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tUpublique du $énéga_l
Ministère de l’Agriculture
CULTURE DE LA PASTEQUE : RISQUES ET
O P P O R T U N I T E S
RESb’LTATS D’ENQUETE DANS DEUX LOCALITESDE LA ZONE
AGRO-ECCPLOGIQUE SUD BASSIN ARA CHIDIER
Arrondissement dé Ndiedieng Dépatiement de Kuolack
Arrondissement de Ouadiodr LXpartement de Gossas
DESIRE YANDE SARR
C.N.F..A” - MMBfLY - $Xv.
j
ISRA - SUD BASSIN ARACHIDER
-BP. 199 -
%t (221).41.29.16 - KAOLACR (S&@d)

Résumé
La pastèque depuis quelques années intègre la strategie de diversification des cultures au
niveau de la zone agro-écologique Sud Bassin Arachidier. Cette ~cultnre attire d’autant plus
les producteurs qu’elle génère des revenus assez substantiels. Surtout, elle procure des gains
3. une période durant laquelle la situation alimentaire qui prévaut au niveau de beaucoup
d’exploitations agricoles les obligent à contracter des dettes auprès d’autres plus nantis. Il
reste que 1 ‘évolution observée dans la culture pose un certain nombre de problèmes
notamment:
les difficultés dans l’écoulement de la production auxquelles s’ajoutent l’ignorance
de procédés de transformation
le caractère exigeant de la culture en éléments fertilisants entraînant un
appauvrissement des terres;
l’insuffisante maîtrise d’un itinéraire technique performant pour cette culture.
Ces contraintes interpellent la recherche qui se doit d’apporter des améliorations techniques
nécessaires en vue de rendre cette pratique plus rentable pour les producteurs.

1 - INTRODUCTI:ON
1 ustificatifs
Ayant récemment intégré la stratégie de diversification développée par les agriculteurs de la
region, la culture de la pastèque soulève aujourd’hui beaucoup d’intérêt malgré toutes les
contraintes dont font état les populations. Cette note présente les résultats d’une enquête
menée dans deux localités contrastées de la zone Sud Bassin Arachidier: l’Arrondissement
de Wadiour dans le Département de Gossas au Nord et l’Arrondissement de Ndiedieng
oans le Sud Ouest du Département de Kaolack. C’est précisément dans cette dernière
kalité que fut introduite la variété de pastèque dite Hybride de Kaolack. C’est dire qu’en
plus du contraste sur le plan écologique, ces zones affichent des expériences différentes
dans la culture de la pastèque.
Objectifs de l’étude
Le travail dont les résultats sont présentés dans cette note vise les objectifs ci-après:
I’
la perception des avantages et inconvénients liés à la culture de la pastèque;
e
les contraintes observées dans la culture de la pastèque;
a’,
la perception des effets de la culture de la pastiique sur la fertilité des sols;
a,
l’évolution des superficies cultivées et les itinéraires appliqués;
*
la destination de la production et les problèmes y affkrent.
L’appréciation des ces informations doit permettre de mieux raisonner l’appui a apporter
aux producteurs en vue d’une meilleure rentabilité de cette culture tout en sauvegardant
l’environnement de production.
Méthodologie
L’expérience dans la pratique permet de mieux apprécier les avantages mais aussi de mieux
identifier les contraintes rencontrées. Cela justifie le choix raisonné, qui a été fait, de
personnes auxquelles un questionnaire d’enquête a été administré. Cinquante neuf (59)
personnes dont 36 soit 61.1% dans l’arrondissement de Ndiedieng et 23 soit 38.9% dans
l’arrondissement de Wadiour ont été interrogées. Un. second critère pris en compte dans le
choix des répondants a été de respecter une certaine dispersion geographique. Ainsi les
personnes retenues appartiennent à plusieurs villages des arrondissements considérés.
Elnfïn, en vue de mieux cerner les évolutions de la culture de la pastèque au niveau des
zones considérées, nous avons considéré la situation durant les trois dernières campagnes
agricoles.

