..s INSTITUT SENGALAIS DE RECHERCHES AGRICOLES ...
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INSTITUT SENGALAIS DE
RECHERCHES AGRICOLES
Centre National de Recherches
Forestières
RAPPORT.ANNUEL 1985
EVALUATION DU GLIRICIDIA GERMPLASM
en basse Casamance
Par :
MM.
Soulèye Badiane Forestier responsable
de l'opération
Mamadou Lô agronome
Mamadou Lamine Sonko Zootechnicien

- PREFACE -
-:-:-:-:-
Le Programme de la zone humide du CIPEA basé à IBADAN (Nigéria), à partir
de son séminaire du 18-20 Février 1985 sur l'évaluation du programme de Recher-
ches sur le Gliricidia germplasm,
a lance un programme international d'introduc-
tion des varietés de Gliricidia dans certaines zones écologiques de l'Afrique hu-
mide.
Le but de ce programme est de diffuser et de développer les cultures asso-
ciées dites en couloir à partir des varietés de Gliricidia et des autres espèces
Leucaena Leucocephala, etc..., les plus adaptées aux conditions du milieu.
La culture en couloir constitue une technique de production nouvelle certes
mais prometteuse qui associe des espèces à croissance rapide (Gliricidia et leu-
caena) de la famille des légumineuses aux cultures traditionnelles (mars, manioc)
apportant ainsi du fourrage de haute qualité pour les petits ruminants et du pail-
lis riche en azote pour les cultures.
La Basse Casamance (SENEGAL) a été retenue comme un site d'evaluation de
l!introduction de la culture en couloir. Les résultats présentés dans la suite
de ce rapport sont ceux d'expériences réalisées au cours de la campagne agrico-
le (1984-1985) soit en station de Recherche, soit en milieu paysan.

-2-
INTRODUCTTON
d
La pratique de la culture en couloir vise essentiellement les petits pro-
ducteurs qui possèdent quelques petits ruminants et n'arrivent pas à assurer
leurs besoins en engrais chimiques ou autres produits de substitution et en
fourrage. Les légumineuses peuvent ainsi contribuer a l'alimentation du-chep-
tel et/ou à l'amélioration de la fertilité de champs par la fixation d'azote.
Au Nigeria, les rendements obtenus par émondage périodique peuvent varier
de 4 t à 8t de fourrage M.S/ha correspondant à un apport de plus de 100 Kg N/ha
La culture en couloir assure ainsi la regenération de la fertilisation plus
rapidement que la jachère broussailleuse traditionnelle.
La croissance rapide et continue des légumineuses assure en outre une dis-
ponibilité constante d'un fourrage vert toute l'année, alors que le paturage
traditionnel est sujet à la lignification devenant de moins en moins digestible
par les animaux.
On constate que lorsque les brebis reçoivent 200 à 400 g/animal/jour d'une
ration complémentaire mixte Gliricidia - leucaena, leur ingestion de matière
sèche augmente de 6 à 18 %
Tous ces avantages offerts par la culture en couloir ne demandent, de la
part du paysan, aucun effort financier supplémentaire en dehors de celui, four-
ni pour l'implantation de son champ de céréales (mais, mil, riz, etc...) ou de
ses cultures de rente (arachide, coton, etc...).
Les semences pour la première année de culture, leur étant fournies, le
seul effort supplémentaire est de semer les graines aussitôt apres les semences
de céréales. Les semis se font en lignes intercalaires tous les 4 m, mais le
système étant très flexible,
plusieurs types d'aménagement lui conviennent.
Ceci constitue de bonnes raisons économiques d'introduire le Gliricidia
en culture associée en Casamance étant donné que les conditions climatiques de
la région sont apparentées à celles où le Gliricidia se développe assez bien
(Nord du Nigeria).
1’
Le rapport aborde la situation géographique et administrative de la Basse
Casamance,
de l'environnement de la parcelle d'essai,
des travaux et des résul-
tats de l'essai d'introduction de 13 variétes de Gliricidia, du leucaena leuco-
cephalû et du Celtis integrifola.
Il se termine par une analyse sur les possibi-
lités de développer la culture en couloir en Cassmance.

-3-
LA BASSE CASAMANCE
La Basse Casamance se situe au Sud du Sénégal et constitue la région ad-
ministrative de Ziguinchor" qui comprend trois départements : Ziguinchor, Bigno-
na et Oussouye (carte de situation .annexe 1 )
Elle est traversée d'Est en Ouest par le fleuve Casamance qui se jette dans
1'0cean Atlantique. Des vallées en doigt de gant s'enfoncent profondément a l'in
térieur des plateaux. On y rencontre des cordons litteraux, des terrasses, des
plateaux et une sédimentation récente colonisée par la mangrove.
Le climat de la basse Casamance est caractérise par deux saisons très con-i 1
trastées. Les premibres pluies commencent en juin -juillet pour devenir abondan-', 1
tes en Août et Septembre. La pluviométrie annuelle est comprise entre 1000 et
ill
1700 mm avec une longue saison sèche (7 à 8 mois) mais dont la rigueur est at- i
ténuée par la proximité de l'ocean, ce qui fait de la région un sous-climat ma-
ritime du climat sahelo-soudanais.
Aubreville l'appelle climat Guineen de Basse
Casamance. Trois grands vents de directions différentes balaient SUCCeSSiVeIIEnt :
la région.
- l'alizé maritime, de direction Nord à Nord-Ouest, issu de l'anticyclone des
Açores, souffle de Novembre à Mai. Il est humide, frais et son action sur la
végétation n'est pas négligeable à cause de ses refroidissements nocturnes
- l'harmattan est un vent d'Est, très sec avec de grands amplitudes thermiques
il accélère les phénomènes de dessication,
abaisse l'hygrométrie et augmente
la transpiration. On rencontre beaucoup de difficultés de Mai à juillet quand
on cherche & introduire des essences exotiques particulièrement les essences à
feuilles perennes.
- la mousson souffle d'Ouest en Est entfe' juin et Octobre et résulte de l'anti-
cyclone de Saint-Helene. Tiède et chargée de I5 à 20 g.de'vapeur d'eau par mè-
tre cube, son action sur la végétation se traduit par le débourrage des .arbres
et arbustes plusieurs semaines avant les premières-grandes pluies. Le.s bour- .
geons réapparaissent chez.les espèces caducifoliées dénudées pendant la saison
c
sèche alors que les espèces semperverentes remplacent les feuilles de l'année
précedente.
: La température moyenne annuelle est de l'ordre de 27O, le minimum'mensuel ?
se Situe en janvier et le maximum en Mai - juin.
+- l'ancienne' région de la casamance a, été divisée en deux régions qui sont la
région de Kolda et la région de Ziguinchor et ceci depuis juillet 1984
. . ./ . . . ‘l$”

