IXJ SE!+¶INAIRE ECONOMIE - OI-DSTION ORGANISEPAR ...
IXJ SE!+¶INAIRE ECONOMIE - OI-DSTION
ORGANISEPAR LE P. A. R. C. E.
3IJ 19gAU CWTRE DE FORMATION
P. A*R* C. E. à KAOLACK
PAR
I@WXJU: NDIAYE
1. T. E. Ip.
RESPONSABLE DES TRAVAUX DE LA STATION DE
IBIDDI

Séminaire sur t Eeonoaie St Gwtion.
Xl a 6tQ arganirsé par le Ctmtre de fwmation
du PARCE (Kbtplack) dur& lap&iode t du 19 an 25 Novembre 1984.
PRlE3lIXTATION t
(fE1STION t Djibril HDIAYEPl!arfesseur à l'lrcole
SupBrieure de GeSrtion des Btitreprises (ESGE) de DAKAR.
Economie t Un ezpatrie Eoawmi&et Expert du Projet
P. A. R. C. E,
Monsieur M. A. Anddké L53JGUI Consreilltw Technique
principal Directeur du Centre de Formation duP.A.R.C,E.
PARTIC~ANTS 0
Ont participé à ce s6minaire t
Des Inspe&eurs R&gionanx de8 Em -Forêt8 - Chaseeer
et Adjoint8.
Des Adjoint8 srxz Chef de div:lsion/D. E. F. Ce
Des Directeurs de Projets et beaucoup doAgents serv&t
daPs des Projeta Forest.iersH
Des Chefs de Secteur Forestier
Deux Reapansablea des Travaw/Statioa CNRFIISRA
Bmdia & HBiddi
h
Un ReprBsentant de la SODEVP,
CALl!!HDRSER1X3SX%IZ?AIREt
Dimaohe 18 Nevembre t Matin et wir s arrivée et iwtallation
dea Sbmin@?iafes.
Lundi 19 Novembre t
-Ma$in (8 h - 12 h 30) t 'Wtroduction g&&rale à
1~8fxwnxie. w Apr&-midi (15 h - 18 h 30) t Enlotion maorw&zonsr5que
du oecteur Forwtier.
M&U x) Ncmmbre t
-Matin (8 h 00 - 13 h) t Pllapifioation foreatiiere.
- pgr&a -midi auvandredi t Etude de cgla t Aspect
aocio-éoonomiq~e et de Gestion.
-Hardi- aprèer -midi t Identific&ion de ges&ion
du Projet.

Maroredi 21 Irlovembre z
- Matin (8 h 00 - 12 h 30) B Préf&ibilité duProjet,
8truoture. - gpribmidi 15 h - 18 h 30) t IPNtibilité du Projet,
T. Br E. et T. Ro FI
Jmdi 22 I?membrs f
-M&in et @r&waidi t IEScéoution et suivi du Projet,
réalit éd4
vadpadi 23 Wovmbre t
-M&in (8 h -12 h 30) t Emlu&on aripsst, ~prèa -
Projet.
- &mSgrllgidi (15 h - 18 h 130) o Conmlid&ion des
-htin (8 h - 12 h 30) : Travaux pratiques et dirigée.
-f%i~ (15 h- 18 h 30) 8 ‘J!ra~aux psgtiques et dirig&a.
Diinanchs 25 lmmmbre t
- )à&in (8 h - 10 h) t Tra.a;m prg&iques.
- M&ia (10 h - 11 h) t Eivaluation,
-Matin (11 h - 12 h) 8 Cl8ture et d6p& des
S&kBarhstes.

