INSTITUT SENEGALAIS lx --- RECXERCHES ...
INSTITUT SENEGALAIS
lx
---
RECXERCHES AGRICOLES
CENTRE NATIONAL IX RECHERCHES FORESTIERES
_---
RECHERCHES D'ACCCMPAGNEMZNT AU PROJET
IXS FORETS PERIURPAINES
VOLET : AGROSYLVICULTURE
LE 30 OCTOBRE 1981
Par
IBRAHIMA DIAITE

t
INSTITUT SENEGALAIS
Ix
RFKHERCHES AGRICOLES
CENT= NATIONAL IX REXHERCHES FORESTIERES
RECHERCHES D’ACCCMPAGNEMDT
AU PROJET
IXS FORETS FERIURBAINES
lx ENWIA
Volet : AGROSY LV 1 CULTURE
I- INTRODLJCTION :
Parmi les opérations de recherches d’accanpagnenent prévues
. .
dans Ic (:~N!IY: du I)rojcl al~tonfw! cio rcboi scwonl do la forêt tic: Ilandia,
figure sous le titre Réduction des Goûts : les recherches sur l’associa-
tion agrosylvicole au sein de plantations industrielles. Cette opération
est une solution au problime des entretiens.
Il vaut mieux réaliser une culture agricole quitte à ce qu’elle
concurrence les pruniers tanps la plantation, plutôt que de laisser le
tapis herbacé pcmper l’eau sans bénéfice
pour personne. L’agrosylvicul-
ture cherche à cerner les limi les de réalisation de cette association
J
en fonction de deux écartcrncnLs retenus par notre protocole à savoir:
7m x 3n et !3n x 3n dans tous 10s cas.
II - LES OE!JECTIFS :
Il s’agit en fait de canparaison des croissances entre planta-
tions entretenues selon les méthodes courantes et plantations associées à
des cultures agricoles ou fourragères ; de détermination de la durée
possible de l’association et do la rotation des cultures.
D’étudier l’intérêt suscité chez les paysans par une telle association;
e t d c faire un bilan matitirc: OI financier de l’association pour chaque
partie.
. . ./ . . .

1 II - CHOIX lX TERRAIN :
Il n’a pas été facile de ,repérer dans l’ensemble des bandes de
terrain déjà préparées par le PARFOB, un qui réponde à la fois aux trois
cultures mil, arachide, niébé et convenir parfaitement à 1’Eucalyptus
canaldulensis 8411 uniquuncn t plante dans cet essai.
Le prenier terrain (deck et deck Dior) situé près de la route
Bandia Thiès avant le petit pont a été choisi par ]a., recherche forestière
et confimé par la sui te par des chercheurs agronanes du CNRA de Banbey.
Les différentes cultures citées pour l’essai sont celles pratiquées dans le
terroir de Bandia donc supposées bien connues et appreciées des agricul-
teurs de la zone.
Le terrain choisi est une jachère forestière do très longue
dur&! (minimun 18 ans qui correspond à une rotation) défriché et préparé
mécaniquenent à l’avantage de l’agriculteur contractuel du C.N.R.F.
I V - MzTHowLOC IE
Nous nous sannes appuyés sur’un dispositif expérimental de
quatre blocs ou répétitions ccmprenant chacun 5 traitements par type
d’écartement. Soit dix plots dans une répétition à raison de 5 plots
pour I’écartenent 5 x 3 et 5 plots pour celui de 7 x 3.
Los blocs et les plots sont séparés entre eux par des allAes périmétrales
1 arachide
1
2 mil
1
3 niébé
1
4 + bien entretenu) les 5 traitements se retrouvant au hasard 2 à 2 dans
5 + mal entretenu )
chaque bloc ou répétition.
Le piquetage tient ccmpte de 1 ‘exposition des cultures à la
luniore. Pour cette raison les plots sont orientés d’Ouest en Est avec
toujours la bande des c:ul turcs 7nm et 5rn dans ce sens. Dans tous les cas
d’écartsment, le plot cunprend 8 1 a r b r e s c f schéna ci-aprés :

