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' L A ' P E C H E
C H A L U T I E R E
A
D A K A R
E N
1 9 7 9
I N T R O D U C T I O N
Les statistiques disponibles sur la pêche chalutière dakaroise, de 1965
2 1973, ont fait l'objet d'un document scientifique provisoire (LFKWME et ~2.;
1973, DSP 52); les statistiques chalutières de 1973 2 1978 figurent dans les
archives annuelles du CROI)T (Archives no 13,28,37,46,70 et 78). Le présent
document de travail traite des statistiques de la flotte chalutière basée à
Dakar en 1979 et exploitant presque exclusivement les ressources demersalesde
la région.
1 .
M E T H O D O L O G I E
E T
PRESEBTATIOW
D E S
R E S U L T A T S
Par rapport au document de 1975, quelques modifications ont été apportées
afin d'améliorer la présentation des résultats.
1.1. CODE DES ESPECES
Le code "espèce" 28 (tableau I, archive no 78) correspond non pas à la
seule espèce Solea sp. mais à un groupe de plusieurs espèces appartenant aux
familles des bothidgs et des sol6idés.
1.2. CARTE DES SECTEURS DE PECHE
Afin de répondre aux normes du COPACE (1) en matière de declaration des cap--
tures nominales (ventilation des statistiques de pêche par DIVISION STATISTI-
QUE)., certaines modifications de la carte U* jusqu'à présent utilisée - ont @tF!
apportées. Il s'agit essentiellement de représenter les limites géographiques
nord des divisions COPACE 34-3-I (Cap Vert littoral) et 34-3-3 (SHERBRO); ces
limites nord correspondent 2 19'N pour la division 34-3-1, coïncidant avec
l'actuelle limite du secteur "NOUAKCHRTT" , et à 9'N pour la division 34-3-3.
Une autre modification importante, liée à la précédente, est l'extension
vers le sud du secteur "Casamance-Pissapos'<,
sa limite méridionale passant de
(1) Comité des Pêches pour 1'AtTantique .Centre--Est.
.
2
10°N ii 9’N ; ce secteur inclut donc, di;sormais, la portion nord du secteur
“Sierra Leone-Libéria”, comprise entre IO’N et 9ON et située devant la
Guinée.
Le secteur “Sierra Leone-Libéria” a pour nauvelle limite nord la lati-
tude 9’N. Ces modifications intervenues dans les 2 secteurs sud n’entrar-
nent pas de cons6quences sur la ventilation des données historiques (de 1969
à 1978) par secteur de pêche.
En effet, les chalutiers basés ,3 :Dakar et qui pêchent au sud de IO’N ne
comprennent jusqu’à maintenant que des crevettiers g l’inexistence de stock
exploité de crevettes entre IO’N et 9”N et la non signature d’accord de pêche
avec la Guinée font que toutes les prises historiquement déclarées dans l’an-
cien secteur “Sierra Leone-LibP,ria”
(au sud de 10’N) p-rzwdent en fait de la
zone Sit&e au sud de S)ON (actuel secteur “Sierra Leone-Liberia”) et princi-
palement des eaux Sierra Leonaises (stock de Sainte--Anne.) e
1.3.: :LE, PROGRAMME DE TRAITBMBNT CHAL1J II
IL est opérationnel depuis 1978.
Il inclut plusieurs sous-programmes parmi lesquels :
- un sous-programme de TRI AUTOWATIC)IUE DBS ESPECES-CIBLES (TRIDEM) par
marge.- un sous-programme de standardisation de l’effort de pêche, par espèce-
cible, en fonction de la puissance motrice ; l’effort de pêche est exprimé en
heures de pêche d’un chalutier de 42s ch.
- 12 coefficients de correction, calculés par lmois (t.ableau ci-après) ’
permettant de reconstituer les marées sans renseignements à partir des’marées
codées dont les statistiques sont par conséquent connues.
- les données relatives au calcul du temps de pêche en fonction du temps
de mer et du secteur de pêche.
1.4, LA PRBSENTATION DES RESULTATS
Les résultats exposi% dans ce document sont présentés en différents types
de tableaux :
- Prises spécifiques par mois et par zone de pêche.
