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Ip; (-, ()(-JC) \\~Y3 --
STRUCTIJRS D% LA POPUL4T:iOfT D'ALBACORES
DE L'ATL,3TI$JZ TROPICAL ORI2JTAL
*--
par C. CIIA$IFAGNAT*
RESUNE.- L'analyse des distributions monsuellos de frequence de longueur et
de la répartition géographique des prises d'albacores (Thunnus
--y_ slbacarcs)
-
de la flotte thoniere de surface F!IS (Prence, C8tc d'Ivoirc, Sen&al) nous
a permis d'identifier dans l'Atlantique Tropical Oriental trois groupes de
jeunes poissons et d'esquisser le schéma de leurs migrations,
Utilisant les criteres de timporature et de salinité n&xouairus
à la survie dos larves et te;ïant compte de la densite relat'.ve du stock
d'adultes nous avons emis l'hypotheae quo les zones de permanence dos eaux
"@neennesFt ,zhaudcs et dossalées (Guinée-Liberia, Dahomey~~igéria) pr&
sentai.ont au cours du premier tiers de l',année les conditions les plus
favorables à la reproduction de l'albacoreo Au cours du troisième trimestre
ces conditions SC rencontrent dans une zone situee au Sud-Ouest des Iles du
Cap Vert,
Les trois groupes do jeunes albacores seraicnt originaires des zones
ainsi definies,
ABSTR&CT.-An analysis of the monthly longth frequency curves and gzographical
-
-
3
distribution of yellowfin tuna (Thux-ius
--.- *e albacares) caught by the PIS (F'rpnce,
-
Ivory Coast, Senegnl) surface fishing flect ha-0 enablcd three groups of juve-
nile fish to be idcntified in tho Eastem Tropical Atlantic ,and an attempt has
been madc to outline their migration routes.
x -- .*... srr<Lq.
Using the criteria of tomperature and solinity which are ncccsxry
r th.c survival of the larvac and t,aking into account thc relative dc)ï.:nity
tho adult population a hypothesis has been put forward that the zonas of
rman2n-t wariii "guinean" waters of low salinity (Guinea-Liberia, Ikdr~omey-
cyeria) provide the yellowfin tuna with the most favorable conditions for
Isproi!.uction Suring the first four months of tho yoar. F'rom July to Sc;~tember
5: -
!ht:se con:?&-tions are to be found% ;;onc situated to the south-west of the
:
cap Verde Islands.
i '
, :.:
i
/ i t: ._
The thrce group of juvenile yellowfin tuna would thersfcro originatc
Ifrom tho zones thus defincd.
t ;; tz I(.
i*1 i.* !
[ ç, c. d' ,
E y !,IN3 i* Océanographe-biologiste de l'O.R*3.T.O&
---.*-W-_^_,"., l
Centre de Recherches Oceanographiques de DAKAR-'ITTIAROYE

Dans un document pr< :scnté lors do la 4.e réunion du Comité de 1:~
Recherche et des Statistiques de I'ICCAT, HAYASI (1973) exposait l'état des
conn~ssances acquises sur la structure des populations d'albacorcs (Thunnus
albscares) dans l'Atlantique
-. -m
et retenait en particulier les 2 points suivants :
- existence de deux concentrations d,ans les eaux équatorinles
oriontales et occidentales
- hétérog&eité de la concentration orientale
Kous nous proposons ici à partir de l',analyse des distributions
de fréqucnc c du longueurs prédorsalcs (LDI) des captures de la flotte thonike
de surface FIS (France, Côte d'lvoirc, Senégal), de la répartition spatio-
tei;lporcllc des priacs, de donnces fr=agmcntaires sur les tires et les s$.sons
de reproduction, d"a))porter ccrtainos précisions conccr;la,nt I'hktérogEneité
de la concentration orientale en identifiant
dOS
.?,roupes Qlémontaires
(ou sous-populations) qui dans leur phase juvknile (moins de 2 ans) ont une
répartition geographique et des mi,:rations différentes de cellus d'une popu-
lation adulte unique qu'ils rejoindront progr essivcmcnt au cours do leur
troisieme akznée.
1 - Analyse des distributions do fréquence des lonaeurs prodorsales LDI
-
Y
-
-.,7-r-.-in-a
de la flotte FIS
-
-
-
-
-
Tout es les distributions de frêqucnce effectuées de 1359 5 1973
sur les prises de la, flotte FIS ont été regroupées, non pondérées, par rvvtm-
gl0s statistiques (5O latitude x 10ao longitude). Les données de base sont dis-
ponibles au CRO d'Abidjan,
Le mois a été retenu comme unité de temps. Le ri?g;roupcmcnt de
csr-teLins de cn:; rcctanglos en 3 secteurs plus vastes corresponi!ant aux zones
t:rndi.tiolinelle,ilcnt dévolués à l'activité des contres de Recherches de Pointe
Roiro, Abidj;n ct Dakar permet d'obtenir des effectifs suf'fissntn i!ana o.!.xquc
strate espace--tcnps. Cc choix repose on f<ait sur certains réalit& biolo:~~,i.c~u~sr
On a ainsi effectuélus rogroupcmcnts suivants :
1 -DAKAR -:
rectangles 41010, 41510, 42010
2 -ABIDJAN : rcctan~;les 40000, 40510
3 - POINTE fiTOIRE t
rectangles 10000, 2000G, 20510, 20010

