la région nord (11 bandes lati-
tudinales x 7 bandes bathymétriques), 124 rectangles (18 x 7) pour la région
centre et 63 rectangles (9 x 7) pour la Casamance, soit 264 rectangles au
total. Dans un premier temps, et toujours compte-tenu des répartitions spé-
cifiques et de la variabilité des captures observées antérieurement, il a
été prévu d’échantillonner par un trait de chalut d’une heure 4 rectangles
sur 10 pour les sous-strates 150 - 500 m et 2 rectangles sur 10 pour les sous-
strates 500-800 m. Les rectangles statistiques de base dans lesquels les pê-
ches doivent être effectuées ont été tirés au sort sans remise. Si un des
deux rectangles tirés n’est pas chalutable, il est remplacé par un des deux
rectangles voisins de même bathymétrie. Si ces derniers ont déjà été tirés,
ou bien s”ils ne sont également pas chalutables, il est fait appel à une lis-
te de rectangles de réserve tirés au hasard.
Les traits ont tous été effectués avec un chalut à crevette dénommé
“Marisco”~(f ig. 12) de 69,6 m de corde de dos. Le vide de maille moyen du
cul du chalut est de 36,03 mm. Du fait des mauvais fonds rencontrés en Casa-
mance et du temps disponible, le schéma d’échantillonnage a été modifié en
cours de campagne, portant les rectangles statistiques à échantillonner 2
5/10 pour les sous-strates 150 - 500 m des zones nord et centre et à 3/10
pour les sous-strates 500 - 800 m de ces mêmes zones. Les caractéristiques
de ces stations et leurs emplacements sont donnés dans les tableaux 426 et
les figures 12a, b et c.
2.1.3. Lu X.toLLQmt campagne (dénomm& ANA 2 ou SENEGAL 8306)
Elle s’est déroulée du 25 juin au 11 juillet 1983 à partir du “Villa
Ana” . Navire, chalut et méthode d’échantillonnage sont les mêmes que lors
de la campagne précédente. 4 traits de chalut pour 10 rectangles de base
ont été prévus dans les sous-strates 150 - 500 m des régions nord et centre,
3 sur 10 pour les sous-strates 500 - 800 m et 5 traits en Casamance. Les
stations effectivement réalisées et leur emplacement sont indiquées dans les
tableaux 6 à 8 et sur les figures 14 a, b et c.
2.7.3. la quc&%?mt, campagne (dbwmmh ANA 3 ou SENEGAL 8402)
Elle a eu lieu du 18 février au 7 mars 1984 à partir du “Villa Ana”
avec le mi3me chalut et la même méthode d’échantillonnage que lors des deux
précédentes campagnes. Le tirage au sort des rectangles statistiques est de
5/10 pour les sous-strates 150 - 500 m et 4/10 pour les sous-strates 500 -
800 m. Les stations effectivement réalisées et leur emplacement sont indiqués
dans les tableaux 6, 9, 10 et les figures 15 a et b.

1 3
2.2. C0MPARA7ScIN DES ENGINS DE PECHE
Un engin de pêche peut se montrer mieux adapté qu’un autre pour la cap-
ture d’une espèce donnée. L’estimation des biomasses pourra donc $tre diffé-
rente suivant l’engin utilisé et une comparaison suivie d’une standardisation
est donc d’un grand intérêt.
La comparaison du chalut à crevette “Clasico tangon” et du chalut à
poisson “Troli” a pu être effectuée à partir des résultats de la première
campagne. En effet 18 stations réalisées avec le premier chalut ont eté re-
faites avec le second, quoique un peu plus tard,entre 100 et 800 m de fond.
Nous considérerons que 1 ‘effet “temps” est faible par rapport à l’effet
“chalut”.
Nous avons calculé la moyenne des rendements horaires pour 5 espèces ou
groupes d’espèces sur les deux séries de 18 traits de chalut (tabl. 11) et
calculé le pourcentage des rendements Rl entre le chalut “Clasico tangon” et
le chalut à poisson. Il faut cependant tenir compte du fait que les deux cha-
luts, adaptés à la puissance du même navire, n’ont pas la même ouverture
horizontale. Cette ouverture se calcule généralement avec un rapport propor-
tionnel à la longueur de la corde de dos, rapport que nous supposerons iden-
tique pou-r les deux types de chalut. Un indice R2 (tabl. 11) peut. alors être
calculé qui rapport les rendements à la surface balayée. Ce tableau montre
que le chalut à crevette “Classico tangGn”serait plus efficace pour toutes
les crevettes et plus précisément pour les crevettes commerciales et la prin-
cipale d’entre-elles Parapemeus hngirostris. Son efficacité est cependant
beaucoup plus faible, à surface balayée égale, en ce qui concerne les, poissons
et en particulier les poissons d’intérêt commercial que sont les merlus. En
effet les poissons ne sont pas aussi inféodés au fond que les crevettes et
l’ouverture verticale plus élevée du chalut à poisson utilisé permet une meil-
leure estimation de la biomasse. Il sera nécessaire d’en tenir compte dans les
evaluationa des biomasses de poissons effectuées à partir des trois dernières
campagnes où seul un chalut à crevette “Marisco” a été utilise.
2.3. LES ESPECES‘RENCONTREES
‘Le nombre des différentes espèces rencontrées pendant l’ensemble des
quatre campagnes s’élève à 237. Ces espèces sont indiquées en annexe dans
l’ord.re de la systématique. La suite de l’étude ne concernera pratiquement
que les seules espèces d’intérêt commercial et une
représentation figu-
rative des principales espèces est donnée en fin de volume avec les tailles
maximales.
2.4. REPART7TUINS, RENDEMENTS ET ELEMENTS PE BlOlOG7E POUR LES PRTNCIF'ALES
ESPECES ET GROUPES D'ESPECES
2.4.7. RépMoti et ttendemeti pub gkan& cyzaup~il agstémtiquen
- - -
Les rendements par campagne en fonction de la bathymétrie (toutes zones)
sont représentés sur la figure 16 pour les grands groupes suivants : toutes
espèces ou tous groupes, sélaciens, téléostéens, céphalopodes, crustacés.
2.4.1.7. Ph/ihQ to;taee ct puhaom ~éléoa~ée~
___-__------------------- -------_----------_
Les graphes obtenus pour les prises “toutes espèces” et ceux obtenus
pour les prises de téléostéens sont très proches. Les rendements diminuent
rapidement avec la profondeur lors des campagnes du “Villa Ana”. De 150 à

1 4
400 m les prises sont souvent constituées à plus de 50 % du total général
par l’espèce Chlorophtahlmus atlailticus qui n’est pas commercialisée et dont
les rendements dépassent 1 tonne/heure de 100 à 300 m. Sa transformation en
farine pourrait être envisagée. L’abondance de cette espèce explique en gran-
de partie le palier observé entre 100 et 400 m pour les prises totales de la
campagnes du “Cruz de Aralar” (chalut Troli), la prise de ChZorophthxLmus
entre 100 et 200 m a été faible et n’est probablement que peu représentative
du fait du faible nombre de traits de chalut (4). De 100 à 200 m on peut no-
ter des prises importantes de Dentex spp. et de Smaris macrophtha~mus.
2 . 4 . 7 . 2 . Sétucieti
- - - - - - - - - - - - - - - - - -
Les rendements sont faibles et la distribution bathymétrique d’ensemble
n’est pas très claire. Ce groupe inclut les raies et les requins et le poids
des grands individus qui ne rentrent pas dans l’échantillon n’a pas toujours
été bien estimé. Deux pics paraissent cependant se dégager, le premier entre
100 et 200 m avec le Squalidae MusteZus mustelus, le second entre 500 et 600
m avec les Squalidae du genre Centrophorus.
2 . 4 . 7 . 3 . CZphutopodQn
--------v-e ---- ----
L’abondance apparente moyenne, avec des rendements qui peuvent attein-
dre 100 kg/h, diminue avec la profondeur. Les prises sont composées principa-
lement de IiZex illecebrosus, Todaropsis ebZane, Todarodes sagit&xtus, O&o-
pus spp.
2.4.7.4. Ct~ti;tucéb
_--- - - - - - - - - - - - - - -
Des prises importantes ont lieu vers 200 - 300 m avec les crevettes Px-
:'ap:!naeus Zongirostris et celles du genre Plesionika. Un second pic moins
important. apparait entre 500 et 600 m ; il correspond au crabe rouge profond
et aux crevettes Aristeus varideno et Nematocarcinus africanus.
La figure 17 montre de façon synthétique la répartition bathymétrique des
principales espèces de crustacés dans la zone nord.
Nous verrons la répartition détailléede ces espèces dans les paragraphes
suivants.
2.4.2. Leb mqtiti-chugnAnb (Squutidé~ du pnhc Cenixopkottun )
-
-
11 existerait plusieurs espèces ou sous-espèces de C,‘entroph(d~rws dont la
différenciation est malaisée. Pour notre étude nous suivrons un auteur récent
qui considère que toutes les formes africaines classées anciennement dans le
genre Centrophorus peuvent être désignées sous le nom d’espèce &.~ltzwphorus
paG?oszr,s. L’espèce Lepidorhinus spamosus, classée récemment par certains
dans le genre Centrophorus (C. SquiImOsUs),
ne sera pas prise en compte, Elle
est morphologiquement assez différente de C. granulosus et est rejetse par
les marins espagnols.
2 . 4 . 2 . 7 . Répti;tion e.-t trende.meti
_________-------------------------
Les tableaux 12a à 12d donnent les rendements horaires par campagne, zo-
ne et strate bathymétrique. Des Centrophorus ont été capturés de 200 à 900 m
(et même entre 100 et 200 m avec le chalut à crevette de la premier-e campagne)
avec un pic d’abondance nettement marqué entre 400 et 600 m. Les rendements
obtenus en Casamance sont généralement beaucoup plus importants que ceux réa-
lisés dans les zones nord et centre. Cela pourrait s’expliquer par :
- une pression de la pêche beaucoup moins forte sur le stock dans cette
zone, les chalutiers ne travaillant pratiquement pas dans les eaux profondes

casamançaises. L’espèce, à longue durée de vie et faible taux de reproduction,
pourrait avoir été très sensible à l’important effort de pêche appliqué ces
dernières années dans les zones nord et centre par les chalutiers espagnols ;
- les Centrophorus auraient une prédilection pour les zones à relief
tourmenté comme la Casamance. On notera à ce sujet que les deux pêcheries
artisanales de la Côte d’Afrique s’étaient installées près des deux plus
importants canyons sous-marins de la région. Cependant l’emplacement de ces
deux pêcheries ne provient peut-être que de la proximité de la côte par rap-
port aux fonds à requins-chagrins.
Les rendements obtenus en saison chaude (SENEGAL 8210 et 8306) parais-
sent plus élevés que ceux de saison froide (SENEGAL 8304 et 8402)(l), c’est
l’inverse pour les pêcheries artisanales qui ne dépassent pas les fonds de
300 m. Il y aurait donc une remontée des Centrophorus en saison froide qui
pourrait être liée directement ou indirectement (reproduction,...) aux con-
ditions hydrologiques.
D’après les résultats individuels des traits de chalut, les requins-
chagrins auraient un comportement grégaire qui a déjà été signalé par quel-
ques auteurs s’étant intéressés à cette espèce. Ainsi (tabl. 13), alors que
le nombre moyen d’individus rencontrés par trait et pour l’ensemble des 4
campagnes est assez faible dans les strates où des requins-chagrins ont été
capturés, 9 traits de chalut (sur 358 dont 126 positifs) ont fourni plus de
20 individus chacun, soit au total près de la moitié des Centrophorus captu-
rés.
2 . 4 . 2 . 2 . Donnéti bhbg.iguti
_-_____--------------- - - - -
Lors des trois campagnes du “Villa Ana”, des données biologiques ont été
recueillies sur les Cen-trophorus granulosus. Il s’agit du sexe des individus
(avec la présence ou non d’un fœtus chez les femelles), du poids total, du
poids de foie, de la longueur totale et de la longueur à la fourche (ici le
méplat de la queue) plus facile à lire que la longueur précédente car l’extré-
mité caudale est souvent abimée. Un certain nombre de renseignement.s peuvent
en être tirés.
Tout d’abord les mâles capturés sont plus nombreux que les femelles :
272 pour 65, soit un sex-ratio de 4,2 pour l’ensemble des trois campagnes
(2,7
; 4,O et 12,4 par campagne). Ce sex-ratio ne serait peut-être pas repré-
sentatif de l’ensemble de la population car l’examen des quelques femelles à
fatus bien développé et des juvéniles de poids similaires à ceux de ces fœ-
tus laisse supposer une relative égalité des sexes. Ces femelles gravides et
ces juvéniles ont été trouvés lors des trois campagnes (respectivement 8 fe-
melles gravides sur 36, 1 sur 22 et 1 sur 7). La plus petite femelle portant
un fœtus mesurait 70 cm de longueur à la fourche caudale pour un poids de
3,0 kg.
Le tableau 14 montre que les pourcentages des femelles, par rapport à
l’ensemble des individus d’une strate, diminuent avec la profondeur. Les fe-
melles seraient donc plus côtières ; ce phénomène peut être en rapport avec
la reproduction, la remontée des femelles matures dans les têtes de canyons
sous-marins ayant été notée pour plusieurs espèces démersales profondes. Ceci
pourrait expliquer le déséquilibre des sex-ratio observés et en particulier
(1) Ceci même en tenant compte des corrections à apporter aux rendements de
la campagne SENEGAL 8210 en fonction du type de chalut (cf. 5 2,2.).

le faible nombre de femelles (7 pour 87 mâles) trouvé lors de la dernière
campagne qui a été réalisée en saison froide ; cela implique cependant, vu
les faibles prises effectuées dans les strates 100 - 300 m, que dans ces
strates les femelles se trouvent dans des lieux non chalutables. On remarque-
ra que la seule prise de Centrophorus réalisée sur les fonds de 100 à 200 m
(campagne Aralar, chalut à crevette) n’était composée que de juvéniles, soit
17 individus pour un poids total de 20 kg.
Le caractère grégaire des Centrophorus aurait tendance à se manifester
par sexe tel que cela paraît pouvoir se déduire de l’examen des données du
tab.leau 19 qui présente les nombres de mâles, de femelles, et les pourcenta-
ges des mâles , pour les traits de chalut comprenant plus de 10 individus.
On observe que ces pourcentages sont très généralement bien différents de
ceux obtenus pour l’ensemble des traits (cf. tabl. 14) dans les strates cor-
respondantes. Ainsi on remarquera qu’un trait de chalut dans la strate 300 -
400 m a flourni 11 mâles et pas de femelles, un autre trait a fourni .24 femel-
les pour un seul mâle dans la strate 400 - 500 m.
Nous avons représenté en pourcentage sur la figure 18 les distributions
de taille (LF) par sexe et tous sexes réunis pour l’ensemble des individus
mesurés lors des trois campagnes du “Villa Ana”, les mesures étant regroupées
en classes de 5 cm. On voit que les femelles atteignent des tailles plus éle-
vées que les mâles, le gros de la distribution d’ensemble étant comprise entre
60 et 80 cm. Cette différence dans les tailles des mâles et des femelles pro-
vient sans doute d’une croissance différentielle : les mâles arrêteraient leur
croissance avant celle des femelles d’après une étude réalisée sur les Centro-
phorus de Méditerranée. On notera un décrochement des histogrammes pour les
tailles comprises entre 70 et 75 cm, un décrochement similaire a déjà été
observé en Méditerranée et une migration liée à la reproduction a éte propo-
sée pour L’expliquer.
Le tableau 16 donne les longueurs (LF) et les poids corporels moyens par
strate bathymétrique pour chaque sexe et pour les deux sexes réunis, les quel-
ques valeurs égales ou inférieures à 39 cm (soit un poids de 450 g) ayant
été éliminées des calculs (1). Les éléments du tableau, repris sur la figure
19 montrent que les tailles et les poids moyens des mâles augmentent forte-
ment avec la profondeur, les poids passant du simple au double ; ce phénomène
semble exister mais est beaucoup moins net pour les femelles ; notons que le
faible nombre d’individus pour certaines strates oblige à une grande prudence
dans l’interprétation des résultats pour ce sexe. On voit également que les
tailles et les poids moyens des femelles sont toujours supérieurs à ceux des
mâles quelle que soit la profondeur, le poids moyen le plus faible des femel-
les étant même supérieur au poids moyen le plus élevé des mâles. Les tailles
élevees des femelles et la différence d’amplitude dans l’évolution des lon-
gueurs et poids moyens par sexe peuvent être vues comme une certaine confir-
mation des hypothèses précédentes sur la distribution spatiale des femelles :
seules certaines femelles, parmi les plus grandes, seraient présentes sur les
fonds chal.utés pendant les campagnes et ce phénomène serait responsable de la
forte valeur du sex-ratio en faveur des mâles.
(1) En effet un fœtus de cette taille a été retiré du ventre d’une femelle
et Les individus capturés d’une longueur similaire ou inférieure peuvent
avoir été expulsésprématurément de l’utérus lors du stress provoqué par le
passage du chalut. La prise en compte de ces juvéniles dans les calculs,
alors que ‘la mise bas normale aurait pu s’effectuer à d’autres profondeurs,
risquerait de biaiser les résultats.

1 7
Au total, la longueur moyenne des mâles est de 70,3 cm pour un poids mo-
yen de 2 811 g ; ces valeurs sont de 78,0 cm et 4 098 g pour les femelles,
71,7 cm et 3 043 g pour l'ensemble des deux sexes. Le mâle le plus grand me-
surait 86 cm (LF au cm inférieur) pour 5 220 g, la femelle la plus grande
94 cm pour 7 720 g dont un fœtus de 410 g.
De nombreuses relations biométriques ont été calculées entre les dif-
férents paramètres mesurés sur les individus.
Elles sont récapitulées sur le
tableau 17 et ne sont valables que dans les intervalles d'étude. Nous ne don-
nerons pas ici les figures correspondantes
; nous nous contenterons de pré-
senter dans le tableau 18 les valeurs calculées pour des longueurs à la four-
che séparées par un intervalle de 5 cm.
Il a été calculé que le poids du foie représente en moyenne 25,20 % du
poids total du corps avec un écart-type de la moyenne égal à 0,135. Pour les
individus supérieurs à 1 kg cette moyenne est de 25,64 % avec un écart-type
de 0,090.
2.4.3. 1~ rntiRM
Deux espèces de merlus se rencontrent sur le plateau continental et le
talus sénégalais ; il s'agit de MwZuccius senegalensis (merlu sénégalais)
et de Me~zZumius poZZi (=MerZuccius cadenati) communément appelé merlu noir.
La répartition géographique et bathymétrique, l'abondance relative et
le comportement des deux espèces sont différents, de mêmes certaines de leurs
caractéristiques biologiques.
2.4.3.7, le mti noh (Merluccius EoZZi)
_____________--__--_---------------
-----
* Répartition géographique et bathymétrique :
-
Le merlu noir a été rencontré de l'extrême nord à la partie la plus mé-
ridionale du Sénégal, pendant toutes les campagnes.
Sa distribution bathymétrique est également très large, l'espèce ayant
été pêchéle à des profondeurs allant de 100 à 1 000 mêtres.
* Rendements et zones d'abondance :
-
Les tableaux 19 et 20 donnent les rendements par campagne, zone et stra-
te bathymétrique. Les rendements les plus élevés du "Villa Ana" ont ilté obte-
nus entre 400 et 500 mètres avec des valeurs moyennes par zone allant de
73,5 à 186 kg/heure de trait.
Les rendements les plus proches des conditions commerciales ont été ceux
obtenus avec un chalut à merlu "Troli" lors de la campagne SENEGAL 8210 où
le maximum a atteint 2 830 kg/heure entre 300 et 400 mètres dans la zone nord.
A partir de la strate bathymétrique 400 - 500 m, les rendements diminuent
fortement avec la profondeur. L'abondance apparente moyenne varie également
selon les saisons et les zones ; la figure 20 montre que les rendements de
saison froide (campagnes ANA 1 et ANA 3) sont plus élevés que ceux obtenus en
saison chaude (ANA 2). En corrigeant les rendements obtenus avec le chalut
"Troli"l'ons'aperçoit que l'abondance apparente moyenne est encore plus impor-
tante en octobre (campagne ARALAR) qui marque la fin de la saison chaude.
La figure 21 montre l'évolution des rendements du Villa Ana par campa-
gne et par zone ; la figure 22 correspond aux rendements par zone de la campa-
gne Aralar.
Ces firues permettent de constater :
- que la zone d'abondance apparente maximale du merlu noir en fin de sai-
son chaude correspond à la zone nord où un rendement moyen corrigé de 1 132
kg/h a éte obtenu entre 300 - 400 m ; les zones Centre et Casamance suivent
respectivement avec des rendements de 286,2 et 230,3 kg/heure ;

1 8
- qu’en saison froide (février-mars), la zone d’abondance apparente maxi-
male correspond à la région Centre (avec 90,3 kg/heure, entre 400 - 500 m),
suivie de la région Nord (72,2 kg/heure, entre 400 - 500 m) puis de la Casa-
mance avec un rendement moyen de 42,l kg/heure, entre 400 - 500 m ;
- que vers la fin de la saison froide (mai), le gradient des rendements
moyens est inversé par rapport au début de la saison froide ; la zone d’abon-
dance apparente maximale est la région de Casamance (186 kg/heure) suivie
respectivement de la zone Centre (142,4 kg/heure) puis Nord 118,9 kg/heure) ;
- qu’en saison chaude (juin-juillet) l’abondance maximale est observée
en Casamance puis au Nord, les rendements moyens obtenus au Centre étant les
plus faibles ; dans l’ensemble des zones, les rendements obtenus sont. plus
bas que ceux des autres saisons.
Ces différentes observations semblent illustrer deux comportements
intéressants chez MerZuccius poZ2-i :
- un enfoncement progressif de l’espèce au fur et à mesure que la latitu-
de diminue ;
- l’existence d’un schéma migratoire nord-sud en liaison avec l’arrivée
des eaux froides du nord ; la remontée des eaux chaudes du sud provoquerait
une migration vers le nord (zone Nord et plateau continental mauritanien).
* Données biologiques :
Les fréquences de tailles ont été établies sur la base des longueurs
totales mesurées au centimètre inférieur. La figure 23 représente, comme
exemple,les distributions de fréquences relatives par strate et globale pour
la campagne 8402 ; elles sont pondérées par les prises quand les
mesures n’ont porté que sur une partie de celles-ci. Les figures 24, 25 et
26 montrent les histogrammes par zone et totaux obtenus pendant les campagnes
du Villa Ana, sans distinction de sexe, ni de profondeur.
‘Des données plus précises, sur un nombre plus restreint d’individus
(kh. biologiques) ont été réunies. Il s’agit, pour chaque individu échantil-
lonné, de la longueur totale avecune décimale (en centimètres), du poids
(en grammes), du sexe et du stade de maturité sexuelle.
L’échelle de maturité sexuelle utilisée initialement est l’échelle à 8
stades ; pour la réalisation des tableaux de relation des sexes et des pour-
centages des différents stades de maturité, ces 8 stades ont été regroupés
en quatre, avec les correspondances suivantes :
1) Individus immatures
2) Pré-ponte (stades 2, 3 et 4)
3) Ponte (stades 5 et 6)
4) Post-ponte (stades 7 et 8).
- Sex-ratio :
- - - - - - - - -
le sex-ratio global du merlu noir est toujours en faveur
des mâles, avec une proportion pouvant atteindre jusqu’à trois fois celle des
femelles.
L’étude de l’évolution du sex-ratio en fonction de la profondeur montre
géneralement que jusqu’â. 500 mètres, les nombres de mâles sont toujours supé-
rieurs aux nombres de femelles ; à partir de cette profondeur, le sex-ratio
est marqué par une prédominance des femelles, sauf en octobre (SENECAIL 8210)
où le nombre de mâles domine jusqu’à 700 mètres.
Les tableaux 21 et 22 montrent cette évolution du sex-ratio (en nombre
et en pourcentage) par campagne et par strate bathymétrique.
- Evolution de la taille selon la Erofondeur : les merlus noirs capturés
---,-----------------------------
-__----_-
lors des quatre campagnes mesurent entre 12 et 72 cm de longueur totale.
Une augmentation progressive des tailles avec la profondeur a été obser-
vée pour l’ensemble des campagnes ; la figure 23 illustre l’évolution des

1 9
tailles observées pour les intervalles de profondeurs 150 - 300 ; 300 - 500
et 500 - 800 mètres, lors de la campagne de janvier-février (ANA 3).
Ainsi pour la strate 150 - 300 m, les tailles varient de 15 à 46 cm avec
un mode à 26 cm. Pour la strate 300 - 500 m, les tailles vont de 19 à. 51 cm
avec un mode à 28 cm et un second à 34 cm.
Entre 300 et 500 m les tailles varient de 19 à 72 cm avec un mode à
44 cm.La fi.gure 27 illustre de manière encore plus nette l’augmentation
des tailles moyennes avec le gradient bathymétrique.
L’existence combinée d’un dimorphisme sexuel portant sur la taille (les
femelles iitant en moyenne plus grandes que les mâles) et l’augmentation de
la proportion des femelles avec la profondeur expliquent le gradient crois-
sant des tailles avec la bathymétrie.
- Fréquences de tailles globales :
_-__ _-__-------------- -------
l’examen des figures 24 à 26 qui cor-
respondent aux structures de tailles de la population (elles tiennent compte
de la surfiace de chaque bande bathymétrique) à différentes époques, montre
un seul mode bien marqué en mai quelle que soit la zone< et en juillet dans la zone
centre alors que des individus plus petits sont présents en grande quantité
en janvier-février dans les 2 zones
et en juillet dans la zone Nord.
Dans l’état actuel de nos connaissances, on ne peut faire de commentai-
res sur cette évolution.
- Stades de maturité sexuelle
__-____--------------------
: la répartition géographique et bathymé-
trique des différents stades de maturité sexuelle rencontrés a été analysée
sur la base des données des quatre campagnes. Du schéma général de distribu-
t.ion, i l se dégage une évolution ascendante du pourcentage d’individus (mâles
ou femelles) de stades de plus en plus avancés au fur et à mesure que la pro-
fondeur augmente.
La grande majorité des individus de sexe indéterminé se rencontre entre
100 et 300 mètres, en toutes saisons et dans les 3 zones.
Dans cette bande bathymétrique, la totalité des mâles et femelles pê-
chés sont immatures (stade 1) ou en phase de pré-ponte (stade 2), à 1 ‘excep-
tion de quelques mâles aux stades 3 et 4 rencontrés à cette profondeur uni-
quement en saison froide (février-mars).
Au delà de 300 mètres, le pourcentage de mâles et femelles de stade 1
diminue avec la profondeur. En saison froide (février-mars), la proportion
d’individus immatures semble négligeable, notons que deux seuls individus
ont été capturés entre 200 et 300 mètres pendant la campagne correspondante.
Pour les autres campagnes, la distribution des stades 1 s’étend jusqu’à
400 - 500 mètres pour les mâles, et 500 - 600 mètres pour les femelles, selon
I.es saisons. Les individus de stades 2 (pré-ponte) ont été rencontrés jusqu’à
900 mètres ; leur abondance numérique apparente semble être maximale en avril-
mai (plus de 80 % des individus échantillonnés) et en juin-juillet (95 % en
moyenne) ;; en octobre et en février-mars, les pourcentages moyens ne sont res-
pectivement que 32 % et 27 %. La répartition en latitude ne montre pas de
variations selon les zones géographiques.
La distribution bathymétrique des individus mûrs (stade 3) présente des
differences selon le sexe. Les mâles sont généralement présents à partir de
300 - 400 mètres, du nord au sud du Sénégal.
Toutefois, ils ont été rencontrés à toutes les profondeurs en février-
mars ; durant cette saison, tous les mâles présents entre 600 et 700 mètres
sont au stade 3.
Les femelles mûres ont une distribution plus profonde que les mâles mûrs,
leur limite bathymétrique supérieure étant l’isobathe des 400 mètres en toutes
saisons ; leur répartition géographique et bathymétrique semble plus restrein-
te en saison chaude (juin-juillet) où elles ne sont rencontrées que dans La
zone nord à partir de 700 mètres.

En fin de saison froide (avril-mai), l’abondance apparente est négli-
geable avec seulement quelques individus présents au nord et en Casamance ;
cette abondance est encore plus faible en juin-juillet (saison chaude).
Les saisons de forte abondance de femelles mûres correspondent à la fin
de saison chaude (octobre) et à la pleine saison froide (février-mars) ; les
profondeurs de forte abondance de femelles (stade 3) correspondent, pour ces
périodes, aux bandes bathymétriques 700 - 900 et 700 - 800 mètres.
Les périodes de forte abondance des individus de stades 3-4 correspon-
dent à octobre (avec 68 % des individus) et février-mars (avec 73 X). La dis-
tribution et l’abondance apparente des différents stades de maturité permet-
tent de dégager quelques conclusions relatives à la reproduction du merlu
noir :. la periode d’octobre à mars correspond à une saison de grande activité
sexuelle ; elle coïncide avec le début de l’installation de l’upwelling et
la migration de l’espèce sur le plateau continental sénégalais ;
. la période avril-juillet serait une saison d’activité sexuelle réduite
marquée par une forte abondance d’individus aux stades 1 et 2, et une remon-
tée de l’espèce vers la zone nord et le plateau mauritanien ;
la reproduction a lieu vrai.semblablement dans les eaux profondes, entre
l
400 et 800 - 900 mètres, dans toutes les zones géographiques.
Il est important de noter que la taille minimale de première maturité
sexuelle (stade 3) correspond à la classe de longueur 20-24 cm pour les mâles,
et à la classe 35-39 cm pour les femelles.
- Relations taille-poids
--_-------------- “‘-- : des relations taille-poids ont été calculées
à partir (des échantillons biologiques, par sexe et tous sexes confondus.
Les équations, obtenues à partir de la longueur totale (LT) en centimè-
tres et d,u poids (W) en grammes, sont les suivantes :
n = 453
Mâles
: W = 0,01308 Lt2,8333g
r = 0,995O
Femelles : w = 0,01034 Lt2,90683
n = 365
r = 0,9973
Tous se.xes:W = 0,01106 Lt2*88’23
n = 843
r = 0,9964
Ces relations sont représentées graphiquement sur la figure 28 ainsi
que les points réels observés correspondants.
2.4.3.2. Le metiu bQnQg&ain (MerZuccius seneg-lensis)
----.------------------ ---------------------- --------
*Répartit ion géographique et bathymétrique :
Le merlu sénégalais a été capturé uniquement dans les zones nord et
centre sauf en fin de saison froide (avril-mai) où sa distribution s”est
etendue jusqu’en Casamance.
La repartition bathymétrique est moins large et plus côtière que celle
du merlu noir , l’espèce étant rencontrée en général entre 100 et 600 - 700 m
et ne dépasse guère l’isobathe des 800 mètres. En saison chaude elle atteint
la bande 700 - 800 m alors qu’en fin de saison froide la limite maximale est
500 - 600 m.
*Rendements et zones d’abondance :
Les tableaux 23 et 24 montrent les rendements de merlu sénégalais obte-
nus par campagne, zone et strate bathymétrique ; les valeurs indiquées sont
représentées sur les figures 29 et 30.

