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L PECHE PIROGUIERE MARITIME A LA LIGNE ET AU FILET DO@tANT
AU SENEGAL
PROPOSITIONS POUR L'AMELIORATION DU SYSTEME
DE RECUEIL ET DE TRAITEMENT DES STATISTIQUES DE PECdit
UTILISE PAR LE C,kaO,DaTt
PAR
PIERRE BERGERARD
T
1.2 79~3~ piro~tii2re maritime ii la lise et au filet dorz:z~t 2ü
SCn~Lcl.Pr~~o~~itions pour 1'cmÉliorntion àu syst&me de recueil
c.iY cie tziiemcnt des statistiques de pêcke utilise par le Centre
Cc lecherc!les Oceanographiques de Dakar-Thiaroye.
Iiémoire d'ilève
P. BERGTWXD
!..vcrtir;ue:zc:nt /
.-
I.cr. rC::ultats pr5scnt6s dans ce mcmoire ont d-t& OLtCniiL: 6fi
cY21~.tsï~L ti.02 avec oonsieur A. SXBA chercheur de l'Institut
-. .
s&gzlais de RecEerches Agricoles. "
.
L, pCche piroguiêrc, maritime à la ligne et au filet dorinant
. . . .
cor,stitue au tjenegal une part importante de l'activite econorolque,
::*:CC environ 40 000 tonnes débarquées annuellement.
Le manque de statistiques fiables permettant d'élaborer des
- 7
:'.d-.'lier: de gestion rationnelle de ce secteur a conduit le Centre
'_
<: Y 3c:cherchca Océsnogrz~hiques de Dakar Thiaroye è se fixer comme
oljjectif pr:;orita“me,la mise au point d'un système de recueil des
:,tztictjq:Jes
de pêche de ce secteur.
IA!!; 5 tatistiqucs de pêche sont compou6es de trois ~cram5r5xei::
._ 1. .J p ri :: t? s 9 ?es
--
indiccs d'effort de pêche et les structures de ttil-
9c.L'w::iyss de l'utilisation de ces paramètres permet de dG:finir
3
ier: caract6::istiq-33s qu'ils doivent avoir.
Les ré:;ültats obtenus par le système stcltistique,rniz 2.J poirt
n.:r C.C%.XZ'~Gi~kT,qui est actuellement utilis6,montrent d'une part
q:;e 1.2 cozvert:lre des pêcheries est trQs insuffisante et d'c.ltre
va ,- T.-
-.
'-'LA (r Q-JC le:; estimtions des d&barquements dans un centre de d<brir-
~üe7en-t peuvent,dans certains cas,ètre très fortement bia.is&s (30 2
‘<O f;>
Los inventaires et les repartitions gGo.gra)hiquec des diffl-
xrites cat&,Tor5es d'unités de pêche conduisent 5 proposer une ex-
zc-,:;ior: tic ::ysteme 5 toute la côte subdivisce en 11 recteurs.Cha~~re
stic:eur com:;,crte un centre' principal dans lequel tous les ?a:raz&tres
c. 3 2 t ichantillonn~s et un nozbre variable de centres secondaires
Ca:;s le2que:ls ILes prises,seules,sont échantillonnées.Ce ryst~ke,
-;est( &%~ tiewu, secteurs depuis le début de ljTj,parait glob~iemen~
=~~tisîtisant.~gextcnuion du reseau n'est actuellement b1oquG que
?::.r lc: :nanq:~e de personnel.
Le2 donnc2ou rccucillies lors d'une mission d~i:cha~tillonn~;.~~e
i;-t(ys-jf d 1 ;Ane semaine dans un centre de d<barquencnt princi;czl,
. .
.jLx-.ettent de montrer que les biais d'estimation des prises :?OU~-
:'.icnt Ztre notablement diminu6s si l'on effectüairE une strati-
IAc;~ti~n
3-z
?ar tranche horaire lors des 6chantillonnaees des dgbar-
q,c:.;ty,'":>. bne r<aultnts,objactif pour ce centre de d&arqumcnt,
j:~A~(..-;)Ol:J b.ien EVéC C C C~UC 1’02 peut constater d '-kne î;<:on ;31:~:;
:-~;*:tectii~e dans lo.a autres centres principaux.Ceci conduit a r,rû-
::s::cr l'utiiisation d'une stratification horaire dans tous les
(;,,;.!-tirp'-
- ru.
Lc vol-me des donnces recueillies lors des cnquZtec des dG-
:: x~:~c:::i:n~:s est trop import an-t pour être traitL valcblczent L la
..> v., IS. 7Zt2 Ck-,ine de traitement informatique comprenant >lusicurs
T,J. Q C.
I _.,A" -es a 6ti à&veloppée.
La codification des donnoes a 6té conçue en privi?&~iûnt X2
r::?idit6 et la conservation maximale des donn~zes sous leur forze
Ti L validation des donn&es a é-t6 scindée en quatre pro~rz.m;:;~r~
C:i: <ii cction des erreurs permettant des corrections rapides.
Le I-L traiteaents de routine comportent une chaine de cinq
~;l'o,~r'.x::.er:
._
aboutissants 2 l'%ition des statistiques de -rise. et
[: l(::‘j-()yt Le -sc:& sous une forme directement ?ubliable,et un pro-
~~~r::rzrre :~crmettent de regrouper et de traiter les distributions de
f&::~xx-icer- de tixille.
5.2. chaine de traitemcnt,utilisée actuellement en ro.d-Linê,a
- i '
'_ v conque de telle maniere qu'elle doive subir le mini:m:un: de
::o~~i~lcetions si les amëliorations du systGme que*nous uvons
r-r>.--oL;~
!'& ",u
sont appliquées.
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Ç.J
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La. ?zche nirociere maritime constitue nU Sdnépl un :~ecte:X:
J ,-. -, c
u. Lr ;:ctif ct t&s important dt: l'économie.En effet,les tonnaces
,.
.
2 ,.:.r47ui:s dzns les nombreux centres de pêche rGpartis tout 2'1: 10n,:y
\\-; (; I: 500 kilorr2tres de c8testticu+rieu.rs à 100 000 tonnes,re~~rérei~t~;n;
.r I.-.vi?on les deux tiers des debzrquements de la pêche maritime s<r.:l-
17 T' 1:; i y~ .
Lr:s pirogues utilisant les lignes à main et les filets àormazi?s
I's*r:?isc-2p.t de l'ordre de 30 5 de ces débarquements en volum;i.~~cis,l5-~r.rt
d0nr.S lr: wleur commerciale élevée des espèces concernées,& proportion
C:I v;.ieur UC situe aux environs de 70-g (STEQUERT et ail. ,1979).=
:. ii?. 7 -.it dor,c tr$s souhaitable de controler et d'orienter le di:veIo<:pc:..~:~
Ie ce secteur d'une façon rationnelle ,sussi bien du point de vue biolo-
e; .<..
<,A' ,.c C;I:~ du point de vue socio-6conomicue.
;,c; "$' nquc de données statistiques permettant d'&lnborer des p:,r~k.&t?~:
de i;Ccision fiables,utilisableu par les responsables du d6velcpge:::c-,t,
: _ cor2ui.t
le Bentre de Recherc!zes OcCanographicues de Dakar-Tk_icrs;!c 3
. . 2..
u ._ i -,.
."m-cr comme objectif prioritaire,dans un premier temps,la conce?tic~.
;) i.
L.A 1:: 7% 3e au point d'un systeme de recueil:et de traitement des st~~tfr-
t:-~::::: C?C +che indispensables pour la gestion biolopicue rationnelle
(? :; -
. . :.:-f (-)c;.ri; halieutiaues exploités.
CC: tr;Lvnil,commencé propessivenent 2 partir de 1970 par C.CI31 ?A,??'..':
:. yr.1":r,?, L: d e zttre au point len aéthodes d'échantillonna-e et 6re:::tiz;-
.* .;, 3 .J' -) 0 11 Y-.
.:,: .A- <îrDoutir à la mise en place d'un système de recueil des stztL::-
II I
.'.;'--:'.,f: de @c%e dons deux centres de débzrqueaent en 1975 puis 2r.r.s u-.
c-?i ziF,zo cn 1?76.
-.? rsrtir (3e 1977 trois problkmes se sont posés:
-Y!,C?nion du réseau de recueil des données aux autres centres de
<- '?;:- rcue?lf?nt
.
-'!,' 7.
:. i .J- icrtion de Ia wlidit6 des méthodes d'échantillonn?,~e et d'esti~?tl.
-
-;. ---: /J'y; t i s::t ion du traitement des don&es,celles ci devenant tro- vols-
,. -:.I T- '.?!r.e? pou:*. ètre traitées i la main
:af'? !.Y(:thrx?C:: proposi;es pour réaliser ou nmFliorccr 1~:: r!cux y)rfi- 59~:
7 ,: .,.A- I. *TII .-.,?y n-k rut un d6but d'éxncution, aue d~.ns de rare? c~c:,l'r:x~o~::~~f--
,-. -' .:! 7- tics trr>itcments s'est limitée 2u système existant,uais en ;)r<vo;---,-:.
'.*>,Y ?.-
..I ,! :‘ccurc du possible une extension au système futur p.veC un rqi vii-y;
. --
.*
<: r'- i..JCii‘ic,rtions.
AV-nt dt m~~lyser le syatèm partiel de recueil des uzatistic::cs
zq
.‘ e
$c>.e
-.
mis on place par C. CWX?kCGMAT,il convient de dëfinir priici-
<-‘ I.--./)i
. ..:i.. les c aractéristioues des différents paramètres qui constitnen?
Ci-!: statistioues de pêche.
l-1 - Les paramètres recherches
I>f P
-a
nrr?:,Zur‘eS c.ue nous recherchons sont destinés B kire utilirss
..i ..c
I. . ..I I?CS zodèles prévisionnels de dynaminue des popul.ations.Eien enten?::,
1 t-; s rf suit 7-t s sont recherchés J,our chacune des cspEces exploit6er et
;~-~:!r chacune des euatres grandes catégories d'unités de pêche oui nous
c nocrr:cnt,c'ost à dire:
-~iroy~ee; non motorisAos pêchant Et la lipe
-pirO?K!:; motorisGes pêchant 2 la licne
-T-?V
1
;i
*ly 1-ti'i.
L7
-J‘iroF-JC:;
pêchant au filet dormant 4
- hcAA ?&.a. t9ùWY.
'
Cos diffirentcs subdivisions seront sous entendues par la suite.
Los p?rzmFztses dont les modèles de dynx+ïoue des po:)ulations
~::~~!..oitGr~s tentent d'explicuer les évolutions relatives dans le temps
,?. ,a
. . '!.b ;;II nomDre de trois.
7
-l
._
- I -
1
- Le tonnace débarque
Le tonnatre débarqué doit impérativement représenter la totalite de
-y : ::orction effectuée sur le stock.Le recueil des donn4es doit donc
‘? :.>:n", <-y s1;r t OLS les centres de débarquement dans lesquels l*es+ce veut
T;-i.rc ?ré::ente.
1--
1 - 2 - Les indices d'effort de $êche
L'effort de pêche est une Tandeur servant 5 mesurer 1' imnort;.: noe
!1(% y.. n?chc exercée pnr les pPcheurs (effort nnTnin?l) ou yi1bi.e n:.r 16:
:-.: n ;; !.._ (effort effectif).Cet effort de $che est une conbiwison de
.
-'1'~:'-'; ,~il^p indices car?ctfrictirurs de l'activité des unitris Ce -$c?.~.
Il,.57 le cr,s Qe lr: $2che ?iroguière à la ligne 2 main,nar F-.xi?~n1.e,cel~
7 p il&" ;< i y c :
-noTbrc de sorties de pirorTas
-n:)~:brc de sorties de yiro:qcs x nombre moNen de pêcheurs
-no-bre de sorties de piro..gcs x temps mogen paxaé cn :wr
-c t.C...
lT1r~i7t.y-r nart,l'effort nominal pouvant ètrc c.pnlioaé :+vec une
P. . .
c: - _ 1r:‘,ci.t;: v:rir-ble sur un stock,un m&e effort nonin? wut corre7.rS2*~ ':' .
.: i!C:T Ci?OrtS effectifs diff6rç,nts.Pour obtenir une bonne rcpre....r.J::ti;:~
' n -,
!it.: 1;. $C~!C subie pzr le stock,il est dcnc conseille (GVJ,LXIiD ,lo;iJ de
c-Lcaler l*effort de pêche E 2 partir de le capture Uotzle par toute 12
f‘: o--r :.llle I!d eep de la prise par unité d'effort de pêche Xl'3 des seules
. "7 2 A; ,{< y,
s.. .
q-ant ec1 l'espèce considérée comme cible par la forn;ule:
3
Xd
= - ---
PUE
1,: yr~.se pr:s uni-te d'effort cv-t une ,grandeur proportionnelle à l*;~bot:d~nc.
=.,
OiF
L.... Y-i o,...
Le mcthode de calcul exposec ci dessus est importante pour nous,c~r
_,
PJ-- .I
..__ a. __ '2 .r r-71~
, . __A. montre e=n-&&A outil suffit de recueillir les indices
((i 1 c-f”;+
* ”
de pcche pour une partie de la flottille bien chcisie.
1-i-j - Distributions des fréquences de taille dans les d~brrcue~:c:.l~~~:
Le but de ces distributions de fréquences de taille (lonyleur 2 1;;
-;; .<, y. ..L 9
>,..L OU loryueur tctale) est d*obtenir,par l'intermediaire des clefs
Ic~r.,*::c'ur - qc Gteblies par ailleurs,les structures démotraphicy.uc des
C;: i+,Y.:?c?T t,c'est à dire 12 ponction totale en nombre d'individus effect;u<e
t; f2 vl:r-zcune des classes d'age oui composent le stock.
--.
Los distributions de frénuence de taille oue nous recherchons
(; 3jT,'pnAir donc 3,re representatives de la totalite des capiures.K~is,
(', 3 .-. y- ,- ::3'1?s lc verrons ultèrieurement,cela n'implique pas que le rec::2il.
*. (7 ,-.c :;on??es 4&t;e doive ètre effectué dans tous les centres de d6bns-
%rn - ._I *:::l.t.
1
.!. - 2 - Le f,ystErne pr6éxistant
Ce systèrze,m:is en place pr.r C. CILY:PAC;FAT 5 partir de 1970 pozz
ICO-LlS
Fllons cxz.miner l e s m&thoàes d e r e c u e i l d e s donK6es e t
tJ ‘cztinrtion uti.lisées dans ces trois centres.
'1--3~1 - b23hodes de recueil des donn&es
T
&e rccwil des données s’effectue ca deux temps
Il& - 2 -1-l .- Dénombrement des sorties ps;r cztegorie dlcnités C e -2cItr.
Le: cori,ies nuotidiennez d e s rrun-tres cntéyories d’unites d e p$che
( t-G. 1 n P,U?
. . . .a intc~rc~.sent n
e
peuvcrrt p.zs ètre dénombrfies kattxt directercnt
:: t. 2~’ f:.qon Gconomicue.En e f f e t ,ce trzve.i.1 i m p o s e r a i t 12 prGsence c?.~.~s
CI:; 0~e centre d’une nersonne uniquement effectée 2 ce trrvail.Er. coz-zx~-
a.? 1: t.. z-1 c c , c c c: dl’lnornbrements se font yar >‘intermédi?ire de doubles d6co.z?tezj
Lez C<p;.rts e t l e s s o r t i e s d e piropes s e fzisznt @nGr?lF:ze:r,t
.-/,
/ C:?I I’C!’ en+ , f: des heures réfl~liCres,il est donc possible dlclfectucr
_ T’
.
::<c~:r.nte cZ.es piropes présentes sur 12 plege après les di-yx%s en
7 f,T
: . ..<:,C’t un C.em:iCme une fois nue t o u s l e s déb-r-urmentu sari +eminis,
1.0 ::if?t,rence entre les àeux dhcomptes fourni. le nombre de sorties
Ycc:;c;rchC.
C e tr~vcil d o i t b i e n e n t e n d u Etre effectu6 sC!czr&rnent Four cl-~~c-ae
GCY c-..ti:,rories d’unit&s d e pêc!le.Lz, m a j o r i t é d e s r?ifficLltss ~~ovianz~:~-z
cj? cctte s.zTd;:rztion,et il semble nue sur ce point ,l’e:qCriencc de
j f ,z yir??
