MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL INSTITUT SENEGALAIS...
MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL
INSTITUT SENEGALAIS
CENTREDERECHERCHES
DE
POUR LE DEVELOPPEMENT
RECHERCHES AGRICOLES
INTERNATIONAL
(C.R.D.I.)
PROJET
PLANTATIONS FORESTIERES
SOUS IRRIGATION
DANS LA VALLEE
DU FLEUVE SENEGAL
Réfdrence 3 - P - 88 - 0113
Premier rapport d’étape
Dakar, Septembre 1990
DIRECTION DES RECHERCHES SUR LES ]PRODUCTIONS FORESTIERES

1 ?i T R 0 D U C T 1 0 N
La vallée du fleuve Sénégai S;e trouve très marquée par la
degradation d e
1.a quasi-totalité de :-,‘CCj peuplements de gonakiés qui
constituent
i’essentiel du potentiel ligneus de la r&gion,
sui te aux
longues
années de sécheresse,
a u il~vc~lop~rmrnt. des périmetres hydro-
agricoles et. ,; la surexploitation.
Dans
c e contratci,
l e pro.jt:t “ P l a n t a t i o n s f o r e s t i è r e s s o u s
irri:stion”, initii er: 1980 pour définlr les possibilités de production
1 i gneusë
sous
irri$ation,
a bénéficié d’unr sub\\!~tltior~ du CE.YTRE DE
!?FCHERCHE
2
PÜGR L E ~lEVELOPPEMEXT ttiTERNATIO?&IL (C:RI)1 ) p o u r
développer
i.t‘s recherches, aussi bien en station qu’en milieu paysan.
Si
+,ous l e s e s s a i s prbvus e n station o n t p u 6tre m i s e n
[Jlaçt=
en février 1990,
le volet “recherxhe en mili.eu paysan” devrait
demarrer, à
Ia d e m a n d e d u izilleur de f o n d s , rw,r dps Etudes socio-
r;conomiques pour une aei lleuw appréhrrls ion C!?c; c>rot! lèmes d ’ i.ntbgrat ion
Cie l’arbre dans jes périmètres ;
ce (411 i a pou!- cor~s&~ur~~ce l e dkalage
de 1 ’ ;mplant,at,ion de5 e s s a i s t’n m i l i e u ~::I.ysan.
1.I f a u t r a p p e l e r q u e 1 ‘ob.,i!,ctif global d u p r o j e t e s t d e
;:c;nt,r ibuer
a11 dé1 eloppement de nouvel 1~s patent ial : tes
1 igneuses en
i r*ri “lié
3
; donc .te rendre la vallke rtutosuff isal1t.C FI! bois de chauffe et
dc*
se rv ict: par 1 ’ installation de ijlaILt:tt. ic:i1il i t.1’ i gilht?s d’ eucalyptus
j
h:~ut~ productivité au sein des pGl.irnèt.rrss hytlrwg~~icoles.

VOLET SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
----...---.-..- _---. -.- .._-_ ----..-_.

i - ESSAIS EN STATION
11 - CONDITIONS D’IMPLANTATION DES ESSAIS
11.1 - Aspects climatiques
Le climat se caractérise par :
- une faible pluviométrie (160,2 mm en moyenne de 1979 à 1986 et 309,7
mm en 1988 et 288,3 mm en 1989) ;
- une forte évaporation-bac supérieure à 3600 mm/an ;
- trois saisons très marqutles :
. une saison très chaude et humide de juillet à octobre ;
, une saison froide de novembre à février avec des tempé-
ratures basses nocturnes pouvant descendre jusqu’à 10°C
et des écarts de températures diurnes et
nocturnes de
l’ordre de 15 à 20°C ;
. une saison sèche très chaude, de mars à juin, avec des
maxima de températures dépassant parfois 35°C à l’ombre
11.2 - Aspects pédologiques
Les différents sondages et analyses pedologiques ont montré
;]llr
lt- sol
est peu évolué,
d’apport fluvial avec une hydromorphie
J’ensemble et un Cacriès salin. En surface, on observe des phénomtines de
b;tttsnce dus à la présence des limons i-1. favorisés par une structure de
Sllrf?iick2
f r a g i l e a v e c u n ç presence d e
sodium (destructurant)
qu i
::ccF’11 tue >
sans doute, c e t t e battancr. La fraction grossiére en sranulo-
s$t.rie est pratiquement inbbkistante. Dans les horizons situés de 0,30 i
?,60 m,
!>II observe parfois une certaine fraîcheur,
indice de la prG-
sente d ’ eau.
L’hydrométrie rst Observ&e à ces nivraux quand rlle peu!:
.i’e-rSprimer.
1.e
s o l
est très dur à 1 ‘Gt,at, SS et la teneur en eau à pF
:y-7
tast, de 10,5 % et à pF 2,5 elle r:st. de 21,5 %.
Il p r é s e n t e u n e
certaine
richesse chimique et,
malgré 1 ‘absence de matière organique,
les Montmorillonites
lui confèrent une assez bonne capacité d’échange
(20 A 30 mg/100 g). Le complexe est relativement saturé (50 à 70 X).
11.3 - Production de plants en pépinière et plantation
Il nous &tait possible,
soit de produire les plants à Dakar
YI les transporter par camion .jur,qu’à Podor (500 km),
s o i t a s s u r e r l a
production
sur place à Podor.
La deuxi&me solution,
que no!is
avons
iidoptée p o u r m i n i m i s e r
les risques,
s’est avérée en t’in
de
compte
extremement coût,euse en main-d’oeuvre et en intrants à (*:NS~~ des colrdi-
t ions écologiqut?s t,rès SbVG!rf*S nécrss i t.ant. beaucou;; dt~ nian i pir l:lt ions.