Le rqqxa+ umptic~ra deux grandes parties t
I
- Gestion 0
II - Ecxmcmie.
Pour chacun des deux thétms notas donnerons un cours
apper~u sur les principaux points wsut 6té abordés,
C1edz un ensable de teoM.ques permett& de mieux
pl&fier, de nieux cent&ler, cccrdmmer et de mieux organiser
l%tiliaaticn des resseurces rares et d'une fson raticuneller
Ce ppodtale introduira les participmta~ au concept de ge&ion par
Projet. Les notions 8uivmtes seront couvertes t
- 1") Définition dt un Projet t C'est une activitQ qui
se déroule daosmtemps donné avecunfin~ceraent externe.
2O) Pourquoi et quand utiliser la gestion par Projet.
3O) D0finition et description des étages d'un Projet.
Phase conceptuelle m
. .
Phase 0rgauieaticnmlle ;
Phase 0pératicnnelle ;
-Phase d'achkvement.
FlOWJ8 2-L'mIROW~~TTKJPROJE~ t
L~envir0uuement du Projet peut se définir comme étaut
le c&e erg&.saticuuel dans lequel le Projet se réalisera ;
les aspects suivants ont été sculieplés dws cette optique.
-La nécessité de d&%ir claïremeut les objectifs du
Projet en f0nctions des demandes du client.
-L~établissemeut des orit0res d'évaluation z qualité,
coût, temps.
- Le choix du Chef de Projet et de sm Équipe est une
chose asses difficile. Dans ce choix deux élémeuts fondaprentaux
sont A prendre eu ucupte : compétence et efficacité,
-Le choix de l*org&.safion duProjet :
Orgauissrf ion iwtricielle = en rapport avec le reste
de la Structure.
Organisation fcactiounelle = autancmie.
- Intégration du Projet au reste de l*orgauisaticn.

4-
4
4”
lfkaNhd@ z 3 - LE GESTIONHAIRE DU PROJET t
Le geatiam&e du Projet eN& wne persenue responsable
de diriger et de coordonner une reclherche, une étude de Teohnique
sur la réalisation d'un Projet ; il est responsable de l'intégration
des tâches des individus et des ressources n8cessaires à la
réalisation de ses fonotions et tâohes de la phase 910noeptw à
celle d'achèvement.
- Détermination des objeotifs, politiques et programme
ou fonction %xécutiven~
-Le contrôle des travaux, la oédule de réalisation,
la détermination du oodt des res80t~~t~s et la budg&isation OU
"mapagement ".
-Et finalemat, léadership -Programmation -
d&isions de délégation il doit avoir t
-Une conn~ss~oe profonde de lafeohnologie propre
au p?OMt à t3ré&Te
-Une oormaissanoe profonde de plusieurs ohes
scientifiques.
-Une bonne oonnaissauoe des problèmes ~auagement.
-Un souoi profond et actif poux- initier, former@
entrginer, conseiller et aider ses oollaborateurs du Projet.
-Une capacit6 de prendre, rapidement des décrisions.
~oduls: 4 -
Lm !mkmmg~ DE PLANV~W~~O~ QF~Kwg~g$iz~g :
1- .-.w-.- .. - .--w.- ^-. __. --_ ..-- Ii.-^ --.-+
Lapl&.fic&ion est un ensable de processus définiss&
des moyens et des temps pour atteindre les objeotifs,
Les objectifs sont des contraintes d'ex&ution pour
atteindre les bus vis&.
A partir de l'étude de EaotibilitB on prooéde B une
plspification @obale (P.(X) qui se traduit au niveau des divers
volets & travers une planification fonctionnelle ayaut ses
oontraintes spécifiques.
E.B t d6jà à ce niveau eppardt la notion de budget qui oonsiste
à évaluer en terme moNtaire l'ensemble des codts.
- Toute pl&fication exige 'un syst&me de oontr&le.
Contr&le . des aotiviteEs
u
. des uempétences
n
. du temps.
Un pl&ng synthétise l’ex&nation et le contr61e de la
pl&fio&on~ Il doit f3ystBmatiquement &a mis à jour,
Un budget est QaborQ à partir des moyens nbcessaires
pour atteindre les objectifs, Il faut toujours prévoir plusieurs
tactiques et budgétiser la plus onéreuse.

