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.,
fhNTRIBUTIBH A
L’itTWDE
DE L
A

PECHFR~BJ
D
E
#-hYAR:
tTUDE BPUNE PARTI,E
D E S RhlJLTATS B U
SURtkCHAMTIlLOMNA5E
D E 19?8 C O N C E R N A N T L E S P I R O G U E S
MOTORIStES Ph.HANT A
LA L I G N E
Par
F. LAIDE, P. BER(X3RARD, A. SAMBA
R E S U M E
L'analyse des csractkistiques et des prises de dif-
fgrentes eep$ces pour731 sorties d'une jour&edepirogues
motorisées pêchant a la ligne montre l'existence de deux
types de pêche correspondants 3 des espèces cibles diffé-
rentes.Les caractéristiques et les prises dechaque type sont
&udi%es. Les él&kents $ .&unir en vue de permettre ulté-
rieurement une stratification de l~échantillonnsge pour
les enquêtes sont explicités.Une adaptation du calcul des
pue est discutée.
A B S T R A C T
The analysis of the characteristics and catches of
various species from 731 outings of motorized canoes of
the handline fishery indicates atleast two typesof fishe-
r$. Each type corresponds to different target species.The
chera&risti.& $+d catches of each fishery are studied.
The elements needed in order to underfake later a strati-
fied sampling are indicated. An adaptation of the cpue
.calcu2ationi$ &isarmed.
..-.. "
: :.
,

Re artftion des principaux centres ,de d6barquement de la p?che artfsa-
P
na e sénégalaise.

S OMWA IR E
3
INTRODUC!TION
1. DESCRIPTION
1.1. Prises en fonction des caractéristiques des sorties
1.1.1, Jour de pêche
1.1.2, Nombre de pêcheurs
1.1.3. Heure de retour
1.1.4. Lieu de p%he
1.1.5. Profondeur
1.2. Discussion
1.3. Liaisons entre variables
1.4, Discussion, conclusion
r:. DISCRIMINATION DES TYPES DE PECHE
2.1, Discrimination
2.2. Analyse discriminante
3. DESCRIPTION DES TYPES DE PECii
3.1. Prises en fonction des c.aractéristiques
3.1.1. Jour de pêche
3.1.2. Ncmbre de pêcheurs
3.1. 3 Heure de retour
3.1.4. Lieu de p%che
391.5. Profondeur
3.2. Liaisons entre variables
3.2.1. Zone "1"
3.2.2. Zone "2"
3.3. Conclusion
4, STRATEGIE DOECHANTILIkMNAGE ; CALCUL DES PUE
4.1. Stratification "jour de pzche-heure de retour"
k.2. Stratification 'jour de p&he-type de pêche"
4.3. pue 9 effort
4.4. Formules pratiques
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
!WfEXE A
ANNEXEB
I N T R O D U C T I O N
L'enquête "sur&hautillonnagc'l
dont les rkmltats sont étudiés dans ce
travail a et6 faite au cours de la semaine du 10 au 16 avril 1978 3 K;rtyar
Elle a ét6 conçue et réalisée par P. BEFGERARD, C. CHAMP~NAT et A. SAMBA,
Les trois principaux objectifs de cette enqu"ete etaient les suivants :

_._““---
<--_
I.-
,_.-.--.---
-...
--
__---..---
--..
-~.*..“--
1') Permettre de contrôler la valeur des enqu%tes de routine cffectu&z
2 Kayar o
2*) Analyser lc plus finement possible la ;-tructiure de la p2Xheri.e de
Kayac pendant la période consid&dc.
3') Déterminer en fonction de la structure de cette ~p2chc&.e, si une
:mélioration de la pr6cision des estimations de prises est envisageable, et
.woposer une m6thode <%'&hantillonn~e permettant dOatteindre cet obijectif.
Pour tenter d'apporter des 616ments de solution ?X ces trois problèmes,
noils avons utilis6 dans ce travail les donn6es concernant 7'31 sorties d'une
,iournée, réparties sur les six pemiers jours de 15en.qu&tc. Le fichier in-
:'ormatique a dté réalisé par P. BERGERARD.
Pour chaque sortie nous disposons des renseignements suivants :
(.Jour de sortie (de 1 2 6) ;
(.Ncmbre de pecheurs (de 1 3, 5);
- Caractéristiques (.Heure de retour (codée dz demi-heure en demi-heur?,
de la sortie :
( la premi&e demi-heuw ccmmcnce i. onze heures);
(.Lieu de pêche ;
(. Profondeur (psz tranches dc dix mètres).,
- Prises (en kg)
(.Thiof (Epinephelus aencus)
- Prises (cn kg)
(.Chinchard ~(Caranx rhonchus)
pour les espèces
(.Tasserg&L (Pcanatcmus saltat:&.)
suivantes :
(*Pageot (Pagellus coupei,)
(.Sarda (Sarda sarda)
(.Autres espèces
Dans un premier temps une 6tude a dtg réalisée de façon 2 décrire les
:wises en. fonction des caractéristiques des sorties et à mettre en évidenct
'es 6ventuelles relations entre les differentes osp?ccs.
.A l'issue de cette premièr c partie nous envisagerons la possibilit6 d?
&parer la pêcherie en plusieurs Q-pr3s. Nous donnerons ensuite une descrip-
ion de ces types de pêche,
?Tous essaierons enfin ds d&terminer si lîcxistencc de plusieurs tYpeS
(!e p&he peut permettre lEelaboration dPune stratégie d'échantillonnage et
xous discuterons de lPint&'êt g&&wl de lïétud~ des diff6rents types de
$che.
Nous évoquerons tout au long du texte les E%$ments que nous wons obte-
:US lors de nos conversations avec deux p$cheur~ originaires dc Saint-Louis :
'24 Mamadou GTSENE et Mamsdou NIANG, et lors d'un' sortie en :mer & laquelle
nous avons Pa;rticipé le 9 juillet 3980.
1 .
D E S C R I P T I O N
D E S
RESLJLTATS
!.l. PRISES EN FONCTION DES CARACTERISTIQYES DES SORTIES
Pour chacune des cinq, caractfristiques prise comme fac!teur, nous -tvOnS
:&,lisé sept analyses de vsrisnce avec les vari&les exprim&s en kg :
- Prise par espèce (5; variables) ;
i“Prise dans les autres espèces '5
- Prise totale :'
Des résultats de ces analysesi ne figurent dans les tableaux I ,2, V que

las moyennes par niveau de facteur. Les rapports de vsriance sont ceux obtzU
nus avec les mêmes analyses faites avec les données transformées par la fonr-.
tien Y = Log (X * 1) 03 X est la valeur en kg. tie après cette transforma-
tion, on ne peut affirmer que les variantes "intra" soient homogènes. En
l'absc~d'hcmog&&ité des variantes, nous n'affirmerons qugun facteur a un
effet significatif que lorsque le rapport de variantes sera supérieur au
seuil lu dans les tables : la puissance des tests est également affectée,
Qne discussion plus approfondie de ce problsme figure dsns l'annexe A. Si
un facteur est directement responsable dPun effet, cet effet risque d%tre
répercut6 sur les autres facteurs, les plans faisant intervenir deux fac-
S.eurs étant en g&&al d&équilibr&. C'est pourquoi nous nous bornerons &
yte donner qu'une description sans tenter pour l'instant dginterpr6ter les
{différents effets observ&.
1.1.1, Jour de p&zhe (tabld
Seu?. le r&ultat concernant le thiof est non significatif. Ces analy-
ses montrent que les espèrances des prises peuvent varier d'un jour ,; l'au-
tre. Nous pouvons observer que pour le total des prises lveffet est peu
important par rapport À celui observg pour les prises per espèce (thiof
Gxcept6). Ceci peut faire penser que des prises faibles pour une espèce un
jour peuvent Etre ccmpen&es par des prises plus fortes pour dgautres esp&
'es. !?~US aborderons plus loin le problème de la rgpartition de l'effort
sur les différentes espèces.
3.1.2. Nombre de pêcheurs (tabl. II)
Le nombre de pkheurs vari,: de 1 & 5. Pour le thiof, le chinchard et
7~ pageot: les effets sont peu significatifs 9 les prises les plus faibles
%?M, observées pour les pirogues ayant plus de 3 pkheurs (pour le thiof)
ou plus de 4 pêcheurs (pour le pqeot et le chinchsrd) û; leur bord. Pour 1~:
tassergal et ie sarda, les effets sont très significatifs j les pirogues
avant des prises d'autant plus importantes que le nombre de pêcheurs embsr-
qu& est plus grand. LYeffet nombre de pêcheurs est significatif pour la
prise totale, qui augmente avec le nombre de pêcheurs. Toutefois la prise
p:t" p&heur diminue avec le nombre dc pkheurs (test de rang de Kend&all
significatif au niveau 0,042).
1.1.3. Heure de retour (tabl. III)
L'effet est non significatif pour le thiof ct il est moins important
7our le psgeot et le chinchard que pour le tassergal et le sarda. L'exmen
ikes moyennes indique quo les espèces tassergal et sarda sont d6barq&es
‘clus tardivement. Nous discuterons plus loin de ce phénomène.
1,l.b. Lieu de pêche (tabl, IV)
L9effet est significatif pour les 5 espèces ; il est également signi-
ficatif, mais moins important pour les prises des autres espèces ; il n'est:
pas significatif pour la prise kotalc. LYintérêt de ces r&ultats est dc
:nontrer que la dkomposition de la zone de pêche en lieu de pêche (voir
annexe B) est lige, ‘au moins p.wtiellement, 2 la décomposition entre bioto-
.:~es diff&ents (llid&l. serait qu'g un lieu de P%he ne corresponde qu'un
biotope bien défini),
1.1.5. Profondeur (tabl. V)
Les résultats n'apportent pas d'information remarquable. Nous consixkm~