.u, ‘.tg,llm
j .L et SB conw.issance d o c e n t r e d e déb?rqucnent d;‘.tiu ieauel i.I
-: y ; 1: ;: i 1 1 e s o i t i:ndispensz,ble, l e s mkkhodes prctiques -ouvan~~ ètre ,trSs
ri j f-i’i’rcn5es suivznt les endroits.
1
---2-i-L- Xch-ntillonrwqe lors des débarquements
Pa:r ;lnc joarn?e donn,:e, -cnd:at l a +-iode d e d6b;rnuement ,
i ’ C:.:fi il&t Cl.w le t i e n t s u r 12 glwqe et-enrïuète d e s Ioirorues suivant ses
:;;~r-ii]i]itP~,clc:;t
à dire crue tics, ou’il z. terminé une enr~~~+te,il tin
4A4-+= coxmencc u n e 2utre noir u n e oiro~32e sui vier,t d e à6~l~r;7:~~r.
!$O~S de ch;!cune d e s enoubtec, l?v rcnscirwnentz x~iv;~r:t:: ::.o1;:;
not;‘s:
*
- Tyne d e plSche
- ::ambre de pêcheurs
- Lieu d e n$che
- Prof ontieur
- ::Cure de ci.Gpnrt en mer
- Eeure de retour
- Tczns de route pour arriver P.U lieu de pftche
1
-2
“-2
- Wthodes d'estimation
i: :'.j]S ,q.lloris nrwlyscr les méthodes dlcstimntion do:: l:*:~i Y: ,I) 1" ;t_,
rc;,;.e.;~cj~&s
pour une espèce et une catigorie d"unit4 de :oEc;:*;e,;:~~.~-..: ,/:Y..
:. Y I : ;, 1.. tl c $ti c :n ps dctcr~~in~e.GEn~ralement,le ütrZ!.tC dC tCl!iIji:; ilt~.3..1.: i' . . ,
1: c L..:,; izc,mzi.s le principe reste exactement le même si 1'3:i :.d:,;;:S2
un ;.u-ire découp2"ge.
1 ",. j: ".. 2 c 1 c Zstinntion du torwwgc debrtrqué dc.ns un ter:lrs
.e strate de temps est considérée dans son ensc~mbl~,c:'~.-+
\\,
1.1 1,:
6 :'*-.,
. .
i‘-.i
- .
^ : 2 r:i::uit;'ts de toutes les enquètes,même pr0vena.n-t dc Liffc':-!;:!".
; ;,: i‘" <-
v
- c.ont
'C,C
reg-0uGs.
.
0: ccl. lculc d'abord le poids débarqué par les piropes &.:!::.~,i?.I'!.;r:~
~~~;*Cc CRlCUl uteffectue en plusieurs temps:
-cr.lwl tic 1;. somme des quantités enregistr.Ges en 2oid': F
-c.~.lc~i de la somme des quantités enregistroes en no~-;~;*~i C ; : ': '.
-wlcul du poids moyen des individus mesur6s F,& 1';:iI : Cjf :. ',:a,
ï l:,
(Li,L2, . . . ,Ln) et de la relation longueur poids (F = :.h ,I ..i
l'esphce considérée.
-_
*
(sL1b+;2L2bi . ” . +aL$)
P
=
n
1 il:r, ~nt~nàu,cc calcul de I' n'est po;;sibi#,: CI:;', :.:i I.;.:: 1' : :
' ; ;':.I . cZfectu.Ces et si la relation longueur po:Cz i:::-.t c:(: . : : ." I .:
;: ,:: ~-~~'-i.r~irc tout le travail est bloqué.
1- 2-2-2 - Estimation de le prise par unit6 C:': ,'Y,:..
;hi .F,+?lectionne,parmi toutes les piroc9cs Cc!:;. *.-;: 'I'i 1~. j
Cl'.' rccl:crchG l'espèce considérce.Cette s<slcction :-I-J ;f;- 1
*\\ t:f
(%,..; ': ; ;a(.[; prcd+Lcrmin&s tels fjuc,par exemple,le lien de ?CI:;.~: t:.+ " I:..-
pr,,;'~;.:C:eu.Ces critères de sélection sont bien entendu ?r:i .; 7,-I:;n
1;""..Y
üIi<. ît :-?>:cc et parfois pour quelc:ues espgces ayant ces cO:r,,.i:l~.~)i;~“~~~, 5
,Irî;.'i I~";i('S ,nais absolument pas pour les autres.
?0ur ies pirogues sélectionn&es on calcule alors 17 :7ize :. 1' : : :_,
%..
ùf(!i: ,;"L pc.r une simple division.
1 - ‘;-2-3-
L
Jjist;.ibution des frRauences de taille d:+w II-. c~::,?Y;.
!;< ,
,Lr~tes les mensurations effectuées pour 1'cspGcc et 1.; c:;,,: :.i>-*< :
(: <-..,:.: 'p
I..,
de néche considér6es sont refrroupées pour former XZIC? d : 5: ::r: -.^
-,I rci.c,n de fr&uence de taille brute.
',ix. so3me ces poids EP des individus constituants ce-t:.,c 6 i..,,!;:~-: ";.:..
il i" ;‘r'cncnce c t-1; alors estimée à. l'aide de la rebtion 101,: ;j::zr -FI~<~::*
iJ
b
. X&L *
Lc y;.nno;*!
i. s du tonnage d&berc+é \\$Id et de z P four!-.it Lt. +--~S.,+
f; <::. <;-z* d'uxtrzpolation qui,appliqué%ux effectifs de chc(w-.rT: ;'c:: ,,.
iie tni 2.1~ dc la fréquence brute,fournit les estirncrticl:i:; iI!t :. I~:Ï~:T^..:,~~:
", xi. i.lLC c? e :; individus débarqués pour chacune des cla:;~.es dt, t;::;...:.
:t c- 1,' - ;< c ;! c. iS:;tim:~tion des p:Lr;mCtrf:s pour 1~: r:i,frc:l: e
1:r.e f'c,,ls les estimations faites pour les diîfLr:n-i;s cc S~T::; i
. '1
.: , '. :“" L c ini.:.n; , ce Iles ci doivent gtre regroupées afin de ;YTV.,::IY
',
: . L *
.I 0 ,13ns unioues valables pour le stock dans
I.
sor, i;15"c:'.;.'. <3
I‘~-z:r 1~: tcnnage àdbarcrué et les distribu$j.c.q: .-c r:
':IY.<
. 7 -
I i _‘ _ :: !c; n;*oblOme est simple puisou*il suffit d~elfect::.:::. i2:;
'., : L‘!^::xlti:ts dan ~différants centres.
i::, . ;;li:,c: une‘ combinaison lin&aire des rdsultzts obtenxs Z-.,.:x 1 ..,
!.r
,:. ,;
:‘; I
.-a*yc. :,y" s
f.
c;c:xtres 2vec des oefficicnts tels que ie r?sul~..:. .:G< i. : /
;~ :" 1-c prc *-entatif
, 1
possible de l'abondznce du stock :
i <’ ‘i,>
. t ..A stock, = 41 pUEcentre 1 -i- 92 pmcentre 2 + l ** f cq :j.;::~;~.;*;;<_. “,
-q+-
;C,S p2,r:imttrcs q1,q2, . . . ,qi ,aui pe~uvent positifs ou .2;,: :, !‘<);.;; il:'
2.' ;,i xinés lors de 12 phase de modélisation des p$cherics.$z :b:~in;i
t t ( 2.. :, r c donc ~2s dans le c2dre de notre travail.
les rntlthoâes utilisees.
3 - j - l- Eologie et pêche du tassergal
1 - 3 - 5. - 1 - Les migrations
Le t::sserg21 est une espèce p$lagique de ,grande tzillSz iy.k L;,:'::' :: r :
(i 2: II :.,-T‘"ï
* '-ions de grande amplititude depuis le Cc,p-Eln.nc cc iS1*l~r;i.i:~~;.!.:
2, ,. --y;:~ niveau de 12 presqulile du Cap-Ve:& 3~ S~n$,rn~ (Ci::~.:~~:i~‘;I.~,i;i ‘i.1;’ i ‘, .
J L...‘C i.
Z,;-: descente vers le sud s*effectue de L&
c. c. 'L~GY)
'I c ‘"
j, - 1:: ,. ,.
..Y: ',
._, :ii1c s mifyznts en premier.La remontée,corrcspond:nt rAvs:!c; Y-
y.;,,:. i:;;$e de reproduction,sleffectue d'une façon massive tif, :::.i c:.u
ti '- -:'
i.r. L jain,(fiy.?I)
11 s(:.;~ljlc que cette migration ne concerne que les i~ldiVC.C?~.~.. :i;;:::r::
1s.
:: .-y: r:sC l*:p-cc fi;> 2 ans,les individus plus jeunes restxnt to,l.;e -: ?;i.. ':
ii
. .
1
:'i ï. -, c <2 3. d e r: C;eux prinoip2les zones d'upwz&ling de 1s rG&o:i (-i ?i~~::. !
( C;3d'I.G:&'I et DObZXIN lyT,y)
t
I-j- 172- La pêche du tassergal
Le ;S~OC% de tzssergal se trouve donc situe à cheval L 1:‘s' .3i;..:
V<.ci e:t le ct.s pr2tiquement pour toutes les esp8ces c;rplxiV :c.s q.::I:.:
*
d ‘, cu;tsi t(>ta].it& de ces débarquements; est ccnstituec ps? 2~ jr.;..:.:- ”
i1;,: s’.Ji -i;.;--
AL> <‘une ;tai.lle infèrieure B 50 centimètres.
1-,;-1-2-3- La pêche à la ligne à main sur la C%C ::n?+3
Celte pccherie, saisonnière, concerne les adultes qui rn2.t~~ n.t cle$~:.f 1
1~ -..:..,:,it~~nie.b~gBe
*
2.:; ?iroqr:s p r a t i q u a n t c e t t e a c t i v i t é s o n t base~s dn:.ü 1~3ii: c”, 1
’ . . . -
:‘i 2 ,:$y 1 e long de la c8te : Saint-Louis,Fass-Raye et K:,;+-::? {:?i;;.s 5 j,‘:
f’! “)‘ : : ‘i.c orijri.:::.irbe dc: Saint-Louis s’oriente prescu’ E:xc~:I:.~v: :Y~T:- 7.‘:: I*,..
’ .’ ;;,.;:y
-6
;a~: t:.:;.:c.rgr~l p e n d a n t l a ?èriode d e pr&rence C!~;I; 7-1 .i::?.;::: : 1,
.*+ .
: ) : 2%. t : f-;: l,c’crt 5 6; re de f&vrier 2, juin,et change de port ri ‘: %%I:-~:;I:
‘.
i’ _ ‘i,ian drl:; ZO:;~U d e c o n c e n t r a t i o n . L e s f l o t t i l l e s or5.,.$n*~:‘:~c? i?i. FE-. “.
pt i,rj Y; i Y*, :- -p_ .-zr contre,sont sédentaires et ne s’int&rcszer.-, 2-z ‘;‘.:: :’
TI!C! si les concentrations sont proches.
Cc.i;te g,$&crj.E: e s t d e t r è s l o i n l a p l u s iml~ort;~nte pu:.:. c;:.:: ” :’
( ;: 7; ::-..a(* y $2 ;, i ,>n:; $E: lsordre de ~000 tonnes en IL975 et de +~t
. 3 i. 1.-. ~3:: Y .“%
7..
*::::;;+c cep2nt!snt, que d e p u i s c e t t e é-oque,&es cr:ptu:*e:: s: Y+ .Y ‘, :
. . . . ., ( . . . ;.5on,
;-
pL - Les r:‘sultats obtenus pzr le s>:st èmc e.xi.:’ : ~-5
,
.,
- ,! .- 3
v - 1 - Couverture des pêcheries par le r”: “Y Y. :Y : :’ + 1 ,: ‘: :
^. . ::y::i::ne exista.nt n e c o u v r e que 12 T&c%cnie 5 22 *. : 1,:. : os,
“%.
._j aXi ,?LliS~tA’il n ‘existe que dons trois ct~nt-r:::~?i.,?“-.r :::i.:.
.
-9-
f' ? i ::.:, ?S es$ces,des biais considérables.
8. ..- -J..j - 2 - 2 - 2 -Estimation de la prise par unit& d'effcrt <ii :“?G;+
: ,,7 x.ulc! erreu,p crue l'on puisse envisager du point' de v-i: t:~:
!
?
.,in,::tion de Me prise par unité d'effort de pIcT,e es-k 1 '.~ti 1 r
. . .‘ .;":.:;f.~t
t" L.' i.czs calculs de resultats de pirogues .n*ayant prs eu ~'.Y-$cL
:
.
.: .. :- 2. i ::rt:e comme cible.Ici,il ne s'agit donc plus d'un qoici::,:;lriz
: .
L
,Lc:;:ent d'un mauvais choix des critères de sélection,cc -oirA nli:
h. 'L
t* ri ;i ".
i3>‘V ?;:s partie de notre problème actuel.
411V.,. contre,en ce qui concerne l'estimation de I'effort ,jr: ,;:Z,;>:.:,
: :
L "_ !“c f': ,..làr;j pzs oublier l'intervention des Siais exi,.,,n;s
* *+..-
~C::C 12. i.:
:: t . ?.?i ::r: *
.*. - - ‘_3 - 2 -3 - Distribution des fréquences àe taillr
'Y: 131~s du biais,lié à celui existant 90-w la nrise,l;i.~b~ dc
i,': ', <*?. -lol;;tion des d.istributions de fr&quences,il est ~:Gn~S.:.~:.L:,.. ::
‘.Z.
^ .
.:uc lorwue l'on effectue des mensurations de -cf::sc::;,~i~:: y:.., :
('Z'(- .- y c,YJ-; inconsciemncnt choisis en premie:r.Cumme d;Lns le c.!;; 7~;::::~ :".
y,,.: -.<. i: ix. ?)oissons ;)ar pirogue sont mcszds ce pht~no;n~~nc. !, 1,', : :f.,.:
," .
.:. 1 : 17.; : : _ .
;: : *:-is dze ce type n'a Gté décelQ d2.r~ Lc c ;t "J c;,-;î ,; . ; . ‘L, '('~ " -'
: ..I _
._ .g: .Y fT:utira j-62.nrnoir.s
vérifier eue cela n'est pas lc :;cLs ;j'::,u* $x: ,::..
.
i
c:,s importantes.
.-II-
;?: ,'L:;r .:? I‘CS envisagés.
If- -l.: - I'.k:; objectifs
7
,.-y -., - Zvtinntion des prisus
;Jc rc:uuoll des paramètres perzcttant l'estimation (jr;:: i).:-; z'f u,
Ch.\\, : .',< ,
: ;iy 1c.s prises moyennes par esphe et pcr ;.:or%:c ;.: 1:':
,* _ : ', : ::;:1cul
. . 2
des facteurs dlcxtra~olation (nc::'tr,-CC; 2~. ., . :
L.
., _. -.:..,
\\
2 ..?C i
.,.., <,.. i^:..r, ::OUI* cfiûque cst(gorie drunit&s de pêc~c,<oi.t i,trc c:f':'t,, ;;
3
@< ,.. ;. 0 / : I ' le:: centres dc d6barqucment sans exception.
<. -3
.-_ -L'- ?&CL. indices d'effort de pêche.
" e.
.I ., indices sont utilisés pour déterminer des prirr3r: 2,::' I:. i,:,:
,. ..~
_ : ii::.'u Le ?Cchc,c'est à dire des gr:ndeurs qui doivwv T-t???. :.
t
:---;e,r,ro?or-eyionnelle 2 l'zbond~~cc du stock.Cr,co*dz p ~*;:*:IJ.T!z.
. o::r:;Di ment supposer que,dcns une zone relrtivc-ent ! jr- l%'z~:~
vC ‘iVi ;;aofl&nce est sinon constante,du mohs peu T;c.ri7;LI c \\II
c cor:cC-cence,il suffit ~O>C que ces indices d'cifTo:~l ,i:, ;:C:;h~~
.,d -o:~vc!na'clement
"
recueillis dans un certain no~???:*r 2~ .- :' .<:*Y:. +'
. . .
2, rr-,.er,t r6par‘tis tout au long de la côte.D'a;jtre ;;:LT%~:~:.
I. .3 ,.,
,
<. ." . . I.'
-13-
Les
rl?z.al tzts ainsi obtenus sont cependant de bons i,-,.:: c,: ;. . e,
(2:: ::cr:.rjre de titl:::rquements dans les centres.En effet,si ~II>?;~* :;i:': '::T. .