21
Les meilleurs rendements moyens correspondent à la saison froide (avril-
mai et février-mars, respectivement) ;
ces rendements sont obtenus
dans les
bandes 150 - 200 m des deux zones Nord et Centre.
Il est important de souligner que la configuration décroissante des
courbes d'e rendements (fig. 29) des campagnes ANA 1 et ANA 3 pourrait bien
signifier que durant la saison froide le pic d'abondance du merlu sénégalais
est plus côtier que l'isobathe des 150 mètres, limite de nos chalutages.
Dans la zone Casamance, l'espèce n'a été pêchée qu'en avril-mai, saison
où son extension en latitude est maximale.
Les plus faibles rendements moyens "toutes zones" de l'espèce correspon-
dent à la saison chaude avec un maximum de 4,0 kg/h dans la bande bathymétri-
que 400 - 500 mètres.
La Casamance représente la zone où l'abondance apparente serait la plus
faible, quelle que soit la saison ; le rendement moyen le plus élevé y est
de 1,4 kg/h, entre 400 et 500 m.
Les variations saisonnières observées dans la distribution géographique
et bathymistrique de Mer%uccius senegelensis semblent illustrer plusieurs com-
portements importants pour l'étude de l'espèce :
- une migration du plateau continental vers le talus en saison chaude où
l'extension bathymétrique est la plus importante et où le pic d'abondance de
saison froide se déplace de 100 - 200 m à 400 - 500 m (figure 30) ; entre la
fin de la saison chaude (octobre) et la fin de la saison froide (avril-mai),
ce pic passe de 300 - 400 m à 100 - 200 m, ce qui traduit une remontée du ta-
lus vers 1.e plateau continental ;
- une migration nord-sud liée au déplacement des eaux froides venant du
nord ; c'est vers la fin de la saison froide que l'amplitude de cette migration
est maximale, l'espèce étant présente jusqu'en Casamance.
En saison chaude, la remontée des eaux chaudes venant du sud entraîne
un mouvement de l'espèce vers le nord.
Ce schéma migratoire est semblable à celui déjà décrit pour le merlu
noir.
* Données biologiques :
Les données biologiques collectées sur le merlu sénégalais sont les mê-
mes que pour le merlu noir (cf. 2.4.3.1.).
- Sex-ratio
---------- : à l'exception de la campagne ANA 2 marquée par la faibles-
se des échantillons biologiques, toutes les données quantitatives sur les
sexes indiquent un sex-ratio global où la proportion de femelles est supérieu-
re à celle des mâles, contrairement à Merluccius poZZi ; ce sex-xatio a été
de 67 59 de femelles contre 33 % de mâles pendant la campagne ANA 3 (saison
froide).
Les tableaux 25 et 26 montrent l'évolution du sex-ratio selon la pro-
fondeur, pour chaque campagne.
Cette répartition des sexes ne montre pas de schéma général bien marqué,
sauf en fin de saison froide (avril-mai) où les femelles sont toujours plus
abondantes que les mâles dans tous les intervalles de profondeur et où le
pourcentage de femelles augmente également avec la profondeur jusqu'à attein-
dre 100 % à 500 - 600 metres. Cette évolution, identique à celle du merlu
noir, n'est pas observée pendant les autres campagnes. En fin de saison chau-
de, la proportion des femelles est prédominante à toutes les profondeurs
sauf dans les strates 200 - 400 m alors qu'en pleine saison chaude, les mâles
dominent entre 100 et 300 mètres.
- Evolution de la taille selon la Erofondeur : la gamme des tailles de
merlu s~~~galaTs-s'éte~d-g~~~~~ï~~~~~-~e-ï~-~-~~-cm.

2 2
Les figures 31 et 32 correspondent aux histogrammes globaux des tailles
rencontrées pendant les campagnes 8304 et 8402.
Les variations de la taille moyenne des individus avec la profondeur et
la zone sont illustrées sur la figure 33. Pour l’ensemble des campagnes,
l’augmentation de la taille moyenne des individus avec la bathymétrie est
nette, quelle que soit la zone. Par contre, d‘une zone à l’autre, les, tailles
moyennes des individus capturés sont très voisines.
Comme pour le merlu noir, c’est l’existence combinée d’un dimorphisme
sexuel portant sur la taille (avec des femelles plus grandes que les mâles)
et d’une augmentation de la proportion de femelles avec la profondeur, qui
explique 1.a tendance croissante des tailles moyennes avec la profondeur.
- Stades de maturité sexuelle
“--‘--“-‘---‘---““‘-‘-’
: le schéma général de répartition géogra-
phique et bathymétrrque des stades de maturité sexuelle montre, comme pour le
merlu noir, l’apparition d’individus (mâles et femelles) de stades de plus en
plus avancés au fur et à mesure que la profondeur augmente.
Les mâles et les femelles immatures sont présents en toutes saisons
sauf en février-mars ; leur répartition bathymétrique s’arrête à 300 - 400 m.
Les individus de stade 2 sont rencontrés jusqu’à 700 m.
En fin de saison chaude, la majorité des mâles et femelles présents
entre 100 et 500 m sont aux stades 1 et 2 alors qu’entre 500 et 800 m, la plu-
part des :i.ndividus sont mûrs (stade 3)) avec une prédominance des mâles dans
toutes les strates. En saison froide (février-mars), les stades 3 sont rencon-
trés entre 100 et 300 mètres où ils constituent la grande majorité des stades
identifiés. Par contre, en fin de saison froide (avril-mai) et en pleine sai-
son chaude, l’abondance apparente des mâles aux stades 3-4 est très faible,
celle des femelles de même stade étant nulle.
Ces résultats semblent indiquer, comme pour les merlus noirs :
. une saison d’intense reproduction incluant la période d’octobre à mars
qui correspond à la migration nord-sud de l’espèce ;
. une période allant d’avril à juillet, marquée par une faible activité
reproductrice ;
. l’inexistence d’une zone privilégiée de reproduction, les femelles mû-
res ayant été pêchées dans les 3 zones.
La taille minimale de première maturité (stade 3) correspond à la clas-
se de taille 25-29 cm pour les mâles, et à la classe 30-34 cm pour les femel-
les.
- ReLations taille-Eoids :
- - - - - - - - - - - - - - - - - ---a
des relations taille-poids ont étal ca.lculées
à partir des échantillons biologiques , par sexe et tous sexes confondus.
Les équations obtenues à partir de la longueur totale (LT) en centimè-
tres et du poids (W) en grammes, sont les suivantes :
Mâles
: w = 0,01498 Lt2979597
n = 115
r = 0,977O
Femelles
: w = 0,01254 Lt2,85147
n = 249
r = 0,9891
Tous sexes : A = 0,01227 Lt2,85567
n = 364
r = 0,9875
La figure 34 représente graphiquement les relations taille-poids du
merlu sénégalais ainsi que les points réels observés.

2 3
2 . 4 . 4 . Atien pohaau
Exception faite des merlus, les poissons téléostéens les plus importants
dans les captures sont représentés par quatre familles :
- Chlorophthalmidae
- Scorpaenidae
- Sparidae
- Triglidae
2.4.4.7. Ch-km phkhabnidue
_-_~----_-----_ - - - - - - - - - -
Cette famille comprend deux espèces : Ch2orophthaZmu.s atlantiicu;; et
(lhZorophtha2mus f'aser - bruenneri, la première étant de loin la plus abon-
dante. Ces deux espèces, non commercialisées,
sont présentes dans les 3 zones,
entre 100 et 1 000 mètres.
Les rendements moyens les plus élevés sont obtenus entre 100 et 400
mètres (tabl. 27 et 28) ; dans la zone nord, ils correspondent à la bande
bathymétrique 200 - 300 m quelle que soit la saison ; dans la zone centre, '
les meilleurs rendements moyens sont obtenus à 100 - 200 m où ils sont supé-
rieurs à 1 tonne/heure sauf en fin de saison chaude. Les rendements moyens
ne montrent pas de variations saisonnières bien marquées sauf en fin de sai-
son chaude où les rendements corrigés du chalut "Troli" sont nettement infé-
rieurs à ceux des 3 autres campagnes.
2 . 4 . 4 . 2 . Scmpaetidae
-----.-----a-_ _ - e - e - -
Huit espèces, communément appelées "rascasses", appartiennent à cette
famille :
- Scorpaena e2ongata
- Seorpaena normani
- Seoq?aena stephanica
- Scorpaena gailzardae
- HeLicoZenus dactylopterus
- Pontinus kuhlii
c
- Setayvhes guentheri
- Eetreposebastes imus
He2ico2enus daety2opterus et Pontinus kuhZii constituent les 2 espèces
les plus importantes. La première est une espèce dont l'abondance maximale
se situe à 300 - 500 mètres.
?onti:nus kuhZii est plus côtière, ne descendant que jusqu'à 400 m. Tou-
tes espèces confondues, les rascasses se rencontrent entre 100 et 800 mètres,
du nord au sud du Sénégal, sauf en février-mars où elles sont absentes des
captures effectuées en Casamance. Les meilleurs rendements moyens sont obte-
nus dans les zones nord et centre entfre 100 et 500 m (cf. tableaux 29 et 30),
en toutes saisons. La figure 35 illustre l'évolution des rendements moyens
obtenus à la dernière campagne. Ces poissons,
très prisés des marins espa-
gnols, ne sont pas commercialisés.
2.4.4.3
- - - - - - -L S pddae.
- - --e--e
Cette famille est représentée essentiellement par 4 espèces de dentés :
- Derttex maerophtha2mus
- Deritex ango2ensis
- Dentex eongoensis
- Deri-tex poZZi
Ces dentés profonds sont inféodés à la bande bathymétrique 100 - 200 m
où les rendements les plus élevés ont été obtenus.Sur ces fonds généralement
durs, plusieurs espèces associées ont fait l'objet de prises non négligeables ;

2 4
il s'agit principalement de Synagrops microlepis, Smaris macrophlhaZmus,
Spi:yara tzl ta, Zenop& conchifer, Zeus faber mauritanicus et EpinepheZus
caninus.
Notons que ces deux dernières espèces sont exploitées sur la partie
côtière du plateau continental par les flottilles industrielles et artisa-
nales.
2.4.4.4. Ttiy&dcle
_----------- -----
Trois espèces de triglidés (grondins) ont été rencontrées :
- TrigZa Zyra
- Lepidotrigla cadmani
- LepidotrigZa caroZae
Ces poissons, bien que non encore commercialisés, peuvent constituer
des prises accessoires non négligeables dans une pêcherie dirigée sur d'au-
tres espèces.
Ce sont essentiellement trois espèces de crevettes de la famille des
Peneidés :
- Parapenaeus longirostris (ou gamba)
- Aristeus varidens (ou Alistado)
- Plesiopenaeus edwarsianus ( ou carabinero).
2.4.5.1. Pmupenuc)ti Lon.ghodti-4
_---.u-------- ---a------ --------
Cette crevette, connue sous la dénomination espagnole "gamba", est la
plus importante sur le plan commercial. Elle constitue la principale espêce-
cible des crevettiers espagnols et sénégalais qui exploitent les ressources
profondes.
* Distribution géographique et bathymétrique :
La ;:amba a été pêchée du nord au sud du Sénégal ; les fonds inférieurs
à 300 m n'ont pu être chalutés en Casamance.
Sa distribution bathymétrique s'arrête, en général, au niveau de l'iso-
bathe des 500 mètres dans les 3 zones ; elle a été trouvée une seule fois
dans la strate 500 - 600 m (troisième campagne).
* Rendements et zones d'abondance
Les tableaux 31 et 32 indiquent les rendements moyens horaires obtenus
pendant les 4 campagnes, par zone et strate de profondeur. L'évolution compa-
rative des valeurs des différentes campagnes, pour chaque zone, est illus-
trée par la figure 36.
Ces résultats montrent que l'abondance maximale se situe à 200 - 300 m
quelles que soient la saison et la zone géographique.
Les zones d'abondance de la gamba sont , par ordre d'importance décrois-
sante, la zone nord, la zone centre puis la Casamance.
Au nord, les rendements les plus élevés sont obtenus en fin de saison
froide et en saison chaude (d'avril à juillet) où les valeurs moyennes de
mai dépassent 60 kg/heure entre 200 et 300 m et atteignent 86 kg/heure en
juin-juillet
; d'octobre à mars, les valeurs sont inférieures à 40 kg/heure,
les rendements les plus bas correspondant au mois d'octobre.
Dans la zone centre, l'abondance maximale se situe, comme dans la zone
nord, en fin de saison froide et en saison chaude (mai-juillet) ; durant cet-
te période les rendements moyens dépassent 45 kg/heure entre 200 et 300 m,
atteignant un maximum de 54 kg/heure en avril-mai.

2 5
En fin de saison chaude et en saison froide (octobre à mars), les ren-
dements moyens sont inférieurs à 35 kg/h, atteignant leur niveau le plus bas
en octobre (maximum de 12 kg/h).
11 est important de rappeler que durant les campagnes les traits de
chalut sont effectués en oblique par rapport aux isobathes ; or il est connu
que beaucoup de crevettes, et en particulier Parapenaaus Zongirostris, sont
réparties en minces cordons (parfois de quelques mètres seulement) suivant
une sonde pouvant varier d’un jour à l’autre ; une pêche commerciale devrait
donc obtenir des rendements plus élevés que les chalutages expérimentaux.
Rappelons également que les rendements de jour sont supérieurs à ceux obte-
nus de nuit.
*sonnées biologiques :
-w--v---- - - - e - - - -
Les fréquences de tailles sont établies par sexe à partir des longueurs
totales mesurées au demi-centimètre inférieur ; les figures 37 à 45 montrent
les histogrammes obtenus par sexe pendant les campagnes du Villa Ana. Sur
chaque individu, la longueur totale et la longueur céphalothoracique sont
mesurées en millimètres et le poids pris en grammes (échantillons biologiques).
- %x-ratio
: les résultats de l’ensemble des campagnes (tabl. 33 et 34)
------se-
montrent que les femelles sont toujours plus abondantes que les mâles dans
toutes les strates de profondeur
; il y a une nette augmentation du pourcen-
tage de femelles avec la profondeur et une diminution parallèle de celui des
mâles. Cette différence dans la composition par sexe est en général beaucoup
plus marquée dans la zone nord que dans la zone centre.
- Evolution de la taille selon la profondeur et la latitude : les tail-
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
les de T’e~sëmbië-dës-i~dTv~~~~-~~~~~~~llonnés sont généralement comprises
entre 5,O et 17,0 cm de longueur totale. Les mâles dépassent rarement 14 cm.
Les histogrammes des mâles et des femelles indiquent une taille modale
plus élevée pour ces dernières : les tailles moyennes des femelles sont tou-
jours supérieures à celles des mâles.
La figure 46 illustre l’augmentation des tailles moyennes des individus
“tous sexes” avec la profondeur, dans les zones nord, centre et toutes zones
confondues.
Le même résultat est observé pour chaque sexe. L’évolution compa-
rée par zone montre, sur la même figure, des tailles moyennes plus élevées
au nord qu’au centre ce qui semble indiquer une augmentation des tailles des
individus avec la latitude ; l’insuffisance des exemplaires échantillonnés
dans la zone sud ne pe-rmet pas de confirmer l’hypothèse pour cette zone,
La superiorité des tailles obtenues au nord s’explique par l’effet com-
biné du dimorphisme sexuel portant sur la taille des individus (tailles moyen-
nes des femelles plus grandes que celles des mâles) et du pourcentage de
femelles beaucoup plus important au nord qu’au centre.
Les différences de tailles entre les 2 zones sont d’autant
plus impor-
tantes que la profondeur augmente.
- Fréquences de tailles globales par sexe : l’examen des figures pour
eV- ---------------m-w --w---m- ---_---
les mâles et les femelles montre un déplacement des modes vers la droite,
de mai à janvier-février.
L’apparition de jeunes individus mâles et femelles dans la zone centre
en janvier-février pourrait indiquer une période de recrutement.
- Relations taille-Eoids : deux types de relations taille-poids ont été
calculés-~‘PaftTr-dë~-~ëh~~~~llons
biologiques ; il s’agit des relations
entre le poids (en grammes) et les longueurs céphalothoracique (en. mm) et
totale (en mm) l
Les équations obtenues à partir de la longueur totale (Lt) et du poids
(W) sont les suivantes :

2 6
Mâles
: w = 0,000018 Lt2,72072
n = 251
r = 0,9751
Femel.les
: w = o,oooo 10 Lt 2,85098
n = 398
r = 0,9836
Tous sexes : W = 0,OOOO 11 Lt 2,82857
n = 649
r = 0,9806
Les equations liant la longueur du céphalothorax (Lc) et le poids (W)
sont les suivantes :
Mâles
: W = 0,00182 Lc2+125
n = 251
r = 0,9686
Femelles
: W = 0,00217 Lc2,55720
n = 398
r = 0,9814
Tous sexes :
n = 649
w = 0,00206 L 2,57282
C
r = 0,9785
Les relations Lt/W et Lc/W sont représentées graphiquement sur ].a fi-
gure 47.
Les equations exprimant la relation entre la longueur totale (Lt) et
la longueur céphalothoracique (L,) ont été également établies :
Mâles
: L, = -0,6342 + 0,2152 Lt
n = 77
r = 0,9834
Femelles
: Lc = -0,1353 + 0,2175 Lt
n = 147
r = 0,9674
Tous sexes : Lc = -1,8748 + 0,2246 Lt
n = 649
r = 0,9752
Les figures 48, 49 et 50 représentent respectivement ces 3 relations.
2.4 5 2 Ati;teun vahideu
---L_'-'------------------
Cette espèce profonde, plus connue sous l’appellation espagnole “Alista-
do”, est la seconde cre.vette en importance du point de vue commercial.
* Distribution géographique et bathymétrique :
-
La crevette “Alistado” a été pêchée du nord au sud du talus continental
sénégalais, en toutes saisons.
Cette espèce, plus profonde que la gamba, se rencontre seulement à par-
tir de l’isobathe des 400 mètres et exceptionnellement dès la strate 300 -
400 m en Casamance (ANA 2).
Sa distribution bathymétrique s’étend jusqu’à 1 000 mètres mais sa pré-
sence n’est en général significative que de 400 à 800 mètres.
* Rendements et zones d’abondance :
Les rendements moyens horaires obtenus pendant les quatre campagnes
sont indiqués, par zone et strate de profondeur, sur les tableaux 35 et 36 ;
ils sont représentés sur la figure 51.
Les meilleurs rendements moyens sont obtenus respectivement en Casaman-
ce, dans :La zone centre, puis dans la zone nord, quelle que soit la saison.
E;n Casamance, les rendements dépassent 10 kg pour la meilleure strate
de chaque campagne et atteignent 31 kg/h en saison chaude (juin-juillet).

2 7
Dans la zone centre, où l’espèce est absente en fin de saison froide
(mai), les meilleurs rendements ne dépassent guère 11 kg/h.
Le nord est une zone d’abondance faible où les valeurs moyennes maxi-
males sont de l’ordre de 5 kg/h.
L’abondance maximale correspond à l’intervalle 500 - 700 m de profon-
deur sauf en octobre où elle se situe à 700 - 800 m dans les zones nord et
centre.
L’évolution comparée des rendements par campagne (figure 51) montre que
les valeurs moyennes les plus élevées sont toujours obtenues en saison chau-
de (juin-juillet) et entre 500 et 600 m, dans toutes ces zones.
Comme pour la gamba, ces rendements obtenus par les chalutages expéri-
mentaux seraient nettement inférieurs à ceux que l’on obtiendrait par la
pêche commerciale, compte tenu de la répartition de la plupart des crevettes
en minces cordons le long d’une sonde bien déterminée.
* Données biologiques :
Les fréquences de tailles des individus sont établies à partir des men-
surations effectuées sur la longueur du céphalothorax (en millimètres) de
chaque exemplaire.
Cette mesure est effectuée depuis la limite postérieure médiane de la
carapace jusqu’au bord orbitaire. Les figures 52 à 59 représentent les dis-
tributions de fréquences des populations, par sexe , par zone et toutes zones
pour les campagnes ANA 1 et ANA 2 (les prises ont été insignifiantes lors de
ANA 3).
Les études biologiques reposent , pour chaque individu échantillonné, sur
la longueur céphalothoracique (en millimètres), le poids (en grammes), le
sexe.
- Sex-ratio
- - - - - - 5 - - : les tableaux 37 et 38 représentent pour chaque campagne
les distributions des sexes par strate
bathymétrique, puis pour l’ensemble
des strates.
A l’exception de la deuxième campagne, le sex-ratio obtenu pour l’ensem-
hle des individus capturés , par strate ou pour toutes les strates confondues,
est de loin supérieur pour les femelles (plus de 65 X) que pour les mâles
(moins de 35 X) l
L’évolution du sex-ratio selon la profondeur ne montre pas de tendance
générale ; les mâles et les femelles sont par ailleurs présents dans toutes
les strates.
- Evolution de la taille selon la profondeur et la latitude : l’alista-
__-_----------------------------
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
do est une crevette plus grosse que la gamba. La gamme des tailles échantil-
Lonnées s’étend de 15 à 57 mm de longueur céphalothoracique : 15-31 mm pour
les mâles et 15-57 mm pour les femelles.
La taille moyenne des mâles est toujours inférieure à celle des femelles
pour toutes les strates bathymétriques.
Une augmentation de la taille moyenne des individus avec la profondeur
est observée aussi bien chez les mâles que chez les femelles ; le tableau
39 suivant montre l’évolution des gammes de tailles mesurées par sexe en fonc-
tion de la profondeur pendant la campagne SENEGAL 8210.

2 8
M A L E S
F E M E L L E S
400-500 m
18-28 mm
17-44 mm
500-600 m
18-31 mm
15-49 mm
600-700 m
18-33 mm
19-47 mm
700-800 m
22-35 mm
25-52 mm
800-900 m
26-31 mm
35-49 mm
Tableau 39.- Evolution des gammes de tailles en fonction de la
population pour les mâles et les femelles d'Aris-
teus varidens (SENEGAL 8210).
L'augmentation comparée des tailles est beaucoup plus nette vers les
grands fonds (800-900 m), pour lesquels il n'existe pas de chevauchements des
tailles entre les sexes.
Pour toutes les campagnes les gammes de tailles des femelles dans chaque
strate, sont beaucoup plus larges que celles des mâles.
Un déplacement des modes des mâles vers la droite lorsque l'on va du
Nord vers le Sud est visible pendant la campagne ANA 2 (seule campagne dont
le nombre d'individus permet ce genre d'étude).
Pour les femelles, la proportion des jeunes diminue du Nord vers le Sud.
- Distribution de fréquences globales par sexe : l'examen des figures
-------a----------- ---s--w -m---m-- ----v-e
52 à 59 montre que les femelles supérieures à 40 cm n'ont été capturees en
grand nombre qu'en juillet.
- Relationstaille-poids :
---"'----'--f-- -e---
des relations entre la taille et le poids ont
été calculées à partir des échantillons biologiques par sexe et tous sexes
confondues.
Les équations obtenues à partir de la longueur céphalothoracique (L,)
en millimètres et le poids (W) en grammes sont les suivantes :
Mâles
: w = 0,00680 Lc2+*5
n = 123
r = 0,9192
Femelles
n = 292
: w = 0,00215 Lc2,4gg27
r = 0,9932
Tous sexes : W = 0,00217 Lc2,4g440
n = 415
r = 0,990O
La figure 60 représente graphiquement ces 3 relations.
2.4.5.3. PRaiiopenaeuh cidumuianti
_----_--------- - - - - - - - - - - - - - - - - - -
* Distribution géographique et bathymétrique, abondance :
- -
Cette crevette profonde, appelée "carabinero", a été pêchée du nord au
sud du Sénégal pendant les quatre campagnes.
Elle se rencontre entre 300 et 800 mètres dans l'ensemble des 3 zones
mais toujours en quantités très faibles (tableaux 40 et 41).
Les: meilleurs rendements sont obtenus entre 500 et 800 mètres. Le ren-
dement moyen le plus élevé n'a cependant été que de 1,9 kg/heure et a été
obtenu en février-mars dans la zone centre à 600 - 700 mètres.

2 9
Notons que malgré sa faible abondance apparente, l’espèce possède de
bonnes qualités commerciales : une belle présentation et de grandes tailles
pouvant atteindre 31 cm de longueur totale.
* Données biologiques :
-
Sur chaque individu capturé, la longueur totale et la longueur céphalo-
thoracique sont mesurées en millimètres, le poids pris en grammes et le se-
xe déterminé.
- Sex-ratio : l’insuffisance numérique des individus échantillonnés n’a
-7,------y
pas permis de determiner le sex-ratio de l’espèce.
- Relations taille-Eoids
--.--------------- e-w- : les équations obtenues entre la long,ueur cé-
phalothoracique (L,) en mm et le poids (W) en grammes sont les suivantes :
Mâle ,s
n = 86
. w = 0,00109 LcZY65505
l
r = 0,9484
F e m e l l e s :
n = 105
w = 0,00044 Lcz,89se1
r = 0,9856
n = 191
Tous sexes : w = 0,00052 Lc2,85474
r = 0,9799
La figure 61 représente les courbes correspondant aux équations précé-
dentes.
Les autres crevettes profondes sont dominées par des espèces appartenant
à deux genres : Nematocarcinus et Plesionika.
2.4.6.7. Nemcdocahtinuh hpp.
___---_--_----_----------
Seule l’espèce Nematocarcinus africanus a été identifiée dans ce genre.
Il s’agit d’une crevette très abondante mais difficilement commercialisable
du fait de son extrême fragilité et de sa morphologie (appendices longs et
nombreux) aX Non commercialisée, elle fait actuellement l’objet d’importants
rejets en mer.
JE Distribution géographique et bathymétrique :
L’espèce est abondamment présente dans l’ensemble des 3 zones en toutes
saisons.
Sa distribution bathymétrique s’étend de 300 à 800 m, mais les grandes
concentrations ne sont rencontrées qu’entre 400 et 700 mètres.
* Rendements et zones d’abondance :
Les tableaux 42 et 43 représentent les rendements moyens horaires obte-
nus pendant les quatre campagnes, par zone et strate bathymétrique.
L’évolution comparative des valeurs moyennes par zone, pour les diffé-
rentes campagnes, est illustrée par la figure 62.
L’abondance apparente maximale est toujours observée dans l’intervalle
de profon.deur 400 - 600 mètres dans l’ensemble des zones, quelle que soit la
saison.
Les rendements moyens les plus élevés par campagne ont été obtenus dans
la zone sud (Casamance) où ils ont atteint 194 kg/h, 191 kg/h et 320 kg/h
respectivement pour les 3 premières campagnes.
L’évolution comparée des rendements selon la saison indique que “L’abon-
dande maximale est observée en pleine saison chaude (juin-juillet) dans

30
l’ensemble des zones ; elle correspond à la bande 500 - 600 m au nord, et
à 400 - 500 m pour les zones centre et sud.
2.4.6.2. Plhkmdza hpp,
--_--_----^----------
Six espèces appartenant au genre Plesionika, ont été pêchées SUT le ta-
Lus et le rebord du plateau continental :
- Plesionika edwarsii
- PZesionika williamsi
- PlesZonika mcrrtia

- Plesionika ensis
- Plesionika acanthonotus
- Xesionika carinata.
A l’exception parfois de Plesionika wiZZiamsi, crevette assez grosse et
de belle présentation, ces espèces ne sont actuellement pas commercialisées.
* Distribution géographique et bathymétrique :
Les crevettes du genre Plesionika se rencontrent du nord au sud du Séné-
gal en toutes saisons. Leur distribution bathymétrique est assez vaste, allant
de 100 à 900 mètres ; leur présence n’est significative que jusqu’à 600 mètres.
PZesiunika edwarsii est de loin l’espèce la plus abondante et dont la
distribution bathymétrique est la plus large.
* Rendements et zones d’abondance :
Les tableaux 44 et 45 correspondent aux rendements moyens (kg/heure)
obtenus pendant les quatre campagnes , par zone et strate bathymétrique.
L’évolution comparative, par zone de ces rendements moyens est représen-
tée sur la figure 63.
La zone de plus forte abondance apparente correspond au centre où, pen-
dant les 3 dernières campagnes (ANA 1, 2, 3), des rendements moyens supérieurs
à 55 kg/heure ont été obtenus entre 100 et 200 mètres.
Un rendement de 93 kg/h a même été obtenu dans cette zone à partir d’un
coup de chalut effectué à 300 - 400 mètres.
Dans la zone nord, les meilleurs rendements moyens sont généralement
obteaus entre 200 et 300 mètres.
Les plus faibles rendements moyens ont été observés en Casamance (va-
leurs inférieures à 10 kg/heure), tout au moins dans la bande chaïutable 300 -
800 mètres.
La principale espèce de crabe rouge profond qui vit sur le talus conti-
nental sénégalais est Ceryon maritaÉ,aussi connue sous l’appellation espagno-
le de “Gerion de Guinea”. Cette espèce, p résente également sur les côtes
atlantique; canadiennes et du nord des Etats-Unis, a été antérieurement décri-
te sous le nom de Geryon quinquedcvls,
* Distribution géographique et bathymétrique :
Le crabe rouge profond a été rencontré sur toute l’étendue du talus con-
tinental senégalais. Sa distribution bathymétrique est assez large, l’espèce
ayant été pêchée entre 150 et 900 mètres. Sa présence n’est toutefois signi-
ficative qu’entre 400 et 800 mètres de profondeur.
* Rendements et zones d’abondance :
LIS tableaux 46 et 47 et les figures 64 et 65 représentent les rendements
moyens (kg/heure) obtenus au chalut, par campagne, zone et strate bathymétri-
que.