La production de plants &nc a débuté en octobre 1989 et les
plantations
ont Gtt rewlisecs en fG\\.rier 1990.
L e s plantules d ’ e u c a -
lyptus,
issues de semis eff+xtues en germoir,
ont éte repiquées après
3 j
jours dans des gaines en polyéthylene de 25 cm x 12 cm x 8 p rem-
LIlies d e melange c o m p o s e dc) deux t i e r s d e s a b l e ( t e r r e d u D i é r i ) e t
d’un tiers de terw argi leusr f ttarrr du walo) auquel il a été incorporé
un kilogramme d’engrai.s 10-IO-3!2 (?zr’ metre cube de mélange.
Les graines de Prosopis juliflora et de Acacia raddiana
ont
subi
un traitement à l’acide sulfurique concentré ii 96 % qui
consiste
wn
un trempage pendant 15 minutes.
La levée des graines a eu lieu 48
heures apres l e s e m i s avec un tau>: de germination de 93 % qui,
après
quatre jours, a atteint 100 %.
L a p r é p a r a t i o n ;iu
terrain cl’ implantation a concerné le
dessouchage (avec des densités de souches dépassant parfois 4000
pieds/ha),
l a c o n f e c t i o n c!ts c a n a u x e t d . e r i g o l e s d ’ i r r i g a t i o n . L e s
rigoles
ont été confectionnees 9 1’ aide d’une charrue HUARD à une dent
sous-soleuse,
équ i pée
d e :-irux v e r s o i r s symetriyues e t a t t e l é e à u n
tracteur de 70 CV.
La raie d’irrigation confectionnée à une profondeur
de OI13 m pour 0,60 ni de 1 ar$eur ‘11 gueule avec une contenance
d’envi-
ron 50 1 par metre linéaiw. L’irrigation est gravitaire et la rigole
est alimentee par rit-s syphons enterrés débitant en moyenne 1200 litres/
heure.
12 - PRODUCTION LIGNEUSE EN LIAISON AVEC LES APPORTS D’EAU
Dans le cadre de !:ett+ Etude, deus essais ont eté implantés.
12.1 - Etude sur les fréquences d’ irrigation
.
Cette
étude
a
p o u r b u t . d e d é f i n i r
l e s
fréquences
d’ irrigation
permettant de maximaliser ija production ligneuse.
Ainsi,
trois fréquences sont testees, à savoir :
- fréquence 1 : irrigation des arbres tous les
5 j o u r s ;
- fréquence 2 : irrigation des arbres tous les 10 jours ;
- fréquence 3 : irrigation des arbres tous les 13 jours.
La mise en place de tensLomètres ainsi que des tubes d’accès pour sonde
à neutrons va permettre un meilleur suivi des mouvements d’eau.
Cinq mois apres la mise en place de l’essai (mensurations de
j u i l l e t 1990),
l’analyse de la r-ariance, effectuée grâce au logiciel
STATITCF,
ne laisse apparaître aucune différence significative entre
les traitements au seuil de 5 % 1. Les moyennes des hauteurs enregis-
trées par traitement sont les suivantes :
- fréquence 1 : hauteur moyenne = 136,Y.Z cm ;
- frequerkce 2 : h a u t e u r mogenne = 128,52 cm ;
fréquence :3 : hauteur mo!-enne = 122,32 cm.

