I ISRA Etude des systèmes de production des...
I
ISRA
Etude des systèmes de production
des paysans pratiquant la culture irriguee
dans le cadre de la S.A.E.D.
Premiers rbsultats
,
Richard-TO11 - Dakar

Cette étude est #alisée par :
/
,
/
I :
1) Pour l'agronomie
j
- J. CANEILL
IRA - INA
>.
- J. MEWVIELLE
4 RA
- 0. AURIOL
'RA
4.
- Pl. N'l!3IAYE
$RA
;z 1;
2) P o u r l'&conomie
,'Eir
y .
- Ph. BONNEFOND
f,ti ,SToM
- A. CLEMENT
B&TOM
(pro parte)
,b
I :
La Premiere r&daction de ce document a 6t6 assur4e
par 0. AURIOL sur la base des données recueillies par l'ensemble
de l'équipe. Cette redaction a été reprise dans le c3étai.l et
largement complét6e par Ph. BONNEFOND.

-*A-
L'étude menée con'$ointement par ~'I.s.R.A. et ~*QR,S,T~QM.
a débuté en 1978. L'object/ik d e ce document est de présenter
da
l .;
quelques uns des résultatsl' cquis jusqu'à présent après deux ans
i,, p
de recherche.
1 - BUTS DE, L'ETUDE :
L'étude entrepr
a pour objet le diagnostic des
.zz
t&mes de production actue
-
",..
ment en place dans les Er,&st&c,de
la SABD,
et la mod6lisati
-*-.-, ^ ll".._.--.-..
de nouveaux sysmes.
".b_ .-... ~ I _. ^_I .._- 1,,"1- _ . . .
Le diagnostic c
iste en une analyse du fonctionnement
des eystemes de productio
avec en particulier la d&termination
des facteurs et conditions'iimitant
la production.
1
.+ ._-- _-.-- .-I. _ ..- ,
O’n en dégagera la coherence des systèmes pratiqués,
c'est % dire la façon dont le chef d'exploitation prend en compte
les contraintes et les facteurs favorables pour realiser ses ob-
jectifs.
La connaissance des objectifs permettra de proposer dss
syst8mes mieux adaptés dans la phase suivante de modélisation de!
nouveaux syrtemes.
11 - DEROULB#$NT DE L'ETUDE :
Les exploitations suivies font partie de cinq groupements
de producteurs. Le groupement de producteur5a été choisi comme uni-
té d'itude car c'est le seul interlocuteur reconnu par ïa S.A.E.D.
C'est au niveau du groupement que se font les approvisionnements
et la commercialisation et c'est par l'intermédiaire du président
du groupement que passe'?@ dialogue" entre la SAED et les paysans.
L'unit4 correspondant au système de production est le
foyré (Toucouleur) ou N'Diel (Wolof), c'est à dire l'ensemble des
personnes qui se nourrissent a une m&ne cuisine.
1) Les groupements suivis sont situ&s dans quatre pdri-
mètres de la SAED.
I"
- M'Bouadoum Nord': grand périmètre du delta. Le grou-
pement suivi
prend 15 adhérents (dans la &ere
!
4' .*. I

- 2 -
tranche (150 ha) de la zone dites des '"400 hectares"),;
CB SQXbt der~%@+f.
I/
- Niaage t
QX"FmBtre de la moyenne vallée. Deux
groupenente de
roducteurr ont BtB choisis :
qui comgtond 17 adharents toucouleur
a98 de grQdUCtion)
qui comprend 14 adhirents wolof cul-
e parcelle collective.
- Ou664 t gbrta
0 de la moyenne valide. Le groupement
ruhvi art oel
de la CUMA, il compte 29 adhirents
: petit pPrimi&tre villageois de
la rdqion de Mgjtam ; il comprend 7gadhBrents toucou-
leur(+C S$kA~k A* e-1 3
2j Donnies tro%willieo
Pour chaque rystbme de production, il a Bté enregistré
- Les 6Wairpe.Qjimog)raphiquos : effectif, bge, sexe des
sembz~e Au ryrt8ma de prC2dUCtiQn; nombre de travail-
5rrusr agrlcoi;lis, ,nlPrbra d'abrents,
- Lac ruporfiairo Oultivieo
: dans et hors pdrïmatre.
- Le aat+riel dirgonible et l'endettement.
- L’ 4iwmge : bature et effectif des troupeaux, évolu-
tion au coWs da l'annde. Chaager. Alimentation.Le*$+
tiS1iration de chaque reiicolte. Charges
**et
f ami llorr .
‘ w
..< ,
L~rn*:<*te~~ ryikh$u# qui permettront de ddtermîner les
objectifo 4u
et les contraintes et facteurs
favorable@ d
ctfon sont en cours.
*
t,ure Irrfguie, il a QtB enre-
tr la production
%gpliqu4eo
urs et en heures, par tech-
$aque catdgorle de travail-
#IS eu enfmt, et famille, aide ou

- 3 -
jc&s et,/; heures , par tech-
,ét po/chaque catégor$k de travail-
e o~,'enfanFr et fawille, ai,de ou
,'
:
Pour certains
Urnes de production, les dépenses et
les recettes, ainsi que
temps de travaux, sont enregistrés
chaque jour afin d'étudi
le fonctionnement de ces systèmes.
Pour certaines
des prélèvements de v&g8tation
sont effectuds, sur lesq
s on étudie les composantes du rende-
ment.
III
Les r6sultats dieponibles actuellement seront exposcZs
en suivant le plan de travail donné dans l'article de J. CANEILL
et Ph. BONNEFOND *El&nents pris en considbration pour caractériser
les systQmes de production et leur environnement dans la vallée
du fleuve SBn6gal", paru dans le no 1 du bulletin du département
d'Économie et de sociologie rurales de 1'I.S.R.A. p. 33 a 37, Il
s'agit de résultats provisoires qui souvent ne sont pas encore
interpr4t8s.
Plutbt que d'exposer d'une maniere exhaustive toutes
les donndes recueillies, on se limitera a quelques résultats im-
portants accomgaga6s de remarques d'ordre qua1itati.f sur les con-
clusions qui en oaé 6tB tirdes.
1) cw*otDr~r du ailieu
1.1. Milieu naturel
DonaBia~ recueFllies.
En cours de dépouillement et
d'interpr4tation.
1.2. Milieu hwain
Les ethnies concern6eo par la Culture irriguée le
long du FleUve sont : les uolof, les toucouleur, les peu1 et les
soninké. Les gr,W$$*arento,$te producteurs ici etudiés sont soit
/
wolof, soit toticp\\jliur . D$nr les am6nagements les peu1 ne sont
.I< ,
pas tr&s noabra&r I quan
ux soninké de la region de Bakel ils
sont d'un aocèe W,ffbelI
n saison des pluies.
-

-4-
Le fait qu'un Défi metre de culture irriguée se trouve
i
<

pues d'une agglomération ibb' ortante crée une rente de situation
tout à fait particuliere. 'Y'
Ida.,ns ces conditions nous avons preféré
exclure de notre Ochantili
ces cas peu
représentatifs.
2)
2.1. Objecti
de la SAED
Pour 1'689831
1 et concrètement la SAED s’efforce
actuellement de promouvoi
a culture irrigude et elle agit pour
le moment exclusivement s
ce systeme de culture. Son action vise
selon les cas soit h prod y/ e un surplus de riz commercialisable
(afin de reduire les impo&tions de riz du SBnbgal),
c'est le cas
des grands périmètres, soit & assurer la couverture des besoins
propres de$ populations touchees par la s&cheresse (riz et mafs
surtout), c'est le cas des petits périmètres. De plus sur les
grands pdrbmètres la production de tomates a pour but d'approvi-
sionner les usines locales de concentré de tomate. La commercia-
lisation sur les grands pirim8tres doit permettre d'augmenter leF
revenus monétaires des agriculteurs concernds.
2.2. Encadrement et vulgarisation
La SAED a mis en glace un rdseau d'encadrement plus ~II
moins efficace comme on le verra plus loin (3.8.1.). Le role des
encadreurs est unilatéral : il consiste à faire appliquer par les
paysans les techniques culturales pr8ndes par la SAED. On ne peut
pas parler dans un tel contexte d'une vdritable formation du paysan
nat celui-cl se forme en fait de lui m6me "sur le tas" en "essuyant
les pldtres" de ~4s propres erreurs et de celles de l'organisme
d'encadrement dont Il supporte dans bien des cas les conséquences.
2.3./2.4 9ypas U'aménagements et de perimètres
Les andnagements hydroagricoles sont soit le fait de
1'Etat (surtout sur crddits extdrieurs),
soit le fait des paysans
eux-memes.
Dans le pre&er cas il s'agit de grands perimètres
(quelques centaines ou aili;liers d'hectares chacun) réalisés avec
des moyens mécaniques lour&s par des societés privées (sur appels
*i,,
d'offre) et dont
t élevé (environ 1.500.000 F CFA/ha).
Dans le selcond @ILS
ts pirimatres (quelques dizaines d'hee-
tares chacun) x4alioBa aw
des outils manuels par les paysans

- 5 -
‘/
et dont le coQt est assez
duit (de l'ordre de 300.000 F CFA/ha,
travail paysans non rémun
4, dont 20.000 F CFA/ha B la charge
des payaans eux-mimes) l
Sur les grands
imètres les inputs sont très importants
contrairement auXpst& où
culture est manuelle. Sur les premiers
les payaans sont soumis d
açon très étroite 8 la SAED, il s'agit
d'une "forme de quasi sa1
at sans garantie de salaire"
(BIRSCH,
1972) mais avec au contra
tous les risques inhérents B la
condition paysanne t sur
seconds au contraire ils peuvent bé-
néficier d'une large auto
ie qui tend marne à augmenter compte
tenu de la necassit de p
ier aux dbficiences de gestion de
l'organisme d'encadrement
2.5. Types de cuvettes et de petits périm&trea
6-+)
(f;p
On trouvera sur l-tableaux ci-joints un certain
nombre de renseignements concernant les diff6rents perimètres
irrigubs. Ces donn6es ont ét6 extraites de la bibliographie con-
sultde. Elles concernent les superficies am6nagées et cultivées
ainsi que les groupements de producteurs et leurs adhdrents.
2.6. OrganisatFon du travail
La r43gle gdnarale est l'individualisation des parcel-
les. "L'attributaire",
qui n'a que l'usufruit d'une parcelle, la
cultive avec sa famille ainsi qu'avec des aides et parfois des
salari6s. Toutfoir dans oertains cas la SAED a essayé de develop-
per le travail oall@c
Bakel) ce qui le plus souvent
a abouti & ian Bohec I
lleuro les paysans se partagent
les parcelles alors a8me ~US la SAED consid&re qu'il y a travail
collectif.
11 semble que sur lea petits pBrimetres les adhérents
soient plus de v&itables progridtaires que de simples attribu-
taires comme c'est le cas sur les grands périmètres.
l;e travail deo paysans est beaucoup plus important sur
les petits pbrimètreo que sur les grands compte tenu du fait que
tout est rialiad maauslirment.

Ambnagements tertiaires
réalisés au l/ï' de chaque annëe i b;\\
:
71 i
72
:
73
;
74
:
75
:
P é r i m è t r e s :
:
77
:
78
7 $4
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76
;
:
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N :
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0
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: 300 :
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: 300 I
0
: 300 : o
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~undoum
2; 400 i 400 :: 800 :: 0 j 800 i 0 f 800 ; 700 ‘1500 : : : 740 ;2240 1 216 '2456 : 0 :2456 : 0 5..
:
:
:
:
:
.ssak-Sud
3 :
:
:
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:
:
:
:
150 : 150 : 120 : 270 :
0
:270:
0
:
270 : 0
:
2
.Sagar
4.
1
:
:
.
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:
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300 : 300 : 400 f 700 : 215 : 915 : 0
:
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:
:
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:
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:
:
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:
:
:
9~g.The1.161 5s
: 400 : 400 : 140 : 540 : 494 :1034 : 516:155i
:
680 ;i 680 f
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770 i
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770 1 0
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1
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;-400;2400
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i 132
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10f
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182 : 182 : 190 ; 372 ; 23 i 395 : 302: 697
:
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:
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r&Leto
11;
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t
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: 200 ; 200 : 320 f 520 ; 100: 620
:
:
:
:
20 :
20.: 160 : 180.: 140 : 320 : 150 : 470 : 280 : 750 : 210: 960
ke3.
:
:
:
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:
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25 :
25 ;
70 ;
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S ; 100 '
50 ' 150 :
50: 200
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ta1
1 & 13; 500 : 500 il000 : 100 '1100 ; 152 :1252 :1733 :2985 :4002 :6987 :1835 :8822 ;1488 '10310 :2118:12428
:
:
:
:
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:
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a . Plrimè-
: 500 f 500 :lOOO : 100 il100 : 132 il232 :1548 f2780 ;3792 :6572 '1480 :8052 : 838 :8890 :1758:1064'
eslà
:
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.pérfmètres :
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:
:
:
:
Dy.vallée) :
:
20 : 20 : 185 : 205 : 210 : 415 : 355 : 770 : 650 :1420 : 360:17(3
11
B 13: : : : :
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
Lta 1 B 7: 500 : 500 il000 : 100 :1100 : 0
:
:
:
:
:
:llOO ; 850 j1950 ;2240 14190 i 846 '5036 ' 709 ;5745 j105616801
:
:
:
d.Périm&tres: :
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
>y.Vallée) :
:
:
:
:
: 132 : 132 : 698 : 830 :1552 :2382 : 634 :3016 : 129 :3145 : 702:3847
8 à 10:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
Vall&e
:
:
:
:
:
6-a 13
:
:
:
: 152 ; 152 i 883 :1035 il762 '2797 ' 989 i3786 : 779 '4565 '1062;5627
:
:
:
:
:
:

Ri.2 d'hivernage
---
:
65
:
66
:
67
:
68
:
69
:
70
:
71
Indicateur
i (Dol&@) i (Deltii:)'i,: (Delta) i(Dclta) i (Delta) i (Delta) f(Delta)
ù ,/l.
.
kurface cultivée (ha)
(dt. tertiaire)
Surface recoltde (ha) : 5900
:
9100 : 7079
: 8779
,(dt. tertiaire)
Prod. (t)
Rendement (t/ha Rd) :
1,8
:
2,0
1,8
:
0,7
:
1,l
Commerc&AED (t)
t commercialisé%/ha Ré.:
0,8
:
1,l
0,7
:
0,6 :
1,2
:
0,6
:
0,8
nb. d'adh6r8nts
Surf. cult./adh. (ha)
:
:
72
' 73
' 74
' 75
' 76
' 77
' 78
Indicateur
i(Delta)f(Delta) i~j~j~j~~~
.
a
:
Surf. cuit. (ha)
i 10362 :
9900 :
8415 1 zg&f; g*;
(dt. tertiaire)
: (1023): (1106): (23331.: (38481.: (5362):
:
8415 : &gp 5g23 :
> Surf. RCcolte@ (ha)
6562 '
8650 i
: (dt. tertfaire)
* (1023); (1106); (2333): (3848); (4733):
2
:
Prod.
(t)
:
6000 t 10380 : 19355 :
6995 : 20308 :
(dt. tertiaire)
:
:

: W(l8168):
:
i Rendement (t/ha RtS)
0,9 ' 1,2 : 2,3
:
:
r
:
l,+ :
: (dt Tertiaire)
:
8
:
:w=: (
: commer,
SAED &)
:
2600 :
600 :
8400 :
3827 :
4e
:
:
:
:
:
:
; t. coumer./ha Ré.
:
0,4 : 0,l ; l,o
:
~~~
: nb. d'adh&.Z&~
:
:
:
3500 :
:
6843 :
:
:
:
:
:
:
ti1
:
:
' Surf. cult./adh.