31
Compte tenu de la valeur non satisfaisante de l’indice de correction
(R2) des rendements obtenus par le chalut “Troli”, les données de la premiè-
re campagne (Aralar) n’ont pas été indiquées. Dans les 3 zones prospectées
au chalut, et pour l’ensemble des campagnes du Villa Ana, l’on constate une
augmentation régulière des rendements moyens avec la profondeur ; les valeurs
les plus élevées sont généralement atteintes dans l’intervalle 600 - 700 m ;
à partir de cette strate, les rendements diminuent quand la profonde.ur aug-
mente.La comparaison des rendements moyens, en référence à la sonde 600 - 700
m, montre que la zone d’abondance maximale est soit le Nord soit le Centre ;
la zone Casamance vient ensuite.
En saison chaude, les meilleurs rendements moyens sont obtenus dans la
zone centre où ils dépassent 60 kg/heure entre 600 et 700 m ; dans la zone
nord, le rendement le plus élevé, pour la même saison, atteint 44 kg/heure
alors qu’en Casamance il n’est guère que de 14 kg/heure.
En saison froide (février-mars), les zones d’abondance maximale sont
respectivement la zone nord, le centre puis la Casamance ; au nord, les ren-
dements les plus importants sont obtenus à 400 - 500 m avec environ 35 et
3 7 kg/heure q
Dans la zone centre, les meilleurs rendements de saison froide correspon-
dent à 500 - 700 m avec un maximum de 24 kg/heure.
En Casamance, le maximum (17,5 kg/heure) est atteint à 600 - 700 m.
En fin de saison froide, les meilleurs rendements moyens sont obtenus
respectivement dans les zones nord, centre et Casamance comme en pleine sai-
son froide ; les valeurs les plus élevées correspondent, pour ces 3 zones,
à environ 48, 29 et 18 kg/heure.
* Données biologiques :
-
La largeur de la carapace, mesurée au demi-centimètre inférieur, a été
utilisée pour l’établissement des fréquences de tailles par sexe.
Sur chaque individu échantillonné, le poids est pris (en grammes), la
largeur de la carapace mesurée avec une décimale (en millimètres) et le se-
xe determiné.
L’état de la carapace (molle en période de mue) a été examiné et noté,
de même que les femelles grainées.
Les figures 66 à 76 représentent les structures de tailles des popula-
tions mâles et femelles, par zone et toutes zones, observées lors des cam-
pagnes du Villa Ana.
- Se.,:-ratio
de Gerpn
“-“‘--“-‘-“” -
- -mariticw : les tableaux 48 et 49 montrent l’évolu-
- - - - - - -
tion du sex-ratio (en nombre et en pourcentage) par campagne et strate bathy-
métrique.
Pour l’ensemble des campagnes, le sex-ratio global “toutes profondeurs”
est toujours en faveur des femelles (pourcentage supérieur à 56 Z). Mais il
apparait une nette variation de la composition par sexe selon la profondeur ;
le pourcentage de femelles est toujours supérieur à celui des mâles jusqu’à
600 ou 700 mètres ; à partir de cette profondeur, les mâles dominent en nom-
bre, leur pourcentage augmentant avec la profondeur, alors que chez les fe-
melles c’est l’inverse qui est constaté.
- Evolution de la taille moyenne selon la Erofondeur et la latitude : il
-‘“‘--“‘---------“~~---
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
n’a pas été observé, de manrere évidente, une augmentation régulière de la
taille moyenne en fonction de la profondeur.
Il existe cependant un dimorphisme sexuel important portant sur la tail-
le, les mâles étant en moyenne nettement plus gros que les femelles.

3 2
Les résultats de la quatrième campagne montrent, pour les 2 sexes, une
nette augmentation (.IC la taille moyenne du nord au sud (tableau 50).
-
-
-
-
-
SEXES
C E N T R E
CASAMANCE (= SUD)
Mâles
Femelles
if
-
-
-
---”
Tableau 50.- Evolution des tailles moyennes par zone des mâles et des
femelles de Geryon
lors de la campagne Ana 3.
Cette &Partition des tailles moyennes selon un gradient nord-sud pour-
rait être en rapport avec le niveau d’exploitation des 3 zones ; la zone Ca-
samance, du fait de la configuration de ses fonds, n’est pratiquement pas
fréquentée par les chalutiers espagnols, d’où un stock de crabe quasiment
vierge.
- Rel.ations taille-poids :
- - - - - - - - - - - - - - - - -
T - - -
les relations obtenues entre la largeur de
la carapace (cm) et le poids (grs) sont les suivantes :
Mâles
: W = 0.20706 Lc5,24765
n = 219
r = 0.9983
n = 177
Femelles
: W = 0.24161 Lc3,L41g6
r = 0.9945
Tous sexes : W = 0.20528 Lc3,23765
n = 396
r = 0.9970
La fi.gure 77 représente les courbes correspondant aux équations.
2.4.8. Au;DtQn C~uhkUC~
Parmi les autres crustacés commercialisés ou susceptibles de l’être,
l’on peut citer :
- Mwidae spp. (ou galathées)
- Palinurus mauritanieus (ou langouste rose).
2.4.iS.7. Mda!u~ app.
__-___--_---------
Ce sont des “galathées” (il en existerait 2 espèces ) que l’on ren-
contre du nord au sud du Sénégal, entre 100 et 900 m. La finesse de leur
chair et les rendements très intéressants obtenus font que leur exploitation
commercia’le, malgré leur petite taille, pourrait être envisagée dans l’ave-
nir. Les tableaux 51 et 52 et la figure 78 représentent l’évolution des ren-
dements moyens obtenus par campagne, zone et strate bathymétrique,
Les meilleurs rendements sont obtenus entre 100 et 300 mètres en toutes
saisons dans les zones nord et centre. En Casamance, l’abondance apparente
est très faible ; les rendements moyens les plus élevés y sont observés en
saison chaude, entre 500 et 600 mètres.

3 3
Dans la zone nord, l’abondance maximale est observée en saison chaude
avec des rendements moyens supérieurs à 190 kg/heure entre 100 et 300 m ;
en saison froide, ces valeurs ne sont atteintes qu’entre 100 et 200 m. Dans
la zone centre, les rendements moyens obtenus pendant les 3 dernières cam-
pagnes dépassent toujours 150 kg/heure entre 200 et 300 m.
Il faut noter que l’abondance apparente minimale de l’espèce a été
observée en octobre-novembre dans l’ensemble des zones.
2.4.ti.Z. Lu RungotiXc hohe Ptinuhuh matianicti
----,-- --------- ---------------------------------
Cette espèce commerciale, connue également sous 1’ appellation “langos-
ta moral, fait déjà l’objet d’une pêche accessoire par les bateaux basés
à Dakar (crevettiers et poissonniers).
* Distribution géographique et bathymétrique :
Cette espèce n’a été rencontrée que dans les zones nord et centre du
Sénégal en toutes saisons. Elle est présente entre 100 et 500 mètres mais
sa distribution bathymétrique s’étend jusqu’à la frange côtière du plateau
eontinental (à partir de 40 cm).
* Rendements et zone d’abondance :
Les tableaux 53 et 54 représentent l’évolution des rendements moyens
horaires obtenus par ca.mpagne, zone et strate bathymétrique. Les meilleures
captures ont été réalisées en saison froide (février à mai).
L’abondance maximale est généralement observée entre 100 et 300 m en
saison froide.
L’abondance apparente minimale correspond à la période octobre-novembre
où l’espèce n’a été rencontrée que dans la zone centre, avec des rendements
négligeables.
* Données biologiques :
Des données biologiques ont été collectées pour établir les relations
taille-poids de l’espèce ; il s’agit , pour chaque sexe déterminé, de la lon-
gueur du céphalothorax Lc ( en centimètres) du poids (en grammes).
Les individus capturés sont dans leur majorité de taille beaucoup plus
grande que ceux rencontrés sur la partie côtière du plateau continental ;
en effet, la plupart des exemplaires pêchés dépassent le poids de deux kilo-
grammes, certains pesant même jusqu’à 4 kilos. Les équations exprimant la
relation entre la taille (Lc) et le poids (W) sont les suivantes :
Mâles
n = 20
: w = 2,53692 Lc2,35501
r = 0,9845
Femelles
: W = 2,48511 Lc2,3g056
n = 41
r = 0,9912
Tous sexes : W = 2,48014 Lc2,38242
n = 61
r = 0,9885
Ces relations sont représentées graphiquement sur la figure 79.

2.5. EVALUATTON DES B7MWXS
2.5.7. Gch%aktéA :
Les évaluations des biomasses d’espèces démersales par des campagnes de
prospection sont basées sur des traits de chalut standardisés (engin, durée,
vitesse) qui sont supposés capturer l’ensemble des poissons présents au ni-
veau du fon’d lors du passage de l’engin de pêche, ces quantités étant de plus
sensées représenter l’abondance dans une zone plus vaste. Les traits peuvent
être faits à des endroits déterminés plus ou moins arbitrairement à l’avance
(radiales) ou en des lieux dont l’emplacement exact est tiré au hasard à
l’intérieur d’aires plus ou moins grandes (échantillonnage stratifié). Les
biomasses sont ensuite calculées à partir de l’aire balayée par le chalut.
Le premier problème qui se pose dans ce type d’estimation est la repré-
sentativité des traits de chalut vis-à-vis de l’abondance réelle moyenne au
niveau du fond à un endroit et une période donnés. Deux sortes de questions
se posent :
- quel est l’évitement du chalut par les espèces (enfouissement, rapidité
de certaines espèces et individus,...) et quelle est vraiment l’aire bala-
yée par le chalut (ouverture horizontaleetverticale, vitesse réelle sur le
fond) ? Ces questions sont le plus souvent difficilement quantifiables avec
précision ;
- quelle
est, dans une zone supposée peuplée par des stocks unités, la
part de la variabilité intrinsèque dans l’estimation des abondances ? Des
études antérieures menées sur le plateau continental de l’Afrique de 1”ouest
ont montré que pour un même lieu la variabilité à courte période (moins de
12 heures) est élevée. Cependant les variations sont encore beaucoup plus
fortes quand les traits sont effectués au hasard sur l’ensemble de l’aire de
distribution du stock ; surtout si l’on traite d’une espèce particulière car
il ne pourra y avoir alors d’effet tampon comme sur les prises globales, où
une faible capture d’une espèce peut-être compensée par une forte prise sur
une autre. En conclusion, bien que la variabilité intrinsèque soit relative-
ment importante, elle ne représente qu’une faible partie de la variabilité
qui existe quand les traits sont aléatoires.
Il faut se souvenir de ces questions lorsque des chiffres de biomassesse-
ront avancés et ne parler que de biomasses apparentes. Il serait en principe
préférable de n’utiliser les calculs de biomasses à partir de campagnes de
prospection par chalutage - étant donné tous les biais possibles dans leurs
estimations - que comme des indices d’abondance permettant seulement de mesu-
rer les changements relatifs d’une période à une autre ; alors des biais cons-
tants (aire balayée)et proportionnels (évitement) sont acceptables, Dans le
cas où il n’existe pas d’autres méthodes d’estimations (stocks vierges, sta-
tistiques de pêche insuffisantes) le
calcul des biomasses apparentes pourra
quand même donner une idée très grossière, mais cependant utile, des poten-
tiels de pêche.
On notera de plus que les campagnes de chalutage présentent certains
intérêts particuliers par rapport à l’utilisation des statistiques .de pêche
des chalutiers commerciaux.
- Elle peuvent permettre d’évaluer les biais succeptibles d’être introduits
dans les évaluations d’abondance à partir des données de la pêcherie par des
changements dans la capturabilité
du poisson par les navires commerciaux ;
modifications qui peuvent être dues à une agrégation plus ou moins importante
du poisson sans que l’abondance réelle varie, ou encore issues d’améliorations
techniques qui augmentent la puissance de pêche et qui n’ont pas été perçues
par les scientifiques.

- L’estimation des rejets des chalutiers quand ils sont importants, et
c’est souvent le cas au Sénégal, est un des intérêts des campagnes de pros-
pection.
- Ces campagnes peuvent aussi permettre une estimation des mortalités par
classe d’âge quand la croissance des esp.èces est connue et par suite permet-
tre une étude analytique plus poussée de l’état des stocks, ce qui pourra
probablement être tenté ultérieurement pour certaines espèces prises en comp-
te dans cette étude.
2.5.2. McWudokx&e e.t néaW :
Nous avons déjà vu qu’une prospection par radiales a été utilisée lors
de la première campagne et des prospections par échantillonnage stratifié
lors des trois autres campagnes. Les schémas d’échantillonnages ont été dé-
crits au paragraphe 3.1. et nous allons maintenant indiquer rapidement la
méthode de calcul utilisée (échantillonnage stratifié).
Dans un tel cas le calcul de la moyenne générale(rendements horaires)
peut s’écrire :
x = ~ CAi.X.1
avec % = moyenne pour une strate, Ai = surface de la strate, A = surface to-
tale. Sa variante approchée est :
s2(X) =
avec s(Xi) - erreur standard de la moyenne pour la strate i, soit s(xi) =
Si/Ei (ni = nombre de traits pour la strate).
Les surfaces des strates ont été calculées à l’aide d’un planimètre par
plusieurs personnes, elles sont indiquées dans le tableau55 dont les chiffres
représentent des moyennes. Le tableau56 montre la superficie des différentes
bandes bathymétriques qui ont servi de base pour la réalisation des traits de
chalut. On voit que pour une zone donnée et pour l’ensemble du Sénégal elles
ont à peu près la même superficie; ceci est intéressant car les calculs au-
raient été biaisés si dans une strate une bande bathymétrique avait une super-
ficie beaucoup plus élevéeque les autres.
Le chalut ‘Troli’ s’étant montré beaucoup plus efficace pour la capture
des poissons qu’un chalut à crevette (cf. §.2.2.1.), sans doute du fait d’une
ouverture verticale plus élevée, les indices d’abondance calculés pour ces
espèces seront plus proches des abondances réelles si des facteurs de correc-
tion tenant compte de ces différences d’efficacité sont utilisés lorsque les
traits ont été effectués avec un chalut à crevette. Deux facteurs multipli-
catifs R3 concernant d’une part les merlus et d’autre part les autres espèces
de poissons seront donc utilisés pour les trois campagnes où un chalut “Maris-
CO” a seul t5té employé. Ces facteurs R3 sont calculés à partir des rapports
Rl du tableau 13 et du rapport des longueurs de corde de dos des chaluts
“Tangon” e t “Marisco”. Leurs valeurs sont respectivement de 1,48 et 0,98. Ces
facteurs permettent d’estimer les rendements qui auraient été obtenus si le
chalut “Troli” de la première campagne avait été utilisé pendant les trois
autres prospections. Comme le chalut “Troli” a une ouverture horizontale beau-
cou;, ~JUS petite que le chalut “Marisco”, la transformation en rusui tats “Tro-
Li” des resultats obtenus pendant les trois dernières campagnes pour
1. es
espèces de poissons aura un effet très sensible au niveau des calculs des
biomasses apparentes, calculs qui prennent en compte l’aire balayée par les
chaluts.
Les données de la première campagne seront traitées comme si les traits
de chalut avaient été tir’és aléatoirement dans les différentes strates définies
pour les autres campagnes,alors qu’ils sont situés le long de radiales. Les

erreurs standards seront cependant biaisées (en principe à la hausse). Seules
Les données obtenues avec le chalut “Troli”, qui a couvert toute La zone d’é-
tude, seront prisesen compte. Des facteurs multiplicatifs R3, calculés de
La même manière que plus haut mais en sens inverse, seront utilisés pour esti-
mer les rendements en crustacés qui auraient été obtenus avec le chalut
“Maris co”. Ces facteurs sont de 1,88 pour la gamba ; 1,85 pour les autres
crevettes commerciales et les Munidae ; 1,78 pour les crevettes actuellement
non commercialisées. Le rapport Rl (0,94) pour le crabe Geryon murittxe ne
nous paraît guère satisfaisant, aussi il n’y aura pas de correction pour cet-
te espèce.
Les abondances apparentes par strate et par campagne pour les différen-
tes espèces prises en considération sont données dans les tableaux 57 à 60,;
suivant ces espèces les estimations sont fournies pour un chalut “Troli” ou
un chalut “Marisco”. Les résultats pour la zone sud (Casamance) ne sont pas
indiqués dans les tableaux car les traits effectués dans cette région sont
en faible nombre et ne concernent pas toutes les bandes bathymétriques ;
ainsi pour la strate 150 - 500 m les fonds à gamba (Parapenaeus Lorz~irostris)
n’ont pas été échantillonnés et les valeurs nulles des rendements ne sont donc
pas représentatives, à l’inverse les fonds à Aristeus varidens sont sur-repré-
sentés dans la strate 500 - 800 m. Nous verrons plus loin que des corrections,
tenant compte des rendements observés par bande bathymétrique en Casamance,
peuvent être apportées pour le calcul des biomasses de l’ensemble du Sénégal.
On notera que les céphalopodes apparaissent dans le tableau 58 alors
qu’ils n’ont pas été pris en compte dans le 5 2.4. consacré à la répartition
des espèces et aux éléments de biologie. En effet aucune des espèces rencon-
trées dans ce groupe ne présente de fortes abondances, mais leur ensemble
(poulpes, seiches, calmars) n’est pas négligeable. Le facteur multiplicatif
R3 pour passer des rendements en céphalopodes du chalut “Marisco” aux rende-
ments estimés pour le chalut “Troli” est de 1,46.
Le calcul des biomasses apparentes à partir des rendements horaires de-
mande une estimation de l’aire balayée par les chaluts en 1 heure. La vites-
se moyenne de pêche pendant les 4 campagnes a été de 3 nœuds et l’ouverture
horizontale des chaluts estimée à 1/3 de la longueur de la corde de dos. Cet-
te valeur est discutable mais un pourcentage de cet ordre est de plus en plus
souvent retenu par les scientifiques qui se sont préoccupés de ce problème.
Les surfaces moyennes balayées par les chaluts “Troli” et “Marisco” en 1 heu-
re ont donc été estimées respectivement à 0,090 et 0,129 km2.
Une autre estimation a été effectuée à partir de 10 mesures de l’écarte-
ment des funes faites pour le chalut “Marisco” lors de la campagne ANA 2 et
qui utilise les équations suivantes :
SS’ = ((bb’ - aa’) . L + aa’) . fs
avec SS’ = écartement des panneaux
bb’ = écartement des funes à
1 m des poulies
aa’ = écartement des poulies
f s
= facteur de séparation
(1.15)
..^
.,-._.
^_
-
_..
1
L = câble filé
, cc’=
SS’ . CO
!
CO + cd + gcï- 1
.“.--_._.

“ .
.
_._
.
, _
.
_
..i
avec cc’ = ouverture horizontale
du chalut
C O = longueur du chalut
cd = longueur entremise
4
= longueur de bras.

La valeur moyenne trouvée pour l’ouverture horizontale a été de 17.27 m,
soit 24,8 % de la corde de dos. L’aire balayée correspondante est donc de
0.960 km’., Cette valeur introduit un facteur de pondération de l,34 sur les
biomasses calculées avec une ouverture de 1/3 de la longueur de la corde de
dos, Elle a été utilisée pour dessiner les cartes de densité des figures 80
à 85. Les biomasses apparentes par campagne pour l’ensemble des zones nord et
centre (150 - 800 m) sont données dans les tableaux 61 et 62 avec les indi-
ces d’abondance (rendements horaires moyens au chalut “Troli” pour les pois-
sons et céphalopodes, au chalut “Marisco” pour les crustacés) calculés comme
indiqué plus haut (pondération par la surface des strates) et qui ont servi
de base pour les estimer. Les erreurs-standards des moyennes et les coeffi-
cients de variations
erreur-standard de la moyenne
(
x 100) apparaissent
moyenne
également dans ces tableaux.
Les estimations des biomasses apparentes pour l’ensemble du Sénégal sont
indiquées dans le tableau 63. Elles ont été calculées à partir des valeurs
pour la zone Nord + Centre auxquelles on a rajouté une estimation de la bio-
masse en Casamance. Pour ce faire des indices d’abondance pour cette région
ont été calculés en multipliant les valeurs de la zone Nord + Centre par des
facteurs ‘obtenus en divisant les rendements moyens correspondants à L’ensem-
ble des différentes bandes bathymétriques chalutées en Casamance par ceux
des mêmes bandes de la zone Nord + Centre. Comme précédemment les biomasses
Casamance sont ensuite facilement calculées à partir des indices d’abondance,
de l’aire balayée par le chalut et de la surface de la zone. Pour la gamba
(Pampenaeus iongirostmk) et les Munidae, dont les fonds (bandes bathymé-
triques en principe favorables) n’ont pas été chalutés en Casamance, nous
avons conservé pour cette zone les indices d’abondance de l’ensemble Nord +
Centre.
2.5.3. l.Xhcuna.ion
Les biomasses apparentes de merlus obtenues lors des campagnes de cha-
lutage montrent de grandes variations suivant les périodes pour lesquelles
elles ont été effectuées. On sait que ces biomasses sont bien inférieures
aux quantités réelles de merlus présentes au Sénégal car ces poissons peuvent
être capturés par des chaluts pélagiques travaillant assez loin du fond. Il
s’agit également d’especes présentant des migrations importantes en latitude
montrées par le fait que les plus mauvais rendements surviennent en saison
chaude au Sénégal, alors que c’est l’inverse plus au Nord (littoral saharien).
Il ressort des deux remarques précédentes que l’estimation des biomasses de
merlus par des campagnes de chalutage ne présente guère d’intérêt pour défi-
nir des potentiels de pêche annuels.
Pour la gamba (P. Zongirwstris) on remarquera que les biomasses appa-
rentes - 1 100 tonnes au maximum - sont de très loin inférieures aux captures,
qui depassent 2 000 t en 1982-83 et ont atteint près de 4 800 t en 1980, soit
4 fois la biomasse apparente maximale. Un important taux d’évitement du cha-
lut par fuite en avant ou latérale ne paraît guère plausible pour cette espè-
ce dont la vitesse de propulsion sur plusieurs mètres est assez réduite et
une estimation plus faible de l’aire balayée par le chalut ne modifierait
pas suffisamment les biomasses calculées pour leur faire dépasser les prises ;
or on ne peut capturer, année après année, qu’une partie d.e la biomasse réel-
le. 11 apparait donc que les biomasses apparentes calculées n’ont aucun rap-
port avec les biomasses, réelles. Des migrations au niveau de la surface du
fond étant exclues - les plus fortes abondances relatives se trouvent toujours
situées entre 200 et 400 m et des déplacements latitudinaux de grande ampli-
tude ne sont pas compatibles avec la taille et la morphologie de l’espèce -

3 9
il apparaît que le chalut de fond ne travaille que sur une partie du stock
présent dans la zone. L”autre partie serait, soit plus haute dans la tranche
d’eau, soit enfouie dans le sédiment. La première hypothèse semble la plus
plausible vu l’importance de la fraction de stock manquante. On remarquera
qu’à des profondeurs de 200 - 400 m les caractéristiques physiques de l’eau
de mer sont quasiment les mêmes sur des hauteurs importantes. Nos estimations
concernent donc une biomasse apparente instantanée, c’est-à-dire s’appliquant
Z. la partie du stock présente à un moment donné dans le volume de pêche du
chalut utilisé. Les crevettes qui seraient situées plus haut que l’ouverture
verticale du chalut ne sont pas comptabilisées, et si la hauteur de la dis-
tribution verticale est importante la partie manquante du stock peut être
bien supérieure à la partie échantillonnée, ceci même si l’abondance en uni-
té de volume est plus faible dans la part manquante (les crevettiers préfè-
rent en effet des chaluts à forte ouverture horizontale plutôt que des cha-
luts à plus forte ouverture verticale mais â faible aire balayée). Les cre-
.
vettrers commercraux,
qui pêchent toute l’année, travaillent finalement sur
l’ensemble du stock si l’on admet que les gambas non capturables â un moment
donné peuvent le devenir par la suite en fonction de leur déplacement. Des
etudes menées par plusieurs auteurs sur cette espèce montrent que de tels
déplacements rendent les crevettes plus accessibles au chalut de fond le
jour et lors des périodes de pleine lune (fuite de la lumière ?).
Un phénomène similaire , quoique de moindre importance, survient aussi
pour les crabes geryons : les prises commercialisées, après rejet des petits
crabes et - souvent - de la partie non consommable des autres, sont de l’ordre
de grandeur des biomasses apparentes qui paraissent donc fortement sous-esti-
mées par rapport aux biomasses réelles.Pour une espèce @s voisine (G, quinque-
C!ens), des observations menées par caméra sur la côte Est des Etats-Unis ont
montré sa préférence â se tenir dans de petits vallonnements du fond qui pour-
raient être sautés par les chaluts.
Les captures d’Aristeus varidens par les crevettiers profonds sont , de
1 a même manière, le plus souvent supérieures aux biomasses apparentes estimées.
Des quatre cas précédents (merlus, gamba, geryon et alistado) il apparaît
que le calcul de biomasses â partir de campagnes de chalutage ne doit être
fait qu’avec la plus grande prudence et qu’il est très utile de disposer avant
cela de données suffisantes sur la distribution et le comportement des espè-
ces, Des biomasses apparentes instantanées ne pourront servir â déterminer
des potentiels de pêche que lorsque l’on se sera assuré de l’accessibilité
de l’ensemble du stock et
lorsque le taux d’évitement du chalut aura pu être
estimé.
Pour les autres espèces pour lesquelles nous avons calculé des biomasses
apparentes instantanées, nous ne disposons pas de données statistiques et
biologiques suffisantes pour savoir si les biomasses sont fortement sous-
estimées par rapport à la réalité. Les calculs ont cependant pour intérêt de
donner au moins un ordre de grandeur minimum des stocks. Tout au plus peut-
on dire que les biomasses apparentes de scorpaenidés, qui ne montrent pas de
variations saisonnières et dont les espèces composant ce groupe doivent -
d’après leur morphologie - vivre sur le fond avec une .vitesse de nage assez
réduite, seraient moins sous-estimées par rapport â la biomasse réelle que
celles des autres espèces qui présentent des variations saisonnières ou/et
qui appartiennent à des groupes zoologiques (poissons, crustacés) dont les
cas ont été discutés plus haut. On peut indiquer pour ces espèces les facteurs
pouvant avoir conduit à une sous-estimation des biomasses :
- ChZorophthaLmus spp. : existence de variations saisonnières ‘? Existen-
ce de migrations en latitude et d’une distribution dans la colonne d’eau
assez proche de celle des merlus ?

4 0
- CéphaZopodes : de larges distributions dans la colonne d’eau sont
connues pour certaines espèces. Fractions plus ou moins importantes des
stocks plus côtières que la zone échantillonnée.
- Plesionika spp. et Nematocarcinus africanus : distributions vertica-
les peu connues.
- Munidae : variations saisonnières en rapport avec une accessibilité
incomplète de même type que celle des geryons ?

41
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F I G U R E S

4 7
T I T R E S
D E S
F I G U R E S
Figure
1 .- Limites géographiques et bathymétriques, et nature des fonds de
la zone étudiée.
Figure
:2.- Evolution de la température (TOC) en fonction de la profondeur.
Figure
',:' . - Répartition verticale de la température de l'eau sur la radiale
15"25'N (Nord Cap-Vert).
Figure
3.q - - Répartition verticale de la température de l'eau sur la radiale
13'47'N (Sud Cap-Vert).
Fiquxe
"t .- Evolution de la s&inj.tè (S 8) en fonction de la profondeur.
Figure
6 . - Répartition verticale de la salinité sur la radiale 15('25'~
(Nord Cap-Vert).
Figure
7.- Répartition verticale de la salinité sur la radiale 13'47'
(Sud Cap-Vert).
Figure
9.- Evolution de la teneur en oxygène dissous (02) en fonction de
la profondeur.
Figure
921. - Plan du chalut "CLASICO TANGON" utilisé pendant la Campagne
SENEGAL 8210 . (PLAN SUPERIEUR).
Figure
%.- Plan du chalut "CLASICO TANGON" utilisé pendant la Campagne
SENEGAL 8210 . (PLAN INFERIEUR).
Figure I()ii.- Plan du chalut "TROLI" utilisé pendant la Campagne
SENEGAL
8210 . (PLAN SUPERIEUR).
Figure lOh.- Plan du chalut "TROLI" utilisé pendant la Campagne
SENEGAL
8210 . (PLAN INFERIEUR),
Figure lla.- Position des stations de pêche effectuées pendant la Campagne
SENEGAL 8210 .
Figure 1 1 l.Il . - Position des stations de pêche effectuées pendant la Campagne
SENEGAL 8210 e
Figure 1 1 C! . - Position des stations de pêche effectuées pendant la Campagne
SENEGAL 8210".
Figure 12 .- Plan du chalut "MARISCO" utilisé pendant les 3 Campagnes du
Villa Ana.
Figure 13a.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8304. Zone Nord.
Figure 13b.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8304. Zone Centre.

Figure 13c.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8304 . Zone Sud.
Figure 14a.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8306 . Zone Nord.
Figure 14h.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8306 . Zone Centre.
Figure 14c.- Situation des traits de chalut effectués pendant la Campagne
SENEGAL 8306 . Zone Sud.
Figure 15a.- Positions des opérations de pêche réalisées pendant la Campa-
gne SENEGAL 8402 . Zone Nord et Centre,
Figure l5b.- Positions ades opérations de pêche réalisées pendant Pa Campa-
gne SENEGAL 8402 . Zone Centre et Sud.
Figure 16 .- Evolution bathymétrique des rendements par grands groupes sys-
tématiques pendant les 4 Campagnes de chalutage.
Figure 17 .- Distribution bathymétrique des principales espèces de crustacés
profonds au niveau de la latitude 15O11'2N (Zone Nord).
Figure 18 .- Distributions de taille par sexe et tous sexes confondus des
CentrophoY~us granulds:As,
en pourcentage des nombres totaux d'in-
dividus mesurés.
Figure 19 .- Evolution bathymétrique des longueurs moyennes (LF) et des poids
totaux moyens des kz~~r0p~wrus granulosus.
Figure 20 .- Evolution des rendements toutes zones de ,-lty>zucc~ue g?~:,!lZ: en
fonction de la profondeur pendant les 4 Campagnes.
Figure 21 ,- 'Rendements de J!/erk~~?::?~s pozli par zone et bande bathymétrique
pour les 3 Campagnes du "Villa Ana".
Figure 22 .- Rendements moyens (chalut Troli) par bande bathymétrique et par
zone de M~zrluwius poil2 lors de la Campagne
Figure 23 .- Distributions des fréquences relatives des tailles de dk.iZuccius
polZi pour les intervalles de profondeurs 150-300 ; 300-500,
500-800 m ; toutes zones confondues. Campagne SENEGAL 8402 .
Figure 24 .- Distributions des fréquences de tailles globales de I?.!&?Y~~KK?~~~s
pc)Zli dans les zones Nord, Centre, et Nord + Centre. Campagne
SENEGAL 8304 )
Figure 25 .- Distributic'ns des fréquences de tailles globales de izkrJZzlccï:tis
p,~Zli dans Les Zones Nord, Centre, et Nord + Centre. Campagne
SENEGAL 8306 .
Figure 26 .- Distributions des fréquences de tailles globales de î&rk?cius
p,=i%?Li dans les zones Nord, Centre, et Nord + Centre. Campagne
SENEGAL 8402 .