- Prises spécifiques annuelles par’zone,
- Prises sp&zifiques annuelles par zone, en pourcentage.
- Allocation de l’effort standardisé, par mois et par zone.
3
*- Allocation de l’effort standardisg, par zone de pêche et par espèce-
c i b l e .
:.:.
Toutes les prises sont exprimges en DI~R?#ES DE KILOS, et les efforts en
HEURES STANDARDISEES.
Du fait des arrondisimputables au programme de traitement, les totaux
récapitulatifs effectués dans le sens vertical ou horizontal, à l’intérieur
des tableaux, n’aboutissent pas aux mêmes chiffres ; l’écart maximal n’est
cependant que de l’ordre de 0,2 2.
2
9 E M A R 0 U E S
I M P O R T A N T E S
l
Toutes les statistiques pr&aentées dans ce document ne concernent que
les chalutiers (sén+alais ou gtrangers) bas& à Dakar et y débarquant toute
leur pêche au retour de chaque marée ; certains d’entre eux, n’ayant pas de
licence de pêche au Sénégal, pêchent dans les pays voisins dans le cadre d’ac-
tords, et débarquent dans les usines daksroises de traitement.
Les statistiques détaillées des chalutiers ivoiriens pêchant dans les
eaux du SP,négal,
sont disponibles dans les “Statistiques de pêche des chalu-
tiers du port d’Abidjan” publiées par le Centre de recherches océanographi-
ques ,2 Abidjan(l).
Les statistiques des chalutiers espagnols et italiens figurent dans les
“R?sultats &néraux de la pêche maritime sénégalaise enl?!W de la Direction
de 1’0céanographie et des PZches maritimes(2).
3 .
F I G U R E S E T
T A B L E A U X
G E N E R A U X
DE LA
PECHE
CHALUTIERE
Tableau 1 : Liste des espèces (ou groupes d’espèces) codées.
Pi~uræ 1
: Carte des secteurs de pêche des chalutiers basés à Dakar.
Tableau II : A, _ Répartition des chalutiers cod6s par espèce-cible. Les cha-
lutiers codgs sont ceux dont les statistiques détaillées sont col-
lectées. La répartition des bateaux en fonction de l’espèce-cible
dominante est faite à partir du tableau récapitualtif annuel de
l’effort nominal brut par cible et par bateau.
B.- Caractéristiques de la flotte chalutière en activité. Un cha-
lutier n’est considéré “en activité” que s’il a pêché sur une pé-
riode supérieure à 4 mois dans l’année.
Par rapport 2 1978, nous avons ajouté au tableau II le nombre
de chalutiers par J?ATIfNALITE.
(1) B.P. ?318, Abidjan, République de Côte d’ivoire
(21 1 , rue Joris 9~‘Dakar, République du Çénégal.
4
Tableau III : ACTIVITE CHALUTIERE GI,OBM,E en 1 S79 (EN CHIFFRES) .
Tableau IV : Classement des espèces par i’importkce des prises. Par rapport
au document de 1978, nous avons ajouté pour chaque espèce le
taux d’accroissement relatif de la prise.
Tableau V : Ventilation des prises par DIVISION COPACE
Tableaux de6 prises mensuelles par espike et par zone de pêche (feuilles,
vertes) ;
Tableaux des prises annuelles par espke, respectivement par zone et par cible
(feuilles roses) .
Tableaux des efforts standardisés, par mois et zone puis par zone et cible
(feuilles bleues) e
::
5
ESPECE CHALUT - NOUVELLE LISTE A PrARTIl? DR 1973
1
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St-Pierre
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Sepia sp.
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1 regium
1
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I
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Neptunus validus: 28 1
' Bothidés
SOleSde rOChES Soleidés
..-.
1
/
I 12
1 Crevette
' Penaeus
i blanche
duorarum
1
29
Sompatt
Pomadasys sp
1
f
,
a 13
Crevette
Parapenaeus
30
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1 Pomatomus
profonde ~ i longirostris
i
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I
I.,
I
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1
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Thiof
i Epinephelus
l
1
!