L
:
:
CG) *;
:
:
2,40 :
.:
:
:
1,30 ::
:
:
:
f
8
:
:
:
-~
*

Delta - Riz hivernage
: *
indicateur
: ..-
:
:
-+6-b+-
:
:" (dt. tertiaire)
:
:
' Surf Rd. (ha)
i
(dt. tertiaire)
:
: Prod
(t-1
: (dt. tertiaire)
:
(4090) :
i Rendornent (t/ha R6)
: (dt. tertiaire)
:
: Commer. SAED (t)
4660
:
:
:
i t. c:ommer./ha RO.
: nb. d'adhéfe&
:
Daqana - Riz d'hivernage
-11<-
----
-
:
t
t
:
:
: Sur ff. cuit.
(ha)
:
570
c
708
:
1082
:
I Surf. Rb. (ha)
1
t
515
:
695
:
962 c\\..f:
:
t
708
:
:
: Prod. (t.)
4 3
:
2060
8
3823
:
3546
:
0 0
i Rendement (t/ha RB.1
:
:
4,O
5,4
:
:
5,l
:
:
: Gommer. SAED (t)
:
1640
:
2402
:
1400
:
:
:
s
:
:
:
:
:
i t. commerc./ha RB.
:
3,2
:
:
3,4
:
2,o
:
: nb. GP
:
48
:
58
:
:
' Surf.
:
:
:
:
:
cult./GP (ha)
li,88
12,21
‘3
:
:
:
: Nb. d'adhc&*s
:
738
:
f35@
!
:
2
i Surf. cult./adh. (ha)
:
c),78
:
0183
:
:
:
:
:
:
: Nb. d'adh./GP
t
1 5
:
1 5
:
:
:
:
i marge/adhe!tru%ci
:
:
Br8067
126155
:
:
:
. .
(f? CFA/
.
:
:
:
:
: marge/ha Ré.(F c-1 :
~$3266
:
151994
145188
:
:

Nianga - Rit hivernage
-~-
:
:
.
w.
Indicateur
76
:
77
:
71% ; 'q$ : g
L-'J r f . c u 1 t .
450 :
436
:
39,% I ir-+.$- : '.
:
450
:
436
3618 ' &!J 3 '
:
t
.
: kcod. (t)
!120
:
196
:
i Rendement (t/ha R&i.) i
4,7
: C~mmer. SAED (t)
726
:
: t commer./ha Ré.
1,6
t r3.
GP
:
: c trf.
t
cult,/C$P ( h a ) :
: lb d'adh&&
:
: L urf,
:
cult./adh. /ha) f
: J b. d'adh/GP
GuBdB - Riz hivernage
m.-.
-
:
t
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:
: ; ilrf. cuit.
(ha)
:
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t
372
:
3331 ..f'-)" i
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:
:
: turf. Rd. (ha)
277
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372
2i8Oi ,-';tx%-*'
:
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:
:
:
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1
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1%20
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t
:
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:
undwnsnt (t/ha Rd.1 :
2,1
:
:
419
Jmmer. SAED (t)
:
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126
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4&q-
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commer./ha Ré.
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0,s
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: 1 '). d'adh&c&
t
1034
:
1050 :
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*-p-z
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: irf. cult./adh. (ha) ;
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0,26
:
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0 -rq .:
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t
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-
-

Adr6-Lao - Riz hivernage
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Indicateur
:
76
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77
:
:
:
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7
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:) Surf. cuit.
(ha) :
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: Rendement (t/haR&)i
: Commer. SAED (t) :
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: t. commer./ha Ré. :
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: nb. GP
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Matwkl -
Riz hivernage
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Indicateur
:
74
1
75
:
76
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77
I
78, q.84,A :
:
t
:
:
:
:
: Surf. cuit. (ha) :
23
:
84
:
238
:
274
1
Qg3'4i%% ', :
:
:
:
:
1
:
surf. Ré, (ha)
15.
f
73
238
274
493 /"/‘Gi ;
:
1
s
:
:
: Prod. (t.)
1
67,s
:
378
:
1190
:
1560
:
2l$oo,c~,,:
i Rendement (t/ha RC):
:
:
4,s
:
5,2
i
5 10,
5,7
:
:
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: Coaunerce SAED (k) :
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6 :
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fl.
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t
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1
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3
8
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16,
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16
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: Surf. cult./GP(ha):
7,67 i
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17,13
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l(j,43 .+:>y;
: nb. d'adh&Zt,
i
240
'3
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:
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1500
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1
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0,13
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f y)y- pY-r;;
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:
:
: Marge/%s Ré. (F C&?%)i 170000
:¶m00
:
:
:
:
:
:
5
1
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:
1
:
--
(1) dorsn44m proviaoFrer

Bakel -
hivernage
. ..-
:
t
:
t
Indicateur
t
75
76
:
77
r
7 8 ;;t,‘ i
:
r
:
:
:
t
: Surf. cuit, (ha)
t
18
60
:
65
:
i
t
t
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: Surf. R&. (ha)
8
15
60
:
65
:
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r
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:
: Prod. (t)
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53
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:
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r
t
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3t5,
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:
:
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:
:
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: nb. GP
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1 2
:
1 4
:
:
:
:
:
: Surf. cult/GP (ha)
r
6,Q0
5,00
:
:
:
:
:
: nb, d ' adhtlE2Cfç,
:
f3tS”
WW&&
:
:
:
:
: Surf. cult/adh, (ha)
:
@pi.
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:
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:
:
: nb. d' adhJGP
:
3d
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:
:
(1) doaniee provlroiree

i
Tomate contre-saison froide
Indicateur
:
'
69/70
:'
70/71
j
71172
;
72/73
f
73/74
f
74/75
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'
75/76
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76/77
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77/71
'
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(Delta)
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(Delta)
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.
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Surf. cuit. (ha)
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13
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30
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:
1077
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886
:
:
:
:
:
:
:
:
t
:
Surf. Rb. (ha)
:
6
:
13
:
30
:
79
:
144
:
627
:
1077
:
886
:
:
:
:
:
:
:
:
t
:
180
2
390
t
900
:
15430
:
3053
:
12450
t
12738
:
17360
t
.
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r
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1
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2
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1
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t
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11.5 :
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Delta - Tomate contre-saison froide
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._
_
_ _II -".-
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>_-.1 --
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Surf. cuit.
(ha)
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Prod. (t)
Rendement (t/ha Ré.)
Gommer.
SAED (t.)
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-
_-
-
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:
:
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:
400
:
450 5-d :
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t
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:
t
520
:
400
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Prod. ttl
X&ar
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,8664
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10400
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6982 %e‘:"e: :
:
;
:
t
t
:
Rendement (t/ha R4.1
:zp.32,0
f
1!5,5
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26,0
:
15, 5 .4-g :
:
1
t
:
: Comaer.
SAED (t)
i
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5454
:
6351
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t. commer./ha R4.
LJf% 24,s
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1
15,9
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s
t
:
:
:
m<trqe/ha RQ.7n
:
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t
2iU669
:
390364
: 198970
:
(F.WAX, -*'
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2 .4
:
:

Nianga - tomate aontre-saison froide
. . __
. .
il
. I
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:
Indicateur
3fqf86 :
7 5 / 7 6
:
76/77
:
77/78 **J i
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Surf. cuit. (ha1
50
Surf. RB. (ha)
t
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:
Prod. (t)
44m+:
1155
:
:
:
Rendement (t/ha Ré.)lZSjt :
23,l
20,o
:
:
Gommer.
SAED (t.)
605
:
1853
:
+@v 8
t .
t
commer./ha RB.
:
ttp- :
12,l
12,4
:
:
marge/ha RB.
i
:
218250
:
:
(P.CFAc-";)\\
t
:
:
:
II
.I..
:
:
:
-- .---
Matam - %otiate
contre-saison froide
.-.
--
--_-
:
:
:
:
:
Surf. cuit. (ha)
:
1,s
:
6
:
:
i
Surf. RB. (ha)
:
:
:
:
:
:
1,s
6
:
:
I
:
:
Frod. (t)
:
87
:
300
:
:
:
:
Rendement (t/ha Ré.):
5 8 , 0
:
50,o
:
:
:
8
:
:
Commer.
GARD
(t)
:
:
32
:
99
:
0
:
:
:
t. Commar./ha RIB. '
:
21,3
:
t
t
16,5
:
:
0,
;
: marge/ha R4.
:
840000
:
:
:
(P.CPA/
I
:
:
-.. -.__ -.
Ii 11

i
2.7. T~piui~ do.
mrcialiwtian
La SA]C#?, par d
grrtion de I'ONCAD, d6tient le bono-
pole de la commercialieatF
des produits agricoles provena,nt
des p6rimatrea irrigu4s. E
lus de la part commercialio8e la
SAED r&cup&re le plus souv
en nature l'bquivalent du montant
des charger do production.
Cc principe d'un
o~meraialîration par le Secteu;r public;
souffre toutefoîe danr la6
ft# d‘un certain nombre d'exceptions"
Il existe dae cirauito de
merciallaqtion priv&e non officiels
qui peuvent drainer une ga
non ndgiigeablti de la production :
paddy et d6cortktqu19 dans 1
tomate autour des grands
périmètres cette culéur $1".est pratiquée, maYs des petits périme-
.I( .
tree, cultures mararchares, . . . Plueiéurs explications peuv;ent
Btre fournies au sujet de ces circuits parallèilss : les prix y
sont souvent plus BlevCTo et plus on a'iloigne de la récolte plus
ils augmentent, le piiement est 1mmédia.t (et non diffirb), les
quantites concarniea peuvent Dtre pou Qlevées ce qui permet de
satisfaire les besoinr qwti8Fenr d'argent, de rc&aliser des opé-
rations de troc et de moduler en fonction des besoins les quanti-
tc%s conserv6ea gour 1~autooonaro~mation~f~~:~~~~~~ t
Devant cet Qtat de fait la SAND seagit dans certa'ins
cas par des mesures coercitives qui ne donnent pas toujours les
r&sultats eecompt&a mais qui tendent & envhimer les relations
paysannat-soci6tb de d4velopqement.
'2.8. %&~la+,@nr,~ ghageasnte DDE producteurs - Coo!péra-
titrer
.'.
Les @.rroupaa@&a QI producteur8 ont des dimensiws K"S-
lativement r6duiter et,C.ce fait une aseise financière (Oa,ution
-*
mutuelle,
eolida,k%t4) LahuSf.&Oante yeux de la BNDS pour poupoir
avoir acchs au o&&dtt d'iquipaent B msyen terme. Dans ces con-
ditions lee groupia+nto de preductauro sont regroupés au se,i.n de
coopératives qui '$ewentiobtenfr der gr4ts pour certains de leurs
'.
membres.
'.)I
:
.,/,li

En dehors de ue rble bpisodique d'interaediaires:entre
les paysans et la-banque d
diveloppeaent il ne semble pas que
*
les coop&ratives jouant aa
ellement un grand r61e dans le cadre
;
des pqrfm&tro8 aminagdo.
ant les groupements de producteurs
constituent une rialitd bi
vivante en particulier en tant:
qu’interloauteuro de la S
autant leur0 regroupement8 e1p coo-
pdrativeo n e c r i e p a o actu
lement entre eux de véritables liens
de solidarit08. On peut d'
lleure pen#er qu'il n'y va par de
l'int&rDt de la SA~RI de 81
rouver d.evdnt un milieu paysan:trop
bien struaturi qui risquer
t de' constituer une force qu'rale ne
p o u r r a i t n4gliger.
2*9./2.10.
rique et resultats
Mouo avans r
pi dano les tableaux ci-joint+ (p. 6-
- i
14) les donndes disponibles (bien mnaigfes et souvent impr4cises
et contradictoirer) ooncordant les t6alisations quantitatiyeo
passées de la SA&O en particulier pour le riz d'hivernage et la
tomate do aontr, oairon froide. Surfaces ambnagees, Cultiv$es et
récoltéare an o&&arant bien 190 am~nagepente tertiaires (le primai-
re et le secondeire ne aonaexnent qu~'u$a partie du delta)
i; pro-
duction, rsndemeirt et commerckalisation (officielle). Les ?arges
qui dans certains cas ont pu Dtre oalcul4es Constituent la diffé-
rence entra la valeur de la production totale (au prix d'acfhat
SAED) et les charges r8oup~rlrr prr la SAND.
3. Carr4iHd.xe~bu 8y8t48~0 d9 Droduation
t ggg,éth$ .wOk de-la frCmille Dar plrimetre
:
il!!...,, : .~ 1:
:
:
:
:
:N'Doulouma-:
%
-
:dji
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9 # 6 i 3
:
32
;
3,0
i
2,6
j
4,0
:
:
;GuBd6
f
i 0

L'effectif nloyw3
Crie peu eqtrs lea p8rFm&tras, ,mais
il existe de forte
N'Douloumadji N'Dw&be 41 h
9s mfgtont & l'Étranger (Fra~ie,
Gabon, Cote d'IvQire . ..)
35 hommea aigront au SenGgal. ~RU
total 39 oyot&aer do produ
en sur 76 ont un ou plusiouro de
leurs membres qui aigreat.
rsl dipartr provoquent une diminption
importante de la main d'oo
e diopoaible,
surtout dana 1~
classes d'age de 20 Q 30 a
*
Nb
.
.;
*;’
>_)” __‘<
I
A #'Beta
m, 13 SaaSfles aux 15 ent un de leurs mqtmbres
qui a une activit& rwn aj#*'iloel* C@hauffeur, maçon, commerce *. .) ,
ce qui ne mraque p+ a'aVw&r U$t* influeocte sur le fonctionnaqent
du systame d+ prs@w$lers,

:, !
" 18 -
'3
3.1.2. Leei
roductru~~ agricoles, les con; o,mma-
1
i":
‘6
: GuBde
l,2 ,: 0,8 :
:
OurorPady
?
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1
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F
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: Ni andane
r7,3 :
1 :
17 f 6,l : 2,l :
1,lt 1,9:
t
a,
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2
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:
:
:
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I
:
8
8
t
:W’BoundbUlir
r6,O
8
1
i
8
?
4,2 :
1,6t
1,2:
. Le8 orzfsntr trrvailleura agricoles ont entre 6 (et 14anç
. Le0 .adultrs snt pfua dia 14 ans
La aOPbz# b4cl%ri de txavailleuxa agricoles a étB,enre-
gistré en ddbut de urarg+g,nr. Le nombre de travailleurs effeqtifs
a bt0 enrogiatrl ~I#wSant la cwap8gne. C'eot le nombre de geqsonnes
gui ont effectloeacnt travail14 durant l'hivernage 19?8. Il est
infcirieur 8u 99phl;Hi as Wfiva+kleurS d,iclaria, surtout & Guid(& où
,;w
Ce&ci *8* 'aW,n'153!W p,*x lea cbiffreo moyens qui montrent
1
une désaff@gtbon #ko !&rc3go#tan,$e dos fermmes et des enfants.

: N'Douluumadji
63 :
: GulOdb
t Ourontady
: Niandane
15,.3
:
:
t
:
:
:
"4
I"
2
: H'Boundoum
2
l;J
2
:
:
:
OP9
:
2‘3
:
t
' t.
:
:
:
Le nomWiï aey+n Qr. travaifl8urs a l‘*'îrrfgub varile
d'un pQrln(Ltw J ~&'wtger bala cotrt'eI*Qnd 8 deo conceptions @if-
férentee de8 rygt&nrsr~a$r 'en plwe, a&.& h'dmportance plus ou
moins grande deir' Qultwroo msib'ks pdEiail.trC; Maio il existe des dif-
férences irporta,qGas eakiil l.ef ayrtQrn+w dle groduction d'un m@ae
pirimètre oar 8mvmkt i% 6 (tti attrîG$ Une m$me surface à chaque
syetame de pr@Utjs.l;%on pans tenir crompte de OOR effeotif. Cela
conduit 8 de8 .diî!k4&w'ei #MU coogatbbloe avec les objectifs.d'un
develogpement &rlitkîf4. '&r diff@reaces sont relativement fai-
bles à M'Pet;Lndet,t@ q#t%& œct la. srul p6r$Eit~reaoQ l'effectif de la
.: 3,f,b, xïsrr ~b$eotifr de l'agent et de sa fam,ille
n
oyrtlrrwe&c, qui deivent permettre de ddt:ermi-
ner les objectifs
'%' .'
r:tS4@!B de aystame de production, sont en cours.
i. ‘ 7
.,,.