L’étude du bi Ian hydriyue prt:vue n’a pu encore démarré par
s u i t e d e l a d é f e c t u o s i t é d e l a sonde .9 n e u t r o n s d o n t d i s p o s e l a
DRPF/TSRA. !Vous envisageons donc l’achat d’une sonde de type SOLO.
12.2 - Développement de la ligniculture intensive avec
des apports d’eau limités dans le temps
L ’ o b j e c t i f d e
c:et essai est C!e déterminer
l e s c o n d i t i o n s
permettant
aux arbres d’assurer leur alimentation hydrique à partir de
la nappe phréatique ;
donc de déterminer la durée d’application de
l ’ i r r i g a t i o n . A l ’ o r i g i n e , 1.e dispositif espéri.mental en blocs complets
randomisés devrait. comporter quatre traitements qui sont :
- Tl : temps d’application de 1’ irrigation :
6 mois ;
- T2 : temps d’application de l’irrigation : 12 mois ;
- l-3 : temps d’application de l’irrigation : 18 mois ;
- T4 : témoin irrigué en permanence des apports d’ eau
hebdomadaires.
Les graves perturbations dans l’alimentation en eau de la station après
la mise en place de l’essai en fevrier 1990, nous ont poussé a modifier
le dispositif en supprimant le traitement Tl.
Une première mensuration sur la hauteur a été réalisée cinq
mois après la mise en place. Le premier sevrage interviendra en février
1991 et sera accompagné de la mise en place de tensiométres et de tubes
d’accks pour sonde à neutrons, de manilre à suivre les mouvements d’eau
dans le sol et de réaliser nn bilan hydrique.
13 - ELABORATION DE REGLES SYYICOLES POUR LA GESTION
DES PEUPLEMENTS EN IRRIGUE
13.1 - Essai “écartement”(densité
de plantation)
Les besoins
en bois de service dans la
v a l l é e d u f l e u v e
Sénégal
sont énormes et la production de perches demeure une opération
r e n t a b l e e t
correspondant à un
march4
potentiel.
Cette
importante
opération doit être développee en milieu paysan, d’où la nécessite de
définir les densitk permettant,
à court. terme, d’obtenir une gamme de
perches.
Dans cette optique,
nOilS aVOT1S teSté trois &.XWtt?DEntS
par
l e d i s p o s i t i f d e MARYNE?i q u i p e r m e t , s u r u n e s u p e r f i c i e r é d u i t e , d e
tester à partir de ces trois traitements et de leurs combinaisons six
densités de plantation & la fois (cf. schéma d’implantation). Le suivi
de l’essai se poursuit.
13.2 - Incidence de l’éclaircie sur le développement
diamétral des arbres
A parlir
d’une densité cie i)lantAtio!i
de 3000 plants/ha,
n o t r e o b j e c t i f
est de tester l’influent-*r d’un programme
d ’ é c l a i r c i e s
s u r l e d é v e l o p p e m e n t , diametral d e s :irl-rres s e l o n 3 t,raitements + 1
témoin :

- Tl : éclaircie systématique t arbre sur 3 & 12 mois ;
- T2 : éclaircie systkmatique 1 arbre sur 3 à 18 mois ;
- T3 : éclaircie systématique 1 arbre sur 3 à 2-1 mois ;
- Témoin : densit6 maintenue à 5000 plants/ha.
L’implantation de l’essai a ét6 réalisée en février 1990 et,
après
trois mois de végétation,
la hauteur moyenne des arbres dépasse
deux mètres. La première éclaircie est prkue en février 1991.
2 - PROGRAMME DE RECHERCHES EN MILIEU PAYS&
Ce volet correspond à une nécessité d’une mise en valeur
intégrée des aménagements hydroagricoles. L’approvisionnement en bois &
usage
domestique des populations
a g r i c o l e s d e l a v a l l é e p a r d e s
plantations irriguées peut être assuré par :
- une
production de bois obtenue en utilisant au mieux les
abords des zones consacrées à l’agriculture ;
- d e s p l a n t a t i o n s l i n é a i r e s
sous forme de bandes boisées
autour des périmètres hydroagricoles ;
- des parcelles de ligniculture intensive,
Les recherches forestières dans la régicn ont été focalisées sur les
aspects techniques et parfois konomiques.
Les coctraintes sociologi-
q 11 es
pouvant cwstituer des obstacles à l’intégration de l’arbre dans
les périmètres irriguks ont été le plus SOUVent négligkes. De ce fait,
SUI’
recommandations du bailleur de fonds,
il a été décidé avant tout
implantation d’essai -en milieu paysan, d’&t:udier les aspects sociologi-
:lues et socio-économiques de l’intégration de l’arbre dans le dévelop-
pement de la culture irriguée dans la val Iée du fleuve Sénégal.
Beaucoup de difficultés ont dt,é i~encontrées dans la défini-
tion
et la mise en oeuvre du programme tif recherche,
car
nécessitant
une bonne coordination des actions et, le recrutement, par 1’ISRA d’un
sociologue
en mai 1990 a permis d’élaborer un plan de recherche et un
~JlaMIiIlg
d e t,ravail (voir en annexe) sur sis mois
(*juillet 1 9 9 0 à
janvier 1991) après de multiples rencontres.
Les
trois périmètres villageois identifiés pour conduire ce
programme sont : PENDAO 1 (30 ha), KAGNOIIJE ( 30 ha) et NIAND.4NE (20 ha).
21 - PLAN DE RECHERCHE SUR LES ASPECTS SOCIOLOGIQUES ET
SOCIO-ECONOMIQUES DE L’INTEGRATION DE L’ARBRE DANS
LES PERIMETRES IRRIGUES
21.1 - Acquis et connaissances
Les
:w.zherches forest.ières dans la r+qi.on ont païticulière-
ment
éta ient focalisés sur les asêcts t2chniyues.
On d istingue deux
demarches differentes :