I .3 -Le i;l~:ii~~~c*" de p$che,le taux d'utilisation peut wrier c:c,;.F< I':-,‘
,..' -i::.* d'une saison A lfautre,pou,- une saison donnGe,il. e::". :'i:r:"' ::
; cmctant ;3our tous les centres.
>;*J,-fS de cilacune des mi ssions de recense,ment 1~ tr::v;‘, i 1 ;' y c : :
Ii,' c.;o' .,-):,L en dvux Fhases.
, ,-
1
-i-.- DGcompte des unités au repos
lIl~:;s avons d6co. ité les pi.roLTlec prcsentes sur .!u 21 '*:, t:!:
1. ;::: -t
:
, .LlY c!e les classer dans l'une àes -quatre:; p:~::d.c~~ L: , ., !
.c. :.c::.:::r;nt d::finies.En fait,dans beaucoup de c: s i?. e:':, ;.:! .:Y . :
-:?>-J r ;:j. UilC yiroguz pratique la pêche 2 la liPz:e ST: 41 : : 1;~.
I : 2 ' ~:uJ,2!1 t plus que les deux erqins peuvent ~;~:Loi:~ .
:
i ca L.‘. . . %i<i:::en t.La r+artition ne peut donc se fz,irc !yi-'~. e :
-',-3:'îerl:les pirogues motoris::es d'une part et les r~ci: : t -_ ~
< iit-'r; ?r,rL,liz pro?n"rtinr r) li!ti lisation des deux engin,:; ..t. ;: _ ." .,,'
*,.-'u ddteruinée C_U*.~ partir des renseignements obtenns L:Y::;";. t..
:;!L(;:“rr-
. . LI.
';
: -._- z-L- Inventaires des unit& parties en pêche
D+Y~c les centres àe faible et moyenne importanco,les j ?i-:Sr.
. i,
L... ;:-i:hc;c 5 gc:raitre.Bans le cas ?résent,ces verir:l;ior,c :'. 5 ;o:':..' :' I-
AI
r,
I L - ,
-
;
-
Rccucil des données e t estimation d e s prisi:c d:.n?~ . : - . ‘:: - :..
Le rc:cucil des indices d’effort de pêche et des :;t-!, Art-;.;*:,:
(8 *:..o; .TLj’-.
-i-.iqucs n1ètan-h effectué que dans les centres LI*,!:.F 1.~: :.:=
I- ..)-
, .‘ ri 3’ ;; C; 0 I; C: .?ucune modification du syst<:me prEcxi st:~zi I>Zi:r i‘i>:
; ; r:.~.2tres.3Icus ne nous occupprwnns donc que de 1’e:;‘;j.m: ti::r. ::t. ;
) se: y~ pi -*effectue en deux temps.
._.
<-ei -1-
_.I
Xstimation du fecteur d’extrapolation
+&c.1Lcllomcnt,dans les centres principnux,cc :‘.. ct.i:..:. .i I. x :.;, .“-
* _
! ~t:,pour une periode, est calculé par le rapport du n;!‘-.’ :*i? ‘: E: 1
/ ’ :, :,or-tic::,f’ourni par des dkcmptes quotidiens, c-V du n(:??.z‘î* ‘Y.;: _ ’
t,; c 8-Iz b.~‘Ac,rrc~ucya c3 ts 6chantillonnC
2.
-
Les d:comptcs qnoticiicnc des nombres de soriic:: :” . . i : ‘j”. ..; i : ‘,
, *
_ v~ Lés personnes recrutees sur glace,et co;zter,t nc:t::2Y.: :’ 7” . i
).i
‘i, : .‘F@ ic 15, OC0 F C F A p a r c e n t r e e t p a r mois.L1w:.ez:.~c:. ,‘,:
.
,:
.1 ï, 2 tocs les centres serait donc très onir<?;;x.
Gant: l e s ce,ntres secondcires,les nombres ccc ;; ::, -1. .;, j
_,
:.o::t peü ~lcv&u, e n consGquence,pour l e s j o u r s d’er.qv>:r Y.. : : *
. .
.; est -)ossiule d’bhantiilonner un nombre 6lev$ 3:: tic: ; : Y~. .
.:rr,c,n-t CLU n o m b r e d e s o r t i e s (4 d e 8 0 ($ ) e t d e dtIco:;~-i..r~ .Y:*
:_ 7 0r.u p;l et.32 enqu&tees NI$E.Le ddbarquement t o t a l POiir 11~ ,‘;;:;?
alors facilement être estimé par:
“$ *.; FcufJ
NE + NKE
1;
= Wde x ,
dj
N E
, * .r \\: c 1’I -
lec dibarqucments &l;sntillonni~s p o u r ? a jO’:;r:‘.~” .18(:: 1::”
oc
% 0 ta1 pour la periode #
ètant alors estimé par :
dp
‘dp = gFJd j ; y
JP - JR
L
JZ
.:T>, t:st le nombre de jours d’enquète pc:~d::nt !z p.I:ricic
.,
1
,‘Z est Ic nombre de jours de la pkriode
.- .)
c 11 est le nombre de jours de repos (fete reii$.::‘.:::c r 03’ .:;I .:.; t.
s J !il er;t facile d e connaitre e n intérrc’ceant lez gZc:.i;..r;,,
Le ::
r
donne-es a* r e c u e i l l i r s o n t d o n c uniq.uczcnt r\\: ..‘, .‘-+‘-,’
. .
;~c~:.JF .:;.* .:
.:c?.l joürc dlcnqubte et JR pour chacune des pcriodec.
A /
AQ
-j-ii-3- Choix de la catégorie d'unitcs de pêche
;;O\\;s avons s&lectionnE les uni-tes de pêche motori:: "r.:, ;;?::>:A: ;.
;_ Ia Iii-e & main pour plusieurs raisons:
- ce sont les plus nombreuses.
-elle:. ~:;surent la majorite des debarquemcnts.
- c lest dans cette catéC;orie que 1 'on trouve 5.a. 213.1;: E'.T:.:":-! :;
6ivc:raitG Urorigine
A
$CS ~J~.?dl~~Ul?:~.
1
- -< rz d~~b2r~~uc;nc:nt:: moyens par sortie sont :g>r l)?C!. [l-:r'f. ;':T
11~s plus diversifiés du point de vue spEcifique,
T
>-..
.A ‘Y..:
donnGes rtScoltées
7
2 .-2-,-y,:; :;,l-:;jtc
,,.
des nombres de debarqcements
?OL.,Y chacun des jours de Ia mission,les d&barqucmentz des
1'1 ycly:aes motorisees pêchant à la ligne ont GtE co~~~.'Sab:i^.i.:;-:.; c,;' ;."
.: i
I
,; i-c par quart d'heure.En feit,aÎin de simplifier 1. 'a~:.*?;.'.‘.~: ,;.r:
_' -.A.
.:t:...~;.ts ont fSt6 ultèrieurement regroupés par tranches n;:;:lc .Z;::,:i.
.,t.t..:x
',
OU d'une heure,
Les dkbarquements sont sensiblement distribugs dans :.e te:u;;)s i'...:.i_-
_I i
..‘W des courbes en cloche (f~).~;rk?&~w~
. .";'-z- Echantillonnage des débarquements
3~6chantillonnage des débarquements a eté effectuz ;Y;:: Ur.;i~
. : '.;, 5:: c 'occuppant chacune d'un secteur de la p1age.Ci:c-i. L ,e~:i;:
*$ t ::, '. _ -. ,> ' p z‘ des taux d'échantillonnage élevés,mais sans to~~tc.foiu
,y .; z 'I (,' ,.
. .
t Yta saturation de lléchantillonneur (tableau r).
*
..(.s donnBes récoltees étaient les mêmes que pour 26::; L t:~;,:: c:'.
-. : ., . .( ‘2 (chapitre 1) sauf en cc qui--concerne les nleï~~~r~i,-:.ii:...~.~_.; ::.' '5:.?
,b ..? .- p,,c
j
_II..
espece rencontrée dans une pirogue y le mr.;-;;;i:ï: ;.::‘. 2.t: p.:.:..- :.~ I.'
. r
OI,+‘ >
:,$i;::lJY&-
‘“9 lcu longueurs ôteint notées dans llor?rc o:; ;>1.: 2:' 'j: '
I
c :'. ::~LI?tT!vs.
3.m" -,.ay,;*
-r
Syse de la validité des méthodes dwéchantillonnc.~:~
? 1
.Ir
z:;alyse de la validité des méthodes d'~chnn't-l1,1cY::-i:~I.- Y :.'Y -
3 . . ' 2 ' g., :: ..;;:
_.. ‘.1/1".. u
espbces principales qui sont llU nombre t!r: c I .i", i,<. "+ 2:
,:-*ir;c -!;o tf,ie.
'e
:;
J-
., '-J l- Estimation des prises
r:o:ll:.lc rlous l'avons dit prd&dsmment,le tGux t3 *(*o~.;~.~:,,~ ; *. <)": :;, .I.
a,-rie considQrablcment au cours de la journée,ce q~lj. pe*uî r.~:~z~I~~cr~
,:i:;;
. biais d'estimation s'il existe des relntions en: ru ?.?:: r;ri:;!;r:
;.:Y' ‘.i'xles et le temps.
.A on effectue une analyse de variante sur le 21oid: L.":; :“:.:.'
:‘ 3 u .i' le.: diîfZrcntes espèces,pour les di.îfZrentcs trc!nc!, 1:' LO:~I:~ 1 -*: :
'- i ,r; ,> :Ta : : '; p +u (> que l'effet heure est trt=s si&.ficntif pc;;r Y.< i~;L.‘,:,' . .
.,t: :‘I:nx ct le total,alors qu'il ne l'est pas pour ici. -,="-*:I;.
G,r- 0.
u:;!:.:: :',
,ZC:ZY rZsultats,obtenus à Knyas pour une pGri:ode li.n:i.:.T> ?'L:.-
P.
_I
^. ; ).1):5 ÜL.,..
- 'cctlve,correcpondent bien avec ce que l'on ?euL :::;Y!;.,;. : !
2 r :,:;c 1:: i,! 0 ;î subjective pour d'autres pèriodes ou dlautrct:: c, :.'ir‘.:~.
'l ) ) -1 .i 4: ,'i, i :; ,les espêces pour lesquelles l'effet horaire c:;-t -_ :::i::'..'.','~~
{ ;_ . a-: .Y 0a Etre diffcrentes suivant les centres et les 'I!T~,:::+:::: :t :.,
j ~.v~:!.3?diou.ne par exemple,on constate pratiquement tou.Lc 1': :.!.:'L
t<
$t:nc:-nce ncgative pour le pageot couplée à une ter.d:,:;cc ;<: :: Lt LT.;.:
;$.:vr l e C a r a n x r h o n c h u s .
Il semble donc que dans les centres princi;zux,on ~o~?i*;~i.2
* ., .
c~;.-;her une part importante des biais d'e.stimatiDn CPT
,, ;IL-I:::rr: c::;
! . CI:: ;il:.r:Tu une stratification par tranche horaire.Catte i!iG lho15c,
1 ;..: s2,tisACaisante,est cependant nettement plus cûutcusc.?~ ei'f'~'L,~
: .I..\\
'.'...'<:cusité,pour le calcul des facteurs d'c~~trclpolatio~~,?.c LT:~-
:*: i ._. *:::Ce des nombres de à&arquements pour chacune des 1,r~:.~ei,t.;: ',c::I.
.' 8" 1 : -:
, b donc la présence d'une personne uniquement c!?r-T,-?c 5~: \\z.!:'-‘
L_
: Ii 1, !: :: *
/* _ vysti?me pr
-_ '<
\\J c
isente d'autre part un avantage non z-r ;:': i,, L ., L : .
: 1 'M .'LoC,il permet de se passer des décomptes des ;iro;--1:er: z;~'t L:
,*
.‘*
: 3: : p .1
sont actucllcment utilicio poür le c,: 1~::;. \\:
. cgcs qui
';. i; ",,l;;':: 2 * cntrspolation.hk cffet,ceo dEcom-tc:; :;cir,t r?*..;.:. ;*s;.:. ;(A-~ I
i:. 2:::: ti r ii,YlC ficùilit6 plus que doutcuse,puiaque rif:~ .coi:7 ;Y~F.:: r; ' .
.__ "
_< - L '; Li a:,1 i:, .
il+.A montré des différences àe plus de II; 5:.
I,Y~ ~ti foui. concerne les cLntres sccondaires,le ;;:.Y): :; ras.::.. ..:Y 1. b
,,* -y:
<
ri:illsa3le pour une journ6e ètant élevé (t d.2 &C 4$JFii: :;-.: -. '7
. 'cxtrcpolation
.-
globale ne peuvent Etre quo Saib1i2i; ç;-: Z.:! 3: :. :-'
<>ation de la stratification horaire ne se justifie donc ;ES.
on,
J- 3-~-~,c r,
.~:trcctures de taille
‘../.
lIfin de vdrifier,l'e%istence,ou non,du biais du XC : , i I .L '_
.::.x,nscient des poissons les plus gros lors des mensx:;'t:l...? ,>‘:,Y :r
, ;::.; çO.,,2 L"
"~~rC,pour chacune des espbces principales,?cu
;Ci (';:; ';j1 *':.I, ,' c s
, : ':,.,
/
., ei:t~f~ucs en retenant successivcmentr
-1 !,? 'L: 1.‘ c:i;,.ijue pirogue les 10 premi&res mensurations efYc:c-i.LTc:
1)
11
Il
(1
5
Il
:t
”
tt
‘I
II
II
3
1,
0
”
,r
11
11
f f
j dernières mensurations ci'fec-; :.C:?r;
it
f t
11
ff
5
II
,,
‘(
II
81
,I
II
10
If
-
f f .
0
Ii
II
II
f l
toutes les mensurations effcc-;.3.:tr
le:: iísultats sont présentés dans le tableau a .
I. .L :~;::.,~~i~ bien que les premiers poissons choisis sont le:: ;:?..x ::Y
?
:,;~;;c:,:;f:~ des frkuences obtenues avec les premicrz pc i '. "'#?.:c. ,' -. '.
. . -ic,,cnt r\\lus &levées que celles obte2ues avec; 1cs 6;: 7;!.~.::;':. c 71 6 :'
. .
:.Y*
.i2
2;ials r&sultant est relativement faible et Petri: i~.,:,c: ; *.:
r: C;I~ -ce qui concerne les utilisations en dyn:.miquc ;?5:: -,cF:IZ..;-
. ."i“
utilisations, comme par cxi .,-i 15 1 1 '.
~ .;i:c.Par contre,pour d'autres
..,!,Y
:.
_i :: croissance par la méthode de PETZRS~,il faudra :::;xs :!s:.iie ,'.:
~ . . . i n
,1 .,. .l. le ce probl$me.
-. 'f 7"'
_' --A-- i..;ze RE ?lace du système
,~,~t;iellement,faute de moyens,le système propos6 n'a ;YTZ c::.c:~z~~.
.
'- i
II'. . 7‘:: -LesUé.
12:: (ji?,tussions qui ont lieu actuellement entre la I:i,I.!;. i::. : :
.-.
. -.
_ :: vue üe 1 fhermonisation des systemes stati:-tif:::c:: .- : .'..: ::-
‘cr.I ., ïers un système très simple théorfnucme.~lttvm:.4. -:Y tt
: : I-i: personnellement &.B irréealisable,En effet, i.2 .'y t -;,f; ;'~' .'
.'
. j sj;:;' iifie journ& dGteninee,dc réaliser un YT.:u i: :~:.;.YY. ;-
.,,
.
! ' ;3(: (Ia 5) ouc l'on puisse nGgli.ger la variabiI!.i.t~ ;::z?:; 'i L:::
. ^ 9 ., -. SC' ;- *" e c; tranches horaires.hkrs,dans un centre corlry.(:
,...L. X;.~I*;?,~ t
,.I i-i .‘L :t: :;uAics journali&res peut etre supZrie*ur L C:>C::, : 7 :.:*:T +;: 1
:.;i ‘, , ;,;-' ".?.>
I -c
&I>L actif ne peut _
enauéter E&rieusenont c-t.2~ .(r' :..; :' i
: ;.c; ,Y>'
L,er.Xl Iaudrai-t donc dans ce cas 8 ou 9 perscw.cs pc-..;.? ;c'; 1.1
., , !" o?jectifs,ce qui me parait prohibitif.