II - PRESENTATION DES RESULTATS
Les tableaux joints à cette note renseignent, de façon explicite, sur la culture de la pastèque,
Sur ses avantages et sur ses inconvénients, sur les contraintes rencontrées, sur l’évolution
des superfïcies cultivées et sur la destination réservée à la production. Ces informations se
résument comme suit.
Variétés cultivées et lieux d’approvisionnement em semences:
La variété de pastèque préférée dans la zone Sud est la variété blanche. Au Nord, les
producteurs de notre échantillon choisissent plutôt la variété Sugar Baby (52,2%) et la
lpariété hybride de kaolack ( 47,s % ). Le souci de se procurer des semences de bonne
qualité fait qu’au niveau des deux localités, 77,3% des répondants achètent leurs semences
au niveau des magasins spécialisés (tableau annexe 1,) 2).
Nombre d’armées d’expérience dans la culture de la pastèque
Parmi les cinquante personnes interrogées, 59,3 % ont plus de trois années d’experience de
culture de la pastèque. Cette pratique est cependant plus ancienne dans la zone de
Ndiedieng, où 69,4% des répondants ont plus de trois années d’expérience comparés à
4.35% dans la zone de Wadiour.
Evolution des superficies couvertes par la culture de la pas@q
Notamment dans la zone de Ndiedieng on note une évolution du nombre de producteurs
dans la catégorie des paysans ayant cultivé plus 1,50 hectares pour la dernière campagne.
Dans le même temps des abandons 3 1 , 1 % et 8,7 % (tableau annexe 1.3) sont recencés.
Pratiques culturales
le choix de l’emplacement des parcelles, la période de! semis, les apports organo-minéraux
visent à réduire l’effet de certaines contraintes comme: l’épuisement des sols, le
gardiennage, la saturation du marché de la pastèque. La production étant principalement
destinée à la vente, le semis précoce favorise ainsi un accès rapide au marché et , partant,
augmente les chances d’écoulement de la production (tableau annexe 2.1.1).
Destination de la production de pastèque
1 ,‘enquête révèle que 66 % des producteurs, toutes zones confondues vendent entre 75 et
95% de leur production. C’est donc reconnaître que la pastèque même si elle est localement
consommée et fait l’objet de dons, elle reste surtout une culture de rente (tableaux annexe
3.1; 3.2 et 3..3).

Revenus générés par la pastèque
Le tableau 1 renseigne sur l’importance du revenu moyen par individu tiré de la culture de
la pastèque durant la période considérée au niveau de chaque zone. II apparaît que les
agriculteurs de la zone de Ndiedieng ont obtenu des revenus plus importants que ceux de la
zone de Gossas
tableau 1. revenus tirés de la culture de la pastèque ( CFA)
1993 / 9 4
1994 / 95
1995 / 9 6
Ndiedieng
Wadiour
Ndiedieng
Wadiour
301069,44
57086,79
12938556
65717,39
125800
72477.27
340000
200000
600000
380000
485000
450000
10000
ooo
ooo
128185,98
95666,42
138464,38
116030,22
Avantages la culture de la pastèque
Si au niveau de la zone Nord, l’augmentation des revenus de l’exploitation constitue
1 ‘avantage majeur reconnu à la culture de la pastèque (47.8 %), dans la zone de
l’arrondissement de Ndiedieng c’est plutôt la période ,à laquelle ce revenu est obtenu qui
retient l’attention (47.2%). En effet, en permettant d’accroître les revenus des exploitations
agricoles (132.2%) et surtout en procurant de l’argent a un moment crucial de l’alimentation
en milieu rural (33,9%), la culture de la pastèque participe à la réduction de la dépendance
à l’arachide. Grâce au revenu généré par la culture de. la pastèque, qui permet d’acquérir
des biens pour lesquels des créances usurières étaient effectuées en attendant la
c ommercialisation de l’arachide, beaucoup de paysans manifestent moins d’empressement à
\\.endre leur production d’arachide surtout à travers le circuit officiel de commercialisation.

tableau 3 . Avantages liés à la culture de la pastèque
Avantages de la pastèque
Ndiedieng
Ouadiour
total
augmentation revenus de l’exploitation
8
11
19
42.1”
57.9
100
22.2”“’
47.8
32.2
autoconsommation / santé
4
5
9
44.4
55.6
Y00
11.1
21.7
15.2
&cure assez tôt des revenus
17
3
2 0
85
15
100
47.2
13.0
33.9
alimentation bétail
1
1
100
100
2.8
‘1 .7
palliatif au problème de semences
2
1
3
-
#arachide
66.7
33.3
100
5.6
4.3
5.1
réduction de la dépendance à l’arachide
4
4
100
1.00
11.1
6.8
iacilité d’entretien
3
3
100
100
13.0
5.1
&.a1
3 6
2 3
5 9
4:
pourcentage de rang
i:*
pourcentage de colonne
I,e revenu de la pastèque permet ainsi à certains producteurs de procéder à une rétention de
kur production pour la vendre à des privées à des prix considérés plus intéressants que ceux
offerts par le circuit officiel. De même le recours à la culture de la pastèque résulte de
l’avis de certaines personnes (5.1%) du manque de semences d’arachide.
Ces possibilités de génération de revenu en plus des vertus curatives reconnues à la pa&&
notamment pour les enfants en bas âge, justifient l’engouement des populations de la région
a cette culture
Inconvénients Ii& à la culture de la pastèque
1,‘enquête permet de différencier deux types d’inconvenients: les inconvénients liés à
1 ‘organisation du travail et ceux liés à l’état des sols liés après une culture de la pastèque.
Pour les contraintes liées à l’organisation de la production, l’écoulement constitue l’obstacle