- l a p r e m i è r e a
trait à 1’ inventaire des peuplements de
gonakiés. Elle met l’accent sur le recul d:.~ couvert végétal
et sur la détérioration des forets classées. Elle aboutit à
d e s p r o p o s i t i o n s d ’ a c t i o n s d e regénération à t r a v e r s d e s
programmes d’aménagement et/ou de protection/conservation ;
- la seconde démarche se wfère aux conséquences sur les
formations
naturelles des barrages
e t d e l ’ i r r i g a t i o n .
E l l e m e t l ’ a c c e n t s u r l e d é f i c i t c r o i s s a n t e n p r o d u i t s
d’origine
forestière.
L e s p r o p o s i t i o n s c o n c e r n e n t l a
production
sylvicole irriguée,
1’ i n t é g r a t i o n d e l ’ a r b r e
dans les périmètres irrigués rizicoles ou le développement
cl? p4rimètres specialement orientés vers l’arboriculture.
Ces !-lt,ud(+s sont principalement réalisées par des forestiers qui mettent
surtout l’accent sur les aspects techniques et économiques.
On note de
vagues
Gférences aux contraintes sociologiques.
En 1’ absence d’ une
c l a i r e
identification
et d’uiiè analyse
approfondie,
ce1 les-ci
sont
situ6es au niveau psychologique (mentalité),
d’ail des recommandations
limitées à la “sensibilisation” et la démonstration par des modèles,
Les obstacles à l’intégration sont posés en termes de moti-
vation et non d’ad&quation aT<ec: des systèmes de production, de besoins,
d’ adequation
avec la politique de production céréalière initiée par la
SAED, etc.
Du côté de la S.AED,
on ne trouve aucune référence à la
production sylvicole,
aucune 6Valuat.icJIi des programmes d’ introduction
de
: ’ arbre
dans l e s périm&tres ( b r i s e - v e n t , etc).
P o u r l a MED,
1’ introduc t. icn des brise-vent r&pond
essen-
t, i ta 1 1 amen t
à 1 ‘vb.j,ectif d’assurer les récoltes annuelles
c o n t r e l e s
risques de .&cheresse,
de vents, etc. 11 fallait donc se protéger et au
meilleur camp-te,
d’où le chois des plan.tes et des techniques. Elle ne
s ’ e s t
d o n c p a s pr&occup& d u b i l a n Economique e t f i n a n c i e r d e l e u r
,
preserice.
Les principales contraintes sou: ignées de part et d’aut,re
sont, : la crainte d’attrait des oiseaux, !a tliff icultb d’arroser conve-
nablement les arbres en simple culturr,
les coûts de protection contre
la tlivaga-tien des animaux.
Sur le plan techrl ique,
1:a Stat. ion de Recherche de iiianga a
mis
a u p o i n t
un paquet de réf6rerlt i ~11 s t.whniclue
s u r l e s s y s t è m e s
d’irrigation (mode d’application, doses, fr+quence d’ irrigation, etc. ),
les choix des essences, les techniques de plantation et de conduite
(Gcartements,
f e r t i l i s a t i o n ) , l e s e f f e t s d e s b r i s e - v e n t . L e s o b j e c t i f s
du programme de la Station etaient de proposer une sylviculture adaptée
aux
esp&ces au mi 1 ieu et 811s objectifs des exploi tant.s.
C’est
sur CF‘ der1t;t.r aspect que la Station
veut
effectuer
des recherches
pour organise!. Le transfert, des acquis
techniques en
milieu paysan -t. mieux ilabowi~
t PC; tt+nws de recherche en station,

21.2 - Méthodologie
Sur
le plan de ta condui tc i ’ une recherche cour 1,~s
%fJects
SOT iol.ogj ques
et socio-économiques dt. ! a sylv i cul turc i rrigu&,
on ne
dispose d’aucun acquis
m6thotlologir~ut~ d a n s !:I z o n e , En t e r m e s dc
methodologie de
t r a n s f e r t . d e s résuI.?:l!.s d e l a rccherclle erl milien
p a y s a n , i l
s’agira de syst.Cmatiser le,. expéric~nces des divers projets
(OFADEC, POLE VERT, PREMINA, etc) .
21.3 - Les ob-iectifs de recherche
L.ii
recherche
Sel-El
structurée
autoui, d e
t r o i s
études :
exploitation agricole, organisation pa.vsa,nne et filière du bois.
11.31 - Exploitation agricole
Trois étapes sont prévues :
a ) - Ta.ologje d e s edoitatiow : elle se fera en fonction des
v a r i a b l e s :
type
d’ aménagement ( PI\\; ) .
actAivités de produtrtion d e s
m e m b r e s d e l ’ e x p l o i t a t i o n , ressourceo foncieres, r e s s o u r c e s f i n a n -
cières,
main d’oeuvre, bila11 cérealier. groupe statutaire ;
b) - Suivi et bilan :
chaque ty[Jt? s e r a Suivi 1JCJUr indi:lurr iéS
ressources,
les contraintes au niveau de l’exploit.atien :
i t. inérai res
techniques,
stratégies familiales de gtlstion d e s wssources, e?.c ;
c) - Analyse des onnortunités&i.-vestissemen-L.
eu sylviculture et
sous quelles formes pour chaque type ‘en fonction des résultats de
suivi.
21.32 - Organisation paysanne
Compte tenu du poids des organisations paysannes en culture
i r r i g u é e d a n s l e s p r i s e s d e d é c i s i o n d e s e x p l o i t a t i o n s a g r i c o l e s ,
l’étude de cet aspect se fera à partir de deux axes :
a) - Typologie des organisations psy-annes en fonction des varia-
b& : statut *juridique, fonctions, taille, types d’aménagement gérés ;
b) - Décisions : quelles décisions relèvent des 0.P o u d e s es-
ploitations 3
Par exemple, la décision de planter des arbres et de les
protéger peut-elle
relever de décisions individuelles
sans
veto
de
1’O.P ?
21.33 - F i l i è r e s
Ueux
filieres sont intéressantes t. reconstituer pour situer
les points forts et les points faibles :
a) - Filiere du bois d’oeuvre : il s’agira de remonter le circuit
depuis
un consommateur (menuisier) d’une ville (Saint-Louis,
Richard-
Toll, Dagana) à la source en insistant sur la structure des prix et les
critères d’appreciation des acheteurs ;
8