-,-.r,üt;o~nt i :;Cl tien du traitement dos données
De volume des données recueillies lors des eY1~~:i~,'i\\~~~ !j(:;: ci" :
,i,,.:e:;ts
Li: la pêche $iroguière est très iaportant,En e,?1"1:,;'-: '*b :'
i j. ';'C , bien que trois centres seulement Gtaient ûo5co1.r:~': ?'1 : ;! ..II .'*
" ,-
c: 1.' :';;üe~;;ents enquétés chaque année était -1
~up,r:~e.~:iw ;;
:i ;j :;! 5; ; ,~ ,, I
'.
'
1 :
.:,>
"ù-ut des enquetes 5 Yoff a porté ce nombre 5, 11 Ci,<::~ t: ;q l.p.y. : '. .
r;c est prbvisible, n-t, souhaitable,que cette croissance ~~e:t 1):
xhEe.
DC- traitement manuel d'une telle masse de oonn;.:a:,:: tic: y> ::Y ,:i ".
iii. :,atirjfaire a- conditions reu,uises pour 1'utiliSati<?3 q.-s
>.,.<'
: 1 .
$.‘ -
'.. ;-
:fc pêche qui sont:
-Towr
2n mise au point des modèles des yC:chcrlt.:-,: Y G::‘:: 1 :
:i;j;j,dc 2 to'utes les informations de base sur une pGris4: :, i .'_ :ssL
2~ glusieurs années.
-Pour la Gestion rationnelle des pêcheries: c. -zj: ,i:'. j, $T, y' 3
-
,uz::i
..A
r;el des paramètres recquis par les modiiles exis-:.:'r:,;-Lr..
L'informatique est le seul moyen permettant de rZ:.nu~;rz c.1..
." -.-A.
.‘l 1,:. b cxu deux groblèmes,puisqu'elle permet en efîet,d'i:;-s y:":'
cif: stocker une quantité importante de données SOlJ~) UT1 y;': i-t.-J:.; ".."."
et d'y acc@der facilement,et d'autre part d'effectuer .lr?:, z:.;;"Ii'('
t0üY les traitements répétitifs.
iirie chnine de traitement informatique coxporie -11~2 s ';):~:.:t:~ v
d-i- La saisie des données
'
Cette phase,qui correspond à la codification des (li:n-r;Te..: -.:. ?
1 (,'. & ^ txnsfcrt sur support informatique,revêt une i:.:po:?:,.:(::: :.;:v .
<. ; ,7 ,*.-p.;-.y
. ,.,., ,,.,.le.Xn ef'fet,toute donnee non enregistr&e ,ci ce II: i-; L: :::% :. Y-
~?. *,, . . .
. .
! oi::blemont perdue&'d'une psrt,et d'autre part il f7;.;2'i, c:$: Y!,'.
:?Y F:::c: lx plus lente de‘la chaine.
Los conditions de transfert de transfert K-X vu;;i,);~I z r-~ P<. y.--
.& L I. I.> .'
:~:~i,<:..ue' disponibles au C!!ODT è-tant fig6es (format ctrli?) 4;A~>,.:', .-i
y 1.'- &ï'*:Jrl:; que du problEme de In codification.
-,
1:;: z;I,;ème de codification mis au point (&YWYF
\\ . . ..-- *
,j ' ..a : .1. ? ." :- t-
;.::t:~e1~.~1anU a été conçus en fonction des critore: ~c;l~::.~'..:::
4on;:crvation maximale de lVinformation +Se SO;LS s* L,'.. i'c. I';:, 9,; i ;. i
h.se.
-Optimisation du temps nécessaire à la codificatior XL:;.;
tenir compte de la complexité qui en r6sulte G-Ù ::.iveau C:L;
la programmation.
-Possibilité de rédiger les programmes de traitement en
Le syutkno rksultant de ces contraintes e s t f~ct~el~.c~~:,~~’
.i ,<1 . I
:.tilis< en routine avec une rapidité satisfaisante.
La crl-'ntion future de fichiers correspondants T:.UX (::j ;~r-:; : <.
crntres secondaires pourra facilement ètre effectckc S;;P~::.~;!. 1...
erkéa principes,en utilisant les mêmes tables de codifl.c;:;.*~.9~~.
&j -2- La validation des données
Lors de la codificction ou du transfert sur ~LI;;~~T-> 3:11';7~' :.<.Y ..Y.
2~: &nr&y, il est possible qu'un certain nombre dlerr;:;lr:: i-il5-L.L .T:,'
c; If cctuCer. Il es-t indispensable de- dgtecter et de oorrii.c:r ~C:C :.. ,":
i, :
. i cller existent,avant de passer & la phase de tra:ito:r,r:.l~,;~
Cette -hase de validation des do&Ges est d~lo;nE:nt II:.~ i#;::". f
1 ;;: ,;: ;1: e c t il a été décidé diessayer de la raccoursir au ',~.,:::'T;I~:'..I-!:J.'-.,-
!. il.::. 2' L...C
.i'l ,nt,cela conduit à décomposer le travail en p1usS.a;:~::: C ;. :;:L-
corl,r~e~~~ondcnts chacunes à un type d'erreur pr8cis.
iJn ?rtixier programme,appellé PIROTEC et redigi en C%;(!L, o :.:i 'Y,, <
:t,: . 5: quc,icc des enregistrements d'information et dctectc -.c::; C:T;'FL Y
d'orCrc -usement technique.(A-nwxw )
ii:; ::ccond programme,a?pellé LI2O53 et rédi$ e:? ?:>Y';..'?:.?:,! i _ .: <
!, 8:;: !-,0x1 xc, de sorties journaliers dans un format permet,,;..:.? u:':
controle visuel rapide.(W )
-:u1 troisième programae,a2pelle VRKE53 et rridE,$ en ZYIXR~::~
,,' - __. i .T‘ie la plausibilité des mensurations enregistrées >c",;? c:~.::.;':-
1 1. GZ avec une table des tailles minimales et maxix~ie:; ::..Y o:,:cI. i:..
-Le dernier programme de cette série,ap?ellie ;)IRC;T;:~,~;~:;~:~~~.I;~~:
'.?2
- bl - G
,i en FORTFXP?,effectue les est&mations des prises su.'-TITn‘t 'k
t' +::.ode indiquée dans le chapitre 1,ce qui permet & u%c ;,~.r;jon:-:r:
;-,“:".y;. i::sant bien la pêcherie de vkifier globalement qu"11. ?~e
.l
. 0, ,i.r.,:e aucuno aberration.Les r&sultats fournis par ce 'rr:~~;.;r: :::e
* ;: \\iC>'" i
<.Ij" ùtre utilisés directement pour la gestion dis pt:c;.~*r;e::~k ,'.;
,.:. I
.-
‘1... ne soient pas présentés d'une façon très a@ablc ~o::r i:f
-L ,.,<?.. .I 7
c . . . ,. .c.
;: *- 3 -3 ;y
/
traitement des données
;,P:: traitements des donnees sont de deux typer:rdri:~:. ::'.z:. ? t:'
-/ ..,.,::en<s
,, :
de routine visant à dtablir les statistinycz Lr. ;;rk .oY
.?i
t: <'. ":'art de pêche et de structures de taille,et d'autre-::Lr‘t; 1,~:
.‘ ,.,‘_ L .t. .
,.lii ..Q~~:;r.e-,ts d'analyse ponctuels.
r-;-1- Les
traitements de routine
k -.l-l-7_- PrSscs et effort de pêche
*Cc-b-Le phase a été décomposée en deux,en vue de I!'L::.;sY
;: . <<? ,e 1'
L‘ .s ..,*, Y vkxc aux centres secondaires.
.5 -3- IL-l-Crktion d'un fichier'lprise et effort de pecht" :I?I:~ ,:';.:..
pour tous les engins
3
::.J;; ni d'un centre principal et Ilautre de tous ii;:; T..,'~':..Y
:. -
IL_, <.1'*2s correspondants pour .obtenir un fichier"SBctel:~':~i‘- :i' ' :', '-
r.cmzation de tous les fichiers "secteur" d'obtenir \\In :!‘:.Y .:I en:
:
..
,1 r. 7
..<-A.*
Le premier programme appellé PPG053 calcule lau
“
p;;i. ii..: :..;.; .,
CCL; individus débarques 5 l'aide des relations P= aLb * (,li, 'wf+;.;q ,".^, ..,:
Le second appellé PPG153 calcule les efforts de pZc>îc ::f, 1:~~
J', (.-.euyu
il-
d'extrapolation.(-&wwx+- >
Le troisiGme,PPG253,effectue les estimations fin;,:;~; ;I:L: :\\:A.: :
et 1'Qkriture du fichier.
$-3- 1-l-?-Edition des archives statistiques
A partir du fichier prSc6demment cré6,une chaine UC *
. . '*y-_
.-*a., pr;>:;w*:
.z'CO ay~pclltr ARC053 et AIX153 effectue l*ddition dcu ::::.r:..iv<:~:
: -!.::ti::ziques dans un format directement ?XprOdUctib~e II. IF: .,-.
t b. * ,i: :, 0. t ,, f"' ‘,,, '. : 8
'P
i r.!!ncxe 4J
:;->-1-2- Les structures de taille-‘
IX! tzaiteaent correspondant aux structurêu ~?~~:~:;.~:::-~:r.i..;,:i..:: n f :i
: , . ,;;o::r le moment,été consid&ré totalement comme X: ZT-L~~:::::: nr.i ,iz
='o,lii::o,ç'est i dire qu'il n'est pas prCvu d'iditcr de:: S,~okS.~!r.*-:..
.
5Tn pro~ramme,appcllé AFREP53 itnblit les distrii-;u-; i..;:;:, iii-
2 ~ z
i.,, .;;'i:::. ûe
I
programme ne subira aucune modification,il :;u??'i~ :,i::; 1 :
;
?
.
C ? Iii focrnir,pour l'extrapolation,les captures c3rreT;-cII::j;,,;rl _ ,
.
: If :
:f.,l i;.:Lit6 du secteur.
, .
2" .-.:.... 7 l.&:;rz rimes correspondants peuvent fort >Le:, :'i ' C.i.:b,; si; i 1.t '.
~.f ., 1 .3.x ou deux fois puis perdre tout in-béret.
Vc~cndnnt,dans notre cas,,&~~~~22 programmes de cct;Te *. I , c; 1'; ,'b
rilvtTlk particulièrement utiles:
-Drune part le programme QZKPj3 qui permet dln:l:~l;;~ .Y *- .l..*~
.8\\ I .:.
1. c::: re ,ln fr&uentation des diffirents lieux de -êckr: >:;,:a : :.I:: *
‘. ' .
I, I %. =i;i;nis
2
de montrer,en particulicr,que pratiquemer:?; _I. '.s' * '
I
.., _': r.viron des unités débarquant à Saint-Louis ~&c!-!c::<; ! .:. :i. :.
','.-
. . . .2ritacicnnes,
-i:"autre part,le programme EE'PIR53 permet de v&ril'i,;? ,:Y:" :.*
. i If
'7 existe ou non *une piriodicite hebdomadaire du poiii" *::: : :
:.:.i:,i~res àe sorties en mer.
,-4-Conclusions
II
11 ;;cmkle,que d;:ns les conditions adtuelles,cc c':i.:..,:':; 'f: :.,
Airzitc;;s-,t est satisfaisant.Cependant,il est certain ,-,Ilc: *i!::: ,YI :...,-
fic;tions et des extensions devront lui ètre a-flort2e:: d:..~ c-.;-c :-.:
Lc/UL,,
--> ;a--(= statistique unique CROaT - DOPK aura et6 mi: E 1; :?.j:..:'t ,Y * ;, . . "
.
9-2 Y%, .Lcl est certain que le passage~pr&isi?lle ,Z moyen tc!.:Bii,L ::'-
oy-dinateur trzvaillant en conversationnel ~ermst+ra d 1 "'.,,-'i..:.ciz'C.i
L ._,.
a
r:ot:.ble::er:?, 12 rapidité d'ex&cution du travail,en ~:ïrtic:~'L:i CT XI;
niveau de la validation des données.
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“.,
I._
..^-.I.M-.-.--
b
” i -
Zoriclurions
C(j;mc nous l'avozs vu dans le premier ckapitre,;e :;~;'-,.;c
modifications propos6es dans ce tra;ail,s2, t::L: NUL C-Y. --l.
Le.-
_
1 \\ 1 'i ,
c, z , devrnient permettre ,sans aucun doute une crnili.::.~.~:~ Y:.
2,;
;: la qualité des résultats,par la sugpressio-, de:. ;_I.: . :
.._
. ..l-i cr'Âcts horaires,et l'extension du reseau.
Cependant,s'il nous est possible d'intervenir EU n;-~~: .: <.. Y
:ii:-zses;;ion des binis,cela n'est plus-le cas en ce ,:ui ; . ;r, 2 ~; i. . r' 1 ;
.
.
- zGcision.3n effet,la variabilité des population: S tTv:.: ::-Li I.,.,...
? -xnt donnce,la prCcision que l'on peut obtenir ne d+z>,6 5~2 ci:
- , LX d;<chnntillonnage que l'on peutréaliser et deni: C:L!, 'T.,:";-
il ,:,>c>r.5;-les.Or,actuellemment,les taux d'échantil?ow;~~c I:'UC: ;;t::
~~c~uvons appliquer à Rayar pendant la grande camga;~~c :itr ,-?.:';L:
cO%lbiS.sent 2 des coefficientsàe variation (moyenne/~~c:~~; :.;,~~i'i
CCL; crtimstions de la prise moyenne par sortie si$ui;s C;I.% ~'1 ~s.:':,Y.:.
ce O.CO;Ce qui est très insuffisant.
Il sempble donc que la mise en commun des moyens ci ;y,:; T, ,;i ,j, :,,;.~ ;i ;: "'.. ;
;a Direction de 1'0césnographie et des Pêches Kz5times CL. Ic C::;::::I
t ,f:
<-, ,*. Ij -)
3cchcrches Océanographiques de Dakar Thiaroye soit 1: u..r.~
t.::;:c,S.r possible d'obtenir un jour des estimations c~ffi:.c.::r,ti::7;
pyrtcj.scs.
Bibliographie
‘. 11.1-x * ~
~.;..:=.:iD
p*) - 1978 -Pre;aiers traitcmc2ts dev C~O~:;~:L:. i: : ,..z“-.
~c?.a~,-!,i~lo~~n~ge de 13 pêche nrtisannle & F:;::J:~:T(::I:~. ; ;’ .:;j) I
::c;:-d;ta;s partiels et conclusions pïoViSo1rCs.~~~~i~,‘.~~~, “:;‘.s, :
i.r,tei;ge O.R.S.T.O,K.,Centre OcCanolo&que de I!ret::,;.:. G f :‘:i '. ',
, ,,;i5::pLxl (p,) et r 'MEA (A.) - y?80 -La pêche ?1:*o~.;-i.'.;~t . . -::
;**J Sfneeal.D~Sarque~ents à Saint-Louis et t 'P::.;;::L~ f i'. 1, 'Ii;.
~~rcil, Cent. Rech, Ocesnofrr. Dakar-Thiamyc,n'&,
‘:~~:~~3.23 (?.) et SAK3A (A.) -en -reparation- La -CC~C i 1 I:
7 , ..,, :
I .,Ltinc; au Sénégal.Répartition géographique :"s:i:oi.. '
dif'f~rcn*es catégories.d'unités de pêche.Doc. Sclr !',:.Y-! : _-
occranoij;2.
Dakar-Thiaroye, .
i.iSFJsE (v. JJ,) -1978 -Les résultzts de 1~ pi$che ET~: ::; ri: :' ;. i. '"
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•~.-+Yto*,$&J
-i,; -,f>P,n?-$ r)
~*.*,_-
L-Ga~LI (C.) et DORAIN (F.)-19734igrations des >oi;:;':j:.::. ,: '.
le long des côtes ouest-africaines de 10 a 2i+c'i<.1r;r. : ir. :;Y.
'.
duction des espèces exploit&es dans le golfe c'e Z:;:;..i': 1:*' ‘lI
du grou;>e de +avail I.S.R.A. - O.R..S.T.O.K. Dec, :I:ci * b?> ::: I,
Rech. Océanogr. Dakar-Thiaroye,68.
;,: ;07J (9. ) ,BI~RGEZMLD (P.) et S,EEBP, (A,)-,en pr~~~r~t:lo~;-::~::'i.~~:.~..
_: 1.
2 116tutie de 10. pêcheyie de Kayar.Etude ciru;le pr.:t:c r'.?:.~ Y*.*:; .-.-
t <a -I G du suréchantillonnage de 1978 concernant les ~~I'ZY:.JYI
motorisGes péchant à la ligne.
