- le second intkesse la p8che dans les eaux ...

- le second intkesse la p8che dans les eaux continentalos, ainsi
que la pisciculture*
Si des recherches forestibres ont 4t6 met4e en continuit depuis lu
crhation de ces recherches au S&&a1 en 1965, par wntre les recherches
piscicoles ragot-h plus de programes finan&s depuis 1975.
Globahment, les p~obNnes que rmcontre ce Centre sont
d’ordre financier et humain : financier, car les fore5tier5 sont les
parents pauvres de lw13?A puisqu*on ne leur attribue que 3 % du budget
de
l$Institut ; et humain, ca2 le Centre souffre d’w manqw de
chercheurs persistantp
faute de formation adc5quute.
Pourtunt, nos objectifs de recherches sont tout à fait
essentihls à la fois paur la satisfaction dm bmoins de lu population
du point de we &erg&ique, bois de service, et approvisionnement an
poisson des populations de l’intkieur ; et 6 la fois pour 1’4qwilibre
6cologique de nos r6gions fortement Perturb&es cette dernière d&mtni~,
et qui conditionne pourtant le bien-etre, le niveau de vie et dom lu
fixation des populations.
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- 4~8 a&cu.Iteurs dont l’augmen+ation de la production passe encore le
plus sowent par un u=roissemnt de SU~KXZ cultiv&, d&fri&ent des
zones sujettes 31 l’érosion dont la vocation aurait d0 rester forets de
protectiofl ;
- les forets qui, de très loin, sont les plus productives du &%GgaI.
parcequ*eLhs b&&Ficient de l’eau et de la chaleur, sont 1~s for&
de gonakihs le long du fleuve %négal et les i.hngrovos d@ Casaktance.
Ces for&s risquent de disparaftre d’una part, h caus@ des problhmes
climatiques actuels et# d’autre part, 3 causG des amhagements hydre-
agricoles qui doivent les transformer wt rîzi&r~s,
Ainsi, le rempJ.acement de leur production devru 8tre rhaLis4 par des
plantatians artificielles trh co&euses et incertaines, dont la
reg&Gration naturelle future est difficile ou impossible et cpi
modifie considhrablement le milieu naturel et donc le paysage
traditionnel.
Zi l’on plaque l’ensemble de ces facteurs sur la productivith
nuturelle optimale Cit&e plus hffut, et que l’on met en rapport la
consommation de bois par t@te d’habitant, on peut &tre raisonDab&mant
eUray& non seuhment par les surfaces qui, doivent 8tre exphiths chaque
annhe pour faire face à J.o demande avec des espoirs de rqhckation
naturelle des plus rhduits, mais &alernen+ par un d&GqwiL!.ibre du milieu
naturel dont Xl sera tr&s difficile et tr&s coOteux de renverser la
tendance, m&ne tout facteur contr814.
+ sécber85se natu*elle : 7 à 9 mois hhgiquement secs suivar& les rdgions
+ s&eresse exceptionnelle : plus de 9 mois hcohgiquement secs uvec moins
de !XI $ de quantitd d’eau reçue normalement, avec pour cons6quence une
mortalit&+$s importante des vieux individus. Si, on p&riode plwieuse
normale, h sol ?J hnbey hait mouill sur une hpaissour de 6 m, en 1X%
la profondeur humide allait seulement jusqu’b 80 cm ut, en I?V7 jusqu@à
60 cm :
+ la nappe phrdatique est souvent très profonde et frhqu~~~ent sa& ;

+ la qualit des sols r&.e.er* zU#X fca3St.s eSt pmi 124s phS mkGoCm3S :
- so3.s marginaux impropres à l’agricuItur3
- sol3 salés
- sols lateritiques
- soh caren&s efl phosphore ou en bore
- tr&s gxande h&5ro&n&it6,
b) - Facteurs zoologiques
+ inveaion de sauteriaux et de crickets qui unnellent les arbres ou qui#
au mieux, mungent les feuilles ;
+ invasion de rats (&isodique fort h3umxmment) ;
+ attaques constafltes et tr&s importantes des termites qui d&ruiwnt
les jeunes plants ;
+ abroutissement et pi4tinement des troupwux.
Cl - Facteur-s humains
+ pr6lèvement de bois de chauffe et de service par 1a populution pour
satisfuire leurs besoins. Ebranchage pour leurs animaux ;
+ défrichements à des fins agricoles de terrains bois& dont la suscepti-
bilit4 ZI l’kosion est tr&s importante ;
+ feux de brous3e.
d) - Facteurs financiers
Lu propension que lies sources de financement ont à financer
des projets forestiers (ou des recherches forestières) n’est pas très
élevée cur :
- lleffort est port6 sur 18alimentution hwaine, les retomb&es pour le
pays receveur sont pius immédiates et le pays donateur en retire plus
de prestige ;
- l’accent est surtout mis sur des projet dits “inthgrés” qui peuvent
satisfaire les agriculteurs et, dans une moindre mesure, I.es Gwurs,
mais qui laissent de ~8th les probl&nes des for& privdes de P&at
à vocation ligneuse ;
- les reboisements artificiels en essences locules ne sont pas refitabL3s
si l’on ne regarde que le produit de fin de cycle, ou tout uu moins
leur rentabiLit& n’est suffisante à c8té des risque clAmatiques ou
autres catastrophes encourues pendant la longue pkiode prkédant
l‘exploitation.

