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B. STEQumT etF.GEFtm
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:I$TROD~IIr:TION.
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Balistes ca~~iscus, caimunuPerit appelc baliste gris.ou'poisson-gachette
est certainement a l'heure actuelle le poisson de la &te afkicaine qui pose
su biologiste les probl&nes les plus aigus de ces dernières années,
En effet, ce poisson appartient 5 une-fmille dont toutes les espkes
faisaient jusqu'à pri$ent montre de csract&es biol~iquea,.écologiques et
éthologiques hcmo$nes et stables : .peu naabreux, relativaent dispersés,
ces poissyns vivent pr& du fond 03 ils se nourrissent de cctraux, coquilla-
ges et tirsins qu'ils broiènt grâce & leur forte dentition. Or, le baliste
gris semble pre'sénter Uge biologie souvent très diffkente de ce sch&na gê-
nhl.,’ 11 se rencontre en qusntitds considérables,, pkx&de au moins en par-
tie un cmportt-ment pélagique, et effectue probablement d'importantes migra-
tions. Ajoutons q.ue ces casact&istiques, et en particulier l'importame
qu'il représente en ternes de bimmsse, sont appames brutalement au début
de cette demi& décennie.
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Baliste& Capriscus‘ (Gmelin, !1788), fskilie $es
au ge~eEal.iktes, qu'i.1 repr&ente en cmpsgnie iie
la côte Atlmtiqtie af$icaipe., Balistes csr>riscus es
les balist‘idés pak une &&mire e-ment puiss
aux ikaillcs inbri&es t,r& r&ista+zs, et un systèw de blocage en grec--
tion du premier rayon de le prEoni&e nagcoim dors&z (1). Il est réccknais-
. '.
",
(1) C'est dfailleurs~de cette particularité anatmiqué'qui n'e'at pas
sans rappeler les balistes, engins de 'guerre utilisbs par les romains, que
le genre tire son mm.

. Sa taille ruaximum
Dgu,n point do ,vue plus large, notons qu. “il s ‘sgit d’une espèce extr%ne-v
ment r&istante, qui. peut survivre & une 6mersion de plab d’une demi-heure.
C’est ainsi que lors d%n chalutage, lk3 ‘balistes sont pratiquement les seuls
poissons à retrouver leur vitalit6 lors du rejet en mer dos espèces non cow
mercialis6es. Enfin, il fylt pr&iser que uralgr6 1 ‘aspect peu engageant que
lui donne une peau rugueuse, une farte odeur et une -&te disproportionn%e,
ce poisson est parfaitement comestible, et sa chair qui n’est pas sans fines-
semble se prêter très bien aux m&hodes de eonditionn~ment modernes
se,
(filet8 sans arêtes et d’excellente tenue).
,., .
2 II
REPARTITSOB
2.1. LSMITES GE~RWHIC;SJES DE LA BIOlvfASSE
On rencontre des balistes jusqu"en ?Ju~~pe, mais il s'agit d'individus
iSOl6S. Les premières biamas~eimportantcs apparaissent actuellement au
Sénégal où elles arrivenl;
massivement en .juin, c*estӈ-dire & @but
de, la saison merrine chaude. Des sondages aupri?s des pêcheurs semblent .indi-
quer que ce ph&wmène~ a dÉbut& cnjuin 1978, mais que 1~ balistes:s %taient
re%ir& lors de la saison froide (novembre 1978 à mai ‘1o’W).
+
L%'~&&&Y? zone où Balistes cai>riscus constitue,Is,majorité de l& I!$o-*
mtk&k? est 'située <1 &,'lMite,sua de lgarchipc~ des @.ssr?.gos.
.'
A partir de cettÇ,.zone, 'les balistes sont &ésents à l’heure actuelle
en 'quantités 'iraportant& de la,Guin& Bissau au Ni&ia,, hm.me donnée’n’.,e%.is-
te c&cernant le Libérij, mais on voit mal pourquoi ‘ce pays repr6s,enterait’
une: zon$, de discontinuité, dans la @@rtition’de la bitanasse du baliste..
D 9 a$P&.s les &sultats du, N. 0 ., ,, FIOLRNT (ROBl@TSÔR, 1977)., il n'y aurait..$Ius
:
de.%li&s au sud du .Ni&ki;ti.
:. :
"'
,,
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.
2.2. REPARTITIOI? BATHYMETRIQUE
Les concentrations pélagiques de baliste s rencontri4es en Guinée sont
lixuit6es aux‘r6gions du plateau continental oG la profondeur dépasse 30 m.
Ce ph6nomène appasait clairement sur la figure 2 où la répartition'g&Gkle
des balistes sur le plateau continental de Guinée et de Sierra Léone est
,p$entée. Le.$ b:k$istes ne se sont d*ailleure pratiquement pas dépza@s en-
tre degt saisons mcwiines différentes, D'autre part les balistes sont8~bkents
'de8 pêches &ofess"i&nelles c"otières (lO'm),, La limite sup&ieure'e?t plus
dflictite à inett$e en'kidence, cex on trouve des balistes .au-delà du.plG.
teau continent’al. Il semble toutefois’que lPessentie3. de la biamas&“se -
tien& entre 30 et 100 m.
Cependant cotte observation est en partie contredite par celles notées
au S&&g&L, 06 les ‘balistes semblent moins liés 8 la bathymétrie, en perti-
culier dans les hauts-fonds : en, effet d‘ans la baie de Gor6e comme sur la
c?%e nord (de Dakar 8 Saint-Louis), les balistes 3 depuis leur apparition' en
juin 1978, sont captur& en quCantités parfois ti~ortant.a:s par les senhcs de
;tlage (fig. 31.. Notons toutefois que dans cc's régions, le plateau contiental!
est assez 6troj.t.