Dea I&@I&&~ ont &@j& it4 8ffrctudes dans deux graupe-
ments (Ourom8dy oCt',fWd4). lUia& montSent Qu'un objectif dominant
est la s&curit4S&#:5ea 4t#&r’ovfgiorrara*~ts en aQrBal63s. La pria-
rité est do& $k
uultwes de dicruo et de didri
étant actuol2~*&
1psb iapostantes.
La tomate,estimée
.
aldatoire gat I&0Jgr8ns
z rattrisbe,
est cultive@ au d$tri-
ment du rit car
aison chaude ; sa cul-

3.1.4. L'
hronolog'lel dQm besoins de la fbrnille
Le BlpouilleuG&
BB, questiaanaires ddpensee-recettes
permettra d:btabUr la ch
ologie dee besoins. un premier
exemple figurr ct-joint.
3.2. Le sgot4me
producelon
3.2.1. Pi.O'
we
Avant 1& cr/aII~
d u pbrindtke, la situation Bto$t la
I
suivante :
- A N'Pouloumd
et Nirnga, il existait un systbme tra-
ditlonnel I
Il
. Culture6 de d, fil t culturoo pluviales Pratiqu$es en
hivernage eur sol sableux 'xi' en g8nQral mil et Bventuellemept
bc&ref.
. Cultures de w*lo : cuftutec de d&crue sur les ~01s
argileux des cuvettis de d4eantation du lit majeur pretiquFes
d'octobre & Pbvtier ; en giJn&ral, &rgho et Nit5bB.
. C%alkuZer de ftlo t jardinage pratiqu6 sur les bour-
releta de berge du lit @Anamur, en suivant la dbcrue du fL*epve.
&a&,& &Ca C+.lMP.
- a Gui&l,~il kfistait en plus du syst&me traditbonnel,
un casier ritîccPle"

semis d$rect/
.4~&&.
.Y~.
+Y .k . .
cultzureip de didri ont 4té aban-
a des pluies insuffisant-s, et
les
epuis 5 d 7 ans en raison

/IfCFA
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2


des crues déficitalr~s
-.
%A ‘atidatiotl des gdrlmi)tres j.rrigu4s
8ur le8 terrer e’sati.eZn8
Las aultuzes de
$a grrraistent dans tous les CAS.
Lea i6rPtionr 4s
@~#!AElkit A U QA8titAge dA l'AgriGUltura
traditionnelle & $'li'lgr%f;au~
ixrigw&A Sont VAriAblAs
:
r ~dwxfaced titlcultivies ~y" cdhlrent
sont faibles (dl* l'~zdki d
_:,
ha rhr),, “$.‘AbfBeno% de cUftUras tra-
oua kd âinont gE&ts 3 cultivet de nou-
-A@
* ai3 .oa
de riz, il n'&t: 'gbirç qtai&2 .dsi 60 r6duire leo activit4a sur le
périmètre Qn CA8 69 tetiOUti’,&ei cru830 -certains pensant pouvoir
cultiver rfnAultAn&A8dt l$ ~~al.6 et le pbrim&tr@ alors que d'autres
A, <
,<>
se consacroraibae~~hLeXll8oné
da la risiculturs.
L
1:
:
%
3 .2:;% k#&;'f%@i4$b tOtA& superficie utilisde, par-
walo, 48 S$T Yjd a$& ou%++?% 1e dibri 'et 53 sur 76 des falo?i,Les
ourfaceo n'oti$. &&kl~~%ki$ii~~* poua une partie de8 syotdaea. Les
walo en ont en moyenne
de 1‘87 ha et pour les
2$~~i'-+ailaar+nt que 1'6Sevage est
important.
: N'Douloumadji 1 et
iva en moyenne 10 ares d
N'DouloumadjE It

.dji f
rufv’f
.
i
P-,,.
sd-

:
a
%qMSficie
>:
1.1 “
O.lSlE
-, --- RCV i
jtotale
r ;;
, I ** ':
:
I _'
*.
:Superficie SeIL
iv& gst abaadonnde en raison de
déficience
B situe d 4 km du village
Les parcelles de walo
dos distances variables

54,21 ha pogr 29 adh4-
11 est o%tu& #ur des
egiqu6o, 6.28 ha ont
Oalicéc e@ remis: di-
' Buf,&wr &ille hydraulique du
tx'rnd 16 ti$st&uem de production (17
adhdrents)
ba qui se r8paxtissent
ainsi :

‘.*


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- 25 -

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- 28 -
A Ouromady l'aide, peu importante, participe surtout à
la r6colte. Elle peut proven r d'autres attrîbutaires de parcelle
avec qui il y a Echange de
avail, ou de personnes qui ne cultivent
pas de parcelle irriguée, e 1 qui reçoivent du riz en Echange.
A M'Boundoum
l'ai
provient surtout de personnes qui
d
cultivent aussî une parce11
de culture irriguée. Il s'agit donc
d'echange de travail.
A N'Douloumadji,
us les travaux sont effectues manuel-
lement et chaque parcelle I
e,
cultivie par un seul systeme &e
production la une exception i réirl .
A GuBdB le travail, du sol ainpi qu'une partie du semis
et du battage sont r6alis&s
l'aide de la motorisation par la
S.A.E.D. Tous les autres tra aux sont manuels et les parcelles sont
individuelles.
Il en est de mihe à Ouromady pour la riziculture #(sauf
qu'il n'y a pas de semis motoris9e).
Par contre la parcelle, de
tomate est cultivea collectivement.
A Nîandane les 14 adhdrents exploitent la Parcell:e de riz
et la parcelle de tomate collectivement. Le travail du sol 'et le
battage sont effectuds par la S.A.E.D., ainsi que le transpiort des
tomates.
A M'Boundoum les parcelles sont individualisées, 'le tra-
vail du sol et le battage sont r6alis6s par des moyens moto;rise?s.
L'erploit&tion isdividuelle domine donc largement;. Le
seul groupement suivi pratiquant entl8rement le travail collectif
est celui de Nîandlrne ; il 8 Bt6 dissous par la S.A.E.D. après
3.2.4. Calendrier cultural
Le calendrier cultural en culture irriguee est donne a
partir du d0but de l'hivernage pour l'éxercîce 1978-79. Toutes les
campagnes pr4vuea n'ont pMi eu lieu. 11 sera donc donné ensuite un
*
aperçu du calendrier culturah possible dans le cas ou toutes les
>
campagnea se Uroulent nora H ornent.

!
1
fin Mai
ri1 du sol, réparation d.es diguette 3
1
Juin
wation de la pdpinière
ri Z - trava il
!
,l
II Juillet
pageI premier ipandage
d' e n g r a i s ,
Hivernage
1
Ler d6shaxbage
t
78
;Ime épandage, deuxième dé shexbage
1
u?flt
t
Beptw&re-
t
Qctobre
;
1
e la récolte, battage, t r ansport.
1
Novembre
t
\\ ii
!
Trad il du sol, billonnage, semis du mais
1
Décembre
:q
Contre-
!
Janvier
DBsh i xbage, Bpaindage d'engrais
saison
t
F é v r i e r
Epanbaye d'engrais
froids
I
!
Mars-Avril
'2 RBcolte des 6pi.s de mafs SUL pied et
79/ao
1
arrschaga des pieds de mals
t
f
La cuntre saison frgide n'ayant pas eu lieu en 78-79 on
a juxtapoe8 la ;:ontro safson froide 79/80 à l'hivernage 78.
b) Guidé
t
1

Juill<!t
t Travail du sol, construction dedùiguettes
!
AOQt
I Travail du -1, pdpinière riz
t XmglCytation de la culture
!
octobre
' f bI1Phe2brqte p cipaedage d'engrais
!-
< Dboher&rge, &pandage d'engrais,pOpinière
1
Noveab.re
taart,
: Wbpiquage tomate, récol'te et battage riz
J. 'le% épaW!kge ur8e tomate, travail du sol
te tomate, implantation riz,
gti d'engriP4.e
riz
te tomate, désherbage riz

c )
t,jufomai: y
Au CO~~S de 1'eXer
e 78-79, seules les campagnes d'hi-
vernage et de agntte-@liaon f
ide ont au lieu.
e d'engraS* de fond, travail du sol
te, daMmqr mamurl
Ige, ipand;reJe 8' engrris
rtion de fIa gt$piniQre de tomate
ge 90 14 tomate, r6colte ria
Janvîaf
desherbage et traitements de
d:dshrrbago,
trafteoents
la fin de l'hiveraage et
le d4but brr la
II Woide oar les dsux campagnes n'ont
pas lieu i& lr
.Ollle, *&e ripgiquaiqs de La tomate se fait
. .
a* eib“d# contre-eaisan
froide
lieu en
rsmîs rit, Gpand agcP eng
A dLsher bage

Usa swfru u+rpAg
l&&l pcltsc kn, oeil% d'hivgrnrge :
CBu Nol, *+srio rie
fond, d8sherbage
g4 $+%Ut srxpliquer en part
l'irportraoe d*O acti*tt$i
'~
). ‘.
&mx pauvent varier d'un% amie à
l’autre.
&tre retardées en rai-
ou de dhficiences
gao %ncwo 0
4j& indiquer que si le
----w --- - --
2e crh*btel mort quant a lui est

:
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u.
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1
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bac fl
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B u n d
rigatisn. Les
et l'irrigation
kxa t
Ip ie Mmal.
-:
, n’

- 33 -
Les aménagements ont été effectués manuellement par
les paysans. r
Les canaux, les digues et les diguettes sont en terre.
La surface du périmètre n'ayant pas été planée, chaque
parcelle est divisée géndralement en 3%%us-parcelles (pour des
parcelles de 10 ares en moyenne) afin de reduire les différences
de niveau.
L'aménagement pose certains problèmes :
- Les levées topographiques n'ont pas été effectues
correatement,
ce qui fait que certaines parcelles sont trop hautes
et difficiles, ou impossibles a submerger.
- La terre/ avec laquelle ont été fabriques les canaux
et les digues est limono-argileuse (elle provient du sol qui est
un fond6) et il arrive qu'il y ait des fuites, ou mtme des ruptu-
rede canaux.
- Le sol limoneux percale rapidement et il est impos-
sible de maintenir une lame d'eau. Il doit en résulter des pertes
importantes qu'il serait interressant de quantifier.
b) PBrimètre de GuBdB
Le groupement de la CUMA possède une station de pompage
qui alimente un canal principal duquel est i&ssu un irrigateur
par parcelle. Chaque parcelle a en outre un fossé de drainage.
.Les parcelles sont divisées en plusieurs (10 à 15) sous-
parcelles par des diguettes afin de réduire les différences de ni-
veau existant dans la parcelle. La surface n'a pas été nivelée
lors de l'aménagement. Les canaux et les diguettes sont en terre,
qui est ici argileuse, la CUMA étant située sur des sols de hol-
laldé.
L'entretien de la pompe est assuré
par un membre de la
CUMA, ce qui donne une certaine autonomie.
c) Périmètre de Nianga
Les groupements d'&uromady et de -wlarip sont chacun
situés sur une maille hydraulique du périmètre de Nianga.

- 34 -
'L'eau du canal recondrirs Be dldverse dans rpc
ait-
-qui alimente les parcelle6 soit par gravit& (parcelles de
h
riziculture),
soit par siphonnage (parcelles de polyculture). Il
i
exiete un r$seau de drainage.
18
i
rik!
Les parcelles ont subi un nivellement qui &e4t fait
avec une toldrance de plur ou moins 5 cm:7
~ --.-
~. _- __ .,. - _ --
._I_
GZs ce nivellement est insuffisant et les pay6ans ont
construit a l'int4rieur de leurs parcelles des diguettes permet-
tant de r6duire les diffirences de niveau.
Dans ce type d'amGnagement,
les paysans sont compl&te-
ment ddpendants de la station de pompage dont les pannes affec-
tent l'ensemble du pQri
f--'------
Leo
-'.
pannes peuvent occaolonner de6 chûtes de rendement,
quand ellea interviennent en cour6 de campagne, ou l'annulation
d'une campagne (cas de la contre-saison froide 79-80) si elles
durent longtempr.
d) PQrirPtre de M'Doundoum
Les parcelles aQnt aliment6es par un arro6eur issu du
canal principal, qui est rempli par une 6tation de pompage ali-
mentant l'ensemble du pdrim8tre de M'Boundoum Nord. Chaque par-
celle poss&de un fossé de drainage.
Le6 parcelle6 6Ont planée6 et divisees par de6 diguet-
tes afin d'obtenir des diffdrences de niveau maximum de plus ou
moins 5 cm.
Comme pour Nianga, les pannes de la station de pompage
affectent l'ensemble du p6rimètre.

- 35 -
.
3.2.8. Les emprunts
Les paysans dans l'ensemble sont peu endettes A
moyen terme pour l'achat de materie agricole et pas du tout
A long terme. C'est A court terme que l'endettement est perp6-
tue1 I les ayst&mes de production ne travaillent qu'avec des
crddite de campagne qui se renouvellent plusieurs fois par an.
Des qu'une campagne d6bute une dette A l'dgard de la SAED com-
mence A courrir (valeur deo iftputs) alors marne que celle de la
campagne prk6donte n'est pas toujours r6gl6e. Pour peu que la
r8colte roit mauvaise et le remboursement intégral lmposeible
des arriBre/o apparaissent qui peuvent éventuellement s'accumu-
ler d'une campagne sur l'autre ce qui aboutit alors en fait
A un endettement A moyen terme. En plus de ces dettes au niveau
de la production le paysan est souvent endetté aupres des com-
merçants au niveau de la consommation. Dès qu'il a un peu d'argent
cela lui sert en partie à rembourser ses dettes et ensuite rapi-
dement il en refait en attendant une nouvelle rentre6 de fonds.
S'il doit payer et qu'il n’a pas de liquidites le paysan fait
du troc avec du riz paddy l u decortique ou du mil ce qui, compte
tenu des valeurs alors attribUeo aux produits agricoles, lui
co8te beaucoup plus cher. Dans un tel contexte d'endettement
le paysan, au niveau de la gestion de son système de production,
cherche surtout la cQcurit4 et dans bien des cas la limitation
des charges. Toutefois le oomportement peut varier : A N'Doulou-
madji le paysan finance son ayoteme de production par des reve-
nus ext0rieure alors qu'A Ooundoum il s'y refuse cherchant mAma
plutbt A financer ses aotivitdo extdrieures par son systeme de
production quitte A lairoor s'accumuler des arridrejs important#s
qu'il espAre toujours qu'on lui supprimera (ou btalera) au moins
en partie, s'ils atteignent un niveau intolérable. Il faut re-
connartre que, compte tenu de l'inflation, cette manière d'agir
lui est tr8s profitable.
3.3. Les systèrer de culture
Le principal cas oû plusieurs systèmes de cultures
coexistent eut celui de N'Douloumadji.
Dans les autres périmètres
l'abandon partiel des cultures traditionnelles fait que la cul-
ture irriguée domine largement. Toutefois à Nianga les falos ont
une importanae non nbgligrrble.

- 36 -
3.3.1 s H~*~orLque :
nt l'hiv~t~~~& 1978, le pariar&tre de #'Doulouradji II
st@ lequa ehlqtue payoan avait 0,20 ha.