- 3
Les distributions de froquence obtenues sont fi;;urées sur les
dii+gwrms doixës 811 annexe (fig.4). On a é::alement représenté pour chaciue
sec-t eur (figel) la succession dan:: le temps des vnleurs modales de ces dis-
t IYLBU ii i On U 0 Sur la figure 1 ont éte Ggalement portés les iliodes correspondant
au rcc-taq.;le 41520 (Iles du Cap Yert), Les distributions de frequence,
cor-
reaondant & ce rectcan:.le trop rare s n'ont pas toutefois et6 ajoutées à colles
du secteur 1.
La filiation des mcdeo de la figwe 1 permet ainsi de suivre un
ce,rtai.n nombre de cohortes pend;ult plusieurs mois, voire ÏJê.22 plusieurs ,années.
11 re3to toutefois illusoire de vouloir tenter une intePpretation pour des L-91
superieurcs à. 35 cm correspondant 5, des poissons âgés de plus de 3 ans, en
~&.k3,1 Écu représent&s dans les captures de surface et pour lesquels, les
tTlO‘l~S
sont mal définis en raison Ou ralentissement de la croissance et des
rn~Xan;;en possibles de groupes de poissons d'origines diffCrcn.tes,
lin certain nombre d'observations sont valables, ?our les 3 secteurs z
- On peut stlivre chaqz année la filiation d'au moins une cohorte
1:s;~ cla;ss d'hge. Les cohortes dominantes sont en gtilêral 5, rattacher à une
période de naissance centrée sur la fin du premier trimestre dans les secteurs
2 o-t 3, sur le 3è trimestre dans lo secteur 1.
- Les cohortes de la classe d'ê,ge 68 disparaissent au bout de
quelques inOis, celle de la classe d'$$ye 1969 sont suivies faci1emen.t jusqu'en
1973. La clanse d'$,ge 1970 prisen-i;c: av. moins 2 séries de inoiies.
Le schkma est rela~tivomertt clair dans la secteur 3 avec 1 groupe
annLE dOh.nitnt, moins simple dans le secteur 1 où pwvent doi;liner tout à
tour 2 cohortes notëes 'ù = BIZ5ACUS (naissance 3e trimestre) et G = G1JIKZE
(n~i.ssance Ier trimestre) et beaucoup plus complexe dans le secteur 2. Cette
complexitQ sci trouve encore accruc gmr l'importance des poi ::sons de L:OI supé-
ricure à 35 cm dont la présence est plus sporadique en zones 1 et 3.
Les pkheries dco s~ctours 1 et 3 exploi-tej1-i; e~;snntiellement des
poissons de moins de 3 ansa Cecj. est particulièrenriit Rot pour la secteur 1.