4Y
Figure 27 .- Evolutions de tailles moyennes de i?QP~U.C~kis ~'#~~T~ Selon la
profondeur. Campagne SENEGAL 8402 .
Figure 28 .- Relation entre la longueur totale et le poids chez ~~krhxius
poni.
SENEGAL 8210 .
Figure 29 .- Evolution 'des rendements moyens par Campagne, Zone et Strate
de profondeur de PIe~~%~~ccius senegalensis.
Figure 30 .- Evolution des rendements moyens "toutes zones", par Campagne
et strate de profondeur, de bler&.ccius sexegakns?~s,
Figure 31 .- Distributions des frequences de tailles globales de I%Y~.!u~~~~u:~
seneyalensis dans les Zones Nord, Centre, et Nord + Centre.
Campagne SENEGAL 8304 .
Figure 32 .- Distributions des fréquences de tailles globales de ;$~y'jzi~~:7:ti;
senegalensis dans les Zones Nord, Centre, et Nord + Centre.
Campagne SENEGAL 8402 .
Figure 33 .- Evolution des tailles moyennes de MerZ?dcc:i:ji.u wnc!gl:iws-k en
fonction de la profondeur, par zone et toutes zones.
SENEGAL 8402 2
Figure 34 .- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur totale poids pour les M. senega%ensis mâles, femelles,
et tous sexes confondus.
SENEGAL 8304 .
Figure 3c; .- Rendements de Scorpaenidae obtenus par zone et profondeur.
Figure 36' .- Evolution des rendements moyens horaires de F~-;Yupo~,~:us l.onyi-
rostris par zone, Campagne et strate bathymétrique.
Figure 37 .-- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Pi=rtzpenueus
Z.on.girost~&~
Zone Nord. Campagne SENEGAL 8304 .
Figure 38 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de E?~~~n~enueuc;:
Zo!zgtrclskPi:s, Zone Centre. Campagne SENEGAL 8304 .
Figure 34 .- Distributions des fr@quences de tailles par sexe de i+;~<~~~;:ndc,us
ZongirustrÎk > Zone Nord + Centre. Campagne
SENEGAL 8304 .
Figure 4C .- Distributions des frequences de tailles par sexe de PL:P~~~~YU??&
longircstr%s v Zone Nord. Campagne SENEGAL 8306 .
Figure 41 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de P~YJ(I,~~H~~@~,s
~o~&rost~;j:s, Zone Centre, Campagne ZENEGAL 8306 .
Pigure 42 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de P~~~~~~n~~eus
icngiYwkvk, Zone Nord + Centre, Campagne "SENEGAL 8306 .
Figure 43 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de ?~~~penc~eus
%vw~irostr;;s, Zone Nord. Campagne 8402.
Figure 44 .- Distributions des frequences de tailles par sexe de i'~.~~~~ti~~s~~~~s
~i;n&rc~si;y&, Zone Centre. Campagne 8402.

Figure 45 .- Distributions des fréquences de taille par sexe de ?,Pq~Pnatw3
lfwLgiYm tris I Zone Nord + Centre. Campagne 8402.
Figure 46 .- Evolution des tailles moyennes de Parapenaeus long7h~str*is en
fonction de la profondeur et de la latitude.
SENEGAL 8402 .
Figure 47 .- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur céphalothorax-poids et longueur totale-poids pour les
i. long~&oc:fiy~-is mâles, femelles, et tous sexes confondus. Cam-
pagne ANA 1.
Figure 48 .- Relation entre la longueur totale et la longueur céphalothoraci-
que chez P. kngirost&s mâles. Campagne ARALAR.
Figure 49 .- Relation entre la longueur totale et la longueur céohalothoraci-
que chez 2. longirasti>Zs femelles. Campagne ARALAR.
Figure 50 .- Représentation graphique des points observés et de la relation
longueur céphalothorax - longueur totale pour les P. I0ngirostris
tous sexes confondus. Campagne ANA 1.
Figure 51 .- Evolution des rendements moyens horaires d'Aristeus zmridens
par zone, Campagne et strate bathymétrique.
Figure SO .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d’Aristeus
vatidens, Zone Nord, Campagne "SENEGAL 8304".
Figure 53 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'Ar~ist;eus
-varidens , Zone Centre. Campagne "SENEGAL 8304".
Figure 54 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'Arist;eus
m+dens, Zone Sud. Campagne "SENEGAL 83041'.
Figure 55 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d"Arist:eus
varidens, Zone Nord + Centre + Sud. Campagne "SENEGAL 8304".
Figure 56 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'Aristeus
valridens , Zone Nord. Campagne "SENEGAL 8306".
Figure 57 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'.4&teUs
varidens, Zone Centre. Campagne "SENEGAL 83061'.
Figure 58 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'Ar&teus
varidens, Zone Sud. Campagne "SENEGAL 8306".
Figure 59 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe d'Arist:eus
,varidezs,
Zone Nord + Centre + Sud. Campagne "SENEGAL 8306".
Figure 60 .- Relation entre la longueur céphalothoracique et le poids, chez
Aris teus varidens,
Figure 61 Sa Représentation graphique des points observés et de l'équation
longueur totale - poids des individus échantillonnés de P.
eduardsianus . "SENEGAL 8306".

5 1
Figure 62 .- Evolution des rendements moyens (kq/h) de Nematoaxrcinus (Ifri-
canus par campagne, zone et strate bathymétrique.
Figure 63 .- Evolution des rendements moyens horaires de Plesionika spp par
zone, campagne et strate bathymétrique.
Figure 64 .- Evolution des rendements moyens (kq/h) de Geryon maritae par
campagne, zone et strate bathymétrique.
Figure 65 .- Evolution des rendements moyens (kq/h 1 de Geryon mal*itae :
'Toutes zones" par campagne et strate bathymétrique.
Figure 66 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de &?Yy3n ma-
ri tas, Zone Nord. Campaqne "SENEGAL 8304.
Figure 67 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Geryon mari-
tas, Zone Nord. Campagne "SENEGAL 8304".
Figure 68 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de &?~y~s mari-
~LZB, Zone Sud. Campaqne "SENEGAL 8304".
Figure 69 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Gwyon mari-
tae, Zone Nord + Centre + Sud. Campagne "SENEGAL 8304".
Figure 70 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Gery<?n mari-
tae, Zone Nord. Campaqne "SENEGAL 8306"*
Figure 71 ;- Distributions des fréquences de tailles par sexe de &Y'y<Xl mari-
tac, Zone Centre, Campagne "SENEGAL 8306".
Figure 72 :- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Cer2yon mari-
~QP, Zone Sud. Camapagne "SENEGAL 8306".
Figure 73 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Cer>yon, mati-
tao, Zone Kord + Centre + Sud. Campagne "SENEGAL 8306".
Figure 74 .- Distributicns des fréquences de tailles par sexe de G!?~yo?? mari-
tae, Zone Nord. Campagne "SENEGAL 8402".
FigurP 75 :- Distributions des fréquences de tailles par sexe de Ceryon mari-
z?ae, Zone Centre, Campagne "SENEGAL 8402".
Figure 76 .- Distributions des frequences de tailles par sexe de &wycm rnari-
tac, Zone Nord + Centre. Campagne "SENEGAL 8402".
Figure 77 .- Représentation graphique des points observés et de l'équation
largeur de la carapace-poids pour le Geryon maritae. Campagne
"SENEGAL 8304".
Figure 78 .- Evolution des rendements moyens horaires de j&n&ja
spp. par
zone, Campagne et strate bathymétrique.
Figure 79 .- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur céphalothorax-poids pour les P. mautitanicus mâles,
femelles, et tous sexes confondus. "SENEGAL 8304".

5 2
I'igure 80 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour .I'. Zotigi-
~~ostris et aires de concentration maximale. Zone Nord et Centre.
Figure 81 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour E'. Zongi-
rosttis et aires de concentration maximale. Zone Centre et Sud.
Figure 82 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour A. varidens
et aires de concentration maximale. Zone Nord et Centre.
Figure 83 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour A. zjariderzs
et aires de concentration maximale. Zone Centre et Sud.
Figure 84 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour G. maritae
et aires de concentration maximale. Zone Nord et Centre.
Figure 85 .- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour G. maritae
et aires de concentration maximale. Zone Centre et Sud.

15
11
1s
12
11
10
100
120
140 160
180
2 0 0
2 4 0
280
3 0 0
4 0 0
5 0 0
P R O F O N D E U R S ( mitres)
0.
v>
aa
2
*W
E 100 4
r
04

v>
3
aa
-0
B
0
p. 200
500
400
. Fiauw 3.- RCpnrcition verticale d e l a tem-
500,
pcrature de l’eau sur la radiale
15”25’N. (Nord Cap-Vert).
aoo.

Figure 4.- Répartition verticale de la tem-
pérature de l’eau sur la radiale
13’47’N (Sud Cap-Vert)
35.10
,
I
1
,
1
,
,
1 -T-‘v--l
1
1
I
,
1

loo
120
1 4 0 160
160
2 0 0
300
4 0 0
500
?ROFONOEURS
f mitrac \\

-
-.
35.7
IA
0)
.o
E
m
100
Y
u
u
t
0
0
e
200
Répartition verticale de la
salinité sur la radiale lS”25’N
(Nord Cap-Vert).
Répartition verticale dt? la salinitt;
silt- l a
radi.alc 13”47’N (Z’ud C:ip-Vert).

02
,(ml/l 1
1 . 2 0
11
11
88
11

1

*
11
r
I
I
r
,
1
1 0 0 1 2 0
1 4 0 180 180 2 0 0
3 0 0
4 0 0
500
Profondourr ( mLtrrr
)
.Figure 8.- E v o l u t i o n d e l a t e n e u r e n o x y g è n e d i s s o u s (02) e n f o n c t i o n
d e l a p r o f o n d e u r .

CLASICO TANGON
red de Q en 20
CORCHO
76m
110
ALTO
7m
2 3 0
2 4 0
230 ,
5 6 0
Fig. 9a.- Plan du chalut "CLASICO TANGON" utilisé pendant la
Campagne "SENEGAL 82 101~ (PLAN SUPERIEUR).

C LASICO TANGON
Bu R L O N
85m
BAJO
0

al
L
230
210
230
Fig. 91n .- Plan du chalut "CLASICO TANGON" utilisé pendant la
Campagne
"SENEGAL 8210" (PLAN INFERIEUR)

E l
ARTE de TROLI
CORCHO
48.5m
A L T 0
8.50m
370
F i g . 10a.- Plan du chalut "TROLI" utilisé pendant la campagne
~~SENEGAL 821011 (PLAN SUPERIEUR).

6 2
ARTE de TROLI
red de 5 en 20
40
40
\\
6 URLON
64 m
\\
Q)
.-
Q,
BAJO
a
.-cl
*
d
1
m-J
EE
I
(u
\\
I
fi
1
L
1
0
al
"
L
il
\\
3.50m
\\
110
Plan du chalut "TROLI" utilisé pendant la campagne
Fig. m l -
"SENEGAL 8210”. (PLAN INFERIEUR).

6 3
18,O
30'
I
RADIUES
_ _ ----. ----.--~I1-.l--_-- _. ._
16'
1
j
/
30'
I
--_.
5O
IQUE
AL
1
;O'
l
/

1
Fig. Ila.- Positions des stations de pêche effectuées pendant la
Campagne
"SENEGAL 8210".

6 4
3?'
170
a1
XADIALES
16'
1
2
30'
15O
30'
6
14O
Fiq. 11 h.- Position des stations de pêche effectuées pendant la
campagne
"SENEGAL 8210"

RADIALES
\\
11
Fig. ll(...- Positions des stations de pêche effectuées pendant la
Campagne
"SENEGAL 8210".

6 6
233
200
. :Z
3 3
Li
2 0 0
:il;:200
Figure 12.-Plan du chalut "MAIXISCO" utilisé pendant les 3 campacjnes du VILLA
ANA.

6 7
18.
30'
17"
3
/’
/
t:
I
2p/’
i
\\
c
~-
/
,/
/l
/
/
30'
- i
.
15"
REPUBLIQUE
DU
b90.
SENEGAL
30'
P
,,14"
Fiq.lîa.-- Situation des traits de chalut effectués pendant la campagne "SENEGAL
Zone Nori.

6 8
Fig. 13b.- Situation des traits de chalut effectués pendant la campagne "SENEGAL8304'
mne Centre.

14
10'
3'
\\ iI
/ S E N E G A L
I’
i
0'
Fig. Ile.- Situation des traits de chalut effectués pendant la campagne "SENEGAL8304'
Zone Sud.

70
1
ZO
5"
REPUBLIQUE -
3
?
Figure 14a- Situation -traits de chalut effectués pendant la campagne
SENEGAL 8306. Zone Nord

71
.
R. DC?
SENEGAL
Figure 1411. - Situation des traits de chalut effectués pendant la
SENM;AL 8306. Zone Centre.

.*
Figure lk- Situation des traits de chalut effectués pendant la
campagne SENEGAL 8306. Zone Sud

7 J
>
30’
1
3 0 ’
I
6 “
30’
1 5 ”
3 0
Fig.l'jâ.- Positions des opérations de pêche réaliséés'pendant la campagne
SENEGAL 8402. Zone Nord et Centre.

Qlœ93
‘\\,SENEGAL 14”
30’
ar+++t++t
3”
\\
\\
- 310’
+
\\
/
‘. :
- - - - - - - - -
, L.
\\
l
-
-
----.__- --_
Fig. 15b.- Positions des opérations de pêc’he réalisées pendant la campagne
SENEGAL 8402. Zone Centre et Sud.

75
0 C SELACIENS
lOO-
.
c_ ARALAR (cldrt 1ROlI )
c--* AIA 1
S---4 AIA 1
-

-
AMAI
Kg/h
0
M O
b TELEOSTEENS
4*. 0e CRUSTACES
/
s
%MO
3 0 0
.
-7
.
a!oul
2 0 0
1000
MM
Figure 16.- Evolution bathymétrique des rendements par
grands groupes systématiques pendant les 4
campagnes de chalut age.

SITUACIO!J
SITUACIDiI
19’11.2’ N
1~~11.2’ N
lb”U.1’ W
17’24.7’W
R mauritanicua
lOO-
- 100
15ol-
.
200 -
-
200
-.l
l-2
300 -
N. alr~canus
1’
- 3 0 0 0)
.L
‘2
l? edwardsianus
*- v;
400-
A. vartdans
ou
L $
32
500-
- 5 0 0
LL
0
000 -
- 600
cc
a
700-
I
millas nautic;is
s.4
10.8
l b . 2
21.6
27.0
D 1 S T A II C 1 A
Fiq. 17.- Distribution bathymétrique des principales espèces de crustacés profonds
au niveau de la latitude 15“11'2N (Zone Nord).

7 7
fl
n = 272
%
3 0
20
n = 65
1 0
I
I
I
2 0
4 0
6 0
1 0 0
L F
%
3 0
8+ P
1
2 0
n = 3 3 7
1 0
1
I--
i
I
I
I
2 0
4 0
6 0
8 0
1 0 0
L F
Figure 18.- Distributions de taille par sexe et tous sexes
confondus des Centrophorus granulosus, en pour-
centagesdes nombres totaux d’individus mesurés.

78
1 F (cm)
Poids (g )
,
I
-6000
,
- 4 0 0 0
w 3 0 0 0
>>>
- 2 0 0 0
)-”
I
I
I
I
I
1 0 0 0
2 0 0
3 0 0
4 0 0
5 0 0
6 0 0
7 0 0
8 0 0
Figure 29. - Evolution bathymétrique des longueurs
moyennes (LF) et des poids totaux
moyens des Cm trophorus granulosus.

73
Randomonts
( K g / heure )
Merluccius
polli ( t o u t e s z o n e s )
ARALAR (Rdtr corrigir)
;-.; A
N
A

1
-
-
A N A 2
e----e
ANA 3
4 0 0
2 o c
1CX b
2a l-
t
l o o
2 0 0
3 0 0
4 0 0
500
600
7 0 0
800
9 0 0
P r o f o n d e u r s ( m i t r e s )
Figure 20. - Evolution des rendements toutes zones de
Merluccius polZi en fonction de la profondeur
pendant les 4 campagnes.’

R*nd*montr m.y.nr
( K g / heure )
140-
Z O N E
N O R D
-
Campogn.
A N A 1
*----- 4
Compagne A N A 1
+-y Campagne A N A 3
\\ ZONL CASAMANCE
Crofon d ours ( m itmr )
Figure 21.- Rendements de Mzrluccius polzi par zone
et bande bathymétrique pour les trois
campagnes du "Villa Ana".

81
R e n d e m e n t s m o y e n s
( K g / h e u r e )
2600
2 4 0 0
2200
ZOOCI
I
t
I
I
<
,
I
I
I
I
1 6 0 0
6 0 0
5 0 0
6 0 0
7 0 0
600
9 0 0
P r o f o n d o u r s ( mitror)
Figure22 .- Rendements moyens (chalut Troli) par bande
bathymétrique et par zone de Merï!uccius poliii
lors de la campagne ARALAR.

%
1 2 -
S tratr : 150-300
Nas 1 0 7 9 5
6 -
0
1 5
2 0
2 5
3 0
3 5
4 0
4 5
50
55
60 65
70
1.T ( cm 1
1 2
S t r a t e : Joo- 5 0 0
NS 5 7 2 5
6
15
20 2-5 30
3ii 40
4 5
50
55
SO
6 5 7 0
LT+)
S t r a t e : 000- 800
N8E
4 9 9
5
h
15 20 25 30
35 40 45
5 0
55 60 65
7 0 1.T ( c m )
Figure 23.- Distribution de fréquences relatives de tailles de
Y. p)LLi pour les intervalles de profondeurs 150 -
300 m, 300 - 500 m, 500 - 800 m ; toutes zones con-
fondues. Campagne SENEGAL 8402.
IN = Nombre capturé.

r
18
Il. pollf
SENEGRL 0 3 0 4 Z O N R N O R T E
15
N* D E EJEHPLRRES- 557 1150
12
9
6
0
LT<cm)
10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 3
34 36 36 40 42 44 46 46 50 52 54 56 58 60
x
1 6 -
Il. poll1
SENEGAL 0304 ZONA CENTRO
N* DE EJEMPLRRES- 5 7 2 5 0 4 0
8-
0
LT(cm>
10 12 14 16 18 20 22 24 26 26 30 32 34 36 38 40 42 44 46 48 50 52 54 56 58 60-
10 12 1 4
16 18 2 0 2 2 24 i
LT(cm1
44 46 46 50 52 54 56 58 60
Fig. 24.- Distributions des fréquences de tailles globales de ILl't?~uc-
cius mzï!i dans les zones Nord centre, et Nord + centre.
Canpabne SENEGAL 8304.

x
84
12 -
!
n. poll1
SENEGRL 8306
ZONA NORTE
t
N- DE EJEMPLRRES- 2164460
l-1 ~3 LT(cm)
18 1 2 14 1 6
21 3 22 24 26 i
32 314 36 30 40 42 44 46 48 50 52 54 56 50 60
1 5 -
n. polli
SENEGRL 6306
ZONR CENTRO
Ne DE EJEHPLARES- 1672450
12
9
6:
E
3-
10 12 14 16 18 20 22 24 26 26 30 32 34 36 36 40 42 44 46 40 50 52 54 56 50 60
LT(cm1
x
12
Il. polIl
SENEGRL 6306
TOTRL
~
t
N* IlE E J E M P L R R E S - 3 6 5 6 9 2 0
L
6-
10 1 2 14 1 6 1 6 2 0 2 2 2 4 21
? 34 36 30 40 42 44 46 46 50 52 54 56 56 60
LT<cm)
Fiq. 25.- Distributions des fréquences de tailles qlobales de Mer%uc-
cius pO%li dans les zones Nord, Centre, et Nord + Centre.
Campaqne SENEGAL, 8306.

8 5
M . pollt
SENEGAL 6402
ZONR NORTE
No DE EJEHPLRRES- 2272030
LT(cm)
‘2 24 26 26 30 3 2 3 4 3 6 3 6 4 0 4 2 4 4 4 6 4 6 5 0 5 2 5 4 5 6 5 0 6 0 6 2 6 4 6 6 6 6 7 0 7 2
M . polil
SENEGFIL 8 4 0 2
ZONA CENTRO
N* IIE E J E H P L A R E S - 4 6 9 3 9 0 0
1
LT(cm)
26 20 30 3 2
n. pollt
SENEGRL 0402
TOTRL
N’ DE EJEHPLARES-
6 9 9 6 0 0 0
LT(cm1
1 4 16 1 0 2 0 2 2 2 4 2 6 2 6 3 0 3 2 3 4 3 6 3 6 4 0 4 2 4 4 4 6 4 0 5 0 5 2 54 5 6 5 6 6 0 6 2 6 4 6 6 6 0 7 0 7 2
Fi17. 26.- Distributions des fréquences de tailles globales de Merluc-
cius ~<ILL.< dans les zones Nord, Centre, et Nord -I- Centre.
Campagne SENEGAL 8402.

T aill*S
moyennos
50
4 0
SCi-
2t )-
IID-
S-
t
I
,
I
m
I
I
I
1
I
100
400
3 0 0
4 0 0
5 0 0
6 0 0
7 0 0
8 0 0
9 0 0
1 0 0 0
Profondours (mhros )
Figure 27.- Evolution des tailles moyennes de M. poll.7: selon
la profondeur. Campagne SENEGAL 8402.

Poi
17m
1606
1506
1488
1388
1288
T o u s s e x e s (N = 8 4 3 )
11BB
---
M â l e s
- .-
F e m e l l e s
S@e
906
788
B@e
588
409
306
Em
12 14 16
18
28 22 24 26
28
30 32 34 36 38 48 42 44 46 46
50 52 54
56
56
68 62
LT(om>
Fig. 28 .- Relation entre la longueur totale et le poids chez Merluccius polli. SENE!2 A L 8210.

Compo6na A N A 1
o--a
130
II
ANA 2
-
II
ANA 3
&a
100
k.\\b\\
Z O N E
N O R D
’ \\
s a
\\ \\
1t
E
I
I
200
300
400
500
600
700
606
000
1000
160
100
Z O N E
C E N T R E
50
10
20-
Z O N E
CAS A MANCE
1 0 '
lw
200
300
400
500
600
700
soa
900
low
PROfOIDLURS ( mitras)
Fig. 29.- Evolution des rendements moyens par campagne, zone et strate
de profondeur de b?erhccius senegalensis.

RENDEMENTS
150.
campogno
*RALA@
D - - - - u
II
A N A 1
o - . - o
II
A N A 2
*VE
II
ANA 3
+-#
100
T O U T E S
Z O N E S
5C
100
200
300
400
500
600
700
800
900
1000
P R O F O N D E U R S ( m é t r e s )
Fig. 30.- Evolution des rendements moyens "toutes zones", par campagne et
strate de profondeur, de Merluecius senegalensis.
(Les rendements ARALAR sont corrigés).

rh
M . ssnsgalsnsls
SENEGAL 0304 ZONfl NORTE
N* DE EJWPLARES- 1 7 7 6 3 0 0
6 -
0 ’ ’ ’ ’ ’ ’ ’ ’ ’ s
1
LT(cm)
LB
2 0 22 24 26 2 6 30
32
42 44 46 48 50 52 54 56 50 60 62 64
.%
1 4 F
.-r-l
M . senagalenals
J
SENEGAF 0304 ZONA CENTRO
N* DE EJEHPLARES-
2 3 4 3 1 1 0
7
.
0
I
I , f 1
I I I I
I
II,, II, II, II,, ,
,
,
,
,
LT(cm)
18 2 0 22 24 26 26 3 0 3,
34 3 6 36
4 0 42 44 4 6 4 0 5 0 52 5 4 5 6 5 9 6 0 62 64
z 14 t
n
M . ssnsgalans 1s
SENEGRL 6304
TOTRL
N* DE EJEHPLRRES-
4 1 1 9 4 2 0
-L
0
LT(cm)
18 20 22 24 26 26 30 3i
6 3 40 42 44 46 48 50 52 54 56 58 60 62 64
Fig. 31.- Distributions des fréquences de tailles globales de
Merhccius senegalensis dans les zones Nord, Centre,
et Nord t Centre. Campagne SENEGAL 8304.

9 1
M . asnagelsnals
SENEGRL 0 402
ZONA NORTE
N* DE EJEMPLARES- 1312010
s-
G
LT(cm)
2 0 22 24 2 6 26 3 0 3 2 34 31j 36 4 0 4 2 44 4 6 48 5 0 52 54 5 6 58 6 0 62 6 4 6 6 68 7 0 72
5
-
M. ssnegalensls
r-l
15 7
n
SENEGAL 8402
ZONA CENTRO
V D E EJEMPLARES- 7 7 8 2 2 0
0
“”
LT(cm)
2 0 2 2 24 26 2 6 3 0 3
4 36 36 40 42 44 46 48 50 52 54 56 58 60 62 64 66 66 70 72
t l . 6enegalsnafa
SENEGRL 8402
TOTAL
I N* DE EJEHPLARES- 2090250LT(cm1
2 6 3 0 3
4 36 36 4 0 4 2 44 4 6 4 8 5 0 5 2 54 56 5 8 6 0 62 64 6 6 66 7 0 72
Fig. 32.- Distributions des fréquences de tailles globales de
Mer+?uccius senegalensis
dans les zones Nord, Centre,
et Nord + Centre, Campagne 8402.

lailior moyenner
50-
(cm)
P
50-
/
/
/
40-
**
20-
lO-
I
I
I
I
*
K)O
200
400
500
m
200
I
000
700
em
Profondeurs (a)
Fig. 33.- Evolution des tailles moyennes de MePhXiUS senega~en.;is
en fonction de la profondeur, par zone et toutes zones.
SENEGAL 8402.

Y 3
p (9)
2428 i
t
2329 F
/
2228
/y
2128
/4
2028
1928
./
11128
/

/
1728
//
‘/ /’
T O U S S E X E S (N= 3 6 4 )
1828
1528
_
_
M A L E S
A”
1428
)//
/
,328
-__
F E M E L L E S
1220
,129
IBIE

SES
rl1.ILIIILIU
27
21
31
33
35 37
31
41
43
45
47
49
SI
53
55
57
51 91
93
9S 97
98
7,
1. T. (cm)
Figure 34.- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur totale-poids pour les M. senegalensis mâles, ferwlles,
et tous sexes confondus.
S E N E G A L 8304,

9 4
kg/h
SCORPRENIIIAE
r-
SENEGAL 8304
200.0
L
Zone Nord --
180.0
160.0
140.0
120.0
100.0
80.0
60.0
40.0
20.a
O.B
*
I
100
200
300 < 400.
500
600
700
e00
PROF.(m)
Figure 35.- Rendements de Scorpaenidae obtenus par zone et profondeur.

Y 5
Rendements moyrns
Qo-
Compagne
ARALAR +-m-e+

A N A 1
O---U

A N A 2 *-
.
ANA 3
h+
?O-
SO-
30-
t ‘\\
\\
/,“,, ’ !
/ ,’
,’
\\\\
‘\\\\
lO-
/,/’
\\
xlL
Z O N E C E N T R E
Fig. 36.- Evolution des rendements moyens horaires de P:xrap~naeus bngi-
ras trio0 par zone, campagne et strate bathymétrique.

x
10
P . longlro~trio
tlRCHOS
SENECRL 6304
Z . N O R T E
15
W DE EJEMPLRRES- 33175100
12
9
6
3
0
LTtom)
4
5 6
7
0
9
10 11 12 13 14 15 16 17
P . longlrostrlo
HEIIBRRS
SENEGFiL 0 3 0 4
Z. N O R T E
N* D E EJEMPLRRES- 3 4 7 9 5 5 0 0
I LT(cm)
4
5
6
7
e
9
10
1 1
12 13 14
15 16 17
Fig. 37 .- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Panapenaeus ~ongirosizis, Zone Nord. Campagne
SENEGAL 8304.

9 7
25
P , longlro~trî8
HRCHOS
SENECRL 6304
2. CENTRO
2 0
W DE EJMPLRRES- 16948700
15
10
5
0
LT(cm)
4
5 6 7 9
3 10 1
x
n
P . tongfrostrfs
HEIIBRFIS
SENEGRL 8304
2. CENTRO
N* DE EJEMPLARES- lSES65E0
0
IIIII
J
LT(cm)
4
5 6 7 9 9
10
11
12
13
14
15
16
17
Fig. 38.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus Zongiros t:ris, Zone Centre. Campagne
SENEGAL 8304.

P . long1 ro8trf8
HFKMOS
SENEC?3l. 8304
TOTAL
W DE EJMPLRRES- 50123800
16
h
LT(cm)
P . longirostrl*
HEMBRFIS
SENEGFL 0304
TOTAL
N* DE EJEHPLRRES- 53891900
1
9
6
3
0
LT(cm)
4
5
6
7
e
9
10
1
12 13
14
!5
16
17
Fig. 39.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus ~ongirmtris, Zone Nord + Centre.
Campagne SENEGAL 8304.

2 0 E
P . longlroetrf8
HFICHOS
SENEGRL 8 3 0 6
2. NORTE
w DE E3EXF’LRRES- 39385200
1s
1 2
4
0 “““‘l”‘luu 1’1’1’1,1’1’l’1’l’1’L-l’l’l’1”‘11”””
LT(oln)
4 5 6 7
B 9 18 11 12 13 14 15 16 17
x
15
P . longlroatrfé
HEMBRRS
SENEGAL 8306
2. N O R T E
ET D E EJEMPLARES- 3 6 1 3 7 2 0 0
12 y
9
6
1
LTCcm)
4 5 6 7 R 9
10 11 12
13 14 15 16 17
Fig. 4O.- Distributions des frciquences de tailles par sexe de
ParQpenaeus Zongirosttis, Zone Nord. Campagne
SENEGAL 8306.

1 0 0
35
P . longlrodrto
ttucHos
SENECRL 3306
2. CENTRO
N’ DE EJEMPLURES- 20753500
23
21
1 4
7
0
1111111111111111~’
11111111
LT(cm)
4 5 6 7 6
3
10
1 1
1 2
15
1 4
I!l
16 17
P. long(rostrfc
HEMBRRS
25
SENECUL 8306
2. CEEITRO
N* DE EJEMPLRRES- 23915100
20
1 5
10
LT(cm)
81
L
1 2
1 3
1 4
1 5
1 6
1 7
Fig. 41.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus Zongirostks, Zone Centre. Campagne
SENEGAL 8306.