Le processus ddorit ooment s'effedue lapl&.ficg&iont
la politique regroupe ltensemble des r&les et des procddures
nécessaires pour assurer une wordiuation des activités t*disque
la stratégie est l'ensemble des tebhniques que le Centre des
responsabilités envisage
de mettre an oeuvre pour exécuter une
chronique d'aotivités lui permettant dt&teindre ses objectifs.
-Le plag est un oedre de rdférenoe des déoisions
stratégiques ; il est toujours nécessaire d'avoir toujours 2%
&té dn plan un plaa de rechange qui à son budget propre.
Eu oe qui oonoerne les techniques de planification
les deux points pr&ent& sont t
-Pl&fication -temps g
d Pr6kutation g6néral.e ;
b Le projet - d&zomposi.t ion 3
. E&imprtion de 1 a durde des activitb ;
. Aac;rtivit& critiques.
- RQseau dtordonnauoement des activités t
. Présentation de la :m&hode ;
. Identification des a&ivitds oritiques ;
. Utilisations possibles.
- Techniques d'Bquilibrage (L.0.B -Line of Balance)
b Objectif de la m&hode et utilisation 5
. PrBssnt&ion de la méthode ;
. Dwn6es requises (fonotion de produ&ion)
-Pl~ific&ion - co&s*
D#u ce point diff&entes notions ont été exposc$es.
. Budget de Projet ;
. Identification de la relation oofit - durée
. No%iaa de colts directs et CoQter indireds.
De plus une initiation rapide a été GffeotuBe aux
techniques : dtaPalyere de la vsl.eur - k%hode du oyole de vie.
La stru&are egt réflétée par l%rganigr~e du Pro$&
oe dernier doit arontrer l'attribution des tâohes et des responsabilit6s
cet aspeot est souvent eubIi.8.
D@s ce s&ne cadre en distingue les liaisons hi6rarohiques
(LINE) ou dtautoritB et les liaisons fonotionnelles (STAFF) ou
de conseil.L%rg;aaisation du Pro jet définit la position et les
priirogatives de ohaue Cenia?e. A ce titre la ciroulation des
documents doit 8tre syst&matiquement deinie en fonction des
responsabilités struturelles de chaque service.
W.B t Un Pro jet bien organisé physiquement mais sans volont est
désorganisé imntat&iellement (llorg&aation immatériel fait
ap?~kl. à la volonté de réaliser).
bO@ /. . .

Q-
6
Q-
11 existe différents types dlorg&grapnaes g
- fonction
- service.
Les diff6rentes strwturea ont été exposées,
- St;ructure opérationnelle 1: Elle définit les unités
d'organisation et les activités clés du Projet. On doit tenir
oompte de l'adéquation fonotion - ressources et compétence -
fonction. La fonction prime sur la compétenoe et les resmxar~es
le sont par report à la fonction.
-La struture fonctionnelle t C'est la stunkure des
kifférentes fonctions, elle définie les Centres de daoieions
et les fonctions dominaptes. 11 faut l'assortir d'une desori@ion
des tâches, des responsabilités et des postes. Cette description
des tâohes doit 8tre diffusde partout où besoin sera* Ceci a
pour but d'éviter des conflits d'autorités ou de pouvoir. Le
prczcésus de décision au sein du projet doit permettre une
délimitation de l'gutorité Se une respansabili~ation des employès.
et
Il existe : décisions,o" Stratégiques~ opérationnelles l strutureI.les.
Un projet est une tutelle qui ne peut avoir qu'un pouvoir
rdfl6chi. Une tutelle ne peut opprimer.
Le plan du Prejet uonsiste I déterminer et optimiser
les variables susoerpfibles d'influencer la bonne marche du Projet.
Ces variables sont s quakité, GO%~ st durée, il est nécessaire de
procéder simultanément en tenant compte des effets réoiproques, à
ltétablissement de la oddule du projet' t
10) Laoc3Bdule du Projet.
Dans aette section il a été vu comment il est possible de
transformer les techniques de planification pour pouvoir les
utiliser dens la préparation de la cédule du Projet.
2O) Le budget définitif dn Projet.
Le budget ét&i établi en fonction de la cddule, il
est important de m&triser oertaines notions qui permettront au
budget de tenir compte de l'élémeut temps. Ces notions sont t
-Les méthodes d'actualisation - l*effet de l'inflation
sur le projet.
Module 6 t LT RESSOURCIWWI; :
Le ressourc.~'ent est une dtBe vitale de la gestion
du Projet. Cette fonction est intimement liée à llsrdonn~cement
des travaux pr&us par le plan. Bienque présenté à la suite du
'blan de Projet", la fonction ressourcement est en fait, partie
intégrale de celui-ci.
Le ohâmps du ressourcement comprend :
- ~llocal;ion des ressouroes aux différentes tâches ;
- gllocation de la main-d'oeuvre aux adivités du plan ;
- Allocation de sous-contrats ;
- approvisionnement en équipement et en matièr@premiéres.
l *b / . . .