majeur des agriculteurs (49.2%) suivi de la surveillance contre les vols et / ou dégâts par
des animaux en divagation (13.6 %). Cela fait dire à un paysan de Ndiedieng :
« lorsque mûrit h pastèque, tous les producteurs ont les yeux rouges ».
Les difficultés de commercialisation se renforcent par le fait que les producteurs ne
wnnaissent qu’une forme de conservation. Celle-ci consiste à poser le fruit mûr non récolté
sur un paillage dans un creux. Un amoncellement protège le fruit contre le rayonnement
solaire.
tableau 4 ” Inconvénients liés à l’organisation du travail
inconvénients observés
difficultés de commercialisation
problèmes de surveillance
traitements des insectes
pas d’inconvénients
*
pourcentage de rang
*:+
pourcentage de colonne
I,‘inconvénient majeur se résume dans l’épuisement des sols suite à la culture de la pastèque
wlon 49.2 % des répondants toutes localités confondues. Parmi ces personnes, figurent
55.6% de paysans de l’arrondissement de Ndiedieng où la culture de la pastèque est
pratiquée depuis plusieurs années. Ce phénomène serait aussi observé par 3 1.1% des
paysans interrogés dans la zone de Wadiour.
Pour ces producteurs, le mode actuel de culture de la pastèque sans apport d’engrais
important pourrait constituer à la longue une menace pour le rendement des autres cultures.
On comprend des lors cette idée d’un paysan de Ndiedieng selon laquelle:
u9r:ehi qui passe la journée dans une parcelle de pastèque court le risque de se
rIetrouver un jour sans nourriture ».

-._--.

~.
._-
--- .-...
--
*US-

tableau 5 . inconvénients sur l’état du sol liés à la culture
inconvénients
Ndiedieng
Wadiour
total
cullture exigeante en eau
1
1
2
50”
5 0
100
2.8””
4.3
3.4
G.dture en fumure
exigeante
7
1
8
87.5
12.5
100
19.4
4.3
13.6
chute des rendements des autres
2
2
4
cultures
5 0
50
100
5.6
8.7
6.8
epuisement des sols
2 0
9
2 9
6 9
31
100
55.6
31.1
49.2
manque d’expérience et de
3
3
6
connaissance techniques
5 0
5 0
100
8.3
13.0
10.2
oas d’inconvénients
1
6
7
14.3
85.7
100
2.8
26.1
11.9
sans réponses
2
1
3
66.7
33.3
100
5.6
4.3
5.1
total
3 6
2 3
5 9
61.1
38.9
100
100
100
100
*
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne
IJtilisation des revenus de la pastèque
Concernant l’utilisation qui est faite des revenus tirés de la culture de la pastèque (tableau
2), l’achat de vivres constitue le poste de dépense le plus important notamment pour la zone
de Ndiedieng où il occupe en moyenne 66,7% des dépenses effectuées pour les trois années.
-
.~- _.--___
.~.
--..-- _--___
,es--

tableau 2 - utilisation des revenus générés par la pastèque
postes d’utilisation des revenus
1993 / 9 4
1994195
1995 / 9 6
Ndiedieng Wadiour
Ndiedieng Wadiour Ndiedieng Wadiour
achat v Ivre
2 3
12
25 9
2 4
11
63.1
43.5
69.4 39.1
65.7
39.1
achat animaux d’embouche / de
5
3
5 4
6
5
trait
13.9
13.0
13.8 17.4
16.7
13.8
construction bâtiment
2
5.6
paiement crédit
1
2. 1
2
1
2.8
5.6 2.8
5.6
4.3
achats marchandises (petit
2
3
1 3
1
2
commerce)
5.6
13.0
2.8 13.0
2.8
8.7
achat matériel agricole
1
1
1
1
2.8
2.8
2.8
4.3
mariage
2
2
-
1
5.6
8.7
4.3
-
achat fournitures scolaires
1
2
1
4.3
8.7
4.3
paiement contrat berger
1
2.6
pèlerinage lieux saints
1
4.3
achat habillement
1
1
saad / santaan
achat machine à coudre
l-
i
2.8
I
3 6
. . .__-
_.___
/*,,m”---
------