- 4 -
L'humidité relative est basse durant la saison sèche (inférieure a 60 %) et Se
situe en moyenne à 50 % en saison pluvieuse.
L'insolation est importante toute l'année et l'évapotranspiration potentiel-
le est évaluée à 1500 mm.
Les températures moyennement élevées et l'absence de pluies en hiver, inten-
sifient l'évaporation (annexe 2) et l'évapotranspiration, plaçant les régions
dans une zone avec 100 à 150 jours biologiquement secs (Michel 1971).
11 existe en Casamance 1 400 000 ha de forêt dont 563 469 ha de forêt clas-
sées. Le rôle de fournisseur de bois d'oeuvre et de service, de combustible li-
gneux, de produits fourragers, de chasse et de cueillettes que jouent les for-
mations forestières casamançaises leur confrère un intérêt national sans précé-
dent.
La forêt de type soudano-guinéen (des espèces guinéennes sèches, quelques
espèces de forêt dense humide et des essences du domaine soudanien forment la
forêt) à deux étapes est en voie de dégradation rapide et évolue vers une for-
mation de type soudanien de plus en plus ouvert par l'action conjuguée du cli- ,
mat (la sécheresse s'est installée dans la région depuis 1968) et l'homme (feux
de brousse, extension des cultures et exploitation forestière excessive)
La perte constante de 10 000 ha de forêt par an à la suite de l'extension
des cultures, l'indifférence inquiétante des populations devant la destruction
de la forêt, le vieillissement des peuplements forestiers et le manque de rege-
nération naturelle, sont les contraintes majeures à la conservation et a l'ame-
lioration des forêts de la casamance.
Région de culture de bas-fonds et des rizières, les paysans de basse Casa-
IIlZlllCe s'orientent de plus en plus vers le plateau a la suite des années sèches
et de son corollaire la poussée de la langue salée ainsi que la remontée de l'eau
de nappe.
Les systèmes de production paysan sont dominés par les cultures végétales
auxquelles s'associent l'élevage, l'arboriculture e t la cueillette. Les princi-
pales contraintes de l'agriculture en dehors du caractère imprévisible de la
pluviosité,
sont le faible niveau de fertilité des sols, l'importance de l'éro-
sion sur les sols rouges et les sols beiges,
le bas niveau des investissements !
alloués à l'agriculture.
. . ./ . . .

- 5 -
Les systèmes d’élevage présent sont du type agropastoraux sédentaires. La
gestion des animaux est directement placée sous la responsabilite d’un membre
de 1’ exploitation, auquel membre les tâches de conduite en paturage, de 1’ abreu-
vement et surtout du gardiennage stricte des animaux pendant la période des cul-
tures.
a
Cette zone! trypanosomiase endémique comptait en 1983,150 520 bovins NDAMA
et Métis, 130 520 petits ruminants (37P-100 de caprins et 63~~1.00 de Djallonke),
143 573 porcins (large white et sujets de race locale)
En dehors des contraintes pathologiques (trypanosomoses, maladies des tiques]
pasterrollose,
charbons bactériens et symptomatiques, paralysie des petits rumi-
nants etc . . . ) , la mauvaise gestion de l’alimentation (pauvre en azote pendant la
saison sèche et mal gérée en hivernage, conduite des petits ruminants au piquet,
claustration des porcins, stricte surveillance des brebis au paturage et reductic
de la durée de paturage), la destruction du tapis herbace par les feux de brous-
se, la lignification de l’herbe reste une des contraintes majeures a une meilleu-
re exploitation des potentialités des espèces domestiques de la région.
Le développement de la culture en couloir permettrait non seulement un meil-
leur développement de l’élevage dans la region mais aussi favoriserait l’inten-
sification des cultures par un apport d’engrais vert et une fixation des sols ce
qui, du coût réduirait la culture extensive et protégerait les foêts
Ces hypothèses se justifient pour les raisons suivantes : un apport de com-
plément fourrager aux animaux de concession (animaux de trait, petits ruminants,
Porcs) favoriserait une me’illeure alimentation en saison. sèche
où le besoin en energie reste plus elevé pour ces animaux (mise- basdes petits
ruminants gestation, travail animal).
Les arbres emondés. périodiquement;‘sont:‘une source ‘a’ engrais vert de haute
qualité et de bois de combustion.
La protection des champs contre l’érosion et la perennité des arbres sur le ter-
rain maintiendraient le milieu toujours fertile avec des rendements plus elevés.
. . ./ . . .

- 6 -
.
*
INTRODUCTION DU GLIRICIDIA SEPIUM EN CASAMANCE
1.
Travaux de pépinière
Les travaux de pépinière sont menés dans la station du CNRF de Djibélor.
14 lots de graines dont 13 Gliricidia et un de leucaena leucocephala nous
ont été envoyés.
Nous y avons ajouté un lot de Celtis integrifolia, espèce locale très appetée
par le bétail et un lot de Gliricidia récolté à Dakar HANN dont l'origine ne nous
est pas connue.
Les graines sont semées dans des gaines de polyhetilène remplies de terreau
de forêt (voir ci-dessous) à raison de 2 ou 3 graines par gaine selon la disponi-
bilité des graines. Le démariage a eu lieu une semaine après germination.
Les résultats de pépinière sont en page 7
La granulométrie du terreau utilisé en pépinière est la suivante :
Eau
=
5,8
PH Kcl
=
5,4
Argile 2
=
11
%
Limon fin (2-20)
=
4
%
Limon grossier (20-50)
=
9,7
%
Sable fin (50-200)
=
43,4
%
Sable grossier (200-2000)
=
29,2
%
Humidité
=
l,o %
TOTAL
=
98,3 %
. . ./ . . .