<-yils sont compatibles avec l..,
ae r&ltats de DOMAIN 1:15>76).
3.2. DISCUSSIOti
Certai& effets permettent de supposer quo :~:lusieurs types de pzche exr*:--
,
$,ent. Nous pourrons'ti c? est le cas emisager d'utiliser ces types de $che
:,)our dgfinir des strates. Ces effets sont ici ceux associC-s au nmbre de ~~~-
%.beurs, 2 l'heure de retour et au lieu de peche, LFefficacit6 des facteurs
n&bre de pêcheurs" et "l‘heure dc retour? pouz d;finir des Qypes de p&he
imrait douteuse. En effet 'pour le nmbre de $3cum,. s'il y a une grande
c..:iff&ence entre les prises des pirogues ayant ?cs Gquipages de 1 ou 2 p3--
c:heurs et celles des Firogues ayant des &uipagm de 5 $%beurs, les pirs-
!Sues ayant des 6quipagc.s de 3 ou 4 p'&cheurs (1~ plus ncxnbreuscs) ont des
iirises assez peu différentes ; df? plus une piroSu.e ay%nt 2 son bord un non-
-I)re déteminé de pêcheurs peutF atiquer des types de p$che differents d'w
.jour 5 l'autre. Il est donc probable que le crit&e nombre de pêcheurs ne
:l.iscrimine pas bien dî&entuels tylJes de p&zhcs. Pour lYheure do retour,
‘-'effet est Eon significatif ou peu important pour le thiof', le chinchard
>t le pageot. Il faut noter que la liaison entre lihewe de retour et les
wises en tassergel et soda. est susceptible de biaiser 1C's estimations des
,wises pmr ces esp&es car le taux d~&hantillonnage est mwiablc! tout au
:i.mtl; de la journée, aussi bien pour lYenquête su&chantillonn~e htudi$e
.ici que pour les enquetes de routine.
Le facteur "lieu de pêche" peut être plus int&essant :
- Les effets sont importants pour les $ es$ces ;
- Si 2, un lieu correspond un Siotope bien &fini, nous pouvons espCrer
;ue le lieu de p&ho et lc type dc pêche sont -t&s bien li&. .Nous pourrons
tims ce cas disposer d'un outil pour ctudier la structure CL(:: la pêcherie.
Lsexistcnce d?un effet jour fait penser qu'il ibr a de fortes variations
1e disponibilit6 d'un jour à leautre. Dans cc; C;E~ on observera une r6percus-
<ion de ces variCations 3 lîint&ieur des stratts::. d.6finies pr& un typz de
’ 4 chc l
Nous pourrons faire une stratificatioo ":T.ntrLZ jour" 4<
L'existence de diff&ences entre les Jours pzut; igalemnt s vexpliqucr
..' i la proportion des
.i
6quipages pratiquant un tJT!!:- de p$ch~ détermink vmia
*'u.u jour à Ilautre.
._ .
~,~&a& 'fjomces ' d;-$,&i&ions '@euvent se cumuler e:t; ttk$xdre l'une de
Li~tre (la disponibilitc d'une espèce peut par exi~mpln, in?'luencer le nom--
Yre dqéquipages recherchant cette espsce). N~us discuterons plus loin de la
r&ali% de ces deux sources de variations.
1.3. LIAISONS ENTRE VARIABLES
Nous avons calcul.6 les matrices de covarianees et de corrélations pour
1~s six variables suivantes : prises (tranfom6es par In. Ponction
L = Log(X f 11, X est la valeur en kg) pour les cinq es:pèces et pour 1'~:'
semble des autres espèces. Les tableaux VI et Vfl sont constitués par ces
deux matrices. Nous avons effectui: une analyse en emposanterr: principales 9
TzCszrtir de chacune de ces deux mtrices ; les r&sultaf;s fi~~urcnt dans les ta-
bleaux VIII et IX. La Ci,gure 2 repr&ente les I:ont~it)~xtrorr:~ des variables 8~:
deux premiers axes (,antzlyses avec les corr&lations), Dans :Les deux analyses
le premier axe qui î'explique" un peu moins de la moitié de la vwinnce totae
Le, oppose les prises de tassergal et de sardii .mx prises dès autres espècrs.

XIe coefficient de corrklation observé entre.les prises de tasseegal et ssrdzl
.::st positif ainsi que les coefficients concernant les autres espèces entre
Ales ; tous les autres coefficients sont n6gatifs. Nous pouvons remarquer
3ue les thiofs, les pageots et les chinchards pkhés à la ligne ont un can-
~;)ortement dénersal alors que le; tassergsls et les sarda sont p&sgiques.
1.4. DISCIJSSION, CONCUSION
Ces dernières analyses et :Les résultats des analyses de variantes per-,
%cttent de supposer qu'il existe deux types de pkhe. Un type serait prati-
.ré p~ar des équipsges pêchant plus particuli&wnent le tassergal et le sarda,
! 'autre type étant
.-_
pratiqug par des Équipages pêchant plus psrticulikment
.I. . .
'3 Ghiof, le chinchard et le pweot.
2 *
D 1 S CR IM 1: IU A T 10 N
D E S
T Y P E S
D E
F E C H E
2.1. DISCRIUINATION
Jusqu'à présent nous n'avon s utilisé que les donndes fournies psr le
süréchantillonnage.
Permi les 5 espèces plus sp&ialement &tudiées ici, 4
sont des espèces "cibles" : le kassergal, le thiof, le pageot et le chinchsrti.
Les associ&ions observées d‘ans la première partie permettent de supposer
;~1~u.n choix est fait entre ces csp&zes : un équipsge se spkialise dans la
kcherche du thiof et/ou du chinchard. Lîesp$ce cible, est donc une façon 43
définir un type de pêche.
Dans les données du sur&bentillonnage nous ne disposons pas du rensei:
;,;nanent "espèce(s)
recherchêe(s)JP* Nous pouvons toutefois espèrer l'obtenir
,? partir du lieu de pêche si chaque lieu n'est fréquent6 que par des pirogue.
pratiquant le m*eme type de pkhc. Lc fait que l'effet lieu soit @lev6 pour
12s 5 espsces Justifie cet espoir. Si nous parvenons par cette m&hcde (3
%:ffecter chaque piroguc ii une strate, nous pourrons faire une 6tude 2 17i:>v.
?%ieur des strates. Nous avons donc repris les donn&s obtenues pour les
3ieux de pkhe pour une i-tude plus approfondie. Nous avons pris en considc-
;-ckion tous lea lieux ayant reçu la visite de plus de 10 pirogues (les lieu::
:.) 4: 6, 7, 8, 13, 14, 15, 16, 20, 21, 23 et 36). Nous avons class6 ces trei.-
ZI: lieux pour les 8 vsriables suivantes :
- Frises moyennes pour les 'j espèces (calculées 2 partir des donnges
transform&s) ;
- Nambre de pêcheurs ;
- Heure de retour ;
- Profondeur.
(ces trois dernières caractdristiqucs peuvent &rc considkdes CEXIIIIIC
&s variables quantitatives).
Pour chaque couple dc variables, nous avons calcul6 le coefficient de
,n!rrélation de rang de Kendall et la valeur correspondante 2 comparer à la
-istribution de la loi normale centrée réduite sous l'hypothèse dc nullit
las coefficients. Ces valeurs figurent dans le tablew X. Les associations
:f.%rites dcans la première partie restent présentes et les liaisons, concer-
-ant les caract&istiques confirment les differences entre les types de p8-
C!l,? : les équipagessp&ialis& dans la pkhe au tassergal sont plus impor-

R
"ants, rentrent plus tard et pêchent sur des fonds ;~lus profonds.
Nous avons donc, dans un premier temps, fait l'hypothi3sc que chaque
lieu est associg 2 un type de p&he et nous avonc
afi'cc-te: ::Tnaque lieu a
l'un des types de la mani&c suiv,ante (tous 1~:: "lieux sont :i?r:ix en compte) e
Q-p@ 1 (thiof-pageot-chinchard).- Tjieux o<i ~2.n :% obser& tic faiXes pri
FM de tassergal et sarda ;; et de fortes prises :le tiliof C::~/OU de chinchtw6
et de pageot. Il s'a& des lieux 7, 5, 9, 11, 'I!r, 15:; 17, 330, 21, 22: 24,
~5, 26 et 36.
Type 2 (tassergal et sarda).-- Lieux oÛ on a observe de fortes prises
de tasscxgal et sarda. 11 s'agit des lieux 2, ZS.> 4, 6:: 7, !3; 15, 16, 18,
19 et 23.
Nous pouvons remarquer quo cette d$ccmposition s"cf:fc&ue sans diffi-
cultés 9 sauf peut-Ftre pour lc lieu 6. Nous pouvons donc maintenant a,ff'ec-
ter chaque pirogue & un type de p&he dès lors qw: nous (connaissons son
lieu de pêche.
2.2. ANALYSE DISCRIMINAI~~
Si la d&omposition pr&sent& dans le ~eragra.phe est pertinente, nous
devons pouvoir prédire dans quelle zone de p?:chc: s sesi; rndue une pirogue
au vu de son contenu. Four ce faire nous avons r:ffcetu6 -dne analyse facto-
yielle discrimicante 3 partir des deux populations : nou,s ~~0x1s pour chCaque
pirogue crsnparb lPnffectation d&luite de cette ;::ialyse et iwlJ.e dfduits du
lieu de pkhe déclark par les pkheurs.
L'&tude a 6t6 rzali&e i pCartir des donn&s transfo.rm&ks J?OUX' ICS C~II~,
c spêces. Le pourcentage de bons classaents est !&kl ;; 78 '5. Une pirogue est
affectee à la zone 2 si la v&leur -0,24 Y1 -0,kc Y2 +C,ftl YJ -0,69 Y4
-+0,27 Y5 est sup&iLwc 3 0,72 ; elle est affectée ,> la, zone '1 ;sinon dans
cette relation, les Pi sont 113 prises transform&s gour les cinq esp~Ce:3
(dans lsordre donni dans l'introduction), Xous cwons regard6 lieu Dar l..i,zu
2.r pourcentage de bons classements, Pour les lieux 6 ;:t 16 ,CT: pourcentage
~-jst f,aible (respectivement 45 i: et 72 $). Wous avons refait 1"?33alyse en
acluant ces deux lieux, A priori, il est totalement :in,justifiiJ d'exclur2
'insi des lieux "&nants". Toutefoi.s now avons vu élue .le ~dkomDosi.tion ef-
j.'ectu& à partir des lieux de peche repos- sur 1"hypothèse ~qu~en un Lxeu
!~'est pratiqué qu'un type de pêche< 'C&e cette h&T:lothCsC snit :%1Sse I>OllT?
c:.:rtains lieux ne remet pas en cause lgexistenre de plusieurs types de @-
:b.c mais seulement la qualit de ces lieux de @:che c-e crit&e dg;$fccta-
kion & un type de $che. P;jut-être paarrions nm.5 cnvisG&:r une rdi~XX!i~Oti-
:.ion de certains lieux (voir annexe R).
La nouvelle analyse donne un pourcentage d? bons classements de 85 $
:!!Ai est satisfaiswt si on considère que l'Information lieu de pêche doit
litre inexacte pour certaines pirogues et que 1 Finformation pour les piro-
[rues qui n'ont pas ou peu pris de poissons est pratiqu(3rlent inexistante.
.I%ns la nouvelle -?nslysc les coordonn&s de 18ax~: discriminant sont res;7ec-
-;ivement -O,50 ; -0,55 5 +6,69 ; -0,68 ; 10 554 et le S~U! 1 de discrimina-
$ion est 6gal B -0,2?. Nous pouvons donc conclure qu'il existe une possibi-
:sitg de découper la pkherie en deux types et ~L.LF: chacun de ces types 'SS
;)ratique en des lieux assez bien définis. Nous pouvons d.onc: envisager de
"aire u.ne.str,atification en vue dc fournir des ,.stimations plus pr6CiSCS
: l?issue des enquêtes. Nous connaissons le type:: dc: p&hte de la Plup(art des
,irogues &udiGes ici, nous pouvon:; donc faire lrne &udo "intra-type".

