RÉSULTATS DE LA CAMPAGNE 'IPETITE CÔTE-I" DU...
RÉSULTATS DE LA CAMPAGNE 'IPETITE CÔTE-I" DU LAURENT AMARO
PROSPECTION DES,STOcKS DE POISSONS PÉLAGIQUES CÔTIERS LE
LONG DE LA PETITE CÔTE DU SÉNÉGAL
DU 23 MAI AU 1 JUIN 1984
Tomas CAMARENA-LUHRS (1)
I N T R O D U C T I O N
Avec cette campagne démarre un programme de prospection acoustique de-
vant durer une année. Il a pour but de connaître, pour la partie la plus
exploitée du Sénégal soit la Petite Côte,
les densités de poissons pélagi-
ques côtiers et de les comparer avec les résultats de la pêche sardinière.
Pour cela les campagnes seront réalisées environ tous les trois mois.
Cette campagne s'est déroulée à bord du N.O. Laurent Amaro du 28 mai
au 1 juin 1984, sur le plateau continental concernant la Petite Côte du
Sénégal entre la pointe des Almadies et la frontière nord de la Gambie.
Un ordinateur"HP-9845C" a été utilisé pour la saisie et le traitement
des données, ainsi que pour l'édition graphique des résultats.
Les programmes informatiques ont été écrits et mis au point par LIOCHON
et LEVENEZ (sous presse).
1.
D E S C R I P T I O N D E L A
C A M P A G N E
" P E T I T E
C O T E "
D U
L A U R E N T
A M A R O
1.1. PARTICIPANTS
La campagne a été réalisée par le personnel suivant :
(1) Stagiaire ORSTOM en service au CRODT/ISRA - B.P. 2241 - DAKAR.

LEVENEZ Jean Jacques
Chef de mission
CRODT
CAMARENA Tomas
Stagiaire
CRODT
COTEL
Pascal
Electronicien
ORSTOM
SARRE
Abdoulaye
Electronicien
CRODT
1.2. CALENDRIER
Cette campagne s'est déroulée du 28 mai au 1 juin, avec deux calibra-
tions au port de Dakar, l'une au début et l'autre à la fin de la campagne.
1.3. EXTENSION GEOGRAPHIQUE ET COUVERTURE
La prospection a été réalisée selon une série de radiales parallèles
aux degrés de latitude et séparées par une distance de 5 milles nautiques.
La zone bathymétrique couverte s'étend des fonds de 10 mètres aux
fonds de 200 mètres, ce qui détermine la longueur
des radiales (carte 1).
1.4. DESCRIPTION DES TRAVAUX REALISES
La température de subsurface a été relevée en continu durant toute la
campagne à l'aide d'un thermographe.
~=UX coups de chalut ont été réalisés.
Le Laurent Amaro a utilisé pour cette campagne un petit chalut pélagi-
que de 10 mètres d'ouverture horizontale et de 10 mètres d'ouverture verti-
cale. L,e chalut pélagique
semble être le mieux adapté à l'échantillonnage
pour les campagnes d'écho-intégration,
cependant vu la taille très réduite
de celui dont nous avons disposé, la quantité de poissons prélevée est trop
petite pour considérer l'échantillonnage comme représentatif.
1.4.1. Echo-intégration :
Le N/O Laurent Amaro est équipé depuis 1982 d'un ensemble d'écho-inté-
gration.
Cet ensemble comprend principalement :
- 1 intégrateur BIOSONICS modèle 120
- 1 écho-sondeur 60-120 KHz BIOSONICS modèle AT2W-82-50
- 1 échographe ROSS modèle FINE LINE 250 m. modifié par BIOSONICS
- 1 oscilloscope SONY TEKTRONIX 305 DMM
- 1 magnétoscope à cassette SONY TC-D5M avec interface réalisée par
BIOSONICS
- 1 oscilloscope ENERTEC-SCHLOUMBERGER 5027 à mémoire numérique
- 1 ordinateur "HP-9845C"
- Divers appareils de mesure.
tous des appareils robustes et fiables.

