S T A T I S T I Q U E S D E DÉBAROUEMENTS D E...
S T A T I S T I Q U E S D E DÉBAROUEMENTS
D E L A ?ÊCHE M A R I T I M E A R T I S A N A L E
SliMÉGAL,lISE
EN
19.81
S O M M A I R E
INTROi>UCTION
LISTE DES ESPECES
PECHE PIROGUIERE
RF-sultats globaux
Région du Fleuve
Région du Cap-Vert
Région de Th$Gs
Région de Casmance
Région de Sine Saloum
Région de Louga
PECHE CORDIERE
Bn pêche siroguike, les enqu8tes effcctu&s couvrent les prin.cipsux
centres de debarquement : Saint -Louis, Kr?yar ,: Yoff P Ouakann 9 SoumbGdioune ;.,
Hann, 9uf isque r %OU~-, ,.~cxx.l et, Djifi;re. (D~UE cc: dernier port, 1~ CUDDT ni
possède pas d’enquêteur mais sel,:w jiBriotiiqucmcn% les ststistiqucs de
pêche au niveau de Zi usine). Le taux est dqetnGxon 70 % des pirogues ,pgra-
tionnelles.
L’estimation A.3 dGbarqurmenk3 totaux est E:?Fte CR extrapolant les dr,w
nQes collectées d.5~ ces yoints choisies CciuXw rrlf&ence :1 1” ensemblc2 4 ‘un
secttiur par le biriis des r&ultats du recensement.
T>our chaque @ion, o n part Jcs hypoth&es auivantzs :
- Le taux de sortie est le mGm&, pour un &IX jour, dans les centres
princis?aux et da:ls les centres stcondaires voisins .,
- ‘Les prises par sortie aour un engin donné sont idwtiques (composi-
tion s,pecifique, qusr$itE) jour 1~:s centres grincîpeux et les centres se
secondaires voisiw e-.,& adwttant que la pêche est ;zatiq&e sur les &.mes
1 ieux,
- les diffkences faunistiques notées cn:re les saisons froide et
chaude ont en -artic guidé le choix de deux pZ35o&s pour les recensements
des sites de dGbarquements Et unit& de pêche. En cO~SC~u.CiX~, les extra-
polations effectu&s pour 63btcnj.r les nrisos Far rGgi.on LieEnr-!nt compte de
ces deux @riodrs et se font selon le principe c!r, calcul suivant
le
l
débarquement :;nr secteur est obtenu-par le produit =
dGbarquement par nîte coatrolé x
noubre d’engins actifs du secteur
nombre d’engins actifs du s%t&F
Ce calcul est nppliqul- polur les périodes jnnvier 3 juin, puis juillet 3
décembre.
AVEHTXSSEHENT
Rien que le ,twx. de couvcrtwe de la pkhc piroguiêre soit élevé (cnvircn
70 9: des piroguzs sont cnquttées) les rZsultnt,s publiés ici doivent être con-
sidér,& comme paeiels et ne sernnt utilis% r;u’avec prudence. H’ayant pas
d’enquêtes dans les regions du Saloum ct dr La Casekma’ncc nous avons pris en
compte pour ces EXJX @ions les chiffres pubiiGs. par la D.OPkf en ne retenant
que les espèces wiriaes. Au r.iveau des cngins certains sent tri% mal coGVcLtL,
par nos enquêtes, CG qui cou.6 oblige à donner des estimations globales an-
nuelles. C’est lc cas des serines de plage difficilement contrôlables scr la
cSte sud et le Cap-Vert : elles $chent souvent hors des sîtes contr616s par
nos enquêteurs.
3
LISTE DES ESPECES PRINCIPALES
NOM COMMUN
NOM SCIENTIFIQUE
-
,
Ethmalose
'j Ethmalosa dorsalis
Sardinelle ronde
i
Sardinella aurita
Sardinelle plate
1
Sardinella maderensis
Anchois
' Anchoa guineensis
Tetrodon
Lagocephalus spp
Brochet
Sphyraena spp
Mulet
Mugi1 spp.