-4
cspmh.nt 1’ eîf0r-t x~lativcmcnt limi-te oxcrcê dos cc dernier
secteur par les senneurs peut expliquer pxrtiellcmc~t ccttc Paiblcsse numérique
des individus hgés. Ceux-ci. sont toujours présentsdax~s les prises au 4e trimostrc.
I&I 1971 et 1972 où l'effort des senn:xrs sur lc d8me de Guinée a été important,
les capturos d'individus $gés ont étC relativement 6lcvéess
Une situation analogue pr6vaut en zona 3. Toutefois les gros
individus sont pcrmancnts
autour des Iles ct l'effort dos senneurs y étant plus
importCant, les oapturcs d'adultes sont plus fréquontos*
D<ans le scctcur 2, los adultes prédominent de fevrier à Avril au
large de la Sierra Leone et du Lib@ria, en AoQt et Septembre sur les c%tcs du
Ghana et de la C8tc d'Ivoircr 11s sont présents en Octobre sur le darne de Guinée.
II - Déplaccm& des zones de pQchc
Lcr, prises monsucllcs xoyonnes par rectangle statistique de l*latitudc
x 1O lon$tudù réalisées par la flotte FIS ont été schématisées sur le jeu do fi.::ure
2, On remarque tout d'abord l'existence d'une pQches5.c pratiquement permanente le
long des c8tca du Gabon et à l'Est d'une ligne Fornando Po-Annobon, ainsi qu'à
proximité de ces 11~. L'aspect unitaire dc ceUte p&hcrio et son évolution annuelle
on-t été reconnus depuis de nombreuses années,
On note aussi l'absence pratiquement totale de capture de 2 à 6*E de
la côte du Dahomey4igéria à 2*N. Jusqu'à une époque très r&xnte ceci paraissait
être l'indice d'une soparation complète entra deux stocks ind6pondants ou semi-indé-
pendants.
La repartition des captures de la flotte FIS montre un hiatus
pratiquement pwmCanont entre la pêcherie du Sud du Golfe do Guinée et celle de la
C8to d'Ivoirc. Toutefois H_AXILLE (1969) analysant les c?olîn&x 'd'un armement japo-
nais signale que les sonneurs y obtiennent saisonnièrement (Octobre-=Décembre) des
rcn<cmcnts Elevés, do méme qu'au large de la Sierra Leone ct du Liberia (Avril-Juin).
11 ne peut toutefois donner des preoisions sur la taille des captures. Les 6chCan-
tillonnagcs offoctués depuis quelques annec s au Ghana ont montré qu'il s'agissCait
essontiellomcnt do poissons de moins dc 1 an*

- 5
Plus à 1'ou;)st on asul3tr: au cours du prwhcr seïIlc!etrc à un d:I?plaw-
ment progressif des zones de p8che $2 la C&tc d'Tvoiro (Janvier-~Gvrier) au
Libkin. ct à la Sierra Leone (kr::--.!~vril)e
CO movvement SC poursxit pour atteindre
la, hautrn du Banc d'&yin cn !:a::ritanie (Juillet-AoQt). Ch Ntera fm..dci'Ois la.
r;&reté des ca,:lures entre 9 et 'IOOE et l'augmentation dos Drises à partir de hi.
au Lord de IOOK dOo à un recrutcmwt de poissons en provc!acLnce de l'Ouest.
2n Juillo1-Aofit 3 phherios d'importance in&,ale c;ont bien établies
eS sépar&s : au nord do Xk&as, au Inrtge de la C6te d'ivoire et dar!s lc r&ion
du Cktp Lapez.
Les poissons de l'annc?e sont rr:crut& au ceurs du dernier trimcstrc~
Les ,adultos conskituent alors une *ai.ble part des pri.acs mais leur impo?t?tilcc
croît en DQcembre époque à laqucl.lh2 ils se concentrent ~LX fond du golfe de Guinée.
Plasiews auteurs (POSTAL 1355, ELL&A et R&i% 1963, ZHAROV 1967)
oni; dowé des indications qualita+;ivos sur la pr&cnco d';~lk,,corcn .reproduc-bours
en G.verses s,aisons et à divers endroits. HOIEA et GIrlADA (1971) ont Gtnhli pour
i2 pêcherie palangri&re ji3pon;:5so de:; cartes trimeotric~~l.~:; ;Lor:nwt par rcct;rn(lle
di: '!c'O l-,bitudc x 20° longitude 12s pourcentages d'individus ayan't un index gonw
di*w (!;oids des gonades en g x 104jL3 cm) supérieur à 1 6,
F
Ceu éléments r52;tck2t
Zoukcfoiu fr.~~grnxtaires et ne permet-tant pas de Pr&iser l'intcnsit& de la rzpro-
duc-;ion dczns lus difîércnts ~ectours~
Rctennnt e.xclusivwLn-i; les critères do tcmpEr~;turo ;:l; de saXnité
donnes pnr LLICHAXDS pour la survic des larves et u'hlisant 1:~s travaux dc
B&-h?IT (1961, ~962)~ Lx cum et CFI~PAGN~T ( 496%) c:~;t:imiefit 12 h.tc ccwtraie
dc la période dz wissance do3 ..Llbacores
au ler Ears dans la r@i.on de Pointe
Noi rc 9 au Ier Juillet au large Glu S;ndgal e-k de la Mauritanie, ,3,u les Avril
ponrla zone guinéenne.
Approfondissant 1'i:;i.h prkedcntc nous avons ryroupC sur un même
t&lcau Z, double entrée (TO et S $0) des données d'origines diverses :
I:ARC?IAL (1963)$ KLA1U (1963), F!AIX (1951) portant sur 974 larves d'slbncores,