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= fausse morue f aeneus
I
i
/ 16
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I Palinurus regiusij 33
Turbot
i Psettodes
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l
i
i Palinurus mauri-,
I belcheri
I
I
l
I
1 tanicus
I
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i-
l
i
1 17
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I
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I
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I
I
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9’ N
l i m i t e noid d e
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SAINT-LIWS
. - . .
CASAMANCE
-BISSABOS
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3ON
Limite n o r d d e 3’4-3-3
.
-11111
SI E R R A - MINE - Li8ERl A
-
-
-
Fig. l- Secteurs de pêche
7
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I
I
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I
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f NOMBRE i
ANCIENNES
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ESPECES-CIBLES
( TOTAUX
DENOMINATIONS i
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1
i
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i
L
1 Crevette blanche
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1
6
ROUGETTIERS
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i
i
1
i
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l
1,
A- REPARTITION des CHALUTIERS CODES PAR ESPECE-CIBLE
I
!Par. mode 'l Par train I Par na-
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EFFECTIF PAR CLASSE DE PUISSANCE ]de con-
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1
l
1
Puissan-
t
çe to-
100-299 i 300-449
tale (ch)
(1) Boeuf = chalutier travaillant en couple avec un second bateau
(2) Ce chiffre inclut desbateaux sans licence au Sénégal mais débar-
quant à DAKAR.
B- CARACTERISTIQUES DE LA FLOTTE CHALUTIERE EN ACTIVITE
1
8
T A A 1, :t: A LT
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ACTIVITE CJULUTIERE GLJIBALE E% 1979 (en chiffres)
--
--
PRISE TOTALE (en tonnes)
40 337
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NOMBRE DE MAREES POINTEES
,
1
2 496
l
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t
-
-
‘NOMBRE DE CBALJJTIERS EFJ ACTIVITE
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103
(11
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i
NOMBRE TOTAL DE CHALUTIERS POINTES
t
120
I
--111
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I
i
,EFFORT TOTAL (en jours de pêche standardi.sP,s) (:2)
I
13
359
t
-
-
-
-
i
/
DUREE MOYENNE D’UNE MAREE (jour de Pêche)
%:,
-
---.
i
P.lJ.E. MOYENNE (tonnes/jour de pêche)
1
Facteur d’extrapolation moyen
x
1 *os
I--
I
i)
i
I
% de marées couvertes par les codages
1
t
95%
;
---
I
(1:) dont 62 ayant pêche plus de 10 mois dans l’année.
(2:) 1 jour de pêche standardisé, = 18 heures standardisées
PoIsSor;ts
(3) CrustacP,s : Crevettes blanches, crevettes profondes, langoustes
et crabes.
(4) Céphalopodes : Seiches et c~almars.
9
T A B L E A U I V
CLASSEMFXT DES ESPECES PAR L’IMPORTANCE DES PRISES
Liste des 10 espaces les plus importantes en poids débarqués
PRISES (tonnes)
i
i
r-
Total d.:B 10 espèces
l
(1) Ce taux est calculé par rapport aux prises de 1975.
PRISE CHALUTIEFE TOTALE 4 40 337 t f
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10
T A B L E A U V
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VENTILATI[ON DES CAPTURES (en kg) I'AR DIVISIONI COPACE
),
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Les statistiques disponibles sur la pêche chalutière dakaroise, de 1965
2 1973, ont fait l'objet d'un document scientifique provisoire (LFKWME et ~2.;
1973, DSP 52); les statistiques chalutières de 1973 2 1978 figurent dans les
archives annuelles du CROI)T (Archives no 13,28,37,46,70 et 78). Le présent
document de travail traite des statistiques de la flotte chalutière basée à
Dakar en 1979 et exploitant presque exclusivement les ressources demersalesde
la région.
1 .
M E T H O D O L O G I E
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PRESEBTATIOW
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R E S U L T A T S
Par rapport au document de 1975, quelques modifications ont été apportées
afin d'améliorer la présentation des résultats.