MODu&l : LE CONTROLX XU PROJS r
Le oontr8le apour but de vérifier la bonne exéoution
du projet. Pour ce faire, il e& néuessaire dktiliser des outils
qui noue pmrblmmt d'é~ah.xar le projet en fonction des variables
(dtts-temps -qu&lité).
P) LE CONTROL;4! DE,S COUTS.8
Le oodt visé ou estimation d&initive oonstitue la
oaraotéristique essentielle du oontr$le du oottj;, La oomptabilité
de projet (estimation bud&tairel oompa,rsiwn de coffts* oontr8le
de c&ts) le perf; - cofft, lavaleur s&lisée, llsnalyse des
vsyienoes, $hsi que les indioateurs optimistes -pessimistes
gmt apilques taxes des techniques de contr8les q?~i ont été exposés*
~estechnigues nous permettent d'aY;oir, à certains moments préd&
terminés, l'image de l*évolution du pwjet.
2O) LE CONTROLE D]E LA DURIS t
L*utilis&ion déchéancier, l'identification de points
de repère, les mmptams d'évènements complétés seront les outils
abordés dans cette section.
3‘9 LE CONTROLE DE LA QUALITE t
Selon le type de travaux, il est nécessajre de srassurer
que la qu$lité des travaux est conforme aux objeotifs. C&te
section a pu d&nontrée l'importance de la suppemrision par des
gens compétents des différentes phases du projet.
Pour compléter cette section ocntr8le une importance
toute particulière a été aooordée à la présentation de rapport*
Une étude assez sommaire a été faite sar le mode de présentation
du rapport, la fréquence de présentation ) de m$me que ltidentifioation
et la distribution eux utilisateurs, Ces différents points oontribuent
à une diffusion efficace des résultats du contr8l.e.
MOIULE e 8 LE CONTROLE DU PROJE?T t
Ltinformatiqua et la gestion de projet*
Les ordinateurs jouent un double *le comme outils dans
la gestion de projet. Ils aunt d'abardutilisés pour permettre un
oontr81o des CO&S et du teps plus efficace,mais ils sont utilisés
aussi pour permettre une meilleure exécution technique du proj&.
On pensera à lrsi.de~précieuse qu*iL:@portent eux Ingkieurs et désiggers
dans l'élsboration de nouveaux produits1 benordinateurs servent à
trier, lister, aooumuler de très grgr~d
qwntités de données.
Cette manipulation rapide et efficaoe d'une grande quantité de
données en fait un él&ment essentiel eux projets de grande enverwre.
Tout en demeurant très utile pour les projets de plus petite
dimension. Ce chapitre a été à llorigine de débets comme tous les
autres modules d'ailleurs a les questions posées étdent assez
nombreuses : Par exemple t
- CO& élévè d'un ordinateur,
Difficultés de manipulgtion f
Mais en conclusion il est apparu nétxxmaire d'avoir de petits
ordinateurs faciles à manipuler ne sereit que pour les grands
projets de développement forestier et les Projets de recherches*
L;e PARC$! de Ka;ffrine et le projet de Mbiddi ont respectivement
servi d'exemples,

7, PoLT?!IQUTi: S@CIALE :
Dans ce sous-chspitre différents points ont été
exposés : quslification du personnel, sa performance, sa
formation permanente et une étude a été faite sur le cas :
recrutement et la gestion des Projets de Reoherohes ou
expatri6s.
L@expo& portera sur certaines théories social.es
dont cultures -moeurs etc... Lapartie laplus intéressante
sera celle traitant 0 reVeadioations - conflits, les senctions,
le oomm9pdemen-t.
- Revendications et uonflits t un conflit positif
conoerne des revendications ou les o'bjectifs ne sont pas mis
en cause et un conflit négatif concerne des revendications dont
l'orientat;ion m&ne est mis en oause (les deux conflits ne se
g4ren-t pas de la m%me manière).
- La sanction doit 8tre : - Objeotive ;
-Informée ;
- Justifiée.
La prise d'une sanction est une décision supra -
individuelle qui doit are motivée par des raisons exclusivement
de service, La sanction est liée an fait et à ses implications,
non à l'individu 'mgis à l'ensemble du projet.
-Le cwnmsradement r c'est l'art de gérer le oonsoient
des individus, il se situe à 110ppos6 du dirigisme et exclut
toute oontrainte personnalisée si non il devient autoritarisme.
Comment gérer le commendement- Motiv#ation ,Inovation,Communication-
Reqonsabilisation, Sa;notions.
Module 9. LA J3ISBOW llES RESSOURCIB-IR.m f
1) Objerztifs er& politiques.
L'analyse de faatibilité pjermet à tout projet
d'identifier les ressourwes humaines & d4fini les moyens et les
temps.
-Les moyens t mettre le personnel dans les meilleurs
conditions de travail,
-Les temps f les moyens dWilise,tion de oe personnel.
Le travail est une ressource sujet donc effectué par
un homme dont il est nécessaire de bien gérer afin d'en tirer
le maximum de profit. Un objectif en matiare de ressouroes
humaines se manifeste en termes de qumtité et de qualité.
Un personnel n'est jamais effioace à 100 $b
AU cours des débats la notion d'efficaoité est parue
fond~entale. Il ne faut pas donc espérer une efficacitb de 8 h/joure
Il faut prévoir 1 heure de complémentarité
comanulioation,
coordination) et 1 heure dtindisponi:bilité tmaladie, rendement
faible... ) d'où 6 h d%E'ficacité par jour.
2) Conservation - Aspecit;s ps;yohologique et psyohanalitiques.
La nécessité de bien g&er la ressouroe humaine s’avére nécessaire
d*aut@t plus que mffie bien payé, on peut demander a quitter

