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.
/
”
.
: :SiilùT ;ENEûALAiS DE
iQ.C.t!fR'CHE AGkiCOLE
-------
'CENTRE NAT'IONA! DE
KEC!IERCHES AGKONOMï@JES DE
BAMBEU
--__-_-_
COMPTE-RENDU DES RE
.
REGIONAUX DE
A LOUGA,
1
- SOMMAIRE
--l_ ._.
Pour les besoins de faire e point d'une part du bilan de la campagne
agricole 1987/88 et d'autre part de / 'état des préparat ifs de ce Ile de 1988/89,
le Ministre du Développement rural a tenu, selon une tradition maintenant bien
établie à fixer un calendrier de réunions spéciales des Comités régionaux de
Développement (C.R.D.) pour les dix régions que compte le pays.
Nous avons été désigné par le Directeur général de 1'ISRA pour repré-
senter l'Institut aux réunions des C,R.D. de Louqa, Diourbel et Thiës tenue‘ res-
oect i vement les 10 et 13 Mai 1988.
[I - DEROULEMENT DES REUNIONS ET POI TS SAILLANTS A DEGAGER
-
-.--- _I_._..-___. -__ - -.-.-.-----~
Tant à Louga, Diourbel qu'
_
I
-
Thiès il est à noter la participation
effective aux réunions :
Notre représentattion de 1'ISRA aux réunions
e rentrant dans le cadre de la constitution
Si chaque réunion a été c sacrée principalement au bilan de la campagne
agricole 1987/88 et aux préparatifs
celle de 1988/89, il n'en reste pas moins
vrai que le Ministre du Développemen
Rural ou son mandataire a tenu à saisir ces
opportunités pour :
ler Mai 1988.
en particulier.
à l'examen du document élaboré pour 1
circonstance par l'Inspecteur régional dc
l'Agriculture et portant sur :
./. . .
2
ne agricole 1987/88 (mise en place
étrie, production/commercialisation,,
des dettes C.N.C.A et SODEVA, etc.,,) ;
'
d
t
- les perspectives
e la campagne agricole 1988/89 (mise en
t
renouvellement du capital semences.
r probables en arachide, mil, niébé,
de C.R.D, la présentation faite par
a suscité une série de questions, obser-
s comme suit :
ommunes aux trois C.R.D : il s'est
.I_~._--.- _. --..- - - -._ _.__.
es points de collecte d'arachide mise
ampagne par la SONACOS. Pour ce point,
illeure concertation entre la SONACOS
des points de collecte à
ommercialisation ;
lations rurales par leuis
présidents de coopératives),
ont réservé aux mesures
sols bien perçue par le
s soient difficilement
leurs coûts élevés ;
r et les rétentions de
ère de déclaration des
e Nationale du
n des céréales
es points spécifiques ont eu trait El :
l'intensificati
n de la culture du niébé et l'amélioration
de sa filière d commercialisation ;
. . . / . . .
c- la mise à la dsposition des agriculteurs du département
de Louga d'une variété d'arachide à cycle plus court que
la 55-437.
2.2 - C.R.D de Diourb 1: les points spécifiques sur lesquels ont
portë les discu Zions sont :
- la diversificat P n des cultures et notamment la réhabilitation
de la culture d mais en conditions pluviales ;
--la mise en valeu
des terres noires "dek" du département de
Bambey (notammen
celles de Ndiémane;;
.
- les problèmes de levée et de pureté variétale constatés sur la
varieté 73-30 ; i
- le projet SODEVP de prévulgarisation de la variété de mil
IBV .8061 ;
2.3 - C.R,D de Thies
les discussions ont porté entre autres sur
les points speci iques suivants :
- le faible taux d remboursement des de tes CNCA et SODEVA ;
- les difficultés
'adoption par les agr culteurs de la variété
de mil IBMV 8401 .
- le développement du maraichage et de 1 arboricu lture fruitière.
III - CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS
A la lumière des différent
interventions, le Ministre du Développement
rural (cas du CRD de Thies) ou son
ataire (ca6,des CRD de Diourbel et Louga)
a eu à dégager les conclusions et .r
mandations suivantes :
1" - mise en oeuvre de
utes les dispositions requises en vue de
l'implantation des ntennes régionales de la CNCA à Diourbel
et Louga quitte a
iliser des locaux provisoires ; s'agissant
plus spécialement
la région de Louga, l'antenne i::s;allée
à Saint Louis po
it @We-mise à contribution en attendant :
2" - nécessité pour les utorités locales de faire en sorte que le
taux de.rembours
t des prëts CNCA et SODEVA se situent à un
niveau acceptable.
