Moustapha KEBE 111 R E S U M E” I - Ce...
Moustapha KEBE 111
R E S U M E” I -
Ce papier reprend lus éléments principaux d’une étude
réalisée de janvier ,1 septembre 1981 dans le cadre du pro-
gramme socio-économique conçu par 3. WEBER au CRODT.
Le but de cette étude est de faire un bilan des expé-
riences de la pêche.cordière et 3”en tirer des conclusions
utilisables pour la planification des pêches au Sén,égal.
L’histoire de 1”armement cordier est retracGe avant
de cerner les caractéristiques socio-economiques
de la pê-
cher ie . L”analyse de l’évolution de cette pêche do; 1963 b
1982 et des échecs qu’ont connus les différents armements
est faite.Un modèle simple de gestion a été établi., ce qui
a permis d’estimer les possibilités d’évolution et les coté
ditions nocessaires au développement futur de cette pêche-
rie au Sénégal,
This paper resumes ths principal elements of a study
which was realized from january to sep.tember 1981 within
the framework of .J.WEBEROS
soc’io-economic programm in CRODT ,
The purpo of this study is to strike the balance,
of the exper’iaves of the modern artisanal fish(“cordiers”).
(1) Economiste de 1’ ISPSI au Centre de Recherches océa-
nographiques de Dakar-Tiaroye ( CRODT ) o B.P. 2241 llabr
( S é n é g a l ) *

2
ne history 0f the arir,inp, is ri-trac& beforz yresentin: thè
socio-tconomic characteristics of tha fishcry.
The analysis of the evolution of this fishery from1963
to i982 and the checks of the different srmings are done. A
simple mode1 of management bas been cadz uy: this pcrnitted
to estimate the possiùilities of evsluticn and the condi-
tion:; required for the future development of this fishery
in Senega l\\,
INTX’DUCTI3N
1. HISTORIQUE
2. CARACTERISTIQUES SWIO-E CONG?~I(~UE
ii% L ’ XP,HE~@Xl’ CMDIER
3 . AMLYSE EC~NWI~K? r)E T.k PECHRRIE CQRBIERE
3.1. Evolution de la pbcherie
3.2. Evolution de I*activité
X3. Evolution des captures
,’ I
3.4. Evolution des, prix
.’
!’
3.5. 5\\énenQ4 ,d,‘a~précistion de ia rentabilitd financière des.cordiers
4 0 corxLus~o~~ SUI?. - L,~,*~~J$%gm?? xORBàE7:
,’ I!
4.3. Bihan. des ‘pr~$$%-& eipkiences de p&he. ckdière
4.2, Conclusions - ’ ïI’ëeon‘indat ions
.f,’
, ;I!.
BIBLIOGP~BHXE
:
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,Y.’
:,
!WURES
TABLEAUX
Lts bate&l: ae type “cordiet” est’ le dernier&! de la flotte .artisanafc e
3 7*J. utilise lkhr mëmes. tfchniques ‘de pêche que 1- pirogue (rêcha’à la ligne)
t:JziS l l’avantage d’àvoir une autcnotiie plus grande qu e’ celze des embarcations
traditionnelles ,@wtèur ‘de’?5 à 16b ch) ut de dispbaer, <-i bord:, de moyens de
consrrvation (cnp,wité de 13 cale à poisson de 7 2 9 t3nnes) qui permettent
dr? ramener du poisson de bonne qualit6. La longueur du cordier est de 13
Gtres et la largeur varie entre 3,s et 4,s métres.
Les ccrdiers effectuent des sorties en mer ou “m3r.Ges’~ d.a ,5 ?. 4 jours
(eor:jiars en- bois) ‘e’t: &?-O”7 2 9 jours (Cordier;s r~iitalliaues),~, ;La pêche‘ i:i lien
:W.I sud de ‘%a presq’uCîfe du Cap,Sert t‘ntre 14’ 45 ‘W & 8” N, ksentiellenent B
1.x hauteur da Joal,de 1<1 Casamance, de la Csmbie, des iles Bissagos, de la
“,linZe et de la SierrE L6one (fig, 1). Suivant les livüx de $C~C, les temps
de route wrient de 12 ?, 72 heures : les pêcheurs, qui sont au nombre