P~US de 91 $ de ces LXVCS OIT-~ é-L& c~.,d~mëcs dtuns tics ccwx dc TO supéricurc à 280
et prbs do $8 $ dmn dos oaux de sali~3.ité comprise ontrc 3.-. 0-L 34p3 $0, 32 fait
67 $ de ces 1cmns orit ëté ca~~~ur6oo dans un intervzlli? de IF coimpris entre 28 et
2305, et do sCal.inité 33 à 34,3 $0,
31
260
; Tot ii1
f
IG
à 206
'258
: 212 : 181 ; 79
: 28 :
.
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P..-.---mA.-ws
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Tableau 1 :
PresOllce de larves
-
-
-
-
d’albncore~ e:l fon.ctic n dr> la t cmp&ature
et du Sa salinité do surface.
k raison m8mc de 18hétêrogx%wité des doxn6cs rauscmblêcs dLans cx tableau,
CCIS chiffres sont à uiAliser avec In plus grande prudcncc. Ils now pcrz&:;ent,
ti:::t,(:fois à l’aido des deux critères do tempérxturc c-t de snliz.i-kg d-c dCliniter
certaines zones qui pourraient &rc favorables à la pr &xnco ~~2 larves d’albacores.

-7
de la :i;ierrs Lconc ct &J- Liberia, ,zii:si qu’en baie dc Biafra . D'ap??s KAZXKA
(lp33) 1' iso-thcrmc d:: surface 2G" (fig.3) préscntc :;Qn cXtc:Wi 011 m:tXinlZlC? Cn
Bars-Avril.
11 scmblc alOrs 102,ipC dc pCilSCr qIW lus rI0lX acc-t ‘?-J.rs s ’ G-ii cnil~lt c7.u
l:.,ry::> d‘:ln.c li.ync Shcrbro-C~ap
dzo Palmes ct Cotonou-Cap Formose, rcpr&xntent
12: zones dc reproduction d!: l'slbworc 1~s plus impor~;axt:x, ,:t tcut pwticu-
l:i<remcr,t lc swond. Le secteur :s:;;olz.is cn I%ra-Avril, 1~: noctcur s&1&~;~3,10-
mxuritaien de Juillet à %ptcmbrc pr6sontent êqa1wr;n-l; des ccnil-itiono dv tw-
pérnturo ct C:C, 1Cgère dcssalurc, fzvorablcs & une ~OUSS~C dz reproGjtction, DuYis
d3u-t 3 dc ir.oir.drc intcnsitée
1) Las a.dultes sont concontr& dms 1~: golf:; de Guin<:c (:iu NE d 'wz
lii.,nc joilywnt Koss,xredes à Shorbro) -Tendant les 4 prcmiws mois di: 1'an;:~t-j lorc-
qu > 1 i u oaux dz surface y sont les plus chaudes.

- 8
Lz mouv.:ncnt dc retour vcrI: Ii: golfe dc Guin& s ' sj:'"foctuc ..:I Novwbrc;
ct .Je&mb z C!C: fCqor, rapide ct la, disponibilité aux crqins dc silrfxce rxtc
i'aj.lilc. 11 (3::;J: toutcioi s posaiblo qu'une fraction dc 1~: ;3op~:l;L-Eon, ccll;: qui
:'-c cc,;ccntr(-: :‘r! Zvillzt-Ao?% cn borkwc dc? L'upwellin,~ ivoirien II quitte pas
11: fond dx c-w
IL, lfc. Ella ap~tzraitïxit aussi, dc f,açon épisoJic[ue,
d:j;ls Ii)i: pri SUS
rlw grxk; scnnwrs *autour des 11~:; (Annobon, S?ari 'Ilorné),

-9

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Filiation des modus des distributions
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(1969-1974
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Fig. 5
Migrations probables Iz) 8 possibles 6::)
de deux groupes de jeunes albacores
sur les côtes ouest africaines. depuis
la C&e d’ivoire jusqu’a la Mauritanie