Dans la zone de Wadiour ce poste de dépenses représente en mqyenne 403% des dépenses
réalisées. Vient ensuite l’achat d’animaux qui, en milieu rural, constituent la forme
d’épargne la plus répandue. En plus de ces deux rubriques, le revenu tiré de la culture de la
pastèque permet d’effectuer divers achats.
Conclusion
Les différents tableaux permettent de caractériser la pratique de la culture de la pasteque
notamment ses avantages et ses inconvénients. Malgré les difficultés rencontrées dans la
commercialisation, les difficultés de conservation, l’absence de mode de transformation et
1s baisse de la productivité des autres cultures après pastèque liée à l’appauvrissement des
sols, cette culture attire de plus en plus des producteurs dans les deux zones d’étude.
Par conséquent, et pour mieux valoriser la culture de la pastèque, il est important de
raisonner des itinéraires techniques efficaces pour maintenir le nkeau de productivité
ciu sol tout autant qu’il s’avère nécessaire qu’une attention toute particulière soit
donnée aux processus de transformation.
---_-.
_
_ .._l_l
,-
--

ANNEXES

1 - CULTURE DE LA PASTEQUE
1. 1 . Var&% cultivées
-
-
1 _ 2 _ origine des semences
a ~provisionnement en semences
nombre de réponses
Total
%
Ndiedieng Wadiour
achat au niveau des magasins
2 9
1 7
4 6
77.9
spécialisés
achat au niveau des marchés
1
3
4
6.8
b:bdomadaires (loumas)
cl bnservation de semences
3
-
3
5.1
personnelles
achats et conservation
2
1
3
5.1
achat au niveau de I’ARAF
1
2
3.4
i
sans réponse
2
1
1.7
N=S9
1 . 3 . ancienneté dans la culture de la pastèque
100
8.5

4:
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne
“S--e-
..-
--.-

Ii . 3 . Evolution des superficies au cours des trois dernières années
supelFFicie cultivée en
I
- -
I
importance des producteurs dans la catégorie (%)
hectares
I
I
1993194
1994195
1995196
Ndiedieng Wadiour Ndiedieng Wadiour Ndiedieng Wadiour
pas de culture de la pastèque
-
2
4
2
(8.7)
(11.1)
(8.7)
superllcie cultivée entre .25
3
3
1
6
3
et SO
(8.3)
(13.0)
(2.8)
(26.1)
(13.0)
entre 51 et -75
I
9
I
6
1
7
I
3
2
(25.0)
(26.1)
(19.4)
(13.0)
(2:s)
(8.7)
entre .76 e t 1.00
4
2
4
4
2
4
(11.1)
(17.4)
(5.6)
(17.4)
entre 1.01 e t 1 .
(3:49)
6
12
5
(26.1)
(33.3)
(2 1.6)
entre 1.50 e t 2.
8
1
8
3
(22.2)
(4.3)
(22.2)
(13.0)
entre 2.01 e t 2.
2
6
1
(5.6)
(16.7)
(4.3)
plus d
2
1
(5.6)
(4.3)
sans r
1
2
(4.3)
(2&
(fw
Total
3 6
23
1 36
1 23
3 6
23
0
pourcentages

1 _ 4 . Localisation des parcelles cultivées en pastèque
1 . 4 . 1 Raisons choix emplacement toll keur pour h mise en place des parcelles de
past$que
%vantages des toll keur
mnomb:te de réponses 1
%I
Ovrres plus fertiles
8,ardiennage relus facile
sans réponse
L
-
l7
28.6
w=59
1 . 4 . 2 Raisons choix emplacement toll diati pour la mise en place des parcelles de
pustèque
raisons du choix des toll diati
I
nombre de
I
manuue de toll keur
a8:croissement des terres cultivées en pastèque /
2
11.8
-en vue de Dréserver la sole de souna
6
35.3
permet de bénéficier du parcage des animaux 1
2
11.8

II _ PRATIQUES CULTURALES POUR LA CULTURE DE LA PASTEQUE
:! . 1 Semis de la pastèque
modes de semis
L: .1 . 1 Jush$cut$s de la pratique du semis précoce
-
avantages du semis précoce
nombre de
%
-
réponses
accès rapide au marché de la pastèque
-
2 2
53.6
accroissement des rendements
-
11
2 7
reduction des dégâts causés par des animaux
1
2.4
divagation
-sur application des conseils techniques de
1
2.4
l’encadrement
pour mieux profiter des dernières pluies
6
1
14.6
??=41
2 . 1 . 2 Just@catifs de la pratique de semis tardif
-
avantages du semis tardif
nombre de
%
-
réponse
améliore le goût du fruit en cas de non remontée
3
16.7
du sel
-nlduction des attaques par les insectes
8
44.4
iisponibilité de plus de temps pour
6
33.3
entretien plus facile
1
5.6
Tr=18

