SKJ Conf ./83/21 PUISSANCES DE PÊCHE DES THONIERS...
SKJ Conf ./83/21
PUISSANCES DE PÊCHE DES THONIERS SENNEURS
FRANÇAIS, IVOIRIENS, SÉNÉGALAIS ET ESPAGNOLS
Pah
A. FONTENEAU et J .M. MAMOLAR
R E S U M E
La puissance de nêche globale des senneurs français,
ivoiriens et sénégalais (FIS)et espagnols est analysée en
comparant les rendements annuels des thoniers individuels
et en fonction de la catégorie de ceux-ci, indénendamment
des zones de pêche. Cette analyse montre que l’évolution
de la puissance de pêche globale en fonction de la caté-
gorie des senneurs est différente pour l’albacore et le
listao.L’analyse montre également une évolution différen-
te de la puissance de pêche globale en fonction de la ca-
& .
tegorle, pour les’senneurs FIS et espagnols.
L’analyse des puissances de pêche locales, au niveau
secteur de 5’ de côté et mois, est aussi réalisée et don-
ne des conclusions très voisines de celles obtenues
pour
la puissance de pêche globale.
SlJ?IMARY
The overall fishing power of spanish and FIS(French,
ivorian and senegalese), purse seiners ‘is
a n a l y s e d ; a
comparison of the overall catch per day at sea of indivi-
dual boats and by size categories is presented. The’ rela-
tionship between
fishing power and sise cateyories of
purse seiners is significantly different between yellowfin
and skipjack.
The analysis also shows significant differences bet-
ween spanish and FISM fleet. The local fishing power of
individual purse seiners at the 5” square area and month
level is also analyzed.
Results are similar to those obtained on the overall
f ishing power.

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---
T N T R 0 D U C ‘T 1 9 N
Pour exprimer l’effort de pêche d’une flottille et. calculer des indi-
ces de prises par unit6 d’effort (?ue) significatifs, l’un des paramètres
essentiels à analyser est la puissance de pêche de chaque thonier individue
et la distribution de ce paramètre en fonction des caractéristiques des
thoniers.
Ce paramètre “puissance de pêche” peut &tre étudie à deux niveaux :
a.- Celui de la puissance de pêche globale des unités, en comparant les
rendements annuels des bateaux, sans tenir comcte qu”ils exploitent ou pas
les strates géographiques et temporelles distinctes. Cette puissance de
pêche globale prend donc en compte la possibilité (ou l’impossibilité)
pour te! type de bateau d’exploiter les strates de plus fortes densitéc
UIAUREC, 1977) a
b l - Celui de la puissance de pêche locale des unités en comparant les
rendelments qu’ils obtiennent sur une densité homogène de poisson. Dans la
pratique on comparera les pue dans des strates jugées homogkes (donc
des strates de dimensions géographiques réduites et durant de courtes
périodes). Cette estimation des puissances de pêche locales correspond
classiquement au concept et à la méthode dgestimation développés par ROBSON
(1966) de la puissance de pêche locale.
La première méthode a été employée à diverses reprises pour la flot-
tille de senneurs (français, ivoirienne et sénégal.ais) (FONTENBAU et SOISSON,
1974 ;; FONTENEAU, 1978). Cette flottille classiquement appelée flottille
“FIS” est considérée comme étant une flottille homogène du fait que ces
divers pays utilisent des bateaux, des équipages e!t des stratégies de pêche
identiques. Aucune étude de ce type n’a par contre été publiée pour la
flottille de senneurs espagnols qui est à l’heure actuelle la flottille la
plus importante Zi exploiter les thonidés de 1”Atlantique intertropical.
La présente étude aura donc pour objectif d’analyser et de comparer
individuellement les puissances de pêche globales des senneurs FIS et
espagnols ; cette étude préliminaire sera menée pour l’année 1981 2
iitre expérimental et devrait être menée sur toute la pêcherie récente afin
d’obtenir des indices d’efforts exercés sur le listao.
1
0
P U I S S A N C E S D E :
P E C H E
G L 0 B A L E S
1 e 1 o GENERALITES
Le calcul part du rendement (calculé par prise annuelle/temps de mer
annuel) de chaque thonier FIS et espagnol. Ce rendement. est calculé pour
l’albacore, le listao et la somme des espèces composant la prise. Seul
les rendements des bateaux ayant totalisé plus de 200 jours de mer dans
l’année sont jugés significatifs et retenus dans les analyses subséquentes.
On connait par ailleurs la catégorie de chaque bateau, ces catégories
sont identiques pour les flottilles FIS
et espagnoles et correspondent 2
des catégories de jauge et de capacité de transport. Les catégories suivan-
tes sont présentes dans la pêcherie durant 1 ‘année 1981 :