3
de.8 ? 12, uF$liscnt 12 Iitqe t7. ~&its haxeg?ns (60 .3 IQO T?er li,-ne) CU
lr zigne ,2 gros hameçons (3 3 5 par ligne). La p.&he cordigre s’intGresse
principalement ~IX espèces dénersales : sparides, m&ous, etc.,, captur&s &
des prof.ondeurs’ de 60 B 200 mi3trcs.,
Dans un premier temps nous retragons .lFhistoire,d,e l’armement cardi,er
avant d’en dgduire les caractéristiques socio-économiques de la pêcherie
cordi&c. Puis nous analysons 1’Cvolution de cette p&hc de 196.3 B nos
jours et Les Echecs 4’.d’ont connus les, différents 3mments qui se sont
suecédGs dans’le temps. Noue aboutissons ainsi B un modgle simple de gestion
qui nous permet d”estGner les possibilit& d’&olution et ;Las conditions
nécessaires au d&eloppement
futur dé cette pêcheria au S&iégal.
.I .I..~H’FSTORl~lJ3
_
Le projet ‘“cordier”’ s’inscrit dans un vaste programme de modernisation
de 1s .pêchc artisanale, 11 devait permettre d’une part lFexploitat?on de
..
nouvelles zones de peche et donc la capture d*esp&ces de forte valeur commer-
ciale peu pêch&es Far les pirogues, dsautre part le passa g . d’une exploi-
e
tation de type artisanal. (pirogues) Zi une pêcheric de type semi-industriel.
L’évolution du projet cordier dans le temps peut ,~e d&omposer en 5
phases*:.
..’
- l&-e Ehase.-
w---w w-m-
L’expGrisnce de la pêche cordiare a dêbutf en 1959 avec
l’assistance technf.que CFun ingénieur naval, expert de la PAO, et l:?.aide
financigre du FAC hds d’aide et de coopEration)et du Crédit SénEgal* Sept.
navires en bois (2 en 1962 et 5 en 1963) furent construits par la coopdrative
artis&ale de charpentiers d$c la marine de Soumbëdioune. Le prix de revient
de ces unités était dé 2 800 000 11’ CFA dont 25 % & su~.v&tion t.u FAC, 9 %
de participation de lParmat.eur et les 66 % restants b&cficiant Z’un crUit
de 5 ans’ auprès de la SKI& (Banque nationale de Développement du SénGgal).zc t
- 2èmeJhase .‘Y. A partir de 1963, des amEliorstions furent apportges tant
du poini-de Gë’de la construction que de la qualification du personnel des
chantiers artisanaux. Vingt-six cordiers en bois furent construits par les
3 chantiers artisanaux ;
0 Sounbédioune : 3 en 1964 ;
. Hann x 4 en 1964 ;
. Ouakam : 5 en 1965-1966
11 en 1966
. .
3 en 1968
Cependant; ‘le .non .reçpect des plans dc construction et L’Gloignement de
la mer du chantier de.:Ouakam ont ai-té ZI l!origine de frais supplGmentair&
et ont LimitG la taille. des bateaux construits, Le prix de ces nouvelles
unités atteignait 4 400 000 F CFA dont
20 Z :e su!vention du gosoernement
&négaiais,7,5.X de participation de 1 ‘armatczr et 72,s % de crédit sur 5 Bris
auprZ?s de la BN!X, Le remboursement etait cffectug par prGlèvement de 25 9:
des reoettes brutes sprës chaque aarEe,
- 3ème phase.-
- - - -4- En 1968, deux nouvelles unités ont été mises en ,service
ce qui portait 8 35 le nombre d’unité93 en bois construites par.les chantiers ;
à ce jour;5 sont encore en activitQ (tabl. 1).
:< !
.' .