1.1. CODE DES ESPECES
Le code "espèce" 28 (tableau I, archive no 78) correspond non pas à la
seule espèce Solea sp. mais à un groupe de plusieurs espèces appartenant aux
familles des bothidgs et des sol6idés.
1.2. CARTE DES SECTEURS DE PECHE
Afin de répondre aux normes du COPACE (1) en matière de declaration des cap--
tures nominales (ventilation des statistiques de pêche par DIVISION STATISTI-
QUE)., certaines modifications de la carte U* jusqu'à présent utilisée - ont @tF!
apportées. Il s'agit essentiellement de représenter les limites géographiques
nord des divisions COPACE 34-3-I (Cap Vert littoral) et 34-3-3 (SHERBRO); ces
limites nord correspondent 2 19'N pour la division 34-3-1, coïncidant avec
l'actuelle limite du secteur "NOUAKCHRTT" , et à 9'N pour la division 34-3-3.
Une autre modification importante, liée à la précédente, est l'extension
vers le sud du secteur "Casamance-Pissapos'<,
sa limite méridionale passant de
(1) Comité des Pêches pour 1'AtTantique .Centre--Est.
.
2
10°N ii 9’N ; ce secteur inclut donc, di;sormais, la portion nord du secteur
“Sierra Leone-Libéria”, comprise entre IO’N et 9ON et située devant la
Guinée.
Le secteur “Sierra Leone-Libéria” a pour nauvelle limite nord la lati-
tude 9’N. Ces modifications intervenues dans les 2 secteurs sud n’entrar-
nent pas de cons6quences sur la ventilation des données historiques (de 1969
à 1978) par secteur de pêche.
En effet, les chalutiers basés ,3 :Dakar et qui pêchent au sud de IO’N ne
comprennent jusqu’à maintenant que des crevettiers g l’inexistence de stock
exploité de crevettes entre IO’N et 9”N et la non signature d’accord de pêche
avec la Guinée font que toutes les prises historiquement déclarées dans l’an-
cien secteur “Sierra Leone-LibP,ria”
(au sud de 10’N) p-rzwdent en fait de la
zone Sit&e au sud de S)ON (actuel secteur “Sierra Leone-Liberia”) et princi-
palement des eaux Sierra Leonaises (stock de Sainte--Anne.) e
1.3.: :LE, PROGRAMME DE TRAITBMBNT CHAL1J II
IL est opérationnel depuis 1978.
Il inclut plusieurs sous-programmes parmi lesquels :
- un sous-programme de TRI AUTOWATIC)IUE DBS ESPECES-CIBLES (TRIDEM) par
marge.- un sous-programme de standardisation de l’effort de pêche, par espèce-
cible, en fonction de la puissance motrice ; l’effort de pêche est exprimé en
heures de pêche d’un chalutier de 42s ch.
- 12 coefficients de correction, calculés par lmois (t.ableau ci-après) ’
permettant de reconstituer les marées sans renseignements à partir des’marées
codées dont les statistiques sont par conséquent connues.
- les données relatives au calcul du temps de pêche en fonction du temps
de mer et du secteur de pêche.
1.4, LA PRBSENTATION DES RESULTATS
Les résultats exposi% dans ce document sont présentés en différents types
de tableaux :
- Prises spécifiques par mois et par zone de pêche.
- Prises spécifiques annuelles par’zone,
- Prises sp&zifiques annuelles par zone, en pourcentage.
- Allocation de l’effort standardisé, par mois et par zone.
3
*- Allocation de l’effort standardisg, par zone de pêche et par espèce-
c i b l e .
:.:.
Toutes les prises sont exprimges en DI~R?#ES DE KILOS, et les efforts en
HEURES STANDARDISEES.
Du fait des arrondisimputables au programme de traitement, les totaux
récapitulatifs effectués dans le sens vertical ou horizontal, à l’intérieur
des tableaux, n’aboutissent pas aux mêmes chiffres ; l’écart maximal n’est
cependant que de l’ordre de 0,2 2.