quand on slennuie dans notre trava&
l'étude des ooraportenaeuts montre qu'il ne suffit Pas
de créer des stimulus pour r6pondre 8, des besoins primaires,
~s il existe d'ga.tres hiérarchisés bien &a
On distingue 8
-le besoin primaires (~imentatfon, condifio~s~
m&&rielles) ;
- le besoin d*accomplissement (vdem intrinsécpe) ;
-le besoin dtapp#%enanoe (à telle oadre, struoture) ;
- le besoin d'expression (oo!mnwioations) ;
-le besoin d'autorité (ou affirmation ou de responsabilité ’ i
La plupart des problèmes en matiére de ressources
humaines sont d%s ~CI non respect de la hiérarchie des besoins
QU à la limitation m seuls besoins primaires.
BIodule 10 -La gestion des ressources financières - des
communications - des stocks.
1 -Le finencement interne.
Les ressources propres aU projet constituent le
finazn33ment interne.
11 -Le budget.
Un budget est un état prévisionnel des dépenses
(les emplois) et des recettes (les ressOUJ?Ces)+ Quapt àl'au&l.yse
finanoiére il explique lVutilisation (l'emploi) des ressources.
Caraotéristiques du budget :
- 11 estorganisé et prépr6 selon le découpage structurelIe
du projet.
- Il est pAparé en fonction des objectifs du projet.
Cette préparation peut 8tre oentralisée (systéme
autoritaire) ou décentralisé (système fonctionnel)
- Il doit être dooumenté.
- Il doit être oommuniqué.
- Il doit être respecté.
La responsabilité budgétaire réside à deux niveaux t
- à l'ex8oution : liée au respect des engagements, si
ltallocata,ire est indemne de tout engagement, la responsabilité
concerne le respect de la date de mise en place imputable à
l*&ocataire.
- au oontr3le.
- 12. La comptabilité : la comptabilité enregigtre les
0pBrations financières. Ses outils fondamentaux sont : le livre
journal et le compte.
Le compte est schématisé en T il fait
ressortir le bilan soit d'ouverture ou de fermeture.
&t if
Passif
!1
si Ay P (bdnéfices)
!
si A <P (pertes
)
!
si A = P (éguilibre)