3 .
ETU!I E
I M T R A - Z O N E
El
'3.1. PRISES El.3 FONCTIOM DES CARACTEHISTI~ES
Hous avons effectu6 les an:%lyses de variantes avec les mkes facteurs
i,t; variables que dans la premiêre partie à lvint&ieur de chaque zone (la
::ene 2 Gtant prise sans les lieux 6 et 16). Les r&ultats des analyses figu-.
rwt dans les tableaux XI à XVIII et dans le tableau IV bis. Les valeurs des
rapports de v<ariances sont ceux des analyses faites avec les donnges trans-
?ormées. A psrtir de ces anslyst~~.a nous désirons obtenir des renseignements
::ur chaque type de pzche ; en ce sens il existe dans les analyses intra-zon-
::n certain nanbre de pirogues mal classges. Lvexistenze de ces pirogues peu,::
:*;:ndre délicate lPinterprétation de certains r&ultats, en particulier ceux
"Yoncernant les espèces non iZp?kh&s'P dans chaque zone.
Toutes les analyses sont frtites selon un modèle $ un facteur, toutefois
s,i. nous consid&ons des modèles 2 plusieurs facteurs3 leur structure peut
?tre três déséquilibr&. Si un facteur est directaent source de variabili-
.I. e:
"‘-'Y on risque de retrouver des k:ffets significatifs pour d'autres facteurs.
3.1.1. Facteur jour (tabl. XI et XII)
Pour le thiof, le chinehard. et le pageot, l!effet est non significatif
ci:;ns la zone 1, Dans la zone 2 il est très significatif pour le tassergal
\\-t; 12 sardn. Ce rssultat est tr?s important car il conwrne des pirogues
*'wnt recherche le tassergal. Lt: m&ne effet observé pour les prises de l'en-
~-'sable des pirogues pouvait n%f,w d!? qu'ii une kvolution des effectifs.
'-our la prise totale les effets sont non significatifs dans les deux zones.
:,‘existence d'un effet jour, a?~. moins pour certaines ospkes (il est proba-
'.:le que pour les espèces p&giques plus 'mobiles" la disponibilitÊ soit
9~lus variable) indique qu'il faut obtenir des estimations sur les prises
:l.? plus grand nombre de jours possibles. D.ans la mesure 09 un enquêteur se-
~"5 installg 8 Kayar, des enqu%-s pourront être r&lis8es tous les jours ou,
arables. L<> jour de pêche pourra donc être un critère de stratification pour
1.'
.-. ._ tasseQp,l et le sarda, nous WGRS fait pour chaque jouravec les donn6es
?e la zone 2 les analyses des prises pour les 4 autres cizrractéristiques
::.rises carme facteurs e Les r&ultats sont r6sumés dans le tableau XII bis.
T-: s variabilit6s des prises des di..ff&nts jours sont très diff&entcs, &-
'r:> avec les donn6es transform&c.
3.1.2, Ncazbre de pêcheurs (tabl. XIII et XIV)
La question que nous nous p-osons est de savoir dans quelle mesure k:
Trise augmente avec le nmbre de p%heurs.
Dans la zone 1, l!cffet nombre de p%?heurs est non significatif pour
-8 r;S 5 espêces et les prises restantes. Cependant, l'effet est significatif
mur la prise totale, cette valeur augmentant avec le nanbre de p&heurs.
Ce rÉsultat indique que la puissance des tests est probablement insuffisan-
"Le pour mettre en évidence des diffkences qui existent au moins pour ccr-
Unes espkes. Dlune ma.ni&e g&&ale, on observe une: augmentation des
wises en fonction du ncpnbre de pêcheurs pour le pageot et le chinchard
I'pour 5 pzcheurs, le nabre dc r&ultats est faible et les risques de biais
dus ii des pirogues mal class&s sont importants). Lvimpression que nous
rtvons retiré de notre sortie en i"ner est en accord avec cette observation :
lorsque nous etions sur une zone îlchinchard", toutes les lignes produisaient
cin permanence ; ce fit 6galement 1~ cas pour le lieu opageot" qui s'est épui
~6 pendant notre pêche (peut-être 2 cause du d6placement des poissons). Par
contre il semble quG le thiof soit plus solitaire et que le problème soit
Oe trouver où est un individu. Dans ce cas la nombre de lignes est secondair,>.

I-
-_l.II_
..l---v”,-..<l-e

^,-^-l---_<_._.--

-
10
Dans la zone 2, les effets concerncut le ta~sergal et la ssrda sont
significatifs. On observe une augmentation de la prise en Ponction du ncm-
3re de p&heurs. Il faut n&nmoins noter que la :?risc moyenne pour les pire-.
+.~WZS de 5 p&~heurs (13,2 kg) est inf&ieu.re & celle observ& pour les pim-
gues de 4 pêcheurs (18,2 kg). La methode de 6hcfle appliqui~e :%ux donn6es de
Trises du tassergal donnc le sch6.e. suivant ,au niven.u 9,05 :
*
~---'--.- -----TA
2
3
5
4
w--m.--
(Les traits relient les niveaux non signific:3tivctrncXt diff&ents).
D'autre part il ne faut pas exclwe un ph6ncm&:: de d&<quilibre; si lc~>
$irogues de 5 j$cheurs restent plus longtemps fid?!l.cs au tasserg.al lorsque
cette espace est peu disponible, oc. observera ~1. d;minution artificielle
des prises pour ces pirogues, Los moyennes nbserv& par job drms le zcn~
2 pour les prises cn tessergal figurent dans le tableau ci-apri;s.
Pour 4 des 6 jours, is prise moyenne des pirogues de 5 pi?cheurs est
infgrieure 2 celle des pirogues de 4 p&heurs. 01 FX peut donc rien conclure.
(les effectifs sont entre p.renthSscr;)
Nous n'avons donc pas pu Glmiier très efficacem3t In variation de le
]rise en fonction du nombre de @cheurs. Nous devons :sign;-tlcr que l?. diff6.
rente de 0,26 observ6c entre le ncmbre moyen de $cheurs -ps-:r pirogue dans
:Ia zone 2 et le nombre moyen de pêcheurs pe,r pirogux dans la zone 1 (res-
-:)ectivement 3,49 c-t 3,23) est significativement non nulle D;U niveau 0,001
ft520 = 4,5>. Cette diff&ence peut s?expliquer dc plusieurs mani.&es :
- Pour des espèces pélagiques plus grEgai.res tellw que le tassergal
3t k ssrda, 10rsqugune pirogue est "SUT~' un 'bw~, toutes les lignes sont
>-fficaces (ph6ncanène de saturation). Il est donc peut--etrc plus util:: de
wncentrer un grand nombre de lignes au dessus du banc qui est assez res-
-;reint et mobile. Pour des espèces d&ersales ci: pb&wnène est peut-%re
:loins sensible.
- Il y a 2 Kayar plusieurs populations de $cheurs d*origines diff&en--
'**es (ARNCUX, 1951) et la determination des espèces cibles n'est probablement
;:ss indépendante de cette origiYte. Il en est peut '&rc d.c même pour le nom-
?re de pêcheurs par pirogue.
Il faut noter quvune coop&ation existe entre plusic-uss pirogues pour
;:nsder le contact avec les bancs dans la p$che <au tasser@,1 ( renseignement
clonn6 par les p&heurs ; voir Également CHAMPAGRAT, 1978). PFW contre 13 p%-
:he des espèces d&ers&es se fait d?une mani&=? plus "solitaire" 9 les PS-
~heurs ne cmniquant lw.rs "bons coins" qupc:u. bout de plusieurs jours et
> des proches n'ayant pas fait de bonnes Prises les jours l;wÉ%dents.