3 .
A L I M E N T A T I O N
3
3.7. REGIFIE ALIw3NTAIRR
Le réprime alimentaire des balistes est t&s'va.ri,fi.B&ete~ capriscus
est un prédateur 9 large ,rspcctre" alimentaire : il se nourrit aussi bien
de plancton que de benthos ou de poissorïs, Pour l'essentiel, les ccktenus
stanacaux sont composits de :
-!Plancton : . oaufs de poissons p&,gique (Clupeidés)
. mollusques p6lagiques
* Euphausiacées et karves de crustacés
. C!op&podes
larves de poissons (Clupeidés),
- Poissons kt'céphalopodes
. Myctophidés
. poissons de D.S.L.
. calmars
- Benthos . dgbris de coquilles (gast&opodes et bivsJ.ves)
. oursins
. coraux
. bryozoaixes
. petits crabes
. dgbris de macrophytes, sable, etc..,
Ajoutons à ctilr, que Balistes capriscus en vivier se nourrit de poisson
mort et dg& peu pr& tout ce qu'on peut lui fournir.
3.2. RYTHMES ALIMENTAIRES
Lorsqu'ils sont an concentratio~p$lagiqucs, les balistes peuvent se
nourrir dganimaux caposant les couchas diffuswtes profondes (DSL) lors-
que celles-ci remontent ti la surface. L'alimentation se fait alors essontial-
lement au crépuscule, période où la DSL est remont& vers la surface et o?.
l'éclairement est encore suffisant pour la capture des proies.
D?Z~ les eaux peu profondes, 03 la DSL n:esistc pas,,les balistes $1~
.
ziques ont rarw2nt lYestc23ac plein, et lorsque eSest le cas, il sgaglt sou-
vent en partie d'aliments d'origine bwthique. On ne peut cependant déternci-
ner un rythme alimentaire.
Enfin les poissons captur& sur le fond ont souvent, et quelque soit
l'heure, l'estomac rkmpli d@aliments d'origine henthique (c&uilles, f'ragmcn-5s
~d~oursins, etc...).
Il semble donc que le baliste soit un predateur diurne dont les ryth-
mes alimentaires sont conditionn& par les rythy.cs de disponibilité des
proies : alimentation Bans rythme dans le cas d":&iments constamment dispo-
:nible (benthos), et alimentation au crgpuscule (et probablement aussi ?i
l'aube bien que cel%a n.sait pas $4~6 mis en kidencc) lorsque l'aliment péla-
gique est disponible.
4 .
R E P R O D U C T I O N
h.1. SEX-RATIO
Les proportions des sexes posent un problème particulier ; les balistes