2 47
- Catégorie 4 :
150 à 300 t de capacité
- Catégorie 5 :
300 à 500 t de capacité
- Catégorie 6 :
500 à 1000t de capacité
- Catégorie 7 :+lOOO t de capacité
1.2. PUISSANCE DE PECHE TOTALE
Les rendements toutes espèces réunies servent de base B cette analyse.
Les rendements totaux en fonction de la catégorie et du pays sont représentés
figure 1.
a.- On constate que les rendements de la flottille FIS par catégorie
sont distribués d’une manière très “classique” pour cette flottille :
‘- Rendements de la catégorie 4 en moyenne 23 % inférieurs à ceux de la
catégorie 5.
- Rendements de la catégorie 6 en moyenne 27 % supérieurs B ceux de la
catégorie 5 (34 % supérieurs en moyenne de 1972 à 1980).
- Rendements de la catégorie 7 en moyenne 11 % supérieurs à ceux de la
catégorie 5 (9 % supérieurs en moyenne 1970-1981), mais donc inférieurs de
12 % à ceux de la catégorie 6.
- Les rendements des senneurs espagnols sont, par catégorie de senneurs,
très voisins de ceux des senneurs FIS, pour les catégories 4, 5 et 6 ; les
rendements des 6 senneurs espagnols de catégorie 7 sont par contre très
supérieur s à ceux de leurs homologues FIS (tableau 1).
Tableau l.- : Rendements annuels totaux (en tonnes métriques par jour de
mer) des senneurs FISM et espagnols en 1981 par catégorie de senneurs.,
(Les chiffres entre parenthèses associées à chaque rendement donnent la
différence en pourcentage entre la catégorie considérée et la catégorie 5)
1..3. PUISSANCE DE PECHE GLOBALE SUR L’ALBACORE
Les rendements annuels moyens durant l’année 1981, en albacore, par tho-
nier individuel sont représentés sur la figure 2 pour les flottilles espa-
gnoles et FIS. L’albacore étant l’espèce dominante dans les captures des
deux flottilles, on constate que la distribution des rendements en fonction
de la catégorie est très comparable à celle des rendements totaux ; les ren-
dements moyens en albacore calculés par pays et catégorie sont donnés (dans
le tableau 2.

2 48
Tabl<eau 2 a - : Rendements annuels moyens en albacore par catégorie des sen-
neurs FISM et espagnols.( Les chiffres entre narenthèses associés
à chaque
rendement donnent 1 a \\1i.f f6renccl
en pourcentac:r? cnt r-c’ 1 ;- c.acéporic‘ considi?réc>
et la. catégorie i) .
I
CATEGORIE
I
l
PüI-, -ALBACORE
1.4. PUISSANCE DE PECHE GLOBALE SUR LE LISTA0
Les rendements annuels moyens obtenus en 1981 sur :Le listao par thonier
individuel, FISM et espagnol p sont représentés figure 2. On y cons tate
une distribution des rendements très différente de celle observée précé-
demment ;
- La flottille espagnole semble hétérogène a.vec quelques bateaux de cha-
que catégorie (huit au total) ayant des rendements extrêmement élevés en
lista.os, les autres bateaux ayant des rendements analogues à ceux de la
flottille FISM. On peut penser en priori que ces thoniers à forts rendements
en listao sont ceux qui ont été pêché en Angola, zone à très forts rendements
en lista0 , pendant une partie de l’année listao.
- Four les bateaux espagnols ayant des rendements 9omoyens9’ en listao,
analogues à ceux des senneurs FIS (i.e après élimination des huits thoniers
à forts rendements) > on constate que les rendements ne s’accroissent pas
sensiblement avec la catégorie des thoniers,
- Ce même résultat est observé pour tous les senneurs FISe
Tableau 3.- : Rendements annuels moyens en Zistao par catégorie des senneurs
FIS et espagnols. (Les chiffres entre parenthèses assoc.i(ées à chaque rende-
ment donnent la di,fférence en pourcentage entre La catégorie considérée et la
catégorie 5)