3.1.3. Heure de retour (tabl. XV et XVI)
Dans la zone 1 l'effet n9cr;t pas significatif pour le thiof. Il est si-
@ificatif pour le psgeot.et le chinehard et il semble que pour ces espèce:,
I.es d&,rqwz!wrts despremieres heures soient assez médiocres. L'effet n'est
cependant pas très important,
Dans la zone 2, les effets concernant le tassergal et la sarda sont
Vrès significatifs. Les prises r-entent tout au long de la journde. La
source de biais évoquee plus ha& ,zxiste donc toujours. Nous reviendrons
.@us loin sur ce probl$me. Dans 1-s deux zones5 19effet est significrrt;if
:>our la prise totale et les prises augmentent au long de la journ&.
L'heure moyenne de retour des @roques de la zone 1 est avec le codsge
~~tilisé ici. de y,38 et celui des pirogues de la zone 2 de 10,28, La diff&
rcnce de 2,9 est significativemwt non nulle au niveau 0,001 (tgj?O = 10).
TJne interprétation définitive de cette diff&ence est 6galement difficile
.> donner. Nous pouvons quand rn?~e dire qu$elle est due au moins en psztie
14 l'éloignement des lieux de p%he : pendant l'enqu??te nsuréchantillonnage",
1~3s tassergnls étaient principa:Lement au large. Un autre argument en faveur
de cette explication r&idc d‘ans le fait que dans lg&tude d'ARNOUX (I%l)
la zone de pêche du tassergal 6tait située juste devant la plage de Kayac
et les pirogues ayant pêche le Fassergal etaient les premi&es rentr&s. Cet
$L&ent indique que 19effet heure de retour peut s'inverser en fonction de
33 position du tassergal. Nous pouvons noter que 19effet heure de retour
existe également dans les Gtuacp: intra-jour pour les prises en tassorgal
dans la zone 2 (les 6 rapports de vsriances sont supkieurs à 1).
Il serait int&essant de vkifier si l'heure de retour peut 6gal~ent
.:?$endre d'une eventuelle ;ivolu&ion de la disponibilité des poissons en fon::.~
-L;ion de l'heure (probl?Zmes de c~~portementf et de 19&olution des prix au
cours de la journée. Ces prix sont en effet variables (WEBER, 1$!.%3) et il
,dxiste peut-être des effets diffgrents selon les espkces. Lors de l,a sorti6
que nous avons effectu&,le patronncars=,a affirn6 d&ider& rentrer de bormf
kwe C&T la prise susceptible d%tre réalis6e en restant plus longtemps
.rle compenserait peut être pas la perte due R la diminution des prix des pri
ses déjà effectuées. Il faut toutefois cadmettre que l'heure de retour n'a
l:Lzt être pas 6t6 indépendante de notre présence ?? bord.
3.1.4. Lieu de p%he (tabf. IV et IV bis)
Si l'association "zone-ty-pz de pêche" (tait totale, nous obtiendrions
;~ne pmfaite homogdnéit6 intra-zone: et nous n'aurions donc pas d?cffet lizu
A~S les analyses intra-zones.
Dans la zone 1 les effets sont significatifs pour le pageot et lc thi:(:'.
II2 r&ultat donne ?4 penser que les lieux de la zone 1 peuvent être plus ou
mins spécialisé,* pour l'une ou l)autre esp&zc. Pour les 5 lieux de In zone
qui ont reçu la visite de plus de 10 pirogues (lieux 14, 15, 20, 21 et 36):
nous avons fait le classement des prises movennes (donnzes transform&s).
Ln valeur S relative au coefficient de corrkation dc rang de Kendali est
iigale à 8. Ls probabilitc, sous l'hypoth8se d9ind6pendance, pour que S soit
inP&ieure à cette valeur est 6gale à 0,041. Bous' pouvons donc concluw
qu'il existe bien dans la zone 1 une certaine sp6cialisation des lieux, cl::
r&ultat pourrait faire penser que la strate pourrait "etre d&cmpo&c en
:(.2ux sous strates ; toutefois une telle d&cmposition ne nous parait guère
3wisageable : une ccmpsraison multiple utilisant la mgthode de Sheffe don-
ne le résultat suivant (niveau O,Cr5 pour les lieux 14, 15, 20, 21 et 36 dan
10
i.-u zone 1) ; seules les comparaisons 14-l 5 et 14-35 sont significatives.

-___------.-
-IlY
..,-.--.--.--1--
- < ~ < _ . .
--

.
1 2
138
1,43
IA89
2,06 -v----m.- 2J34
--
15 36
21
20
14
. .
-
--m.-m
avariable utilisée est la prise en pageot transl'orm~e par la fonc-
t;& i
*-
,f Log (x + 1) ) .
De toutes façons, même si une séparation de la strate "psgeot-thiof-
:hinchard" ,est envispaeable en theorie, il est probable que, .les biotopes
le ces trois espèces 6tant relativement semblables, le passage d'un .type ,?
l'autre puisse 52 faire très facilement au cour:1 du temps :: lors de notre
sortie, en ne nous déplaçant chaque fois que de qiielques dizaines de m8tres
(nous somnes restés toute la journ& sur le lieu 21; 1ili31bd’ ; nous aVOnS
wzcessivemcnt pêch6 drs pageots puis de petitr thiofs et enfin des chin
cherds.
Pour la zone 2, lleffet pour les prises en sarda est significatif. Dans
Ia mesure 03 il ne s'agit pa.s doune espèce cibl+, ce résultat est difficile .
:nent interpr&able.
3.1.5. Profondeur (tabl. X?II et XVIII)
On observe les m'$mes tendances % l'int&ic~~r des zones que pOUr Iv en-
semble. Avec le codage utilis6 ici, la profondeur moyenne <le la zone 1 est
3c 4,94 et celle de la zone 2 est de 8,46. ~a di:ff&ence de 3:5 (34 mètres)
est significativement non nulle au niveau 0,061 (t520 = 9,'T).
3.2. LIAISONS ERTRE VARIABLES
Nous avons walculé les matrices de cowarisncen entre les différentes
vzriables dans les deux zones (les mêmes v.ari~Mes que pc,u:r lVétude de la
,,remik?c pertie). Nous avons réalise les 6tudes (en ccmpossu:&tr!s principales
co3+respondant 2 ces matrices ; (nous avons 6tudi.6 les malkker; de covariances
CM? elles mettent en &idenee les caract&istiqws des espkcs les plus
p%chées dans chaque zone). Les r6sultats de ces ,anal>rse:j figurent dans les
tableaux XIX a XXII : les figures 3 et 4 repr&cnttnt les contributions des
variables aux deux premiers sxes.
3.2.1. Zone 1 ftabl. XIX et XX)
., Les trois pr&&es ccmposwtcs concernent ~principalement les trois es-
~hes pêchées dans cette zone : thiof, page& et c?linchard. La premi&c com-
post%%te (33 $ de la variante) oppose les prises en thiof et les prises en
pageot, ce qui est un reflet de Ifopposition thiof--pa$c-ot ,:iiacutée plus haut.
La seconde composante prend en compte les priacs en p,a@;ot et thiof et la
'n-oisième les prises en chinchsrd. La quatri&:: c=anpossnte est principalement~
liée aux prises dans les &autres esp&es.
3.2.2. Zone 2 (tabl. XXI et XXII)
Les deux premières composantes concerrent les <~:spkes tasserflal t?t SW-
3s principalement pkh6es dws cette zone. Lc premier xxe ()+Y $ de la verian.-
~2) est un vecteur dc prises et 1~: second (27 ?! de 1~. variante? OppOSC les
p6ses dans les deux es$ces. L9importancc re:L&tivc des deux ccmposrm~es .don--
:?e en fait une id& de 1% Ji;~ison entre les pr,iscs dos #deux espèces, La'Cor.'
r6lation observ& entre les prises de tassergrsl et ds ss.r% dans la zone 2
.:st 0,009, Cette faible valeur peut s;cxpliqucr par les variations journal-i?-
res contradictoires entre les deux espèces. O+~:C: opposition pouvait faire
penser que pendant les mauvais jours pour lc -?-.cssergnl. les pêcheurs se ré-

1 7
-i,ournent vers le sarda. Cependant, les deux pêcheurs contactés 3 Kayas nous
,mt affirme le contraire : les prises en sardr se font pendsnt "lgattente"
Lu tassergal ; lorsque cette attente devient trop longue les pêcheurs ch"an--
r:ent de lieu ou rentrent même si les prises en sarda continuent 2 Etre im-
wrtantes. La troisième composante principale est constituge par 13, prise
@IS les autres espèces.
X.3. CONCUJSION
Nous avons pu isoler deux types de pêche pour les pirogues p&zh?nt, 2 1~
.igne , Une description scnxnaire a pu être donnet- pour chaque type. LPobjec-
*;if que nous nous fixerons dans la prochaine partie est de déterminer com-
,lent ces renseignements pourront être utilis& dans 1'6laboration deune
stratégie de 19Échantillonnage et dans la définition des pue.
1.1 .
S T R A T E G I E D 'ECHANTILLONNAGF,
C A L C U L
D E S
P U E
Ikus avons pu établir liexistencc de deux types de pêche. Cet él6men-t
:!a& être pris en compte pour atteindre deux objectifs D
1') La stratification de l"khantillonnage en vue.d'obtenir une esti-
:lation plus p&cise des captures.
2') La d6finitioc et l'estimation des pue.
Nous avons vu que lqeffet jour pet& 2tre important. La stratification
,ievra donc $tre &alis& isir~trajo,ur" (dans la, mesure ou un enqu&teur sera
i?rutallé 2 Kayar, des enqu%tes pourront être réalis&s tous les jours ouvra-
;les 1.L'effet heure de retour est très important pour certaines especes, mê-
I*X à l'intkieur des strates "jour de pêche-type de p&hess. Nous devrons
lonc imposer un taux d9&h,antillonnage constant tout au long de l:? journ6e
>our $liminer cette source de biais. Nous pouvons envisager d9effectuer une
kratification tenant compte de l'heure de retour. Il n'est pas possible do
Iratiquer unc stratification njo-ur-heure-type de pêche" ; il faudrait pour
zela connaître les effectifs de chaque strate. Mous envisagerons donc ici
&zux types de stratification sépar&ent.
~..l. STRATIFICATION "JOUR DE PECHE-REURE DE RETOUR"
Cette solution nécessite de connaître le nombre de retours i l'int&icw
le chaque tranche horaire, il faut donc prévoir la présence de deux enqu&
Z3l3X ; l'un pour échantillonner., l'autre pour ccmpter les pirogues. Ce ty-
x de stratification pc& être propos6 pour d'autres points de débcurquçrnents+
il faut noter que cette stratification n:a&%.ore l'estimation que s9il exis-
t- un effet heure au moins pour certaines espkces et que l'enquêteur qui
compte les retours ne peut pas f*3irc:
d'&hantillonnsge sur les prises.