4
de petite taille (longueur 2 la fourche infkieure 2 15 cm) sont tous des
fesmd.l.es, quipeuvent
..<.
d'ailleurs etre 5 des stades avancbs de maturit6
sexuelle, et pour' certaines (suivant les saisons)! prGtes a pondre. A ces
tailles on ne rencontre pas de raâles.
A des tailles sup&ieures (15 à 25 cm) apparait une catégorie d'animawr
2 gcmdes particulikes, très petites, en‘ forme de boules, sans aucune vas-
cularisation apparente et innatures en tout état de cause.
La figure 4 montre la rgpartition par taille des poissons poss&ant ce
type de gonade.
On voit que ce stade apparait chez les gros individus, surtout a partir
de 20 au, et qu'il repr6sente lYessentiel des observations & partir de ~!+~III,,
En revanche les poissons de moins de 18 cm sont pratiqW%ent tous des fe-
laelles.
Une s&ie restreinte dvobservations histologiques nous a montré que ce
stade correspondait en fait à des testiCUles immatuTes,s&ns qu'il ait été
possible de noter de cas d~intersexualit~.
A la m‘he époque (novembre 1978
nous avons pu gqalwent observer sur quelques coupes histologiques des o-
vaires en stade de maturit6 avancée (stades 4/5’), sans que, là non plus,
nous ayons pu mettre en évidence des plages d'intersexwlités
Nous pouvons donc 6mettre deux hypothkes : ou bien il y aurait change-
ment de sexe avec l%ge, tout ou partie des individus *kg& prenant le sexe
m&Le, ou bien il y aurait répartition diffcrentielle suivant lesexes, les
mâles mûrs étant par exemple au fond..
Enfin surlesgros individus (taille supérieure è. 25 cm), comme nous en
avons obtenus au Sénégal, nous avons trou& un sex-ratio plus habituel, n&-
les et femelles 6tan-t prCsen%s, quelle que soit 1s taille. Toutefois les
males observés n'ont jsmzis présent,6 de st~:tdc avancé de maturit6 sexuel-
le s contrairement aux femelles de m&ne taille prises avec eux.
Le phénomène d'intersexuclité, s'il existe, nc toucherait donc que les
m%les qui passeraient au pr&lable par un stade femelle! au cours de leur
existence. Ce ph&ûnène, bien que peu courant, n’est pas exceptionnel chez
les poissons et a d6js 6t6 mis en évidence sur d'wtros espsces.
Il reste cependant un point non élucid$. Il s'agit de la fraction de la
population repr&sent&e par les inZiles mûrs (stades 3 à 6) que nous n'avons
observée dans aucun de nos prélèvements bien que nous ayons capturé des fe-
nelles prêtes à pondre. A titre dvexemple, le rappart gonade-somatique
(RGS) de la femelle 1% plus mûre est égal à 7,84 (poids du corps = 640 g!
alors que le.m%lc le plus mûr (stade 2/3 pour un poids de corps de 1 kg)
atteint un RGS de O,l.
4,2. DIMORPHEME SEXUEL
Des observations sur la livr& des balistes ont mont&! que l'on pou-
vait &parzr la population en dam groupes distincts d'après la couleur de
la peau au niveau da la rggion sous-opercukaire, l'un présentant une colo-
ration blanc-grisgtre et l'autre une coloration jaune.
Cette coloration peut %tre dans un prek.er temps 1% au sexe : en
effet on trouve beaucoup plus de m%les & gorge j.aune que de fçznelles.
Les observations euppl&entaires obtenues sur les gros individus
(LF)25 cra) au S&&g.al~ sableraient'cnsuitk dhontrer que la coloration