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- 4 -
.
Notons que l’~?cartrmt:nt de 3n pour les arbres est constant
sur la largeur du dispositif. Mais sur la longueur nous passons de ikn
à 5n1 d’une manière constante.
Les lignes de culture respectent cette orientation et sont placéG
à Im de part et d’autre des arbres pour le mi i et .à 50 on de
part et d’autre des arbres pour l’arachide et le niébé. Les densités sont
de 13 lignes par grand inter-val le et de 9 lignes par petite intervalle
pour l’arachide et le niébé. Le mil se contente volontier de 6 lignes et
de 4 lignes suivant la taille des intervalles.
v - PLUVI0bZTRIE 1981 :
Pendant l’hivernage 1981 à Bandia les pluies se sont étalées
dans la période du 24 Juin 1981 au 3.2 Septembre 1981 avec un cunul de
52O.h suivant tableau ci-aprés :
-STAT I CIY PARFCIB-
!
l
1
-_ _. - -
!
1
!
Total
i
Nll/J~lllI’S
i
!
1
Mois
i du mois
i de pluies i
Répartition dans le mois
1
i
i
-
-
!
!
!
!
!
!
Juin !
44 nrn !
2 jours !
le 24/6 = 22 mn
!
!
!
!
!
le 30/6 = 22 mn
!
!
1
!
,
!
!
!
!
! Le 3/7 = 2.2
le 25/7 = 4,6 !
!
!
!
!
le 4/7 = 12
26/7 = 1 2
!
! Juillet !
51,2 m !
8 jrs
!
14/7 = a,2
27/7 = 1
!
!
!
!
!
2417 = 4,7
30/7 = 6,5 !
-
!
!
!
!
I
!
!
!
!
le 1/8 = 53
le 12/8 = 10,71
!
!
!
!
2/8 = 2
16/8 = 2,7 i
!
Août !
167,7 nm !
12 jrs
!
3/a = 26
20/8 = 10,8!
!
!
!
!
5/8 = 10,6
23/8 = 14,3!
!
!
!
!
27/8 = 10
28/8 = 3 !
!
!
29/8 = a,2
31/8 = 16,5!
!
!
!
!
!
!
!
le 1/9 = 9 mn
le il/9 = 9 mn
! Septembre !
67,7 mn !
5 jrs
!
7/9 = 22,2
12/9 = 6,5 !
!
!
!
!
10/9 = 21
!
IV - RESULTATS PARTIELS :
En cultures agricoles les résultats partiels obtenus sont très loin
de ceux escanptés. Nous en donnons les raisons dans les pages qui suivent,

-5-
Mil - Sur les 8 plots mblavc’!s en mil suivant notre protocole et celui des
-
spécialistes de Banbey, seulunent trois parcelles semblent relever
le défi. La vigueur et l’allure végétatives autorisaient des espoirs.
Malheureusenent les grains des épis ont été la proie des cantha-
rides malgré les traitanents à l’endosulfan ; et des oiseaux.
Arachide - C’est sur elle que nous avons espéré obtenir le meilleur ren-
denent ccmpte tenu de son très bon état végétatif maintenu
. .-
jusqu’à fin Septanbre 81. Très vi te elle a reçu le coût du
manque d’eau et arreté le processus de maturation des gousses.
La fane d’arachide elleinêne s’asséchait de plus en plus. Après
récolte aux dates 15 et 16 Octobre, nous avons fait peser la
production totalc gousse + paille et livrons les rbsultats au
tableau ci -après :
!
!
!
!
!
1’ 0 1 tJ s
!
!
NLImrIOS
!
P A R C E L L E S ;
Code
parcelle !
P e t i t e p a r c e l l e !
!
Ecartenient 7 x 5 ,
Ecartment 5 x 3
,
!
!
!
!
!
1A
!
902 kgs
!
740 kgs
!
!
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!
!
!
1B
!
394 ”
!
602 ”
!
!
!
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!
!
1C
!
573 ”
!
572 ”
!
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!
!
1D
!
608 =
!
375 ”
!
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d
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!
2.477 kgs
!
2.289 kgs
!
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!
!
!
rcms TOTAL
; . . . . . * . . . .
4.766 kgs
!
!
-__. _. -
La faiblesse de poids dans la grande parcelle 1 B par rapport
au poids de la production de la petite parcelle 1 B vient du fait que la
route d’accès aux parcelles PARFOB qui traverse notre essai a fait perdre
un intervalle de production à la grande parcelle 1 B.
Sitôt le battage effectué, la pesée des gousses nous donnera
par déduction le poids de la I’ane d’arachide.
. . . / . . .