2 49,
On peut vérifier aisément l’influence potentielle de la zone de pêche
Angola sur les rendements en listao des thoniers espagnols en excluant cette
zone des calculs de rendements annuels : on obtient des rendements inférieurs
(inchangés pour classe 5, égaux 2 2.6 pour classe 6, et égaux à 4.1 pour
classe
7) qui confirment que l’hétérogénéité des rendements en listao des
senneurs espagnols a partiellement, mais pas exclusivement, pour origine
l’hétérogénéité des zones de pêche. De fait on conservera les rendements en
listao toutes zones réunies comme base du calcul des puissances de pélches
globales, l’aptitude d’un thonier à fréquenter des zones de fortes abondan-
ces en listao et à réaliser de fortes prises étant un paramètre de base du
concept de puissance de pêche globale et de la mortalité par pêche que
chaque unité de pêche peut faire subir au stock.
Le principal résultat de cette étude est, au moins en 1981, le faible
accroissement de la puissance de pêche sur le listao entre les senneurs de
catégories croissantes, tout au moins entre les catégories 4, 5 et 6. Cette
constatation s’applique tant aux senneurs espagnols qu’aux senneurs FIS.
Ce résultat s’il se confirme pourrait remettre en cause pour le lista0
la standardisation des puissances de pêche de la flottille FIS, qui admet
un accroissement des puissances de pêche selon la catégorie estimée sur
1 ‘accroissement des rendements toutes espèces réunies, dans lesquels l’al-
bacore est largement dominant.
En outre se poserait le problème qu’un changement d’espèce cible, tel
que celui observé pour la flottille espagnole qui capturait une majorité
de listao avant 1975 mais capture une majorité d’albacore dans la période
récente, devrait alors entrainer une modification de la puissance de pêche
effective de la flottille.
Pour estimer l’ampleur de ce problème, les rendements moyens par caté-
gorie de senneurs FISM ont été calculés sur une période plus longue soit
de 1972 à 1980 (tabl. 4).
Tableau 4. - : PUE en tonnes par jour de mer des senneurs FIS, moyenne 1972
à 198O.(Les chiffres entre parenthèses associées à chaque rendement donnent
la différence en pourcentage entre la catégorie considérée et la catégorie 5)
CATEGORIE
4
5
6
PUE ALBACORE FISM
2.47
4.89
6.75
(-49 X)
(738 4;)
PUE LISTA0 FISM
1.47
2.32
2.89
PISM
(-37 X)
(*25 X)
On constate à l’examen de ce tableau que, de fait, l’accroissement moyen
des pue en fonction de la catégorie est sensiblement plus faible pour le
li.stao que pour l’albacore.
Pour la flottille espagnole , seuls les rendements par espèce de la
periode récente, 1980 à 1982, ont pu être analysés. On pourra donc utilement
comparer les p u e espagnoles en 1981 (tableaux 1 à 3) avec les p u e des
années 1980 et 1982 (tableau 5, figure 3).