5
jaune correspond plus au bculeversanent physiologique existant i 1'4ip oii
les m&les potentiels changent de sexe qu'à un réel dimorphisme sexuel ffig.5).
4.3. PERIODES DE POFJ!E
ks p&iodez de ponte des b&stes sis sont encore msS d&U.u&t&s.
Deux observations faites en Guinde ont mont& qu'ils 6taient en ponte en
novabre-d6cembre et en repos tsexuel en mars. Au S&&gal, il semble que la
p6riode d'invasion coïncide avec une p&iode de maturiti- sexuelle (saison
marine chaude), abstraction faite du problkne pc& par les stades de maturi-
td des maes.
5 .
C R O I S S A N C E
Le premier rayon de la première nageoire dorsale de Balistes capriscue
a &6 pr6lev6 sur 70 individus lors d'une csmpaéfne en mars 1979 et sur des
poissons capturés au SQnÉgal ; une quinzaine d'autres ont 6tiS fournies par
le Centre de Recherches océanographiques d'Abidjan. Des coupes fines (envi-
ron 46 u) ont été effectu6es au moyen d'une scie lente (1).
La zone la plus propice aux observations SC situe dans le premier tiers
!1 pastir de lgarticulation du rayon (fig. 6).
Les rayons observés permettent de constater que les:stries d'accroisse-
ment sont suffisamment visibles sur Balistes capriscus pour permettent une
interp&tation.
Les stries visibles chez le baliste vont Ie plus souvent par paires
(fig. 7, coupe B). Cette espke marquerait donc deux stries annuelles, ph6-
na&ne assez fréquent chez les poissons tropicaux. Nous avons pu dresstrr une
cl6 h~e=lOt2gw%r =ohaerv~& (fit., 8) 2n tanan+ ccg@e du ftit *e;la Uern.Gn:
paire est curtplète dl non.
A partir de cette ~16, on peut noter que le baliste gris atteint approxi-
mativement 13 m en m an, 17 an en 2 ans, 21 ca en 3 ane 24 aa en 4 ane,
et qu'il pourrait avoir une long6vit6 maximum d’au moine 8 ans.
6 .
EVOLUTIOB
SPATIO - T E M P O R E L L E
D E S
P O P U L A T I O N S D E
B A L I S T E
6.1. M?lZATXOl?S
Balistes capriscus se rencontre de taps en temps en EWope, oti l’on
note chaque annle +o quelques individus sont captur& au chalut. On peut
penser que pratiquisnent tms les individus captwh sont siggm&és aux bio-
logistes, car leur aspect absolument extraordinaire aux yeux des pkheurs
des eaxxx europknnes les font toujours remarquer. Il est cependant clair
que sa présence est purement anecdotique.
61) SSCMET 1 l-1180 low-speed saw, BJEELEIR LTD.