:..,2;~:~iXi!':l (B.1 et BERC%URD (P,) -1978-h pêche a.~ti;;;.;~~Zc ,.a' :*.Y i 'I
2.2 S&égal.Document presenté à la pzwxi&re ~~'uz+~i~c~ (2 y I ':r2?:::';;:
d-2 conni% sous régional des pêches.Daknr 8-10 ~zi '?C"i‘:.
:.:'~.;LGi:HT (B. > ,BRUGGE (1;r.J. ) ,S~RKG&RD (IL ),FREOK (F s ) CU:, :; fi :+::.A', l, .' ;
-17 i i-L:i p$che artisanale maritine au Jiniigal.:(::~~d~:: ?i::, i", ."
+-.-
*a. -I
rr> d,e la pêche er1 19’70 et 1/77,asyects ‘hi03 rj,~~;~~.-.: :. t,.*c:*. ‘,.I.-
z 5 xcs.!)oc. Sci. Cent. Rech. Océanogr. Dnl:i;~~-ii':I?~~~~..~ :,'J‘j.,
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. tzb2cau m taux dléchz.ntillonna&e obtenus durmt la xiuvislr
dans 3.c coin oupèrieur gauchc:nombrc do d;:b~i-rpuc;~.ciz.';r..
dam 10 coin ir,f&rieur droit, :'Luux d'6CffiS,iillG:::lir.:;,:
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taux de présence des 7rincimlcs C=$CC~ C**:m
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L PECHE PIROGUIERE MARITIME A LA LIGNE ET AU FILET DO@tANT
AU SENEGAL
PROPOSITIONS POUR L'AMELIORATION DU SYSTEME
DE RECUEIL ET DE TRAITEMENT DES STATISTIQUES DE PECdit
UTILISE PAR LE C,kaO,DaTt
PAR
PIERRE BERGERARD
T
1.2 79~3~ piro~tii2re maritime ii la lise et au filet dorz:z~t 2ü
SCn~Lcl.Pr~~o~~itions pour 1'cmÉliorntion àu syst&me de recueil
c.iY cie tziiemcnt des statistiques de pêcke utilise par le Centre
Cc lecherc!les Oceanographiques de Dakar-Thiaroye.
Iiémoire d'ilève
P. BERGTWXD
!..vcrtir;ue:zc:nt /
.-
I.cr. rC::ultats pr5scnt6s dans ce mcmoire ont d-t& OLtCniiL: 6fi
cY21~.tsï~L ti.02 avec oonsieur A. SXBA chercheur de l'Institut
-. .
s&gzlais de RecEerches Agricoles. "
.
L, pCche piroguiêrc, maritime à la ligne et au filet dorinant
. . . .
cor,stitue au tjenegal une part importante de l'activite econorolque,
::*:CC environ 40 000 tonnes débarquées annuellement.
Le manque de statistiques fiables permettant d'élaborer des
- 7
:'.d-.'lier: de gestion rationnelle de ce secteur a conduit le Centre
'_
<: Y 3c:cherchca Océsnogrz~hiques de Dakar Thiaroye è se fixer comme
oljjectif pr:;orita“me,la mise au point d'un système de recueil des
:,tztictjq:Jes
de pêche de ce secteur.
IA!!; 5 tatistiqucs de pêche sont compou6es de trois ~cram5r5xei::
._ 1. .J p ri :: t? s 9 ?es
--
indiccs d'effort de pêche et les structures de ttil-
9c.L'w::iyss de l'utilisation de ces paramètres permet de dG:finir
3
ier: caract6::istiq-33s qu'ils doivent avoir.
Les ré:;ültats obtenus par le système stcltistique,rniz 2.J poirt
n.:r C.C%.XZ'~Gi~kT,qui est actuellement utilis6,montrent d'une part
q:;e 1.2 cozvert:lre des pêcheries est trQs insuffisante et d'c.ltre
va ,- T.-
-.
'-'LA (r Q-JC le:; estimtions des d&barquements dans un centre de d<brir-
~üe7en-t peuvent,dans certains cas,ètre très fortement bia.is&s (30 2
‘<O f;>
Los inventaires et les repartitions gGo.gra)hiquec des diffl-
xrites cat&,Tor5es d'unités de pêche conduisent 5 proposer une ex-
zc-,:;ior: tic ::ysteme 5 toute la côte subdivisce en 11 recteurs.Cha~~re
stic:eur com:;,crte un centre' principal dans lequel tous les ?a:raz&tres
c. 3 2 t ichantillonn~s et un nozbre variable de centres secondaires
Ca:;s le2que:ls ILes prises,seules,sont échantillonnées.Ce ryst~ke,
-;est( &%~ tiewu, secteurs depuis le début de ljTj,parait glob~iemen~
=~~tisîtisant.~gextcnuion du reseau n'est actuellement b1oquG que
?::.r lc: :nanq:~e de personnel.
Le2 donnc2ou rccucillies lors d'une mission d~i:cha~tillonn~;.~~e
i;-t(ys-jf d 1 ;Ane semaine dans un centre de d<barquencnt princi;czl,
. .
.jLx-.ettent de montrer que les biais d'estimation des prises :?OU~-
:'.icnt Ztre notablement diminu6s si l'on effectüairE une strati-
IAc;~ti~n
3-z
?ar tranche horaire lors des 6chantillonnaees des dgbar-
q,c:.;ty,'":>. bne r<aultnts,objactif pour ce centre de d&arqumcnt,
j:~A~(..-;)Ol:J b.ien EVéC C C C~UC 1’02 peut constater d '-kne î;<:on ;31:~:;
:-~;*:tectii~e dans lo.a autres centres principaux.Ceci conduit a r,rû-
::s::cr l'utiiisation d'une stratification horaire dans tous les
(;,,;.!-tirp'-
- ru.
Lc vol-me des donnces recueillies lors des cnquZtec des dG-
:: x~:~c:::i:n~:s est trop import an-t pour être traitL valcblczent L la
..> v., IS. 7Zt2 Ck-,ine de traitement informatique comprenant >lusicurs
T,J. Q C.
I _.,A" -es a 6ti à&veloppée.
La codification des donnoes a 6té conçue en privi?&~iûnt X2
r::?idit6 et la conservation maximale des donn~zes sous leur forze
Ti L validation des donn&es a é-t6 scindée en quatre pro~rz.m;:;~r~
C:i: <ii cction des erreurs permettant des corrections rapides.
Le I-L traiteaents de routine comportent une chaine de cinq
~;l'o,~r'.x::.er:
._
aboutissants 2 l'%ition des statistiques de -rise. et
[: l(::‘j-()yt Le -sc:& sous une forme directement ?ubliable,et un pro-
~~~r::rzrre :~crmettent de regrouper et de traiter les distributions de
f&::~xx-icer- de tixille.
5.2. chaine de traitemcnt,utilisée actuellement en ro.d-Linê,a
- i '
'_ v conque de telle maniere qu'elle doive subir le mini:m:un: de
::o~~i~lcetions si les amëliorations du systGme que*nous uvons
r-r>.--oL;~
!'& ",u
sont appliquées.
c
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La. ?zche nirociere maritime constitue nU Sdnépl un :~ecte:X:
J ,-. -, c
u. Lr ;:ctif ct t&s important dt: l'économie.En effet,les tonnaces
,.
.
2 ,.:.r47ui:s dzns les nombreux centres de pêche rGpartis tout 2'1: 10n,:y
\\-; (; I: 500 kilorr2tres de c8testticu+rieu.rs à 100 000 tonnes,re~~rérei~t~;n;
.r I.-.vi?on les deux tiers des debzrquements de la pêche maritime s<r.:l-
17 T' 1:; i y~ .
Lr:s pirogues utilisant les lignes à main et les filets àormazi?s
I's*r:?isc-2p.t de l'ordre de 30 5 de ces débarquements en volum;i.~~cis,l5-~r.rt
d0nr.S lr: wleur commerciale élevée des espèces concernées,& proportion
C:I v;.ieur UC situe aux environs de 70-g (STEQUERT et ail. ,1979).=
:. ii?. 7 -.it dor,c tr$s souhaitable de controler et d'orienter le di:veIo<:pc:..~:~
Ie ce secteur d'une façon rationnelle ,sussi bien du point de vue biolo-
e; .<..
<,A' ,.c C;I:~ du point de vue socio-6conomicue.
;,c; "$' nquc de données statistiques permettant d'&lnborer des p:,r~k.&t?~:
de i;Ccision fiables,utilisableu par les responsables du d6velcpge:::c-,t,
: _ cor2ui.t
le Bentre de Recherc!zes OcCanographicues de Dakar-Tk_icrs;!c 3
. . 2..
u ._ i -,.
."m-cr comme objectif prioritaire,dans un premier temps,la conce?tic~.
;) i.
L.A 1:: 7% 3e au point d'un systeme de recueil:et de traitement des st~~tfr-
t:-~::::: C?C +che indispensables pour la gestion biolopicue rationnelle
(? :; -
. . :.:-f (-)c;.ri; halieutiaues exploités.
CC: tr;Lvnil,commencé propessivenent 2 partir de 1970 par C.CI31 ?A,??'..':
:. yr.1":r,?, L: d e zttre au point len aéthodes d'échantillonna-e et 6re:::tiz;-
.* .;, 3 .J' -) 0 11 Y-.
.:,: .A- <îrDoutir à la mise en place d'un système de recueil des stztL::-
II I
.'.;'--:'.,f: de @c%e dons deux centres de débzrqueaent en 1975 puis 2r.r.s u-.
c-?i ziF,zo cn 1?76.
-.? rsrtir (3e 1977 trois problkmes se sont posés:
-Y!,C?nion du réseau de recueil des données aux autres centres de
<- '?;:- rcue?lf?nt
.
-'!,' 7.
:. i .J- icrtion de Ia wlidit6 des méthodes d'échantillonn?,~e et d'esti~?tl.
-
-;. ---: /J'y; t i s::t ion du traitement des don&es,celles ci devenant tro- vols-
,. -:.I T- '.?!r.e? pou:*. ètre traitées i la main
:af'? !.Y(:thrx?C:: proposi;es pour réaliser ou nmFliorccr 1~:: r!cux y)rfi- 59~:
7 ,: .,.A- I. *TII .-.,?y n-k rut un d6but d'éxncution, aue d~.ns de rare? c~c:,l'r:x~o~::~~f--
,-. -' .:! 7- tics trr>itcments s'est limitée 2u système existant,uais en ;)r<vo;---,-:.
'.*>,Y ?.-
..I ,! :‘ccurc du possible une extension au système futur p.veC un rqi vii-y;
. --
.*
<: r'- i..JCii‘ic,rtions.
AV-nt dt m~~lyser le syatèm partiel de recueil des uzatistic::cs
zq
.‘ e
$c>.e
-.
mis on place par C. CWX?kCGMAT,il convient de dëfinir priici-
<-‘ I.--./)i
. ..:i.. les c aractéristioues des différents paramètres qui constitnen?
Ci-!: statistioues de pêche.
l-1 - Les paramètres recherches
I>f P
-a
nrr?:,Zur‘eS c.ue nous recherchons sont destinés B kire utilirss
..i ..c
I. . ..I I?CS zodèles prévisionnels de dynaminue des popul.ations.Eien enten?::,
1 t-; s rf suit 7-t s sont recherchés J,our chacune des cspEces exploit6er et
;~-~:!r chacune des euatres grandes catégories d'unités de pêche oui nous
c nocrr:cnt,c'ost à dire:
-~iroy~ee; non motorisAos pêchant Et la lipe
-pirO?K!:; motorisGes pêchant 2 la licne
-T-?V
1
;i
*ly 1-ti'i.
L7
-J‘iroF-JC:;
pêchant au filet dormant 4
- hcAA ?&.a. t9ùWY.
'
Cos diffirentcs subdivisions seront sous entendues par la suite.
Los p?rzmFztses dont les modèles de dynx+ïoue des po:)ulations
~::~~!..oitGr~s tentent d'explicuer les évolutions relatives dans le temps
,?. ,a
. . '!.b ;;II nomDre de trois.
7
-l
._
- I -
1
- Le tonnace débarque
Le tonnatre débarqué doit impérativement représenter la totalite de
-y : ::orction effectuée sur le stock.Le recueil des donn4es doit donc
‘? :.>:n", <-y s1;r t OLS les centres de débarquement dans lesquels l*es+ce veut
T;-i.rc ?ré::ente.
1--
1 - 2 - Les indices d'effort de $êche
L'effort de pêche est une Tandeur servant 5 mesurer 1' imnort;.: noe
!1(% y.. n?chc exercée pnr les pPcheurs (effort nnTnin?l) ou yi1bi.e n:.r 16:
:-.: n ;; !.._ (effort effectif).Cet effort de $che est une conbiwison de
.
-'1'~:'-'; ,~il^p indices car?ctfrictirurs de l'activité des unitris Ce -$c?.~.
Il,.57 le cr,s Qe lr: $2che ?iroguière à la ligne 2 main,nar F-.xi?~n1.e,cel~
7 p il&" ;< i y c :
-noTbrc de sorties de pirorTas
-n:)~:brc de sorties de yiro:qcs x nombre moNen de pêcheurs
-no-bre de sorties de piro..gcs x temps mogen paxaé cn :wr
-c t.C...
lT1r~i7t.y-r nart,l'effort nominal pouvant ètrc c.pnlioaé :+vec une
P. . .
c: - _ 1r:‘,ci.t;: v:rir-ble sur un stock,un m&e effort nonin? wut corre7.rS2*~ ':' .
.: i!C:T Ci?OrtS effectifs diff6rç,nts.Pour obtenir une bonne rcpre....r.J::ti;:~
' n -,
!it.: 1;. $C~!C subie pzr le stock,il est dcnc conseille (GVJ,LXIiD ,lo;iJ de
c-Lcaler l*effort de pêche E 2 partir de le capture Uotzle par toute 12
f‘: o--r :.llle I!d eep de la prise par unité d'effort de pêche Xl'3 des seules
. "7 2 A; ,{< y,
s.. .
q-ant ec1 l'espèce considérée comme cible par la forn;ule:
3
Xd
= - ---
PUE
1,: yr~.se pr:s uni-te d'effort cv-t une ,grandeur proportionnelle à l*;~bot:d~nc.
=.,
OiF
L.... Y-i o,...
Le mcthode de calcul exposec ci dessus est importante pour nous,c~r
_,
PJ-- .I
..__ a. __ '2 .r r-71~
, . __A. montre e=n-&&A outil suffit de recueillir les indices
((i 1 c-f”;+
* ”
de pcche pour une partie de la flottille bien chcisie.
1-i-j - Distributions des fréquences de taille dans les d~brrcue~:c:.l~~~:
Le but de ces distributions de fréquences de taille (lonyleur 2 1;;
-;; .<, y. ..L 9
>,..L OU loryueur tctale) est d*obtenir,par l'intermediaire des clefs
Ic~r.,*::c'ur - qc Gteblies par ailleurs,les structures démotraphicy.uc des
C;: i+,Y.:?c?T t,c'est à dire 12 ponction totale en nombre d'individus effect;u<e
t; f2 vl:r-zcune des classes d'age oui composent le stock.
--.
Los distributions de frénuence de taille oue nous recherchons
(; 3jT,'pnAir donc 3,re representatives de la totalite des capiures.K~is,
(', 3 .-. y- ,- ::3'1?s lc verrons ultèrieurement,cela n'implique pas que le rec::2il.
*. (7 ,-.c :;on??es 4&t;e doive ètre effectué dans tous les centres de d6bns-
%rn - ._I *:::l.t.
1
.!. - 2 - Le f,ystErne pr6éxistant
Ce systèrze,m:is en place pr.r C. CILY:PAC;FAT 5 partir de 1970 pozz
ICO-LlS
Fllons cxz.miner l e s m&thoàes d e r e c u e i l d e s donK6es e t
tJ ‘cztinrtion uti.lisées dans ces trois centres.
'1--3~1 - b23hodes de recueil des donn&es
T
&e rccwil des données s’effectue ca deux temps
Il& - 2 -1-l .- Dénombrement des sorties ps;r cztegorie dlcnités C e -2cItr.
Le: cori,ies nuotidiennez d e s rrun-tres cntéyories d’unites d e p$che
( t-G. 1 n P,U?