250
Tableau 5. - : p u e en tonnes par jour de mer, pa.r espi!ce , des senneurs es-
pagnols? années 1980 à 1982.
---
-~_-..-l... -. __ -
^___._ ___,_-..-.“-. -- -..-- ..- -. - ..._-.--l-----------rl_.
II
_-,---
-7-----
7
CATEGOP:IE
l
.----.--.,
__~- ..-...-. _ _ ------_-
-
-
- - - - - -
PUE ALBACORE 1980
PUE LISTA0
1980
Les chiffres de ce tableau montrent des tendances comparables pour les
t r o i s années 1980, 1981 et 1982, en particulier en ce qui concerne la puis-
sance de pêche élevée de la catégorie 7.
2 *
P U I S S A N C E S IDE
P E C: H E
L 0 C A L E S
2.1. INTRODUCTION a CALCULS
Le calcul des puissances de pêche locales es;t bas6 sur la comparaison
des rendements de bateaux pêchant dans des strates de densité homogène. Ce
concept de “puissance de pêche locale” est un éléknent important pour tenter
d’estimer la densité du poisson. Pour mener ;g bien l’estimation de ces puis-
sances de pêche locales, il faut disposer au préaLlable des rendements des
bateaux individuels dans des strates “homogène.s”. Ce concept de strate de
densité homogène est très difficile à mettre en oeuvre pour les thonidés in-
tertropicaux ; en effet toutes les analyses des pue sur une base très fine,
par exemple le jour/carré de l0 9 révèlent une forte hétérogénéité spatio-
temporelle des rendements/ie de la combinaison de:s facteurs densité-captura-
bilité 0
Le choix actuel des strates jugée homogiSn.es est donc passablement arbi-
traire et ne constitue qu’une hypothèse de travail qui demanderait B être
précisée par l’analyse de la variabilité geographique et temporelle des pue.
Le choix des strates s’est porté sur des carrQs de S’de côté, durant des
périodes mensuelles. Si l’on tient compte du fait: que les calculs afférents
B la méthode de ROBSON deviennent extrêmement longs, mi!me avec un ordinateur
puissant, dès que le nombre de cellules bateaux:-strates devient important, il
a ét6 nécessaire de limiter l’analyse aux 10 carrés de !!I~X~’ les plus impor-
tants de la pêcherie durant l’année 1981 (étant donné que le nombre de thoniers
à comparer ne pouvait être réduit) o
Les carrés 5% 5’ suivants (notation selon. le systkne ICCAT standard ont
ainsi été retenus : 41515, 41015, 40010, 40005, 4.0000, 10000, 30010, 30000,
20005, 21010 (voir figure 4).
En outre pour disposer dans le calcul dl? pue significatives, les efforts
de pêche des thoniers qui etaient inférieurs ‘i 48 heures de mer par strate

2 51
ont été éliminés de l’estimation des puissances de pêche locales.
Dans la pratique l’estimation des puissances de pêche locales des tho-
niers individuels a été réalisée à partir du logiciel statistique GENSTAT
en définissant un modèle bateau, mois, zone, sans interaction mois-zone. Tous
les calculs ont été réalisés sur les logarithmiques des pue (Beverton et
Holt 1957).
i2.2. PUISSANCE DE PECHE LOCALES SUR L’ALBACORE
Les rendements relatifs des senneurs FIS et espagnols sont représentés
fig. 5 a et b. La strate de référence est le carré CWP 21010 en décembre 1981,
strate pauvre en albacore, ce qui explique le bas niveau relatif de l’indice,
mais ne change rien aux valeurs relatives des puissances de pêche locales
de chaque bateau.
Les valeurs moyennes des puissances de pêche locales sur l’albacore sont
données dans le tableau 6.
Tableau 6.- : Indices moyens de puissances de pêche locales sur l’albacore
des flottilles FISM et espagnoles en 1981 par catégorie
On constate d’un point de vue général que la distribution des puissances
de pêche locales est très comparable à celle des puissances de pêche globales,
tant dans la tendance des moyennes de chaque flottille que dans la variabi-
lité des indices.
On peut toutefois faire un certain nombre de remarques préliminaires
q u ’ i l conviendrait de vérifier en analysant les puissànces de pêche locales
durant d’autres années:
la catégorie 5 française semble beaucoup plus hétérogène que la caté-
gorie’ espagnole (cette hétérogénéité de la classe 5 française est analysée
par FONTENEAU 1978) .
. chez les français, la différence des puissances de pêche locale entre
senneurs 5 et 6 semble bien inférieure à celle des puissances globales. Les
rendements annuels supérieurs des senneurs 6 (+ 47 X) proviendrait donc es-
sentiellement de leur capacité stratégique supérieure (liée probablement a
leur vitesse et à leur capacité supérieures).
2.3. PUISSANCE DE PECHE LOCALES SUR LE LISTA0
Les rendements relatifs en listao des senneurs FISM et espagnols sont
représentés fig. 5c et d ; la strate de référence est aussi le carré CW 21010
en décembre 1981.