Plus important est le phkn&?ne apparu ces dernières s.r&es EN S&&al,
Balistes capriscus accompagne les esux chaudes dans :Leur déplacement vers
16: nord. Des quantit& importantes de bolisJües sont en effet captur6es 2
partir de juin, pendant l'hivernage s&-&alais, eL caci depuis 1978. Ces
populations disparaissent pendant la saison froide (fi,g* 3) l
Les <anciennes csmpagnes de prospections effectude,s sur la c?ke diAfriquz
(en pertictiier la campagne du 'sGuincan Trawling Sur~$', ou CES) n'asmit
nulle part mis en kidence de concentrations &ortantes de balistes. Seuls
deux foyers is concentrrztions non n@ligeables (quoiqu'encore infimes par
rapport 2 la bicmasse totale) ont pu être n&s an Guir!ée et eu Ghana.
A partir de la décennie 1970, les populations de balistes se sont f,-a-
tastiquement accrues et 5 l'heure actuelle elles représentent probablement
l'esp&e dominante du Wigêria 2 la Guinée 3issau. A titre dfexemple la bio-
masse des balistes gris ea Cuir&e ast pnss& do quelques tonnes en 1968 B
hrj0 000 tonnes en 1978 (pour une biomasse totale de poissons de 800 000 t).
Ce développement soudain et d@une tellU: ez@eur est sans autre exmple
connu chez les poissons, et l'on en ignore encore les rkisons.
Quelques renseignements nupr& de divers laboratoires sembleraient in-
diquer toutefois qu'un ph&zm&e p~srttllble se serait produit sur la côte
Atlantique de lFAm&ique du sud, avec la m&ne espke et a.ux m$mes psriades.
C O N C L U S I O N
Les biologistes des pkhes, cme dsn,illeurs les pÊzcheurs et les con-
sommateurs, ont St6 pris au d6pourvtl qu,and les balistes, gris se sont mis 2
prolif&er de façon aussi invraisemblable.
A Ilheure actuelle la position du baliste dans l*ifcosyst??me est mieux
c o n n u e l
On connait en effet son alimentation, et ses prédateurs : en effet
B. capriscus joue un rôle non n&@igenble dans la chczi.ne alimentaire, o3
il sert de proie pour les thons, les grands carangidgs comme la skriole
(Seriola dumerili), et probablement les requins.
Sa biologie est dgakment mainten:& mieux appréh+nd&, et en particu-
lier sa croissance et sa reproduction.
Point& intkressant pkheurs et consommateurs: il ::t 6t6 d&ontré que
contrairement 4 une id& reçue, le baliste gris est parfaitement comestibl,.!.
La r6puttrtion de toxicité du baliste provient en effet de ce que certaines
espaces du genre que 190n rencontre dans le Tacifique ot l'Océan Indien
peuvent provoquer des intoxications graves. Mais il sk.$$it d'espkes se
nourrissant sur les r&ifs coralliens, lesquels nsexistent pas dans lçAtlan-
tique, Quant au bnliste gris, il semble avoir 6tê inclus dans la c&&JOrie
des poissons toxiques sur son seul aspect, aucun cas d7intoxication par fît3
balistes n'ayant jemais
Ut% net6 sur la c3te d'Afrique de l'ouest.
Il reste par centre un point mystérieux. Il s'agit tk+ç rthons pour
lesquelles la baliste s'est mis soudain 2 prolifker. Xn effet un chsngesnent
brutal s'est, produit au dEbut des ann6es 70 dans la vie de ce poisson, chen-

7
ganent dont lea cause8 sont encore inconnues et fwr lesquelles se penchent
les chercheurs. La premikre hypothèse posée cansiate 8 noter La co&cidenQs
entre Z7apparition des bélist~ss et les grands bmileversewnta ?kslogiques
sqparus en Afrique et csract&risés en particulier par la s&hcresse au
Sahel. 33n effet, ii semblerait que les conditions hydrologiques de 19Atlm-
tique*aient 6volu6, probablment suivant un cycle A t&s longue p&iodu, et
que cette &rolutian ait eu pour coas6quencc la sécherseoo d'une part, et le
bloom en baliste gris d'mtre part.


5 %
PN
4Ow
OeN
3%1
PN
Novembre
147 9
@g
0 à 9 mm
M a r s
1 9 7 9
a
10 à 29 mm
3 30 mm
Fig. 2 - Distribution géographique des concentrations de
Balistes capriscus sur le plateau continental guinéen.
( densités relatives en mm d’intégration par mille carré ).,
ï
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(A
A
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I’Kayar
-
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de balistes dana
les chalutages
II Présence de balistes dans is
/
sennes de plages
Fig. 3-. Zone d*extension des balistes au S&nGgal - nord
( Juillet 1979 ) .

1 1
Nombre d’hdividus
- femehs t o u s s t a d e s
70.
--MM màles immatures
. . . . -- . . . . - hd6terminés
50.
30
10
Fig. 4 - Distribution des sexes en fonction de la taille.
1
Nombre d’individus
W---O b l a n c
. . . . . . . . . *
jaune
-m-M
intermédiaire
8
1 0
12
14
1 6
1 8
2 0
2 2
24
26
2 8
lF(cm)
Fig.
5 - Distribution de la coloration en fonction
de la taille .

2
Fig. 6 - Reprbsentation schkmatique du Ier rayon de la
Premiere nageoire dorsale de Balistes capriscus :
structure ‘a divers nive&ux de coupe ( seules les
coupes aux niveaux E et C; prhsentent une bonne
Xisibilitê > .

1 3
Fig. 7.- Coupe du premier rayon de la nageoire dorsale de Balistes capriscus,
Les annuli A, et A2 de la première année sont bien visibles, ainsi
que le premier annulus de la deuxiG.me année (El). Ce poisson, qui
mesure 19 cm, aurait entre un an et demi et deux ans.

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