Carpe blanche
Pomadasys spp
Pelon
Brachydeuterus auritus
Chinchard jaune
Decapterus rhonchus
Grande carangue
Caranx spp
Liche
Lichia spp
Chinchard noir
Trschurus spp
Plat plat
' Chloroscombrus chrysurus
Trachinote
Trachinotus spp
Mussolini
Selene dorsalis
Seyris d'Alexandrie
Seyris alexandrinus
l
Tassergal
; Pomatomus saltator
Bogue
Boops boops
1
Drepane
Drepane africana
i
Maquereau
Scomber japonicus
I
Maquereau bonite
Orcynopsis unicolor
II
91
Scomberomorus tritor'
Bonite
1
Sarda sarda
Thonine
I Euthynnus tlleteratus
Ceinture
l
Trichiurus lepturus
Voilier
Istiophorus spp
Machoiron
i
Arius spp
iti.r L-.e
Lycodontis
i
Plexiglass
Galeoides decadactylus
Badèche
Mycteroperca rubra
Fausse morue
Epinephelus aeneus
91
Mérou de Méditerranée
guaza
99
de Gorée
99
goreensis
99
gris
19
caninus
Carpe rouge
Lutjanus spp
Dorade grise
Plectorhynchus mediterraneus
Capitaines
Pseudotolithus spp
Courbine
1 Argyrosoms regius
Dentés
D e n t e x s p p
l
Pageot
Pagellus coupei
Pagre
Pagrus spp
j
Brotule
Brotula barbata
Sole langue
j' Cynoglossus spp
Requins
Pleurotremata
Raie
1
Hypotrematx
Seiche
! Sepia officinalis
Crevettes
[
Penaeus duorarum
Cymbium
Cymbium pepo
i
Gasteropodes
I
Cymbium spp + bh,U%X spp
*
Alassane
SAMBA
Alphonse
SAGNA
Franc&
LALOE
Tiél&me
SENE
Maussa
BAKtiAYOKtiO
Rassirou
NOIAYL
PhilipfE
CURY
Ibrahima
sow
Jacqueline LOPEZ
Oumar
DIOUF
î%liCk
NDIAYE
Ojibril
DIOP
Ibou
NOIAYE
P E C H E
PI'RQGUIERE
Résultats .globq.xi
”
1. La flottille
Le recensement
de
*
sentembrc! 1981 est plus a:xhanstif que celui d’avril :
.
.
une so Ixantaïne Be points de d&wquzment ont G?:i! visi,t$s (tabl. 1) ce qui
a traduit par une augmentation du nombre de ?irnpw:s recensées (13 Z) p
Les 10 centres enqu&tes par le Cl?,ODP regrougen1 rwiron 70 X des pirogues
op&ztionnelles d&~ombr$es ;2r &;snles <su is&r$fi!.?.l ) Cer.Eaineç indications
permettent de confirmer la preeence d ‘unit6s 6; pGkh2 s<k+a?sises dans
les pays 1imitropheB D
L!. La nroductio7
Elle est en hausse dans les Frincipaux e;.ntr:cs xqu~tés ; c e t accrois-
sema& est trés sensible au nivrau des poi,ssons g&.agic,*.les et dénote une
activité de pIus en plus gra.ndE: aes scnnes tournantes i L’augmentation du
nombre de ces engins est relativement plus aer;-.ibi~ï: sur la grande Côte
oc le nombre de sennes tournant:es recensees est ~K.L;s~ de 21 B $2 entr2
avril. 79 et avril 31 contre 43 A 70 entre asUt ‘l/? et avril ai sur la petita
Côte. La proportion de ~,G?lagi.ques dans les d%arquzments est respectivement
de
74 X pour la region du Fleuve, 81 7 pour ‘Le wcteur de Xnyar, 79 Z
pour le Cap-Vert et i34 X pour la petite Cote,
CII note que 12s d?barque.ments ne snnt 2%~ 6guli.cr toute l’ann6e ceci
étant: lié au caractsrc migra.toire des espkrs pkhées. La najcurc ?arti.e
des miees h terre est faite an saison froide sur La grande Côte (66 Z
pour le Fleuve et 86 2 pour le secteur d 3 Rayer) tit le Cap-Vert (67 Z) D
sur la côte sud j seuls 30 X sont di;-barqu& pendant la saison Eroidr,
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Tableau XVII.- Débarquements totaux par esp&zes (en tonnes)
(chiffres du rapport DOPM 1981)
i
ESPECES
'
REGION DE CASAl!ANCE
REGION DU SINE SALOUM
i
,
: Ethmalose
1 000
i
3 959
Sardinelle ronde
1
Q
:
6 355
1 Sardinelle plate
0
323
; Brochet
i
I
127
i
401
' Mulet
1 214
3 675
i Carpe blanche j
43
1
93
Pelon
/
0
L
220
Chinchard jaune
;
0
È
17
Grande carangue
7 3
i
730
Liche
4 0
Chinchard noir
1
Tassergal
23
Maquereau
2
Maquereau bonite