4
- 4sme phase.-
-------i-v
Face aux échecs rgpétée tics premières expdriences, les
commandes ont ete arrgtées, le personnel des chantiers a été réduit au ch&-
mage et les équipements ont disparu, En 1972., le projet d’armement expérimen-
tal (ARMEX) est lancé par la Direction des pcches avec deux cordiers ‘&Armés
pour avoir une idee de la rentabilité de ces unités d.e pêche mais les efforts
ont été vains puisque aucune solution n’a étG apportíle aux véritables prcbls-
mes posés par leur exploitation (problèmes dc gestion, problèmes sociaux) e
- 5ème phasa.- En 1975 9 un nouveau projet de fabrication de 35 cordier8
métalli$iëZï~-Gis en oeuvre : il s’agissait B nouveau d’une modernisation
de la flotte artisanale “en vue d’une contribution Zi la mutation’socio-dcono-
nique du marin pêcheur” et d’une décentralisation de la flottille vers des
ports secondaires existants (Saint-Louis) ou 2 créer (Djifère, Kafountinc,
Elinkine) , La phase do exécution, qui a démarrG en 1978, R permis 1~ cons-
truction de 3 cordiers à l’brsenal de Dakar, 1 ‘impcrtation de 6 cordiers
fabriqulés en France et de 13 fabriqués en Espagne, soit 22 batimenta nouveaux.
Des groupements coopératifs de gestion sont alors cré& : la Coopérative
sénégalaise d’armement à la pêche artisanale (COSAPAR), née 1.e 2 novembre
1979, fut chargée de la gestion de 9 cordiers métalliques avec,pour objectif
prineip,al, d’acheter ou de construire des navires de pêche artisanale prévus
au Cinquième Plan puis de les rétrocéder à ses soci&aires patrons pêcheurs
selon le principe de la location-vente,
Quatre autres cordiers métalliques, confiés dans un ,premier temps à’ des
coopératives de gestion (Mbour, Hann, Casamancc et Saint-‘Louis), ont: Qté
rétrocédés depuis aoQt 19g1 à des patrons, anciens propriétaires de cordiers
en bois. Les autrea unités de pêche ont été cGdées gi des particuliers issus
du milieu pêcheur.
Le prix d’acquisition du nouveau cordier est de 28 500 000 F CFA payable
sur 15 ans avec un taux d’intérêt de 6 %.
Au total depuis 1963, 57 cordiers ont étlr mis .en service dent 34 en
bois, de f,abrication locale, 1 thonier transformé en cordier et 22 cordiers
métalliques ,: soit un investissement ,global de quelque 761 900 000 F CFA.
Le tableau 1‘ récapitule, pour chaque cordier, la dat:e de mise en exploita-
tion et la durée de vie réelle,
/
:
2 *
C A R A C T E R I S T I Q U E S
s 0 !‘: 1 0 -7 E C 0 iJ 0 M 1 Q U E S
DE L ‘ A R M E M E N T
[‘: 0 R 1) 1 E R
L’:aige moyen des cordiers s9 établit à 5 ans 9 le plus r&ent datant d’un
an et le plus vieux de 16 ans au moment de 1’ enquête,
Les cordiers sont armés soit par des propriétaires individuels soit
par des coopératives de gestion : COSAPAR. Les patrons pêcheurs, choisis
par les atiateurs sont pour la plupart d’anciens piroguiers : 23 années, pas-
sées en moyenne dans la pêche artisanale avant d’ombarque,r sur un cordier ;
parmi eux, 5 viennent de la pêche industrielle, La majorité des capitaines
(60,5 XI), ont passé entre 6 et 15 ans dans la pêche cordière. L’age moyen des
patrons pêcheurs est de 35 ans.
L’Gquipage est recrutG par le patron pêcheur, non sur la base de liens
de parenté, mais plut& en fonction de relations personnelles, relations
basées :sur l’origine villageoise, La formation ,professionnelle est quasi
nulle et les marins sont très peu qualififs,Su,r les ;!.58 hommes embarqués 2
seulement sortent d*une Gcole professionnelle avec des diplbmas de brevet