3
2.
R E G L A G E
D U R A N T L A
C A M P A G N E
2.1. ESTIMATION DE L'INDEX DE REFLEXION MOYEN DES POISSONS
Pour la détermination de la ?% "Target Strength", nous avons considéré
les hypothèses de la campagne de mars (cf Résultats ECHOSAR VI). En effet
nous avons observé que la taille moyenne des poissons débarqués en mai
1x3 r
la flottille industrielle au port de Dakar était sensiblement la même que
celle de mars. C'est pourquoi nous avons repris la même TS de -35.4dBjK9.
2.2, REGLAGE DE L'ECHO-SONDEUR
Ne souhaitant travailler que jusqu'aux 200 mètres de profondeur, on a
utilisé le sondeur à la fréquence de 120 KHz et le transducteur SN 001 à
faisceau étroit : l'angle entre lespoints -3dB du diagramme de direc-
tivité est de 10'.
La durée d'impulsion a été fixée à 0.6 ms ; la fréquence de récurence
dépendait de l'échelle utilisée.
Le transducteur a été remorqué latéralement avec une base delta ENDECO
S 17 à une profondeur de quatre mètres.
La calibration du 28 mai s’est déroulée dans les conditions suivantes :
- température de l'eau 23.5' centigrades
- longueur du câble entre le sondeur et la base : 60.0 mètres. Il a fté
mesuré ainsi :
2.2.1. Le niveau d'émission : SL
a) Par hydrophone standard : la valeur obtenue a été de 222-92 dB )" Pa
à 1 m.
b) Par mesure électrique, où SL = 222.36 dB nPa à 1 m.
Ces valeurs sont à rapprocher de celle de SL = 223 dd F?a à 1 m donnée
par le constructeur.
2.2.2. Le niveau de réception : Gl
Par l'hydrophone standard on a calculé -141.49dB/lV/lpPa, valeur très
proche du -141.69dB/lVolt/l~Pa qui est celle donnée par le constructeur.
2.2.3. Contrôle de la TVG
Ce contrôle a été effectué par la mesure de l'amplification d'un signal
constant. Le facteur decorrectiona été de +lO % jusqu'à la tranche d'eau
150-200 m inclus : c'est-à-dire un facteur B égal à 1.1. La correctiona été
nulle pour la tranche de 200 à 250 m.
2.3. REGLAGES DE L'INTEGRATEUR
Nous avons estimé les valeurs de densité sur 15 tranches d'eau,
avec
comme profondeur de référence celle du transducteur, c'est-à-dire 4 m. Les
tranches suivantes ont été choisies :
3-5 m
20-25m
40-45m
lOO-150m
5-10m
25-30m
45-50m
150-200m
lO-15m
30-35m
50-75m
200-250m
15-20m
35-40m
75-100m