\\:gi;?,'iEn contre saison froide 1978/79, un riarinagemrnt deo
pirir8tfer eat effectu6, p@ltSlettant a chaque paysan dr oultivor
0,30 ha en une eeule parc&&*.
Les cultures pratiqu6oo depuira la création du p8riMtre
1
: CSF
:
* CSF
*
CSF
'
* CSF
:
:H 7 6
:76/77 : H 77 :77/78 4 B 78 t78/79 : H 79 :79/eo :
1
:
r
:
a
:
t
:
:
a
2
:
2
:
:
:
t
:
:
iY'Doulou-:
: Nais t
:86amé-r
roadji 1 : Riz
' Ma%ta : Ris
:
:Sorgho8
Riz :nage- t Riz : Mass j
:
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:
t
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: ment :
t
2
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I
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2
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rN'Doulou-:
:
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:eoadji II : - : - : a I - :
Riz :Rbamto-: Riz
:nage- :
t
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:
2
: ment :
:
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:
:
:
1
:
:
:
:
H : Hivernage
CSF 2 Contre-saison froide.
Le sorgho, essaye en contre saison froide 1977/78 a
dté abandonné au profit du maXs en raison des dégâts d'oiseaux.
A part la contre aaison froide 78/79, la succession
hivernage/contre-raison se fait régulièrement, ce qui n'est pas
toujours le cas dans 10s grands p4rimQtres.

d+ 35 Cv
#'dt;ant avirl Fnouff icaqrt pour
(1. la OMQt) pour la p$&p8-
us qu'au tranagoxt qt au
$18 sont
QWi UtilF*crat cWtWt de0 journalforo o~lari4is.
,'
Cette tti?k#iAque VU(l(irf*ir p8r: la oL@rLon ahinoise eur le reots
" /
de la ettslttr p4&i#+bO&lt.en effet un @pilleur contrble dora ad-
',
t
rwatiua8* ,
'.+ I
Iltstin,
ia @& R"rryrnt r$çu qu'une oeule batteuog mdca-
nkque, lrL*ffL*aats gk~W.55 ha, il a AtB fait appel & deo femmes
ralari(irl pour l Iout*f Aa httaga manuel.
G'histo8iqur ti ~e,9roup*ren~ montre comment las;paysans
ont eu s'adapter 4 drr
H*o oontrCintes3 (tracteur trop fai-
ble, ddskerbage de 2 ha .~k~$~is direct Impossible,
I \\, .“&
absenccp de
:. r*.
batteuse) en utilirrnt @@&-d'oeuvre disponible et les tech-
nique@ &+p~opxid~~.
2
,
,.<
Dipuit la ulll&@@& lro aultrpres suivantes ont Bté
pratiqrrier sur 10 plrio&trtr do la CUHA.
1
.& 78 i CSC79 :
H 79 ;CS$753.& CSfjSo i
:
a
:
a
:
a
:
:
:
1
Ri2 *ua
:Rit oat..aQ4.s sur:Riz sur:
:Tomate : R i z sur:
renviraa 2 ha : 2 ha ,? 2 ha
:zRcr
-
:sur 0,5:1,5 ha :
tpar uq$lrgnt :
t
a
1
:
ha :
CSC I aentre-ralroa ah&?B#a
- H : hivernage #(CSF : contpre-
<
--,_
iv* ./. .c
.oaieon frdide.
. -.--.*

- 38 -
8;
En hivernage 1979 la campagne n'a pas eu lieu 8 cguse
b
de la grBve des tractoristes.
2
CI Groupement d+'Ouromady
Les membres du groupement cultivent sur la maille hy-

draulique actuelle depuis l'hivernage 1976. Ils avaient cultive
en 1975 sur une autre maille hydraulique.
; es
La succeeoion Pratiqu&e depuis 1976 est :
' CSF ' C~C iH 77 * CSF ; CS& iH 78 : CSF ' CSC & 7g ' CSF : CSC
;
f7/78 78
f78/79; 79 :
:
:
f79/ei( 80 :
:
f
t
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?
:Rirci- a wrz: _
i&j’
:culture
: RIZ : RIZ i -
* RIZ f RIZ : - : -
: RIZ :
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RIZ : -
: RIZ : RIZ : - : - : - :
: - :
a
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df&&,
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:z&& - : - :
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: - : -
somats -
: RIZ :
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:
t
I
a
:
:
:
:
:
:
:
:
:
A partir de l'hivernage 78, la surface cultivee dans
la parcelle de riziculture passe de 539 ares à 296 ares en raison
de l'envahisoement en riz rouge de certaines parcelles.
a, &A
Les successions sont irrégulieres, e d'ivenements
'
imprevuo qui'viennent en empacher le déroulement normal ; pqr
exemple en contre-eaison&chaude 1979, le groupement n'a pas im-
plant6 de riz car la SAED n'était pas en mk,w d'assurer la mise
en place et le deroulement normal de la campagne et rouhai
"re-
rii"
mettre en btat le périmitrfrjen contre-saison froide 1979/80 la
culture de la tomate n'a pas eu lieu car la
SAED n'a pas pu
assurer l'irrigation.
Les parcelles de polyculture ne reçoivent généralement
qu'une culture par an alors que plusieurs campagnes seraient
possible.

- 39 -
Le groupen8at ilc%WUd comprenait au d8part 24 adhgrents
qui ont rlalîrifi lea ou3;~rer suivantes :
0 76
RIS
tt,@ ha
0,48 ha/adh.
CSF ?6/?7
Tonate
9,?9
0,3?
cm! 37.
Rfit
a,31
0114
Dw#ant l'hivr;to~ge 1976 un a,utre groupement a Bgalexnent
cultiv4 du rir I)ur la I&&II~ mailie hydraulique (4,32 ha soi% un
total de_ SzI,$S bal.
A pa%tlrS de l’hivornaga 1977 10 adhdrentc ont in$bgrd!
un nouve8u groupeaent rur deo nouveaux am6nageaenta. Le grpupe-
ment conoidir0 qui ne comporte plus que 14 membres est rest6
eeul eur 8~ maille hy4t4ulique et a Malis les cultures spivan-
tes f
If 77
RfS
&a,02 ha
0,?2 ha/adh.
C S F ??/?8
T o m a t e
5,93
0,42
CBC ^I$i
.ns,*
‘4..
5,?0
0,41
E
78
Ri8
10,02
0172
CSf ?8/79
tiToa
5,Oi
OI40
Corpte tenu Blair oauvair r6ru&trts obtenus durant: l'hi-
RAJA
vernage 1978 le groupemat a Bt4 diusous par la SAED, ses wembres
ont et& euclur du girlrlt~a et la maille hydraulique a dt$ con-
fide & un nouveau groupoiaent de producteurs a partir de l'hiver-
nage 1979. .
8ur &a raflle'bydraulfquo corarfddrdo les cultures pra-
tiqu6.s ont 6t6 par conr(lqurnt les suivantes :

-._.
:
>
* CSP 1 C$C iH
: CSP * csc ZN
r CE$ * csc i
:
> ParcelileP tH
I
76 ;76/,,24 77
:
,7 2 77178::
76
:
7a in3/j9f
79
:
:
s
:
a
t
f
:
:
t
:
.
8Rioicutture: EL r -
J (B) : R : - t - : R 1 -’ 2 - 1
: a-.---
a
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;’roryuu4ltute~
&
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1’PolYmla~tUaC.~
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(B)
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1
t
:
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t
t
t
:
@ma8 & Olarmm~y (et sur l'ensemble du plrimQtre:de
Nianga) Il n'y k pam eu de aulturoo en contra-saison chaud
Les cultures lMiqu6er eat;xr parenth&ess
partie de8 paroelles aonaernies. Les cultures ont toujours et4
rQalioBe8 colloativement $1 n'y a aucune Individualisation des
parcellor.
La gsoUprauaC 4tcUdîi e%îsto depuio 1972. Il reeroupe
dee adhircibt; rient tous-entre eux dea liene de parente. Dkno
le pas4 e*r pajfrazm ont pratlgu6 la culture attelde avec gea
boeufo. La mul+ culture rrt le rit en hivernage dont le stmis
est r&alir# *urItout en pr6germ6.
ta@ rupufldJa* oultfvQeo en riz ont Bti lee spivrntea *
4lw
:
* Surri%de~ "brb.
:SUrfaoe
:Rendeaenti Qboer- i
f
calnpeq~~
: "à%i3t+~~;d'~dh&-
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(ha) w
(t/ha)
: jrations
xiioera#I@e
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(hd
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~adh&,rsnt f
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93
53,02
15
3,53
f
3,6
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51rO2
15
3,40
:
:
75
49,27
15
3,28
'
0,4
f
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Rats
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76
49,35
14
3,53
3,7
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77
46,27
14
3,31
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1,4
:
:
'R$e rouge'
'et manguei
:
:
:d'eau
:
:
:
:
:
70
3101
:
2,2
:R$z rouge:

- 41 -
3.3.2. Leu wltures et ldur ordre de success4on,
La possibilit6 de mettre en culture les pBrinptres
irriguifr l ot di6e~minQe par le regime des crues du fleuve.
- A #'~WlQUlB~dji,
l'irrigation en contre-saison qhaude
est lrpor&#%U, *a rairron d'une baisse du niveau du marigot.
- :a @a+4 et utupgar
la cultufe est possible tout4
l'ann(le. L'a&u r(r8te doucrr et le,nFveau de l'eau est suffisgnt.
- A M'$@undoum,
la remont#e de la langue sal6e lin+te
la poosîbilit6 db oulture eu seul hivernage.
Ldr culture8 pratiquies sont les suivantes :
a
:
:
a
t
:
s
t
:
2
I
t :
tJsFaWaA:WrJrJ:A:8rOrN
rD:
P4rfaètxe -.-
,:
a
:
:R&e:
t
:
Hais:
Waolo.
I
a
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1
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a
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a
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a
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:
:SorQko
:
frlo. I . -
1
a
s
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t
a
t
:
:
‘I
:
Lrlr dlC.Zirenter ruoceroion8 culturaker 4w&&@hm qur
les garorllrIr actuolloment cultivC9ea du ler pQrimQtre ont BM
1@8 SUiV&l%1)11 t
a’
’ @1F : il ;, : COF : BI ,8 t CSF f
r ;CBF
:
;


‘7&177
:
t77/78 :
;78/79
H 79 :
:
: li9/80 I
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:
a
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a
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1)
z
8iU : 4at8 :
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Rie : NC :
Riz : ;Wahl :
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2)
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NC
: Murs f
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Riz : NC i
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i ,MaLs :
:
3) :
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Ri8 ;Sorgho:
Riz : NC :
Ri2 : ,Mais :
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( N . C .
t non :cul*fVi;)

- 42 -
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1
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- 43 -
‘a) bl* DoulouaadJli;
1
1
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Date
: Tochni;qw appliqu4e
t
D o s a s LJ.P;.K./hei :1
t
M i n : Moy
i Max 1
t
t
I
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t 10/6 :
:
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:
t
:
1
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:
t
:
:
:
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:
:
t
Premier irprndage d’u- : 1.
: 2o
‘a+
:
:
r6e
: 35
r30-o-OCfiBEO-!O:15O-o-a
t
t
8
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:
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:
*
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t
:
: 60
:12-o-of IL o-,0 iloo-o-o:
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t
:
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R6aol tm
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t120
:
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DO*~S
blPIK/ha
::::::

- 44 -
‘2) 0uromady t
a
:
a
: T e c h n i q u e appliqu68 :
Dose~, N.P.K./ha
:
1
:
t
:
Max.;
Min.
:
Hoy.
:
Max.
I
:
r
:
:
: $pandage d’engrr,ie I
t
: de fond (Kcl 69% et t
: 918
: 1 8 - 4 6 - O )
a
t
t
:
:
:
i Tr8vall d u r o l o f f - :
a
:
:
:
a
:
:
:
: mt (2 pariag00)
:
:
:
:
: Socla prlgoaml
: '2448 : 1/9
>
f
:
:
8 jI3CP 160 kg/br)
I
t
t
:
i
:
:
t
:
:
I Dlsherbage cfsimicgue i ao : 3. * 4.
:
:
f
B 34 10 l/h8
:
2
:
f
a
:
1
t
t
:
:
:
DQoberbage rraum$ ! is 8 w i 55
t
:
:
a
8pandage d’ur4e
:
t
:
:
:
:
t
t
(40-O-O)
1
30
;
50
f
60
: 32-o-o
: 66-O-O
t
:
74-0-0
:
5 ;EUooltr
t
t la@ t
t
t
:
:
:
dl M' Poundoruo
: S0Rtfl e
n

pr6f@e#k+ )
: (IKB ou J.ya) *, 4
a- ku/h&

c
: Engrais d e f o n d
:
2
t (18-46-0)
P
t Ddssherbage chîrbqym a
: stam F 34 10 llha
:
’ D&sherbage m a n u e l i
:
: Epandage d’ur4a
t
: (40-0-O)
t
0.)'. : 65 :

- 45 -
Lee dooea d'agpertkr d‘engrais appliqUea dano les dif-
fdrents p4rim8tres sont d6t@rain6es d'apras dea normes btablfes
dans des eonditianr BiffBSantom.
Une connaissance des doses opti-
ma dan8 chaque pdtimitra permettrait de mieux adapter la fertili-
sation l t d* r&dutro les @b)igeo.
-%A QxiQtQ @es o@..Qtlons importantes dans l'application
deo teal%u,&QU+# oulhutale&' & cela dans tous les p8rim8treo.
ta? ta0haf~uer~~6~~&l~~os per le d&velopperent ne sont
pas reapestdcrr , a* orla gm$r drur ralrrmm principales :
- Boit dos dificf+naes dans kes prestations de lg, SAED
travail du 1~01 eifectu6 aa. setard, d&rkerbant livre au mauvais
aoment par @ammpfA.
- @akt an wai&QB de contraintes gropree au oyotdhmo de
Droduotioa,r"PI~~cr~~,t. _,,
e. ,t: ~~~&rp18aBy, danr les ryrt4meo de produc-
tion qui n’ont @ce e(iffk&&+k de mbs-d’oeuvre le ddsherbage dure
trop longtsrpr et ~~&MM+&~~~& d'urde eot retardb.
-,iA M'ISoundous certainee parcelles enva-
hies en rtz rouge sont a$&ndonnGeo en raison de l'impossibilit4
de desherber lr to&ahit$ do la surface attribuie, compte tenu
de la m~S~-U~ew~~o dLs##$&b3eV
i
D8ns f#,& #iBu$~rcr
las paysaaa ne font que subir les
contraix+s g,îLs 1,
ohoix et ne peuvent agir autrement.
!ïais dsU&k4p~~
$ibhbnt fpe laf# ohefr de syst8mes de
productioa 8~dt
drir on oompte les contraintes et
les factqtrxr taM&kJ~lea &a ikar exploitation pour décider, Kprio-
ri, de l~appit~rt&m de &&&4wi techniques.
s < *
_ ._,. *-..a")
"I'
d"i +&;&j, 1'
~fit%tion de la culture se fait en com-
binant le aeaL# dtX+cC OS ïtb repiquage, dont les parts respecti-
ves sont ddtq#qder ad.àr& t ta main-d'oeuvre familiale peut re-
.I ,:* * ,
piquer une oitt*&&~
WX$*&M gratuSt#ont, selon ses disponibi-
.
lités fln8pci4te8 iS ch*#'144u syrt&fw engage un certain nombre
' 1“.
de salar$@ pui r6gfque!#?$~%t une surface suppl6nentaire. Le reste
est implr&b en &Pi8 e%&r*ct.

- 46 -
L A M'Poundoua,
l'urde n'est pas épandue sur les par-
celles envahies par le rir rouge : ta quantite d’azote aet adapt&e
au randeaaent eecotapte.