65
Thoninc
1
Machoiron
065
533
Ple::iglass
0
5
F a u s s e m o r u e
0
13
Dorade grise
0
98
Capitaine
G9C
317
Courbirre
0
14
Dentés
0
9
Pageot
i
i
0
4
Pagre
,
39
107
Sole langue
i
93
16
Requins
3:1 2
66
Raies
0
Divers
1 9’57
TOTAL !XMERAL i
6 518
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24
M. KEBE et 1. FALL
2 7
1 N T R 0 D IJ C T 10 N
La pêche cordiere, dont les premisrss expériences datect de 1963, utilise
des embarcations en mEta ou cn bcis de 13 m de long pour 4,5 m de largez
dquigé,s de moteurs de 75 3 150 cv d’une cale 3 poisson de 7 B 9 tonnes de
capacité, avec un Cqtiipge de 8 2 12 hommes. Le projet cordier devait per-
nettre d’une part l*ex;loitation de nouvelles zones de pêche et donc la
capture d’esyEces de forte valeur commerciale, d* nutre part le passage d” un.2
exploitation de tyP e artisanal (pirogues) 3 une pêcherie de type industriel.
RESULTATS GLOBAUX (Tableau 1)
Entre 1980 et 1981, le.nombre de cordiers est passé de 11 à 2.3 et la
production a connu une hausse de 67 X.
<.
. . .
,“. Tableau Ii - R&ultats globaux de la pê’che Cord&e
ESPECES PECIIFXS
La pêche c:ordi&e s’int6resse principalement aux espèces d6nersales :
Nom commercial
Nom scientifique
Fausse morue (thiof)
EpincpheZus aeneua
Y6rou g r i s {f’our)
r:
cawinus
M~OU de Gorge (do;)
II
gorcsnsis
Diaregne (dent&)
Dents~ f7z20sus
Pagre ài points bleus
(waragne)
Pagre des tropiques
(khaya)
Pagrus pupus
La composition des captures selon les espèces figure dans le tableau II,
lors du d6barquement les espèces de même valeur commerciale sont vendues en-
sem3le : c’est le cas des thiof et diarègrtc d’une part et des doï et khay:\\
d’ autre part.
28
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Tableau II.-- DC%arquemxt:s totmx des cordiers ( e n fxmnes)
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LISTE DES ESPECES
PECHE PIROGUIERE
RF-sultats globaux
Région du Fleuve
Région du Cap-Vert
Région de Th$Gs
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Région de Louga
PECHE CORDIERE
Bn pêche siroguike, les enqu8tes effcctu&s couvrent les prin.cipsux
centres de debarquement : Saint -Louis, Kr?yar ,: Yoff P Ouakann 9 SoumbGdioune ;.,
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possède pas d’enquêteur mais sel,:w jiBriotiiqucmcn% les ststistiqucs de
pêche au niveau de Zi usine). Le taux est dqetnGxon 70 % des pirogues ,pgra-
tionnelles.
L’estimation A.3 dGbarqurmenk3 totaux est E:?Fte CR extrapolant les dr,w
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T>our chaque @ion, o n part Jcs hypoth&es auivantzs :
- Le taux de sortie est le mGm&, pour un &IX jour, dans les centres
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tion s,pecifique, qusr$itE) jour 1~:s centres grincîpeux et les centres se
secondaires voisiw e-.,& adwttant que la pêche est ;zatiq&e sur les &.mes
1 ieux,
- les diffkences faunistiques notées cn:re les saisons froide et
chaude ont en -artic guidé le choix de deux pZ35o&s pour les recensements
des sites de dGbarquements Et unit& de pêche. En cO~SC~u.CiX~, les extra-
polations effectu&s pour 63btcnj.r les nrisos Far rGgi.on LieEnr-!nt compte de
ces deux @riodrs et se font selon le principe c!r, calcul suivant
le
l
débarquement :;nr secteur est obtenu-par le produit =
dGbarquement par nîte coatrolé x
noubre d’engins actifs du secteur
nombre d’engins actifs du s%t&F
Ce calcul est nppliqul- polur les périodes jnnvier 3 juin, puis juillet 3
décembre.