:! _ 2 Amendem.ent des sols
‘) . 2 . 1 Apport de.fimure organique
‘A
Type de fnmure organique apportée
Wdiedieng Wadiour
total
réponses
réponses
repenses
%
%
%
knier de cheval
2 7
6
33
81.8”
18.2
100
75.8””
26.1
55.9
parcage bovins
3
8
11
27.3
72.7
100
8.3
34.8
18.6
compost
5
5
100
100
21.7
8.5
r>as d’apport de matière organique
6
5
1 1
54.5
45.5
100
16.7
21.7
18.6
bIta1
3 6
2 3
5 9
100
100
100
61.0
38.9
100
*
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne
2 . 2 . 4 Apport de @mure minérale
catégorie de réponses
ndiedieng Wadiour
31
10
75.6”
24.4
86.1 **
43.5
5
13
27.8
72.2
13.9
56.5
100
*
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne

2 . 3 Interventions culturales
nombre de sarclages manuels
Gdiedieng Wadiour
total
&s de sarclage manuel
1
1
100
100
4.3
1.7
un (1) sarclage manuel
14
21
3 5
40"
60
100
38.9++"
91.3
59.3
deux (2) sarclages manuels
18
1
19
94.7
5.3
100
-
50.0
4.3
32.2
trois (3) sarclages manuels
4
4
100
-
100
11.1
6.8
total
36
2 3
59
61
39
100
1Oa
100
*
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne
-
--
Ilombre de sarclages mécaniuues
Ndiedïeng
Wadiour T--
pas de sarclage mécanique
2
2
100
100
8.7
3.4
un (1) sarclage mécanique
1
1
9
--Tir
55”
4 5
100
30.6**
39.1
--
33.9
--
deux (2) sarclages mécaniques
1 7
8
25
68
3 2
100
47.2
34.8
42.4
--
tr0is (3) sarclages mécaniques
5
4
9
55.6
44.4
100
-
13.9
17.4
15.2
-
-
sans réponse
3
3
100
100
8.3
3
6
2 3
59-
61
39
10
100
100
100
~-
*
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne

Préparation du sol
etffectuent une préparation
t
78
87.0
tejffectuent un labour
181t
5
L
37.3 1 21.7 1 30.5 1
Type de rotation effectuée pour la
Ndiedieng
Wadiour
total
-
culture de la pastèque
en culture continue
12
7
19
63.2”
36.8
100
33.3 *+
30.4
32.2
-
maïs / pastèque
13
1
14
92.9
7.1
100
36.1
4.3
23.7
-
souna / pastèque
8
12
20
40
6 0
100
22.,1
52.2
.33.9
arachide / pastèque
3
1
4
7 5
25
100
8.3
4.3
6.8
-
jachère / pastèque
1
1
100
100
1.7
-
sans réponse
1
100
1.7
i&l
5 9
-
;ic
pourcentage de rang
**
pourcentage de colonne
-
^--MI_-
--1_1 -.--

JII - DESTINATION DE LA PRODUCTION DE PASTEQUE
3 _ 1 autoconsommation
pourcentage de la production
1993 / 9 4
1994 / 9 5
1995 / 9 6
autoconsommée ( %)
réponses en réponses en % réponses en %
s;”
autocona)mmation estimée à 2 %
6.8 -
5.1
11.9
5%
6.8
3.4
10%
52.5
50.8
57.6
1 5 % -
15.2
15.2
6.7
20%
10,2
11.9
10.2
à plus de 20%
5.1
10.2
5.1
sans réponse
3.4
3.4
8.5
3 _ 2 dons
/
pourcentage de la production en dons
1994
95
- PT
--+iyi réponses en % réponses en %
las de dons
I
8.5
ions estimés de 1 à 5 %
37.2 -
le5à 10 %
44.1 -
le 10 à 15 %
I
1.4
le 15 à20 %
le 20 à 40 %
-*-
;ans réponse
I
3.4
3 . 3 vente
pourcenhge de la production réservée
~j
1993/94
j
1994/95
1
1995/96
j
à la vente (%)
pas de vente
ventes estimées à 25 %
sans répoases
_-..- --__-
-______
-<--*II,--
.,.-w-
--
--
--