Le fond a été suivi manuellement et non en automatique. Bien que cette
solution interdise l'accès aux poissons situés très près du fond, elle per-
met une bien meilleure estimation de la taille des bancs en évitant le
blocage du #signal sur les bancs de forte densité.
Un seuil fixé à 120 mV permet d'éliminer pratiquement tout le plancton
des enregistrements.
/&
La constante A qui est fonction des perfor!Aances du sondeur et de la
'Ix choisie a été calculée avec pour résultat A =-0.224 kg/m3V2.
Le nombre d'émissions était calculé de façon à parcourir environ 1
mille nautique par séquence.
Le bon fonctionnement de l'intégrateur a été testé en entrant un si-
gnal continu de différents voltages allant de 0.5 à 7.0 V par incrément de
0.5 v.
3 .
C A L C U L
D E S
B I O M A S S E S
3.1. SAISIE ET CORRECTION DES DONNEES
L'ordinateur "HP-9845C" permet de saisir d'une part en direct les don-
nées venant de l'intégrateur, et d'autre part en manuel les données du navi-
gateur par satellite, à savoir : l'heure,
le temps écoulé depuis le der-
nier passage satellite, la latitude, la longitude et la vitesse du bateau.
La profondeur est également saisie à ce niveau.
Quant à la température de subsurface dont la saisie est également pré-
vue, elle est enregistrée de façon différée, au moment de la correction des
données, car on ne dispose pas de répétiteur à l'intérieur du laboratoire
electronique.
Une étape de vérification est effectuée à terre avec un programme infor-
matique con!;u pour rendre plus rapide cette phase de dépouillement. Elle
permet l'élimination des erreurs potentielles dans les données, éventuelle-
ment causées par intégration du fond , bruits de surface ou du plancton.
3.2. EXTRAPOLATION EN HAUTEUR
La base du sondeur était remorquée à une profondeur de quatre mètres
sous la surface. Or la première couche intégrée concerne la tranche 3 à 5 m
sous la base, donc les sept premiers mètres étaient perdus.
Comme il est possible d'extrapoldrles données de cette couche 3 à. 5
mètres jusqu'au niveau de la base - les écho -grammes justifient cette
extrapolation - le résultat est la perte des seuls 4 premiers mètres sous
la surface.
Cependant, puisque d'une part il n'est pas possible de visualiser au
dessus de la base, et que d'autre part il est peu probable de trouver des
poissons à proximité immédiate de la surface lors du passage du bateau, nous
avons préféré ne pas extrapoler jusqu'à la surface.
3.3. CALCUL DES DENSITES
A partir des fichiers corrigés, trois types de traitement informatique
sont actuellement possibles, tous trois prenant une radiale comme unité.
Les valeurs d'intégration de jour sont séparées des valeurs d'intégration
de nuit.

Les densités sont calculées pour chaque séquence de la radiale et
exprimées en tonnes par mille carrés.
3.3.1. Densité par intervalle de profondeur :
Les densités exprimées en tonnes par mille carrés sont calculées uni-
quement pour les tranches sélectionnées. On peut ainsi voir pour chaque
radiale la répartition des densités par intervalle de profondeur.
3.3.2. Densité par zone bathymétrique :
Ces densités exprimées de la même façon sont calculées pour les sé-
quences dont le fond est compris entre les limites suivantes : O-25 m,
26-75 m et ‘76-200 m.
3.3.3. Calcul des densités globales par zone géographique :
On peut calculer la densité moyenne des valeurs d’intégration d.c jour,
la densité moyenne des valeurs d’intégration de nuit et la densité moyenne
globale pour chaque subdivision souhaitée dans la zone géographique couver-
te par la campagne.
4 .
R E S U L T A T S
4.1. CONDITIONS HYDROLOGIQUES
Les cartes 1 et 2 retracent la répartition géographique des isothermes
d.e surface sur la Petite Côte. Elles montrent une répartition classique des
structures thermiques qui à cette époque de l’année se caractérisent par la
transition cle la saison froide à la saison chaude avec une diminution très
importante de l’“upwelling”,
qui est seulement présent dans une petite zone
très près de ia côte du niveau de Barljny
Il est important de rappeler que nous ne décrivons qu’une situation
ponctuelle correspondant à l’époque précise de la campagne.