Cette solution nécessite la connaissance
du nmbmt de pirogues ayant
rratiqu6. chaque type de pkhe. La situation idi:ale serait qye, au cours d'un:
saison la structure de la p&herie reste conslzmte. La si.mple observation
:A~S effectifs de chaque type en fonction des diff6rents jours montre qu'il
n'en est rien pour les pirogues Fkhantillon&5 lors du surkchanti:Llonnage
(voir tabl. ci-dessous).
Marbre de
Le Chi-deux d'hcmogén6ité est égal 2 &,2 pour 5 degr6s de liberte ce
qui peraet de re.jeter lîhypothèse d7hanog&&t6. C!es données sont ;assez mal
aaaptées pour traiter cc type de probl&nes (exclusion des lieux 6 (et 16,
cmeurs de classement, taux dsêchantillonnsge variable.,* 2 mis nous pouvons
noter que la diminution de proportion des piro&?cz; fY6quentant la zone 2 se
fait en xn&ne temps que la diminution des priws en tasswgal dam #cette z0-
ne, Dans ces conditions il est donc probable cgnc la structure change réelle".
xent d'un jour 2 l'autre. Il n'est pas possible d.e conna?tre le nombre de pi"
rogues ayant pratiqu& un type de pêche au mcment8 dos reJkours ; il faudrait
:muvoir enquêter au prè-s de toutes les pirogu::::;. Il faut 6tudier la possi-.
bilité d'obtenir cette information aux heures 'icrF-Use5,1P (par exemple dans
la matin&). Les conversations que nous avons mes avec lez. pkheurs don-
nent des éléments essentiels .Z cv sujet :
- En cours de journfie un equipage reste ?id& $ l.Scspèce cible ou au
groupe dfesp?ces cibles connu avant le départ (pour Ic? tassergal par em%-
pie il préfère rentrer bredouille plutôt que de changer dc ,ribïe ; pour 105
espèces démersales lPeffort peut se porter SUI' telie ou telle espèce en
fonction de la r&xssite). Un changemmt d@esp&e(s) ciblc~s) peut 3'opkrW
au bout de plusieurs jours nuls ou mgdiocres.
- La d6termination de la cibie est faite m plus tard 1% veille de la.
sortie. L'information concernant la structure de la jj?!CkC?rie pour un j0W
adonné peut être acccssibjle la veille au soir 0'11 dans la matin6e de ce .-jour.
Il serait sans doute possible 2 un cnquêtcur biel; in@-& ~tami les p%cheu2?:~
d.2 connaître dans la matin& la structure dc 7 ::t ~p~cheric~ du jour. Evidem-
ment tout ceci doit ?tre vêrifii$, Dans ces ccnditions un seul enquÉteur est
n&essaire. La prksence dvun second enqu&eur permettrait, de doubler le ncm-.
bre de pirogues &hsntillonnées. Ce type de etratificati.oIZ implique la cons-.
tance du taux dt6chantillonnage (le maximum ;3ellt êtrcn de l'ordre de dix
jour cent aux heures 0-3 les d~barquemcnts sani; 19s plus rvczibreux, .A. SAGiN
canm.pers.). Il serait possible d?envisqcr IV, pr&ence d'un second enq&--
%eur aux heures OG les débarquements Lant le5 :)lus nombreux $ on peut sgale-
ment envisager un0 augmentation du taux dJ~c!ltantiilonn~;e! en fin de jourrk
(ceci revenant ,4 effectuer une stratificaticw I>n d::ux trtuwhes horaires) :
,G partir de 17 h 30 pendant 10 sur&hantillcrnnzge~ le nczribrc de retours
::tait très limit6 ; si on peut connaître le nombre et le tape de p'khe drs
+rogues rentrges a-p*& cette hure seuil 9 1.2 stratification est possible.
Cette augmentation du taux d?&hantillonnage :XI Yin de ~~ourn6e permettrait
une estimation plus prêcise pour des pirogues ~qm+nt en g&téral de fortes
-rises ce qui tendrait donc ri approcher l? ~1.:Iocation 0pt;imale (les varia-

1 5
3ilités augmentent avec la moyenne des prises).>;
i.' .3. PUE,; EFFORT
Pour la prise totale, on peut définir.l*unitG dPcffort par une sortit
3'une jou.&e pour une piror;ue. Il conviendrait de calculer pour chaque pi.,.
rogue une puissance de pèche tenant cran-ptc du nmbre de pêcheurs. 3Jous
n'avons pas pu étudier d'une manière pr&ise lvcffet ncznbre de p&heurs et.
:':ous avons obscrv6 que cet effet dépend des esp&es. La grande majorité des
nirogues ont 2 leur bord trois ou quatre pêcheurs 9 la varîabîlit~ des effec-
iifs est donc faible. Nous pouvons enfin supposer que la répartition des
,zffectîfs des 6quipages varîe d'sme façon très litnîtce, nous ne proposerons
Jonc pas pour l'instant d'estimer des puissances d6pendant du nanbre de
p'êcheurs.
Si on désire conn&tre une prîse par unitg d'effort pour une espèce
p?rticuli&e, il faut diffgrencier les r&ultats des pirogues ayant recher-
chg cette espèce, ou une es$ce cible qui lui est associée (par exemple le
tassergal. pour le sarda), de ceux des pirogues qui n'ont pas recherché cet--
te espèce, Estimu: la pue pour une esp?ce par lamoyenne des prises pour
cette es$ce des pirogues l'ayant recherchée revient $ donner la valeur 1
i lveffurt d'une @rogue de ce type.
Si .p, est lamoyenne des prises pour une espsce estimée 2 psrtir des
Tirogues l'eyant recherchêe et P:z la moyenne des prises pour cette espdce
Affect&e par les autres pirogue:;, si NI est le ncmhre de pirogues ayant
:xherch6 lvesp&e et N2 est celui des pirogues qui ne l'ont pas recherch&
dors on a :
6 dépend beaucoup donc des autres espsces et ctest une valeur extr&e-
xnt sensible sux erreurs de classement. Si ces erreurs peuvent Etre Blimi-
?&3
il sera peut-être possible d'admettre pour certaines espèces que %
?st &lle. Signalons quoi1 nvy 8 aucune raison de penser que cx soit toujouro
.~lle, lors de notre sortie, pendant les trajets, le patron avaît dispos&
.me ligne de traine ; l'effort pour des espèces purement pélagiques ne pou-~
*Tait donc pas être considér6 comme nul.
1..4. FORMUU3 PRATIQUE!S
Connaissant les effectifs ei; les estimations des moyennes et des variai,.-.
ces pour chaque sortie, on peut estimer la valeur d'une variable par pirogue
~XX cours dsune certaine période par :
(ZNijk). ; == Gijk. Nîjk
îjk
oh i est le type de p&zhe (ou la tr,anchc horaire), j la partie de la jour-
:lée (si on coup-c chaque jour& C:I~ deux parties) et k est le numéro du jour*
Enijk
est 1"effectif de la strate ijk et %
h=l
'ijkh
N. l
uk
ijk
nîjk
:4 n. .
est le nanbre de pirogws &hantillonn~es dans la strate îjk
uk

~.__._.__---___,.-_-^CI”~-.--.~.-~--.
._.-.
-.
_.
.--.-.
16
nijk
0.2 A
9 y.*
lJk s %l~
zii?tL
. h = .1
(yijkh -ii,jkb)2 mt I%stirnation de la
mxiance à lPint&eur de la strate ijk.
La variable "y" est en &n&aJ une cmbinaison lin&&?? des prises pou
chaque espèce (les coefficients sont égaux ;?I 7 si on s~intércsse à la priso
totale, ou au prix du kg si on s@int&esse su revenu du p%htitIIT etc...)
On appelle 2 le vecteur des coefficients et y est, Ix: vecteur des prises '
on peut écrire :
y = gf -) (ag est le transpose de 2:).
Soit la natriee des vqTances - covarinnc:i:s des variables aa13 1% str8;t:.
ijk ; on peut êcrire : s2 (y.. ) = fi' .Sijk,, I-.
ldk
La valeur de s2
!^y, ;,) dépend &&demsen-t des val.eu.rs de a
On peut & partir de ces équations, d&rminer les hmbrcs de pirogues
,% &hantillonner dans chaque strate de façon 2 obtenir une variame minim-.
3-e pmr lsestkateur de y c
N. .
nijk = n. 1,~lr'
N. .
1Jk
Cette formule thijorique ~?~est 6videmnent 'pas applicable dans la ?~ati-.
que. On pourra &entuellement tenter de lsapprocher3 w. ohangeant par exr-si-
ale le taux d'&hantillonnage dans la secondo partie dc: ia jour& (voir
$~US haut) et en Frovoquant; une diff&ence dos tmx d ~i~e't:antillonn.~age de
chaque type (on peut par exemple Yqsauter'c unri: piro~~xc: t3xtcs les m pirogues
yn un des deux t-ypz). Ce genw d'&han-tillonmqp pow:ra %Y efficace si
on ne s'int&esse qu'8 une espèce (dans cc CRS i?! faudra pIus &hantillon-
ner davantage les pirogues aywnt recherché cette ~P~CC)..
Nous avons propo& dsm ce travail des ,id&s pcmvant conduire 2 1s. mi--
se au point diunc stsatCgic ds &hantillonnews. L:: réalisation de cet objet-.
tif n&essite cctrtaines&udes (r%l~ul des cCf'zcu-
J-,ifs des strates par exem?lo>-
fée gain de prêcision esccmpt6 est p-ut-être :faible pour ?.a qusntltg de tra-
vail 2 accomplir. Mais nous wons vu que 1% ~onnai,ssencc de ?a structure ütt
la pêcherie est en soi uzi sujet d"&ude : elle: est 5 notée avis indispensa
ble pour aborder de fnc;on convenable le p~ob%&m de IR définition et de 3. '+:Y .
tirnation des pue ; elle sera cC;$lement une information cssentiellt? dans dei
itudcs de type soc%-&onomique pour intervenir :In,ns ia d.escription des II?.--
bitudcs de p&hes, de iP~volution des prix? etc. O.
Cette 6tude ne concerne qu'un point de di%arquezent; précis, pendant
me p&iode restreinte et ne fait intervenir c;u:une technique de peche. 11
serait int&essant d'avoi.r une vision plus wr:;tc : 3, K:eyXs lIepuis l'+oqu:

XI le suréchantïllonnr~e a :!t6 r.:alis<:, on a observé une augmentation consi-"
‘l&ablt? du nombre de sennes tournantes. Ces engins permettent entre autres
?es captures importantes de tassargal et de chinchard ; il est donc est$mr.
pont probable que cette &olution influence la structure de la &cherie .:S
'.z ligne; Cet exemple montre que lepJ enquêtes doivent '?tre conçus de fc7x;on
'i ;>ormettrc des études conjointes des différentes modes de pzche et égale-
itunt des diffdrrrnts points de d6barqwment.
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voies de recherches. Revue socio-&On. de lpIS3A, b9 31 p.