2
9 E M A R 0 U E S
I M P O R T A N T E S
l
Toutes les statistiques pr&aentées dans ce document ne concernent que
les chalutiers (sén+alais ou gtrangers) bas& à Dakar et y débarquant toute
leur pêche au retour de chaque marée ; certains d’entre eux, n’ayant pas de
licence de pêche au Sénégal, pêchent dans les pays voisins dans le cadre d’ac-
tords, et débarquent dans les usines daksroises de traitement.
Les statistiques détaillées des chalutiers ivoiriens pêchant dans les
eaux du SP,négal,
sont disponibles dans les “Statistiques de pêche des chalu-
tiers du port d’Abidjan” publiées par le Centre de recherches océanographi-
ques ,2 Abidjan(l).
Les statistiques des chalutiers espagnols et italiens figurent dans les
“R?sultats &néraux de la pêche maritime sénégalaise enl?!W de la Direction
de 1’0céanographie et des PZches maritimes(2).
3 .
F I G U R E S E T
T A B L E A U X
G E N E R A U X
DE LA
PECHE
CHALUTIERE
Tableau 1 : Liste des espèces (ou groupes d’espèces) codées.
Pi~uræ 1
: Carte des secteurs de pêche des chalutiers basés à Dakar.
Tableau II : A, _ Répartition des chalutiers cod6s par espèce-cible. Les cha-
lutiers codgs sont ceux dont les statistiques détaillées sont col-
lectées. La répartition des bateaux en fonction de l’espèce-cible
dominante est faite à partir du tableau récapitualtif annuel de
l’effort nominal brut par cible et par bateau.
B.- Caractéristiques de la flotte chalutière en activité. Un cha-
lutier n’est considéré “en activité” que s’il a pêché sur une pé-
riode supérieure à 4 mois dans l’année.
Par rapport 2 1978, nous avons ajouté au tableau II le nombre
de chalutiers par J?ATIfNALITE.
(1) B.P. ?318, Abidjan, République de Côte d’ivoire
(21 1 , rue Joris 9~‘Dakar, République du Çénégal.
4
Tableau III : ACTIVITE CHALUTIERE GI,OBM,E en 1 S79 (EN CHIFFRES) .
Tableau IV : Classement des espèces par i’importkce des prises. Par rapport
au document de 1978, nous avons ajouté pour chaque espèce le
taux d’accroissement relatif de la prise.
Tableau V : Ventilation des prises par DIVISION COPACE
Tableaux de6 prises mensuelles par espike et par zone de pêche (feuilles,
vertes) ;
Tableaux des prises annuelles par espke, respectivement par zone et par cible
(feuilles roses) .
Tableaux des efforts standardisés, par mois et zone puis par zone et cible
(feuilles bleues) e
::
5
ESPECE CHALUT - NOUVELLE LISTE A PrARTIl? DR 1973
1
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Nom
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1
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1 Sphyraena sp.
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M&ous
7
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: Brotule
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I
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1 Pagellus coupei
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t
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c---
5
Capitaines
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I
I
6
CarangidGs
I
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I
I
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1
I
i Carpe blanche
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1 Pseudupeneus
I prayensis
i
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4
r-0
1
.;
!
f
Carpe rouge
Lutjanus sp. ! 25
St-Pierre
Zeus faber
Y--
I
I
I
r
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!
i Congres
(plusieurs gen- i 26 1 Seiche
Sepia sp.
i tirZj,nes
l
res)
I
1
1 13
I
1 Courbine
I Argyrosoma
i
.
27 f Soles langues li Cynoglossus sp.
I
:--
I
1 regium
1
I
I
i 11
Crabe
Neptunus validus: 28 1
' Bothidés
SOleSde rOChES Soleidés
..-.
1
/
I 12
1 Crevette
' Penaeus
i blanche
duorarum
1
29
Sompatt
Pomadasys sp
1
f
,
a 13
Crevette
Parapenaeus
30
!
Tassergal
1 Pomatomus
profonde ~ i longirostris
i
I saltator
I
I.,
I
t
I
”
I
! 14 ' Dorade grise
Diagramma
i 31
Thiekem
[ Galeoides
i
1
mediterraneum ;
( decadactylus
.--_-
I
,
/
! l5 ,I Dorades roses
i Dentex SP.) Pa- i 32
Thiof
i Epinephelus
l
1
!