fM.hreuswnt, un cah3~~ &2onomique ihtGgraht tous les bkm-
faits d’un peuphment forestier (protection des sok, &juil,ibre naturel.,
production de produits forestiers annexes, fixation des homws, etc..,)
n’a pas encore 6tc$ r6alisx5,
Et pourtunt, malgr& toutes ces difficult6s l’arbre, la for&
est un tGhwr~ vitu1 de I.‘&quilibre naturel, de .I.‘&@,ibre humxk~, de
l’&@libre &onomique. Lorsque l’arbre disparatt, 1’6rosion intervient,
fait disparagtre le sol et chher ~‘ectu, h tapis herbcw6 m =tmde pus
à 1~s suivre et, enfin# c’est l’homme qui est oo0traiht de S’Wi aller.
I”) - L’arbre est une plante perenne dont &a physiologie est
mal connue et dont les organes essentiels prospectent des zones diffici.knent
acceesibles par des moyens techniques classiqtm.
2’) - Les plantations forestiAres $$J.ent les terres pendant tr&s
longtemps si bien que l’on est on perp&uel agrandissement de nos stations
(de 20 21 86 uns ou plus 1.
3O) - Des moyens rr&aniques impcwtcmts sont nécesmires pour
la &forestution, le travail du $01 ainsi que les entretiens,
lp) - Les r&sultuts scientifiques des recherches ne pzuvent
&re fiubles quwapr&s un temps de htence de 4 21 5 ans et les donm!ks L?e
plus int&xsmtes ne sortiront que bien ph tard, alors qw le progrcmme
ne sera plus financé et que la responsabiJ.it& ours chang~$ plusieurs fois
de mains,
. .!os recherchas s’udressent d”abord 21 un mrvice qui est
50)

m
;<
eharc@ de g&rer le domaine de l,‘Etat
3.900.000 hectares de forets
l
. 6&00.000 hectares de terres en friche.
En conséquence, nos calendriers de travaux n’ont pus ?Y se plier aux
contraintes des cukmdriers culturaux des agriculteurs, car nos travaux
sont suppl&mntuires et non pas compMnentaires et que nos dates sor3-t
impératives.

p) ” La liaison recherche-d&veloppement est directe sans
interm6diaire plus ou moins czonfx8lable. Ainsi, les progr& peuvmt 8tre
imédiutement transmis et appliqu6s par Le serviez gestionnaire,
Towtes ces différence5 Pratiq~ues fmt qufune int&jration
pure et simple dans une sbxcture agrico,le n’aPporterait pas d’hcommie
de moyens (humain et ma%kiel) et accentluerai* aw contraire les lourdeurs
administratives et donc nos difficul.tAs financ%!wes,
A - ProbMmes financiers de fonctionnement
Le budget 1977-1973 du C.N.R.F . htait de X3,6 millions, dont
37,750 r$Mions provenaient de la Conven*tion G&xkaJ,e Franco&h$alaise ;
et le budget 1978-1979 se montre ù 46,6 rni.lJ.ions, dant 4-4 mil.lions de la
Convention GMrale. Ce dernier budget repAsente moins de 3 $ du budg&
g&Ara.I de 1*X§RA 1972-1979. Aucun centre p&riphkiqwe & vocation r&$onale,
qu’il soit agricoh5 ou pastoral, n’a un budget aussi fuibJ.e, Glors qwe 162
C.N.R.F. &end ses activiths sur l’ense&& du territoire,
Les salaires du personnel, permanent ne reprkmte que 2 $ des
salaires permanents ERA. 11 est vrai qu’en 1978, il n’y unit qw2 29
personnes aw CJ1.R.F. contre plw de 50 dans le plus petit cwtre r&gionol,.
Les frais de personnel C.&,R.F, reprbwntent 45,s $ de son
budget propre contre 56,s $ dans le budget global WA. Ce qui montre que
par employ6 lo fonctionnement au CNRF est imporhmt.
Enfin, signalons que le budget 1977-197g a 6th ex&x~t~ & plus
de 98 $ et qu’il en sera de m&ne pour 1976/1979 ; ce qwi montre notre
capacith dgabsorption des crhdits qui nous sont affect&, ainsi que
l’efficacit& des petits centres dans la mStrise de leurs budgets.
3 - Problhmes d'investissement
Le bilan d‘entr&? de 1’ISRA faisait &tat au Ier janv&r 1975
d’un fonds de dotation concernant le C.N.R.F. de 3,9 millions contre
416 millions powr l’E%A, ce qui reprhsente moins de 1 5 en fuveur dw
C.N.R&