-6-
Niébé - C’est la dernier-e culture sur laquelle nos espoir de récoltes ont
été douteux a cause do la levée irrogulière après sanis tardif.
Cependant,
les faibles l)luies toribocs lui ont donné un bon coup
de fouet dans son développanent, très vite il a tapissé convena-
blasent les 3 parcelles dos 4 &Pétitions.
A la floraison et au dobut de fructification il y a eu un trai-
tenent phytosanitaire à l’endosulfan. Après trois séances de
récolte, la production de niébé se présente ainsi qui suit :
!
!
!
!
!
P O I D S
!
!
NLIMZROS
!
!
!
!
!
IXS PARCELLES ;
!
Grande pn IYX: 1 le
,
P e t i t e p a r c e l l e ,
!
1
7 x 3
i
5 x 3
i
-~
~- -
!
!
!
!
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3 A
!
54,500 kgs
!
20,500 kgs
!
!
!
!
!
!
3 B
!
78
Il
!
49
11
!
!
!
!
!
!
3 c
!
4 6 , 2 5 0 ”
!
48
II
!
!
!
!
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!
3D
!
7 7 , 2 5 0 ”
!
3 0 , 5 0 0 ”
!
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2 5 6 ,
kgs
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148
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Kl113s TOTAI, . . * . . . .
404 kgs
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-
-
Ce rendaient aurai t pu ‘être au moins doublé si les animaux
J
n’avaient pas rasé nos parcelles de niébé pendant les congés de Tabaski
(18 vaches en 2 jours). Nous attendons encore la délibération des auto-
rités de la fourrière de la Sous-Préfecture de N’Guekoh.
Arbres - Les mensurations pruili ores se feront mi -Novanbre ou Wcanbre.
E&res et déjà ils présentent un très bon état végétatif avec une
vigueur de développement remarquable. Nous précisons que ces
arbres n’ont jamais eté arrosés ni pendant les pluies ni après
elles. Un traitenent de Dielpoudre leur a été fait au marient de
la plantation pour lutter contre les termites.
Cela nous oblige a faire pour les cultures agricoles associées
(arachide, niébé) une analyse de résidu de pesticide. Nous avons
les échantillons et (;royons pouvoir les faire faire au Laboratoire

-7-
Les autres Labos n’étant pas équipés pour ce genre d’analyse.
VII - CHOIX ES AGRICULTEURS ET LEURS CONTRAINTES DIVERSES
D’entrée de jeux nous avons voulu travailler avec des paysans
autochtones bien installés et ayant une certaine audience dans le terroir
de Bandia.
Ces personnes avec leur capaci to de mobi lisation pourraient
répondre à tous nos appels de travail en Agroforesterie. Ces hunnes sont :
Ibra CISS, Chef de villagc de Bandia responsable de l’arachide,
M’Bayc SECK. Chef de village do Bandia Cissène responsable du mil, et
Have N’GCR/I, Chef de village de N’Thorok NBoutane responsable du niebe.
Ces hannes se sont erlgagés à nous suivant les clauses d’un con-
trat de culture dont lo mnd<?lc est annexe à ce rapport.
Si dans les fo’tincs tout s’accorde parfai tunent, il on ai autre-
ment à la pratique. Oui nos contractuels ont un pouvoir mobilisateur,
oui ils sont du terroir et bien installés. Ils répondent à nos sollicitations
de service tant qu’il n’y a pas de péril ailleurs. Ces hcrrmes sont liés
par le projet maraicher de Ki réne, par les devoirs de Chef de vi llage
doublé des contraintes fznliliales.
En conclusion ces harrnes travaillent bien quand on est présent
et vaquent à d’autres obligations en notre absence. L’agrosylviculture
est une de leurs ultimes preocupations, et non pas la seule et principale
carwo 1 a recherche veut qu’ cl 1~: soi t ,
VIII - ENCA-FZ?A&NT :
L’équipe du C.N.R.F dans I’implantation et la réalisation de
cet essai a utilisé un chercheur en formation et un observateur qui est
basé en mi lieu paysan à Bandi a.
IX - COUT Ilfi: L’OFERATION :
- Pique tage
15.7138
- Clôture
%317.7’71
54.818
- Entretien
35.513
I”“ao46
- Observateur
(40.092
- Chauffeur
19.273

-8-
5.253
- Divers
2.400
-~
575.026
A ce coût 60.000 Frs env3 ron reviennent au bi lan hydrique d’où
le coût provisoire de l’essai ;i ce jour est de 575.026 - 60.000 = 515.026 Frs.
Ce montant ramené à l’hectare d’agrosylviculture revient à 80.472 Frs.
N . B . : Ce chiffre est loin de la réalité car bien des facteurs n’ont pas
été pris en canptc pour des raisons de non disponibi Ii te au munent
de la rédaction de cc rapport prélirninaire.
. ^