Pour suivre l'aapeot dynamique de la comptabilit8 on
utilise les soldes caractéristiques de gestion.
kiB =Marge brute* VA PI Valeur ajoutée, RBE= rBsu.ltat brut
d'exploitation,
RN P résult& net à effeotuer.
Les cycles des achats et des ventes on% été exposés de même que
ce1l.e des immobilisations.
2-Fin~oement externe.
La gestion des fonds étrangers présente un des caractéres
les plus difficiles en matière de planification et de oontro^le car
les variables d6lal.s et de mise en place dohappent généralement
ou récipiendaire. C'est pourquoi la stratégie de budg6tisation
flexible est recommapdée* dens ce oas la variable temps devient
une ressouroe indispBt1sable. l& adoptant cette stratégie ouv
retient 30 $ d'impr&us pour gonfler le budget.
I&I ce qui concerne la gestion des communications il
est importent de souligné que dans chaque projet les responsables
doivent définir une politique des communications. Ceci est d'aut&
plus vrai que das tout projet où il y a des insuffisances das
la définition et la politique de communications, ce projet ne
peut atteindre IXP~ objectif quelques soient ses moyens matérielles
et immgtérielles.
S - s3ourae
D 3~ destination
H&ure des sources de commanioations : h - rslaS.e
Liaisons hi&@chiques : réseau linéaire1 P intermédiaire.
Liaisons fonctionnelles t r6seau mutiplex.
D~~IS oe module les différents stades de la commuuioation
ont été &oqués. ON parlera de réseau bouclé, du choix des supports
d'informations, de l~aooueille de la contestation. I%I oe qui
ooncerne
ce dernier point on retient que dens tout
projet la oontestation doit 8tre accueillie quelle qu'elle soit
(éviter d'user des moyens aatorityres), et ensuite ouvrir le
dialogue. Qugwt WC stocks on notera qu'ils peuvent se faire t
-àLlademande;
- directement ;
- $r crédit ;
- crxz oowtant;
- & la réception ;
- contre remboursement 5
- &ioipatiVement.
AU niveaa des divisions stoc.ks et approvisionnement
il est impératif de disposer de :
-liste des artioles ;
- système de codification ;
- nomenclature t
- catalogue magasin aveo spécifioation ;
- liste compléte des swports (travées, étagérets,
couloirs, oasiers)l
. . . / . . .

Wedule 11 : Consolidation et synthése.
Ce module traitera de l@applioation de la gestion de projet
dea lapetite et moyenne entreprise. L'accord a 6tS mis sur
la présentation de situations wnrMes qui se prêtent bien
à l*utilisstion de la gestion par P.rojet, soit t
-La fabrication "sougrrQdntr&"
-Le développement de IIO~V~EIXIX produits ;
-Projets d'expansion.
I&I fin, uu tablean récapitulatif des notions vues
ga cours sera présenté.
Le cours d@éaonomie a 6t6 divisé en trois grandes
parties. 1 : E1ément d'8iwnomie Cén&&le.
Cette partie présente une introduction générale a;u
systtme économique. Elle avait pour but de permettre aux partioi-
pants d'appréhender le fonctionnement @obal d'une économie et
d'assimiler les ooncepts fondamentaux correspondants.
L'exposé de cette première partie ouvrait la voie à
des discuss&ons oonoernant les principaurr: problames qu'affronte
1*6conomie d'un peys en voie de développement.
Une application concr6te des concepts au uas S&xé$alais
et la situation du Sénégal par rapport aux antres psys en ddveloppe-
ment ont été faites. Ce chapitre fut l'objet de débats trés intéres-
ssnts.
2 : Le Secteur Forestier $
Daus cette deuxième partie différents points ont Bté
étudiés.
- Le secteur forestier et l'économie nationale ;
- L'économie des produits forestiers ;
. Combustibles ligneux ;
. Le rSle des produits forestiers daPs
le systBme rural.
Cette partie situe d'abord le secteur forestier dsns
l'économie n&iOn&Le et présente son évolution maoroéconomi-
que au cours delapériode 1979 - 1982. Vient ensuite une
description de l'économie des produits forestiers ceutrée
sur les combustibles ligneux. Charbon de bois et bois de feu.
L'économie du bois d'oeuvre et des .industries forestières
n'avait pas fait en effet partie de la.matiére spécifique de
ce séminaire, En fin, le rlsle des p:rod&s forestiers dans le
systéme rural avait fait l'objet d'une descritpion succinte.
l ** / . . .

-o- 12 -o-
i
3. La plapification PorestiBre.
Cette partie se aubdivise en quatre grands chapitres
qui sont t 3. 1 - C&&,litéa ;
3* 2 - Di*o&ic ;
3. 3 -Prognosis ;
3. 4 - PI,g&fioetion.
Elle pr6aeute, cette troisiéme partie, la m&thodologie
g4nérai.e de la planification das le seoteur forestier, Apres
une présentation g6n6raJ.e duprooessus,, les différentes étapes
sont Analysées avec 1eurEapplicationa au cas Sé~égalaish
3. 1 t Etablissement du Dia#goatio I Identification
des oontr&ntes et des blooages.
3. 2 : Prognosis et projection des tendancea actuelles ;
3. 3 L Strat;égie ou définition des objectifs et priorités ;
opérationnelle ou définition des moyens t
programmesl politiques et projets.
3. 4 : Elxéoution physique et finanoiére du plan ;
réajustement.
Un des principaux objectifs de oettetroisiisme partie
a été d'aider les participants à stitner les projets forestiers
eu sein de la planification gén6rale du secteur,