b) - Filière des fruits et de service
_ - ^__.. --_- :
il s’agira d’analyser la
st ructure du marché en fonction des saisons,
remonter la filière et
reconstituer la structure des prix. Il sera choisi un cas de fruit déjà
cultivé (banane
ou mangue) et un cas non introduit ou
n o n développ6
mais ayant un potentiel (anacardier 1.
Etudes sociologiques.
Etudes socio-économiques
f
t
!
1
I
I
1
I
I
1
I
I
l
I
I
I
t
I
----------------
--------------
------------------------
Exploitation
Organisation
F i l i è r e s
agricoles
paysanne
1
I
I
I
(or))
I
----------

-----------
I
Bois
i
Fruits
d ’ o e u v r e 1
__------- II
Typolozit; 1
Typologie
Dtkisions
I
------------
Bois de
------- t
service et
Suivi
I
de chauffe
I
t
I
I
1
I
I
-------------
Analyse
opportunités
d’ investis-
sements
SCHEMA : AXES DE RECHERCHES
Y

22 - METHODOLOGIE
22.1 - Exploitations agricoles!
P o u r realiser l a t y p o l o g i e d e s e x p l o i t a t i o n s a g r i c o l e s e t
également des OP, il sera exploite les données recueillies du projet de
Gestion de l’eau de 1’ADRAO pendant deux annees de suivi.
Le suivi des
exploitations retenues sera rtjalise durant trois mois par l’associé de
recherche,
sous
l e c o n t r ô l e d u c h e r c h e u r p r i n c i p a l . L ’ o p p o r t u n i t é
d’avoir l’appui d’un observateur expérimenté est 5 envisager.
La saisie informatique des données se fera en fonction des
r é s u l t a t s p o u r f a c i l i t e r l ’ a n a l y s e ( l o g i c i e l LISA). D e s r é u n i o n s d e
restitution au niveau individuel d’abord,
ensuite collectif (organisa-
tion) permettront de compléter l’analyse des opportunités d’investisse-
ments de la part des exploit,ations-t,ypes
en sylviculture irrigué.
22.2 - Organisation paysanne
C ’ e s t à t r a v e r s p l u s i e u r s r é u n i o n s e t d i s c u s s i o n s i n f o r -
melles avec les responsable s et adhérents que seront recueillies
l e s
informations
s u r l e foncticznement d e s O P e t l e s i n c i d e n c e s s u r l e s
décisions conservant l’intégration de l’arbre dans les périmètres irri-
g u é s l
22.3 - F i l i è r e
I l s ’ a g i r a d ’ u n e wquête :rt p a r t i r d’u11
questionnaire
,
structure en fonction de la i’rlière. Elle sera completée par des dis-
CUSSiOUS illfOrnle~leS ]Jour SairiiK’
l e s $léments q u a l i t a t i f s .
L’exploita-
t. ion
de ces données devra perwttre de faire des comptes d’exploita-
t.i0ns pr&isionnéls par produil , par p o s t e e t glotalement.
Le chercheur peut &re amené à prendre ponctuellement des
enquêteurs pour accélérer la wl l.ecte cles donnies.
OI-L t ravai 1 lera
en
citroite collaboration avec la rhambrt? (les métiers de Saint-Louis.
22.4 - Animation
Les réunions de rrsti.tut-,ic>rl,
aussi hicn au niveau des pro-
j e t s ( d e
recherche
e t d’e?.kution) 14u’au niveau des organisations
paysannes,
seront la trame de fond de la méthodologie,
De toute évi-
dence, peu d’informations disponibles sur les questions soulevées indi-
que la nécessite d’attacher plus d’importance aux aspects qualitatifs,
sans lesquels d’ailleurs une analyse des données quantitatives sera
très insuffisante et de peu d’~itilités.
23 - PLAN DE TRAVAIL
L’éqtiiIJe

St!f‘CL
tiiri+
par un chercheur principal, sociologue
environnementaliste, d’un a~,+(, .i6 de wcherche économiste et d’observa-
teurs
e t enqueteurs :~ni intt ix.j !wlro~~t, de manière ponctuelle.
Pour le
trai tement
inf~JrnL%ti~~ll~~,
ic. ,~hrrr~hrur principal s e r a p o n c t u e l l e m e n t
assjsth (I'uIie' i)p&ratyii:? dr 'Lkisif-'ci.