- 7 -
PRODUCTION DES PLANTS EN PEPINIERE
-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-: -:-:-
:-Date de :
Début
:Nb de grai- : Nb de
: H (cm) à i
:
:
1
ND
ORDRE
ESPECES
TRAITEMENT
: semis
: germination: nes germes : plants à : la plan- :
REMARQUES )
:
:la planta :.tation :
1
: tion
-11
I.- Gliricidia
: Au moment de )
1
: Hyp-Bulk
10/6/85
100
8 + 80xx;
2 0
1
2
: nx-50
8/6/85
100
100
6 0
: la plantation)
3
: ILG-52
9/6/85
100
100
5 5
:
1
4
: ILG-54
9/6/85
100
100
65
: les plants )
5
:.ILG-55
9/6/85
100
8 1
37
1
6
: ILG-56
9/6/85
100
7 6
50
: sont homogènes
7
: ILG-57
9/6/85
100
< 60
48
1
8
: ILG-58
9/6/85
100
8 4
5 0
: pour chaque )
9
: ILG-59
9/6/85
100
99 :
50
1
10
: ILG-60
11/6/85
100
100
45
: provenance. )
11
: ILG-61
11/6/85
100
81 :
37
1
12
: ILG-62
X1/6/85
100
52 :
40
)
13
: ILG-63
11/6/85
100
8 0
50
:
II.- Leucaena
1 4
: L. leucocephala
;
5/6/85
8/6/85
100
100
45
1
1
III. Locales
:
1
15
: Celtis integrifolia
:
H
5/6/85
17/6/85
:
100
5 4
30
1
1 6
2
so4
: Gliricidia Hann
160
160
16
sans traitement
517185%
717185
1
:
1
I
x
= Nous avons reçu tardivement les semences du Gliricidia Hann si bien qu'à la date de plantation,
les plants etaient relative-
ment petits.
xx
= Nous avons reçu deux lots du Gliricidia Hyp-Bulk, le premier a été semé mais n'a donné que 8 % de germination nous pensons
que la profondeur de semis etait trop importante car les graines sont fondues. Nous avons resemé le deuxième lot avec le
même traitement à chaud pour une germination de 80 %.
c

-87
2.
Localisation de la parcelle expérimentale
La parcelle est localisée dans la forêt classée de Djibelor entre le C.R.A
de Djibélor et la station de Recherches Forestières et à 4 km du centre de la
ville de Ziguinchor.
Sur le plan topographique, elle est située en bordure de la vallée de Dji-
bélor, situation correspondant à celle des champs de case, où les paysans cul-
tivent sur des sols gris les céréales (mais, mil, etc.. .) et divers arbres frui-
tiers.
De latitude 12 O28’N et de longitude 16”16’W, la parcelle se situe à 26 m
d'altitude par rapport au niveau de la mer.
C'est une ancienne parcelle expérimentale du C.R.A. de Djibélor qui a été
mis en jachère depuis 5 ans. Ce n'est qu'en 1984 qu'elle a été cultivée en mals
par un particulier.
Une station météorologique est installée dans la station. Les données cl.i-
matologiques figurent en annexe 2, figure 1.
Les précipitations (voir annexe 3) sont marquees par trois mois de pluies
bien réparties dans le temps pour la campagne 1985.
3.
Préparation du terrain
Lors du dkfrichement,
les principales espèces ligneuses sous forme arbusti-
ve étaient Cassia siamea, un grand Gmelina arborea. Un dessouchage manuel a été
opéré pour tous les ligneux.
Le tapis herbacé était généralement composé de Cypéracées et de graminées
en haut de pente.
Sur le plan topographique, nous avons observé trois gradients : le haut
de pente, la moyenne et la basse pente. L 'érosion pluviale n’est pas absente
dans la parcelle.
Le terrain a été labouré perpendiculairement à la pente puis sarclé par
une paire de boeufs.
Les grosses mottes sont cassées et l'herbe est rassemblée dans la parcelle
puis brûlee. (la prestation des boeufs est une contribution du C.R.A. de Djibé-
lor).
. . ./ . . .

-9-
La surface utile est délimitée et couvre 34 x 64 m = 2146 m2 ou 0,215 ha.
La surface utile est nivelée et répartie en trois blocs. Chaque bloc se trou-
ve sur un gradient topographique comme precédemment defini. Un prélèvement de
sol a été effectué sur deux horizons
: O-20 cm et 20-40. Les quatres angles et
le centre de la parcelle ont fait l'objet de prélèvement. Les analyses sont en
annexe 4.
4.
Piquetage :
Après le layonnage conformément au prOtOCOle en annexe, le piquetage est
effectué bloc après bloc de 21 x 15 = 315 piquets par répetition soit 945 pi-
quets pour la surface utile et 1400 piquets pour toute la parcelle. La surface
utile étant entourée par une ligne de bordure.
La seule modification que nous avons apportée au protocole envoyé par 1'ILCA
est de prendre 21 plants par traitement au lieu de 10 plants donc la longueur
des traitements est portée à 10 m au lieu de 5 m.
Une équipe de 4 personnes munies de ? double décamètres a fait le travail.
Les travaux ont été réalisés dans la première quinzaine du mois de juillet.
Le matériel végétal, le façonnage et le transport des piquets est une contribu-
tion du CNRF de Djibélor.
Après piquetage, nous avons tiré au sort par ordinateur l'emplacement des
traitements voir annexe 5. A l'aide d'étiquettes en plastique portant le numéro
de l'espèce, nous avons matérialisé sur le terrain ce tirage.
5.
Plantation :
La trouaison a lieu le 20 juillet 1985 et la plantation les 22 et 23 juillet
1985. Elles ont été effectuées manuellement.
Le transport des plants de la pépi-
nière à la parcelle est effectué par un tracteur type Massey 250 du CNRF/Djibé-
lor. Pour éviter les attaques dues aux termites,
de la dielpoudre est répandue
dans les trous, à raison d'une cuillerée a soupe par trou.
La plantation est réalisée par trois équipes :
- une équipe de 2 personnes pour déposer les plants à côté des trous,
- une équipe de 4 personnes dont 3 permanents expérimentées du CNRF
de Djibélor pour planter,
- une personne pour répandre la dielpoudre dans les trous.
. . ./ . . .