. . . .a intc~rc~.sent n
e
peuvcrrt p.zs ètre dénombrfies kattxt directercnt
:: t. 2~’ f:.qon Gconomicue.En e f f e t ,ce trzve.i.1 i m p o s e r a i t 12 prGsence c?.~.~s
CI:; 0~e centre d’une nersonne uniquement effectée 2 ce trrvail.Er. coz-zx~-
a.? 1: t.. z-1 c c , c c c: dl’lnornbrements se font yar >‘intermédi?ire de doubles d6co.z?tezj
Lez C<p;.rts e t l e s s o r t i e s d e piropes s e fzisznt @nGr?lF:ze:r,t
.-/,
/ C:?I I’C!’ en+ , f: des heures réfl~liCres,il est donc possible dlclfectucr
_ T’
.
::<c~:r.nte cZ.es piropes présentes sur 12 plege après les di-yx%s en
7 f,T
: . ..<:,C’t un C.em:iCme une fois nue t o u s l e s déb-r-urmentu sari +eminis,
1.0 ::if?t,rence entre les àeux dhcomptes fourni. le nombre de sorties
Ycc:;c;rchC.
C e tr~vcil d o i t b i e n e n t e n d u Etre effectu6 sC!czr&rnent Four cl-~~c-ae
GCY c-..ti:,rories d’unit&s d e pêc!le.Lz, m a j o r i t é d e s r?ifficLltss ~~ovianz~:~-z
cj? cctte s.zTd;:rztion,et il semble nue sur ce point ,l’e:qCriencc de
j f ,z yir??
.u, ‘.tg,llm
j .L et SB conw.issance d o c e n t r e d e déb?rqucnent d;‘.tiu ieauel i.I
-: y ; 1: ;: i 1 1 e s o i t i:ndispensz,ble, l e s mkkhodes prctiques -ouvan~~ ètre ,trSs
ri j f-i’i’rcn5es suivznt les endroits.
1
---2-i-L- Xch-ntillonrwqe lors des débarquements
Pa:r ;lnc joarn?e donn,:e, -cnd:at l a +-iode d e d6b;rnuement ,
i ’ C:.:fi il&t Cl.w le t i e n t s u r 12 glwqe et-enrïuète d e s Ioirorues suivant ses
:;;~r-ii]i]itP~,clc:;t
à dire crue tics, ou’il z. terminé une enr~~~+te,il tin
4A4-+= coxmencc u n e 2utre noir u n e oiro~32e sui vier,t d e à6~l~r;7:~~r.
!$O~S de ch;!cune d e s enoubtec, l?v rcnscirwnentz x~iv;~r:t:: ::.o1;:;
not;‘s:
*
- Tyne d e plSche
- ::ambre de pêcheurs
- Lieu d e n$che
- Prof ontieur
- ::Cure de ci.Gpnrt en mer
- Eeure de retour
- Tczns de route pour arriver P.U lieu de pftche
1
-2
“-2
- Wthodes d'estimation
i: :'.j]S ,q.lloris nrwlyscr les méthodes dlcstimntion do:: l:*:~i Y: ,I) 1" ;t_,
rc;,;.e.;~cj~&s
pour une espèce et une catigorie d"unit4 de :oEc;:*;e,;:~~.~-..: ,/:Y..
:. Y I : ;, 1.. tl c $ti c :n ps dctcr~~in~e.GEn~ralement,le ütrZ!.tC dC tCl!iIji:; ilt~.3..1.: i' . . ,
1: c L..:,; izc,mzi.s le principe reste exactement le même si 1'3:i :.d:,;;:S2
un ;.u-ire découp2"ge.
1 ",. j: ".. 2 c 1 c Zstinntion du torwwgc debrtrqué dc.ns un ter:lrs
.e strate de temps est considérée dans son ensc~mbl~,c:'~.-+
\\,
1.1 1,:
6 :'*-.,
. .
i‘-.i
- .
^ : 2 r:i::uit;'ts de toutes les enquètes,même pr0vena.n-t dc Liffc':-!;:!".
; ;,: i‘" <-
v
- c.ont
'C,C
reg-0uGs.
.
0: ccl. lculc d'abord le poids débarqué par les piropes &.:!::.~,i?.I'!.;r:~
~~~;*Cc CRlCUl uteffectue en plusieurs temps:
-cr.lwl tic 1;. somme des quantités enregistr.Ges en 2oid': F
-c.~.lc~i de la somme des quantités enregistroes en no~-;~;*~i C ; : ': '.
-wlcul du poids moyen des individus mesur6s F,& 1';:iI : Cjf :. ',:a,
ï l:,
(Li,L2, . . . ,Ln) et de la relation longueur poids (F = :.h ,I ..i
l'esphce considérée.
-_
*
(sL1b+;2L2bi . ” . +aL$)
P
=
n
1 il:r, ~nt~nàu,cc calcul de I' n'est po;;sibi#,: CI:;', :.:i I.;.:: 1' : :
' ; ;':.I . cZfectu.Ces et si la relation longueur po:Cz i:::-.t c:(: . : : ." I .:
;: ,:: ~-~~'-i.r~irc tout le travail est bloqué.
1- 2-2-2 - Estimation de le prise par unit6 C:': ,'Y,:..
;hi .F,+?lectionne,parmi toutes les piroc9cs Cc!:;. *.-;: 'I'i 1~. j
Cl'.' rccl:crchG l'espèce considérce.Cette s<slcction :-I-J ;f;- 1
*\\ t:f
(%,..; ': ; ;a(.[; prcd+Lcrmin&s tels fjuc,par exemple,le lien de ?CI:;.~: t:.+ " I:..-
pr,,;'~;.:C:eu.Ces critères de sélection sont bien entendu ?r:i .; 7,-I:;n
1;""..Y
üIi<. ît :-?>:cc et parfois pour quelc:ues espgces ayant ces cO:r,,.i:l~.~)i;~“~~~, 5
,Irî;.'i I~";i('S ,nais absolument pas pour les autres.
?0ur ies pirogues sélectionn&es on calcule alors 17 :7ize :. 1' : : :_,
%..
ùf(!i: ,;"L pc.r une simple division.
1 - ‘;-2-3-
L
Jjist;.ibution des frRauences de taille d:+w II-. c~::,?Y;.
!;< ,
,Lr~tes les mensurations effectuées pour 1'cspGcc et 1.; c:;,,: :.i>-*< :
(: <-..,:.: 'p
I..,
de néche considér6es sont refrroupées pour former XZIC? d : 5: ::r: -.^
-,I rci.c,n de fr&uence de taille brute.
',ix. so3me ces poids EP des individus constituants ce-t:.,c 6 i..,,!;:~-: ";.:..
il i" ;‘r'cncnce c t-1; alors estimée à. l'aide de la rebtion 101,: ;j::zr -FI~<~::*
iJ
b
. X&L *
Lc y;.nno;*!
i. s du tonnage d&berc+é \\$Id et de z P four!-.it Lt. +--~S.,+
f; <::. <;-z* d'uxtrzpolation qui,appliqué%ux effectifs de chc(w-.rT: ;'c:: ,,.
iie tni 2.1~ dc la fréquence brute,fournit les estirncrticl:i:; iI!t :. I~:Ï~:T^..:,~~:
", xi. i.lLC c? e :; individus débarqués pour chacune des cla:;~.es dt, t;::;...:.
:t c- 1,' - ;< c ;! c. iS:;tim:~tion des p:Lr;mCtrf:s pour 1~: r:i,frc:l: e
1:r.e f'c,,ls les estimations faites pour les diîfLr:n-i;s cc S~T::; i
. '1
.: , '. :“" L c ini.:.n; , ce Iles ci doivent gtre regroupées afin de ;YTV.,::IY
',
: . L *
.I 0 ,13ns unioues valables pour le stock dans
I.
sor, i;15"c:'.;.'. <3
I‘~-z:r 1~: tcnnage àdbarcrué et les distribu$j.c.q: .-c r:
':IY.<
. 7 -
I i _‘ _ :: !c; n;*oblOme est simple puisou*il suffit d~elfect::.:::. i2:;
'., : L‘!^::xlti:ts dan ~différants centres.
i::, . ;;li:,c: une‘ combinaison lin&aire des rdsultzts obtenxs Z-.,.:x 1 ..,
!.r
,:. ,;
:‘; I
.-a*yc. :,y" s
f.
c;c:xtres 2vec des oefficicnts tels que ie r?sul~..:. .:G< i. : /
;~ :" 1-c prc *-entatif
, 1
possible de l'abondznce du stock :
i <’ ‘i,>
. t ..A stock, = 41 pUEcentre 1 -i- 92 pmcentre 2 + l ** f cq :j.;::~;~.;*;;<_. “,
-q+-
;C,S p2,r:imttrcs q1,q2, . . . ,qi ,aui pe~uvent positifs ou .2;,: :, !‘<);.;; il:'
2.' ;,i xinés lors de 12 phase de modélisation des p$cherics.$z :b:~in;i
t t ( 2.. :, r c donc ~2s dans le c2dre de notre travail.
les rntlthoâes utilisees.
3 - j - l- Eologie et pêche du tassergal
1 - 3 - 5. - 1 - Les migrations
Le t::sserg21 est une espèce p$lagique de ,grande tzillSz iy.k L;,:'::' :: r :
(i 2: II :.,-T‘"ï
* '-ions de grande amplititude depuis le Cc,p-Eln.nc cc iS1*l~r;i.i:~~;.!.:
2, ,. --y;:~ niveau de 12 presqulile du Cap-Ve:& 3~ S~n$,rn~ (Ci::~.:~~:i~‘;I.~,i;i ‘i.1;’ i ‘, .
J L...‘C i.
Z,;-: descente vers le sud s*effectue de L&
c. c. 'L~GY)
'I c ‘"
j, - 1:: ,. ,.
..Y: ',
._, :ii1c s mifyznts en premier.La remontée,corrcspond:nt rAvs:!c; Y-
y.;,,:. i:;;$e de reproduction,sleffectue d'une façon massive tif, :::.i c:.u
ti '- -:'
i.r. L jain,(fiy.?I)
11 s(:.;~ljlc que cette migration ne concerne que les i~ldiVC.C?~.~.. :i;;:::r::
1s.
:: .-y: r:sC l*:p-cc fi;> 2 ans,les individus plus jeunes restxnt to,l.;e -: ?;i.. ':
ii
. .
1
:'i ï. -, c <2 3. d e r: C;eux prinoip2les zones d'upwz&ling de 1s rG&o:i (-i ?i~~::. !
( C;3d'I.G:&'I et DObZXIN lyT,y)
t
I-j- 172- La pêche du tassergal
Le ;S~OC% de tzssergal se trouve donc situe à cheval L 1:‘s' .3i;..:
V<.ci e:t le ct.s pr2tiquement pour toutes les esp8ces c;rplxiV :c.s q.::I:.:
*
d ‘, cu;tsi t(>ta].it& de ces débarquements; est ccnstituec ps? 2~ jr.;..:.:- ”
i1;,: s’.Ji -i;.;--
AL> <‘une ;tai.lle infèrieure B 50 centimètres.
1-,;-1-2-3- La pêche à la ligne à main sur la C%C ::n?+3
Celte pccherie, saisonnière, concerne les adultes qui rn2.t~~ n.t cle$~:.f 1
1~ -..:..,:,it~~nie.b~gBe
*
2.:; ?iroqr:s p r a t i q u a n t c e t t e a c t i v i t é s o n t base~s dn:.ü 1~3ii: c”, 1
’ . . . -
:‘i 2 ,:$y 1 e long de la c8te : Saint-Louis,Fass-Raye et K:,;+-::? {:?i;;.s 5 j,‘:
f’! “)‘ : : ‘i.c orijri.:::.irbe dc: Saint-Louis s’oriente prescu’ E:xc~:I:.~v: :Y~T:- 7.‘:: I*,..
’ .’ ;;,.;:y
-6
;a~: t:.:;.:c.rgr~l p e n d a n t l a ?èriode d e pr&rence C!~;I; 7-1 .i::?.;::: : 1,
.*+ .
: ) : 2%. t : f-;: l,c’crt 5 6; re de f&vrier 2, juin,et change de port ri ‘: %%I:-~:;I:
‘.
i’ _ ‘i,ian drl:; ZO:;~U d e c o n c e n t r a t i o n . L e s f l o t t i l l e s or5.,.$n*~:‘:~c? i?i. FE-. “.
pt i,rj Y; i Y*, :- -p_ .-zr contre,sont sédentaires et ne s’int&rcszer.-, 2-z ‘;‘.:: :’
TI!C! si les concentrations sont proches.
Cc.i;te g,$&crj.E: e s t d e t r è s l o i n l a p l u s iml~ort;~nte pu:.:. c;:.:: ” :’
( ;: 7; ::-..a(* y $2 ;, i ,>n:; $E: lsordre de ~000 tonnes en IL975 et de +~t
. 3 i. 1.-. ~3:: Y .“%
7..
*::::;;+c cep2nt!snt, que d e p u i s c e t t e é-oque,&es cr:ptu:*e:: s: Y+ .Y ‘, :
. . . . ., ( . . . ;.5on,
;-
pL - Les r:‘sultats obtenus pzr le s>:st èmc e.xi.:’ : ~-5
,
.,
- ,! .- 3
v - 1 - Couverture des pêcheries par le r”: “Y Y. :Y : :’ + 1 ,: ‘: :
^. . ::y::i::ne exista.nt n e c o u v r e que 12 T&c%cnie 5 22 *. : 1,:. : os,
“%.
._j aXi ,?LliS~tA’il n ‘existe que dons trois ct~nt-r:::~?i.,?“-.r :::i.:.
.
-9-
f' ? i ::.:, ?S es$ces,des biais considérables.
8. ..- -J..j - 2 - 2 - 2 -Estimation de la prise par unit& d'effcrt <ii :“?G;+
: ,,7 x.ulc! erreu,p crue l'on puisse envisager du point' de v-i: t:~:
!
?
.,in,::tion de Me prise par unité d'effort de pIcT,e es-k 1 '.~ti 1 r
. . .‘ .;":.:;f.~t
t" L.' i.czs calculs de resultats de pirogues .n*ayant prs eu ~'.Y-$cL
:
.
.: .. :- 2. i ::rt:e comme cible.Ici,il ne s'agit donc plus d'un qoici::,:;lriz
: .
L
,Lc:;:ent d'un mauvais choix des critères de sélection,cc -oirA nli:
h. 'L
t* ri ;i ".
i3>‘V ?;:s partie de notre problème actuel.
411V.,. contre,en ce qui concerne l'estimation de I'effort ,jr: ,;:Z,;>:.:,
: :
L "_ !“c f': ,..làr;j pzs oublier l'intervention des Siais exi,.,,n;s
* *+..-
~C::C 12. i.:
:: t . ?.?i ::r: *
.*. - - ‘_3 - 2 -3 - Distribution des fréquences àe taillr
'Y: 131~s du biais,lié à celui existant 90-w la nrise,l;i.~b~ dc
i,': ', <*?. -lol;;tion des d.istributions de fr&quences,il est ~:Gn~S.:.~:.L:,.. ::
‘.Z.
^ .
.:uc lorwue l'on effectue des mensurations de -cf::sc::;,~i~:: y:.., :
('Z'(- .- y c,YJ-; inconsciemncnt choisis en premie:r.Cumme d;Lns le c.!;; 7~;::::~ :".
y,,.: -.<. i: ix. ?)oissons ;)ar pirogue sont mcszds ce pht~no;n~~nc. !, 1,', : :f.,.:
," .
.:. 1 : 17.; : : _ .
;: : *:-is dze ce type n'a Gté décelQ d2.r~ Lc c ;t "J c;,-;î ,; . ; . ‘L, '('~ " -'
: ..I _
._ .g: .Y fT:utira j-62.nrnoir.s
vérifier eue cela n'est pas lc :;cLs ;j'::,u* $x: ,::..
.
i
c:,s importantes.
.-II-
;?: ,'L:;r .:? I‘CS envisagés.
If- -l.: - I'.k:; objectifs
7
,.-y -., - Zvtinntion des prisus
;Jc rc:uuoll des paramètres perzcttant l'estimation (jr;:: i).:-; z'f u,
Ch.\\, : .',< ,
: ;iy 1c.s prises moyennes par esphe et pcr ;.:or%:c ;.: 1:':
,* _ : ', : ::;:1cul
. . 2
des facteurs dlcxtra~olation (nc::'tr,-CC; 2~. ., . :
L.
., _. -.:..,
\\
2 ..?C i
.,.., <,.. i^:..r, ::OUI* cfiûque cst(gorie drunit&s de pêc~c,<oi.t i,trc c:f':'t,, ;;
3
@< ,.. ;. 0 / : I ' le:: centres dc d6barqucment sans exception.