3" - la date de clotu
e,dépots des apports personnels condition-
nant les .prèts à
sentir par la CNCA est prorogée jusqu'au
15 Juin 1988 en
ui concerne la région de Thies ;
4" - engagements pris p
le Département ministériel peur la mise
à la portée des
culteurs des intrants princ'ipaux : semen-
ces sélectionnée
ngrais et produits phytosanitaires ;
5" - mise en oeuvre d
plan national d'urgence de lutte contre le
péril acridien ;
xécution de ce plan requiert non seulement
la collaboration d
bailleurs de fonds mais aussi et surtout
une mobilisation
sive des populations rurales.;
4
6” - mise en oeuvre d'
nationale de transformation
o, et mais à mème de permet-
es faits le slogan "Consommer sénéga;
de transformation devant ëtre accompa-
e décentralisation au niveau des régions
de fertilisation des cultures et du main-
es sols notamment dans la zone du bassin
à la fumure organique mériterait de rete-
nir l'attention.
de diversification des cultures et notam-
des cultures maraichêres dans les régions
ités en sols et en eaux souterraines.
s personnelles en semences, il est impé-
teurs de les renouvelërsur la base du
ise en épargne et ce tous les trois ans
tous les ans pour le mil.
nous avons été amenés à apporter des préci-
Recherche à savoir :
55-437 par une variété à cycle plus court
et de pureté variétale constatés sur la
la variété IBMV 8401 par les agri-
a - Remplacement de la 55-437 par une variété d'arachide à cycle
plus court pour le departement de Louga :
f
Nous avons tenu
cours dans ce se
b-
Pour ce- point
l'objet d'échange de corre'spon-
dance entre ia
nous avons précisé ce qui
suit :
. les problèmes
e levée de la variété 73-30 ne sauraient Ê+tre
intrinsèques
la variété mais plutWliés à la qualité ger-
minative des
mentes utilisées ;
.I...
é variétale, elle peut être de
: (le déficit pluviométrique peut
e dégénérescence) ; ce facteur
controlable ;
: mélange de variétés au moment
ésërves personnelles en semences ;
.
: phénomène de dégénérescence intrinsè-
Ces précisions étant, nou avons tenu à souligner que des trois origines
probables de la non pureté variétal
seule celle d'origine génétique interpelle
la Recherche. Aussi, avons nous inf mé la r&tinion qu'un travail de reconstitution
des noyaux génétiques de la variété 73-30 est en cours au CNRA de Bambey et que
1,es bulk renouvelés seront mis à la disposition du programme production de semences
de prébase à des fins de multiplication pour les besoins de multiplication NI et
NI1 de la DPCS.
C - Difficultés d'
loption par les Agriculteurs de la région de
Thies et de
iariete de mil IB-1 ..
Nous n'avons f ; manqué de porter à la connaissance de la
réunion que li variété IBMV 8401 a été sélectionnée par
1’ISRA pour 15 !one Centre-Sud et non la région de Thies
(pour laquelle la variété de mil préconisëe par la Recherche
est IBV 8001). Il n'est de ce fait pas ëtonnant que les
agriculteurs c
la région de Thies portent leur préférence
à la Souna III jlutôt qu'à cette variété dont le cycle est
incompatible i x la pluviométrie de la rëgion. De ce fait,
nous avons suc $rë que le restant des 10 000 tonnes de semen-
ces IBMV 8401
placer auprès des ,agriculteurs au niveau de
j
la région de 1 ies par la SODEVA soit plutôt transfére dans
;
les régions dc :aolack et Fatick. Il nous paraît indiqué
qu'une lettre
lit adressée à Monsieur le Ministre du Déve-
loppement Rurz
pour porter à sa connaissance cette situation. l
Fait à Bambey, le 20 Mai 1988
Le Chef du Centre
.*,
L
Al
Arachide rl'huflerie
---
Assurées par 85 points de col1 cte (69 aux coopératives et 16 aux O.P.S.),
les operaricns de collecte .je sont bien
éroulSe8 après quelques grincements au
deport (lenteur dans le finnncement). di si 8 la date du li mai 1988 le volume col-
lacté, d'arachide d'huilerie: se chiffre p .r l'ensemble de la région de Uiourbel à
49 896,674 tonneb soit une valeur de 4.4
.700.660 francs CFA sur un financement de
4.695 432.210 Francs CFA ; les reprises
fonds s'élèvent à 204.731.550 Francs CFA.
Cette quantité commercialiée
r resente 95,5 % des prévisions rQajustéas
(52 250 tonnes contre 56 000 tonnes init
lernent).