C’est dire le niveau dlequipemwtt du C&j.R.V. Cortes, depuis
cette date, cies ~nves~~sements ont eu lieu, mais la description des
infrastructures & des &qJipements d.stcmts NS ?97#3 DOW &Q~WI des
progpxmnes mon-trera cy.B t o u t r e s t e @fl6Ore à f a i r e :
+ le p~c~~~~cwtm CWRG3JD ne disposait en IP’C, d’uucun burin, ~4.
cabane, ni d’aucun matSrie sur place ,, Les ph~tatio~~ de ~h~r4 ‘&A.w
ne
disposaient m8me pus d’un gardien et 6’est miracle ~;u*il n’y est
p a s f3u de f@ufiw de brousse depuis I.louverture de aes plantations WI 1571 ;
+ en ce qwi concerne le programme CEi+TRE-W1iST, des bW.ment.s ont Gt&
construits en 1778 sur la Sution de Gandia, et un tracteur a 64x5
obtenu, mais 18ensemble des biens d’&p.Jipement restait encore ù acqu&ir;
+ pour le programme de C2SN~~~~C~, nous disposions en 1%% d’un b&immt
qui ne b&&ficiait pas encore de l*c%6tricith et absoh~mmt vi& de
materiels.
un cher6heur expatri6 y a 6t6 affect& en juillet I?)X & le
personnel qu’il awit ?I su disposition s’.Glevait 6 4. manoeuvras perma-
nents et un Ing&iour des travaux.
i,htons tout de m@me que h Gmsei~ c!'Atinistratiot? de
f é v r i e r 197TI sous la p r o p o s i t i o n d u Qirecteur G&n&A. de l.‘I%%, a
auto&& l~IX@, o pr6lever 10 millions sur son Fonds de r6serve afin
de Aaliser des investissements pour nos stations les plus d4fuvorisks.
C) - Difficult.&s de recrutement du personnel chercheur
Ln juin 1978~ Ie CAR$. ne disposait en tout et pour tout
que d’une &quipe compos& d’un seul cher’cheurV encadr6 par quatre
Inghnieurs des truvaux ou assimil&s (don,t un exputri6 et un en Formation
en France), un Technicien horticole et de trois hg@ntG Techrdcpes des
Eaux & For@ts,
Il% juillet 1%%, un 66mr6hwr mpatrih u ht& affe6tG pour le
progrme Casamance,
Le budget 197&?979 prévoit notwnt le renforcement de
1’6quipe de Casumance par du personnel suppl&mentaire, ainsi d’uilleurs
que pour J,~Gquipe du %ne-Saloum.
Un Ing6nieur provenant de 1'Ecob. bkdionale Forwti&re &
Rabat-SaU devrait 8tre engag courant 1979,
l . . 1 l . .

A - D&finition des grandes prioritbs
L1ensemble de nos recherches carrespond at corres~an&x~ ti
trois ~022s bi,Cn d&Xinis :
1 - satisfuire les besoins de la population en bais de swvicz, bois de
chauffe ou charbon de bais, grace 21 des plantations d’esswws b
croissant rapide (exemple : Eucalyptus) t de fason 2-1 diminwr la
*
presszon exerck% sur lE?S p2U$?RMTtS natur&s 1
% - pzYzkwmJer,
amSliorar, enrichir et perp&u~~~~ les for&s naturelI,es
dont &es vocations sont multiples et varient swivamt las r&$ons
f-f ourragrz ahrien, production gommi&re, bois da chauffe ~?t servicet
bois d’owvre et d’artisanat, rbserve cynGg&tique, conswvution du
sol, &quiMre du miLieu naturel, etc...) i
3 . r&introduire l’arbre dans le paysage agricole du %nGgal par
1‘6tabliswment da brise-vents, de haies vives, de bois de vUage
ou de famille, d’am&wgement de htte contre I’kosion pcs
ruisseU.wwnt et de restauration des sols,