<. -3
.-_ -L'- ?&CL. indices d'effort de pêche.
" e.
.I ., indices sont utilisés pour déterminer des prirr3r: 2,::' I:. i,:,:
,. ..~
_ : ii::.'u Le ?Cchc,c'est à dire des gr:ndeurs qui doivwv T-t???. :.
t
:---;e,r,ro?or-eyionnelle 2 l'zbond~~cc du stock.Cr,co*dz p ~*;:*:IJ.T!z.
. o::r:;Di ment supposer que,dcns une zone relrtivc-ent ! jr- l%'z~:~
vC ‘iVi ;;aofl&nce est sinon constante,du mohs peu T;c.ri7;LI c \\II
c cor:cC-cence,il suffit ~O>C que ces indices d'cifTo:~l ,i:, ;:C:;h~~
.,d -o:~vc!na'clement
"
recueillis dans un certain no~???:*r 2~ .- :' .<:*Y:. +'
. . .
2, rr-,.er,t r6par‘tis tout au long de la côte.D'a;jtre ;;:LT%~:~:.
I. .3 ,.,
,
<. ." . . I.'
-13-
Les
rl?z.al tzts ainsi obtenus sont cependant de bons i,-,.:: c,: ;. . e,
(2:: ::cr:.rjre de titl:::rquements dans les centres.En effet,si ~II>?;~* :;i:': '::T. .
I .3 -Le i;l~:ii~~~c*" de p$che,le taux d'utilisation peut wrier c:c,;.F< I':-,‘
,..' -i::.* d'une saison A lfautre,pou,- une saison donnGe,il. e::". :'i:r:"' ::
; cmctant ;3our tous les centres.
>;*J,-fS de cilacune des mi ssions de recense,ment 1~ tr::v;‘, i 1 ;' y c : :
Ii,' c.;o' .,-):,L en dvux Fhases.
, ,-
1
-i-.- DGcompte des unités au repos
lIl~:;s avons d6co. ité les pi.roLTlec prcsentes sur .!u 21 '*:, t:!:
1. ;::: -t
:
, .LlY c!e les classer dans l'une àes -quatre:; p:~::d.c~~ L: , ., !
.c. :.c::.:::r;nt d::finies.En fait,dans beaucoup de c: s i?. e:':, ;.:! .:Y . :
-:?>-J r ;:j. UilC yiroguz pratique la pêche 2 la liPz:e ST: 41 : : 1;~.
I : 2 ' ~:uJ,2!1 t plus que les deux erqins peuvent ~;~:Loi:~ .
:
i ca L.‘. . . %i<i:::en t.La r+artition ne peut donc se fz,irc !yi-'~. e :
-',-3:'îerl:les pirogues motoris::es d'une part et les r~ci: : t -_ ~
< iit-'r; ?r,rL,liz pro?n"rtinr r) li!ti lisation des deux engin,:; ..t. ;: _ ." .,,'
*,.-'u ddteruinée C_U*.~ partir des renseignements obtenns L:Y::;";. t..
:;!L(;:“rr-
. . LI.
';
: -._- z-L- Inventaires des unit& parties en pêche
D+Y~c les centres àe faible et moyenne importanco,les j ?i-:Sr.
. i,
L... ;:-i:hc;c 5 gc:raitre.Bans le cas ?résent,ces verir:l;ior,c :'. 5 ;o:':..' :' I-
AI
r,
I L - ,
-
;
-
Rccucil des données e t estimation d e s prisi:c d:.n?~ . : - . ‘:: - :..
Le rc:cucil des indices d’effort de pêche et des :;t-!, Art-;.;*:,:
(8 *:..o; .TLj’-.
-i-.iqucs n1ètan-h effectué que dans les centres LI*,!:.F 1.~: :.:=
I- ..)-
, .‘ ri 3’ ;; C; 0 I; C: .?ucune modification du syst<:me prEcxi st:~zi I>Zi:r i‘i>:
; ; r:.~.2tres.3Icus ne nous occupprwnns donc que de 1’e:;‘;j.m: ti::r. ::t. ;
) se: y~ pi -*effectue en deux temps.
._.
<-ei -1-
_.I
Xstimation du fecteur d’extrapolation
+&c.1Lcllomcnt,dans les centres principnux,cc :‘.. ct.i:..:. .i I. x :.;, .“-
* _
! ~t:,pour une periode, est calculé par le rapport du n;!‘-.’ :*i? ‘: E: 1
/ ’ :, :,or-tic::,f’ourni par des dkcmptes quotidiens, c-V du n(:??.z‘î* ‘Y.;: _ ’
t,; c 8-Iz b.~‘Ac,rrc~ucya c3 ts 6chantillonnC
2.
-
Les d:comptcs qnoticiicnc des nombres de soriic:: :” . . i : ‘j”. ..; i : ‘,
, *
_ v~ Lés personnes recrutees sur glace,et co;zter,t nc:t::2Y.: :’ 7” . i
).i
‘i, : .‘F@ ic 15, OC0 F C F A p a r c e n t r e e t p a r mois.L1w:.ez:.~c:. ,‘,:
.
,:
.1 ï, 2 tocs les centres serait donc très onir<?;;x.
Gant: l e s ce,ntres secondcires,les nombres ccc ;; ::, -1. .;, j
_,
:.o::t peü ~lcv&u, e n consGquence,pour l e s j o u r s d’er.qv>:r Y.. : : *
. .
.; est -)ossiule d’bhantiilonner un nombre 6lev$ 3:: tic: ; : Y~. .
.:rr,c,n-t CLU n o m b r e d e s o r t i e s (4 d e 8 0 ($ ) e t d e dtIco:;~-i..r~ .Y:*
:_ 7 0r.u p;l et.32 enqu&tees NI$E.Le ddbarquement t o t a l POiir 11~ ,‘;;:;?
alors facilement être estimé par:
“$ *.; FcufJ
NE + NKE
1;
= Wde x ,
dj
N E
, * .r \\: c 1’I -
lec dibarqucments &l;sntillonni~s p o u r ? a jO’:;r:‘.~” .18(:: 1::”
oc
% 0 ta1 pour la periode #
ètant alors estimé par :
dp
‘dp = gFJd j ; y
JP - JR
L
JZ
.:T>, t:st le nombre de jours d’enquète pc:~d::nt !z p.I:ricic
.,
1
,‘Z est Ic nombre de jours de la pkriode
.- .)
c 11 est le nombre de jours de repos (fete reii$.::‘.:::c r 03’ .:;I .:.; t.
s J !il er;t facile d e connaitre e n intérrc’ceant lez gZc:.i;..r;,,
Le ::
r
donne-es a* r e c u e i l l i r s o n t d o n c uniq.uczcnt r\\: ..‘, .‘-+‘-,’
. .
;~c~:.JF .:;.* .:
.:c?.l joürc dlcnqubte et JR pour chacune des pcriodec.
A /
AQ
-j-ii-3- Choix de la catégorie d'unitcs de pêche
;;O\\;s avons s&lectionnE les uni-tes de pêche motori:: "r.:, ;;?::>:A: ;.
;_ Ia Iii-e & main pour plusieurs raisons:
- ce sont les plus nombreuses.
-elle:. ~:;surent la majorite des debarquemcnts.
- c lest dans cette catéC;orie que 1 'on trouve 5.a. 213.1;: E'.T:.:":-! :;
6ivc:raitG Urorigine
A
$CS ~J~.?dl~~Ul?:~.
1
- -< rz d~~b2r~~uc;nc:nt:: moyens par sortie sont :g>r l)?C!. [l-:r'f. ;':T
11~s plus diversifiés du point de vue spEcifique,
T
>-..
.A ‘Y..:
donnGes rtScoltées
7
2 .-2-,-y,:; :;,l-:;jtc
,,.
des nombres de debarqcements
?OL.,Y chacun des jours de Ia mission,les d&barqucmentz des
1'1 ycly:aes motorisees pêchant à la ligne ont GtE co~~~.'Sab:i^.i.:;-:.; c,;' ;."
.: i
I
,; i-c par quart d'heure.En feit,aÎin de simplifier 1. 'a~:.*?;.'.‘.~: ,;.r:
_' -.A.
.:t:...~;.ts ont fSt6 ultèrieurement regroupés par tranches n;:;:lc .Z;::,:i.
.,t.t..:x
',
OU d'une heure,
Les dkbarquements sont sensiblement distribugs dans :.e te:u;;)s i'...:.i_-
_I i
..‘W des courbes en cloche (f~).~;rk?&~w~
. .";'-z- Echantillonnage des débarquements
3~6chantillonnage des débarquements a eté effectuz ;Y;:: Ur.;i~
. : '.;, 5:: c 'occuppant chacune d'un secteur de la p1age.Ci:c-i. L ,e~:i;:
*$ t ::, '. _ -. ,> ' p z‘ des taux d'échantillonnage élevés,mais sans to~~tc.foiu
,y .; z 'I (,' ,.
. .
t Yta saturation de lléchantillonneur (tableau r).
*
..(.s donnBes récoltees étaient les mêmes que pour 26::; L t:~;,:: c:'.
-. : ., . .( ‘2 (chapitre 1) sauf en cc qui--concerne les nleï~~~r~i,-:.ii:...~.~_.; ::.' '5:.?
,b ..? .- p,,c
j
_II..
espece rencontrée dans une pirogue y le mr.;-;;;i:ï: ;.::‘. 2.t: p.:.:..- :.~ I.'
. r
OI,+‘ >
:,$i;::lJY&-
‘“9 lcu longueurs ôteint notées dans llor?rc o:; ;>1.: 2:' 'j: '
I
c :'. ::~LI?tT!vs.
3.m" -,.ay,;*
-r
Syse de la validité des méthodes dwéchantillonnc.~:~
? 1
.Ir
z:;alyse de la validité des méthodes d'~chnn't-l1,1cY::-i:~I.- Y :.'Y -
3 . . ' 2 ' g., :: ..;;:
_.. ‘.1/1".. u
espbces principales qui sont llU nombre t!r: c I .i", i,<. "+ 2:
,:-*ir;c -!;o tf,ie.
'e
:;
J-
., '-J l- Estimation des prises
r:o:ll:.lc rlous l'avons dit prd&dsmment,le tGux t3 *(*o~.;~.~:,,~ ; *. <)": :;, .I.
a,-rie considQrablcment au cours de la journée,ce q~lj. pe*uî r.~:~z~I~~cr~
,:i:;;
. biais d'estimation s'il existe des relntions en: ru ?.?:: r;ri:;!;r:
;.:Y' ‘.i'xles et le temps.
.A on effectue une analyse de variante sur le 21oid: L.":; :“:.:.'
:‘ 3 u .i' le.: diîfZrcntes espèces,pour les di.îfZrentcs trc!nc!, 1:' LO:~I:~ 1 -*: :
'- i ,r; ,> :Ta : : '; p +u (> que l'effet heure est trt=s si&.ficntif pc;;r Y.< i~;L.‘,:,' . .
.,t: :‘I:nx ct le total,alors qu'il ne l'est pas pour ici. -,="-*:I;.
G,r- 0.
u:;!:.:: :',
,ZC:ZY rZsultats,obtenus à Knyas pour une pGri:ode li.n:i.:.T> ?'L:.-
P.
_I
^. ; ).1):5 ÜL.,..
- 'cctlve,correcpondent bien avec ce que l'on ?euL :::;Y!;.,;. : !
2 r :,:;c 1:: i,! 0 ;î subjective pour d'autres pèriodes ou dlautrct:: c, :.'ir‘.:~.
'l ) ) -1 .i 4: ,'i, i :; ,les espêces pour lesquelles l'effet horaire c:;-t -_ :::i::'..'.','~~
{ ;_ . a-: .Y 0a Etre diffcrentes suivant les centres et les 'I!T~,:::+:::: :t :.,
j ~.v~:!.3?diou.ne par exemple,on constate pratiquement tou.Lc 1': :.!.:'L
t<
$t:nc:-nce ncgative pour le pageot couplée à une ter.d:,:;cc ;<: :: Lt LT.;.:
;$.:vr l e C a r a n x r h o n c h u s .
Il semble donc que dans les centres princi;zux,on ~o~?i*;~i.2
* ., .
c~;.-;her une part importante des biais d'e.stimatiDn CPT
,, ;IL-I:::rr: c::;
! . CI:: ;il:.r:Tu une stratification par tranche horaire.Catte i!iG lho15c,
1 ;..: s2,tisACaisante,est cependant nettement plus cûutcusc.?~ ei'f'~'L,~
: .I..\\
'.'...'<:cusité,pour le calcul des facteurs d'c~~trclpolatio~~,?.c LT:~-
:*: i ._. *:::Ce des nombres de à&arquements pour chacune des 1,r~:.~ei,t.;: ',c::I.
.' 8" 1 : -:
, b donc la présence d'une personne uniquement c!?r-T,-?c 5~: \\z.!:'-‘
L_
: Ii 1, !: :: *
/* _ vysti?me pr
-_ '<
\\J c
isente d'autre part un avantage non z-r ;:': i,, L ., L : .
: 1 'M .'LoC,il permet de se passer des décomptes des ;iro;--1:er: z;~'t L:
,*
.‘*
: 3: : p .1
sont actucllcment utilicio poür le c,: 1~::;. \\:
. cgcs qui
';. i; ",,l;;':: 2 * cntrspolation.hk cffet,ceo dEcom-tc:; :;cir,t r?*..;.:. ;*s;.:. ;(A-~ I
i:. 2:::: ti r ii,YlC ficùilit6 plus que doutcuse,puiaque rif:~ .coi:7 ;Y~F.:: r; ' .
.__ "
_< - L '; Li a:,1 i:, .
il+.A montré des différences àe plus de II; 5:.
I,Y~ ~ti foui. concerne les cLntres sccondaires,le ;;:.Y): :; ras.::.. ..:Y 1. b
,,* -y:
<
ri:illsa3le pour une journ6e ètant élevé (t d.2 &C 4$JFii: :;-.: -. '7
. 'cxtrcpolation
.-
globale ne peuvent Etre quo Saib1i2i; ç;-: Z.:! 3: :. :-'
<>ation de la stratification horaire ne se justifie donc ;ES.
on,
J- 3-~-~,c r,
.~:trcctures de taille
‘../.
lIfin de vdrifier,l'e%istence,ou non,du biais du XC : , i I .L '_
.::.x,nscient des poissons les plus gros lors des mensx:;'t:l...? ,>‘:,Y :r
, ;::.; çO.,,2 L"
"~~rC,pour chacune des espbces principales,?cu
;Ci (';:; ';j1 *':.I, ,' c s
, : ':,.,
/
., ei:t~f~ucs en retenant successivcmentr
-1 !,? 'L: 1.‘ c:i;,.ijue pirogue les 10 premi&res mensurations efYc:c-i.LTc:
1)
11
Il
(1
5
Il
:t
”
tt
‘I
II
II
3
1,
0
”
,r
11
11
f f
j dernières mensurations ci'fec-; :.C:?r;
it
f t
11
ff
5
II
,,
‘(
II
81
,I
II
10
If
-
f f .
0
Ii
II
II
f l
toutes les mensurations effcc-;.3.:tr
le:: iísultats sont présentés dans le tableau a .
I. .L :~;::.,~~i~ bien que les premiers poissons choisis sont le:: ;:?..x ::Y
?
:,;~;;c:,:;f:~ des frkuences obtenues avec les premicrz pc i '. "'#?.:c. ,' -. '.
. . -ic,,cnt r\\lus &levées que celles obte2ues avec; 1cs 6;: 7;!.~.::;':. c 71 6 :'
. .
:.Y*
.i2
2;ials r&sultant est relativement faible et Petri: i~.,:,c: ; *.:
r: C;I~ -ce qui concerne les utilisations en dyn:.miquc ;?5:: -,cF:IZ..;-
. ."i“
utilisations, comme par cxi .,-i 15 1 1 '.
~ .;i:c.Par contre,pour d'autres
..,!,Y
:.
_i :: croissance par la méthode de PETZRS~,il faudra :::;xs :!s:.iie ,'.:
~ . . . i n
,1 .,. .l. le ce probl$me.
-. 'f 7"'
_' --A-- i..;ze RE ?lace du système
,~,~t;iellement,faute de moyens,le système propos6 n'a ;YTZ c::.c:~z~~.
.
'- i
II'. . 7‘:: -LesUé.
12:: (ji?,tussions qui ont lieu actuellement entre la I:i,I.!;. i::. : :
.-.
. -.