1 0 1
P . lonpirostrîs
flRCHOS
SENEGAL 6306
TOTRL
W DE EJEHPLARES- 60136600
LT(om1
P . l o n g f r o s t r l s
HEMRRAS
SENEGAL 6306
TOTflL
N* DE EJEMPLRRES- 62052400
LT(cm)
Fig. 42.- Distributions des frcsquences de tailles par sexe de
Parapenaeus,
Zone Nord + Centre. Campagne SENEGAL 8306.

102
%
2 0
P . longtrostrls
SENEGRL 6402
MRCHOS
Z. N O R T E
16
N* D E EJEHPLARES=
7 2 2 5 0 7 6
12
8
4
0
?111111111,1,,,
LT(cm>
4
5
6
7
13
5
10
11
12
13
14
15
16
!7
P . longtrottrls
SENEGRL 6462
HEMBRAS
Z . N O R T E
No D E EJEWLRRES- 1 1 3 2 7 1 8 3
0
LT(cm)
4
5
6
7
8
5
10
11
12
13
14
15
16
17
Fig. 43.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus hngîrostris, Zone Nord. Campagne 8402

1 0 3
16
P . longirostrts
SENEGRL 8402
HACHOS
2. CENTRO
15
N* DE EJEMPLARES- 6802866
12
9
6
3
0
LT(cm)
4 5 6 7
6
9
10
11
12 13 14
15 16 17
n P. longirostris SENEGRL 8402
HEMBRAS
2. CENTRO
W D E EJEtlPLRRES- 9 3 2 3 0 7 2
4
5 6 7
6
9
LT(cm)
10 1
,E
*c
I->
Fig. 44.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus longirmtris, Zone Centre. Campagne 8402.

1 0 4
P . longirostris
SENEGRL 8 4 0 2
MRCHOS
TOTRL
N* D
E
EJEMPLARES- 14028742
LTCcm)
P . longlrostris
SENEGRL 8 4 0 2
Al ‘- HEtlBRRS TOTRL
N’ D
E

EJEHPLRRES- 20650231
6
x LTCcml
4 5 6 7 8
9
10 11
12 13 14
I!=i
IG
17
Fig. 45.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Parapenaeus Zongirosttis,
Zone Nord f Centre.
Campagne 8402.

1 0 5
Ta i Iles moyennes
(cm)
1 4
*-* Z O N E N O R D
o-e.+ Z O N E C E N T R E
e -@ T O U T E S Z O N E S
13
12
11
1 0
2;o
SO0
Ao
40 Profondeurs ( m)
I>igure 46.- I;volution d e s t a i I l e s m o y e n n e s d e i-~~P~pem,letts i(.>rgiros~K:;
e n f o n c t i o n d e l a p r o f o n d e u r e t d e l a l a t i t u d e . S E N E G A L
3402.

CI.1
"-..m.mTOUS SEXES (N = 649)
22 - .- - -.YîiLI:S
r.---FEMELLES
1. -
I‘ -
14 -
12 -
10 -
*-
1-
4-
z-
a- 'E
1
11
12
‘4
II
I I
1.
22
24
22
22
3.
32
34
32
.
:y./; /
/
.Y.
1 ,
1 -
164
172 LT<“)
Fiyre47.- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur céphalothorax-poids et longueur totale-poids pour les
P. longirostris mâles, fernelles,et tous sexes confondus.
Campagne ANA 1 .

Lc(mm)
-
P . l o n g i r o s t r t s
6
SENEGAL 82 10
3 5 . 0 -
N = 77
3 0 . 0 -
2 5 . 0 -
1 5 . 0
““““““‘1’~111’L~““““~“““L1”“““““”1””””””””11”””“““““‘L~
5 9
6 9
7 9
8 9
9 9
109
119
129
139
149
LT(mm)
Fig. 48 .- Relation entre la longueur totale et la longueur cépahlothoracique chez
Parapenaeus longirostris ( 81. Campagne A~LAR,

Lc(mm>
35.8
N = 147
30.0
25.0
20.0
15.0
10.0
5.0
30 40
50
60 70 80 90
100
110
120
130
140
150
160
170 LT(mm)
Fig. 4g.- Relation entre La longueur totale et la longueur céphalothoracique chez
Parapenaeus longirostris
(?)* Campagne ARALAR.

1 ii Y
2 5
2P
1 5
10
5
48 50
GB
70 60 90
1m
1 tcJ
f20
1 3 0
140
1 5 0
160
170
18%
LT(mm)
Figure SO,- Représentation graphique des points Gbservés et de la relation
longueur &phalothorax-longueur totale pour les P. longirostris,
tous sexes confondus. Campagne ANA 1.

1 1 0
Rendamonts moyens
( KO/~ 1
20-
Z O N E N O R D
lO-
I
II
I
-
I
,
I
1
3 0 0
400
5 0 0
600
7 0 0
6 0 0
9 0 0
lOQ0
30
20,
10,
30
2 0
lO-
l o o
6 0 0
9 0 0
moo
Profondours ( m )
Fig. 5 .- Evolution des rendements moyens horaires d'Aris-&us mwi&xs
par zone, campagne et strate bathymétrique.

1 1 1
R . varldsns
W R C H O S
SENECRL 8304
2. NORTE
W DE EJEtiPLFiRES- 415992
24
0
Jlllrtlllllll~lL
Lctmrn)
1517 192123252729313335J739414345474951535557
x
14 -
A . varfdsns
HEtlBRRS
SENEGRL 8384
2. NORTE
W DE EJEtlPLRRES- 445377
7 -
0
LC(mmI
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7
Fig. 52.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d ‘Aris teus varidens,
Zone Nord. Campagne
SENEGAL 8304.

1 1 2
A. var Idano
tlRCHOS
SENEGAL 9304
2. CENTRO
tP DE EJEllF’LRRES- 37139
Lo(mm)
x
L
A . varfdsns
HEMBRAS
20 r
SENECRL 9 3 0 4
2. CENTRO
Ne D E EJEMPLRRES-
7 1 5 9 9
1 6 f_
12 y
6
4
r
0c’
1 5 1 7 1 9
25 27
9 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 5 5 7
Lclmm)
Fig. 53.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d ‘Aristeus ,vatidens, Zone Centre. Campagne
SENEGAL 8304.

1 3
. %.
A . varldena
tlFiCHOS
30
n
SENEGRL 0 3 0 4 Z . SUR
N’ DE EJEWLRFXS- 1124960
24
16
1
12
6
0 2
Lc(mm)
x
R . varidens
HEMBRRS
SENEGAL 8304
2. SUR
N* DE EJEHPLRRES- 492473
32s27293133353739414345474951535557
Lc(mm)
Fig. !54.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d'Aristeus varidens, Zone Sud. Campagne SENEGAL 8304.

1 1 4
X
A . vwtden8 M A C H O S
2 5
SENEGRL 9 3 0 4
TOTRL
W DE EJEtlPLARES~
1 5 7 9 0 8 0
2 0
1s
10
5
0
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
Lc (mm)
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7 2 9 3 1 3 3 3 9 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 3 5 7
t-m
A
.
var Ideno HEMBRRS
SENEGRL 9 3 0 4
TOTAL
Na D E EJEWIBRES- 10139478
Lcfmm)
Fig. 55.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d 'Aris teus varidens, Zone Nord + Centre + Sud.
Campagne SENEGAL 8304.

11 5
R . varidons
HRCHOS
SENEGAL 9306
2. N O R T E
W D E EJEMPLRRES-
9 2 5 1 1 3
6
Lc<mml
A . var (don*
HEHBRAS
SENEGFU 9 3 0 6
2. N O R T E
N* D E EJEWLARES- 1 1 1 6 4 6 0
1uL Lc(mm)
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7 2 9 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 5 5 7
Fig. 56.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d'Aristeus vatidms, Zone Nord. Campagne SENEGAL 8306.

1 1 6
x
R. vwidanm
uRCHOs
25
SENECRL 6 3 0 6
z . CENTRO
--
._..-
tP D E EJEHPLRRES- 2 3 9 7 6 1 0
111111111111~
0
Lc (mm)
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7 2 3 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 5 5 7
Y
FI. varldsns HEMBRRS
6-
S E N E G A L 6 3 0 6
Z. CENTRO
Ne DE .EJEtlPLARES- 5 4 4 5 6 3 0
r
0
-1JL
Lc(mmI
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7 2 9 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 5 5 7
Fig. 57.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d 'Aristeus varidens, Zone Centre. Campagne SENEGAL 8306.


11
8
R. var 1 dana
tlRCHO9
2s
SENEGRL 8306
TOTRL
W DE EJfMPLRRES- 4716200
20
15
10
5
0
Lo(mm)
1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 5 2 7 2 9 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 3 3 5 5 5 7
x
A . varfdsna
HENBRAS
SENEGRL 8306
TOTAL
N* D E EJEMPLARES- E345830
Lctmm)
.. 1 5 1 7 1 9 2 1 2 3 2 9 2 7 2 9 3 1 3 3 3 5 3 7 3 9 4 1 4 3 4 5 4 7 4 9 5 1 5 3 5 5 5 7
Fig. 59.- Distributions des fréquences de tailles par sexe
d ’ Aris teus varidens, Zone Nord + Centre + Sud.
Campagne SENEGAL 8306.

1 1 Y
\\
‘\\
\\.
‘\\
‘\\ ’
.
.
.

1 2 0
6366
ICbL b
l <rsta1>- .6eat
bITet. >-2.654?4
K Ter.1 EJ... catudlBdw- 161
TOTR EJDI. P
EJIRODB -
-
-
EJBDWtR6 -v
6
~6
II)
26
22 24 26 22
06 32 34 36
36 42 42 44
42 42
56 52 54 56
Fig. 61.- Représentation graphique des points observés et de l'équation
longueur céphalothoracique-poids, chez PZ~siopna~uc cx!lJ~y&an.us
SENEGAL 8306.

1 2 1
REMDEMENTS
2 6 0
( Kg / heure )
1
Z O N E NORD
1 2 0 -
6 0 -
40-
P
ZONE CENTRE
8 0 -
CASAMANCE
?w
200
3 0 0
4 0 0
500
6 0 0
700
800
9 0 0
P R O F O N D E U R S ( mitres )
Fig. Gj2.- Evolution des rendements moyens (kg/h) de iVmatomrc:~~nus afticanus
par campagne, zone et strate bathymétrique.

1 2 2
CAMIAONC ARALAR ~-J----C]
RENDEMLNTS
II
ANA 1 o-.s.c
80
( K g / hrurs )
II
A N A 2 y--y
II
A N A 3 +-
p\\
50
Il (
I
\\
,
,,
40
a’
Z O N E N O R D
I’
\\\\
200
300
400
500
800
700
800
900
Z O N E C E N T R E
CASAMANCE
loJ
100
200
300
400
SO0
800
700
800
900
PR OFONDEURS ( mbtret )
Fig. 63.- Evolution des rendements moyens horaires de P~esionika spp.
par zone, campagne et strate bathymétrique.

1 0 0
200
300
400
500
600
700
600
900
1000
PROFONDEURS (m )
Fig. 64.- Evolution des rendements moyens (k.g/h) de Gtiryon muri!xx par
campagne, zone et strate bathymétrique.

1 2 4
R E N D E M E N T S
( Kg / houros )
81
T O U T E S Z O N E S
5c
4c
3c
20
10%
700
800
900
WOFONDEURS
( m i t r e s )
Fig. 65.- Evclution des rendements moyens (kg/h) de Geryon mari!:ae :
"Toutes zones" par campagne et strate bathymétrique.

1 2 5
%
c
.
marltaa MXHOS
15
SMEGRL 0 3 0 4
Z. NORTE
W DE EJEtlPLARES- 700656
1 2
9
6
3
c
Lc (cm)
6
7
8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 16
Y
1 2 -
G. marltas
HENBRRS
SENEGRL 8 3 0 4
2. N O R T E
N* DE EJEMPLARES- 884629
6-
LcCcm)
Fig. 66.- Distributions de tailles par sexe de Gem~on mar=iii;xe,
Zone Nord. Campagne SENEGAL 8304.

1 2 6
C. m8rlt8e
flRCHOS
SENEGAL 0304
2. CENTRO
W DE EJEMPLARES- 922946
Lo(om)
6 7
8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 16
G. marl tae
HEMBRRS
SENEGRL 0304
2. CENTRO
N* DE EJEMPLRRES- 901910
LLll~I~~IIuL1IIIIIlL
Lcccm)
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
16
Fig. 67.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon maritac?, Zone Centre. Campagne SENEGAL 8304.

x
1 2 7
c. narttae
HACHOS
20 -
SENECRL 83E4
2. SUR
N* D E EJEWLARES- I4239
e
4
L L
0
Lc (cm1
34567091
11 12 13 1
15
16 17 18
6. mirltae
HEMBRAS
SENECRL 0304
2. SUR
W DE EJEMPLRRES- 27717
6-
0
A
Lc(cm>
3 4 5
6 7
8
9
10
11 12 13 14 15 16 17 16
Fig. 68.- Distributions des fri!quences de tailles par sexe de
Geryon maritae, Zone Sud. Campagne SENEGAL 8304.

1 2 8
C. maritas tlACHO9
15
SENE’XL 6 3 0 4
TOTRL
W D E EJMPLAIXS- 1636860
12
9
6
3
Lo (cm)
3 4
5 6 7
B 9
10 11 12 13 14 15 16 17 16
12 -
C. marltaa
HEIIBRRS
L
SENEGRL 8304
TOTRL
N* D E EJENPLRRES- 1 6 1 4 2 7 0
6 -
Fig. 69.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon matitae, Zone Nord + Centre + Sud. Campagne
SENEGAL 8304.

129
C. marltas
HFICHOS
SENEGAL 8306
2. N O R T E
N * D
E

EJEtlPLRRES- 552679
1
3
0
1 I -ÏlÏl,,,,,,
3 4
5 6 7
I
9
10 11 12
13
14
15
16
17
16
x
12 -
G. maritas
WEMBRRS
SENEG~ a 3 0 6 2. N O R T E
N* D E EJEflPLRKES- 6 0 9 0 2 7
6
0
1
-I
IIIIIItrmIIII~rIrIlIIIIl,rrIll
3 4
5
6
Lc(cm)
a
11
12
13
14
1s
16
17
la
Fig. 70.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon maritae, Zone Nord. Campagne SENEGAL 8306.

c. marltms llms
1s
'XNEGRL 8306 Z. CENTRO
W DE EJMF’LRRES- 1 4 7 6 9 4 0
1 2
9
6
3
0
L
1 4
G . marltaa
HENBRAS
SENEGAL 6306
2. CENTRO
tP DE EJEMPLfNES- 1 7 6 6 3 6 0
7
~III11111111111IIII
Lc(cm)
ta 6
7 6 9
1 0 11
1 2
1 3 1 4
15
1 6 17 16
Fig. 71.- Distributions des fr6quences de tailles par sexe de
Geryon matitae, Zone Centre. Campagne SENEGAL 8306.

1 31
G . m a r l t a e
MACHOS
SENEGRL 9 3 0 6
2. S U R
W DE EJEtiPLRRES- 24577
Lc(cm)
3 4 5 6 i
8
9 10 11 12 13 14 15 16 17 !B
x
L
20 :
Il
G . m a r l t a e
HEtl6RRS
SENEGRL 9306
2. S U R
No DE EJEMPLARES- 21421
I I I I I llll1llfl~l~lll~~~~~~~~‘~~~
0
LcCcm)
3
4
5
6
7
0
9
10 11 12 13 14 15 16 17 16
Fig. 72.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon maritae, Zone Sud. Campagne SENEGAL 8306.

1 32
. x
G . marltam
MFICHOS
SMECFL 8306
‘TOT%
N’ DE EJEXPLRREJ- 2054370
6 -
i 6
;
8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 16
Lo (cm1
x
10 -
6 . marItas
HEMBiWS
SENEGRL 6306
TOTAL
W DE EJEMPLRRES- 2596630
5-
Lctcm)
3
6
7
e 9 10 Il 12 13 14 15 16 17 16
Fig. 73.- Distributions des frëquences de tailles par sexe de
Geqon maritae, Zone Nord + Centre + Sud. Campagne
SENEGAL 8306

1 3 3
2 0
t. marltas
URCHOS
S E N E G A L 0 4 0 2
2. NORTE
N* D E EJEtlPLflRES- 2 7 6 3 9 1
16
12
8
4
0
Lc (cm)
1 2 -
c. marItas
HEHERRS
SENEGRL 6 4 0 2 2. N O R T E
N* D E EJMPLARES- 3 0 6 4 4 5
6 -
Q
2
3
4
S
6
7
8
5
II
Fig. 74.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon maritae, Zone Nord. Campagne SENEGAL 8402.

1 3 4
c. marltas
r!RCtios
SENEGRL 8402
2. CENTRO
N* DE EJEHPLRRES- 116409
Lo (cm)
4 5 6 7
9
9I 10 11 12 13 14 13 16 17 16
G . maritaa
HEMBRAS
S E N E G A L 8 4 0 2 2. C E N T R O
N* D E EJENPLAREÇ-
2 4 3 1 8 0
Lc(cm)
Fig. 75.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geryon rnaritae, Zone Centre. Campagne SENEGAL 8402.

1 35
x
C . marltas
tiRCHOS
SENECflL 9402
TOTRL
N* D E
EJEWLflRES- 392772
Lc(cm)
Y
1 4 -
c. marltm-
HEHBRRS
SENEGAL 8402
TOTAL
N* DE EJEMPLRRES- 549630
7 -
,r: 102 3 4 5 6 Lc(cm)
F i g . 76.- Distributions des fréquences de tailles par sexe de
Geqon maritae, Zone Nord + Centre. Campagne
SENEGAL 840 2.

2181
2881
93a4
1 9 9 1
b
1991
!.l-..L
1181
.(T*t.,>- .2!2326
1681
lsa!
b<Tot.I>-3.33765
1401
139:
IPEI
1101
ma<
se<
se<
781
601
30%
4El
391
281
101
I
3
4
1
6
7
a
9
10
Il
13
13
14
15
16
17
Fi(;. '77.- Représentation graphique des points observés et de l'équa%ion largeur de
la carapace-poids, chez G. flmittze, SENEGAL 8304.

1 3 7
RENDEMECJTS i Ko/ h*ur* )
200-
1?30-
\\
l40-
\\
Z O N E N O R D
:’
\\
60-
20.
1 0 0
200
300
400
500
600
700
800
900
Z O N E C E N T R E
1.0
CASAMANCE
0.5
100
200
300
400
500
mo
700
800
BO0
P R O F O N D E U R S ( m è t r e s )
F i g . 78.- Evolution des rendements moyens horaires de &PLida ~pp.
par zone, campagne et strate bathymètrique.

1
3 8
4577 -
T O U S S E X E S (N= 6 1 )
4177 -
- - M A L E S
3777 -
_ _ _ _ _ F E M E L L E S
3377 -
2377 -
2577 -
2177 -
1777
-
1377 -
377 -
377 -
177 -
7
a

10
11
12
13
14
15
19
17
te
18
2s
2l
2a
23
L.C. (cm)
Figure 79.- Représentation graphique des points observés et des relations
longueur céphalothorax-poids pour les P. mauritanicus mâles,
femelles,et tous sexes confondus. S ENfGAL 8304

1 39
NP Ej . KnA2
A
0
.
0 -
24999
A
25000 -
49999
m
50000 -
99999
l 1 0 0 0 0 0 - 1 9 9 9 9 9
0
ZB 2 0 0 0 0 0
Fig. 80.- Cartes de densités (nombre d'individus par km2) pour
P. Zongirostris et zones de concentration maximale.
Zone Nord et Centre.

1 4 0
R. DE .
P
0
Je++++t++
+
c'
I
iI
3-J
R. DE
30'
1
Fig. 81.- Cartes de densités (nombre d'individus par km2) pour
P. Zongiros ttis, et zones de concentration maximale.
Zone Centre et Sud.

1 41
A
0
.
0 - 4999
* 5000 - 9999
, 10000 - 14999
0

r15000
REPUBLICA
DE
S E N E G A L
Fig. 82.- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour
A. variaens et zones de concentration maxirnale. Zone
Nord et Centre.

XT
II-
3c
1
\\
R. DE .
SENEGAL
l
\\---I-----
A
0
.
0 - 4999
A
5000 - 9999
m 10000 - 14999
0
alSOO0
I R. D E
kSENEGAL
1 /?-
Fig. 83.- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour
A. vatidens et zones de concentration maximale. Zone
Centre et Sud.

1 4 3
A
0
.
O-
999
A
1000 -
2 4 9 9
l
2500 -
4 9 9 9
0
5000 -
9999
cl
) 10000
REPUBLICA
.
S E N E G A L
Fig. 84.- Carte de densités (nombre d'individus par km2) pour
G. matitae et zones de concentration maximale. Zone
Nord et Centre.

1 4 4
\\
FI. DE .
A
0
.
O-
999
*
1000 -
2199
m
2500 -
4999
l
5000 -
9999
0
5 10000
GAMBIA
I SENEGAL
Fig. 85.- Carte de densit'es (nombre d'individus par km2) pour
G. maritae et zones de concentration maximale. Zone
Centre et Sud.

T A B L E A U X

1 4 7
T I T R E S
D E S
T A B L E A U X
Tableau l.- Caractéristiques principales des campagnes.
Tableau 2.- Caractéristiques des opérations de pêche effectuées pendant
la campagne SENEGAL 8210. Profondeur et câble filé (CAB.FIL.)
en metres. Distance parcourue (DIST.REC) en milles nauttidues.
Tableau 3.- Distribution des stations effectuées, par zone et intervalle
de profondeurs - Campagne SENEGAL 8210.
Tableau 4.- Caractéristiques des opérations de pêche effectuées pendant
la campagne SENEGAL 8304. Profondeur et câble filé (CAB.FIL.)
en mètres. Distance parcourue (DIST.REC.) en milles nautiques.
Tableau 5.- Numéros des relations réalisées pendant la campagne SENEGAL
8304, par zone et profondeur.
Tableau 6.- Nombre de stations par strates et sous-strates effectuées lors
des campagnes d'échantillonnage stratifié.
Tableau 7.- Caractéristiques des opérations de pêche effectuées pendant la
campagne SENEGAL 8306. Profondeur et câble filé (CAB.FIL.) en
mètres. Distance parcourue (DIST.REC.) en milles nautiques.
Tableau 8.- Distribution des stations effectuées par zone et intervalle de
profondeur. Campagne SENEGAL 8306.
Tableau 9.- Caractéristiques des opérations de pêche réalisées pendant la
campagne SENEGAL 8402. Profondeur et câble filé (CAS.FIL.) en
mètres. Distance parcourue (DIST.REC.) en milles nautiques.
Tableau lO.- Distribution des stations effectuées par zone et intervalle de
profondeur. Campagne SENEGAL 8402.
Tableau ll.- Comparaison des rendements obtenus avec un chalut à crevette
(Clasico tangon) et un chalut à poisson (Troli) pour 18 paires
de traits de chaluts.
TablealJx12.- Rendements horaires de C’en-trophorus granulosus par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA
ANA 1.
Tableau 12.- Rendements horaires de L'entrophorus granulosus par campagne,
c t?t d
zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 er VILLA
.ANA 3.
Tableau 13.- Nombre
de traits de chalut par strate bathymétrique en fonction
du nombre d'individus de C. granu~osus capturés. Ensemble des
4 campagnes.
Tableau 14.- /:entr::phorus granulosus : nombres de mâles et de femelles des
échantillons biologiques (campagnes V. ANA) par strate bathymé-
trique et pourcentages par rapport aux totaux par strate.

Tableau 15.- Centrophorus granulosus : nombre de mâles, de femelles et pour-
centage de mâles pour les traits de chalut comprenant plus de
10 individus.
Tableau 16.- Longueur moyenne (LF) et poids total moyen par strate bathymé-
trique pour les Centrophorus mâles, femelles, et pour les deux
sexes réunis.
Tableau 17.- Centrophorus granuZosus
: relations biométriques (axe majeur
réduit).
Tableau 18.- CentFophorus granubous
: longueur totale, poids total et poids
du foie calculés à partir des relations biométriques pour des
longueurs à la fourche séparées par un intervalle de 5 cm.
Tableau 19.- Rendements moyens horaires de Merhccius pOzz1: par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA
ANA 1.
Tableaux20.-
Rendements moyens horaires de MerZuccius polli par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Tableaw21.- Sex-ratio de Mer&cius po.?,li selon la profondeur par campagne.
a et b
Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA ANA 1.
Tableaux22.-
Sex-ratio de MerZzmxhs pozzi selon la profondeur, par campagne.
a et b
Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA ANA 3.
Tableaux 23.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Mer2ucciu.s senegalensis en
a et b
fonction de la profondeur, par campagne. Campagnes CRUZ DE ARA-
LAR et VILLA ANA 1.
Tableaux 24.- Rendements moyens horaires (kg/h) de MerZucc-ius senegalensis
a et b
en fonction de la profondeur par campagne. Campagnes VILLA ANA
2 et VILLA ANA 3.
Tableaux 25.- Evolution du sex-ratio de i&?PzUCCiUS senegalensis en fonction
a et b
de la profondeur, par campagne. Campagnes CRUZ DE ARALAR et
VILLA ANA 1.
Tableaux 26.- Evolution du sex-ratio de &PZUc&US senegalensis en fonction
a et b
de la profondeur, par campagne. Campagne VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Tableaux 27.- Rendements moyens horaires de ChZorophthaZmus spp. par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagne CRUZ DE ARALAR et VILLA
ANA 1.
'l%leaux 28.- Rendements moyens horaires de ChZorophthaZmus spp. par campagne,
a cet b
zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Wlleaux 29.- Rendements moyens horaires (kg/h) des Scorpaenidae (rascasses)
a et b
par campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE
ARALAR et VILLA ANA 1.

1 4 9
Tableaux 3O.- Rendements moyens horaires (kg/h) des Scorpaenidae (rascasses)
a et b
par campagne, zone et strate bathymétrique. Campagne VILLA
ANA 2 et VILLA ANA 3.
Tableaux 31.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Parapanueus iongirostris
a et b
par campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE
ARALAR et VILLA ANA 1.
Tableaux 32.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Parapenaeus îcrlgirostris
a et b
par campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA
ANA 2 et VILLA ANA 3,
Tableaux 33.- Evolution du sex-ratio de PaPapena&&S Zongirostri~ en fonction
a et b
de la profondeur, par campagne. Campagnes CRUZ DE ARALAR et
VILLA ANA 1.
Tableaux 34.- Evolution du sex-ratio de PaYYQX.naQUS lOngirOStris en fonction
a et b
de la profondeur, par campagne. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Tableau
35.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Aristeus varidens par
campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARA-
LAR et VILLA ANA 1.
Tableau
36.~- Rendements moyens horaires (kg/h) de Aristeus varidens par
campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2
et VILLA ANA 3.
Tableaux 37.- Evolution du sex-ratio selon la profondeur chez Aristeus vari-
a et b
dens, par campagne. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA ANA 1.
Tableaux 38.- Evolution du sex-ratio selon la profondeur chez Aristeus vari-
a et b
dens, par campagne. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA ANA 3.
Tableau 39.~- Evolution des gammes de tailles en fonction de la population
pour les mâles et les femelles d'&isteus varidens (SENEGAL
8210).
Tableau 40.-e Rendements moyens horaires de P~esiopenneus edwarsianus par
campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARA-
LAR et VILLA ANA 1.
Tableau 41.- Rendements moyens horaires de Plesiopenaeus cduarsianus par
campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2
et VILLA ANA 3.
Tableaux 42.- Rendements moyens horaires de Nematocarcinua
africanus par
a et b
campagne, zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARA-
LAR et VILLA ANA 1.
Tableaux 43.- Rendements moyens horaires de Nematocarc?inzisuJ"ricanus
par
a et b
campagne , zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2
et VILLA ANA 3.

1 5 0
Tableaux 44.- Rendements moyens horaires de PZ&SiOnika Spp. par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA
ANA 1.
Tableaux 45.- Rendements moyens (kg/h) de PZesionika Spp. par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Tableaux 46.- Rendements moyens (kg/h) de Geryon maritae par campagne, zone
a etb
et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA ANA
1.
Tableaux 47.- Rendements moyens (kg/h) de Goryon maritae par campagne, zone
a et b
et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA ANA 3.
Tableaux 48.- Evolution du sex-ratio de &?PyOn maritae par campagne et stra-
a etb
te bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 1 et VILLA ANA 2.
Tableaux 49.- Evolution du sex-ratio de Geryon maritae par campagne et stra-
a et b
te bathymétrique. Campagne VILLA ANA 3.
Tableau 50.- Evolution des tailles moyennes par zone des mâles et des fe-
melles de Geryons lors de la campagne ANA 3.
Tableaux 51.- Rendements moyens (kg/h) de Munidae spp. par campagne, zone
a et b
et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA ANA
1.
Tableaux 52.- Rendements moyens (kg/h) de hnidae spp. par campagne, zone et
a et b
strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA ANA 3.
Tableaux 53.- Rendements moyens (kg/h) de Pa~.inurus mauritanicus par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes CRUZ DE ARALAR et VILLA
ANA 1.
Tableaux 54.- Rendements moyens (kg/h) de Pa.%inurus mauritanicus par campagne,
a et b
zone et strate bathymétrique. Campagnes VILLA ANA 2 et VILLA
ANA 3.
Tableau 55,- Superficie (km2) des différentes strates utilisées pour le cal-
cul des biomasses.
Tableau 56.- Superficies (km2) des différentes bandes bathymétriques.
Tableau
57.- Abondances apparentes par strates (estimations pour le chalut
"Troli" en kg/h) et erreur standard de la moyenne pendant les
4 campagnes pour les deux espèces de merlus.
Tableau 58-- Abondances apparentes par strates (estimations pour le chalut
"Troli" en kg/h) et erreur standard de la moyenne pendant les
4 campagnes pour 3 groupes d'espèces.
Tableau 59,;- Abondances apparentes par strates (estimations pour le chalut
"Marisco" sauf pour les Geryons de la campagne ARALAR) et erreur
standard de la moyenne pour 3 espèces de crustacés (cormnercia-
lisés).

1 5 1
Tableau
60.- Abondances apparentes par strates (estimations pour le chalut
"Marisco" en kg/h) et erreur standard de la moyenne pendant les
4 campagnes pour 3 espèces de crustacés (non commercialisés).
tableau 61.- Abondances (kg/h) et biomasses apparentes, avec leurs cœffi-
cients de variation, estimées par campagne pour l'ensemble des
zones Nord + Centre et pour 5 espèces ou groupes d'espèces :
poissons et céphalopodes.
Tableau 62.- Abondances (kg/h) et biomasses apparentes avec leurs cceffi-
cients de variation, estimées par campagne pour l'ensemble
des zones Nord + Centre et pour 6 espèces ou groupes d'espèces :
crevettes et crabe.
Tableau 63.- Estimations des biomasses apparentes (tonnes) des principales
espèces pour l'ensemble du Sénégal.