_____-________--_---------------~--------~-----.------------------------
A c t i v i t é s
J u i l , A o û t S e p t , O c t . N o v . D é c , J a n v .
_-__-----__------------------ - - - - - e-e-- -m-w- - - - - - --_-- --___ _-___
Réunions : Projets, SAED, . . .
x
x
x
X
______--___------------------
- - - - - e-v-- - - - - - -_--- - - - - - _-___ _ _ _ _ _
Réunions 0. P.
X
x
x
x
--_-----------------_____I___
- - - - - - - - - - - - - - - -__-- --__- _-___ _ _ _ _ _
Typologie exploitation
x
X
_-___----_-_----------------- -w--- - - - - - --w-e - - - - - -__--- ---_- _ _ _ _ _
Suivi espl.oitation
x
‘i
\\
.,
_-___---------------I________ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - --.--- ---_- _ _ _ _ _
Analyse opportun. investis.
s
h
_.
h
I-__-------------------------
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - --__- ----_
Typologie 0. P.
s
x
______---__----I-------------
--.--- - - - - - - - - - - - - - - - --.--- ---__ --___
Enquêtes, décisions 0. P.
s
x
x
_____------------------------ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - --e-w - - - - - ---_-
F i l i è r e
x
x
x
,
_I_____-_____--__------------ - - - - - _---- - - - - - - - - - - -___-- ---__ _--__
Saisie exploitation et ana-
s
X
x
s
s
s
X
lyse des données - Rédaction
-___-_-~~-_---^~_--~~~--~~~~~~~~~~~~-~~~~~~----~~-------~~----~~~~~~~~~
24 - CONCLUSION
Après un an d’acitivités avec des difficultés diverses, le
programme
semble bien lancé malgré le retard accusé dans les
actions
programmées en milieu paysan.
Ce retard est imputable aux difficultés
de trouver un sociologue susceptible de mener à bien lti travail défini
e t a u x d i f f i c u l t é s d e c o o r d i n a t i o n e n t r e l e s d i f f é r e n t e s s t r u c t u r e s
i m p l i q u é e s d a n s l a m i s e e n v a l e u r e t
l a g e s t i o n d e s p é r i m è t r e s
irrigués.
Il faut aussi mentionner qu’en station, beaucoup de pro-
blèmes d’alimentation en eau ont surgi,
nous imposant beaucoup de
restrictions dans notre programme. Aussi, il est envisagé, avec l’appui
de la SAED,
de rendre la Station expérimentale autonome pour son ali-
mentation en eau,.
en implantant un système d’exhaure (retrocédé par la
SAED) directement branchée sur le marigot MUE. Cela est d’autant, plus
nécessaire
qu’avec le désengagement de la SAED,
la gestion de la sta-
tion de pompage est confiée aux Groupements de paysans qui nous fac-
turent le mètre-cube d’eau à 8 francs CFA.

VOLET ADMINISTRATIF ET FINANCIER

1 - ASPECT ADMINISTRATIF
Après la période d’essai de trois mois, quatre irrigateurs,
un pompiste,
un chauffeur et un gardien ont été engagés par le Projet~.
L’ingénieur des travaux des eaux et f Jr&ts, qui secondait le chef du
p r o j e t . , a é t é r e m i s à sa demande ;i cion service d’origine
neuf mois
après le demarrage du Projet.
Pour le travaux de pépini.ere et de suivi, un pépinièriste de
la DRPF/ISRA basé à Dakar et un observateur de la Station DRPF/ISRA de
Thiénaba ont,
pendant deux mois,
apporté leur appui au
P r o j e t . E n
juillet 1990,
un observateur nous a été affecté,
L’effectif actuel du
personnel du projet est le suivant- :
1. Xbdourahmatle TAMBA,
Chercheur/Chef du Pro.jet
2. $4 1 i~~utle SAUR’
Observateur
3. Abdoulaye Racine HANNE,
Pompiste/Chef d’équipe
1, ?tamadou NDONGO,
Irrigateur
6 Salif DIALLO,
Y.
,t
II
6. Ibrahima Racine HANNE
7. Amadou Xbdoulaye SOW,
,I
8. Cheikhna TAMBA,
Chauffeur
9. Idrissa FALL,
Gardien.
Il faut souligner qu’en plus le Projet benCficie de l’appui
ponctuel de 1 ‘équipe
DRSAEA/ISRA basée a Saint-Louis (hydraulique,
sociologie,
agronomie).
Un économiste de l’Institut des Sciences de:
l’Environnement de Dakar participera pendant trois mois (de septembre B
novembre)
aux
enquêtes
socio-konomiques en milieu
p a y s a n s o u s i a
supervision du sociologue de 1’ISRA et du Chef du projet.
11 - DEPLACEMENTS ET MISSIONS A L’ETRANGER
Aucune
activité n’est à noter à ce
niveau.
Cependant,
ii
serait
intéressant,
avant le démarrage des études sur les brise-vent.
de voir ce qui a été fait dans ce domaine par d’autres pays comme 1~.
Tunisie beaucoup plus en avance sur ces probl.èmes.
12 - CONCLUSION - PERSPECTIVES
Le départ du pédologue de la DRPF/ISR,LI va bouleverser 1~
programme en ce qui concerne les études de bilan hydrique. Des contacts
ont été établis pour bénéficier d’appui ponctuel.
2 - ANALYSE FINANCIERE GLOBALE
Conformément
au Protocole d’accord du Projet
“Plantations
forestières sous irrigation”, le prksent rapport est destiné à faire 1~:
point
sur la situation d’exécution financière dudit projet au terme de
la première année d’activités.
Il comprend 1 ‘état. des dépenses réa1 i-
sées
ainsi que l’explication des karts enregistres durant la période
d e rkférence, les prévisions de dépenses pour la deuxième année, le
163umtT
des versements,
la s i t u a t i o n de l a tresorit- a i n s i q u e l’éta?
financier concernant la cont.ribution de 1’ISRA.