2 5 2
Les valeurs moyennes de ces puissances de pêche locales relatives sont
données dans le tableau 7.
Tableau 7.- : Indices moyens de puissances de pêche locales sur le listao
des flottilles FIS et espagnoles en1981 par catégorie.
(les chiffres entre parenthèses donne en pourcentage la variation de puis-
sance de pêche par rapport à la catégorie 5)
L’examen de ces résultats révèle une variabilité des puissances de pêche
localles individuelles et des moyennes très comparables à celles des puissan-
ces dle pêche globales. On note seulement la bonne performance des deux
senne’urs FISM de catégorie 4. Il est impossible d’envisager un test statis-
tique sur deux bateaux ; il est toutefois intéressant de noter le fait que
ces deux senneurs ont une puissance de pêche locale supérieure à la moyenne
des trois autres catégories supérieures. Ce fait demande â être vérifié sur
les données historiques où cette catégorie de senneurs était importante. Si
cette observation se vérifie, elle pourrait s’expl.iquer par la bonne aptitude
d’un petit senneur à capturer les bancs de listaos qui semblent souvent plus
petits. Ce bénéfice s’estomperait au niveau de la puissance de pêche globale
du fait de la capacit6 et de la vitesse réduites de ces thoniers.
3 *
C O N C L U S I O N
La présente analyse apporte un certain nombre de r&ultats très impor-
tants sur la puissance de pêche relative moyenne, globale et locale, des dif-
férentes catégories de senneurs FISM et espagnols. ‘L’évolution de la puissan-
ce de pêche en fonction de la catégorie de taille des senneurs apparait dif--
férente chez les senneurs français et espagnols, et difflérente pour 1 ‘alba-
tore e t l e listao.
Il sera important % l’avenir de suivre annuellement l’évolution de ces
puissances de pêche locale et globale par cat6gorie et (de les prendre en
compte pour le calcul de p u e standardisée
par espèce et flottille.
Le calcul d’un effort de pêche standardisé intégrant les différentes
catégories de senneurs devrait ainsi être calculé systématiquement pour toutes
les flottilles en multipliant le temps de pêche effecti.E de chaque thonier
par son indice de puissance de pêche. Deux séries d’effort, un effort de
pêche standardisé pour l’albacore et un effort de pêche standardisé pour le
listao, pourraient légitimement être envisagées du fait que la puissance de
pêche en fonction de la catégorie, semble tr?s diff6ren.t.e pour des deux esr>+ces.

2 5 3
B I B L I O G R A P H I E
BEVERTON (R.J.H.) and HOLT (S.J.), 1957.- On the dynamics of exploited fish
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vol. 13, no 2, pp. 145-161.
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Cah. ORSTOM, sér. océanogr., vol. 16, no 3-4 :
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SKJ Conf./83/16.
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ships. Res. Bull. int. Comm. N.W. Atlant. Fish., no 3, pp. 5-14.
R E M E R C I E M E N T S
Nos vifs remerciements s'adressent à F. LALOE qui a mis au point les
procédures GENSTAT de calcul des puissances de pêche locales.

.
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.
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6
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Figure l.- Puissances de pêche .individuelles; gbbal.es, toutes espèces
réunies, des zxznrmrs FIS et espgno~ s en 1981.

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Figure 2.- Puissances de pêche individuelles globales, sur l'albamre et
sur le listao, des semeurs FIS et espagnols en 1981.

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F i g . 3 ,- : Rendements annuels oar iour- de mer, par esG5ce. des
semeurs esDannols en 1980 et !982

2 5 7
Figure 4.- : Carrés de 5” sél ectionnés dans 1. ‘ana 1
des puissances de
pêche locales.

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Figure - Puissances de @ches inciividuelles locales, sur l'albacore et
sur le listao~des sermc,%.m FIL;
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