AVEHTXSSEHENT
Rien que le ,twx. de couvcrtwe de la pkhc piroguiêre soit élevé (cnvircn
70 9: des piroguzs sont cnquttées) les rZsultnt,s publiés ici doivent être con-
sidér,& comme paeiels et ne sernnt utilis% r;u’avec prudence. H’ayant pas
d’enquêtes dans les regions du Saloum ct dr La Casekma’ncc nous avons pris en
compte pour ces EXJX @ions les chiffres pubiiGs. par la D.OPkf en ne retenant
que les espèces wiriaes. Au r.iveau des cngins certains sent tri% mal coGVcLtL,
par nos enquêtes, CG qui cou.6 oblige à donner des estimations globales an-
nuelles. C’est lc cas des serines de plage difficilement contrôlables scr la
cSte sud et le Cap-Vert : elles $chent souvent hors des sîtes contr616s par
nos enquêteurs.
3
LISTE DES ESPECES PRINCIPALES
NOM COMMUN
NOM SCIENTIFIQUE
-
,
Ethmalose
'j Ethmalosa dorsalis
Sardinelle ronde
i
Sardinella aurita
Sardinelle plate
1
Sardinella maderensis
Anchois
' Anchoa guineensis
Tetrodon
Lagocephalus spp
Brochet
Sphyraena spp
Mulet
Mugi1 spp.
Carpe blanche
Pomadasys spp
Pelon
Brachydeuterus auritus
Chinchard jaune
Decapterus rhonchus
Grande carangue
Caranx spp
Liche
Lichia spp
Chinchard noir
Trschurus spp
Plat plat
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Trachinote
Trachinotus spp
Mussolini
Selene dorsalis
Seyris d'Alexandrie
Seyris alexandrinus
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Bogue
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1
Drepane
Drepane africana
i
Maquereau
Scomber japonicus
I
Maquereau bonite
Orcynopsis unicolor
II
91
Scomberomorus tritor'
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1
Sarda sarda
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I Euthynnus tlleteratus
Ceinture
l
Trichiurus lepturus
Voilier
Istiophorus spp
Machoiron
i
Arius spp
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Lycodontis
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Plexiglass
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Badèche
Mycteroperca rubra
Fausse morue
Epinephelus aeneus
91
Mérou de Méditerranée
guaza
99
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99
goreensis
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19
caninus
Carpe rouge
Lutjanus spp
Dorade grise
Plectorhynchus mediterraneus
Capitaines
Pseudotolithus spp
Courbine
1 Argyrosoms regius
Dentés
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l
Pageot
Pagellus coupei
Pagre
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Brotula barbata
Sole langue
j' Cynoglossus spp
Requins
Pleurotremata
Raie
1
Hypotrematx
Seiche
! Sepia officinalis
Crevettes
[
Penaeus duorarum
Cymbium
Cymbium pepo
i
Gasteropodes
I
Cymbium spp + bh,U%X spp
*
Alassane
SAMBA
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Jacqueline LOPEZ
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Ojibril
DIOP
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NOIAYE
P E C H E
PI'RQGUIERE
Résultats .globq.xi
”
1. La flottille
Le recensement
de
*
sentembrc! 1981 est plus a:xhanstif que celui d’avril :
.