21 - ANALYSE GLOBALE FINANCIERE
Le budget prévu pour ia premiere année s'élève 16 T94 wo
francs CFA,
Le montant des dépenses réalisées au terme de la première
année
s'éleve it 14 321 986 francs CFA,
soit un taux de réalisation de
85,9 %. Cependant, certaines rubi,iqucs accusent un dépassement notoire,
surt,out celles de la "main d'oeuvre temporaire" et du
"fonctionnement.
c
de la motopompe". Il apparaît aussi sur l'État d'exécution financière
que certaines
rubriques ont, fait l'objet, de réalisations
faibles ou
nulles,
notamment
Iles l.ignes "analyses pedologiques" et "mat,ériel de
bureau".
ETAT FINANCIER
Période du 8 août 1989 au 8 septembre 1990
_________-----_--_-----------------------------------------------------
Budget
Réa1 isation
Prévisions
lère année l?!re année
Ecarts
2ème annee
_______-_--------------
----------- ----e--w-- --------L-- ------------
Salaires d'allocations
Personnel de soutien
3 064 000
2 Yfi5 532- t 108 468
4 250 000
---_-----
---------
----------
--------_-
Totaux
3 064 000
2 955 532
t 100 468
4 250 000
Frais de recherche
Main d'oeuvre temp,
3 204 000
4 586 809
-1 382 809
700 000
Matériels techn. div.
1 880 000
1 969 012
-
8 9 012
500 000
Clôture
800 000
998 000
-
198 000
Analyses pédologiques
300 000
t 400 000
100 000
Location de tracteur
230 000
93 000
t
135 000
Fonctionnement/entret.
véhicules et mobylette
1 210 000
1 308 382
-
98 382
900 000
Fonctionnement motopompe 437 000
981 740
-
544 740
800 000
Matériel de bureau
900 000
+
500 000
------m-w -I--__-_-_
----e-e---
-----e-__
Totaux
8 661 000
9 938 943
-1 277 943
Déplacements locaux
869 000
752 489
t 116 511
900 000
Publications
12 350
12 350
33 000
Eauinements
Véhicule
3 500 ooo*
-
t3 500 000
Motocyclette
700 000
762 672
62 672
----v-----
---------
------____
-------__
Totaux
4 200 000
762 672
3 437 328
----_------------------
----------
___~_____
------m__-
-----_-__
TOTAUX GENERAUX
16 794 000
14 121 986
-2 372 014
8 183 000
_____-__-__------------------------------------
.-------------------_____
1 -1