1 grus ehrenbergi i
= fausse morue f aeneus
I
i
/ 16
j Langoustes
I Palinurus regiusij 33
Turbot
i Psettodes
t
l
i
i Palinurus mauri-,
I belcheri
I
I
l
I
1 tanicus
I
t
i-
l
i
1 17
! Machoiions
i Arius sp.
j 34
f
Divers
!
I
!
,
t
I
!
!
,
; 35
I N C O N N U E
I
I
*.
(!) Inclut Dentex sp.
9’ N
l i m i t e noid d e
-
SAINT-LIWS
. - . .
CASAMANCE
-BISSABOS
doo N
3ON
Limite n o r d d e 3’4-3-3
.
-11111
SI E R R A - MINE - Li8ERl A
-
-
-
Fig. l- Secteurs de pêche
7
TA.BLEAU
I
I
"'
I
l
f NOMBRE i
ANCIENNES
>
ESPECES-CIBLES
( TOTAUX
DENOMINATIONS i
/
1
i
t
i
L
1 Crevette blanche
)
29
t
CREVETTIERS
129 (25 X)
!
* Rouget
1
6
ROUGETTIERS
j 18 (15 X)
i
i
1
i
j
POISSONNIERS
i 71 (60 X)
l
1,
A- REPARTITION des CHALUTIERS CODES PAR ESPECE-CIBLE
I
!Par. mode 'l Par train I Par na-
i
EFFECTIF PAR CLASSE DE PUISSANCE ]de con-
I TO- i
/
_ .
f de pêche
tionalité' TAI., '
l
1
l
1
Puissan-
t
çe to-
100-299 i 300-449
tale (ch)
(1) Boeuf = chalutier travaillant en couple avec un second bateau
(2) Ce chiffre inclut desbateaux sans licence au Sénégal mais débar-
quant à DAKAR.
B- CARACTERISTIQUES DE LA FLOTTE CHALUTIERE EN ACTIVITE
1
8
T A A 1, :t: A LT
TII
ACTIVITE CJULUTIERE GLJIBALE E% 1979 (en chiffres)
--
--
PRISE TOTALE (en tonnes)
40 337
,
!f---
NOMBRE DE MAREES POINTEES
,
1
2 496
l
‘+.-
._-_
<__
.
t
-
-
‘NOMBRE DE CBALJJTIERS EFJ ACTIVITE
;
103
(11
:
. :
---
i
i
NOMBRE TOTAL DE CHALUTIERS POINTES
t
120
I
--111
l------
!
I
i
,EFFORT TOTAL (en jours de pêche standardi.sP,s) (:2)
I
13
359
t
-
-
-
-
i
/
DUREE MOYENNE D’UNE MAREE (jour de Pêche)
%:,
-
---.
i
P.lJ.E. MOYENNE (tonnes/jour de pêche)
1
Facteur d’extrapolation moyen
x
1 *os
I--
I
i)
i
I
% de marées couvertes par les codages
1
t
95%
;
---
I
(1:) dont 62 ayant pêche plus de 10 mois dans l’année.
(2:) 1 jour de pêche standardisé, = 18 heures standardisées
PoIsSor;ts
(3) CrustacP,s : Crevettes blanches, crevettes profondes, langoustes
et crabes.
(4) Céphalopodes : Seiches et c~almars.
9
T A B L E A U I V
CLASSEMFXT DES ESPECES PAR L’IMPORTANCE DES PRISES
Liste des 10 espaces les plus importantes en poids débarqués
PRISES (tonnes)
i
i
r-
Total d.:B 10 espèces
l
(1) Ce taux est calculé par rapport aux prises de 1975.
PRISE CHALUTIEFE TOTALE 4 40 337 t f
-.-
.---~--
10
T A B L E A U V
.,
.:
VENTILATI[ON DES CAPTURES (en kg) I'AR DIVISIONI COPACE
),
~CA?P VERT LITTOR4L
T O T A L
.
P R I S E S M E N S U E L L E S
P A R
E S P E C E
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Z O N E D E
P E C H E
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S T A N D A R D I S E
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