C O N C L U S ION
-1-r -: -: -
En guise de conclusion nous dirons simplenent qu’en matière de
relation de travail avec les paysans, il ne faut rien sous estimer. Il
faut gagner le tenps c’est à dire être prêt avant le mcment de l’opéra-
tion, C’est pratiquaent en Jui Ilet que toutes les opérations clées pay-
sannes ont été exécutées. Sauf la partie sylvicole de l’opération nous
avons accusé du retard dans les autres dcmaines d’action (senis du mil,
arachide et niébé). Nos résultats maigres de l’année en sont les reflets.
Le paysan choisi doit être déchargé de toutes contraintes
adninistratives et si possible ses ressources familiales doivent être
basées sur la production éventuelle des essais agrosylvicoles uniquenent.
La facheuse idée de bien travai Iler devant le plus responsable et progran-
mer au t rc chose en son absonw (1s t à éteindre du coeur de chaque cent rat tue1 .
Etant donnC 10s tii ff’i (;II 1 tC$ d ’ ma 1 ysc des rCsi dus (1~: pas t i ci dos
au Sknéga 1, nous préconisons pour le trai tanent des arbres contre les
teYmi tes; l’usage fréquent de produits plus tolérés en agriculture genre
endcsulfan à la place du Dielpoudre HCH.
La vulgarisation rurale enseigne qu’il faut toujours donner au
paysan un exenple pratique des innovations pour espérer recevoir en
retour son adhésion et concours ccmplet, à l’oeuvre de développenent
J
proposé. Le modèle d’agrosylviculture est en pratique pour 1981 au PARFOB.
Espérons que 1982 soit mei lleur 5 tout point de vue et pour les paysans
et pour le C.N.R.F.
Le 30 OCTOBRE 1981
1. DIAITE

CONTRAT lX CUI,TURE
0,
--.
Entre les soussignés :
D’une part
- Le Centre National de Recherches Forestières (C.8.R.F)
BP 2312 - Route des Maristes Parc de Hann DAKAR
Et d’autre part
Il a été convenu ce qui sui t :
Le C.Y.R.F s’engage à donner gratuitenent à M.
un terrain préparé représentant
en forêt
classée de Bandia pour y cultiver du mil, de l’arachide et du niébé.
- dos swiencos on (litan t .i t (‘: rlC:CC!jSRi T‘I: t: L sut f i san te do (I~;I 1 i ti:
- des produits chimiques do traitement des cultures
- du matériel agricole éventuellenent.
En outre, le C.N.R.F se chargera de peser la récolte du
contractuel aussi tôt qu’elle sera disponible.
La production ainsi connue reviendra intégralement au paysan
contractuel,
Par ce contrat de cul turc valable au minirnun trois ans,
partant du
au
198
~.---
.I
Par ai lleurs M
est tenu de respecter les régies ci-après énunérées :
- cultiver les variétés suivant le protocole établi à cet effet
- placer les lignes de cultures Est/Ouest dans les intervalles
de 5m et 7rn à lm de part et d’autre des arbres pour le mil, à
50 cm de part et d’autre des arbres pour l’arachide et le niébé.
- Entretenir les cultures agricoles ainsi que les Eucalyptus.
- Pour le mil : ler binage, 8 jours après semis
Z&ne bi nago 1 15 jours après le ler
autres binages à la daande.
Faire les traitements nécessaires.

- Pour 1 ‘arachide :
ler binage, 10 jours après la levée
2&ne binage, 15 jours après le premier
Autres binages à la demande
Faire les traitements nécessaires.
- Pour le Niébé :
ler binage, 10 jours après le senis
2èn binage, 15 jours après le prenier
Autres binages à la demande
Traiter s’il y a nécessité.
- Apres la recel te i 1 fera posc:r tout son produit par le C.N.J<.F avant
de disposer de sa totalj te.
- Il répondra et exécutera SUI’ le terrain (ou son chmp) aux appels
et ctrnpl&nents de travaux entrw~t dans l’agrosylviculture.
En foi de quoi, le présent contrat est établi pour servir
et valoir ce que de droit ./-
Dakar, le
198
LE C.N.R.F.
Le Paysan Contractuel,
M