-9 -
. . . / . . .

ssàbili,tés d’uffoxestation
Les recherches sur Aes possibilités d*ufforestation des tarins
et de leurs abords ont pour objet de trouver une ou @simms essences
fmmti+ms susceptibles de .se d&elopper sur des sols qui zm carrxtkisertt
un cara&& hulomo~phe
: pr&ence de Salontchaks
un curactère hydrmrphe : sols inond& 3 mis dans l%mn&e
Une v4&totion naturelle très pcwvee dont le boit3 n’offre guère
de vuleur 6conomique

une absence de poterttialitds agricoles
un întér8t médiocre pour l*&levcgo.
Ces recherches pemettront de freiner la d&adation du milieu
constituer un sel tout en réolisunt des plantations de bois de feu
fourrage &rien.
0 Cksai no 5 ; Essai Helaleucas de ~k@&Y’WWI IN&
. Essai no33
: Essui introduction d’esp&ves diversea
4fLlu?-PîTAR 1971
. Essai no34 : G$ai PleMeucas sur sol salé KI%WVZTM 1971
* Essai na35 ::Essai irttroduction et diwrses provmance~
d%calyptus - Ki3JwY4aAR 1971
8 Essai, no77 g Emai monoarbre d‘Aca&ts d’origine Au&mlienne
sur les diffkents types de sols px&ents 21
Keur-!~hctcJr ” 4EUR44~AR 1977

. Essai no!92 : Introduction d’Atriplex sur sol sa16
WAWB,C.TAR 1978
. Essai no93 : ISssoi 6cartemnt d’Acucia twmich et UrmioZdes
sur sol salé et Etude de diff&xwks modw
d*exploitation de divers Acacias 4mtrali~ns
dans une optique de fourrage c&rien -
KEuR4ticTAR 1978

- Action de recharohe na 2 : Recherches sur les 0sp4xxs susceptibks
FKre ut:
;aysagx du w
-
Le passage de la culture extensive 6 la culture intznsive
dans le %ne-SaIoum doit entrutner une restructuration et un a&nagement
du paysage rural dans lequel Aes arbres joueront un r8le de protection
et de production. II convient donc d’introduire l’arbre duns les pr~5oc-
cupations du paysan du Sw=Saloum afin qu’il puisse
.
. produire M-méSme ses besoins de bois de chuuffe ou de service,
en 6pargnant uinsi la vég&ation natureIle et
0 d6Iimiter ses parceUes par des haies vives ou des brise-vents,
ce qui diminuera 1’6rosion 6oIienne et pJ.uviaJ.e.
. Essui no 11 : Essai de KOUTAL FOfCf 1967
. Essai ne 13 : Essai de WJTAL FORET 196G
. Essai no 22 : Essai de @UT& FORET 1969
, Essui no 29 : Essai de KOUTAL FORET 197Q
. Essai no 41 : Essai de MNJTAL FORET 1772
. Essai n@ 42 : Essai Eucalyptus - W&&%EA 1972
. Essui na 43 : Essai provenances Eucalyptus - X$+XC#U?G 1972
, Essai na 43 : Purcelle Eucalyptus camaIdulsnsis n“ $411
KlxJR-stiw 1973
. Essai no 49 : Parcelle d’ikalyptus camal.dulensis n* 225%
NMMXNJLIB~1~&~1
1973
.
. Essai no 50 : Verger à graines (Eucalyptus camulduknsis
no 3411 et 825%) - KOUTkL 1973
. &ssui n0 51 : Introduction d‘Euca1yptus camuldulensis
no 3411 et @293 - 3xM3xx~~G 1973
. Essui no 52 : Essai de provenances d’kculyptus camalduknsis a
et 52 bis
lc!MwKTAR 1973
, Essai n’ 59 g Essai de provenances d*EucaIyptws camaldulensis 9
BUL 1974
. Essci no 60 : Essai de provenances d’Luca1yptus camaldulensis
(r&col.te CTFT) N &gJf&~&fl~~ 1 $yd*
.*. / . . .