.
une so Ixantaïne Be points de d&wquzment ont G?:i! visi,t$s (tabl. 1) ce qui
a traduit par une augmentation du nombre de ?irnpw:s recensées (13 Z) p
Les 10 centres enqu&tes par le Cl?,ODP regrougen1 rwiron 70 X des pirogues
op&ztionnelles d&~ombr$es ;2r &;snles <su is&r$fi!.?.l ) Cer.Eaineç indications
permettent de confirmer la preeence d ‘unit6s 6; pGkh2 s<k+a?sises dans
les pays 1imitropheB D
L!. La nroductio7
Elle est en hausse dans les Frincipaux e;.ntr:cs xqu~tés ; c e t accrois-
sema& est trés sensible au nivrau des poi,ssons g&.agic,*.les et dénote une
activité de pIus en plus gra.ndE: aes scnnes tournantes i L’augmentation du
nombre de ces engins est relativement plus aer;-.ibi~ï: sur la grande Côte
oc le nombre de sennes tournant:es recensees est ~K.L;s~ de 21 B $2 entr2
avril. 79 et avril 31 contre 43 A 70 entre asUt ‘l/? et avril ai sur la petita
Côte. La proportion de ~,G?lagi.ques dans les d%arquzments est respectivement
de
74 X pour la region du Fleuve, 81 7 pour ‘Le wcteur de Xnyar, 79 Z
pour le Cap-Vert et i34 X pour la petite Cote,
CII note que 12s d?barque.ments ne snnt 2%~ 6guli.cr toute l’ann6e ceci
étant: lié au caractsrc migra.toire des espkrs pkhées. La najcurc ?arti.e
des miees h terre est faite an saison froide sur La grande Côte (66 Z
pour le Fleuve et 86 2 pour le secteur d 3 Rayer) tit le Cap-Vert (67 Z) D
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24
Tableau XVII.- Débarquements totaux par esp&zes (en tonnes)
(chiffres du rapport DOPM 1981)
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ESPECES
'
REGION DE CASAl!ANCE
REGION DU SINE SALOUM
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1 214
3 675
i Carpe blanche j
43
1
93
Pelon
/
0
L
220
Chinchard jaune
;
0
È
17
Grande carangue
7 3
i
730
Liche
4 0
Chinchard noir
1
Tassergal
23
Maquereau
2
Maquereau bonite
65
Thoninc
1
Machoiron
065
533
Ple::iglass
0
5
F a u s s e m o r u e
0
13
Dorade grise
0
98
Capitaine
G9C
317
Courbirre
0
14
Dentés
0
9
Pageot
i
i
0
4
Pagre
,
39
107
Sole langue
i
93
16
Requins
3:1 2
66
Raies
0
Divers
1 9’57
TOTAL !XMERAL i
6 518
a.4 w
M
.
/
QGNOQG
FI
m
24
M. KEBE et 1. FALL
2 7
1 N T R 0 D IJ C T 10 N
La pêche cordiere, dont les premisrss expériences datect de 1963, utilise
des embarcations en mEta ou cn bcis de 13 m de long pour 4,5 m de largez
dquigé,s de moteurs de 75 3 150 cv d’une cale 3 poisson de 7 B 9 tonnes de
capacité, avec un Cqtiipge de 8 2 12 hommes. Le projet cordier devait per-
nettre d’une part l*ex;loitation de nouvelles zones de pêche et donc la
capture d’esyEces de forte valeur commerciale, d* nutre part le passage d” un.2
exploitation de tyP e artisanal (pirogues) 3 une pêcherie de type industriel.
RESULTATS GLOBAUX (Tableau 1)
Entre 1980 et 1981, le.nombre de cordiers est passé de 11 à 2.3 et la
production a connu une hausse de 67 X.
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,“. Tableau Ii - R&ultats globaux de la pê’che Cord&e
ESPECES PECIIFXS
La pêche c:ordi&e s’int6resse principalement aux espèces d6nersales :
Nom commercial
Nom scientifique
Fausse morue (thiof)
EpincpheZus aeneua
Y6rou g r i s {f’our)
r:
cawinus
M~OU de Gorge (do;)
II
gorcsnsis
Diaregne (dent&)
Dents~ f7z20sus
Pagre ài points bleus
(waragne)
Pagre des tropiques
(khaya)
Pagrus pupus
La composition des captures selon les espèces figure dans le tableau II,
lors du d6barquement les espèces de même valeur commerciale sont vendues en-
sem3le : c’est le cas des thiof et diarègrtc d’une part et des doï et khay:\\
d’ autre part.
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Tableau II.-- DC%arquemxt:s totmx des cordiers ( e n fxmnes)
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