5
L h
P E C H E R 1 E
e 0 3. a 1 E E. E
Actuetlenent
25 cor~l.iers acnt S-11 açtiyj.té ( cIz bois 2t 20 r&alliques).
L’évolution de la flotte cordiare piüt SC décom~ose;c m 3 phases (fig. 2) :
- jusquf:l 1966; hausse du nombre de bateaux,
- de 1566 h 1974, baisse de l’effectif de la flotte, certains bateaux
aymt dessrm< dès I ,366~-~ i !Si? suite ?. illes diff icültfis financi$ras,
- a partir de IF7’4, 1iZgerc hauss& avec la relaxe du prcrjet cordier, et
Le rcnouvellerzent de la flotte i
L’effort ‘te pkbe est ~~valué,non gas r;ar 1,: ambre de mrdiers .actifs n i
par 12 noabre .!e mois d’zxploi.Catioc, t:sis par le nsmLre de marées réalisks
dans 1, ’ znn& ) qui r-.flZt- mieux l’activite réelle du cordier (£ig- 3). Le
nombre moyen de marges rkalisées dans l ‘aun& par un cordier est de 1. “ordre
de 18,1’ fcart-type z :le + 4 (fig I 4)
L’Cvolution riu n~&e de nardcs par batenu actif .z.t ;I~I- mois d”cxpl;i=*
tation fait ressortir la Ggradstion de La situation : Cintre 1963 et 1965, baisse
de 3, I a 2, de 196? A 1974, constance et 2 partir de 19‘7r>$ l<igSre hausse
(fig. S),
La coupnrai.sh;n de la situation actu+~llc avec 1~ niveau théorique dFex-
nloitation ,les cordiers .:ermat d’avoir une id8 e (1x nivc.au. d’utilisati.on des
bdteauxF
Le taux d’-x~ioitation thé~ique calculG est le pourcentage du
nsnbre de mar,Zes effectivement r’*
+d,isir”es par raiiprt au r,onbre dz marbes
thcoriquement rSslis.ables .,
Pour calculer LC nombre de marges t!r&riquerzent r&lisahlzs, nous sommes
prtis de 1 ‘hypcthtisc
se-ion laquelIt- ie cordier en Sa?s effectue des narks
de 5 B 6 jours et le cordier nGt-.lliqw,
des marSes Ge 7 ji 9 jours,pendant
10 mois dans 1 ‘ani~T:e,. En se baswt sur un wmbre JC 3 jours yass*Ss par le
cordier 2 terre avant de repartir k.i: mer 9 i* cordier en bsis peut realiser
thaor iquement 23 nrarées dans l'znrii~c et le cordier m.?!tall.ique 25,
On notd une bsissz,q.? ce taux oivec une re&se ;3n 1976, ce t;ui t&,iigne
fk la mauvais& utilisation <les cordiers qui s’est traduite ?ar if,e longues
immobilisations !S quai (tip;. 6).