18
A N N E X E A
1') Dans tous les cas, le veriance pour ie poids des prises dPune esp?
CZ~ (transformé par la fonction Y = lhg(X + 1) est plus gande dans la str&c
2 "fortes prises" que dans la strate & "faibles prises". Les estimations de:
veriances rkiduelles dans les analyses de varierons faites, avec le facteur
lieu de pêche sont les suivantes :
<
7
.-r-
i
Analyse
g3(co1. 2; Col. 31 ;
Es$ ce
' Analyse Analyse
1 tous les lieux i zone 2 : Zone 1
col. 1
I
----A--
i---.1
0,82
!
0,3?
1 1 ,e5
0,6G
0997
1
0,61
t
1,40
~69
!
1,62
i
2,1?
1
0,44
0,74
!
Pageot
i
1,ll
i 1 0,68
1
r,61
o ,69
Sarda
1
1950
I
~98
j 0 359
o,76
Reste
1,16
i
1,32
!
1
1,04
os88
d.d.1.
706
; 256
1
-1-w.-
On peut supposer que les variantes i~3tralieu sont $+Les pour les lieu::
dvune même zone. En remplaçant l'estimation de le, r&iduelle obtenue, dans
17analysc faisant intervenir tous les lieux K*W
._ celle obtenue dans l'sntiy--
sz concernant la zone "densc$s, on obtient un nouveau rapg)ort de variante
dans l'analyse de l'ensemble qui est 6gal a -L!UI&~ rapport multiplié par
le nombre figurant dans la quatrisme colonne du tableau ci.-dessus. Si le
nouveau rapport est significativement sup&ieur 5 1 au niveau a', .tiors
l'effet du facteur est significatif 5 un niveau R inf&iew: 8. av. (Ie nou-
veau rapport doit %tre ccmparE 3 une loi de Ficher dont I.c ncaabre de d.d.1.
du dénaninateur est de 256 ou de 243 au lieu de 706 ; cette correction ne
change pratiquement pas les seuils).
2O) A partir de s histogrgmrmes de La figure 1, on peut imaginer le mo-
r:Cle suivant : la prise dîune pirogue pour une espk~z est éc;ale zu produit
dz deux variables P et Cl. f? est une variable prenant les valeurs 9 ou 1 et
'1 est une valeur continue (psr exFqllple Log normale). IJne &ude plus appro-.
fondie de ce type de variables permettrait d'%udier par 11:: biais de P les
espèces cibles et les associations dPesp&s par exemple et per le biais de
C: les Prob&es d'abondance et de prise par unit? d'effort.

,4 ‘Y N E X E
H
19
DFFINITION DES LIjYX DE PECHE
Van chi (1967 d&rit les lieux d!: pêche tels que les définissent les
.$cheurs et en donne une carte. La section "pêche artisan~fie" du CRODT uti-
Iine ces lie:ux -dont certains sont repositionn&- et en ,adjoint de nouveaux,
:itu& au sud de Kayar.
Lors de nos dicussions avec les p%cheurs, nous avons tent6 d"éffectuer
'UC cartomaphie en pr&isant la nature des fonds et les espèces principale
L?ent pêch&s dans chaque lieu. Cet objectif est apparu trop <ambitieux pour
.?re atteint en quelques heures de discussion avec quelques p&heurs. Wous
:vons cependant extrait certains 6l&ents int&essants qui nous P?araissent
Ciables.
Les lieux de p2che peuvent %tre classés en deux grandes catégories :
1") Lieux dktermin& par la nature du fond:
Deux exemples de ces lieux sont fiKeurouss" (lieu Ici)& "Lalba'" (iieu
-'L). Keurouss correspond sar,s doute & la bznde rocheuse qui s'&end de
'Irrysr à Mboro (cf., DOMAIN, 1976) c'est un lieu fréquenté p<ar les p'&heurs
.-i:chcrchant les espèces d&ersalt:s, lc mot keurouss signifie "scar?bre". Le
'.icu lalba (lit)% recu cette appt?lle,tion 2 eau se de la ferme du fond qui
rst une dalle en pente rappelant 1.2 forme d'un lit ; c'est 6galemcnt un lie::
?&quent$ par les pêcheurs recherchant le thiof et les espèces d&ners&.es.
::?? lieu "Kello" (large) est fr&yuer& par des p&heurs recherchant des es-
-,,+ces p&gique:; (c'est le lieu 23). Les lieux Pass tank et Pass gop sont
:iéfinis par la zone proche de la c'ote (respectivement w sud et au nord) 2
::;nd sableux. Certaine lieux (Rhybot6, Keur ya Awa, Kcur Malatyr ; respec-
.ivement 14, 8 et 9) sont três localis& sur un fond bien pr%cis à proxi-
t2Lté de la fosst:. .
2') Lieux détermin& p~ar un repère 2 la &te :
C'est par exemple le cas du lieu 6, Dienawai. Ces iieux sont moins b
'jien définis quant à la nature du fond et risquent donc d%tre moins bien
3pécialis&3ss.
Dicnawai semble traverser successivement sur un axe perpen-
!iculaire ;i la côte des lieux tels que Pass gcp, Keurouss et Kellc qui sont
très diff&ents, Ceci explique sq5n.s doute la mauvaise sp&itiisation du
:.icu 6, Il serait peut %tre possible de faire préciser ce lieu par l'ad-
,ionction dpun qualificatif (Kelle ou K~W): cn cc qui diff&encierait Die-
:~re,i de Kellc-Dienawai). Le liEu16 est le rassemblement de trois lie~tx :
Gop (nord} qui est probablment la portion nord de la plage de Keyas,
.,!?untebi qui est lJcntr6e nord de la fosse et Khotehy qui est le bord nord
t.:: 1~; fosse qui s'itend sur 'une t&s grande distance -, il est donc ~&lc-~
>::::nt vraissemblable qu'en ce lici:. on rencontre des fonds et des profondeurs
rès diff&ents.
Lors de notre sortie nous avons pu apprécier la taille des lieux heur
I'151h et Filao, beaucoup plus importante que ce qu-L nous avions imegin.2.
!,.J lieu Lalba, d nous avons p'&c~,é semble %tre inclus d‘ans le lieu filno.
En conclusion il apparait qu'un cartographie des lieux de pêche n&ccs-
:itc une étude sp&iale. Il serait bon pour atteindre cet objectif dc s?*:~-
'urer le concours de pêcheurs d'origines diff&ntes ::t de visiter les
'Iieux de pêche en leur compagnie,

TABLEXJ I.- Facteur jour ensemble
Seuils de signification aux niveaux O,C$; G,Ol; 0,001 : 23; 3,l; 4,2

TJ’WSXJ I I , - Facteur nambre de p&zheurs ensemble
Thiof
Chinchard
Tassergel
Pag;eot
Sarda
Reste
Total
, (Ncmbre d e
pirogue : 4)
2,07
7,oi
0 ,ilo
w33
0 ,oo
4,28
21,11
2
(611
3,12
4,72
1,42
8,56
1,63
3,44
22 39
3
(3W
3,83
4,71'
7,32
6,3?
730
Y,21
34,83
4
(265)
1,45
4,02
12,lO
6,oo
1i,60
4 979
39,97
5
(37)
1,64
2,24
13,37
3,04
17,15
7,27
44,70
M o y e n n e
2,79
4,35
8,83
6,26
36,121
F4 ,726
3,21
2,96
9994
3,91
5,72
Seuils de signification eux niveaux : 0,05; 0,Ol; 0,001 : 2,4; 3,4; 4,8

2 2
TABLEAU III.- Facteur heure de retour
--
-1
m--m.-
Espèce
Thiol
Chinchard
r3ssergal.
Pl%geCk
Reste
Total
Liarda
~l‘s-h
-e -u-I
1
(5)
0,oo
O,@J
0 ,oo
1,94
3285
6,43
0 :i< 00
2 02)
4J5
2,15
2,50
6498
4,58
17,22
0 1) 00
3 (21)
5,56
3,27
0,14
$,94
2936
1627
0 ‘$00
4 (39)
3,69
1,93
2385
C"i,33
2,76
20,9&
0 ‘) 3 31
5 (471
3983
5961
031
4J3
0 <,3:;
4205
1g,1R
2,88
~76
1978
4,31
2:,og
2 $09
22,&
7 (73)
6,81
489
3919
9,30
3 $5 47
3,44
31,lO
3 (64)
2,52
4956
3,lO
7 594
4s~
4915
26,813
9 (77)
3319
:3,73
5,03
5,42
6 :,y1
4,44
27,71
10 (68)
l,31
4,33
&Ci6
10,31
9 .:127
4,lO
38,47
11 (65)
1,40
3301
9386
4,56
14 !> 1 Z!
3985
36,82
12 (59)
2319
4,42
9,24
6,61
13 *,4)ï
6367
42258
13 (57)
L49
6,82
12,54
5,02
20&!
7963
54911
14 (42)
2923
1998
17,11
6 2 44
19 :, 1g
926
56,20
15 (34)
0,28
5280
35962
0,91
17:,43
10 $4
70 $29
16 (13)
0,oo
0 300
h2,19
Cl,?'?
19991
3,81
66,68
17 (5)
0,oo
0,OO
g1,81
0 p 00
17 !,42!
2,42
111,64
-
m.--m --
Moyenne
6,26
8,,88
36912
(731)
2,79
4335
8983
5,Ol
-e”.-1..
m-m
1,68
3,78
19,06
3 ,:Ys
1 3 :, '1 7
1903
15,ll
--m --
Semils de signi:fication.:mx niveaux : O,O!j; O,Ol;; 0,001 : 1,7; 2,1; 2,h