- 10 -
6.
Semences du mais :
Nous avons semé entre les lignes d'carbres deux varietes de mais. La varie-
té IBADAN TZSRW et la ZM 10 une variété locale améliorée (essai factoriel 2
x3).
les semis ont lieu les 19 et 20 juillet 1985.
les lignes du mals sont tracées à l'aide d'un rayonneur.
La distance entre les lignes d'arbres et celle du mais immédiate est de 60
cm alors que la distance entre les lignes de ma?s est de 90 cm. La distance en-
tre les poquets est de 25 cm. (2 graines par paquet).
7.
Bnnort d'engrais :
Un épandage d'urée à raison de 100 kg/ha a été effectué sur toute la parcel-
le le 16 Août 1985 après le premier entretien.
25 g de Superphosphate ont été appliqués autour de chaque plant le 16 Août
1985 sous une légère pluie.
L'urée et la Superphosphate ont été donnés par le CNRF/Djibélor.
L'introduction du mais a pour but de déterminer la productivité de la par-
celle à l'année de plantation. Voir résultats page 13
8.
Regarnis et entretiens :
Le seul regarni effectué a lieu le 13 Août 1985.
Le premier désherbage est réalisé du 3 au 14 Août 1985 manuellement sur
pointage.
Le second désherbage accompagne du buttage du mals a lieu dans la période
du 15 au 21 Septembre 1985 sur forfait.
Le troisième entretien suivi de la récolte du mais est effectué sur pointa-
ge du 11/10/85 au 21/10/85.
9.
Mensurations :
Quatre mensurations ont été faites depuis la plantation :
le 16/9/85 ; le 14/10/85
; le 13/11/8-j et le 12/12/85. Durant ces mensurations
la hauteur des arbres est mesurée et le taux de suivie est rapporté aux 100.
L'analyse de variante est effectuée sur les mensurations du 13 Novembre
1985. Voir page suivante.
10.
Clôture :
La parcelle est clôturée avec du grillage type "ferlo" surmonté de deux
rangées de fil de fer barbelé.

- 11 -
Les piquets de clôture,
le grillage et le fil de fer barbelé est une con-
tribution du CNRF/ISRA de Djibélor.
La zone étant fréquentée par le bétail,
sans la clôture il était inutile
de poursuivre l'essai.
La clôture est posée du 21/10/85 au 6/11/85.
11.
Traitement des dernières mensurations :
Analyse de variante sur la somme des hauteurs. Essai Gliricidia.
Mensurations du 13/11/85 :
Rl
R2
R3
Moyenne
Qt
= 11 300 297,6
1
1675
2 0 9 5 2170
1980
QI
=
7 329 980,9
2
2620
2020
2375
2338
QI
=
345 586,9
3
2730
1535
2460
2242
ddll
=
13
4
1725
2130
1780
1878
ddlc
=
2
5
2415
2475
2805
2565
ddlr
ZZZ
2 6
6
1495
1155
1465
1372
CMR
=
134 412,7
7
2780
1800
2780
2453
Fl
=
4,04
8
1345
1890
950
1395
Fc
=
1,24
9
2170
1985
1645
1933
10
1510
1475
1710
1565
difference au seuil de 1%
11
1465
1380
2425
1757
12
1810
1885
1625
1773
13
1890
905
975
1257
(pas homogène au seuil
de 0.05 1.
14
2320
2425
2570
2438
15
1645
930
0
Variante trop grande.
'5
7
14
2
3
19
4
12
11
10
8 6
13
4
.
.
.
.
.
. .
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.

.
.
.
.
.
e
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
(Voir annexe No 6).
On distingue
2 groupes
:
Les variétés qui ne sont pas statistiquement différentes de la meilleure
au seuil de 1% (5, 7, 14, 2, 3, 1, 9, 4) et celles qui ne sont pas statistique-
ment differentes de la plus mauvaise au seuil de 1% (12, 11, 10, 8, 6, 13). Le
classement est provisoire.
. . ./ . . .

- 12 -
La variante de l'espèce 15 (Celtis integrifolia) est trop grande, elle
n'est pas comprise dans le classement.
La meilleure variété étant 5 et la plus mauvaise 13.
12.-
Résultats du mais introduit en couloir :
Le mals est récolté le 11 octobre 1985.
Les résultats obtenus sont représentés sur le tableau page suivante. Il
ressort de ce tableau que le développement des plants aussi bien sur la va-
riété ZMlO et TZSRW a été meilleur sur le bloc 1 (situé sur la partie haute)
par rapport aux blocs II (partie moyenne) et
III (partie basse).
La TZSRW s'est très mal comporté,
nombre de plants et d'épis récoltés
très faible, taux d'humidité très élevé à la récolte 120 - 134 % sauf sur le
bloc III (45%) dû au nombre d'épis récoltés (21 épis) et à leur très faible
développement (excés d'eau et enherbement).
La comparaison faite au niveau des taux d'égrenage entre la ZMlO et la
TZSRW sur les trois blocs montre que les graines de ZMlO ont été mieux rem-
plies (65-59,O et 55%) par rapport à la variéte d'IBADAN respectivement aux
blocs 1 (43,6%), II (36%) et III (45%). Ceci résulte du fait qu'au moment de
la récolte, la TZSRW n'avait pas atteint sa maturité et que les dégâts d'oi-
seaux étaient très importants.
Au point de vue rendements dans l'ensemble, ils ont été médiocres sauf
au niveau de bloc 1 et II où la ZM10 a donné 1825 kg/ha soit le triple de la
TZSRW sur le bloc 1. Sur les autres blocs la même situation se présente avec
toujours un meilleur comportement de la ZMlO par rapport à la TZSRW. Mais
contrairement
aux rendements obtenus s,ur la TZSRW, le poids de matière sèche
reste plus E!levé sur tous les blocs et varie entre 1900 kg/ha et 7100 kg/ha
car le développement végétatif des plants était plus vigoureux pour la TZSRW.
En ce qui concerne l'état phytosanitaire,
il a été marqué par un dévelop-
pement intensif des cypéracées au moment de la levée entrainant ainsi une net-
te concurrence avec les plantules de mals.
/
. . . l . .