_ :: vue üe 1 fhermonisation des systemes stati:-tif:::c:: .- : .'..: ::-
‘cr.I ., ïers un système très simple théorfnucme.~lttvm:.4. -:Y tt
: : I-i: personnellement &.B irréealisable,En effet, i.2 .'y t -;,f; ;'~' .'
.'
. j sj;:;' iifie journ& dGteninee,dc réaliser un YT.:u i: :~:.;.YY. ;-
.,,
.
! ' ;3(: (Ia 5) ouc l'on puisse nGgli.ger la variabiI!.i.t~ ;::z?:; 'i L:::
. ^ 9 ., -. SC' ;- *" e c; tranches horaires.hkrs,dans un centre corlry.(:
,...L. X;.~I*;?,~ t
,.I i-i .‘L :t: :;uAics journali&res peut etre supZrie*ur L C:>C::, : 7 :.:*:T +;: 1
:.;i ‘, , ;,;-' ".?.>
I -c
&I>L actif ne peut _
enauéter E&rieusenont c-t.2~ .(r' :..; :' i
: ;.c; ,Y>'
L,er.Xl Iaudrai-t donc dans ce cas 8 ou 9 perscw.cs pc-..;.? ;c'; 1.1
., , !" o?jectifs,ce qui me parait prohibitif.
-,-.r,üt;o~nt i :;Cl tien du traitement dos données
De volume des données recueillies lors des eY1~~:i~,'i\\~~~ !j(:;: ci" :
,i,,.:e:;ts
Li: la pêche $iroguière est très iaportant,En e,?1"1:,;'-: '*b :'
i j. ';'C , bien que trois centres seulement Gtaient ûo5co1.r:~': ?'1 : ;! ..II .'*
" ,-
c: 1.' :';;üe~;;ents enquétés chaque année était -1
~up,r:~e.~:iw ;;
:i ;j :;! 5; ; ,~ ,, I
'.
'
1 :
.:,>
"ù-ut des enquetes 5 Yoff a porté ce nombre 5, 11 Ci,<::~ t: ;q l.p.y. : '. .
r;c est prbvisible, n-t, souhaitable,que cette croissance ~~e:t 1):
xhEe.
DC- traitement manuel d'une telle masse de oonn;.:a:,:: tic: y> ::Y ,:i ".
iii. :,atirjfaire a- conditions reu,uises pour 1'utiliSati<?3 q.-s
>.,.<'
: 1 .
$.‘ -
'.. ;-
:fc pêche qui sont:
-Towr
2n mise au point des modèles des yC:chcrlt.:-,: Y G::‘:: 1 :
:i;j;j,dc 2 to'utes les informations de base sur une pGris4: :, i .'_ :ssL
2~ glusieurs années.
-Pour la Gestion rationnelle des pêcheries: c. -zj: ,i:'. j, $T, y' 3
-
,uz::i
..A
r;el des paramètres recquis par les modiiles exis-:.:'r:,;-Lr..
L'informatique est le seul moyen permettant de rZ:.nu~;rz c.1..
." -.-A.
.‘l 1,:. b cxu deux groblèmes,puisqu'elle permet en efîet,d'i:;-s y:":'
cif: stocker une quantité importante de données SOlJ~) UT1 y;': i-t.-J:.; ".."."
et d'y acc@der facilement,et d'autre part d'effectuer .lr?:, z:.;;"Ii'('
t0üY les traitements répétitifs.
iirie chnine de traitement informatique coxporie -11~2 s ';):~:.:t:~ v
d-i- La saisie des données
'
Cette phase,qui correspond à la codification des (li:n-r;Te..: -.:. ?
1 (,'. & ^ txnsfcrt sur support informatique,revêt une i:.:po:?:,.:(::: :.;:v .
<. ; ,7 ,*.-p.;-.y
. ,.,., ,,.,.le.Xn ef'fet,toute donnee non enregistr&e ,ci ce II: i-; L: :::% :. Y-
~?. *,, . . .
. .
! oi::blemont perdue&'d'une psrt,et d'autre part il f7;.;2'i, c:$: Y!,'.
:?Y F:::c: lx plus lente de‘la chaine.
Los conditions de transfert de transfert K-X vu;;i,);~I z r-~ P<. y.--
.& L I. I.> .'
:~:~i,<:..ue' disponibles au C!!ODT è-tant fig6es (format ctrli?) 4;A~>,.:', .-i
y 1.'- &ï'*:Jrl:; que du problEme de In codification.
-,
1:;: z;I,;ème de codification mis au point (&YWYF
\\ . . ..-- *
,j ' ..a : .1. ? ." :- t-
;.::t:~e1~.~1anU a été conçus en fonction des critore: ~c;l~::.~'..:::
4on;:crvation maximale de lVinformation +Se SO;LS s* L,'.. i'c. I';:, 9,; i ;. i
h.se.
-Optimisation du temps nécessaire à la codificatior XL:;.;
tenir compte de la complexité qui en r6sulte G-Ù ::.iveau C:L;
la programmation.
-Possibilité de rédiger les programmes de traitement en
Le syutkno rksultant de ces contraintes e s t f~ct~el~.c~~:,~~’
.i ,<1 . I
:.tilis< en routine avec une rapidité satisfaisante.
La crl-'ntion future de fichiers correspondants T:.UX (::j ;~r-:; : <.
crntres secondaires pourra facilement ètre effectckc S;;P~::.~;!. 1...
erkéa principes,en utilisant les mêmes tables de codifl.c;:;.*~.9~~.
&j -2- La validation des données
Lors de la codificction ou du transfert sur ~LI;;~~T-> 3:11';7~' :.<.Y ..Y.
2~: &nr&y, il est possible qu'un certain nombre dlerr;:;lr:: i-il5-L.L .T:,'
c; If cctuCer. Il es-t indispensable de- dgtecter et de oorrii.c:r ~C:C :.. ,":
i, :
. i cller existent,avant de passer & la phase de tra:ito:r,r:.l~,;~
Cette -hase de validation des do&Ges est d~lo;nE:nt II:.~ i#;::". f
1 ;;: ,;: ;1: e c t il a été décidé diessayer de la raccoursir au ',~.,:::'T;I~:'..I-!:J.'-.,-
!. il.::. 2' L...C
.i'l ,nt,cela conduit à décomposer le travail en p1usS.a;:~::: C ;. :;:L-
corl,r~e~~~ondcnts chacunes à un type d'erreur pr8cis.
iJn ?rtixier programme,appellé PIROTEC et redigi en C%;(!L, o :.:i 'Y,, <
:t,: . 5: quc,icc des enregistrements d'information et dctectc -.c::; C:T;'FL Y
d'orCrc -usement technique.(A-nwxw )
ii:; ::ccond programme,a?pellé LI2O53 et rédi$ e:? ?:>Y';..'?:.?:,! i _ .: <
!, 8:;: !-,0x1 xc, de sorties journaliers dans un format permet,,;..:.? u:':
controle visuel rapide.(W )
-:u1 troisième programae,a2pelle VRKE53 et rridE,$ en ZYIXR~::~
,,' - __. i .T‘ie la plausibilité des mensurations enregistrées >c",;? c:~.::.;':-
1 1. GZ avec une table des tailles minimales et maxix~ie:; ::..Y o:,:cI. i:..
-Le dernier programme de cette série,ap?ellie ;)IRC;T;:~,~;~:;~:~~~.I;~~:
'.?2
- bl - G
,i en FORTFXP?,effectue les est&mations des prises su.'-TITn‘t 'k
t' +::.ode indiquée dans le chapitre 1,ce qui permet & u%c ;,~.r;jon:-:r:
;-,“:".y;. i::sant bien la pêcherie de vkifier globalement qu"11. ?~e
.l
. 0, ,i.r.,:e aucuno aberration.Les r&sultats fournis par ce 'rr:~~;.;r: :::e
* ;: \\iC>'" i
<.Ij" ùtre utilisés directement pour la gestion dis pt:c;.~*r;e::~k ,'.;
,.:. I
.-
‘1... ne soient pas présentés d'une façon très a@ablc ~o::r i:f
-L ,.,<?.. .I 7
c . . . ,. .c.
;: *- 3 -3 ;y
/
traitement des données
;,P:: traitements des donnees sont de deux typer:rdri:~:. ::'.z:. ? t:'
-/ ..,.,::en<s
,, :
de routine visant à dtablir les statistinycz Lr. ;;rk .oY
.?i
t: <'. ":'art de pêche et de structures de taille,et d'autre-::Lr‘t; 1,~:
.‘ ,.,‘_ L .t. .
,.lii ..Q~~:;r.e-,ts d'analyse ponctuels.
r-;-1- Les
traitements de routine
k -.l-l-7_- PrSscs et effort de pêche
*Cc-b-Le phase a été décomposée en deux,en vue de I!'L::.;sY
;: . <<? ,e 1'
L‘ .s ..,*, Y vkxc aux centres secondaires.
.5 -3- IL-l-Crktion d'un fichier'lprise et effort de pecht" :I?I:~ ,:';.:..
pour tous les engins
3
::.J;; ni d'un centre principal et Ilautre de tous ii;:; T..,'~':..Y
:. -
IL_, <.1'*2s correspondants pour .obtenir un fichier"SBctel:~':~i‘- :i' ' :', '-
r.cmzation de tous les fichiers "secteur" d'obtenir \\In :!‘:.Y .:I en:
:
..
,1 r. 7
..<-A.*
Le premier programme appellé PPG053 calcule lau
“
p;;i. ii..: :..;.; .,
CCL; individus débarques 5 l'aide des relations P= aLb * (,li, 'wf+;.;q ,".^, ..,:
Le second appellé PPG153 calcule les efforts de pZc>îc ::f, 1:~~
J', (.-.euyu
il-
d'extrapolation.(-&wwx+- >
Le troisiGme,PPG253,effectue les estimations fin;,:;~; ;I:L: :\\:A.: :
et 1'Qkriture du fichier.
$-3- 1-l-?-Edition des archives statistiques
A partir du fichier prSc6demment cré6,une chaine UC *
. . '*y-_
.-*a., pr;>:;w*:
.z'CO ay~pclltr ARC053 et AIX153 effectue l*ddition dcu ::::.r:..iv<:~:
: -!.::ti::ziques dans un format directement ?XprOdUctib~e II. IF: .,-.
t b. * ,i: :, 0. t ,, f"' ‘,,, '. : 8
'P
i r.!!ncxe 4J
:;->-1-2- Les structures de taille-‘
IX! tzaiteaent correspondant aux structurêu ~?~~:~:;.~:::-~:r.i..;,:i..:: n f :i
: , . ,;;o::r le moment,été consid&ré totalement comme X: ZT-L~~:::::: nr.i ,iz
='o,lii::o,ç'est i dire qu'il n'est pas prCvu d'iditcr de:: S,~okS.~!r.*-:..
.
5Tn pro~ramme,appcllé AFREP53 itnblit les distrii-;u-; i..;:;:, iii-
2 ~ z
i.,, .;;'i:::. ûe
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programme ne subira aucune modification,il :;u??'i~ :,i::; 1 :
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C ? Iii focrnir,pour l'extrapolation,les captures c3rreT;-cII::j;,,;rl _ ,
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: If :
:f.,l i;.:Lit6 du secteur.
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2" .-.:.... 7 l.&:;rz rimes correspondants peuvent fort >Le:, :'i ' C.i.:b,; si; i 1.t '.
~.f ., 1 .3.x ou deux fois puis perdre tout in-béret.
Vc~cndnnt,dans notre cas,,&~~~~22 programmes de cct;Te *. I , c; 1'; ,'b
rilvtTlk particulièrement utiles:
-Drune part le programme QZKPj3 qui permet dln:l:~l;;~ .Y *- .l..*~
.8\\ I .:.
1. c::: re ,ln fr&uentation des diffirents lieux de -êckr: >:;,:a : :.I:: *
‘. ' .
I, I %. =i;i;nis
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de montrer,en particulicr,que pratiquemer:?; _I. '.s' * '
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.., _': r.viron des unités débarquant à Saint-Louis ~&c!-!c::<; ! .:. :i. :.
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. . . .2ritacicnnes,
-i:"autre part,le programme EE'PIR53 permet de v&ril'i,;? ,:Y:" :.*
. i If
'7 existe ou non *une piriodicite hebdomadaire du poiii" *::: : :
:.:.i:,i~res àe sorties en mer.
,-4-Conclusions
II
11 ;;cmkle,que d;:ns les conditions adtuelles,cc c':i.:..,:':; 'f: :.,
Airzitc;;s-,t est satisfaisant.Cependant,il est certain ,-,Ilc: *i!::: ,YI :...,-
fic;tions et des extensions devront lui ètre a-flort2e:: d:..~ c-.;-c :-.:
Lc/UL,,
--> ;a--(= statistique unique CROaT - DOPK aura et6 mi: E 1; :?.j:..:'t ,Y * ;, . . "
.
9-2 Y%, .Lcl est certain que le passage~pr&isi?lle ,Z moyen tc!.:Bii,L ::'-
oy-dinateur trzvaillant en conversationnel ~ermst+ra d 1 "'.,,-'i..:.ciz'C.i
L ._,.
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r:ot:.ble::er:?, 12 rapidité d'ex&cution du travail,en ~:ïrtic:~'L:i CT XI;
niveau de la validation des données.
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Zoriclurions
C(j;mc nous l'avozs vu dans le premier ckapitre,;e :;~;'-,.;c
modifications propos6es dans ce tra;ail,s2, t::L: NUL C-Y. --l.
Le.-
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1 \\ 1 'i ,
c, z , devrnient permettre ,sans aucun doute une crnili.::.~.~:~ Y:.
2,;
;: la qualité des résultats,par la sugpressio-, de:. ;_I.: . :
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. ..l-i cr'Âcts horaires,et l'extension du reseau.
Cependant,s'il nous est possible d'intervenir EU n;-~~: .: <.. Y
:ii:-zses;;ion des binis,cela n'est plus-le cas en ce ,:ui ; . ;r, 2 ~; i. . r' 1 ;
.
.
- zGcision.3n effet,la variabilité des population: S tTv:.: ::-Li I.,.,...
? -xnt donnce,la prCcision que l'on peut obtenir ne d+z>,6 5~2 ci:
- , LX d;<chnntillonnage que l'on peutréaliser et deni: C:L!, 'T.,:";-
il ,:,>c>r.5;-les.Or,actuellemment,les taux d'échantil?ow;~~c I:'UC: ;;t::
~~c~uvons appliquer à Rayar pendant la grande camga;~~c :itr ,-?.:';L:
cO%lbiS.sent 2 des coefficientsàe variation (moyenne/~~c:~~; :.;,~~i'i
CCL; crtimstions de la prise moyenne par sortie si$ui;s C;I.% ~'1 ~s.:':,Y.:.
ce O.CO;Ce qui est très insuffisant.
Il sempble donc que la mise en commun des moyens ci ;y,:; T, ,;i ,j, :,,;.~ ;i ;: "'.. ;
;a Direction de 1'0césnographie et des Pêches Kz5times CL. Ic C::;::::I
t ,f:
<-, ,*. Ij -)
3cchcrches Océanographiques de Dakar Thiaroye soit 1: u..r.~
t.::;:c,S.r possible d'obtenir un jour des estimations c~ffi:.c.::r,ti::7;
pyrtcj.scs.
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motorisGes péchant à la ligne.
:..,2;~:~iXi!':l (B.1 et BERC%URD (P,) -1978-h pêche a.~ti;;;.;~~Zc ,.a' :*.Y i 'I
2.2 S&égal.Document presenté à la pzwxi&re ~~'uz+~i~c~ (2 y I ':r2?:::';;:
d-2 conni% sous régional des pêches.Daknr 8-10 ~zi '?C"i‘:.
:.:'~.;LGi:HT (B. > ,BRUGGE (1;r.J. ) ,S~RKG&RD (IL ),FREOK (F s ) CU:, :; fi :+::.A', l, .' ;
-17 i i-L:i p$che artisanale maritine au Jiniigal.:(::~~d~:: ?i::, i", ."
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*a. -I
rr> d,e la pêche er1 19’70 et 1/77,asyects ‘hi03 rj,~~;~~.-.: :. t,.*c:*. ‘,.I.-
z 5 xcs.!)oc. Sci. Cent. Rech. Océanogr. Dnl:i;~~-ii':I?~~~~..~ :,'J‘j.,
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. tzb2cau m taux dléchz.ntillonna&e obtenus durmt la xiuvislr
dans 3.c coin oupèrieur gauchc:nombrc do d;:b~i-rpuc;~.ciz.';r..
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