Mai8 ler paysans n'ont pas toujours la possibilite de
prendre de teller initletfven,
et il serait priferable de propo-
ser une serie de teohniqueo adaptéeo aux diffdronts types de
eystèrer de produation erirtant dans chaque perimetre et a leur9
oontrainte*.
3.3.4. Interactions entre oystemec de culture
Le l ysteme de oorgho de decrue existe d N'Doulou-
madji. Le# tepepa de travaux n'ont par #te enregistrée an detail.
Maia le eorgho r’inm(lre bien dano la ouçceasion pratiquee @ur
le pirimbtre,
le remir r'effeetuant avant la rdcolte du rif et
la récolte avant la recolte du mars. 11 peut y avoir des pao-
blèmes de concurrence entrk le recolte du dieri et le eemis du
walo. Toutefoirr aatuelle&nt compte tenu des pluiaa faibles et
des arues redutteo ce goulot d'étranglement ne semble pas très
i m p o r t a n t . De ar&ae il n'y'& pas de concurrenoe tres nette entre
l e ddoherbage du ri& et OaLOl du mil. Toutefoir tout ceci Rour-
rait changer avec un retour a deo conditione climatiques plus
favorable*.
@,iQlqUQ8 rdlultrt* moyens par perimetre seront lui ex-
re d'heurea de travail par heatare
jBOSkiS
l
ri;
ritrrtocmww
lr
dB
pour les pifdQi+e
t
L
4

- 47 -
t Implrai-: &ltre- S
; Tota,J
ttatfoso s tien
zRlcolte ;,Battage i
1
:
:
:
:
:
:
: N'DouloumadjL
a-:
1 321 :
1 272 :
561 :
1 271 :
:
* v*aS":
:
:
t
:
:
I
lt
II
:
:
:
: 6~689
t 1 032 :
332 :
198 :
294 :
208 :
t
:
t
:
:
:
:
:
3
:
:
:
: Ouromady
:4y-/
36i
442 :
332 :
220 :
r
:
:
:
:
:
:
:
:
: Ni&nUane
:’
sa:
310 :
254 :
127 :
:
:
:
:
:
:
:
I
:
:
:
a
: M'boundoum
:
:
53 :
202 :
164 t
1io I
:
t
:
:
:
:
:
Le6 tempe 41 tr&rAux sont beaucoup pLur Qlev45s & #‘DO~-
loumadji que dans las aut+ya girim4tres. Cette diffdrence serait
accentuia si on prenait *@) 0Ompte le tempo de travail du ~01,
qui n'a pas 4t6 ewrregigkiS4 an heures de travail mais qui prend
60 j%ha @oit environ J&O':
"AU .
i I';*.
Le teapo $a d&$f&l varia rqlon les techniques employées:
LI battrgo ml-rioique pratlqui (pour tout ou partie) h
M’ Boundoum, Nirang& rt O&)U4 prend x~ofns de tempe que le battage
manuel, l t 18 r4ptquags &&k plus long que la semis direct.
Mair $A rxir;ke wCL dlffirrnqr importante entre les
temps de regfguago & 6
de N'Douloumadji ; les densités
de repk4uAi;, ~,~~~~~~~~~
,Ma.ir il est possible que les tra-
LI-
vallleurr agtlaol'k de @uid4' soient plus rapides compte tejnu du
fait qu'il s’agit’en boxwa partie de salaries pay6s B la tache.
Le teoOps de diokrbage dipend de la technique employée
(désherbage chimique ou manuel) mais ausiai de l'état d'infesta-
tlon du p6riiriWe,
et de la date des darherbages. A N'Douloumadji
l'imposeibiliti de maintenir une lame d'eau qui permettrait de
limiter la lev6e dear advoatioe~, peut expliquer le temps de désher.-
baga Blevi.

- 47 bis -
Les goulots d'btranglement mis en Evidence dans chaque
.
g6rim&tre sont les suivant6 :
- A N'Douloum8dji
: Trente ares semble Btre la surface
maximum labourebls manuellement. La limitation ne vient ,pas de
la contrainte du temps de travail,mais plutdt de la peni,bilité
du travail.
- A Gu&dQ z L e r e p i q u a g e , effectue mur une superficie
importante peut s'4taler l ur U:n mie,
malgré l'utilioation de
salati8s. Le8 plents mont alors regiqu6s a un 8ge trop avancé.
- A Nlanga,tb aemir e.et effectui 8 la volbe en pré-
germ6. Le desherbage n'est pao termieb à temps et constitue
l'opération culturala limitante.
Il en est de même à M'Bpundoum.
.

- 48 -
3.3.5. xtc*~ fngutrsr
Pour chaque groupement, il sera donne la liste
des inpute utllisQs, leu$ quantft6 et leur prix.
a ) #*Pouloumadji
:
.:
:
Charger
:
F CFA/ha
:Kg Riz/ha
:
,, t
: (+.f je&&&
:
a
:
: Ur4e
167 Kg/ha
a
5 845
:
141
f
:
t’
:
:
:
a
r
r
r 1 8 - 4 6 - O 166 Kg/ha
t
4 1.50
:
100
:
II
,t
:
:

:
:
: Total engrais Arrondi &r
10.000
f
241
:
f
:
8
:
L
:
: Entretien et c~n~6mm~- :
> tion motopoarrpe
18 900
:
446
:
a
:
:
t
t
t
:
: TOtAl
i.
28 500
t
687
:
b) GuBdO
?ir F CFA/hA
: K
g

Rie/ha (IOF/K$
I.’
1
:
:
t‘
s
:
: Travak& du #a?& (1 pris- i
:
:
4 500
t
8A9e d'#ffr*t)
c
113
t
:
:
:
0
:
:
:
:
:
:
f
:
:
; IrrigAtf,on
t
20 000
t
500
:
:
:
i Total
43 450
:
:
i
1 086
:
:
' Battage
:
:
:
: 10 t; t%& &A R
p.m.
:
p.m.
* I:
:
Les dipAare0 en @l&Aki#8 Ra&t: variables suivant les
xi
systibnes d e proliw~bign, I,wr)mkbre d e raIlari8s, l e s o p é r a t i o n s
effectulor ot 1~ *A&Aîx&:q@ peuvent étre différents.
-< *:.u .*
.:
:f‘..,
I

- 49 -
cl Nianga
t
F CFA/ha
f Kg Rie/ha (40 F/kg) f
2 pasm-t
10 000
t
250
:Urde 150 kg/hr(35 F/kg) )
5 250
:
1
7
-
.
;Kcl 30 kg/ha,@ ?/kg> :
1 250
:
:
.
I
-
-
:
:
)8-46-O 200 kg/h+S F/kg
' 5 000
125
:
---
a
:
t
2s 000
:
625
:
:
;Total
:
53 500
:
1 337
- -
:Battage 1 10 8 40 la :
:
:
:rdcolte
p.0.
:
p.m.
-< _--
:Stam F 34 16 i/haA 9iSF/:
:
:1 s u r 18arqe arrpndf. & :
1 800
i
45
.---.--
:
1
:
Total
1 302
:
- .a,
55 300
:
:
-
d) w’aoundow~
1
F CFAbha
:
1,
1
Kg Riz/ha (40 f?kg) i
I
fTravaf1 du roi ofemet :
: (1 paeoagel
5 000
:
125
t
:
e-w
iSomenca;l 80 kg./ha
:
:
:
(70 F/kq)

5 600
:
14,o
:
W'
.
-^-
.--.*
:18-46-O 190 Itgj%+
,
t
2 500
:
682
:
:
:
:
'Irrigation
I
25 000
:
625
:
:
I
:
:
-
10 % ~l~lte
L
t
'Battage
:
1
P-F*
:
p.m,.
;Total
P:
41 6001
: :
1 040
.-
'Stam F 34 10 $/h& A
t
L
;975 F/l sur 17 axe6
,*.
*
8
1 660
: :
41
-
_1
- - - . . -
:Total
t
43 26.0
: :
1 081-___c_-^.__

- 50 -
Les charges aoat plus faibles à N'Douloumadji, en
- .'.
l'absence de travaux effectu4s a façon par la SAED. L'irrggation
est auosi moins chère, nra&u seuls le fuel et les pièce detachées
sont payds. Le Palrire du pompiste et le renouvellement de la
motopompe ne sont pao pals en compte.
Dans les autres p6riridtreo,
il eerait possible de dimi-
nuer certaines charger t
- tes 8emonce& pourraient Qtre produitea par les paysana,
ce qui leur avîterait de lor acheter 70 F/kg, et aurait en plus
l'avantage B’ISviter la contamination par dea semences d'adventi-
ces provenant d'cutrrs p4ria8tres.
-La conaaissanoe de la rdponse aux 414ments minéraux
et l'adaptation des dorec aux objectifs de rendements permettraient
utile a H'Boundwm st @rrngatw
toujours fait 8 toPzgl~rti&rement.
1 ‘i
3 . 4 . Le$ .yrltJ1
dr tlevage
La plup&& doo ry8tèmes de production ont un volet dle-
vage qui est loin U'Otre nbgligeable mime s'il peut beaucoup
varirr non reulemrnt d'uti plLrim&tre I l'autre mais Bgalement à
)-
l'int4rieur d'un WMs grodgement de producteurs. Toutefois il
apparagt Qartir dl'n do
*
recueillios que non oeulement l"Gle-
vage a d&&&d i%k I&i&&i $7
&k,grande rlcheresae des anndiea 7 2
mais quo aQme actuellement; ii continue de d6croftre du fait de
pertes annuelles cÈoasid6aWler.
L'ilov#ge conc$~~~: irs animaux suivants : bovins (zébus),
*"i ,
ovins, caprinr, bnec, eh&ra$ et volailles. Les animaux peuvent
,,:/.
soit rester en pwmrnenci'b la case, soit aller au plturage et
rentrer tous le0 tu+Frs r& leurs propridtaires,
soit rester en
permanence (ou au f~?~ina $U~S: de 1cngueB pdriodes) au paturage
sur des espaces da p&rwjk28 dans ce car beaucoup plus importancds.

- 51 -
Les animaux qui vont au paturage du matin au soir sont
. . .
le plus souvent Gonfi4s & des bergers peulo qui regroupent les
animaux d'un m(LaPe village
(certains prenant les bovine et d'au-
tres les ovins et Ier csgrWa)
; toutefoie daarr certaine cas
ce sont des enfante de la far?llle qui Oont Charg(e de la gNrde
du petit b0tail (surtout Lc~rirrque le berger ne donne pas satiofac-
tion au propri6taira) Pour $BIB bdteo qui tootent en permanence
au paturage (surtout deo bovine} il o'agit uniquement de bqrgers
pouls.
I
En dshora du ca8 particulfrr dea animaux de trait l'éle-
vage est suxtout conçu coprrae une "qhiase d'épargne" et un élément
de preotige, txc)rr peu comme un capital économique dont il cnnvien-
drait de tirer par la comerwxialisation (tribe r6duite en fa,it)
u n int4ret appr6olable. kofrque la payran a un besoin urgent d'ar-
gent il vend une Mte t o'$J doit faire un cadeau ou r8alioar
une consommation
iPsg8rative (exemple : mouton de la
Tabaoki) il prend une bii
aar) son trojrpeau. Inversement s'il
dispose de quelqy.mo ~I)L
'
PrSr il invertlra eon argent dans l'achat
d'animaux afin d:%?@
e
'"*-
d@S~$&&crr dans 1'immBdiat et de pouvoir si
n6cessaire réaliser wn j+&r une revente avec un Bventuel (et tr&s
aliatoire) bdn0fSca.

E n Ueh@s% du
#%&Erqe I.ao animaux regoivent souvent à
la case rjn8 alia+mtatfa
kI%&~l.~Wnt&iFs & bare s u r t o u t , q u a n d
:
les payoansr en dirgaient,d& 'rous-@roSbuito vég6taux : foin, herbe
a.
verte ou sQehe, paille, t
fane da nfGb6, branche d'arbres,
8on, . . . A &lIs iiqiq++4qtr
+&#&uro @as un peu de tourteau
.
. ,, .m
(la SAED en foulcnitt parfe%& &kto!l.Ct&&nt comme 8 Boundoum) et un
peu de ml1 (ourtwt pour Se$ chevaux de trait male : ~n~~~<fh_s2, Kg
par jour), rarement du riz, r~uv.enQ les Mchete des repas< L'éle-
vage de case concorne un no!Nbre rddu4.t d’animaux mais ces derniers
sont mieux nourrir et ill #,pparaiosent en bien meilleur état que
çeux qui se rrndent au p&FiPsaQe.
.I
Nota# no
L*eb dm donnbes pr0cises sur l'état
sanitaire de& t%a.q&&t && il est possible toutefois de faire

- 52 -
générale comme assez maigzer, d'autre @art la mortalitb est con-
sidérable et une des rairoae justement avancee par les paysans
est la famine dQe à la secbereese.
Cependant on se doit de souli-
gner la difficulté au nivalru des propri4taires de cerner les cau-
ses de d4cOs (oympt&neo, maladies, . ..).
Eln ce qui conoWne 3ir reproduction on peut indiqqer
que les vadhes n'ont par 1eW premier veau avant quatre ans et
qu'ensuite aller en ont US) onvi?on tous ler, deux ane. Les tau-
r
reaux (eoulr anfoaux oert6r) ne Le @OR% que vere l'age de 7 ans.
AU niveau des ovin8 et dea caprin6 on noue a oignali de nombreux
cas d'avortemenkr et de morte ne8 ot une dee raieono avanc/es
est II aussi la famine. Il aeable par ailleurs que la mortailité
du b6tai.l est pius dlee6 en deeeouo d'un an qu'au dessus. Lta
consommation des aapri&s.Mtcea a souvent lieu quant B el.le avant
ANan.
CH
* *
Quand il r*aqft;.+iji vendre ou de consommer une b6te les
propribtaires choiriss
‘$p’pr6fQrencq les nfiles. S'il ne dispos*
pas de mules le payean #$!!!~re souvent ecbanger une de ses femel-
i
les contre un male plqtbt que de la tuer. Danr les animaux que
nous avons recenair il ) a une.pzOpQxtiOn plus Elevée de femelles
que de malee. Par i&ll&rr aa '&&$c~#rr da richeresse certains
paysans qui craigà.at dn $wb;re leurs anfmaux vendent leurs
ovins et achQtent 4 la.pbqq ào c';prins qui se revèlent plus
rbsistants dans Wn" &ar&itior-le nat&~Lle$ difficiles etant moins
exigeant3 au nivgau 'I, a*#Umentatio?.
sli au niveau du “prestige"
le bovin, ri@
t$A&&~-.;i9~-Z~ci6 il n'en reste pas moiris
vrai que Le gr
+<& U plua important 1 on peut à
cela avanoe'r deu%.raieonP 1 'tout d'abord lee bovins coûtent plus
chers,
ensuite if8 ont dlI~$plu# tauchde par la sécheresse des
années pasoées. Qn p$Ut a$%$in indiquer que le cheval de trait
mâle beneflcie d’un-tr*i%&kint exceptionnel au niveau alimentaire ;
il cotlte ch'er a l'achat 'fe&riroa 80 000 F CFA) et à l'entretien
(2 kg de mi& p## jour) 1 e.*,i$t u1[1 enfmrl utile mais c'est a,ussi
un animal "nobl&*. A l’@##$Mi4 Ii ch&rrs et l'bne vi,~~~t de peu
(Lu oc
-.e .C-.r
; .
alors m&me qu'ils peuvqlwk .)u,&t Iltre vendu
soltdréaliser d.es
. . j
7r

- 53 -
tres charges Conoernant l'elevage sont tr&s rdduites.
En dehors de l'intraconoomaation (produits et sous-produits végé-
taux) l'essentiel est coaotitu6 par 10 salaire des bergers., Celui-
ci s'bl&ve environ à 200 F CFA par semaine mais il varie selon
le nombre de bétes,gardlaes. Il peut être payé eoit en argen;t,
soit en nature sous forme de paddy ou cJe mil.