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-- de faussss Séclarations sont dont&5 .-% l’agent chargé de la collacts
des remboursements,
L’augmentation des chsrges sur !i anS s”Etahlit c.xme suir : 3% X pour
1 ? z;y!ort personnel de 1 v armateur 24 Z pour 13 SiibVCIt ion :<:TuVerneE~entalZ,
250 X pour les frais fiir4ncters ct 15.5 A uour 1 *xm2&ie ($OAL et !XX&UI-
1968). La hausse d-6 charges met en relief la contradiction entr-: obj ectlf s
et modalitfs .d ‘a;~lleaticn, Les pêcheurs individuels _rossll.dent r3rtmsnt
lq sogma exigCe cn apport si bien e1t’ils ont Bts‘c amï~GS ? faire a?peL direc-
tement ‘ou non aux cugitaux de particuliers diûyosan t de *cvtxus sugiritur5
pour 1 ‘acquisition .îes cordiers.
I
.’ ,
Au rcgsrd des r5sultats euregistrGs c e s ,jernizreS cî,nn;;as f lirci; est
de reconnaître ~jue les cordiers :.;nt énomiEmnt :Je di.ffiêUlcGS ~wxr etteindre
le seuil de rettabilit£. Gotons c;~le 1 ‘Etat sénQnl3i.s 5’ est vu contr3iQt
$2 rembourser las. ~înprunts contr3ctAs par 10s crmttiurs, soit un investis-
sement ,gloEal de ,761 963C 000 F. CPA, Le projet de dCcentrelisstion de la
f l o t t e cordike V~S d e s pottS Syxxr.d3ires a Gtè 5 l’origine :.les gros i.s+
I_)
vestisserxnts pour la cmstruetion du i?ort de Soi& Louis jusqu’ ici inuti-
lisb. Dis lcrs on peut SC demaudcx zn toute logi+e si leopCr3tion “cordier
\\:st rentable aussi bien pour le producteur que pour 1 76conomie sentigalaise.
4.2,l. Aspect financier
.
P---^
La part brute nenmiclle du pZ&ur se situe tntre ib0 C?&I et 72 OOC F CFA
(moyenne 44 000 F C?A) 111% lieu de ‘5.5 000 F CFA four le pêcheur Sur ;~irzgue
mtorisée utilisant 1~. Ilgmz ; 1~ prix dgun cordier mbarquant 12 homws
h bord cour”..,rspond ii l’ac-.at d e 85 :jiroijues motorisees pêchsnt 3 1s iiqne
et emL.oyant .3tl km1 ;-jueique 340 t;êcheuI:s. Les irises ? ttxre annuelles des
cordi’crs ne Sont que 13 5 ci fois supGri.eureç 2 cC?es A’unc pirogue p echant
3 la ligue : le revenu de 1’arr:isteur tiré de 1’ ex>lcitstion du cordier ne
repr&wnte t;ue 2 à 20 /7 .du capital investi en raisos- de 1 lourdeur des char-
ges d’exploitation.
4.2.2. Aspect social
Le projet cordier devait être un moyen de f8rmtim pratique d’squipa-
;ss sur des unit& Semi-,lnduStrielLt5c nais les cx>icrs sont utilises
corsa2 des pirogses traditionnelles.
Lks techniques tic ~)~che -ratiques sont
les ~&xas, c,rra sur fa pirogue et donc: sans valeur éducative $our ,l ‘Equipage
appelé ?i embarquer su3: -une uni.tE plus moderne. ?ES lors se poçe la question
de savoir si les ,$cheurs sénGgnl.ais devront opérer la codernisation de
leurs instruments Ae travail par une 6volution 2rogressiv2 (3x2 s’ils
pourront réaliser 12s z:?aFtations n&xssaires pour Tasser 9ans transition
de la pirogue tradit ioxelle à un armement seni-industriel e
1 .‘excmp.& du cat~dbm rnotie. qul~ ;~OU& ~nn~vtio~t ,irqiXque Xe buu&-

1 0

NERRY (F. ) 9 19SO.- Gbservatcire kmwG,que ~rofessionnet des pêches n
-1 nystke de suivi pour
ILOAX, et BIXNARD, 19fiS.~= tvarwmicnt c+: I.Û $che cors!iZr6z au SCn+al. Situation
et perspectives,
VM CFiI (P,,) ,, 1967.;-- I?c~Xk-;nie mrithe et rurale de Kayw, village sénégalais 5
:Gmoires d e 1 “IFAN no 76 - y.q: e 229-235.
WEBER (J + ) > !98@.-- Socin-Sxnomie dz 1;:. p$chec ~~~tiS-3iî*f~ en. mer au S&Ggal.
Hypothbes ut voies 2.i: recherches. Revue soci~-~7.c~. de 1’ISRA n”4 l

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4 9 N’GLYI’”
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5 3 BAYE FALL*
5 4 MARECK *
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5 6 TIJN~NUWA
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NOHBRE DE BATEAUX ACTIFS
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Cordier en activitd
D :
Désa~
: Panne
i:; :
Thonnier transformé en cordier
(2) : Cordiers construits en 1.966 dl la CONACAP pour le compte de i’ensaignement rec’hnique dans le cadre de la
formation professionnelle dispense’e par 1’Ecole des Pêches de Mkar.
*
: C o r d i e r s enqu&téa
TABLEAU 1. - Mise en. exploitation de la flotti2J.e cordii3re sihégalaise de 1969 B 1981

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