21.1 - Les dépassements
Les dépassements se situent au n.iveau de la rubriyue
FKAI S
DE RECHERCHE.
Deux faits
expliquent. ie dépassement sur
la 1 igne “main
d’oeuvre temporaire” :
- l e s s a l a i r e s d e s irrigateurs, du gardien et du chauffeur
engagés par la période legal~~ d’essai (trois mois) ont, éte
imputés
à cette rubrique ;
- l e s f r a i s d e product,i.on de ;jltti:t s ainsi que ceux de prépa-
r a t i o n d u t e r r a i n o n t Lar~emenl dépassk n o s p r é v i s i o n s .
Aussi,
l e p l a n t s s o r t i s de la pc:pinière ont. c o û t e p l u s d e
1 3 0 F C F A l’unite, :wiît
correcpondant a c e l u i d u p l a n t
planté.
Les frais de d!bssouchagt= se sont avéres coûteux à
cause
d e l a f o r t e densit; (le s o u c h e s (4000 pieds/ha), c a r
le s i t e u t i l i s é p o u r 1’ i m p l a n t a t i o n dru e s s a i s a ét6
récupér6 sur un essai arrivé à t.crme.
L e depassemenl s u r l a 1 ignt, *‘matérié technique divers” est
en liaison avt’c les problèmes que IIOUJ avons ren-antres dans
l a p r o -
d u c t i o n d e p l a n t s ,
problèmes imputables aux conditions écologiques
s é v è r e s d e l a zone pour (les plantules d’Euca,lyptus,
-
-
ce qui a nécessitk
le renforcement des ombrières et de 1.a protection:
de la pépinière.
Le depassement sur la ligne “‘clôture” est dû à l’augmenta-
tion des coûts du matkriel survenu entre l’élaboration du projet et le
début de son exécution qui a duré deux ans.
Quant à
l a l i g n e “Fonctic)nnement d e l a m o t o p o m p e ” , l e
dépassement est
imputable à la dépendance vis-a-vis de la SAED de ia
Station Expérimentale qui assure le pompage de l’eau pour alimenter le
module de la Station à partir duquel une pompe de reprise permet
d’assurer l’irrigation de l’essai.
La station as-ait toujours bénéficié
gratuitement de ce système mais,
depuis 1989,
l ’ e a u u t i l i s é e e s t f a c -
turée par la SAED pour la contribution aux frais de fonctionnment de la
Station de pompage qui aliment,c le modiiie de la Station forestikre.
En 1990,
la gestion du systkmv d’eshaure a. été rétrockdee
aux paysans, suite aux désengagements de la SAED et le mètre-cube d’eau
pompé nous est facturé à 8 fCFA ; ce qui rend imperieux la nécessité de
rendre la station forestière autonome sur le plan de son alimentation
en
eau
e
n
iK1Sta.l I.&nt Un grcJ?lpe rfIOt,OpWII~Je d~.reCt.enK?Ilt SUr
l e m a r i g o t
DCXE.
Le depassement. de la rubriynt- “Publication” est dû à l’achat
de revues scienti f iques.

21.2 - Les faibles réalisations
a) - Salaires et allocations : au cihwragé du pro.jet I
!es !‘rais d e
personnel recruté durant la +rjode d’essai ont Gté imputés 3 Ill
1 iprtcx
“main d’oeuvre temporaire” ;
b) - Analyses pédologiques : e l l e s d e v r a i e n t ê t r e f a i t e s cur lez slte-
expérimentales en milieu paysan. L’ implantation des essais devrai t. tst re
précédée d’enquetes socio-économiques, !:e qu.i est à i’oriqiike du wt.:-ircl
dans l’exécution des analyses ;
Cl - Location de tracteur :
J.v projet a pu bénéficier ~II.!
!
’ :11J1)\\1 !
iii*
certains
projets forestiers de Podor pour le prêt d’un tracteur. L!*S
frais d’uti 1 isation (conducteur et carburalIt) etaient à ! a charge du
Projet.
Cependant, pour la t$alisatiotl des canaux prinçipau:< cl’ irri<n-
tien,
nous avons dû recourir à la l~,c;~t.ion d’un grader AU niveau de ia
SAED,
d f - M a t é r i e l d e b u r e a u :
1 t’ rnntkri~~l de hureau a
’e t t;
four~!-l i
p:iI-
l.‘ISRA, c e q u i ex~Jliqil(;’ qui :?ette 1 igrw !i’ait pas f a i t : l’oh,~c~t. d e
dépenses.
1 r;


ETAT FINANCIER DE LA COXTRIBUTION DE L'ISRA
_ __._.. - .- -. -- .~ -.
. . --.._. -
- _... - _
- _ _ .--.
_.
B:.,.io;et
!ttkI isat. ions
tcarts
PI*~*~v i c: i cl-15
Rubriques
.
!C?l“- 'i li I 1 :Y 1--
1irr anniy
__-_------------------
---------- ------------ --------- -------___
,
Salaires et Allocations
. Techniciens SulJ.
1
1
if)
ow
900 000
t 240 0
0
0
-
. Autre personnel
t;dc? OfJO
800 000
1 300 000
Fonctionnement divers
* ?latériel de bureau
300 000
- 3 0 0 000
TOTAUX
5 630 000
5 000 000
t 630 000 4 700 000

RESUME DES VERSEMENTS
SITUATIOPU’ DE LA TRESORERIE
Montants
Dates
$ Glnadiens
F.CFA
30 août 1989
‘ii; 000
12 !98 36:
3G mai 1990
13 8110
j 236 il,;8
----.--------
--...--------_
TOTAL
GO 800
15 735 210
---------.---__-_-.-l-.~
__________
-----.--__.- -______
SITUATION DE LA TRx;ORERIE
Arréti l e
1J&St?nt. état à la
SOmIIit?
d
e
L!%
:
MILLION TROIS CENT
TREIZE MILLE DEUX CENT VINGT QUATRE FRANCS CFA.-

.
5 lignes de bordure
P
6 X 10
5 lignes+
C-5 lignes-)
.
neutres
arbres à
mesurer
~
I_
5 lignes de bordure
Canal d'irrigation
Schéma du dispositif d'étude de 12 ligniculture intensive avec des apportxd'eau limités

X
X
X
X
x
X
X
X
xxxxxxxxxx
X
x
X
x
x
X
X
x
xxxxxxxxxx

m l-. c-l
w