COMPOSITION I!‘LORISTIQUE LIGNEEE
sui-mtlt les classes de parcours
*
i
Essences recensées !
0
Familles
0
Noms peulhs
I
0
!
1
--
; I $II ;IIIf -gq-q
!
0
0
“--
-
-
-
0
0
0
D L
.>
I
!
0 --j---~-~-q----~
A&rsonia digitata
! Bontiacaceae
Dokhi (Pl,Bawde) 1
0 x .!
0 x! x 0
.A.denium obesum
! Apocynaceae
NdWbogel
!X!X!
! x 0 x 0
Acacia ataxacantha
I Wmsaceae
Gutute (pl,Gutute) 0 x 0 x 0 x 0
! x 0
9 9
rad0fiana
0
VF
Tchibuki ou Tchili !
Ox’x!xO
!
IV
senegal
?
VV
IP
Pattuki(pl.pattu&! x 9 Y ! x 0 x ! 2: !
seyal
!
VV
IV
Bulbi (pll.BüLbé) 0 x 0 x 0
0 x 0 x i
macrostachys
0
VP
Tchidi (pl 0 Tchidg !
0x0
0
!
!
Anogeissus leiocmpus
0 Cotiutaceae
Kodioli
0
I x !
!X?‘!
Eal-anites aegyptiaca.
! Zggophyllaceae
Mutchetoki(pl,TékfI x 0 x 0 x ! x I x 0
Bauhinia rufescens
? Caesalpiniaceae
Namari
1
0
B
0x0
i
Doscia senegalensis
! Capp~anidaceae
Gissili (pl .gimil6! x 0 x 0 x ! x ! x !.
Calotropis procera
0 Asclepiadaceae
Bawami
;
!x!x!x!x!
ConWetum aculeatm
SF
1 Corfbretaceae
Laouandi
!X!X!
0 x 1 x 0
micranthun
!
91
Talli(pl~tallé)
!X!X’
0
0 x 1
9s
nigricans
0
i i
Buski (pl .Buské) 0 x 0 0 ! 0 i
iV
glutinosum
0
9 9
Dôkhi. (pl. Do@) ! x 0
‘X!X!X!
&daba f,arinosa
0 Cappa33daceae
sig-sig
0
!
!
0
!Xl
Camtiphora africana
0 Burseraceae
Baddi (pl e Badda ) ? x 0 x !
0 x 0 xl
Cordia sinensis
! Boraginaceae
Mendié16
?
J x 0
?
0
!
Dalbergia melFmoxylon
0 Papilionaceac
Dialambane
!X!X!
!
ix!
Dichrostachys glomerata ! Mirmsaceae
Burli (pl,BurE)
.!x!x!x!x!x!
IGuiera senegalensis
0 Combretaceae
Gel&i
F x 0 X!X!
0 x !
Grewia bicolor
1
9 Tiliaceae
Kelli (pl. kellÉ) 0 x ? x ! x !
0 x 0
9 9
f lavescens
0
V T
!
I x !
!
!
c
Entada afYicana
! Mimsaceae
0
D
s
0x0
s
Maema angolensis
! Capparidaceae
Bagi (pli ba,@) 0
B x 0 x !
Ssl
Mitragyna inermis
0 Rubiaceae
Koyli (pl. Koyl~?) 0
! x 0
‘xi
B
Leptademia pyrotechnica ! Asclepiadaceae
Tiaptori allanh % 0
0 x !
! x’ 0
Pterocarpus lucens
0 Papilionazeae
Tchagi (pl .TchagE) 0 x 0 x !
0
0
!
Sclerocarya birrea
0 Anacardiaceae
E;ri
0
0x! x!
ix!
Ziziphus muritiana
0 Rharmaceae
Diabi (pl. Diabc) !
E x 0
! x 0
%
!
I
0 !
I
!
-----.

.
b
Evolution de la richesse
florii&ique en fonction
des classes de pazcour
Nbre
d'essences
1 = 16
II = 2 5
III = 1 3
I V = 1 7
15
v 5- 20
1 0
5
Classes
I
7
I
-"de parcours
1
II
III Iv v
III 1 Iv v II
N.3, : Si l'on place les classes de parcours
en fonction de leur importance floristique,
nous obtenons une droite dont les données
s'accordent avec les possibilités des sols.