4.2. PECHE DE CONTROLE
Le Laurent Amaro n'étant pas équipé d'un chalut pélagique performant,
mais d'un chalut trop petit,conçu pour le prélèvement des juvéniles, les
opérations de pêche ne peuvent être considérées comme représentatives.
4.3. ESTIMATIONS DE BIOMASSE
Les valeurs qui vont suivre doivent être considérées comme des estima-
tions minimales de la biomasse présente au moment de la campagne dans la
zone prospectée. Elles ne tiennent compte ni du comportement d'évitement
1
.
ces poissons, notamment des bancs de sardinelles le jour ni de la biomasse
présente dans les zones très côtières qui sont cependant généralement très
riches. En effet les bancs de sardinelles ont été observés "collés" à la
côte, il est donc certain qu'une bonne partie de la biomasse présente sur
le plateau continental, mais hors de nos zones de prospection, échappe à
nos estimations.
4.3.1. Stratification spatiale des estimations :
La biomasse a été calculée pour l'ensemble de la zone, puis les calculs
ont été refaits pour que l'on puisse disposer de ces estimations dans les
secteurs de pêche définis pour le traitement statistique de l'activité de
la flottille sardinière dakaroise.
L‘ensemble de la zone prospectée recouvre trois secteurs, chaque sec-
teur étant lui-même subdivisé en trois zones bathymétriques. On a ainsi
les secteurs suivants :
Dakar, de 15"OO' à 14'30' de latitude N
Sarène, de 14O30' à 14"OO' de latitude N
Saloum, de 14"OO à 13"30' de latitude N
Seul le deuxizme secteur a Cté entierti;nent couvert 2cCcLt; deuxaGes secteurs
depusbrtic la z o n e cie id P e t i t e C ô t e , ie s e c t e u r Dakdz ,dcl norri, l e s e c t e u r ,
Saloum au sud. Toutefois, en ce qui concerne le secteur Dakar, la partie
effectivement couverte est représentative dudit secteur car la flottille
des sardiniers ne pêche jamais au-delà de la pointe des Almadies - limite
nord de la Petite Côte - et ce à cause de l'état vétuste des bateaux et
d'une mer difficile (carte 3).
Les prochaines prospections couvriront l'ensemble du secteur Saloum.
4.3.2. Estimation des densités moyennes :
Pour tenir compte des différences nycthémérales du comportement des
poissons, qui agissent sur la répartition horizontale et verticale des con-
centrations, les estimations des densités moyennes ont été calculées pour
les valeurs observées le jouq pour les valeurs observées la nuit et pour
l'ensemble des valeurs. On obtient ainsi le tableau suivant :

7
DENSITES MOYENNES : TONNES/MILLE CARRE
VALEUR JOUR
VALEUR NUIT
VALEUR GLOBALE
Petite Côte
86,4
100,69
93,0
,
Comme lors des campagnes antérieures, on trouve que la densité moyenne
de nuit est supérieure â la densité moyenne de jour avec un rapport de 1.17
ce qui est assez proche du rapport de la campagne Echosar 6, qui était de
1.20 pour l'ensemble du plateau sénégambien en saison froide.
Le fait que les valeurs de nuit soient toujours plus élevées que les
valeurs de jour a deux raisons principales : la première est que beaucoup
d'espèces restant le jour plaquées au fond échappent ainsi à l'intégration ;
la seconde que les poissons qui sont concentrés en bancs très denses le jour,
se dispersent généralement la nuit et ont donc statistiquement .plus de chan-
ce d'être croisés par le parcours du bateau.
4.3.3. Estimation de la biomasse totale :
Les estimations de biomasse en tonnes sont exposées dans le tableau
suivant :
BIOMASSE EN
TONNES
VALEUR JOUR
VALEUR NUIT
VALEUR GLOBALE
,-
Petite Côte
141 000
160 300
150 100
-
Il faut bien se rappeler que ces valeurs ne représentent que des esti-
mations minimales de la biomasse présente dans la zone prospectée au moment
précis de la campagne. Nous avons déjà vu que la fraction des stocks pré-
sente en .eau très côtière nous échappe (cartes 4 et 5).
4.3.4. Répartition des biomasses par zone bathymétrique et par secteur
de pêche :
Cette répartition est montrée dans le tableau ci-après. On peut cons-
tater que environ 50 % des poissons sont concentrés dans la zone de "'Sarène"
et entre les isobathes 26-75 m.

E
SECTEUR ET ZONE
BATHYMETRIQUE
VALEUR JOUR
VALEUR NUIT
VALEUR GLOBALE
Dakar total
Saloum tOti31
TOTAL O-25 m
11 faut remarquer que seul le secteur "Sarène" a été prospecté en entier,
ce qui rend délicat des comparaisons entre les trois secteurs. Cependant les
comparaisons entre zones bathymétriques pour un même secteur restent vala-
bles. 11 faut noter que la flottille des sardiniers dakarois opérait durant
la campagne "Petite Côte 1" dans la zone Sarène, 25 m ; cette zone est celle
où les plus fortes densités de pélagiques ont été observées.