TABLEAU 1.- Caractéristiques principales des campagnes
DENOMINATION DES
CAMPAGNES
PERIODE
NOMBRE DE
YETHODES
TRAITS
ECHANTILLONNAGE
PROFONDEURS
16-10-82
!SENEGAL 8210
01-1'1-82
98
RADIALES
100-1000 m
29-04-83
18-05-83
99
STRATES
150-800
m
25-06-83
11-07-83
84
STRATES
150-800
m
18-02-84
SENEGAL 8402
07-03-84
93
STRATES
150-800
m

Tableau 2.- Caractéristiques des opérations de pêche effectuées
_I_- pendailt la campagne SENEGAL 8210. Profondeur et câ-
ble filé (CAB.FIL.) en mètres, Distance parcourue
(DISTJW.) en milles nautiques.

1 5 5
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----_-----
Tableau 2.- (Suite).- Caractéristiques des opérations de pêche
effectuées pendant la campagne SENEGAL 8210. Pro-
fondeur et câble filé (CAB.FIL.) en mètres,Distan-
ce parcourue (DIST.REC.) en milles nautiques,

900-1000
N O R D
1-7-8-19
2-9-17-21
3-10-22
4-11-23
5-12-18
6-13-24
14-25-85
15-26
16-27
20-92
80-86
81-87-93
82-88
83-89
84-90-94
91
CENTRE
28-37-41
;;-;y;;-;;
30-39-43
31-40-44
32-45-54
33-46-55
34-47-56
35-48-57
36-49-58
SO-64
96-97
52-66-75
53-67-76
.68-77
69-78-98
70-79
71
72
I
SUD
59
60-61
62-63
4
u-l
m
Station nulle : 38
Tableau 3.- Distribution des stations effectuées 9 par zone et intervalle de profondeur s SENEGAL 8210.

1 5 7
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305 388 7,20 lh 5’ 3,Sl liaO
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2?7 418 7s2S JhS9’ 1078 1001
28 3- S-83 lb’ 3’ lb”%
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210 fS0 I!l.53 0554' 2.48 951
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.
-
‘Tableall4.-
--_I_
Caractéristiques des op&rations de pêche effectuées
pendant la campagne SENEGAL 8304. Profondeur et câ-
ble filé (CAD.FIL.) en mètres. Distance parcourue
(DIST.REC.) en milles nautiques.

1 5 8
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97 i f - s - 0 3 14w ir34~ 14w irw 181~ibï iws lh it
2.d as1
T a b l e a u 4.- (Suitej
Caractéristiques des opérations de pêche
effectuées pendant la campagne SENEGAL 8304. Pro-
fondeur et câble filé (CAB.FIL.) e n metres. Distan-
c e p a r c o u r u e (DIST.KEC.) en milles nautiques.

300-~400
400-su0
5ûû-000
600-700
700-800
NORTE
1%LO-20-23-24-
2-5-10-15-l%
3-7-12-19-94
5-s-9-21-93
6-??-92'97
l-11-16-91
17
96
25-95
-
/
CENTRO
27-3A-39-40-40-
26-33-41-49-51
32-35-46-52-54
&L31-42-45-W-
83-a4-05na-90
37-43-53-59-82
29-30-36-44-81
!AL5%GA-73-75
56-63-72-66
57-60-62-X
61-71-74-77-67
98
89
-?r
99
i”
- -
cc
SUR
65-67
60
70
t’
Estacinnes nulas : 38, 57, 66, 76, 79, 60.
Tableau 5.- Numéros des stations réalisées pendant la campagne SENEGAL 8304, par zone et profondeur.

TABLEAU 6 .- Nombre de stations par strates et sous-strates
-r-
effectuees lors des campagnes d'échantillonnage stratifié
T = Nombre d'opérations de pêche
N = Stations nulles.
1 CAMPAGNE ANA 1 (SENEGAL 8304) DU 29.04 AU 18.05.83 1
150-500 m
500-800 m
TOTAL
EFFECTUE
T
N
T
N
23
-
9
-
32
ZONE CENTRE
41
2
20
3
61
3
1
3
-
6
67
3
32
3
99
t
( CAMP.AGNE ANA 2 (SENEGAL 8306) DU 25.06 AU 11.07.83 1
SOUS-STRATE
150-500 m
500-800 m
TOTAL
EFFECTUE
33
ZONE CENTRE
4 6
5
a 4
1 CAMP,~GNE mA 3 (SENEGAL 8402) du 18.02 au 07.03.84 1
SOUS-STRATE
150-500 m
500-800 m
TOTAL
T
N
T
N
EFFECTUE
ZONE NORD
2 1
-
15
1
36
ZONE CENTKE
37
3
16
-
5 3
1
-
3
-
4
59
3
34
1
93
-.

1 6 1
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CAB.
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2.59 790
2 ?!J- 5 - 3 3
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lh 0’
1373
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15’ 5’ 170~’ 1st j’ p23’
500 5 5 7 ilo4û
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4 15- b-83
15’ 5’ 1724’
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3.27 1500
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1.95
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398 356
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W20’ 1?017J
406 455 12,45
lh 2’ 2,55 1200
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15017' Vl5' lS21’ 17~17’ SO0 565 lS.05
lh 0’
3,42 1311
1 1 n- 5-63
15’21’ 1r’S’
1561e’ 17021’ bR0 708 17.18
M!i'
321 1418
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1.63 1SUO
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15w 1r 8’ 150 2 0 0
7.10
lh 9’
2850
700
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201 301 9.20
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15 2a- b - 0 3
15028’ Pl2’
V24’ 17*12' 500 4112 11,40
9hSb'
3880 115E
i5 28- b-83
15'33' 17 7'
!5O30’ 119 8 ’ 300 4 0 8 14049
lh 0’
2,79 9 0 0
17 28- b-83
15’30’ 1r 9 ’ 15O32’ 17010’ 4 0 9 58) lb,50
ih 0'
2.73 1150
:a 28- 5-83 15’3s’ ir 7’ 1S037’ ir 7’ 311 491 19,85
Oh40'
2 . 1 4 9 9 0
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1h 1'
2.7S 1500
2B 29- 5-83
15’35) ir P' 15'38' 17' 7J SOI 551
9843
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2 . 5 0 1151
21 29- é-83
15’39’ ir 2’ w41 1r IJ 200 150 ii,58
Ph45'
2,S7 7 0 8
22 29- 5 - 8 3
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15’45> tr 2’ EM 30) 14.03
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15)45> ir 3 ’
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ir 3


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lail 1158
2 4 29- 5-63
15Tl 15’W 15’49’ 15’59’ 200 309 19 1s ob5aJ 2.25 900
25 35- b-83 lP4t’ :r 2’ iS*3?’ lr 2’ 201 iS0 5152 lh 3’ 3.80 790
25 30- b-B3
15’ 11 iri9’ 15’ 4~ ir2i) 203 300 13,3b
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3,97 805
27 3i- b-a
1st 4) ir22’ is* 2’ ir23’ w 404 ib,ta
lh 1’
2.9) 1108
28 36- b-83
f4*50’ irv
14'55' lr28’ 390 281 18924 lh 2’ 2.28 ESO
29 1- 7-83
14’58’ ir25’ 14%’ lr3v 401 3 1 5
5,55
lhil’ 4,3i PUO
36 I- 7-83
14.54’ ir35’
i4*~3~
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2.n 115s
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3 1- 7-03
14'58' 17'33 14*40J 17%' 21) 150 15.42 1h 1' 2,3b 700
34 1- P-93
14w irn’ 14*53’ irw 150 20~ 17,~
lh 9’
2499 790
35
2- 7-03
14’51’ iX!ï’ 14@48’ l7’35’ 460 308 6
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5
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14%' lr3SJ . 14w ir33J 401 301 iv5
lh 9’ 3,12 910.
39
2- 7-83
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4 2- 7-83 14'24' 17’37’
14'22' 17'37' 508 701 i9 35
lb 0’
2.52 1508
4:
3- ?-e3
14’19’ 1r35’ 14’15’ 17'34'
700 501
7:te
lh I’
2,95 lS51
42
3- î-83
wis~ lr34)
14’12’ P33’ bu 508
9.fS lh 0' 3.31 1509
43 3- 7-03
14.13' im 14wJ ir33)
480 300 il.40
lh I’
2.70 999
44
3- 7-83
14'15' irm 14'18' ir32) 361 2tt 13s20 lh II' 2.52 800
45 3- 7-83
14’18’ 17’32’ 14*1s’ lr3iJ 200 159 lS,IS OhK' 3.10 799
45 3-7-83
14.15’ u-31’
14*la> 17.35~ 409 SIS me
lh 0’ 4*14 1100
47 4- 7-03
14# 9' irw 14, b’- lr34) w 709 7*1s lh I' 3,34 lb10
48 4- I-03 14' 8) ir35) 14Y1' ir34) 701 501 9,28
lh 8J
2.77 1508
49 4- I-03
14’ 8’ 17’33’ 14* 5’ 1r32J 508 421 11.45 lh I’ 2484 1111
50 4- 7-83 14' 3J fm 14' 11 ir32' 591 sot 14.16 ih II' 3a 1399
-e----M
*
Tableau 7.-
-
Caractéristiques ues opérations de pêche effec-
tuées pendant la campagne SENEGAL 8306. Profondeur
et c.âble filé (CAR.FIL.) en mètres. Distance par-
courue
(DIST.REC.) en milles nautiques.

1 6 2
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13’37’ P31’
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73 s- 7-83 13'45' 1T30'
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2.85 1390
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15’27’ 17'15' 590 608 14J5
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2.30 1398
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15’26’ Plb
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15039' 17' 5'
lY37' 17 5' 300 288 9,4s
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iS'l4' î?'Z? 15'1i' li"21> 788 619 15.29 ib 0’ 3881 1500
-__. --------
Tableau Y.- (Suite) Caractéristiques des opérations de pêche
effectuées pendant la campagne SENEGAL 8306. Pro-
fondeur et câble filé (CAB.FIL.) en mètres. Dis-
tance parcourues (DIST,REC.) en milles nautiques.

\\,
( m )
IWF.
150-200
200-300
3 0 0 - 4 0 0
400-500
mo-CO0
6 0 0 - 7 0 0
7OofW
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NORTE
L - 6 - 7 - 1 3 - 2 1 - 2 5
5 - 1 4 - 2 2 - 2 4 - 8 3
2-6-16-10-62
9-15-17-20-23
3-1 O-77-70-79
n-11-00-84
m-19-61
CENTRO
~!.-Ld-36-45-53
2 6 - 2 6 - 4 4 - 5 2 - 6 5
2 9 - 3 5 - 3 7 - 3 8 - 4 3
27-31-39-46-49
32-42-50-51-56-
40-41-49-57-73
4 7 - 5 6 - 7 2 - 7 4 - 7 6
GO-71
5 4 - 5 9 - 6 1 - 6 4
55-62-63
7 5
*
SUR
7 0
6 9
6 6 - 6 0
6 7
Tableau 8.- Distribution des statians effectuées par zone et par intervalle
de profondeur.
-i
Campagne SENEGAL 8306.

1 6 4
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286 381
9.47
lh 0’
3.52
82
Y50
15 21- 2tr4
lSO21’ lrI4’
15%’ 17*15’
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Il.10 Ih I’ 4.11
84
i200
16 21,- 2-84
lS’2S’ lTl4’
1sw 17013’
SU8 600
13,lO lb 0’ 4.11
74
1200
17 Zl- 2-M
w?7’ i7Y9’
15030’ Ir 7’
200 301
15,44
Ih I’
4817
72
YOS
18 21,- 2-84
1wS’ 17’ 3’
159~ ir 2’
2111 151
18.01
Ih 0’
2.22
51
750
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W42’ 1’7” 1’
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1st 201
6.57
Ih 3’
4.44
4f
750
21 2% 2-84
1594s’ ir 3’
1~143’ ir 4’
208 293
8846
th44’
222
4 2
9dU
PUZO
21 23 2-M
ISb42’ ir s
15’39’ 17’ 6’
391 400
10.30
I h I’ 3.15
4 3
1000
22 2% 2-84
IF45 ir 1’
IS’48’ 17’ 1’
150 281
lb.45 lb il’ 3.91
31
750
2 3 22.. 2-M
IF47 17’ 2’
15’45’ IP 3’
201 301
llL25 Ih I’ 2.22
32
908
24 23- 2-04
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15’52 17’ U’
201 39Y
7.08
lh B’
2.22
22
YOD
2s 23 2-64
15’54 16’59
lS?W 1657’
212 158
8nSS lh 1’ 2,77
2 1
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26 23- 2-84
15%’ 16’57
16, 1’ 1656’
288 381
II.88 lh B’ 3.15
1 2
911
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27 23 2-M
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300’ 461
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2.22
23
911
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28 23- 2-84
WI’ 1r 8’
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508 600
17,16
lh V
2,18
SS
1388
29 24” 2-04
IS’3V 1TiI’
15%’ 17w’
500 601
6.56
lh 4’
5.19
65
1158
30 24- 2-84
15’34’ IPII’
w32* iri4’
609 7#@
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15’26’ PI9
718 891.
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77
1580
32 24- 2-04
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2.17
7s
1290
33 24-e 2-64
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15.23’ Irw
71s 59f
16.36 !h I’ 2.U
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1350
34 24- 2-84
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5119 408,
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2017
03
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15’ 9’ 17%’
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600 789
7,1S Ih I’ 2,78
116
1418
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15’ 7’ 1r24
1s S’ W26’
708 810
9.2S Ih t’ 2.18
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ISOO
37 a - 2-M
15’ 1’ 17v’
is 4’ irti*
301 280.
I2.35 Ih
C’ 3.15
122
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38 25 E-84
15’ 3’ 17’21’
150 IJ ir2v
208 1st.
14.15
Ill 0’
2.22
121
650
3Y 25 2-84
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i4’sS’ i7’24’
280 192
lb,30
RhIB’ II,97
131
659 ESTACION kW
48 25 2-84
14’57’ ir24)
1457’ i7w
210 310
17,42 Ih 0’ 34%
Ii!2
tlS8
41 26- 2-M
fi* 8’ ir3i*
14’5~’ ir33*
593 664
6.55
Ih 8’
2.18
136
1481
42 26” 2-04
14’56’ ir33*
14w’ tr3i*
508 366
Y3
OhW
2.M
134
IWJ
EMNClfE
43 26- 2-84
14’57’ 17’24’
14’55’ 17’20’
159 201
II!41
Ih 1’ 4.55
1 3 1
658
4 4 26-e 2-84
14*ss’ i7w
14*s4’. ir32*
EIU 310
13.16 lh 8’ 3,W
142
tio
45 26- 2 - M
14’51’ 17’33
1455’ ir32*
300 400 15.26
lh 1
Ii39
143
951
46 26-v 2-94
14*54’ ir34’
14w ir3s
4tu 4%
17,31
lh38’.’ 1.39
144
1111
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47 27-, 2-!M
14’52 17’48’
14w ir39*
880 713
7 . 1 5
lh I’ 2.22
I47
1500
AtUE
RUT0
48 27- 2-84
14’53’ 17’3Y’
14*Sl’ ir4v
69s 622
Y.IS Ih I’ 2,22
146
1408
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14’52’ 17’39’
14’55’ 17’36’
600 500
11.12
Ih I’
4,17
145
1100
SO 27-, Z-B4
14’50’ 17’35’
14~47’ ir37’
150 209
13,40
lh 0’
3.57
151
650
ESTACIOH NUlA
=zcr.== ------
-----. _-_ -----. --- -. . --------- -_-. ---=~zz==~~~~~~~---
Tableau 9.-
-_1_
Caractéristiques des opérations de pêche réalisées
pendant la campagne SENEGAL 8402. Profondeur et câ-
ble filé (CAB.FIL.) en mètres. Distance parcourue
(DIST.FW.) en milles nautiques.

1 6 5
51 v- 2-Y4
14*47> iï"37'
i4O4Y’ 17’36’
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lh 0’
2.22
151
659
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14Ol7’ lP.37’
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3915
153
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53 ;j- ?-y4
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3.15
192
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14’311’ 17”35’
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1’
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150 200
659
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14’23’ lP33’
14e2s’ 17Q35’
39 481
12,o
IA 0’
2.78
203
900
Y/ xl- 2-Y?
14%' i7w
14w 1:Tw
400 598
14.15
lh (1’
4.18
204
1lBQ
5ll d- 2-14
14w 17'35)
14’24’ I?a.3b’
SO9 611
lb.13
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14’23’ 17037’
600 bYÇ lk,EÇ
lh 5’
2.80
296
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14%' lr37'
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790 809
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1h 9' 3,1#
207
1580
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1402l' I7'3?'
i4*la) 17#37)
trot 780
Y,vi
lh I' 2‘10
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1506
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14*17> ira
11’19’ F36’ 780 699
11.32
lh 0’
2.22
216
1418
4 29- 2-84
Wib iiHsJ’
lPlY> 17O32’
300 200
14.38
lh 3’
2.22
212
Y50
b4 i?Y- 2-84
I+*lY’ 17’32’
14’15’ Ir32’
2!Ju 1SQ
lb,31
lh I’
4810
211
650
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14'15' V32'
14'12' Ilb32'
150 210
18.15
lh 1’
3.90
221
650
$6
1- 3-114
ii'lii' 17%?
14w ir32)
208 3au
7.90
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3.01
22
8%
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14w 17%'
14013) ir3bt
881 708
9.25
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2X’
227
1511
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!- 3-84
149 Y' 179
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511 400
11,SS lh 9’ 2.7Y
234
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1P 6' lr3î'
14' 3' 17'32'
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13.48
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3-15
244
1110
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14' I' 17%'
13947' ir33)
510 611
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W'SP V32'
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801 700
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Ml
72
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13'56' 17'26
1357) irwt
ISO 210
6.51
Ih 9'
1.39
2%
bSO
73
-3-M
PV ir20t
13w irw
391 490
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i3w ir301
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2.22
264
1141
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651
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13.44) irw)
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2.M
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8%
2
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13w ir32t
I3*47' ir32'
80: 700
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3,01
277
1518
YY
:- 3-M
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13'42' 17032)
818 790
9,82
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3.N
287
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3- 3-e4
1~42' ir3it
IF+S> ir3ot
700 6111
lI.16 Ih 8’ 3,IS 286
1410
91
A- 3-84
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1~241 17932)
80s 7M
7.15
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2.8t
387
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J- 3-84
1 2 % 17’33’
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700 601
9.50
lh 0’
2,23
386
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J- 3-4
12v3' 1731)
ms ir32t
691 590
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J- 3-84
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14.33
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7.111
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500 490
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38
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iv I'. 17*31'
410 381
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14' 1) ir3i'
14' 3) 17'30'
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3,lS
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14* 78 v32)
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3.10
252
150
93
b- 334
14* 6) 17'32'
14' 9' 17w
309 4BB
13.56
lh 1’
3.15
233
9011
Tableau 9.- (Suite) Caractéristiques des opérations de peche
réalisées pendant la campagne SENEGAL 8402. Pro-
fondeur et câble filé (CAB.FIL.) en mètres. Dis-
tance parcourue (DIST.REC.) en milles nautiques,

166
0
N

1 6 7
TABLEAU ll.- Comparaison des rendements obtenus avec un chalut à
--
crevette (Classico tangon) et un chalut à poisson
(Troli) pour 18 paires de traits de chaluts.
L'indice R2 rapporteles valeurs Rl à la surface balayée.
-
RENDEMENTS
RENDEMENTS
ESPECE OU
R2
GROUPE D'ESPECE
CLAS. TANGON
TROLI
(A)
03)
-
Toutes crevettes
98,3
50,6
1,94
1,24
Crevettes commerciales
10,7
593
2,02
1,29
Parapenaeus Zongirostris
898
493
2,05
1,31
Tous poissolns
1 382,0
1 474,0
0,94
0,60
Mer luccius spp.
481,0
777,0
0,62
0,40
-

Tableau 12a et b.- Rendements horaires de Centrophorus granulosus
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits; m = moyenne horaire.
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) - Octobre 1982 - chalut "Troli"
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
S T R A T E S
I
i
I
I
n
m
n
m
n
m
n
m
lOO-
200 m
1
090
3
090
4
OP0
200-
300 m
2
090
8
090
10
090
300- 400 m
3
090
5
498
8
390
400-
500 m
2
44,5
5
17,6
1
85,7
8
32,8
500-
600 m
2
13,5
4
44,3
2
248,l
8
87,5
600-
700 m
3
497
5
13,8
2
51,3
10
18,6
700-
800 m
2
030
4
593
-
6
395
8OCk 900 m
3
293
3
2,3
900-l 000 m
:/
3
090
3
090
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - Mai 1983 - chalut "Marisco"
l
ZONE NORD 1
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
n
m
n
m
n
11
0,o
-
-
17
200 - 300 m
7
9
0,o
-
-
16
300 - 400 m
5
9
0,4
-
-
14
400 - 500 m
5
12,4
10
2,0
2
58,5
17
500 - 600 m
4
8,9
5
795
1
9,9
10
600 - 700 m
4
7,2
6
937
1
30,o
11
700 - 800 m
1
591
6
059
1
0,O
8

Tableau l,!c et d.- Rendements horaires de Centrophorus granuî.osus
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de trais; m = moyenne horaire.
VILLA AV,4 2 (SENEGAL 8306) - Juin-Juillet 1983 - chalut "Marisco"
ZONE NORD
ZONE CENTRE r CASAMANCE j TOUTES ZONES I
S T R A T E S
m
n
I
m
n
m
n
m
150 - 200 m
090
7
030
13
090
200 - 300 m
090
5
090
10
090
300 - 400 m
394
8
090
595
14
196
400 - 500 m
26,8
8
897
27,8
14
:16,6
500 - 600 m
Il,2
6
696
390
13
798
600 - 700 m
191
5
090
894
10
193
700 - 800 m
031
5
192
8
038
800 - 900 m
1
090
1
090
I
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) - Février-Mars
1984 - chalut "Marisco"
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
S T R A T E S
n
m
n
m
n
m
n
m
150 - 200 m
7
0,o
11
0,o
-
-
18
O,O
200 - 300 m
7
092
9
0,o
-
-
16
031
300 - 400 m
4
0,5
6
0,o
-
-
10
os2
400 - 500 m
3
193
8
673
1
55,8
12
992
500 - 600 m
6
2,8
4
690
1
3,9
11
491
600 - 700 m
4
1,9
5
499
1
11,8
10
4,4
700 - 800 m
3
090
8
495
1
0,o
12
390

1 70
--
1 oo-
!OO-
300-
400-
500-
600-
700-
800-
200m
300m
400m
500m
600m
700m
800m
900m
0
5 8
5 6
1 6
14
1 7
2 5
6
1
1
1 3
8
9
8
2
4
4
6
2
1
3
2
3
4
3
4
2
4
1
5
1
3
6
3
2
1
7
2
1
1
8
3
2
1
9
1
1
1 0
1 1
1
1
1
1 2
1 3
1 4
15
1 6
1 7
1
1 8
1
22
2 3
1
2 4
2 5
2 6
,
30
3 7
41
77
9 9
--
-
?Ombre t o t a l
326
2 5
loyenne/ trai t
0,29
0,6(
7,09
2,71
0,64
T a b l e a u 13.- N o m b r e s d e t r a i t s d e c h a l u t p a r s t r a t e b a t h y m é t r i q u e e n
f o n c t i o n d u n o m b r e d ’ i n d i v i d u s d e C . yranuZosxs capturés.
Ensemble des 4 campagnes.

1 71
FEMELLES
MALYS ET PErMLLBS
N
%
N
%
200 - 300 m
1
1
100
100 %
300 - 400 m
16
76,2
5
23,8’
21
100 %
100 %
400 - 500 m
135
73,4
4 9
26,6
184
100 %
100 %
500 - 600 m
61
91,0
6
9,0
6 7
100 %
100 %
600 - 700 m
43
93,5
3
fi,5
4 6
100
100 %
700 - 800 m
16
88,9
2
11,l
18
100
100 %
TABLEAC 14 .- Centrophorus granu Zosus - Nombre de mâles et de
femelles des échantillons biologiques (campagnes
V. ANA) par strate bathymétrique et pourcentages
par rapport aux totaux par strate.
STBATES
Nombre de
Nombre de
Pourcentage
mâles
femelles
de
mâles
-----.-~
300 - 400 m
11
0
100,o %
I
-----_-
13
2
86,7 %
1
2 4
4,0 %
:
13
1
400 - 500 m
92,9 %
2 2
2
91,7 %
14
0
100,o %
27
3
90,o %
500 -
--
600 m
2
l
81,8 %
10’
1
90,9 %
I
I
TABLEAU 15 a- Centrophorus granulosus - Nombres de mâles, de
femelles et pourcentages des mâles pour les
traits de chalut comprenant plus de 10 individus.

1 72
-
I
MALES
FEMELLES
T-
MALES ET FEMELLES
I
STRATES
n
I LF cm
Pds(g)
n LF cm Pds(g: n
LF cm
Pds (g>
,
200 - 300 m
1 720
1 720
1
59,5
1 720
300 - 400 m
1 836 5
1 836
5
78,5
4 498
20
65,2
2 502
400 - 500 m
2 693 43
2 693
43
77,l
3 975 177
71,3
3 004
500 - 600 m
3 078 6
3 078
6
77,0
3 797
67
72,4
3 142
600 - 700 m
2 885
2 885
3
89,5
5 477
46
73,l
3 054
700 - 800 m
3 623 2
3 623
2
81,5
4 580
17
77,8
3 736
200 - 800 m
2 811 159 1 78,0 1 4 098 1328
71,7
3 043
--
TABLEAU 16.m Longueur moyenne (LF) et poids total moyen par strate
bathymétrique pour les Centrophorus mâles, femelles ,
et pour les deux sexes réunis.
Les valeurs moyennes de LF, longueur initialement prise
au cm inférieur, ont été corrigées en fonction de ce
facteur.

173
RELATIONS ENTRE :
SEXE
EQUATIONS
n
r
Mâles
Log WT = 3,264 LF - 13,497
274
0,98
Longueur fourche (mm)
Femelles
Log WL = 3,092 LF - 12,342
68
0,99
Poids Total (g)
Tous sexes
Log WT = 3,085 LF - 12,314
347
0,99
Mâles
Log WT = 3,270 LT - 13,941
249
0,99
Longueur totale (mm)
Femelles
Log WT = 3,185 LT - 13,320
68
0,99
Poids Total (g)
Tous sexes
Log WT = 3,096 LT - 12,766
322
0,99
Mâles
Log WF = 3,665 LF - 17,474
272
0,97
Longueur fourche (mm)
Femelles
Log WF = 3,541 LF - 16,778
66
0,99
Poids Foie (g)
Tous sexes
Log VF = 3,595 LF - 17,039
338
0,98
Mâles
Log WF = 3,684 LT - 18,060
247
0,98
Longueur totale(mm)
Femelles
Log WF = 3,666 LT - 18,025
66
0,99
Poids Foie
w
Tous sexes
Log WF = 3,669 LT - 17,977
313
0,98
Mâles
WF = 0,257 WT + 4,569
272
0,99
Poids total (g)
Femelles
WF = 0,249 WT - 39,517
66
0,995
Poids Foie (g)
Tous sexes
WF = 0,248 WT + 16,260
338
0,99
Mâles
LT = 1,163 LF - 22,223
249
0,995
Longueur fourche (mm)
Femelles
LT = 1,100 LF + 16,377
68
0,997
Long-uèur totale (mm)
Tous sexes
LT = 1,130 LF - 0,712
322
0,997
n = nombre de couples
r = coefficient de corrélation WT = poids total
WF = poids foie
LF = longueur fourche
LT = longueur totale
TABLEAU 17 .- Centrophorus granulosus
- Relations biométriques (axe majeur
réduit).

1 74
r M A L E S FEMELLES TOUS SEXES
L F
L T
L T
IJT
W F
L T
WT
W F
cm
cm
cm
(8)
Cg>
cm
(RI
w
30,5
33,2
177
3 3
35,2
210
3 2
34,4
297
3 4
35,5
39,l
290
5 7
40,7
335
55
40,o
331
5 9
40,5
44,9
446
93
46,2
504
8 8
45,7
497
94
45,5
50,7
652
142
51,7
722
133
51,3
711
143
50,5
56,5
916
208
57,2
997
193
57,0
981
208
55,5
62,3
1 247
294
62,7
1 334
270
62,6
1 3 4 3
292
60,5
68,1
1 652
404
68,2
1 742
366
68,3
1 713
399
65,5
74,0
2 141
540
73,9
2 227
485
73,9
2 189
530
70,5
79,8
2 722
708
79,2
2 796
629
79,6
2 746
691
75,5
85,6
3 404
910
84,7
3 456
802
85,2
3 393
884
80,5
91,4
4 196
1 150
90,2
4 214
1 007
90,9
4 135
1 113
85,5
97,2
5 108
1 435
95,7
5 077
1 246
96,5
4 980
1 382
90,5
101,2
6 052
1 524
102,2
5 934
1 6 9 5
-
-
-
LF = longueur fourche
LT = longueur totale
W T = p o i d s t o t a l
WF = poids foie
TABLEAU 18: . -Centrophorus granulosus - Longueur totale, poids total et
p o i d s d u f o i e c a l c u l é s à p a r t i r d e s r e l a t i o n s b i o m é t r i q u e s
p o u r d e s l o n g u e u r s à l a f o u r c h e s é p a r é e s p a r u n i n t e r v a l l e
de 5 cm.