T,idX,EA?J IV a - Fmzteur lieu de pkhe
-*
Chinchard
kssergal
Soda
Reste
--/....
--..- 1
2,ll
1; ,(;t?
0900
20,82
58,oi
30,86
0,55
24,24
7,14
6523' i
22.9
@,25
2913
22,91
49,6L :
12,51
2,50
Il,90
10,33
49,4i '
0,oo
4,71
0,oo
0,28
4,94 i
Il,23
3,99
6,28
6935
36,37 1
13,30
1976
5,87
4,40
29,2? ;i
19951
2,86
4,89
3,83
34,oc i
0,80
8289
0,24
2,64
23,3" !
0,OG
25,00
0,oo
0 ,oo
27,gî
r3,80
4,71
18,72
7,22
43 ,7.:
o,oo
25,-i-O
Os29
4,17
36,312
0952
6956
0~80
4,91
34,4:
11,56
2,77
10,39
3204
31 -,3'
,I. ,
0,oo
0,oo
0 ,O@
2,06
29 ,j:;
C;l,00
0,oo
4,33
0,oo
55:,3:;;
2&93
0,oo
9,Ol
0,oo
35 ,3-2
2,49
17~26
3347
6,49
41.6i::
2383
13,72
0363
6,25
31,4? j
û,25
Le9
0,52
7,12
Il,65
1,58
19,94
3,90
0,lO
I ,61
0,oo
8,88
1,89
13,29
0,oo
10,26
1,94
0,18
2,13
6951
0,61
10,92
2376
5,OO
1,-F
8383
5,26
8,88
5,01
--)m-. "--
8,1g
15,89
lu,88
2,98
- -....- J
Lwils de signification aux ni-,rnaux 0,05; 0,015 0,001 : 1,6; 1,8; 2,2

.--~“-
--_-

_

_I.~_^-.Y<i_^O.-,,---“.--.
P”

.-.-
___-

TABLEAU 'V.- 1Fa.cteu-r profondeur ensemble
e--WL-* -
-
-
Chinchard
Lassergti
Pageot
Sarda
-
-
-
1,35
w58
1919
0,43
12,G
5915
3,72
7,29
J,3l
8,46
7,12
2953
Il,50
1,77
7340
6383
8~0
2,065
8932
2,63
4)5Y
L74
5,49
9,79
9927
6,55
7,34
0352
4,42
10,57
6,63
9,77
3,09
0>67
3953
15931
3976
Il,13
3919
2,51
2,94
9,87
9 399
15,10
4977
û 883
6,5'7
16,62
2,89
lb,?8
5,50
1917
0,99
14,77
4;34.
22,42
4,67
0,oo
0,49
14,39
2,@4
13392
2,61
0 ,oo
0,OO
12,&?
0,oo
25,52
2,w
!l,OO
0243
7967
5,71
12,42
2,64
0,oo
0,oo
25,73
0,oo
12,76
1,06
2,50
0,oo
2",22
0307
25565
c,55
O,OO
0,60
4,20
10,oo
26,92
4,72
O,û@
0325
1,w
0,oo
27,91
15563
0,oo
0907
l6,34
.0,08
ICI,91
V,Q2
0,OO
0,43
w3+
0315
I&l3
1,41
0 $00
0,oo
c7,74
0 ,oo
19949
2,06
M -.*
-
-
2,73
4,35
8,83
5,20
8,8P,
5,01
-
-
- -
-
-
E,52
~63
9,34
7209
15,44
4,70
--. -
Seuils de signification
aux nivemx 0,OS; O,Ol; 0,001 : 1,7; 2,'5y 2,ii

TA'LiLEAU VI.- Matrice de variances covariances entre les variables
de prises en kg transformées par la fonction Y = Log(X + 1)
Toutes les pirogues sont prises en ccmpte
Thiof
0,982
Chinchard
0,173
1,230
Tassergal -0,363
-0,581
2,009
Pageot
0,115
0,695
-0,831
1,655
Serda
-0,473
-0,721
0,769
--0,88rc
1 ,Ffil
Reste :
0,309
0,222
-0,343
0,268
-0,392
1,240
Thiof
Chinehard
Tassergal PF!gcot
Garda
Reste
TABWm VII.-'M&rice.des co&latians mtrc les aariables
de prises transformées par la fonction Y =: Log(X + l}
Tou&es les pirogues sontrises en ccapte
Thiof
1,000
Chinchard
0,157
1,000
TassergaI.
-0,259,
-0,370
1,000
?a&e0t
0,090
0,487
-0,456
1,000
Sasda
-0,339
-0,462
0,385
-0 ,It 88
1,000
Reste
0,280
0,180
-0,217
0,187
-0,250
1,000
Thiof Chinchard
Tassergal
Pageot
Saràa
Reste

2 7
TRJxJmJ VIII. ,+- Analyse en ccxnposantes principales
de la matrice du tableau VI
Sanposante principale n"
1
2
3
4
5
6
Variante
b327
129
1,24
0,95
0,71
0,62
%devariance
47 %
14 %
14 7
10 s"
8 % 7 %
Coefficients
Thiof
0,1g
-0,49
0,20
Os34
-0,18
-0,73
Chinchard
0,36
0913
-0,25
-0,17
-0 987
O,O?
Tassergal
-0)52
-0333
-0,73
-0,22
-0,03
-0,2l
PEgeot
0,4;
0,39
-0~26
-@,42
0937
-0,49
Sardn
-5) ) “j Il
0933
0,47
-0,41
u-o,26 -0936
Reste
0 22
9
-0,61
0927
-0~68
Os07
0,21
TABLJMJ IX.- Analyse en composantes principales
de la matrice du tableau VII
Canposantes principales no
1
2
3
4
5
‘,
,6
Variante
'
2,552
1307
a,?5
O$S
0952
0,42
$devari.ance
43 IC
18 jz
12 jt
SI$
g %
7 pi
Coeffic:ients
Thiof
0,29
0~66
0956
0905
0,ll
0938
Chiachard
0,44
-0,31
-0,03
0,41
0,73
-0 ,Dj
Tassergal
-0,44
0,08 -0,ll
0,82
-0,16
0,30
PEgeot
0,46 -a,39
-0;15
-0~06
-0,39
0,68
Sarda
-0,48
0,Ol -0 920
-0 $39
0752
0355
Reste
og!g
0,55
-0,78
@,Ol
0,Ol
-os04

--
. ..“.--.-
I--,e-.I--,---l”-.s
.*,
-_“.--
_ ,
-
-
TABLtEW X.- Valeurs pour les tests de corré:latiom
de rang de KendsU
Thiof
0,91
0,30
0,42 -0~64
2,37 -1,413
0,42
Chinehard
-3,98
3,60 -2,98
2,Ol -2,62
2,62
Tassergal
-3,35
2250 -1,89
2,87
-2,86
Pageot
-a,%?
2,26 -2,86
2,87
Sarda
-3,47
3,11
-2,86
Profondeur
-3,35
2,40
Naubre de
-2,25
p&h&rk?
Chinehard .Tassergal Pageot Sards Prof' Nbr de heure de
pêcheurs retour
Les profondeurs sont class6es de la plus grande à; la plus petite

TABlïEAUXI.- Facteur jour zone "1"
Thiof
Chinchard
Tassergal
Pageot
Sarda
Reste
Total
1
(Nanbre de
4,64
pirogues : II()
Il,78
636
14,85
0,26
2,19
39,85
2
(29)
“f,24
Il,29
3,@
5,76
2,64
4,02
34 ,?8
3
(361
15,?P,
8,s~
039
x64-
0,35
-;,6c;i
40,84
4
(551
4,oc
631
0,13
16,oo
0,82
4,82
32.29
5
(55)
3,70
5266
0,73
13,42
4,55
8~2
36,18
6
Wd
2,07
7,42
CI,20
16,44
0,26
4,93
31,33
Moyenne
C?56)
5344
1373
t,15
13,42
138
5,53
34,87
F5 ,250
231-T
1,5?
5,?2
1,43
4,43
4332
0,94
Seuils de significationl aux .niveaux 0,055 O,Ol; 0,001 : 2,3; 3,I; .4,3
N
CC3

TABlZAU XTI.- Facteur jour Zone "2"
Thiof
Chinchard
TassergaL
Pageot
SEtsda
Reste
Total
i (Ibnbre de
0,26
0,83
28,42
u,63
7J4
41,38
pirogues : 54)
4909
2
(62)
0578
1,53
2693
1,19
11,9a
2,05
44,45
3
(51)
0,52
0,40
-08
0,45
16,93
2,02
27579
4
(34)
1,29
1,53
0,50
2,43
37,19
4,13
47,08
4
(45)
1,89
5,89
2,53
3,03
18,28
5~6
36,06
6
(20)
1,04
299'2
2,60
6,lO
14,96
19,03
46 ,?o
Moyenne
(266)
0,7?
14,17
1,77
15,83
5,15
39,72
0,81
37$
3,26
6,‘4
5399
1903
'5,259
Seuils de signification aux niveaus 0,05; 0,Ol; 0,001 : 2,3; 3,l; 4,3

TABLEAU XII bis.- Voir explications dans le texte
Ncxnbre de
Heure de
p"e'cheurs
retour
Profondeur
I
Vaxiance
F
c données
don&es
transf.
brutes
,
f
Mo i
1 o,Bg
L47
1
Tass.
1,45
582.
l----
Sarda
1 ,Ol
~06
f
39
2,03
2,20
1 1318
1,48
184 f 1,55 t
1,56
f
920
~65
1,26
1,22
Ii,18
1929
1,79 1 1,72 1
1,31
70
,
-t
0,62
1,35
si,20 1 1,04
12,23
1,15
1,17
1,31
263
4,47 0,20
0~9 11,~~
0,22
2,98
0,15
0,26
199
--t-
1,89
3,99
2,43
3,03
2531 1 2,85
1 4,31
1 1629
l Tass.
~69 10~85
0,91
1~43 1 0,79 1
0,89
19
4
Ssxda
2,35 1 1,76 !5,4!
1,67
1,94 1 182 1
2,35
1
520
i Tass.
1,34 1 0,64 12,48
0,55
0,76
18
6
/------
1 Sarda
0,53
3,58
os6
2,64
I
8380 1 1,50 /1,25
2,19
f”.
--O’.--..” I
~-“---~.~~ .-... -.-~_.-
i ~ .;)iy?,

32

--s-m
.-l-.-m

. ~ - - - l - - - - . - - - - “ . . ~ C , l - I ~ . “ ~ ~ ~ ~ . - - *
- - - - . . . . - - . , . ,
- ~ . - - “ ,
- -