- 13'-
P
RESULTATS DE L'ESSAI COMPORTEMENT MAIS
1
BLOC 1
BLOC II
BLOC
III
!
1
!
1
!
ZM 10
TZSRW
ZM10
1
TZSRW
ZMlO
:
TZSRW
)
1
Nbre de plants récoltés/parcelle
1
408
274
348
228
331
225
!
Nbre d'épis réCOltéS/PmCelle
1
227
120
178
128
89
21
1
Poids humide épis (Kg)
!
17,4
12,l
10,8
11
394
176
!
:
Poids sec épis (Kg)
!
11
5,5
62
4,7
:
138
191
!
Taux d'humidité (%)
1
58
120
74
134
88,8
45
1
Poids égrené (Kg)
!
7,300
2,4
3,7
177
1
095
!
Taux d'égrenage (%)
1
66
43,6
59,6
36
55
45
1
Production parcelle iKgj
!
7,3
2,4
357
1,7
1
0,5
!
Rendement Kg/ha
!
1 825
600
925
425
250
125
1
Poids sec paille (Kg/ha)
f
6 775
:
7 100
3 781
:
5 838
:
1 625
1 900
!
I
. . ./ . . .

- 14 -
II.- ESSAI EN MILIEU PAYSAN :
Nous avons mis en place trois placeaux en semis direct de Gliricidia et de
leucaena dans les trois départements qui constituent la région.
l.-
Dans le Département de Ziguinchor, l'essai se trouve à Médina, village
distant de 10 km à l'Ouest de Ziguinchor.
Le placeau est semé le 19/7/85 avec deux variétés de Gliricidia (Gliricidia
Hyp et Gliricidia Hann) et leucaena leucocephala.
Les Gliricidia n'ont pas été traités
alors que le leucaena a été traité à
l'acide sulfurique, (le placeau se trouve dans une plantation privée).
Le dispositif est formé de 3 traitements et 4 répetitions.
La distance entre les lignes d'arbres est de 4 m alors que la distance entre
les poquets est de 50 cm. Dans les couloirs du Mals est semé.
La germination est nulle pour le leucaena et passable pour le Gliricidia.
Nous avons resemé la parcelle le 3 Août 1985. Seuls les Gliricidia ont poussé.
Leur taille ne permet pas d'espérer qu'ils franchiront le cap de la saison sèche
1985-86. Cependant le responsable de la plantation est toujours prêt à reconduire
l'essai en prenant en charge tous les intrants.
PLAN DE LA PARCELLE:
1
;
G.
Hann
G.
Hann
G.
HYP
:
G.
HYP
1
:
1 _
I
:
(
:
i
( L. leucocephala : G. Hyp
: L. leucocephala :
L. leucocephala )
(
1
(
:
)
(
:
)
(
G.
HYP
: L. leucocephala :
G.
Hann
:
G.
Hann
1
(
:
(
:
. . ./ . . .

- 15 -
2 . --
Dans le Département d'Oussouye,
l'essai se trouve dans le sous-préfec-
ture de Kabrousse, dans le village de Boucotte-ouloff.
Le terrain appartient à un groupement de producteurs ruraux encadrés par
la SOMIVAC (Societé de Mise en Valeur Agricole de la Casamance).
Les graines de Gliricidia sont semées sans traitement alors que le leucaena
leucocephala est traité à l'acide sulfurique.
Les semis ont eu lieu le 7/8/85
en association avec du mais qui avait déjà 50 cm de hauteur moyenne.
Seules deux espèces ont eté utilisées : Gliricidia Hyp et leucaena leuco-
cephala.
La germination du Gliricidia était bonne alors que celle de leucaena était
nulle.
3.
Dans le Département de Bignona,
le placeau se trouve à Bodé, dans la
Communauté Rurale de Mangagoulack, Sous-Préfecture de Tendouck.
Le semis a lieu le 12/8/85 dans un verger villageois et couvre 36 x 35 m.
Quatre lignes de Gliricidia et trois lignes de leucaena leucocephala ont été
semées. Le village est encadré par la SOMIVAC qui teste l'introduction de
l'arbre en milieu paysan.
De l'avis du forestier de la SOMIVAC avec qui nous avons installé les deux
placeaux et qui assure leur suivi, la germination du Gliricidia est meilleure
que celle du leucaena mais que la croissance des leucaena est plus rapide que
celle des Gliricidia qui aujourd'hui sont très courts.
Ce sont les femmes qui gèrent ces vergers et arrosent les plants compte- 1
tenu de leur mise en place tardive.
Ceci dénote que les populations peuvent porter un intérêt particulier à
cette introduction si elles comprennent l'importance de ces arbres.
III.- PERSPECTIVES DE LA CULTURE EN COULOIR :
1 .-
Essai en Station :
Les essais d'introduction que nous avons mené ça et là en dehors de la par-
celle expérimentale de Djibélor sont sur des sols que nous n'avons pas pu dé-
terminer au préalable, or dans la région,
il existe sept unités de sol dont
trois du continental terminal, se sont :
- les sols ferralitiques tropicaux localisés sur les plateaux très
peu fertiles (arachide et riz sec).
- les sols colluviaux des pentes des plateau::
. .
peu fCl>.<llCS ( forêt
et riz pluvial)

- 16 -
- les sols hydromorphes des bas-fonds doux de faible fertilité (riz
aquatique).
Les quatres autres unités de sol sont sur les sediments marins plus ou moins
salés avec une acidité de 7 5 4. C'est le domaine de la mangrove et des halophytes.
On y pratique de la $izicul.ture,aquatique
Ces unités de sol sont : les sols salins fibreux, les sols salins non fibreux
les sols salins à Alcalis, et les sols saumâtres.
A priori, nous ne connaissons pas la réaction des différentes varietés de
Gliricidia et du leucaena dans ces différentes unités de sol en rapport avec la
pluviométrie actuelle.
Il faudrait donc sur le plan expérimental, mettre en place des essais compa-
ratifs ne serait-ce que sur les différents types de sols de plateau identifiés
ci-dessus. Les actions de recherche suivantes sont proposées
I/ ESSAIS EN STATION
l/ Test d'adaptation du gliricidia sur une série de parcelles
le protocole sera le même que celui de la saison 85-86
2/ Amendement calcique
compte-tenu des PH acides, un essai d'apport de chaux sera conduit par
Mamadou Lô
3/ Effet du Gliricidia sur les cultures associées
mars ;
mais - sorgho ; sorgho - manioc
4/ complémentation des petits ruminants et porcins par Gliricidia Sp
II/ ESSAI EN MILIEU PAYSAN
Conformément a la carte de situation definie par l'Équipe système de Dji-
bélor, un essai sera mené dans les quatres premieres zones en milieu paysan à
raison dcun paysan par zone dans les villages suivants : Medina (zone 1) ;
Bode (zone II) ; Maoua (zone III) Boulandor (zone IV)
Les thèmes suivants seront testés dans chaque village :
1/ test d'adaptation en 2 parcelles : une par semis directe et une par plan-
tation
2/ essai de tamponnement du PH
3/ Appetabilité sur les petits ruminants et porcins
. . ./’
. . .