1
75
Tableaux 19a et b.-
--
Rendements moyens horaires de Merhccius polli
par campagne, zone et strate bathymétrique
n = nombre de traits ; m = moyenne horaire
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) - Octobre 82 - Chalut "TROLI"
ZONE CENTRE
CASAMANCE
j-7czGzl
STRATES~
--
n
m
n
m
n
m
n
I I
100
- 200 m
3
37,0
(:s)*
(1498)
200
- 300 m
99014
8
728,7
(396,2)
(291,5)
300
- 400 m
2830,O
5
715,4
(1132,O)
(286,2)
400
- 500 In
211,8
5
293,l
318,9
(84,7)
(117,2)
(127,6
500
- 600 m
281,5
4
318,l
590,7
(112,f-j)
(127,2
(230,3
6 0 0
- 700 m
107,o
5
80,9
314,l
(42,@
(32,4)
(125,6
700 - 800 m
149,5
4
125,5
6
(59,8)
(50,2)
800
- 900 m
3
25,5
(10,2)
900
-1OOOm
3
($)
* Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements corrigés
par l'indice R2.
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - Mai 83 - Chalut "Marisco"
-
I ZONE NORD
L
I ZONE CENTRE T CASAMANCE
TOUTES ZONES
S T R A T E S
n
m
n
m
n
m
n
m
150
-
200 m
6
4U,l
11
337
17
16,5.
200
-
300 m
7
113,8
9
77,3
16
93,3
300
-
400 m
5
118,9
9
142,4
i4
134,0
400
-
500 m
5
13,4
10
77,9
186,O
17
71,o
500 -
600 m
4
799
5
34,u
42,2
10
24,4
600
-
700 m
4
096
6
2,4
18,2
11
3 ,2
~
700 -
800 m
1
o,o
6
1,2
8
1 ,5
531
I

1 76
Tableaux 20a et b- Rendements moyens horaires de Merluccius polli
par campagne, zone et strate bathymétrique
n = nombre de traits ; m = moyenne horaire
-
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) - Juin-Juillet - Chalut "Marisco"
T- ZONE NORD l-
-t
ZONE CENTRE T-
CASAMANCE
l TOUTES ZONES
S T R A T E S
n
m
n
m
n
m
n
m
-
-
150 - 200 m
7,5
692
1, 3
699
200 - 300 m
12,tJ
793
10
936
300 - 400 m
24,3
56,2
71,7
14
49,6
400 - 500 m
67,2
57,6
73,5
14
62,2
500 - 600 m
6,2
16,4
693
13
11,3
600 - 700 m
0,7
196
13,7
10
2,5
700 - 800 m
990
593
8
893
800 - 900 m
494
1
494
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) - Février-Mars 84 - Chalut "Marisco"
ZONE NORD
S T R A T E S
r ZONE CENTRE CASAMANCE l- TOUTES ZONES
m
n
m
n
m
n
m
150 - 200 m
791
11
51,2
18
34,l
200 - 300 m
38,6
9
71,5
16
57,l
300 - 400 m
21,2
6
85,6
10
59,9
400 - 500 m
72,2
8
90,3
42,l
12
81,7
500 - 600 m
24,0
4
993
090
11
16,5
600 - 700 m
7,2
5
831
590
10
794
700 - 800 m
7,4
8
10,5
030
12
896

1 7 7
Tableaux 21 a et b.-
--.-
Sex-ratio de Merluccius polli
selon la profondeur, par campagne :
N = nombre d'individus échantillonnés
% = pourcentages
Indet. = sexe indéterminé.
- - -
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) - Octobre 82 - Chalut "Troli"
- -
I
M A L E S
F E M E L L E S
INDET.
S T R A T E S
N
%
N
74
N
100 -
200 m
51
58,0
37 42,0
5
200 -
300 m
7
37,0
12 63,0
5
300 -
400 m
62
60,O
41
40,o
14
400 -
500 m
132 67,0
64 33,0
2
500 -
600 m
116
68,O
54 32,0
0
600 -
700 m
129
60,O
86
40,o
0
700 -
800 m
117
44,5
149
55,5
0
800 -
900 m
18
Il,0
144 89,0
0
900 - 1 000 m
-
-
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - Mai 83 - Chalut "Marisco"
S T R A T E S
150 -
200 m
200 -
300 m
300 -
400 m
400 -
500 m
500 -
600 m
600 -
700 m
700 -
800 m
4
50,o
4
50,o
0
--.-

1
>a
Tableaux 22 a et b
-
-
.- Sex-ratio de MerZuc&us po22i
selon la profondeur, par campagne :
N = nombre d'individus (échantillons)
% = pourcentage
Indet. = sexe indéterminé.
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) - Juin-Juillet 83 - Chalut "Marisco"
1
T
-r
M A L E S
F E M E L L E S
INDET.
S T R A T E S
N
%
l
N
%
N
150 - 200 m
59
69,4
26
30,O
31
200 - 300 m
6
85,7
1
14,3
0
300 - 400 m
171
70,4
72
29,6
3
400 - 500 m
120
61,9
74
38,1
0
500 - 600 m
65
45,l
79
54,9
0
600 - 700 m
14
25,5
41
74,5
0
700 - 800 m
30
24,0
95
76,0
0
800 - 900 m
--
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) - Février-Mars - Chalut "Marisco"
-l MALES
F E M E L L E S
INDET.
S T R A T E S
N
%
N
%
N
150 - 200 m
6
100,o
0
090
-0
200 - 300 m
34
72,3
13
27,7
3
300 - 400 m
9
90,o
1
10,o
0
400 - 500 m
58
77,3
17
22,7
0
500 - 600 m
8
19,0
34
81,0
0
600 - 700 m
17
26,2
48
73,8
0
700 - 800 m
29
38,2
47
61,8
0

1
7 3
MERLUCCIUS SENEGALENSIS
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82- CHALUT “TROLI”
--~-
STRATES
- -
100- 200 m
200- 300 m
300- 400 m
400- 500 m
500- 600 m
- - -
600- 700 m
700,- WU m
800- 900 m
900-1000 m
*Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements corrigés par
1‘ indices K2.
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 83- CHALUT 1’ ~RISC~ 1’
-
-
Tableaux 23a et b.-
-
-
Rendements moyens horaires (kg/h) de Meriwcius +~lzey~~/tin-
sis en fonction de la profondeur, par campagne
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.

MERLUCCIUS SENEGALENSIS
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83- CHALUT WARLSCO"
-
ZONE NORD
ZONE CENTRE
t
CASAMANCE 1 TOUTES ZONES
STRATES
-
n
m
n
m
n
-
150 - 200 m
6
194
7
090
-
200 - 300 m
t
5
291
5
t--
030
-=-l-A-=-l
300 - 400 m
1
030
14
091
-
-
400 - 500 m
81
197
1
090
14
490
-
500 - 600 m
2
090
13
091
-
-+G-
-
600 - 700 m
51 1
090
10
090
-
-
700 - 800 m
31
030
51
090
8
090
-
-
-
800 - 900 m
4
11
095
1
095
-
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84- CHALUT WARISCO"
700 - 800 m
Tableaux 24a& b.- Rendement moyens horaires (kg/h) de MerZuccius senega-
- Zensis en fonction de la profondeur par campagne.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.
,

1 El
MJXGUCCIUS SENEGALENSIS
-
-

CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82- CHALUT
88~~~~~vq
M%ES
STlW-ETS
$
I
.FEMTSLES
INDET.
I
I
N
%
t-
N
%
N
-.
1
100-200 m
27
49,09
28
50,91
200-300 m
11
57,89
8
42,ll
- -
:300-400 m
16
59,26
11
40,74
400-500 m
13
18,57
57
81,43
m--
500-600 m
4
44,44
5
I 55,56 I
600-700 m
6
75,00
I
2
I 25,00 l
'700-800 m
1
33,33
ffy---1
800-900 m
900-100m
8 -
---
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 83 CHALUT "~1~~0"
STRATES -
150-200 m
- -
200-300 m
300-400 m
403-500 m
- -
500-600 m
- -
600-700 m
- -
700-800 m
Tableaux 15 zl et b
- - - - - - .- Evolution du sex-ratio de Merluccius senegalensis en
fonction de la profondeur, par campagne.-
N = nombre échantillonné
% = pourcentage
Indet. = Sexe indéterminé

'1 82
MXRLUCCIUS SENEGALENSIS
r VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83- CHALUT
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84- CHALUT 'MARISC0"
Tableaux 26 a ct b.- Evolution du sex-ratio de MerLuccius seneyulerzsis
-
en fonction de la profondeur, par campagne.
N = nombre échantillonné
%= pourcentage
Indet.= Sexe indéterminé.

c.RUZ DE ARALAR (SENEGAL 82 10) OCTOBRE 82-cwm J’TROLI”
-
STRATES
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
-
T
-
-
-.-
n
m
n
m
n
m
n
m
-
-
-
-
100-200 m
1
3
372,0
4
281,2
,8:3,*
(223,2)
(168,7)
200-300 m
2
2 688,4
8
1 345,3
10
1 613,9
:l 613,0)
(807,2)
(968,3)
300-400 m
3
1 785,O
5
1 1’14,06
8
1 365,6
:1 071,O)
(669,4)
(819,4)
400-500 m
2
126,8
5
64,0
1
24,3
8
74,7
(76,O
(38,4)
(14,6
(44,8)
500-600 m
2
44,7
4
53,7
2
211,9
8
91,0
Oh,81
(32,2)
(127,l
(54,6)
600-700 m
3
5
37,3
2
44,7
10
29,7
(y)
(22,4)
(26,8
(17,8)
700-800 m
2
4
54,6
6
36,5
(32,8)
(21,9)
800-900 m
3
22,9
3
22,9
(13,7)
(13,7)
900-1000 m
3
3
-
-
-
-
-
*Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements
corrigés par l’indice R2.
.
-
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - MAI
83 - CHALUT “MARISCO”
-
)NE NORD
ZONE CENTRE
:ASAMANCE
T JTES ZONES
STRATES
-
T n m
-
T n m T n m
-
T n- m
150-200 m
6
786,0
Il
1 780,6
17
1 254,0
-l---
200-300 m
7
1 545,6
9
497,3
16
1 152,5
300-400 m
5
230,4
9
255,8
14
243,l
400-500 m
5
399
10
21,8
2
17
798
11,7
500-600 m
4
199
5
090
1
090
10
191
600-700 m
4
2,5
6
090
1
090
11
191
700-800 m
1
090
6
090
1
090
8
030
-
-
-.
-
-
Tableaux 27 a et b.- Rendements moyens horaires de C,~hlorophth~~lmzcs SP-.
_ -_.- ---_-._
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.

VILLA ANA2 (SENEGAL 8306) - JUIN-JUILLET 83- CHALUT “MARISGO”
-
-
-II
t
i NE NORD
zc)N CENTRE 1
CASAMANCE
TOUTES ZONES
S T R A T E S
i
n
m
n
m
n
m
n
m
-
-
-
150-200 m
584,0
1 584,s
13
1 122,7
200-300 m
1 344,2
742,4
10
1 043,3
3i)O-400 m
378,7
671,8
31,07
14
521,3
400-500 m
395
393
433
14
395
500-600 m
096
2,03
096
13
193
600-700 m
097
030
OP0
1 0
0,3
700-800 m
0,07
030
8
0,03
800-900 m
361,l
1
361,l
-
V ILLA A N A 3 (SENEGA L 8 4 0 2 ) - FEVRIER-MARS 8 4 - C H A L U T WARISCO”
.-
-
ONE NORD
Z
‘E CENTRE
ASAMANCE
TOUTES ZONE;
S T R A T E S
m
n
m
n
m
n
m
-
-
150-200 m
793,8
1 1
1 223,0
18
1 056,07
200-300 m
1 289,0
9
1 071,3
16
1 166,6
300-400 m
28,2
6
746,8
10
459,4
400-500 m
13,9
8
46,4
1
099
12
34,5
500-600 m
2,s
4
os2
1
090
1 1
195
600-700 m
0,Oi
5
096
1
030
10
033
700-800 m
030
8
090
1
030
12
070
-
-
‘Tableaux 28 a et b.- RENDEMENTS MOYENS HORAIRES DE C&?oro~hthaZmus spp
PAR CAMPAGNE, ZONE ET STRATE BATHYMETRIQUE.
n = n o m b r e d e t r a i t s
m = moyenne horaire.

Scorpnmidae (Rascasses)
CKUZ 1)~ AMLAR (SENEGAL 8210) - OCTOBRE 82 - CHALUT "TROLI?~
-
-
----
NORD
STRAT I1S
%()Ii
ZO?
CENTRE
CAC;AIYANCE
TOUTES %OKI:S
i
Il
m
Il
m
n
m
n
m
-
-
-
1
27,4
3
34,4
4
32,7
(16,4)
(20,6:
(19,6j
t
200 -
300 m
2
111,2
8
10,6
10
30,7
(66,7)
(6,4)
(18,4)
300 -
4.00 m
3
71,4
246,l
8
180,6
(42,4
(147,7>
(108,4)
400 -
500 m
2
21,8
243,8
1
10,3
8
159,l
(13,l)
(146,31
(6,2)
(95,5)
500 -
600 m
2
37,6
2
20,4
8
24,4
ci::,
(22,6:
(12,2)
(14,6)
600 -
700 m
3
2
10
(3 ::,
700 -
800 m
2
6
800 -
900 m
3
900 - 1 000 m
3
-
Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements
corri.gés.
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - MAI 83 - CHALUT "MARISCOI'
-
Ï-
ZONE KORD
ZON E CENTRE
CAL YANCE
TOU'I s ZONES
STRATES
n
m
n
m
n
m
n
m
-.
150 - 200 m
b
65,8
11
b5,l
17
65,3
200 - 300 m
7
62,2
9
76,4
1 6
70,3
300 - 400 m
5
79,l
9
110,4
- 14
99,4
400 - 500 m
5
195,8
10
53,6
12,3 17
90,6
500 - 600 m
4
4b,O
5
42,G
1,8 10
40,o
600 - 700 m
4
'13,4
6
10,9
0
11
10,8
700 - 800 m
1
754
6
830
0 8
4,9
-
-
~.~
Tableau 29 . - Rendements moyens horaires (kg/hj
des Scoq;wenid~ze (rascasses) par campagne,
zone et strate bathymétrique
n = nombre dt> traits
Ill =
moyennca Ilornire

VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) - JUIN - JUILLET 83 - CHALUT %AKISCO"
STRATES
T
--
ZOI\\
NORD
ZONE CENTRE
CASAMANGE
TOUT S ZONES
n
m
m
n
m
150 - 200 m
6
113,9
106,3
13
109,8
200 - 300 m
5
130,4
95,3
10
112,8
300 - 400 m
5
69,0
93,4
14
79,3
400 - 500 m
5
111,8
.36,1
14
62,2
500 - 600 m
5
31,7
11,9
13
17,7
600 - 700 m
4
495
092
10
199
700 - 800 m
3
8
2,2
2,5
291
800 - 900 m
33,9
1
33,9
C VILLA .ANA 3 (SENEGAL 8402) - FEVRIER - MARS 84 - CHALUT WIRISCO~~
-
NORD
ZON: CENTRE T
l-
zoi
CASAMANCE
TOUT S ZONES
STRATES
n
m
n
m
m
n
m
150 - 200 m
7
136,8
11
79,9
18
102,l
200 - 300 m
7
70,8
9
54,3
16
61,5
300 - 400 m
4
93,4
6
112,5
10
104,9
400 - 500 m
3
72,4
8
97,3
0
12
82,9
500 - 600 m
6
13,9
4
11,8
0
11
11,9
600 - 700 m
4
632
5
3,2
0
10
431
700 - 800 m
3
435
8
092
12
0.
193
Tableau 30.- Rendements moyens horaires (kg/h)
des Scorpaenidae (rascasses) par campagne,
zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire,

muz DE ARALAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82 - CHALUT "TROLI"
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
.., -.s.Ayl
__
1 8 7
n
m
n
m
n
m
n
m
l
I
I
I
I
1
,o::,*
3
0,O
CO,01
(i$,
300 m
2
21,8
8
932
11,7
(28,6)
02; 1)
(l5,3)
400 m
3
4,2
5
832
697
!
(5,5) 1
1 (lO,7) 1
1
(f3,8)
_
I
I
I
I
400 - 500 m
2
5
1
0,04
8
(0,051
- -
500 - 600 m
2
(i$
4
(i$
2
0,03
8
(0,04)
(k$,
-
600 - 700 m
3
(O$,
5
(o:o,
2
10
(a::,
. -
700 - 800 m
2
(0::)
4
(i::)
6
(Fi$)
.~--
800 - 900 m
-
-
3
(i::)
3
g,
900 - 1000 m
-
-
3
3
.-
* Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements corrigés par
l’indice R2 e
VILLA ANA (SENEGAL 8304) ~4~41 83 - cwdnr WARISC~"
STRATES
150 - 200 m
200 - 300 m
300 - 400 m
400 - 500 m
SGO - 600 m
hG0 - 700 m
700 - 800 m
l'ableaux 31a et h- Rendements moyens horaires (kg/h) de Parqenaeus Zongi-
ros%r/Is par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
rn = moyenne horaire.

C
VILLA ANA 2 ( SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83 - CHALUT "MARISCO"
l
t-
1
E
STRATES 7"- NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
c
m
n
m
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FWRIKR-MARS 84 - CHALUT ~~*RI~CO~~
STRATES
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
n
m
n
m
n
rn. n
m
150 - 200m
7
8,5 '
11
5,7
-
18
6,8
200 - 300 m
7
37,1
5
32,5
-
16
34,s
300 - 400 m
4
095
6 1
4,4
-
-
.10
2,5
400 - 500 m
3
090
8
0,06
1
0,o
12
0,04
500 - 600 m
6
030
4
0;;
1
0,o
11
090
600 - 700 m
4
o,o
5
090
1
0,o
10
030
700 - 800 m
3
090
8
0;0
1
0,o
12
,7-----i
0,o
8
,
Tableaux 32a ab.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Parapenaeus ihgi-
rostris par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.

‘1 13 Y
PARAPENAEIJS LONGIROSTRIS
I
muz 1)~ ARALAR (SENEGAL 82 10).OCTOBRE 82 - CHALUT "TR~LI"
STRATES
100 - 200 m
t-
200 - 300 m
300 - 400 m
- -
400 - 500 m
500 - 600 m
600 - 700 m
700 - 800 m
800 - 900 m
I 900 -1000 m
1’
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 83 - mALuT WARISG0"
FEMELLES
STRATES
150 - 200 m
200 - 300 m
300 - 400 m
400 - 500 m
500 - 600 m
---
600 - 700 m
700 - 800 m
Tableaux 33a etb- Evolution du sex-ratio de Farapenaeus %ovgiro:;f;zv:a en
fonction de la profondeur, par campagne.
N = nombre échantillonné
7 = pourcentage.

1 9 0
PARAPENAEUS LONGIROSTRIS
-
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 - CHALUT "MARISCO'"
Tableaux34a et b .- Evolution du sex-ratio de Parapenaeus longirostris en
-
fonction de la profondeur, par campagne.
N = nombre échantillonné
%= pourcentage.

1 9 1
Alistado (Aristeus varidens)
--t cxuz DII ARfL4R (SENEGAL 8210) - OCTOBRE 82 - CHALUT "TRoLI*~
-
l-
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAI&NCE
TOUT
STRATES
11
m
n
m
n
100 -
200 m
090
4
200 -
300 m
OFO
10
300 -
400 m
030
8
400 -
500 m
8
(0:;)
500 -
600 m
15,8
8
tl:o3,
(20,4)
600 -
700 m
($$)
700 -
800 m
3,8
6
(4,9)
800 -
900 m
900 - 1 Oct0 m
* Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements
Corrigé:s par l'indice R2.
VILLA MA i (SENEGAL 8304) - mI 83 - CHALUT WARISCO~~
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CAS. LANCE
TOUT' ; ZONES
STRATES;
n
m
m
Il
m l- n
m
-
150 - 200 m
6
090
11
0,O
14
090
200 - 300 m
7
090
9
090
16
@,O
300 - 400 m
5
090
9
14
030
OP0
400 - 500 m
5
091
10
2
031
832
17
I>l
500 - 600 m
4
5
1
1 ,o
191
036
10
1,o
600 - 700 m
4
6
099
0,2
1
16,7
11
%,O
700 - 800 m
1
6
098
0,2
1
092
8
093
'Tableau 35.- Rendements moyens hoiaires (kg/h) de Aristeus va~~&us
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.

VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) - JUIN - .JUILLET 83 - CHALUT W.A~1sC03
NORD
ZOF
CENTRE
CASAMANCE
TOUT S ZONES
STRATES
M
N
M
N
M
N
M
I
- -
.-
-
150 - 200 m
7
070
090
13
090
200 - 300 m
5
090
030
10
090
300 - 400 m
8
090
090
14
093
400 - 500 m
096
8
996
14
694
500 - 600 m
535
6
Il,4
13
12,2
700 - 800 m
296
5
639
10
533
700 - 800 m
095
5
496
8
391
.-
800 - 900 m
1
090
1
090
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) ,- FEVRIER - MARS 84 - CHALUT "MARISCO"
-
Ï
STRATES
zo1
NORD
ZOE
CENTRE
CAS MANCE
TOUT S ZONES
N
M
N
M
N
M
N
M
150 - 200 m
7
090
11
090
18
090
200 - 300 m
7
090
9
090
16
090
300 - 400 m
' 4
090
6
090
- .
10
090
400 - 500 m
3
090
8
0,03
1
2,7
12
032
500 - 600 m
6
0,05
4
090
1
296
11
093
600 - 700 m
4
030
5
092
1
10,4
10
131
700 - 800 m
3
030
8
091
1
034
12
091
Tableau 36.- Rendements moyens horaires (kg/h) de Aristeus varidens
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire.

1 Y 3
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) - Octobre 82 - Chalut f'TROLIfl
M A L E S
F E M E L L E S
S T R A T E S
N
100 -
200
m
200 -
300
m
300 -
400
m
400 -
500
m
66
22,3
230
77,7
500 -
600
m
163
26,0
463
74,0
600 -
700
m
578
37,0
985
63,0
700 -
800
rn
389
25,4
1 143
74,6
800 -
900
m
22
14,0
135
S6,O
900 - 1 000
m
6
50.0
6
50.0
400 - 1 000
m
1 224
29,2
2 962 1
70,8
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) - Mai 83 - Chalut "Marisco"
-
M A L E S
F E M E L L E S
S T R A T E S
N
x
N
%
150 -
200 m
200 -
300 m
300 -
400 m
.-
400 -
500 m
226
50,07
225
49,93
500 -
600 m
229
45,65
272
54,35
600 -
700 m
345
65,45
182
34,55
700 -
800 m
41
46,27
47
53,73
400 -
800 m
841
53,7
726
46,3
TAELEAUX 37a et
-
b.- Evolution du sex-ratio selon la profon-
deur chez Aristeus varidens, par campa-
gne.

1 9 4
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) - Juin-Juillet 83 - Chalut "Marisco" 1
T-
M A L E S
F E M E L L E S
1
S T R A T E S
N
%
N
9,
150 -
200
m
200 -
300
m
300 -
400
m
400 -
500
m
396
39,0
619
61,0
500 -
600
m
930
42,5
1 258
57,5
600 -
700
m
389
27,8
1 010
72,2
700 -
800
m
106
16,5
534
83,5
800 -
900
m
400 -
800 m
1 821
34,7
3 421
65,3
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8502) - Février-Mars 84 - Chalut "Marisco"
M A L E S
I F E M E L L E S l
S T R A T E S
I
%
N
%
lSO -II 34,l 60 65,9
TABLEAUX 38a etb.- Evolution du sex-ratio selon la profondeur
chez Aristeus vaxidens, par campagne.

*Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements corrigés
par l'indice R2.
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 83 - cKALuT WARISC0"
l
.-
STRATES
ZONE NORD
I
ZONE CENTRE
CASPBANCE 1 TOUTES ZONES
*
1.a
__
n
m
n
m
n
m
n
m
I
I
I
I
I
150-200 m
6
0
11
0
-
-
17
0
ZOO-300 m
7
0
9
0
-
-
16
0
300-400 m
5
0
9
0
-
-
14
0
400-500 m
5
0,2
10
0
2
0,l
17
091
500-600 m
4
0,l
5
0,l
1
0,3
10
091
600-700 m
---
4
0,l
6
0,2
1
0,4
11
092
700-800 m
Tableaux 40a eth- Rendements moyens horaires de Plesiopenaeus edwar-
sianus par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

,
196
T-
VILLA ANA 2(SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET - CHALUT "MARISCO"
-
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 - CHALUT "MARISCO"
-
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
STRATES
L-
1 n
-
150-200 m
7
-
200-300 m
7
-
300-400 m
4
400-500 m
3
500-600 m
6
600-700 m
4
700-800 m
3
Tableaux 41a et h- Rendements moyens horairès de PZesioperrueus edwar-
sianus par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
w = moyenne horaire

1 9 7
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82 - CHALUT "TROLI"
-
STRATES
ZONE NORD
ZONE'CENTRE
( ASAMANCE
TOUTES ZONES
I
I
I
n
m
n
m
-
n
m
n
m
100-200 m
1
0
3
0
-
4
0
200-300 m
0
10
0
8
,4:0,
500-600 m
2
54,6
4
59,0
2
156,3
8
82,2
-
(6796)
WW
(193,8)
(101,9)
600-700 m
3
25,4
5
28,6
2
22,3
10
26,4
-
(31,5)
(35,5)
(27,7)
(32,7)
700-800 m
2
21,7
4
17,9
-
6
19,2
-
(26,9)
(22,2)
CWV
.
800-900 m
-
-
I
I
I 3 I 0
3
0
900-1000m
-
-
I 3 I 0
I -
I 3 l 0
I
I
*Les chiffres entre parenthèses correspondent aux rendements corrigés par
l'indice R2.
VHLLA ANA i (SENEGAL 8304) MAI - 83 - caLuT 9f~RIsco”
r-700-800 m 1 30,3 6 38,8 1 0 8 3259
-
TableauA 42a et b- Rendements moyens horaires de Nematocarcinus
aftieanus par campagne, zone et strate bathymé-
trique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

1 9 0
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET - CHALUT WARISCO”
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 - CHALUT “MARIS~~”
I
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
STRATES
n
m
n
m
n
m
n
m
150-200 m
7
0
11
0
18
0
200-300 m
7
0
9
0
16
0
c - 500-600 600-700 400-500 700-800 300-400 m m m m
,
m
4 6 4 3 3
101,7
76,l
76,5
0,5
12,5
5 6 8 4 8
103,9
29,8
0,3
86,6
19,l
- 1 1 1 1
29,6
88,7
-
5,2
18,6
10 12 11 10 12
23,3
93,8
40,4
76,9 094
Tableaux 43a et b.- Rendements moyens horaires de Nematocarcinus
africanus par campagne, zone et strate bathymé-
trique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

1 YY
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 82 10) OCTOBRE 82-CHALUT "TROLI"
1
ZONE NORD
ZONE CENTRE
,
- 1SAMANCE
STRATES
I
n I
m
n
-
m
100-200 m
200-300 m
10
15,7
wb5)
c4(f ::)4(::9,
300-400 m
8
(lO$)
400-500 m
5
8
16,8
(20,8)
500-600 m
10,7
(13,3)
8
(8::)
-
600-700 m
5
10
(0;;)
700-800 m
6
(0:;)
800-900 m
3
0,002
3
0,002
(0,002:
-
3
0
l
44(0,002)
900-1000 m
3
0
Tableaux 44a et b .- Rendements moyens (kg/heure) de Plesionika spp
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

2 0 u
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83 - CHALUT WARISCO~~
STRATES
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
n
m
n
m
n
m
n
m
150-200 m
6
3,3
7
64,4
-
-
13
36,2
--
--
200-300 m
5
27,7
5
50,l
-
-
10
38,9
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 - CHALUT "MARIS~~*'
700-800 m
Tableaux 45a et b .-
- -
Rendements moyens (kg/heure) de PZesionika spp par
campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

-
200-300 m
7
291
9
0,3
-
.
-
16
191
300-400 m
5
3,2
9
2>9
-
14
3 ,o
400-500 m
5
47,8
10
594
2
9,8
17
18,6
4
34,7
5
28,6
1
7,l
10
30,o
4
28,5
6
23,0
1
17,7
il
24,5
1
47,2
6
17,5
1
5,2
8
19,3
Tableau 46a etb.-
Rendements moyens (kg/heure) de Geryon maritae
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

202
I
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83 -CHALUT %IRIS~~"
1
ZONE NORD
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOUTES ZONES
STRATES
n I
m
n I
m
n
m
n
m
150-200 m
t
6 I
0
7 I
0 I - 1
13 I
0
I 200-300 m
5 I
16,7
5 1
0 I - I
10 I
894
300-400 m
5 I
6,9
8 I
391
I 1 I
0
1~
14
4,3
4GO-500 m
- 51 25,9
8 1
598
l 1 I
993
14 1
13,2
500-600 m
I-5 19,3 6 l 39,2 I 2 l
799
13 1
26,7
600-700 m
700-800 m
81 22,7
800-900 m
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 CHALUT ~~ARISCO~'
Tableaux 47a et b- Rendements moyens (kg/heure) de Geryon maritae
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

2 0 3
400-500 m
306
34,2
590
65,8
500-600 m
854
48,9
893
51,l
600-700 m
169
55,7
134
44,3
700-800 m
58
49,6
59
5034
,
150-800 m
1 389
43,2
1 825
56,8
l
I
VIL&A ANA 3 (SENEGAL 83ûb) JUIN-J.UILLET 83 - CHALUT "MARISGO"
Tableaux 48aetb.- Evolution du sex ratio de Geryon maritae par
campagne et strate bathymétrique.

204
I
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MAS 84 - CHALUT WARIXO”
1
Tableau 49.-
Evolution du sex ratio de Gkryon maritae par campa-
gne et strate bathymétrique.