- .
3 4
TABLJEAU XV.- Facteur heure de retour zone "IN
Thiof
Chinchard
Tassergal
Pageot
Ssx-da
Reste
l
(4)
0,oo
0,79
0,oo
2,43
0,oo
2 $84
6,d
(6)
6,03
1,82
0,oo
9,56
6,OO
7,42
24,83
05)
7~8
3,15
0,19
4,33
0,oo
2,76
18,2?
05)
5,15
1,89
0,85
885
0,71
3,90
21,46
(261
4,52
9,31
0,21
5,!62
0,08
6,50
26,25
6%
3306
10,oo
2,02
sa8
0,29
3988
24,33
(30)
14,74
8,72
0,27
13343
0,21
3,49
40,66
(25)
2,23
8,68
0,37
14,,33
0,66
5,20
31947
(27)
7329
8,46
0279
12949
o,L6
ii,58
36,~
(23)
1995
8,90
0,79
28,66
~$8
6,30
49257
(131
1,88
12,04
3,81
11,07
4,86
3,46
43,x?
(15)
6,50
9,63
1,38
22,33
5,99
10,45
56;28
(91
1,87
7,27
3,71
26~1
9,51
11g.3
59913
(6)
2,94
10,30
0935
34912
2373
5,29
55,T?
(1)
5,51
6,47
f,42
20,oo
0 ,oo
77347 50,8G
(2)
0,oo
0,oo
20 $8
5900
9,Ql
17,81 5u37
(0)
Xoyenne (256)
5,44
7,73
1
1,14
73,42
133
5,53
o,&
2,ll
I 1,49
2,52
3,41
1,15
-
-
Seuils de signification
aux niveaux 0,05; O,Ot; 0,001 : 1,7; 292; 297

TABLEAU WI.- Facteur heure de retour mne “2"
-
-
'Thiof
Chinchmd
TassergaI
Pageot
Smda
Reste
-I_
0,oo
0,oo
0,oo
0,oo
0,oo
728’7
0,oo
1,03
3,oo :
0,oo
0,oo
2.33
0,oo
6,86
0,oo
12985
0,OO
os83
0,OO
0 $4
0950
7,25
1,06
c $73
2,69
l,î4
0,35
3,07
0,52
3,80
2,38
8905
1,19
$319
3,93
3,08
0,62
2,Ofj'
5,19
3,82
7,36
3,92
i
c.
;?
(23)
r,30
1,43
4,38
4933
8 978
2919
]
.g
(28)
0~8
os68
8,35
1,12
15,88
2,05
l,l2
1,24
12,51
0,34
15,41
G3?
0940
0,2G
11 ,?l
0937
19221
3,96
0335
0,42
12,94
1,2G
20,22
%,49
0,OO
8,150
1~76
0,48
28,53
9,47
2,w
0~64
24,$I
3,71
23,94
l-1,61
0,21
0~66
47379
0905
19,54
ts,88
0 $00
0,oo
44J2
0,oo
18,8g
1923
1’1
(1)
0 ,oo
0,oo
$9932
0,OC
19,119
12,oQ
-
-
xcyenne ( 256 1
C,?7
2,02
14J7
1,77
15,83
5,15
-
-
-
-
-
0993
2,15
8,80
4 ,25
3330
‘1 ,lO
-w-
Seuils de kgnif: 5tion aux niveaux O,Oj;.O,Ol; 0,001 : lr7; .2',2, 3 ?f
L-31
*17 h 30

3 6
'ImLEAu xvII.- Facteur~ofondeur zone "1"
...I----
- - -
j
:-,
Espèce
Thiof
'R?t$Jeot
Reste
---Iy
-
-
j
O-10
(4)
0,oo
1~08
0,73
2&8
0,00
8,02
i
! 10-20 (47)
7913
5,88
0,31
8297
O,S6
6,40
f
!
20-30 (32)
3,42
6985
a,78
19,oo
0~8
7,34
9,42
8&
0,24
11,41
0, 13
3,86
i’ ho-50 (24)
2,lO
10,68
I
2,45
17931
:3 $9
7,50
1
y-60
i
(15)
O,@
13311
0935
Il,93
0 ,I33
6174
oso0
10,31
I,30
8,lI
1,55
5,58
1
! 70-80 (16)
24:65
,
3,5I
5,52
0,90
3973
5,26
30-go
l
(3)
5,5I
29,77
0,97
g,z6
1 y b2
3,33
1
i
30-100
(8)
2,47
4,94
6,41
2I,70
::),!jl
2265
i
; ?~?a 110 (8)
0,oo
2,24
2,04
19 $4
6,:30
6,22
t
(
110-120
(1)
0,oo
os00
37,58
0,oo
2~6
3917
i
f !20-130
(0)
I
! 130-140 (0)
1
! 140-150 (2) 13976

0,oo
14999
oso0
5 $43
1203
0.00
I,SO
@,OO
25 $00
12&0
11,81
; 170-180
(0)
-.
i 180-190 (1)
os00
0,oo
2,IO
0,oo
8,27
0,oo‘
: :~00--210
(1)
OsO0
os00
0,oo
0,oo
l-2,40
7 ,% 1 .'.
1;
300-310 (1)
0,oo
oso0
0,oo
3 ,oo
45,48
3,00-
,
5,44
7973 1
I$i
13,42
ls58
5,53
-1
1~61
1987
1
4,06
1358
5 192
î,Ol
Seuils de signification
wx rAveaux 0,05; ~3~01; 0,001 : l,?; 2,l; 2,4

.._

-

.

_

^

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..,
.

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.
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----.-.--

-

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---

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.

..-.

-_i-..

L.-.-d
0
c
rm

30
TABLEAU XIX.- Matrice de covariances pour la zone 1
Thiof
1,552
Chinchas‘a
-0,22
1,42
TassergaI -0,Ok
-0,06
0,4,G
Pageot
-0,41
0,28
-CI,21
1,91
Ssxda
-0,22
-0,07
0,17
-0 $3
c,62
Reste
0,27
-0,06
-0,07
0,ot
-0,og
i,OP
Thiof
Chincheu‘d.
Tassergal
Pweot
Ssxda
Reste
TABLGIAUXX.- Analyse en composantes principales réalisée
2 partir de la matrice du tableau XIX
Composante principale no
1
2
3
4
5
G
Vwriance
2,35
1,56
1,2a
0,94
0955
0,35
% de variance
33 % 22 %
78 ~4
14% a$ 5%
Coefficients
Thiof
0,50
-o,@j -0,21
cl’,43
0,30
-0 909
Chinchard
-0,37
0,04
-0,92 -0,03
0,09
0,Ol
Tasser@
0,op
O,iP
0,ot -0,02
0,54
0 ,a2
Pageot
-0,77
-0,46
0931
OJG
0,28
0,Ol
Sarda
a,06
0,33
0,07 -0,16
0,73
-0,57
Reste
Os11
-0,47
-?,03
-0 ,a7
0 $05
0,04

TABLEAU XXI.- Matrice dt: covmiances pour la zone "Y
Thiof
o,38
Chinchmd
0,17
0365
Tasser@
0917
-0,30
2,21
Pageot
0,lO
0,40
-0,47
0,72
Sarda,
-0,a
-0,47
0,22
-0~60
A,19
Reste
0,17
0,21
-0,1g
0,13
-0,24
1936
Thiof
Chinchard
IlassergGl
Pageot
Sarda
Reste
'TABLEXJ XXII.- Analyse cn cmposantcs principales rêalis&s
à partir de la matricc du tableau XXI
Canposante principale ne
1
Vari,ancc
3 ') oc>
d17 de wwiance
41 2
Coefficients
Thiof
OJ5
0,03
0.08
0,Ol -0,80
0,57
Chinchmd
0331
0,08
0,04 -0,62 -0,38 -0,Ql
Tasserg,zl
0,81
0313 -0,23
,o,oo
O,Orl
Pageot
O,Ol
-o,oC -0,63
0,44
0,54
Sarda
0~66
0,59
0,22
-0,40 -0~08
0,06
Restë
0,23
O,Q2
0,96
O,lO
0,13 -0,Ql

‘I i
.P
0
01234567881~lt
0 1
2 3 4 !Ii 6 7 8 3 16 11
403
CHINCHARD
TASSERGAL
427
T I O F
4s
4
38
176
32 23
ISS
‘I 2 0
~
.
.
t 2 3 4 S 6 7 6 5 10 11
4 0 a 7 8 0 t# 11
PAGEOT
SARDA
172
46
0
12
3
4 6
0 7 8 Q 1611
RESTE
0 1 2 3 4 S 8 7 6 a 10 11

.

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4

1

P
hJ
23 22
ll
6
1
2
3
4
0
9
7
8
8
18 11
12 3 4 5 6 7 8 s 3atî
812345@
218
“r
TIOF
CHINCHARD
TASSERGAL
24 2s
17 If
i:8
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=
.
*
i
I
0
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2
3
4
6
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7
8
b 10 II
P A G E O T
S A R D A
22
14
Il
0

1 2
3
4
!i
a
7
3
5
10 11
8
t
2
3
4
5
I
7
8
s
ia 11
R E S T E
T O T A L
FIG. le.- Histogrcamne des prises. Zone 2

4 3
a x e 2
1
. fiof
0.6
l Reste
I
.
4
.O.O
1
axe 1
l Chinchrrd
l fhqrot
-0.6
-1
FIG. 2.- Analyse en composantes principales $ partir des corr6lations
(cf. tableau IX)

--
----
_ I--*.--II-,N--mmm
,-.
--”

.
__
.--....__.___
- _...
4 4
axe 2
1
0.5
. Sarde
sTasssrgal
Chinchard
l
.
II
0 .
i
. axe1
- 1
- 9.5
* Pageot
. Reste,
* 0.6
s Tiof
- 1
FIG. 3.- Analyse en composantes principales à partir des covariz-mces
dans la zone 1 (cf. tableau Xx)

4 5
axe 2
1
O*S
P*geot
l Chinchrrd
Reste
T i o f
0
*
1
c
c
m-
0.6
1
axe1
-0.6
-1
FIG. 4.- Analyse en composantes principales è partir des covsrianccs
dans la zone 2 (cf. tableau XXII)