- 17 -
IV.-
Liste de quelques espèces ligneuses et herbacées pouvant être utilisées
comme fourrage.
l.-
Acacia albida
2.-
Celtis integrifolia
3.-
Stylosanthis gracilis
4.-
Brosimum alicastrum
5 . -
Amaranthe edulis
6 *-
Atriplex
7.-
Paspalum Vaginatum
8.-
Zostera Maricia.
. . ./ . . .

- 18 -
BIBLIOGRAPHIE
=============
- P. PELLISSIER 1966, les paysans du Sénégal
Bulletin du CIPEA No 18 - Avril 1984
- Développement de l'élevage en Casamance - résultats des enquêtes d'exploita-
tion
Paris SATEC/DET Janvier 1973. 12 p.
- DE REVIES (B.)
Considérations sur les possibilités des
productions animales en Casamance.
Rapport de mission auprès du PRS et de 1'UPR
Ziguinchor SOMIVAC - Juillet 1975.
- SONKO Lamine, traction animale et travail animal au Sénegal.
le cas du Nord-Est de la Basse-Casamance
Document de travail ISRA 1979.
- Rapport CNRF/Djibélor 1981.

1, E G E N D E
ONES 1
: Organis.soc.du trav.typ'e
Diola;sans t r a c t . b o v . ; r i z
repiqué dominant.
II
: Organis.soc.du
trav.type Diol
sans trac,bov .;cult.de plat
i m p o r t .,semis d i r e c t ,
III : Organis.type Mandingue dominant;
. KAOLACK
i
'1
avec l3iola et autres;peu de tr.bov
C-m
:MALI '-
semis direct.
TAMBACOUNDA,
I V : Organis.type Mandingue dominant ;
cuit. de plat. dévcl.
v : Organis.type Oiola;trac.bov.import
riz repiqué encore important.
1 GUIWEE.BISSAU
‘, REP. GUINEE
-
c a r t e d e s i t u a t i o n Sp/Djibélor
ANNEXE 1

ANNEXE %
EVAPORATION AU E~AC "A" :
Total mensuel de l'évaporation de 1980 à 1985
:
:
1980
:
1981
1982
:
1983
:
1984
:
1985
-...,_
..:
:
:
Janvier
132,88
147,13
138,31 :
144,17 :
163,86
164,19
:
:
Février
152,49
163,57
152,87 :
175,lO :
194,55
159,56
:
Mars
212,34
205,28
208,18 :
21g,86 ;
211,78
220,4;
Avril
214,68
204,48
207,07 :
204,84 ;
202,23
197,94
Mai
21g,24
lg8,22
213,17 :
188,76 ;
205,oo :
169,53
Juin
183,53
140,oo
164,83 :
164,34 :
135,22 :
112,oo
Juillet
143,38
105,60
125,94 :
118,94 :
115,86 :
103,28
:
:
AOUT
116,25
99,14
103,24 :
106,41 :
122,93 :
112,55
:
:
:
SEPTEMBRE
106,62
106,68
112,04 :
113,35 :
107,67 :
117,58
:
OCTOBRE
143,57
118,95
121,94 :
132,67 :
111,46 i
:
NOVEMBRE
119,85
104,92
108,12 :
116,23 :
119,33 :
:
DECEMBRE
132,76
103,67
126,83 :
125,47 :
123,04 :
:
(
.
.
:
(
( TOTAL
: 1877,59 :
1697,64 :
1782,54 :
1810,24 :
1812,gj :
(
:
(
:
:
( PLUIE ANNEUELLE : 736,5 : 1247,6 :
983,8
:
828,5 :
11gg,2 :
1295,2
(

ANNEXE ;2
STATION DE t DJIBELOR
I
TABLZAU CLIWiTOLOGIQUE
-;dl:-:*:”
I
I
.li@J'S DE I JANVIER 1985;
'1 E M P E R A T U R E
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*
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14/1/85 au 20/1/85
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*
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“”
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*
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*
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1
21/1/85
i
1
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101s DE 'I FEVRIER 851
T E M P E R A T U R E
1
1
HUMIDITE RELATIVE
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i
13
17,5;91,3
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1
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1
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1
TEMPERA'TURE
H U M I D I T E R E L A T I V E
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* _
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l
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l
Imaxilmini!moyennesfabsolu!absolu!m~!~~!~ye~~s]~ba~luJ~bsol
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39
f
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IO/3/85
17/3/85
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27,3
36
-
.
-
MOIS DE : AVRIL 1985 ;
T E M P E R A T U R E .
I
1
HUMIDITE RELATIVE
;
SEMAINE DU
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au 28/4/85
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STATION DE I DJ'j-BEL()l<
ANNEXE 2'
I
TABJiEAU CLiW~TOLOG1QU-E
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I
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l
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100
1
41
.
t
.\\!,
t
!
t
MOIS DE g AOUT 1985 1
T E M P E R A T JJUhfIDITE
U R E
RELATIVE
1
; SENAIIJE DU
1 hby . IMo y l ! Moy .
dest Gxi 1 Mini tMoy,fNoy,tMoy, dea! ?&+ f #in:
1, ‘29/7/U5 au 4/U/U5
130,3122,4
26,3
100,~
t
fmaxifmi~ennesIabsolufEtbsolu!maxi!minif~~s~ssfab~luf~bs~
46i
i
5/8/85 a u ll/U/U5
!
29,7121,g
!
25,ti 100
‘J 45
ll/U/85 au 17/8/85
27,l 21,3
24,2
1 0 0 t.-y46
19/8/85 au 25/8/85
i 30,8;22,7 i
26,7 100
1
4.3
i 26/8/U5 au I”/9/85
t
30,5!23,6 t 27 96
1
52
1
t
29,6;22,3;
t
5.
MXENNE/~~IS
26 100 t 43
1.
.*.
. . /. ..*
*