3.5. InteractFoas aystgmwi de culture - systàme5d;'61evage
Npur avons d6jb Fndiqui qurlles utilisations les syst&nes
d'6lovsge faiwhfsat des produito et sous-produite des systèmes de
culture* d irQCtement par l’Utili8iatiOn dea produit8 (mil) et BOUS-
produits (paille, 6on,
. ..) vigétaux BU~ le champ ou à la c#se,
indirectement par le pairment en produit6 vGg&taux des charqes
de l'élevage, (poddy ou mil pour le berger). Eventuellement $i les
cultures permettent de digfiger un surplus monétaire d&passa@t les
besoins imm&diat$s dr la famille paysan@6 l'agriculteur peut di-
eider d'acheter der b0tea peur placer ron Qpargne. En effet compte
tenu du faible niveau Bcoaomique g0ndral et des pressions sociales
dont il est l'objet un &wf de famille ne peut conserver longtemps
par devers lui une
6pargna liquide et iL ne voit pao actuol&emsnt
(a juste titre) 0U l'investir d'une mrniare Bventuellament tem-
poraire en d,ehors de 1'0levage.
Inversement les ~ryst4mra de oulture utilisent des yro-
duits et sous-produits en grov+nance dee, syst&mas d'élevage. Le
rUle d4 la fUmure orgdkni$tPe n'est pas n4gligeable sur certains
champs en p~&tiau'~~~~~~e~
,at dano upe moindre mesure sur
les parcelleai irli~u64.
la t*aolte et l'dvacuation des
pailles et tiges Caucuae gestitution n'est r8ali84e) les animaux
sont mis au p&tursge sur les champ!!!. Sur les grands périmètres
la SAED n'est gu4ie
favorable à cette libre patur;klCb. estimant
am'elle entraSne une d6grmUitlon des aménagements et sur les
petits p8rim8treo le8 payran8 ont souvent la marne opinion ce qui
n'empbche pao mal$ii toud URB certaine furaure réelle mais liIuit&ê
des parceller irrfg<&er. Sm Qe qui concerne la culture attelqe

(cheval,
bne) la 00 elle erirte il r’agit: uniquement de la houe
I
!.
.

- 54 -
soit pour la prdparatian du sol, soit pour Le sarclage ; d'une
manière générale elle art peu developpée etelle est pratiquee
presque uniquement sur le didri. Sur les grands p8rimètres les
travaux de pr4paration du 001 sont réalisés par les tracteurs
de la SAED et lea sols de hollald6 sont trop lourds pour $tre
travail188 par leo animaux t 8ur les petits phrim&tres les pay-
5ans estiment gue les ooue-parcelles sont trop petites pour uti-
liser les animaux et ils ptGf&rent r8aliser le travail manuelle-
mentputdt que d'&tre oblîgas de refaire chaque foia les diguettes
întermddiairre.
Les animaux 6ont egalement utilises pour les
transports en particulier des recoltest les char$ttes sont tirées
par des chevaux (~IB&~~IS,), des dnes et parfois (rarement) des boeufs
(Boundoum Nord)
: des transports d dos sont effectués par les
8nes. Au niveau Economique dans un certain nombre de cas des de-
penses aff(erentes aux cultures sont r6gliee a l'aide de revenus
provenant de l'élevage (vente d'animaux) ; par exemple à N'Douloud
madji 27 % des depenseo d'irrigation ont Bte réglés de cette ma-
nibre (B hivqrnage 78).
Ainsi Il existe des liaisons cultures-élevages contrai-
rement à ce que certaino estiment et l‘interaction des systemcs
est ici bien reelle. ToUt4BfQis elle n'est Evidemment pas de même
nature que celle qu'on peut rencontrer dans d'autres contextes
et il n'est pas question par exemple pour le moment d'introduire
des cultures fourragares.
Xl faut savoir lorsqu'on parle d'a6$0-
clation agriculture-Blevaga que celle-ci existe dQj&, au moins
partiellement et d'une wrtaine maniarq,
dans les faits et qu'il
ert n4oa8i)lfrR ***a
.)&&&~a 8L on vaut entreprendre une
.
.,
_" '
action & ca ni*qau.
3.6. Interaction# oyrt&mes de! culture et d'êlevage -
rystàsie de production.
dw
Il est iibw&de qu'il axiste certaines compétitions
au niveau du facteur travail (qui est limité) entre les differeI1t.L;
Cilements comlposants le oystame de production. Le paysan est obligé
de faire des choix soit au niveau des superficies cultivées (en
particulier sur le dierb), soit au niveau de l'affectation du

- 55 -
travail aux différentes paraelles en particulier aux pBriod!es
de pointes (le temps de travail conoacrd à l'élevage est peu im-
portant). L'État actuel dur dapouilloments ne nous permet pIas
encore de pr6cisor ce point mais Il y a tout llou de penser, qu'un
des Bldments determinant au niveau paysan eot la productivité du
travail ainsi que la production totale. La productivite du sol
I
n
era prise en consid6ration que si elle permet de r8alisw les
Y
objectifs pr4c4dentCs.
La r6partition des difflrentes activités dans las sys-
tèmes de production se fait Egalement dans un souci de partage
des risques. Le payran s'efforce, dans toute la mesure du ppssi-
ble, de n
a0 mettre "touu ses oeufs dans le mlime panier" :,cul-
+
ture irriguee, de bacrue et pluviale, olevage de case et "dp
brousse*', spéculations différentes, techniques diffdrentes, ani-
maux diffbrents,
cultures Ytraditionnelleo" et "modernes", 13 fai-
ble et 21 forte conoommation d'inputs, . . . Au delà m$me du système
de production le gayran s'efforce de diversifier ses source@ de
revenus en ayant un seaona m6tier (au visllage, artisanat, ou d
l'extérieur de celuS&ci),
en envoyant des membres de la fam;llle
en migration, en touchant une pension ou une r-retraite, ..+
Mieux vaut rechetohsr danr plusieurs directions le ndceseaire
pour vivre compta tenu des nombreux aidas i prendre en conskdé-
ration plut4t qua 49 re risquer c.¶sns une seule voie. Les plus
faibles rev$nus ront souvent liBis & l'absence de possibilites
de diveroSffcati@n.
Les eyrtimer & #uodu&ion sont regrougds dans des "gros-
pements de producteurs", 3oit un par pQfim&tre( villageois, soit
un par maille hyUraulig&aa #abs koo grands périmetres. Dans le
1
premier cas on peut avolr'&~,~graad nombre de systèmes de produc-
tion (7# à ti’l3ouloumad+Ji) ,. da
'autre cas leur nombre est beau-
coup plus rC4ul.t (*ntre i4 et
dune les cas tstudiés). Dans le
cadre de ces groop)Lentr,
iater@%iaires entre les paysans et la
SACD,
s'exercent W*talnkt interrcttons entre syst&mes Je yroduc-
.
tien.

- 56 -
si dans les grrrti64 p8rimètrer la gaotion de l’eau in-
combe thioriqueaent & la SUD, dano lar gatito elle est bien
l'affaire du gxou@rmont do product4urr.
Celui-ci 44t charg4 de
faire fonctionner le groupa moto@ompe ($1 d4eigne pour se faire
un pompiste1 et de reouelllir l'argent &upr&r de4 adhdrents pour
pouvoir pay.4r le gasoil, l'huile 4t 144 pi&cec dc rechange. La
cohiasion du group4 doit 4'4rprim4r nan R4ulom4nt dans le palement
à temps des prast#&iono dQe4 mai.q aurof dan4 la mioe en plaqe de
tours d’eau afin ~94 chaqu4 aactdur et <chaque parcelle bdndficie
rdgulièr4m4nt 84 1'atjGîvQe d'4au. *
Pme aertains Pas au niv48u dq# dattes la SAED ne ,IBCOEI-
naît que 14 groupement da producteut)(Rianga, petits p4rimiitses) et
celles-ci ne sont gae Ladlrlduali4~44 par syet4me de produçt,ion.
11 y a aloro oolidaritd PUrnalre entre tous les membroo du gxou-
pement et le ddfrut d4 pa$4&4nt d'un individu fait apparartre
des arri4ria pour l@onoemhie du groupe. La SAED rend le groupemerit
responsable du reomavreaeat de8 dotter & charge 8 lui d'en assurer
la rGpartiti@n 4t da ruppld4r 14s dlbitrpra ddfaillantc. La Drta-
sence dans un groupefsrrnt de plueieurr adhdrents qui ne remplissent
39s '* leur8 okiligrtionrn
&,+'4gard de la $AED peut B la limitc$
entralner la dfo&.lutton éLs~5'4nrerPtplo du groupement sans que l'on
cherche a&@4 6 4ar)uibr #*il,n'y a pAP qUSlqU44 "bons paysansM qu'on
pourrait 44
'. ,(c@I$& Wandane). Si le groupe-
ment ne
S&$ 21 r38X)on4abilité collective
joue A plrfn.
/ 3
AU 'ni~lpll9i #a girb$#$@rr'(ou de la maille hydraulique) un
certain nombra de txuvaux QO'llerg$Lfs inaaabent B l'ensemble dies
'..
membres du groupw4nt : il igegft ~\\itx'tout de l'entretien des ca-
naux et du groupe '&toporp~$4 a- parl4& au départ de l'aménagement
lui-marne dons le & d4s g *Iy : Wqr villageois. Au del& de ces
travaux coll4ctSf4 &&tgat~h?es 4k plUa ou moins bien réalises une
certaine 4ntrai.44 4&.*te, irPJ&le ssl~n 54s lieux, pour la culture

- 57 -
des parcelles ind$vidu@ilre (en traditiQnne1 comme en irrigué).
Cette aide en prooenano8 (ou au profit d'autres eystGmes de
production a son Q%igiB+ d8na des re$atiQnS soit familia&eS,
soit de d4psndancr,
ooif:de bon voisinage (par exemple 8ur un
marna p0rtmètre irrigui+), roit encore de complimentarfti par
exemple entre leo eyst&aeo d'e production qui ont un eyotqme de
culture trriguir et ceux qui n'en ont pas. Cette entraide
s'accompagne danr bisa deo cas; d'une contre partie en na?ure
("cadeauP) au mcyent de la r4colto ou du travail lui mBme
(repas, thP,
. ..) ce qui entraine une certai.ne redistribution du
produit ou du revenu. Ainsi les aiffalrents ayst8mes sont inter-
dapendants et la fonctFon sociale (et non exclusfvement $conomi-
que) du travail ne doii d'&tre 8ouliqnB.
On prut encore citer au sujet des interrelations entre
syatt?mes de production h,gcrstion commune Ues #turages naturels
4 travers l'etirtenoe5 #Q niveau des villages de bergers peuls
1. I".
regroupant les anlmr\\w~~~ur 145s faima paturer, pour fumer cer-
tains chatips et pwar Msli.aer les Po%nta d eau
L
disponibles. Il
y a lb une vdrltable @&+%$.on communo ide l'espace pastoral: par les
bergers gr8ce & wtt0 kH&td! villageoise des troupeaux dont les
animaux appartiennent 1 des $yst&nes dea ]aroduction diffdr,ents.
Si la propxf4tl dOmbu8a ~iadividuelle la gestion ici est F:our
une bonbr part collmd&.tt cit6e.ainsi des liaisons spdcifi-
ques entre ~*y*Tthir da &iot?arrt&on.
Z"
poséçr

- 58 -
I
: N*Doulouma- i
: Ouro-' Nian-]M@Bounf
GUdQB
:
dji
:
t @ady : dane ri dom :
.a*. -
a
:
' Dur&e de la campagne (H78):
133 j
176 j
i 206j
i 281j : 241j i
:
:
:
,,, 'i PrGsence encadreur
:28%'4Ojf2,3%;
4j: 0
i
0
;
0
i
:
- -
*-
:
:
:
a
:
i % des jours oû il a don- :
~II i
4j;
: ne des instructions
15 0
:(4,2%): 100%
:[2,3%) 0
:
0
:
0
i
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-_-
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I
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t
:
: % d'instruction@ dOnnbe6
t
oj:
I
2
:
:
ayant une action farora-
t66,7%
: (2,8693r 1001 :(203i)i
0 : 0
:
0
:
’ ble sur le syst&me de pro;
I
: {
:
:
:
a
:
i duction
:
:
t
t
8
:
a
---^ --.
--
C
Leo encadreurs sont rarc)ment sur les pdrimètres
et leur utîlit~ est contestable dans ces conditions. tes
Paysans qUi.Ont a;Ocfcolio une certaine e%perience des erreurs
a ne par faire au courts des campaqnea de culture irriguée
qu’ils ont 4BfflbtUbeS en savent en général plus gue l'enta-
dreur.
3.8.2. Oe;lm&xt des grocjuits
Les prort$bigar fournies directement par la SAED
sont achet#er, pr%w~$r enclusivement h crddit en début de
caapag,ne ot Xb!ibourrabLer en nature (produit r8colt4) ou
en argent en fia de uampagne (environ 6 B 8 mois apres,).
Les prjx f3.r prodtzit;r e@hetBs a crQdit sont en moyenne lr) à
.;
plur dJLarbS'qU~.t& Vr5qus au ownptànt ce gui représente un
intirlt anmmi bCr f!! 0 E&L l'avancu a porté sur 8 mois. Le
-Z)oW!.Z'essent~el en nature. Si
&kk~on~ d'ee arrîdrbo la SAED leur
St.
n,tcro & 18 campagne plus les imp~és
des ann6se‘$iii+gilenta# 1 rd: aes ar&i(ir&r sont trop lourd#s
leur ramf&w~+nt
#t +&a soit JkalB dans le temps, &t
#u*JpIri.mQ/. Cortaina groupements trai-
nent aknbl
~9urs caznp*pnes d'inportants impsyés
ds CI sbeorber tendent a augmenter
@ut bitat de cause la SAED limite
Ur~*rn+n~ de dettes a 80 % de la
k 1$ re&evance battage étant dé-
duite Kcrr'&.JWu&
laa petits périmetres le prix

- 59 -
consid(ore pour les paiereents en natuke est celui ristourne in-
cluse (Paddy 1978 : 40 + 1,s F CFA de riotouxne - 41,5 F(kg) ;
sur les grands p6rimètrer on ne conrs$d@re au depart que le
prix de base (40 F) et on n'aocorde que plus tard et soug cer-
taines condltioas (r6cupdration de tous les sacs, . ..) une ris-
tourne partfelle ou totale (1,s F/kgb si l’ensemble des dettes
a et& rePuboure6 t dans le cas contrafre la rlstourne vient en
déduction des dettea.
Les produite r0coltiis coa~eralallc6s auprPe de, la
SAED sont selon Les oasI COB)BQ pr6olrWament, payes soit rîstour-
ne inclur~e, ooit rirtourne calcta&ia 4bt réigl6e & p a r t ultbaieu-
rement.
Par ailleurs ai sur les g8tSto p9rlmetres le paiement
a lieu comptaBtr sur Ier grasde Fl @fiut Otre diffIr0 et la com-
mercialisation pmt (Stro ~88% /&~iq~pe de la rdColtf#. En ce
qui concerne la tomate Ira charges sont ddduitos de la va&eur
de la cos$nerciallaation ekficiielle et le solde est régld un
certain tempe agr80 qu3 oelle-ci soit totrslement terminee,
3.8.3. ade acr rirolution de8 diffdrents
SI un pryrrn eu un groqummt
ne rexaplit pas pes
"obligations"
A 1’6gaid de la SAEP c,ej.te-ai paut h tout moment.
l’expuleer de8 p6gimilre$ irri$UdR, le fait qu'elle le fasse
ou non d8prn8 4es r.app&%& de force (au uens large) du moment.