- l2--
l Essai no 42
: Essai introductions diverses
CTFT)
KEuR~l~cTm 1974
. Essai ne 64 : Emai provenances d’h~ca~yptus ccxmulduhznsis -
kiHlu.xL 1975
. Essai no 66 : Essai de descendances dos graines issues de
K0lJbd4erger - FATEX 1976
. Essai no 67 t Test d’apport dqQngrais complet sur sols
Ugb2ment sal&j - FATU 1976
, Essai na 78 : Wtermination de LI production d’un peuplement
d’eucalyptus avec cambinaison d’hrtements et
cspports de matibres organiques - KW&XTAR 1977
. Essai no 94 ; Gise en place de diff&enb dispositifs du
brise-vents dans un village proche de Keur-Zachar
KEUR-kRcT~ 1978
- Action de recherche n” 3 : A m é l i o r a t i o n ~ g&~&tiqw dtw3
&Ielaleucas
. Esscii no 31 : Essai de provenances d@ ~kluleucas .
KAGATOKX 1971
. Essai no 61 : Essai de provenances de ~~M~U~~ES
(récoltes CTFT) - :EU+=~ ‘2XTAR 1974
. Essui no 65 : Essai de provenances de
K!Y..R-FMCTM 1975
. bisai no 68 : Essai de provenances de ~~hh~ctx sur sols
ferrugineux tropicaux hxx+iv&s - FATICX 1976
. Essai no 95 :
hxadendron
..*/A.

.
Ce progrme a d&ut~ en 1976 mais certaines action5 ant4riwres
à la crhation de 1’SRA peuvent figurer da;ls 3~s a~tiot~~ du XG&WC~WS
définies en 1976.
Une nouvelle station a 6th cr& en 1976 & 3undia et comporte
déjb !JO hectares de plantation. Les points d’appui principaux t%tcmt
B*%EY ( 15 ha 1, UBAO, %%XSA!.JW!, DEti&YOUSXUF .
Ce progratwte a 6th scind6 en dewx progrwes :
Les plantations d’EucaI!.yptus de type industriel sont destinees
à lu production intensive de bo~,~
l e de service et de churbon de bois afin de
satisfaire les demandes des populations des cqglom5rations et de diminuer
ainsi la pression exercée sur la for& naturelle dont la production est
faible, mais dont Pimpcst sur l’&quilibre nuturel r6Sgional est consid&able.
. Essai n@ 69 : Approche des prok&mes d’kaxteme~lts des
Eucalyptus par llinterm&diaira do dispositif
de i4elder . !zMNxA 1976
. L%sai no 79 : Comparaison de diffbents types de p&paration
du sol en vue de plantations sur grande echelle
BAWIA 1977
. Essui no 80 : Lutte contre b3s termitts rn g$.gY# 1977
. Essai no 81 : Fertilisation des Eucalyptus : essai factoriel
a% - Bti@IA 1977
, Essai no 96 : Essai d’entretien chimique - B&DIA 1973
, Essai no 97 : Essai 6cartement et productivit6 d’une pluntation
%WDIA 1978
Essai complémentaire de prbparation du sol
@%DIA 1978
. . . / . . .

.
Parmi toutes les esp?xes d’b~ca~yptus qui ont 6th test6es au
%négaI., ce son* Lx+ camaJ.dubmsis qui ontt pour .I.‘inskmt, donn6 Lz plus
de satisfaction. Sans pour autant aba~dorwer la prospection d’uutres
esp&cm3, les recherches s’orientent donc vers la d&xminatiot3 de prove-
nances J.es phs adap-tth b nos stations, ti hur ak&!.ioration
et ù leur
mA.tiplication.
. Eqai no 32 :
camuldukmsi
microtheca
. Essai no 45 :
camldulensis
. Essai no 445 :
microtheca
. Essai no 5.4 :
cama1duktsis
. Essai no 70 :
cmaldu&msis
. Essai na 99 :
- Action de recherche n* 2
. Essai no 3 :
. @sai no 7 :
Essai no 14 :
l
. Essai no 25 :
. E s s a i no 31 :
. Essai no 55 :
. Essai no 71 :
. Essai z1~10CI :
l . . / . .

- 15 -
- bicCon de recherche n“ 1
. Essai n: 72 :
, Essai no 33 :
. Essai n0 L!34 :
. Essai no 35 :
- AcCon de recherche no 3
. Essai no $4 :
. Es& RIO 73 :
..Essai no 84 :
. Essai nOIQ :

. Essai fl*lO3 :
. Essai 0’104 :
. Essai n”ltX :
. . . 1. . .

.


.
. . . / . . .




.