ANNEXE 2
STATION DE I TZJIBELOiI
+
; * SEMKC?IE DU
IMoy, !iQy l !Moy . desl Idaxi. ! Mini ;Moy,!Moy.!Ih3y. des! Maxi. ! Mini
-.e
1n~~!r~niImo.ve:~es!absolu!absolu!maxri!mini!mo;ve~~g!a~~olu!abs~1~
!
2/9/85 a u U/9/85
!
!
27,1!27,1,
24,4
;
30
-ï-- 20
;99,4j67,8
;
U3,6
*
100 *
44
!
!
19
!97,6 !45,4 I
7'1,5
*
99
;
40
!
9/9/85 au 16/3/85
r29,8;20,S
;
25,l
-
!
31
!
!
*
l
1
,
16/9/85 a u 23/9/85
* 29,7 i22,8 !
26,2
,
31
1
22
! 99,8,58,7
1
79,2
I
100
51
i
23/9/85 au 30/9/85
131,1321,6
I
26,3
i
34
!
20,S !Y987 *47,4 I
73,5
1
100
'
40
f
Il*
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1
1 ! l
,! 1
1 1
!
I.
1
XOYEI?NE/~K)IS
129,4121,61
25~5
I
34
I
19
(39,1+4,a *
76,9
,
100
f
40
!
T E M P E R A T U R E
1
l&JJ-- DE ) K'I'otiI= ti5 1
HUMIDITE RELATIVE
1
SEMAINE DU
I~~Ioy,l~~~y.lMoy;des I Lkxi 2 Mini IMoy,,Moy.,Moy, desl Id& 1 IL&.i
! mcualnri~!moye~es~absolulabsoluImaxi?mini!moyennea!absolu!absoI.
I
!
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1
1
1
*
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30/9/US a u 7/10/85
1
26,s I 32 ,
19 ,100 ; '1
74,7
!
;;;
! ;;
1
7/
2 10/85
1/10/85 au

14/10/05
au 27/ 10/85
,32,1123,7
133,2123,6 fI 27,9
28,4 , 34
, 35 1,
22 22,5197,4] 100 42
43 ,#
7I
70,3
;
100
f
36
f
I I ! I 1 1 .! 1 1 1
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1
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I
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!
!
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35
!
1
!
1
MOYE8NE/MoIS
132,3i22,9 ,
27,6
I
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19 . ,99,1; 44,9f .
72
100
1 36
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--
,-
*
y_ &K)‘J-s DE NOVEiQ31~ 1985;
T E M P E R A T U R E
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XUMIDITE RELATIVE
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1
'SENAII?E DU
1Moy. 1Moy. IMoy : de~l%ai 1 Mini IMoy.lMoy.lMoy. aes! bki i bliti
!maxi!minilmogennesfabsolu!abaolu!m~!~~!~ye~~~!ab~lu!ab~o~
-
-
*
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, 28/IO/tJ5 au 4/11/05
I 32 '23 2 1
I 4/11/85 a u 11/11/85
133,1;22;21
I 11/11/85 au 17/11/85
13L5121
I
l- 18/11/85 au 24/11/85
!33,2!18,2 1
! 26/11/85 au 1“/12/85
132,2 $9 ,
-
!
6O,f$ ! 99
!
5
I
HOYEN@vfXS
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1
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1
1
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T E M P E R A T U R E .
1
IVKXS DE I
IIWIDITE RELATIVE
,!
t
; SEMAINE DU
I &Jy 0 IMoy L ! Moy . des! hxi 1 Rini lMOy,thIOy,*MOyr deg! &pxl ! Mir.
-
-
lm~lmi~!mo~ennesIabsolulabsolulmad!rainiI~~ennes~ab~~lu!absc
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3%
IvKXENI%E/b43IS
f
1
1
I
1
*.4
1
1
!

ANNE?E N- 3 /
PLUVIOMETR~E DE LA STATION DE DJIBELOR EN 1986 en mm
--------_-________----------------------------------
(
1
(
MOIS
: MARS
AVRIL :
MAI
:
JUIN
: JUILLET :
AOUT
: SEPTEMBRE :
OCTOBRE
:NOVEMBRE DECEMBRE )
( DATE
1
(
I
2 1
16,6
75,2
(
3
72,6
22,4 :
18,2
(
4
493
12,4
:
(
5
58,2
72,8
:
(
6
197
59,8 :
38,8
(
7
50,o :
I
9 8
32,6
17,9 :
076
57,2 :
10,2
t
1 0
23,5 :
(
11
O>f3
25,5 :
37,2
2,4
:
(
12
094
9,Q :
2,4
:
(
13
099
0,2 :
0,2
:
(
1 4
1,1
3,o
3,o :
25,2
(
15
Traces
2,6 :
39,4
(
16
27,8
12,4 :
(
17
(
18
0,4
25
31,2
i
ig
6:4
1,4 :
22,4
(
20
094
16,8 :
12,4
c
21
0,8 :
I
15,o
i
22
25,O
111,8
15,8 :
i
23
836
15,2 :
896
24
136
29,4 :
25
53,4
26
491
036
3.5,0
27
18,4
0th
28
46
1,8 :
17,8
29
30
894
:
632
31
:
139
)
TOTAL MENSUEL
:
1,2
0
0
48,6
:
350,l
:
396,3
:
407,6
:
go,2
:
1,2
:
1
Nb de jours : 2
0
0
4
21
:
20
18
5
1
Soit 1295,2 mm en 71 jours.