ERRATA ARCHIVE
136
FEV. 85
Page 8
i .--_-LI__-
-
-
-
Dakax total
9 900
15 200
12 900
-
-
O-25 m
4 400
4 200
4 300
-_--
-1-
-
-
26-75 m
2 600
7 600
5 400
76-250 m
3 500
-------.
..- ~~
Sarène total
111 700
- - -
- - - - - . -
O-25 m
17 700
j 76-250 m
I
16 400
I
3 400
12 300
__~_----
---.
ii--m---?-
Saloum total
44 700
17 000
---
34 500 -7
O-25 m
23 300
6 500
3.7 900
--~--
---_-
26-75 m
8 700
7 400
8 000
____ .-.--
-
-
-
76-250 m
12 700
3 200
8 600
xI_^---
-
TOTAL O-25 m
33 600
- - - l - - - - . -
TOTAL 26-75 m
104 900
86 100
_-- .----
--oc_
TOTAL 76-250 m
10 100
24 300
- - - - - - -
_-...A

9
5 .
C O N C L U S I O N
Faute de moyen d'echantillonnage adapté, il n'a pas été possible d'abor-
der la répartition de cette biomasse par espèce.
Les estimations de biomasse effectuées au cours de cette campagne sont
en légère augmentation par rapport à celles obtenues pour la même zone,
lors de la campagne précédente (mars 1984). Ce fait est à relier à 1' bypo-
thèse de migration des sardinelles adultes, qui à cette époque commencent
leur remontée vers le nord.
Il restedeux points importants toujours non maîtrisés :
- les estimations de l'index de réflexion moyen des poissons sur lequel
reposent les estimations de biomasse restent encore trop imprécises ;
- une grande partie de la biomasse est concentrée à la côte, en des zones
inaccessibles aux nwirec de recherche océanographique et échappe donc tota-
lement aux estimations.
Nous constatons encore que la qualité et la facilité d'utilisation de
l'équipement BIOSONICS, embarqué sur le Laurent Amaro associées à la saisie
en direct et au traitement par ordinateur des données, sont à l'origine de
la réussite de cette campagne qui s'est déroulée sans incident technique.
Soulignons que l'informatique apporte un progrès fondamental dans la commo-
dité et la rapidité du traitement des données.
R E M E R C I E M E N T S
L'ensemble du personnel scientifique embarqué remercie l'équipage du
Laurent Amaro pour la qualité exceptionnelle du travail effectué au cours
de cette mission, et en particulier le Commandant LE BOUILLE qui a assuré
seul 24 heures sur 24 la veille et la navigation durant toute la campagne.

1 L
B I B L I O G R A P H I E
JO&!dNESSON, K.A., and R.B.HiYkW'r" 1983 Fisheries Acoustics. A pract ica.l
manual for aquatic biomass estimation. FAO Fish. Tech. Pap.,
(240) : 249 p.
LEVENEZ et LOPEL, 1982.- desultats de la campagne Echosai 4 du N.O.
Capricorne. Prospection des stocks de poissons pélagiques côtiers
le long des côtes du Sénégal et de la Gambie en saison froide
(11 au 24 février 1982). Archive CRODT no 119-51 pp.
LEVENEZ et LOPEZ, 1983.- Résultats de la campagne Echosar 5 du Laurent
Amaro. Prospection des stocks de poissons pélagiques côtiers le
long des côtes du Sénégal et de la Gambie en saison froide (4 au
17 mars 1983). Archive CRODT no 124 - 45 pp.
LEVENEZ, SAMB et CAMARENA, 1984.- Résultats de la campagne Echosar 6 du
Laurent Amaro. Prospection des stocks de poissons pélagiques cô-
tiers le long des côtes du Sénégal et de la Gambie en saison froi-
de (6 au 24 mars 1984). Sous presse.
LEVENEZ et LIOCHON, 1984.- Programmes informatiques utilisés au CRODT
pour l'acquisition et les traitements des données hydro-acoustiques.
Sous presse.

15
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---.
1 4 .3
14
1 3 . 3
1 3
CHRTE D E TEMPEHHTUHE
Cartes 1 et 2- TEMPERATURES
Deg. C.
15
1 4 . 3
14
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25.5
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CARTES 4 et 5.-BIOMASSES
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