Rien n'e8t Dr&u rai rc)r%llo%ost peosible pour le paysan si c'est
la SAED qui ne f(i*&ire ,@*a si8 proprea obligations tout au plus
.- :.
b,:~I6rtoireo peuvent-elles Gtre
Q.prrraelle irriguee a en fait
beaucoup j$XbO Clr ,d@VOfiè8 qti+
du droit;8 pt en cas de litige Le
:
groupement de DxMuctwar8 ne W%tt Btrs d6fendu devant une eom-
mission a6 ho'@ qua par wk% pfg‘LFl@nt qui se retrouve seul face
: ‘<
a quatre p~eooonner .rep&&#$~~&t l'ada&nlstration et la SAE.D.
Le risque d*@rpu%sX;rtn $&g +#j+ -SA!@ semble particulièrement grave
.*
dans le CQR. où.kae pa
C?ernbi gossddaient auparavant
d e s terres 11 $a-L,~vum
.y* 6tb rQalis6.
:; _
‘. b

- 60 -
En dehora do ces cas lfr~ites (mals qui ex-iotjent com-
me le prouve l'exepg3.0 ds Niandans) des structures de cpncetta-
tion et d'explication existent dans les faits. Le grouppment
de producteurs re-rgunft, il invite à ses rdunions l'encadreur,
le chef de sone ou le ohbf de pBrim4tre et la discussion Qeut
ainsi s’ engager. Les rlunions peuvept *voir liau soit a:la de-
mande, des paysms,
soit & l*inl.tia$ive de la SAED. L'in$ormation
rdciproque paut ainsi parurr et 011s permet de lever certaine
malentehduo,
mafs quand vient l'heure de trancher a'etst de
toute façon la sociQt4 de d$veloppement qui. prend les dpciaions.
3.9. Les rioultats 8eo ~yst&mes de productioq
3.9.1. Systknes de Culture
Les r&aultats de la aampqgne,,de riz de l'hivqrnage
k .s *:
1978 seront abordbs bnr ce chapitre /'indemonts moyens,pour
fl
la campagne d'bivera'gr 1978 (par rigport a la superficie
r6coltde et Battue) :
t
t
:
iN'Doulauma-f
CWBd4
z Ouromady :
Niandane
: M'Boyndoum:
dji 't
:
:
:
:
/
--
:
t
:
:
:
:
5,o
t
3,l
:
3,6
i
2,2
:
2,2
:
,;
:
t
t
t
:
(---II-
1) Hi+ta##ammee des redqemento parcellaires :
nciement
.,,.
(Uha)

.

.”
f

- 62 -
Les rendements de N'Douloumadji sont plus blsv$s que
ceux des autres p6rim8treo.
mis celc est obtenu sur des,surfaees
faibles avec des tempo de travau% BlevOs.
Les rendemento sont moyens B Outomady st GuBd4 mais
a Ouroaady les surfaces eont faibles et la production totale est
de loin tnfériruxo A oelle de Guidi.
A M'Boundoum 5% kemhm+nl: $oyen caet faible. Ma4s il
faut dirtinguex leo rurfacrr o niotrqes der autres. Les qurfaces
f
non sinfrtrleo atteignqB,k ?1,1 tonnea par hectare r4colt8, alors
que lee murfaaes o‘inintrieo en rairon du rie rouge ne donnent
que 1,3 t/ha Ri. L'4ifmination du riz. rouge par un herbioide
total. dwr#it donc Btxea. une prioritd.
D'une ze@ni&rff Zj&a4&5.#&~,
le& variationa de rendement
ne proviennent pao d*ÜM m&oonnaiosance des techniques c$l.turales
A a p p l i q u e r , maie 4’u&.@.~~r1~vries u t i l i s a t i o n des techniqups d&ja
>~
exidantes Ier doqtX*bnMm Jibem i la SAEDoUpropres a Ch+ique
/
syst&me de pxoduati;&'I%&ant en a;ropOciher l'application normale.
*
,

L'BtU&r 4~.%)#&+I#~,xation du> rendement du riz a Fsté
effectu4ie sur der $xOS&'k~*dtp de v$gtitation.
Letii concluskons
* t* d.
qui en ont Btl tia44s#k& lai suivanpes :
,.”
:
- Ll rm 4li&f-ih”da rettrp en relation le rendement
,< ..!
et le8 technfqa*U +ïtt
(10 appL+uQes. En particulier, On ne
trouve pa# de fOpob&e .&.I& tuiaux~"ac.otde dans les p6rimètres
enquBti8*
.:. -.:
. .
~4&tra,k*# ont une influence grdpon-
. &a,? /liQrk~r~.Qa pi&anage c Dans les zones basses, la
levée du xia rcJrM k. $$r&~+xsads 'we l!&it mal, et les zones hautes
,;
subissent un &fi&i~t'ixy#trkgw et sont envahiar par les adventices
non
aq
Y
tAQuel. ;. ’ ; .
z .r”<*,
, .
t B11ea8 qgissent en interaction avec
l e s dbfauts d o ’
4th bien mis en évidence dans
le pérlm4txe d
,i,lYF&rd,, oit 1% a bté trouvé une corrt5-
lation de -
brh 1Qe tiges de riz rouge par m2 et
le nombre de

- 63 -
b) Produotion et utiliwion du riz
,._ .
: pour l'hivernage 1978,
----
;N'Doulouma-;
:
:
Niandano : Ouromady :
Gu8dé
i M'Boun- ;
dji
:
:
r
. . -. -..-_-
a
: doum
: Kg& % : 1g : $
,
: Kg : % a Kg : %
: Kg : % --’ :
-
-
:
:
:
:
:
:
:
:
t
:
:l-Froduction
:1 538: 100 : 361 : 100 :1 467: 100 :5 706: 100 r66?@1100 :
12--Charges SAED y
' :
: : :
:
:
:
: :
:
: compris battage
:
74: 5 108
:
i
;
30 '
653:
45 :2 184:
-:
-:
:
. ruGcanique
:
: : :
:
:
.
:3-Aides, Salaribs
:
128: 8 : t' :
t', :
oi
0 :
340: 6 : 100; 2 :
:
: : :
:
:
:
". <-..- -_I__c_.
-
-
-
-
-- : : : -.- "
~Sous-total 1
'1
x
336; 87 ; 253 :
70 :
814;
55 :3
:
:
182: 56 :32@ 48 :
.
:
:4-Assakal
:
87:
6: 0:
0 :
0:
0 :
O I 0:lOOi -fi
:Sous-total 2
il 249;
81 : 253 ' 70 :
8141
55 i3 182:
56 ;'l&; 43 ;
:s-Bons
:
88:
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ci&:
0;
0:
100:
2 100:
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2 :
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: :
-_.-
:
:
:
: : --- "
:Sous-total 3
il 161' : 75 :: 253 ; 70 :
814:
:
55 13 082;
54 ;'O& 45 :
:
:
:6-Semences futures :
37:
2 :
0 : 0 :
0:
0 :
171:
3 :
cz:&:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:
:Sous-total 4
::l 124;
73 1 253 :
70 :
814:
55
i304&z ii-:
:
12 911: . 51
:7-Commercialisation:
77:
5 :
0 :
13:
335:
23 :2
- 323: 41 ; W ter, ;
t
:
:
:
!
:
: :
: Gc.0,
.- _.-_ _-
- - -
'Autoconsommation :
:
:
:
:
;
f
solde)
:l
: 047:: g!J : t 253 P :
70 : :
479: :
-
32 : : :
-
-- 38, :
: :
It-.--..----
-1
-
-
. - _ - -
La proportion de l'autoconsommation est élevee a
N'Douloumadji
; cela est dQ a un tres faible pourcentage de char-
ges, qui a. deux orQiti.iW “t
- d'uns part les techniques utilisées : le battage et
le travail du sol sont manuels et il n'est pas utilise de désher-
bant chimique. Les charges totales (en nature et monétaires) ne
- - -
représentent qut- 24 % de la production.
- d'autre part des charges sont payees en monnaie sur-
tout grace a l'argent provenant de la migration et de l'éleva-e
qui viennent ainsi subventionner la production de ris.
Cela permet d'obtenir une quantité de riz autocousom-
me assez @levée malgré une production totale faible.

- 64 -
Production et utilLontUin du rit (hivernage 1938)
Moyennes par hectare @BcQlté et battut% vd?) :
: 2 Chaqco SAED :
:
rvec battagm ?
:
alca~nfgue
I
: 4 k#rakrl
. t,
qA,treet &levés. L'autoconsomma-
,di la guantitls produite. La
et de ne garder que 588 kg par
C'est à Gu&dB
'~?o$)ectif national de production de ri.2.
&boduct~on totale est faible, les char-
t IrS postes les glus importants.
rmot de produire suffisam-
ment p@u;s 1"
$&Oh.b Mais

- 65 -
la commerciallsatioh 60% r4duite. Elle oerait S~~~IR QouWglus
élevée si l'ensemble de la augerfic,le attrFbu6e au groupemcant
d*Ouromady &tait cultFr6e an xix c'est B dire si les surfaces
de rizfculture abandQnn4w et ai la parcelle de polyculture
Cultiv@e en tomate btrîrnt ricup4xbes au profit du riz. Cela
CorrespQndrait au% Qbje'Gtife payrrne de s&ouxitd dans les ag-
provioionnemento et,& &Ni de la ‘S4ED de produkre du riz pour
le 86nOgp1, mai& Sfidwuwnt cll,a perturberait l'apgrovisionno-
ment de la IOCAB.
Ii NPagldan% t %r tr4a faible production gar adhgrent
reflate L'iohec de 06 gxoupement! en hivrrnage 78.
.’
A &ou~Mol~~~ I&X produett@n totale est élevBe mais
tir% est plus Qleváe a Ndou-

* 66 -
c) iésiultrts n4te
AU niveau der moyennee oq a les r6sultatP suivants
(F CFA) :
.-
:1#oulou- t
:
Gubdi .
OUrO-
: Mian-
' Boun-
taaqji
I :
mrdy
I dane
l

d
o
u
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r(41rS,F/r(40 i'/N&iOP/kg) s(40F/k& (4OF/kg)
:
-
kg) Y _~.
:
:
:
i BroduqtSon <
:
: + par hoctara.$d. ; &&q*+i i 122 o*: 14Z611oi
g+saoi 89 $$ID
: + par adhixWt
: 63 827 : 228 240:
58 680:
14 440:267 180
:
r
:
:
:
:
: Chargq &W!&a?P~$ :
:
:
:
:
s irxig4@&Qa efi
:
:
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:
:
: battqa m6r[0ani~jt~%:
:
I
:
:
:: - par hactarr Rd.: 28 0344. i 46 796 63 $25: 26383i 45 WI+
: - par ‘adtitrnt :
8 571 :
87 3.60:
26 120:
4 33+3(1,64b3
:
(% a:e9iig dia
1 (36 $1 ;
(10091 f
:
natwe)
(1OQa);
(100%)~ (100%~
:
.+
w
_‘ 1 il
,,, . .
%.
3
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_-
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% :.
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::
: - par adh6rcrnt.
10 106:132(,GW
:
._
:
t
:
:
: Cono8xcfa1~wb~~~~~ ,h
:
: gat hectare Rdb,
f Ii#$ i&d 49 qq.& 32 -qc:
0
: 864%
i par adhlrent '
‘,: 3. 194; 92 “841: 13 39%”
*, ,:
.
:
0 j 25592
.j
remboursé.& &~*L--A~~ 5
PAjmJ) '
tion pour calculer
i+ Wta19ti5 des dépenses d'exploi-
'J$Wter en particulier : les aides
i* (en argent ou en nature), les
$AM?' (en argent, par troc ou en-
Orne) et les dbpen-

- 67 -
PIS; hsotaihe
%
10
*4$ 20
(36)
îc3t9lr9
35
(64)
28 o& 55
(1001
2 083
4
243 034
4 1
2E%=Irj$*
m-63%

4mbourrb an n a t u r e
L e f o n c t i o n n e m e n t
GBnBralement
on lui marne
4uZ rpoflcsone de6 semen-
de6 ridee 46t
moment de la
MM & 2 5 9P chacun) p o u r
".&pfrom~ 42 repas). Dans

- 68 -
1
;I
e n natuxe :
Par adh4ren.t
Pax hectare
0
Paddy dr l a rdcolte
93 0
8 383,
27 3jgo
54
(engrrir et aider)
(202 kg3
(66iQ kg)
paddy de La r4c)olte
7 8
6%?+
2 083
4
pr&c4dahte
(reaebae1
(13 k&
( 43 kg)
Total pabdy
89 0 100 0
9 oto
23 44T3
58
(215 kg3
(703 kg)
R e p a s taide)
ii %
,1 QS?
3 +Sa
7
d42 J4tJ.a )-
(ï&#Je.)
-Jlw : +
Total
100 0
10 QF7t
3t9Sg
6S
r
en arge&t
" *
5 ,500
35
~motopoaajite).
Total glnbxal ,;
50 9+8
100
g&tioulier que lee charges prieee
)’
o n oonrptr d#&&&. pkrnt.k’ei ‘k%bl2sau du paragraphe c ne représentaient
que 55 % du tt6
$gear l’aide Qtant particulîQrement
importaata. 'Ii*
e en argent eu soin* le fonctionnement
-
‘-

,
i
'

4,
h
s
:t ( ti.‘:

_.,-
l .-..- -. . , . . !
,. __
L.J..

“‘
<
.:.A+,
.

3.9.2. sycst4SlE$!# d'elev~ge
Bien que to dipoufl3.emest des donn4eo ne rqit g(ro
encore rf5allH on peut cependant ddjd faire quelque* re&yrqweo
d'ordre gBn4ral.
Il semble que le lait revient uniguao**- *u
berger et que le p&prLB%ahe n'en profite pas ; s'il veqtY?on-
sommer Il eet abl&g4 d’en acheter aux peu1 sur le mrchd,, ver
ne commercialisent pas de viande: mai.8
t de toute façon cette commercialioatppn est
f a i b l e e t u n e $a%* n’art vqmdue q u e lorrgu'il exis~te u n bpaoin
<'
pressent d'atgent, Tl n'y a pratiqueqent pas de comnwrcialiaa-
tien des eou@i&o4u5ér animaux! ; loraqutilo existent i.lr,sont
giutfrt intrsaopwmah. bans Be
nombreux
cata la
I
croieoanqe du
troupeau edt nfgatj,Ve et les systèmee d'8levage enregigtqent
des perte@.
Toue lcl~*#~~%ne# dans 1err;luelo deîr rdeultats qont
actuellemsnt d$rËrb,
,oat &tb rrpidement abordée. Aucu:n
aujet n'a don6 pu' &i&c.~$$oots coap&btmaent.
r. ,y@ *:.
7~ v_ = :
rtantes p0u.r la
@at a*8 OIyat6aoe de production
$ôu. CB*iit le cas en garticulSer
des enqu6ker
'familiru% unauelo et sur les
%6genue8 et r(roqttdu Q
&o Bfre consfd4r8 comme dc9fi-
S&#e pr68entatfon provSsoir0
btudes ont Bté menées1
.__--. -..-.-
-. ._ .--

>. ,
>.
,,,f
,

, i
buokion de la VallBe du Fleuv
l'Ax.5.R.A.~ et J.‘ORtjTOM depui
x&#inUer
qowlqueo uns des don
19?k, 4an noua attachant SUK-
tout am
voici lmz$E~'
'.
fta p&ri.m&tres
adh6rents culti-
van t
*t"Uu g8riMtre a Lt4
L'FrrSgation ieat
a irxSr bis42 fLottant. Toutea 18s
du 801, Sont faites
n hivernage - fafs
ltivant environ
MW~Q-~~-~~~#X une station de pompage
6tt une partie du
iques culturales
n chaude) sont

~yy+.;r, ‘L
- I ‘:,
.