I

‘ANNEXE 4
ANALYSE DU SOL DE LA PARCELLE DE GLIRICIDIA
,,
(
( POINTS
: HORIZON : PH
:CE1/5; Mo ,; N%: C%
( PRELEVES :
;C/N
;
REMARQUES
:
:
:
O-20
5,6Oi
0,17 :
1,09 : 0,088 :
o,64
:
7,2
:
(
P I
(
20-40
:
5,52:
0,08 :.
0,69 i 0,060 :
0,41
:
6,g
:
(
(
O-20
:
5,2oi
0,13 :
0,60 : 0,056 :
0,35 :
6,2
:
Les autres
I
P II
20-40
;
5,48j
o,oG 1
0,50 1 0,049 1
0,30 :
6,1
;
éléments
(
(

O-20
:
5,221
0,1g :
1,ll : 0,070 :
0,65 :
g,2
:
n'ont pas pu
(
P III
(
20-40
;
5,23j
o,17 i
0,43 1 0,039 1
0,25
i
6,4
i
être
(
I
O-20
:
5,47:
0,16 : :
0,74 : 0,063 :
0,44 :
6,g
:
déterminer
P IV
(
20-40
5,601
0,06 .
0,43 ; 0,039 1
0,25 ;
6,4
;
à temps.
(
:
(
O-20
:
6,78i
0,31 :
1,25 : 0,084 :
0,73 :
8,6
:
(
P V
:
:
:
(
20-40
6%;
0,13
0,86
0,067 ;
0,50 1 7,4
;
Le sol est gris et relativement pauvre.
SITUATION DES POINTS DE PRELEVEMENT :DANS LA PARCELLE
P IV
0
P II
BLOC
III
BLOC II
O P III
BLOC 1
0
0
P V
P I
Pour la disposition des variétés, voir annexe 5.

I
I
I
I t
I I I
I I
I 1
I
I
I
1
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I
I
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I
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I
I
I
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l
I
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1
I
I
I
I
I
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1
1
I
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I I
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I I
IL
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Lt: I”I-l U.”
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IX w I-L.
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.*
CL” dt- Ix w *t: tl: CI-l

ANNEXE 6
+
.
MOYENNE DES HAUTEURS D~S;':CNL,;t14TIONS DE SEPTEMBRE, OCTOBRE ET NOVEMBRE
.
k
i b
I
CROISSANCE MOYENNE
TAUX DE SURVIE
. J
I-
16 SEPTEMBRE 1985
14 OCTOBRE 1985
13 NOVEMBRE 1985
OCTOBRE 1985
r
1
NOVEMBRE 1985 -)
-T- .
1
VARIETES
iiR1 : H R2: ii R3: ii R
ii Rl: ii R2: ii R3: i? R
ii Rl: iÏ R2:ii R3 : ii R
r Rl : T R2: T R3: T R
T Rl: T R2: T R3: T R)
:
:
Jr
:
:
t
i
1
41 :
45 :
48 i44,6
60 :
63 : 74
:65,3
88 : 100 : 103 I 97
90,5i 1.00
:lOO : 96,8
90,5i 100 : 100 :96,8)
2
68 i
67 ’
64 :66,3
93
1
71 ; 84 '82,6
125 i 101.; 113 ; 113
100
i 95;2;100
; 98,4 ,100 i 95,2IlOo 19834;
;
3
78 :
58 :
65 :67,0
109 :
69 : 95 :Yl,O
144 :
96 : 129 : 123
90,5:76,1 : 90,5: 85,6 90,5 : 76,li 90,5:85,6)
4
69 ;
70 ;
64 ;67,6
71 i
74 j 69 ;71,3
91 ; 107 1
99 1 99
90,5;95,2 : 85,7; 90,5
:
30,5 ; 952;
85,7;-90,5;
5
54 :
68 :
70 :64,0
77 :
91 : 96 :88,0
115 : 130 : 134 :126,3
100 : go,5 :ioo : 96,8 100 : 90,5: 100 :96,8)
6
53 ;
48 ;
51 ;50,6
57 ;
49 ; 53 ;53>0
89 1
68 :
70 ; 75,6
90,5;8o,g :lOO 1 90,6
90,5; 8o,9; 100 ;90,5;
7
67 i
54 :
69 163,3
96 :
62 : 105 :87,6
132 :
go : 139 :120,3
100
:95,2 : 95,2: 96,8
100 : *95,2: 95,2:96,8)
8
50 ;
54. :
51 :51,6
52 '
65 ’ 52
;56,3
71 ’ y0 ’ 62 1 74,6
90,5;95,2 : 71,4; 85,6
90,5;
100 : 71,4)37,2;
9
65 :
68 I
72 :68,3
75 :
72 : 8g
:78,6
103 : 104 : 82 : 96,3 100
:90,5 i95,* : 95,2
100 : 90,5: 95,2:95,2)
10
50 ;
65 i
58 ;61,0
57 ;
71 1 75
j67,6 l 94 j 74 : 100 1 89,3 80+5,2 ;85,7 ; 87,2 76 2; 95 2; 80,9j84,0;
11
53 :
42 :
70 :57,0
73 :
62 :
iû2 : 79,o
yâ : yy : 135 : iiû,b
71,4:71,4 :û5,7 : 76,l
71,4: 66,6: 85,7;74,5)
12
55 ;
50 ;
48 ;51,0
67 i
57 1 52
; 58,6
106 ; 94 i 86 ; 95,3
90,5;95,2 jYO,5 j 9270
80,9; 95,z; 90,5; 88,8;
13
58 :
42 :
52 :50,6
67 :
45 : 54
:55,3
95 : 53 : 81 : 76,3
95,2:80,9 :57,4 : 77,8
Y5,2: 80,~: 57,1:77,4)
14
62 i
64 1
58 ;61,3
84 :
87 1 73
'8~3
100
:
137 i 135 1 122 i131.3
8O,Yi85,7 il00 ; 88,8
803; 85,4;
:88,7;
15
53 :
40 :
38 :43,6
73 :
46 :
0
:59,5 - yi : 66 : o : 78,5 90,5 :66,6 : 0 : 52,3 88,7: 66,6: 0 :50,7)
:
:
:
:
)
-.-.-.- -.-.-.y
.
.
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.
-.-.-.-
.
1
loyenne des
58,8:55,4 :59,2 :57,8
74,0:65,6 :71,5 :
105,2i 93,5i 97,0:98,5
:
1
Hauteurs/Rc?p.
:
:
:
1