2 il5
.-
CRUZ DE ARALAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82 - CHALUT "TRoLI"
ZONE CENTRE
TOUTES ZONE
900-1000 m
- I
-
131
0
l-1
-131
0
.
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 83 - CHALUT "MARSIC~"
S m,...-,-.
I
ZONE NORD
I
LKHICb
300-400 m
5
0,2
9
j4,o
-
-
14
21,9
400-500 m
5
5,7
10
0,2
2
0,5
l-7
199
500-600 m
4
0
5
0,l
1
0
10
091
600-700 m
4
0
6
0,l
1
0
11
031
II
700-800 m
1
0
6
0,02
1
0
8
0,Ol r
Tableaux 51a et b .-
Rendements moyens (kg/heure) de Mu?zid.ae spp par campa-
gnes, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

20 6
VILLA ANA 2 (SENEGAL 8306) JUIN-JUILLET 83 - ~AIJJT %ARSICIO"
P
VII.LA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 84 - CHALUT WARISCO~'
I
r STRATES ZONE NORD ZONE CENTRE CASAMANCE TOUTES ZONES
n
m
n
m
n
m
n
m
i 150-200 m
7
191,6
11
106,2
-
-
18
139,4
.
l- 200-300 m
7
59,8
9
157,2
-
-
16
114,6
Tableaux 52 a et b .- Rendements moyens (kg/heure) de Munidae spp par cam-
pagne9 zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

2 0 7
CRUZ DE AMLAR (SENEGAL 8210) OCTOBRE 82 - CHALUT "TROLI"
1
I
1
'IE NORD
STRATES
zoi
ZOY CENTRE
C,ASAMANCE
TOUTJB ZONES
t
-t
I
I
I I
I
I
400-500 m
2
0
5
0,l
1
0
8
0,06
500-600 m
2
0
4
0
2
0
8
0
600-700 m
3
0
5
0
2
0
10
0
700-800 m
2
0
4
0
-
6
0
800-900 m
-
-
3
0
-
3
0
-
-
900-1000 m
-
-
3
0
-
3,
0
--
l
VILLA ANA 1 (SENEGAL 8304) MAI 84 -CHALUT WARISCO~~
I
Tableaux 53 a et b.- Rendements moyens (kg/heure) de PaZinurus mauritanieus
par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

20 8
VILLA ANA 2 (SENEGG 8306) JUIN-JUILLET 83 - CHALUT %ARSICO"
1
300-400 m
5
099
8
0,05
1
0
14
094
400-500 m
5
0
8
0
1
0
14
0
500-600 m
5
0
6
0
2
0
13
0
600-700 m
4
0
5
0
1
0
10
0
700-800 m
3
0
5
0
-
-
8
0
800-900 m
-
-
1
0
-
-
1
0
VILLA ANA 3 (SENEGAL 8402) FEVRIER-MARS 34 - CHALUT %ARISC~"
1
STRATES
ZONE NORD
I
ZONE CENTRE
CASAMANCE
TOI CES ZONES
/
I
I
Il
m
n
m
n
m
150-200 m
7
1,8 11
395
18
299
200-300 m
7
131
9
195
16
193
300-400 m
4
131
6
193
10
192
400-500 m
I
3 I
0
I 8 I
0
1
0
12
500-600 m
11
I
6 I
0
I 4 I
0
1
0
4
600-700 m
1
0
10
l
4 I
0
l 5 I
0
700-800 m
1
12
1
3 l
0
I 8 I
0
0
Tableaux 54a et b .-
Rendements moyens (kg/heure) de Palinwus mauri-
tanicus par campagne, zone et strate bathymétrique.
n = nombre de traits
m = moyenne horaire

~
STRATES
150-500 m
500-800 m
TOTAL
~
ZONE NORD
1 250
790
2 040
ZONE CENTRE
1 145
1 050
2 195
ZONE SUD
353
225
578
TC,TAL
2 748
2 065
4 813
Tableau 55.- Superficie (km2) des différentes strates utilisées pour
le calcul des biomasses.
t
STRATES 150-500 m
STRATE 500-800 m
SOUS-STRATES
150-
2w-
300-
200m
300m
400m
- -
ZONE NORD
275
365
292
ZONE CENTRE
198
286
295
ZONE SUD
88
95
85

/
5
TOTAL
6
1
746
672
7 769 j 731 0
/ 626
/
8
3
Tableau 56 .- Superficies (km&) des différentes bandes bathymétriques.

3 ‘1 cl
ANA 2
Xi
434
092
098
090
‘<‘i>
156
OP2
094
030
ANA 3
z 1
61,6
139
55,l
030
‘(xi>
14,2
097
14,9
030
ARALAR
5 i
1 362,7
169,O
523,0
167,6
‘(‘i>
(467,3)
(41,4)
(111,l)
41,8
ANA 1
X. 1
Id8 ,2
5 38
136 ,O
14 ,8
s C;i>
24 ,6
2 ,4
17 30
4 $5
ANA 2
x. 1
39,8
892
55,l
13,5
s (Xi>
10,8
3,2
14,l
491
htdh 2
x1
43,8
22,5
106,4
13,5
’ (1)
995
593
20,9
2,3
Tableau
57.- Abondances apparentes par strates (estimations pour le
chalut “Troli” en kg/h) et erreur standard de la moyen-
ne pendant les 4 campagnes
pour les deux espèces de
merlus.

ZONE NORD
ZONE CENTRE
150-500 m
500-800 m
X.
FJzJ
A R A L A R
1
125,6
13,o
s Cxi)
(66,9)
(Il,21
ANA 1
X.1
83,7
27,4
75,.3
1699
S(T-i)
23,5
i5,5
18,8
790
-
x.
104,5
15,0
ANA 2
1
79,0
5,l
’ (‘i>
23,6
998
22,0
334
x.
ANA 3
1
95,4
992
81,3
337
‘(X;>
16,5
2,4
22,3
1,g
1 374,3
15,8
ARALAR
x*
846,l
47,7
1
s C;i>
(680,5)
(7,6)
(236,2)
(11,9)
655,2
ANA 1
X’1
236
722,7
090
248,9
134
1>6,4
090
2.
566,3
ANA 2
1
707,2
098
s Cxi)
154,o
180,9
035
-
687,6
ANA 3
X,1
192
805,6
092
‘(‘i>
283,4
038
156,4
011
xi
A R A L A R
13,0
21,6
490
s (X;l
(3,4)
(6,7)
(1,5)
-
24,5
ANA 1
X*1
991
36,9
335
‘(‘i)
8,3
I
3,6
5, I
098
X.1
63,8
330
82,8
290
ANA 2
‘(hi>
13,9
190
21,5
099
x.
25,6
ANA 3
1
132
94,6
299
‘<‘i>
691
098
22,9
135
T a b l e a u 58 .- A b o n d a n c e s a p p a r e n t e s p a r s t r a t e s ( e s t i m a t i o n s p o u r l e
c h a l u t “Troli” e n kg/h) e t e r r e u r s t a n d a r d d e l a m o y e n -
n e p e n d a n t l e s 4 c a m p a g n e s p o u r 3 g r o u p e s d ’ e s p è c e s .

21 2
1
ZONE NORD
ZONE CENTRE
1 150-500 m ) 500-800 m
150-500 m
500-800 m
I
I
Xi
ARALAR
13,3
030
13,o
090
(7,7)
090
(3,2)
090
ANA 1
Xi
36,6
090
19,3
o,o
‘(xi>
996
090
493
090
ANA 2
x. 1
44,l
090
30,3
0,02
l l , o
090
995
0,02
ANA 3
Xi
15,3
090
11,3
090
‘(‘i)
5,2
090
336
030
ARALAR
‘i
033
494
034
436
’ (xi>
(0,3)
(1,3)
(0,2)
(131)
ANA 1
Y. 1
0,03
190
090
090
‘(X;l
0,Ol
092
090
090
xi
ANA 2
0,13
393
2,s
799
‘(‘il)
0,09
097
192
191
ANA 3
x.1
030
0,02
0,Ol
0,ll
s (‘i>
030
0,02
0,Ol
0,07
ii.1
091
10,6
0,04
28,7
ARALAR
’ (1)
CO,11
(3,1>
(0,041
(12,4)
I
I
ANA 1
x i
11 ,8
33,7
22,2
.,20,6
‘<‘il
698
431
0, ‘7
391
ANA 2
x. 1
11,8
26,8
2,5
44,3
‘<xi>
399
595
098
736
--X.
I
ANA 3
1
098
15,4
099
19,7
‘(‘i>
097
530
0,5
432
Tableau 59.- Abondances apparentes par strates (estimations pour le
chalut "Marisco" sauf pour les Geryons de la campagne
ARALAR) et erreur standard de la moyenne pour 3 espèces
de crustacés (commercialisés).

21 3
ZONE NORD
ZONE CENTRE
150-500 m
500-800 m
150-500 m
500-800 m
ARALJAR
X;
35,9
1,7
17,6
790
S C;i)
(15,O)
(0,9)
(8,9)
(5,O)
T;ableau ho l m
-
Abondances apparentes par strates (estimations pour le
chalut
"Marisco" en kg/h) et erreur standard de la
moyenne pendant les 4 campagnes pour 3 espèces de crus-
tacés (non commercialisés).

ZONE
NORD + CENTRE
(150 - 800 m)
1
ESPECES
CAMPAGNES
ABONDANCES
ERREURS-
BIOMASSE: COEFFICIENT!
(kgh)
STANDARD
(tonnes: DE VARIATIOI
ARALAR
SO,2
W,7)
2 360
(49,2 % )
MerZuecî:us
ANA 1
54,4
16,4
2 560
30,l %
senegaZensis
ANA 2
196
095
75
31,3 %
ANA 3
33,4
598
1 570
17,4 %
ARALAR
616,7
(141,8)
29 020
(23,O % )
Merluccius
ANA 1
66,6
12,0
3 130
18,l %
po 1, li
ANA 2
31,5
591
1 480
16,2 %
ANA 3
49,2
694
2 320
13,0 %
ARALAR
56,0
(19,9)
2 640
(35,5 SO)
47,6
ScorpaeuLidae
ANA 1
799
2 240
16,5 %
ANA 2
56,3
9,4
2 650
16,7 %
ANA 3
52,8
798
2 480
14,7 %
ARALAR
649,2
(210,8)
30 550
(32,5 %)
Chk~rophthal- ANA 1
387,4
77,l
18 230
19,9 %
vus spp.
ANA 2
358,6
66,8
16 870
18,6 %
ANA 3
421,0
93,7
19 810
22,3 %
ARALAR
24,0
(4,8)
1 130
(19,8 %)
ANA 1
20,6
397
970
18,2 %
Ceph.a Zopodes
ANA 2
42,3
791
1 990
16,8 %
ANA 3
34,1
695
1 605
18,9 %
-
Tableau 61.-
-
Abondances (kg/h) et biomasses apparentes, avec leurs
coefficients de variation, estimées par campagne pour
l'ensemble des zones
Nord + Centre et pour 5 espèces
ou groupes d'espèces : poissons et céphalopodes.

ZONE NORD + CENTRE (150-800 m)
1
--
ESPECES
CAMPAGNES
ABONDANCES
ERREURS-
BIOMASSES
COEFFICIENT
(kg/h)
STANDARD
(tonnes)
DE VARIAT10
ARALAR
794
(2,4)
240
(32,9 W)
Parapenaeus
ANA 1
14,4
296
470
17,8 %
Zonginostris
ANA 2
21,2
491
700
19,5 %
ANA 3
736
198
250
23,9 %
ARALAR
292
(0,4)
72
(17,2 X)
Aristeus
ANA 1
092
0,03
7
18,7 %
varidens
ANA 2
334
034
110
13,l %
ANA 3
0,03
0,02
1
59,9 %
ARALAR
991
(3,1)
430
(34,4 SO)
Geqyon
ANA 1
13,3
137
440
13,l %
mari tae
ANA 2
20,l
234
660
12,2 %
ANA 3
892
194
270
17,3 %
ARALAR
17,4
(5,2)
570
(29,8 SO)
Plesionika
ANA 1
13,l
591
430
39,0 %
spp .
ANA 2
14,7
338
480
25,8 %
ANA 3
934
334
310
36,4 %
ARALAR
12,6
(4,4)
410
(34,9 p/o>
ANA 1
30,7
636
1 010
21,4 %
Munidue
ANA 2
57,4
11,4
1 880
19,8 %
ANA 3
46,8
15,l’
1 540
32,2 %
ARALAR
37,7
oL6)
1 240
(17,5 sr;)
Nema tocaxa i-
ANA 1
37,7
690
1 240
16,0 X
nus a frica-
ANA 2
36,8
794
1 210
20,O %
KIUS
ANA 3
34,l
537
1 120
16,7 %
Tableau 62 .- Abondances (kg/h) et biomasses apparentes, avec leurs
-
cœfficients de variation, estimées par campagne pour
l’ensemble des zones Nord + Centre et pour 6 espèces ou
groupes d’espèces : crevettes et crabe.

E S P E C E S
Mel?luccius senegaZensis
Merluccius poZZi
Ch i!orop h tha Emus spp -
Aristeus varidms
Pksionika spp.
Tableau 63 .- Estimations des biomasses apparentes (tonnes) des prin-
cipales espèces pour lIensemble du Sénégal.

21 9
-**LP*.**********P**EISI-P-13IPPlrlll
***********t*L****L*******************************~
FAMILIA/ESPECIE
NOMBRE VULGAR
************************************************************************************~**
CEFALOPODOS
SEPIIDAE
Sepia officinalis hierredda Rang,1837
jibia/seiche
Sepia orbignyana Ferussac,1826
chopito/seiche
Seoia eleaans Blainville.1827
Il
/
II
A-
SEPIOLIDAE
Rossia macrosoma (Delle Chiaje,1829)
OMtiASTREPHIDAE
Illex coindetii (Verany.1837)
volador/calmar
Todarodes sagittatus sagittatus (Lamarck,l799)
pota/calmar
Todarodes 2.
Todaropsis
eblanae (Ball, 1841)
11 / ”
OCTOPODIDAE
Octopus sp.
Octoous Klaaris Cuvier. 1797
pulpo/poulpe
Octopus macropus Risse, -1826
II / II
Eledone s p .
-
-
CRUSTACEOS
OPLOPHORIDAE
Acanthephira kingsleyi Bate, 1888
NEMATOCARCINIDAE
Nematocarcinus africanus Crosnier E Forest, 1973
camaron/crevette
PALAEMONIDAE
Brachycarpus
biunguiculatus (Lucas, 1849)
/crevette
PASIPHAEIDAE
Glyphus carsupialis Filhol, 1884
camaron cangurolcrevette
Psathyrocaris fraoilis Road Mason, 1893
i’asiohaea semisoinosa Holthuis, 1951
PAfiOALIDAE
Heterocarpus ensifer A. Milne Edwards, 1881
Hetorocarpus grimaldii A. Milne Edwards E Bouvier, 1900
Heterocarpus laeviaatus Bate, 1881
-
-
Plesionika 2.
Plesionika heterocarpus (Costa,l871)
If
Oesionika edwarsii (Brandt, 1851)
Plesionika acanthonotus (Smith, 1882)
Plesionika ensis (A. Kilne Edtiards, 1881)
Plesionika Uilliamsi Forest, 1964
Plesionika martfa (A. Rilne Eedwards, 1883)
-~ -
Plesionika carinata t!olthuis, 1951
Pzreoandalus brevioes îrosnier C Forest, 1968
-
-
-

A N N E X E S

FAMILIA/ESPECIE
NOMBRE VULGAR
IIIIIIIII1IP~IIII-)IILCIIIIILrlPrEE-IErl~=~~~==~==~~*=~~~=~~~~=~~~=~~~=~=~==~~~~=~~=~~
.
CRANGONIDAE
Pontophilus 9.
PENAEIDAE
Hymenopenaeus chacei Crosnier & Forest, 1969
Solenocera africana
Stebbing, 1917
gamba de fango/crevette
Aristaeomorpha foliacea (Risso, 1827)
. Aristeus varidens Holthuis, 1952
alistado/crevette
Plesiopenaeus eduardsianus (Johnson, 1857)
carabinero/crevette
Parapenaeus longirostris (Lucas, 1849)
gamba/crevette rose
SERGESTIDAE
Sergertes diapontus Bate, 1881
PALINURIDAE
Palinurus mauritanicus Gruvel, 1911
langosta mora/langouste
ERIONIDAE
GALATEIDAE
Munida sp.
- -
MAJIDAE
Ma& squinado (Herbt, 1788)
CALAPPIDAE
Calaopa
SC
cangrejo real/crabe
Calappa rubroguttata Herklots, 1851
II
Calappa granulata (linnaeus, 1758)
II
PORTIJNIDAE
Bathynectes superbus (Costa, 1853)
/crabe
GERYONIDAE
Geryon maritae Manning & Holthuis, 1981
-
-
gerion d e Guinea/crabe
rouge profond
HOMOLIDAE
Paromola cuvieri (Risse, 1816)
centolla de fondo/
PECES
HEXANCHIDAE
Heptranchias oerlo (Bonnaterre, 1788)
SCYLIORHINIDAE
Scyliorhinus stellaris (Linnaeus, 1758)
-.-
alitan/requin roussette
Galeus poili Cadenat, 1959
Galeus melastomus Rafinisque, 1810
pintarrcja/
======================_====__r===__;======~=============================::=====================

CARCHARHINIDAE
Mustelus nustelos (Linnaeos, 1758)
fausola/
Paragaleus pectoralis (Garman, 1906)
SPHYRNIDAE
Sphyrna sp.
-
-
-
pez rartillo/requin marteau
‘OXYWOTIDAE
Oxynotus centrina
cerdo aarino/
SQUALIDAE
Squalus Blainvillei (Risso, 1826)
galludo/
Centrophorus *
Centrophorus granulosus(Schneider,
1801)
quelvacho/requin chagrin
Centroscymnus coelolepis Bocage & Capello, 1864
pailona/
Centroscymnus crepidater (Bocage & Capello, 1864)
zapata negra/
Centroscyllium fabricii (Reinhardt, 1825)
Deania cremouxi Cadenat, 1960
Etnopterus sp.

Etaopterus zillus (Loue, 1939)
Etropterus spinax (Linnaeus, 1758)
Etaopterus polli (Bigelow, Schroeder & Springer, 1953)
Lepidirhinus squamosus (Bonnaterre, 1788)

quelvacho negro/
Scyanodon ringens Bocage & Capello, 1864
bruja
Scymnodon obscurus (Vaillant, 1888)
Echinorhinus brucus (Bonnaterre, 1788)
Scynnorhinus licha (Bonnaterre, 1788)

SQUATINIDAE
Squatina aculeata Cuvier, 1829
-
-
angelote/ange de mer
Squatina oculata Bonaparte, 1840
-
-
pez angel/ If
TORPEDINIDAE
Torpedo (Torpedo) torpedo (Linnaeus, 1758)
-
-
- -
tembladera/torpille
Torpedo (Torpedo) marmorata Risse, 1810
Torpedo (Tetronarce) nobiliana Bonaparte, 1835

RAJIDAE
Raja SP.
Raja fiaja) miraletus Linnaeus, 1758
Raja bzrdi #orman, 1935

RaJa (Raj,) macierensis Loue, 1841
Raja (Dipturus) doutrei Cadenat, 1960
Rafa (Dipturus) batis Linnaeus, 1753

G (Raja) straeleni Poli, 1951
CHIRAERIDAE
Chioaera sp.

2 2 2
RHINOCHIHAERIDAE
Neoharrottia pinnata (Schnakenbeck, 1931)
ALT3ULIDAE
Xenodermichthys socialis Vaillant, 1888
SEARSIIDAE
Normichthys operosus Parr, 1951
Searsia koefoedi Parr, 1937

ENGRAULIDAE
Engraulis encrasicolus (Linnaeus, 1758)
. boqueron/anchois
GONOSTOMATIDAE
Pollichthys mauli Poll, 1953
Yarrella blackfordi Goode ‘& Bean, 1896

STERNOPTYCHIDAE
Argyropelecus sp.
Argyropelecus Fgas Norman, 1930

ASTRONESTHIDAE
CHAULIODONTIDAE
Chauliodus 2.
Chauliodus sloani GoodeE 8eam, 1896

STOMIATIDAE
Stomias sp.
- -
MELANOSTOMIATIDAE
MALACOSTEIDAE
Malacosteus niger Ayres, 1848
AULOPIDAE
Auloous cadenati Poli, 1953
-
-
lagarto real/
SYEODONTIDAE
Saurida srasiliensis Norman, 1935
Synodus synodus (Linnaeus, 1758)

-
-
BATHYPTEROIDAE
Bathypterois quacirîfilis iünther, 1878
CHLOROPHTHALEICRE
Chlorophthalmus atlanticus Poli. 1053
ojitos verdes/
Chlorophthalmus fraser-bruenneri ?oll, 1953
11
-
-
1,

RYCTOPHIDAE
PARALEPIDIDAE
Paralepis elongata Braver, 1906
ATELEOPODIDAE
Ijimaia loppei Roule, 1922
Melenoglea ventralis Barnard,1941
NEMICHTHYDAE
Eorodinula infans (Gtinther', 1878)
MURAENESOCIDAE
NETTASTOMATIDAE
Netastoma malanurum Raf., 1810
CONGRIDAE
congrio/congre
Coloconger cadenati Kanazaua, 1961
Uroconger sl.
Bathyuroconger sp.
bathyuroconger xcinus (Vaillant, 1888)

OPHICHTHIDAE
Mystriophis sp.
-
SYNAPHOBRANCHIDAE
Synaphobranchus sp.
-
HALOSAURIDAE
Halosaurus sp.
Halosaurus Kenii Johnson, 1863
Halosauropsis sp.

-
FISTULARIIDAE
KACROURIDAE
Trachyrhynchus trachyrhynchus (Risso, 1810)
abambolo de cantil/
Bathygadus sp.
Gthygadus glanobranchus Vaillant, 1888

-
-
-
Knenocephalus italicus Giglioli, 1884
Gzomia aeaualis (Günther, 1878)
Nezunia sclerorhynchus (Valenciennes, 1838)

.-~
/Halacoceohalus laevis (Loue, 1843)
abambolo de bajura/
L- -
Kalacocephalus occicentalis GoodeE Bean, 1885
Coelorhinchus coelorhincbus (Risso, 1810)

raton

2 2 4
*******************************************************~******************************
FAHILIA/ESPECIE
NOMBRE VULGAR
****Pf**********I*********************************************************************
.
NERLUCCIIDAE
Nerluccius polli Cadenat, 1950
merluza negra/merlu
!!erluccius senegalensis Cadenat, 1950
Il
senegalesa/aerlu
GADIDAE
Micromesistius poutassou (Risse, 1826)
bacaladilla/
.fRETHORPHORIDAE
Gadella maraldi (Risso,lElO)
-
-
Laemonema laureysi Poll, 1953
Laeeonema yarelli (Loue, 1641

HELANONIDAE
Melanonus zugmayeri Norman, 1930
TRACHICHTHYIDAE
Gephyroberyx darwini (Johnson, 1866)
re16j/
Hoplostetus mediterraneus Cuvier, 1829
” /
Hoplostetus cadenati Quero, 1974
” /
ANOPLOGASTERIDAE
Anoplogaster sp.
-
ZEIDAE
Zeus faber Linnaeus, 1758
-
-
pet San Pedro/
Zenopsis conchifer (Loue, 1852)
Cyttus roseus (Loue, 1843)
Cyttus hololepis GoodeE Bean, 1895

CAPROIDAE
Caoros aper (Linnaeus, 1758)
ochavo/
mniacapros Loue, 1843
SERRANIDAE
Serranus cabrilla (Linnaeus, 1758)
cabrillaj
Epinephelus aeneus (E. Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
cherna/
Epinephelus caninus (Valenciennes, 1843)
mero/
APOGONIDAE
Eoigonus telescopus (Risso, 1810)
pez diable/
Synagrops microlepis Norman, 1935
Hypoclydonia bella Goode & Bean, 1895

CARAkGIDAE
Trachuros trecae Cadenat, 1949
jure1
Trachurus trachurus (Linnaeus, 1753)
II
Icrer setapinni's (Yitchill, 1815)

2 2 5
ERMELICHTHYIDAE
Erytrocles monodi Pol1 & Cadenat, 1954
BRANCHIOSTEGIDAE
Branchiostegus semifasciatus (Norman, 1931)
SCIAENIDAE
Ùmbrina canariensis Valenciennes, 1843
verrugato de fango/
Pentheroscion mbizi’ (Poll, 1950)
SPARIDAE
Boops boops (Linnaeus, 1758)
-
-
bogd
Dentex sp.
-
-
Dentex macrophthalmus (Bloch, 1791)
cachucho/denté gros yeux
Dentex angolensis Pol1 & #aul, 1953
/denté
Dentex congoensis Poli, 1954
Pagellus acarne (Risso, 1826)
aligote/
CENTRACAUTHIDAE
Spicara alta (Osorio, 1917)
-
-
-
chucla/picarel
TRACHINIDAE
Trachinus radiatus Cuvier, in C~V.& Val., 1829
viborafvive
Trachinus collignoni Roux, 1957
araiiajvive
PERCOPHIDIDAE
Bembrops heterurus (Miranda Ribeiro, 1915)
pez palo/
URANOSCOPIDAE
Uranoscopus scaber Poil, 1959
rata/
Uranoscopus polli Cadenat, 1953
" /
Uranoscopus cadenati Poll, 1959
II
Uranoscopus albesca Regan, 1915
Il ;
GEKPYLIDAE
Pronethichthys prometheus (Cuvier, 1831)
Ruvettus pretiosus CO~CO,
1829
escolar/
TRICHIURIDAE
Lepiàotus caudatus (Euphrasen, 17û8)
pez cinta/ceinrure
Trichurus lepturus Linnaeus, 1758
pez sable/
SCOHBIDAE
Scocber (Pneusatophorus) japonicus Houttuyn, 1782
estornino/maquereau
SCO:4BEROMûRIDAE
SarEa sarca (Bloch, 1793)
bonito
-
-
==s==============T=T============--===========================~=======~============

2 2 6
============5=========================================================================
FAKILIA/ESPECIE
NOMBRE VULGAR
=z.==== s===============r===============================================================
XIPHIIDAE
Xiohias oladius Linnaeus, 1758
-
-
~02 espadalespadon
GOBI IDAE
CALLIONYMIDAE
Callionyrus ohaeton Günther, 1861
lzgarto rojo/
BLENNIIDAE
Blennius normani Poli, 1949
-
-
-
BROTULIDAE
Rononitopus netriostoma (Vaillant, 1888)
OPHIDIIDAE
Ophidion barbatum Linnaeus, 1758
lorcha/
Brotula barbata (Bloch, in Bloch E Schneider, 1801)
-
-
brotola/brotule
Luciobrotula corethromycter Cohen, 1964
Lamprogranus exutus Nyb. & Poli, 1958
CENTROLOPHIDAE
Centrolophus niger (Gmeling, 1789)
Hyperogliphe moselii (Cunningham, 1910)
rufo/
MONEIDAE
Psenes pellucidus Lütken, 1880
ARIOMMIDAE
Ariomma bondi Fouler,1930
-
-
arioma/
MUGILIDAE
Mugi1 sp.
-
-
SCORPAENIDAE
Scorpaena
SP*
-
rascacio/rascasse
Scorpaena elongata Cadenat, 1,943
II / II
Scorpaena aaderensis Valenciennes. 1833
II / II
Scorpaena
normani Cadenat, 1943 .
II 1 II
Scofpaena stephanica Cadenat 1943
II
/
II
Scorpaena gaillardae Roux, 1954
II
II
/
Helicolenus dactylopterus (Delaroche, 1809)
gallineta/
If
Pontinus kuhlii (T.E.Bowdich, 1825)
- -
rascacio de fuera/rascasse
Setarches guentheri Johnson, 1862
Ectreposebastes
imus Garman. 1899
TRIGLIDAE
Trigla lyra Linnaeus, 1758
-
-
garneo/trigle
Lepidotrigla cadmani Regan, 1915
Lepidotrigla carolae Richards, 1968

2 2 7
=================================--=r================================~~
---------
E===---__----
FA#ILIA/ESPECIE
MOYBRE VULGAR
========================================================================-----
----- T+z======r=
FERISTEDIIDAE
Feristedion cataphractuc (Lipnaeus, 1758)
armado/
CUTTUNCULIDAE
Cottunculoides inermis (Vaillant, 1898)
Cottunculoides macrocephalus (Gilchrist, 1904)
LIPARIDAE
Paralioaris uilsoni Richard, 1966
CITHARIDAE
Citharus macrolepidotus (Bloch, 1787)
solleta/
BOTHIDAE
Avoglossus imperialis (Refinesque, 1810)
Arnoglossus capensis Eoulenger, 1898
peludilla/
Chascanopsetta lugubris Alcock, 1894
lenguado pelicano/
Yonolene microsoma Cadenat, 1937
SOLEIDAE
Dicologoglossa hexopthalmica (Bennet, 1831)
Bathysolea sp.
Bathysolea Flli Chabanaud, 1950
Microchirus wittei Chabanaud, 1950
Vanstraelenia chirophthalmus (Regan, 1915)
lenguadillo africano
Synaptura 2.
CYNOGLOSSIDAE
Symphurus s p .
Cynoglossuscanariensis Steindachner; 1882
/sole langue
TETRAODONTIDAE
Lagocephalus laevigatus (Linnaeus, 1766)
tamboril/
Sphoeroides cutaneus Günther, 1870
Sphoeroides spenqleri (Bloch. 1782)
-
LOPHIIDAE
Lophius SD.
rape/baudroie
LA
Lophius vaillanti Regan, 1903
r a p e africano/
Lophioides kempi ‘(N orman, 1935
II
II
/
CHAUNACIDAE
Chaunax pictus Loue, 1846
-
-
OGCOCEPHALIDAE
@branchus atlanticus Peters, 1875
P==E=-_--_P====P=-__-5C===I_-_______
- - - - -
--.--
- - - - - - - - -
-----
PIT==D=_----r=EP===1====r======r===P=====~~=============

2 2 8
E===========5=====I============E==============================~======================~===
FA;!ILIP/ESPECIE
;JOf!BRi VULGAR
====================E===-_--_-
------0==5===---------------------------------------
---------------------------------------==========
Caulophrine jordani polynema Regan, 1930
MELANOCETIDAE
Kelanocetus 2.
HIHANTOLOPHIDAE
Hinantolopnus groenlandicus Reinhardt, 1837
=========-=====================================~======================================

229
--__---_
F-
.=-7
Brotu la barbata
D
11 Cl’
-
-
-
Centrophorus granulosus
(1. max. = 75 cm)
Chascanopsetta Zugubris (1. max. = 28 cm)
Ch2oropthc:Tmu.s a t l a n t i c u s
Dentex macrophthaZmus (1. max. = 30 cm)
--.
EpinepheZus caninus (1. max. =
140 cm)

Hoalnskethus
- ----_
petrosus (1. max. =
30 cm)
G'phy~obery~. darwini
(1. max. = 60 cm)
*ZdotrTg~a cadmani (1. max. = 22 cm)
-
-
-
A-Lophius vaillanti
*_i :r
Merhceius yoZli (1. max. = 60 cm)
-
-
-
Mustehs mstelus (1. max. =

2 31
Friacanthus arentrtus ( 1. max. =
Pa,!inuritchthys pringlei
-~--
(1. max. = 70 cm)
Smaris !i;,:,:r'!'~hth~j./rl~s (1. max. = 26 cm)
F====--.
,
0
J cm
Zenopsis
bcm
conehifer
2eLt.s @5cr mauritanieus
- - -
(1. max.=65 cm)

2 a2
cm)
Sol.enoeera africana (1. max. = 14 cm)
.?%t!:;i~pimz~e edwcrrdsianus (1.
- - -
max. =
33 cm)
I
1
Ll
,Mll
#maLmarcinus africanus
(1. max. = 10,4 cm)
-_--

&ryon mritae (1. max. = 16,s cm
de carapace)
(1. max. = 17 cin)
,
Octops vugaris (1. max. 130 cm
PaZinurus mauritanieus (1. max. 75 cm
de carapace)
kg)
Todarodes sagittatus (J.. max.
du man-
vue dorsale
IZZex .coindetii (1. max
teau =
t;---fr
du manteau
75 cm)
= 26 cm)
orbionuana
Sepiu
(1. max.
du manteau
= 12 cm)