.:,,
wi&Y 117 e4ly4rrrtrte~~l 0n't cultivQ
78. Deux cam-
pagnes dei ria (
esffectu4~a cha
ape.d8 tonate (eh contre-
;$i4@eaeut.& la êAl8D
le ddoh;8rbago et la
^
euts qui cultivexkt en
g&3
caract6ristiques
faits mcécani-
BPI canaux pro-
résence de
l'hivernage.
ont qu'fndica-
Las chiE-

,
:
t
1 4 . 4 4 0 ‘ 2 6 7 . 1 2 0 ’
A Wdoulou-
- - - -

F
e +c
;i,
*r-
71
LIS charges f&&wtori4ea, ici& sont 1~s chirges vqriables
.~
payées e n moyenne par tihwwa eyas$d%e d e Qtoauctioa. 11 Peut S'Y
%.
ajouter des char‘$W an.
A*-d'*oâu*re
(aicles bu saiihri4s) gour ter-
tains t r a v a u x ; 6’es.t ZLS, c&# PL N’D~~f0u%W~djf ozi l'aide Co$ta en
moyenne 6.369 F @ar sprt&#~e &~a produktion (20.831 F CFA/hiB).
,.i'
A cu$J;sr! â*ii~+$&+i4e partiofpent au battage et au repi-
quage. +Y~~Boüzic%&+.& &f,,'fnilariba fanO ua& partie Be la r4colte.
N’ayant $~r,dcr r~&t%%&$ .&$Zbisaament pr&cio & ce sujet pour

-",.
1' ensA&Ie dte@ '~**&t&i@!l."'&.~ QXO&uCtiQtij
no'tlr ne prendrons en compte
3:.
. .
que leo okaEgd& &@J&*,&&i l~(taS@,&U~ plrc4dant ainsi que ile bat-
tage m4caaique ?fsts&~%a part aonaerrrrla CG la production).
$;
:
.,
'..A '
'> ;; ; .
2/ t&,$I SHAW& j.ip CFib $ar ;pdhireht)
,.
y; :
‘ 5
', L0e .$ti:~&s>
-+<&a* &ek eQn,t celles qui aurhient
théoriqueaont 'd*k $t& &~~y+$&~~,,reeçiar $ui ne 1 'ont pas toujours

< :.‘Y
4t4.
>*y.' ; ; ,..
,/a :l
., :, ., *
.<< J, * :_ ,,:!y@
':t
.,,
. .
1,.8.94 '-26.585 ;
--i--'
98.55
:
.- .""
surer l'autaconeommation
notable (41 %) de la prodoc-
LU$ d e Gu4dB. La prbduction
ith3 permettent de k-ke garder
t&Cansommation.
.i .AYSth~kr de production sur 15
ur production.
$$&&EietiOn assigné aux grands
Les chiffres élevas d'auto-
C,t)
qui sont superieurs aux
,.-jki an moyenne par famille, mon-
*XciklfsatFon parallèler~2-~;
;gG&. #bb!&t++~).

t5tiQ plus élev4 8 N'Doulo~~-
.<
g61?im&t&@ks.. C!ette diff6rence serait
travail mande1 du sol qui
gui.prend 60 j de travail
‘rtazie 8elan les techniques em-
esmis direat, Xe
qtie le battage manuel. Mais
A.1 exista une diffdrence
(5 et de N'Douloumad-~ i .
tes, mais il eut possible
sont en partie des
es que ceux de N'Dou--

%a Y++rfatlon des techniquea
.ç~t$te dtff8rsnce de productivité.
owad,j&,.he prend que 18 jours
B g4rimiStron. C'est surtout
*cUtion àa certaines techniques
bbk+‘tage) qui en est d l'origine.
dane siëisulte du rendement tr&s
or les adventices.
Boundounz
pay4ea à NDouloumadji fait
aoa'qe brute est plus proche de
Qrir&kdy et M'Boundoum, mais elle


s
:
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t
0,72:
:
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Surf. R8.
0141:
2,97 :
:
0 Ailf
2,97
:
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:
P . B .
( k g )
361:
6.678 :
:
lU.440; 267.120 1
:
:
42.025: 168.563 .
:
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: Bai S’P.
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:

0,72:
3,76:
:
_ s u r f . R é .
0,41;
3,7s;
0,162
3 $1:
361:
8.74HZ
14.440:
333.920:
41.025:
210.70.3:
al.448:
(2 1 .90 u,i
$;
33.860: - 26.585;
102
123
:
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88 :

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88.880 ::
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56.075 :
(5.828);
32.805 :
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14,8 ::
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4,1 ;
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l; P.B.
: P.B.
164
: 6.000
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- 302
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:
4,l ::
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x
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- 302
:
56
;
:
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:
5,7 :8
6,6 ;
:
228
:
264
1
:
- 422
: 97
:
:
_.
:
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:: P.B./@hargat# (
2.19;
0,351
1,sei
: M.B./charge@ 4
5:
0,58!
i
:
:
: Charqes/P.S
:
25,L :
:
14,8 :
:
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I!
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P.B.
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dcly idem Tb. 1.

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1
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(5.896)
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M.B. (F CFA)
:
24.834
:
44.566
:
:
:
:

: R i
Tb. 7 z h i v e r n a g e 1 9 7 8 .
(avec la t0taJi.t.G des charges théoriques et r6elltimftnt
paydes)
- - - . - - . . . . - - - - - - -
- . - - - - . -

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:
:
Total :
:
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Charges
(I? CFA1
:
1 , 1 6 ü 2
1 4 6
.
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Charges (F CFA)
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1".g I 5 7 -;
M.B.
:
(F CFA)
48 ?5G
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Par ha :
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Charges
(F CFA)
:
5 !) . 9 4 ii;
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:
M . B .
(F CFA)
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?ar j t. ;OU -j-s 6 :
:
N.B.
(F CFA)
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Par ha et -Jt ou -it G, :
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Autres criteres
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: afférentes aU: : ', :
642i8&.064.465~
396.995:
60.680
:l*tJ4g.'$p/
: système de cu%t$ , :
:
:
:
:
:
f A u t r e s
3 .
()
:
&p(ido:
.
0
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:
a
:
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:
:
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i Sous-total
,,
; 802.8~~:.;2.064.465:
409.525;
60.610
;moa.i.c?7:
1
:
: arriérés
llO"C53
:
-. _-_r--__ _ _
444.040t
69.690
'~.(~Jlg.G4!j
:
:
:
:
--<a--e-- .--.. ..- .-
que9 et rBellement payée:..
:
‘*
j<
.
;a
iv
: afférentes au
: systame de cukt.
i Autres
:
: Sous-total

Tb. 9
*- ---- : Riz hivernage 1978 : Boundoum sinistr&s et r:oxr yiri.Li
trés.
(avec une partie des charges th&oriqucs).
-Ic-
--.--
-.-,-----w-_
_- ..-
---
.._--
--^
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:
:
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E
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:
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Soundoum
:
Critères
:
Boundoum
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sinistrés
:
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-.-v-.--p -.-.....-
,-- _.~.-.- .--_._-.." ._-- _-.-.- )I --
i
:
:
: Total :
:
: nb. d'adhérents
:
9
' Surf. cult#. (ha
:
: Surf. Récolt&e (ha)
: P.B.
(kg)
26.916
:
: Charges (F CFA)
1.175,118
: (d-t battage m&canique) i
(82.480)
:
: h/jt (moyenne pond&rC!e! :
3,4
:
:
:
-.-....-w-v w-e-
-------.- .--_- -
:
:
: Par adhér,ent :
:
:
:
: Surf. cuit. (ha!
2, dB
:
:
Surf. RB. (ha)
2,32
:
:
:
:
: P.B.
(kg)
2.991
:
:
:
i P.B.
(F CFA)
129.640
:
:
: Charges (F' CFA)
130.569
:
:
:
jdt battage mécanique)
(9.164)
.
:
: M.B.
(F CFA)
- 10.929
:
:
:
- - ..--
.----.-.-.-----
--vx_. - - -.. . . -__. -*-. .,.- _--..
:
:
:
: Par ha cuit. :
---A
:
:
; P.B.
(kg1 (Rendement)
1 256
.
_A3
. CjQb
:
: P.B.
(P CFA)
:
50.240
1
>
L. 1 . $14 il
:
;
: Charges !F CFA)
54.835
:
-7.19C.J
: (dt battage mdcanique) :
(3.849)
(7.621)
1
:
; M.B.
(F CFA)
:
- 4.595
tic.041
: nb. d'heures
:
455
564
:
:
. nb. de jt.
134
:
133
: nb. de jt de 6 h.
:
-7 6
9 .q.
:
:
. - -
--w.
_1.--.---------- ---_ _I_---_._-_
.._-_ .___, I ____ __

Tb. 9 : Suite
et fin.
--BP--
--
--.--m-v-
---...* -- _“_--.-.-, - .-__
:
:
:
E
E
:
Critéres
:
:Roundoum s i n i s t r é s ':
Boundoum non
:
: ------- _- - I_t --
sinistrf5s
-.I------ll-.--~.-_-.--I_.
. .._ _ :
:
:
i par jt :
.
:
: P.B.
(kg) (Rendent);
9,4
:
23,5
:
:
i P.B.
(F CFA)
376
:
940
: M.B.
IF CFA)
:
-34
:
505
:
:
" " e - - I - -
."---------., .--" ^_ _-_ .- ---, ,<
:
:
: Par jt de 6 h :
:
:
:
:
: P.B.
!ky)
ntl
(Rende i :
16,C
:
?%,4
:
i P.B.
(F CFA)
660
:
?
3 3 6
: M.B.
(F CFA)
-60
:
‘709
:
.
.
:
_1-----.---- 1--.-..----..---- ---_- -I- ,.” --_ .-.. -.._. _-.- ._,__
:
:
:
: Autrea cxitères : :
:
:
:
: P.B./charyeo (xap.):
0,92
2,1?
:
:
: M.B./charqes (rap.1.
-0,063
:
1. , 1 7
: Charyes/P.B.(FCFA/, f
:
:Kg!
:
43,7
:
18, i
; M.B,,'P.B.
(F CFA/+ ’:
-3,7
2 I , 5
;Kg)
-_---l.s--I__-
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: Par ha récol$é :
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: P.B.
(Kg) !Rendent) :
1.287
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:
:
3.09Cl
:
: P.B.
(F CFA)
51.480
123.848
:
i Charges (F CFA)
56.:99
:
57.199
: (dt Battage méca.) :
(3.9453
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: M.B.
:
(F CFfi3)
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66.641
4.
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: Commerc./F.B.
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Boundoun;
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Soundopm
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: Total :
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:
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: Charges (F CFA)
:
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battage m6canigu.e) i
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: M.B.
(F CFA)
:
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----- --e__-__.-____ -_ -.&-.- .-
:
: Par ha oplt. :
:
:: Charges (F CFA!
:
30.774
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57.49D
'
:
i (dt battage m~caaic~u@! i
(3.Q49)
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: M.H.
(F CFA)
2
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6 6 . 3 5 ;i?
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:
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:
: Paxx :
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:
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50 3
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- d-I_-* ^--- -_~-..- ----.. ---- .--... --_,.-..
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: Par jt de 6 h :
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: N.B.
(F CFA)
:
256
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:
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:
Autres c,stiIxes
:
:
: P.B./Charyes (rap.!
:
1,633 :
%,lL; :
' %.B./Charges
:
!rap :
0,63 :
3,1: :
:
:
: Chargen/P.B.IFCFA/kgI
:
z*,5
:
la,6
; M.B.,'ED.B. (F CP'A/Kg)
:
15,5
:
;,i,4 :
:
-
- -
I -_._ ----_.. _ --+ ._.--_. -
' Pax ha x&eoltf :
-
-
-
-
-
: charqes'-c;F CFA)
:
31. $39
:
5 . 4 &S ti
' (fit- battage rn&fz,nlque)
(3.745)
:
(T,?,il\\
:
. v .9.
(F CPA)
19.96'
:
6 6 . '2, 1; ,>
:
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Th. 11
: RIZ hivernage 1978 : Boundoum sinistrés et non sitiistrés.
Ventilation des charges
1) Une partie des charges théoriques.
:
:
E
x
:
E
1 Nature des charges i Boundoum sinistrds: Boundoum non sinis-i
:-
1 trés *-- ----1.--..- :
:
:
i Affgrentes au lys- i
: tème de culture
1.016.805
:
1.5'3G.435
:
:
: Autres
:
33.787
:
53.772
:
:
:
.--
-.-----
.
--_II
---_I_--i.-. --
:
:
:
: Sous-total :
1.050.592
:
1.249,207
i Arriérés :
:
124.526
:
104.114
:
:
_--...------v
---,
-------. ---.--
' Total
:
1.175.118
1.353.321
:
i,
:
:
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-11-.e.-
-e--e_/ _^__^._. _
7x1 Line partie des charges réellement payées.
-..-.-----
.-,--/.__ “- ^ . .
:
:
: Aff&?rantes au SyS- :
653.480
:
: tWmo de culture
1.190.435
:
:
:
;
: Autreo
0
58.772
:
:
-..--- - - -
:
:
:
:
: Sous-total
:
659.480
1.249.207
:
x
:
i Arri&rés
0
:
- -
0
110.953
:
:
_ --,.- .--..-
:
' Total
x
:
65,9.480
1.3GO.160
;
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I



IUIANOANE
(il NC’ de parcelle
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Fossé de drainage
;T1’ Canal principal
II rigateur
cl Non cutlivif durant
h’
Piste
1’ hiverna* 197H
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Abmdonnde
TOMATE
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x *
t
N
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3.2.U. Assolement
3.2.7. Artificialisation du milieu
3.2.8.
Emprunts
3.3. Les systèmes de culture
3.3.1. Historique
3.3.2. Les cultures et leur ordre de
succession
4 1
3.3.3. Techiques culturales
43
3.3.4. Interactions entre systèmes dt-
culture
3.3.5.
Les inputs
3.4. Les systemes d'.&levage
3 .5. Interaction.9 systdmes ci;e culture-
systèmes d"&levage
3.6. Interactions systèmes de cu.lturc ei.
d'élevage-système de production
3.7. Interactions
' n+re systèmes dc prooi?uc
tien voisins.
3.R, Interactions systèmes C?e production-
système agraire
Li ‘7
3.8.1. Prestations de la SA&:S)
57
3.8.2.
Paiement des produits
0 ti
3.8.3.
Mode de r6solution des differunts ..>
', 0
3.9. les résultats du syst8me de produc-ion
6% i‘
3.9.1. Systèmes de culture
1.) 1:
3.9.2. Syst&mes d'élevage
bis
'

Table des matières
1) But de 1'Ctude
II) Déroulement de 1'6tude
III) Etat d'avancement de l'btude
1. Caractères du. milieu
1.1. Milieu naturel
1.2. Milieu humain
2. Caracteres liés au systeme d'exploita-
tion de la vall6o
2.1. Objectifs de la SAED
2.2. Encadrement et vulgarisation
2.3./2.4. Types d'am&nagements et de
perimetres
4
2.5. Types de cuvettes et de petits
pGrim&tres
2.6. Organisation du travail
2.7. Types de commercialisation
2.8. Relations groupements de produc-
tkurs-coopératives
2.9Ja.10. Historique et résultats
3. Caxacteres du système de production
3.1" L'agent du systeme et sa famille
3.1.1. Donnees démographiques
3.1.2.
Les producteurs et les
consommateurs
1 P
3.1.3. Les objectifs de l'agent
et de sa famille
19
3.1.4. La chronologie des besoins
de la famille
20
3.2.Le systeme de production
2 (7
3.2.1.
Historique
:: 0
3.2.2. Superficie totale et uti1Lsée,
parcellaire
14
LL
3.2.3. ETain d'oeuvre et organisation
du travail
2 ?
3.2.4. Calendrier cultural
;‘ 8
3.2.5. Capital d'exploitation
71