En résume 51,3 X de la product
n estfmée en uachide d'huilerie (97 222
tonnes) ont été collectéa pendant la pr6 nte campagne (87/88) contre 41.7 $ l'aru-&
dernicre
(86/67).
Les évacucitions se poursuivent
t ont déjà porté sur 36 738,282 tonnee
_ (reste A Gvacuer 13 158,392 to:ises) (1 un cadence de 2 500 tonnes par semaine.
B/
Semences d'Arawide
Les 19 seccos sous surveillant
d u contrôle régional des semences ont, pu
rlaliser les objectifs de collecte (3 02
tonnes pour les niveaux N 1 et N 2) à 100%
pour le N 1 (240 tonnes SUT 240 tonnes)
il 87,3 X pour le N If (2 428,121 toanes
sur 2 780 tonnes). Kl S’8g:kt là de semen s certifiées.
Le montant des épargnes semenc
de multiplication se chiffre à 19 307 000
Francs CFA ; à noter que cette valeur es
loin de couvrir les besoins du programme
estimés & 465 tonnes.
C/
Hi1
Sur 150 tonnes de prevleions d
colïectr,
la SODEVA a pu, dans le cqdrle du
progrduamt: EIUA d'intensification du mil,
chr?té 84,413 tonnes (59,ó X> soit un finan-
cernent de R 37ti 000 Francs CFA.
D/
Niébé
~.
La collecte Confi&e cette anné
a u commissariat à la skurité alimentaire
a été timide et n'a porté que aur 11,632 onnes sur une période d‘un mois af;r&i .la
'
mise c;n place! du financement intervenu 1 27 décembre 1987.
. .
/
. a..
’
tii) d e h o r s deb: leritcurfi danti la
isr e n ~SOC~ des fittwcementu d e Istigachide
cUr;sCi..téee
au tout dhut des operutions, il est B dlplorer pour la regioix de Diourbei,
le retard accusé par le C.S.A pour achcte
la niébé et l’absence d’intervention de
cette même structure
Ll
-’ PREPARATfOh’ D E LA C
~~““A~RICOLl,oB~~~~~~
a-
i-Clt: coneiste à f i x e r l e s objet fs d’embkwure pour les différents pro-
grammes et & aetimer l e s bssoine e n intra 6 pour une conduite convenable des dit6
pr*ogrammes,
A/
- Sur la basa de hausses respec ves d e 10 X, 7 2 e t 20 X l e s emblavure:s
pourraienr atteindre
148 800 ha poar le mil. et 1.8 000 ha
pour lt: II!.~;!+ portant
268 800 ha soit 77 Z de la su:rface
cult~vlîbie (contre 72 /D en 1987).
- Concernant le mil, le progra
PIDA (SODEVA) prévoit 1’ encadrement de
6 000 izn A raison de
d i f f u s i o n . L e succès
et la pourïiuite d’un
ment dan8 les possi.bilit&3
o f f e r t e s ;iux contract
- Le programme niéb6 SODEVA quan
à lui portera sur 6 900 ha (SODBVA) .
Cependant la mise en
ncore d’accuser des
retards du fait qu’on
service R.égionul de
l’agriculture conduira ce programme.
B/ I,es Semences
- Compte tenu des vcrleurs cultur
20 kg/ha les besoins théoriques en semence
o n r Gvaliués i
- 12 240 tonnes pour l’arachide
595 tonnes pour If mil ;
360 tonnes pour Pe niébé.
.Y.
..d ?k
Le programme de multiplicsttion d
.i le til sposition d&e Bfi+&!$~pice,ura
dcre q
e ‘
.
pour la 73-liO ’
* 50 ronntc d
e
3 J C?li prOVv?;:r:C
(ST
+ :“::> tor?n<is de faf ”
‘<
10
. . /. ..,
i
+ 25 tonnes de N 1 en provenance de Tivaoune
i
ts
1,
du stock
rtsgional.
mme portent sur 465 tonnes de semencea.
C/ L e s e n g r a i s
L’hypothèse d’une fertilisation
u Lier’ dee superficies permet d’évaluer
les besoins en engrais à :
- 5 900 tonnes de 6 - 20 - l!j (s achide f iriébé) ;
- 7 400 tonnes de 14
- 7 -. 7 (d 1 ;
- 4 900 tonnes <‘urée
(ni ).
a seule structure g opErer dans secteur
-
100 tonnes de 6 - 20 - 10
5L tvrirws de 14 r 7 - 7
D/
Lés Fongicides
. .
L’U.N.C.A dispose’ de 100 000 sac e t s de 100 g de Thioral et 25 000 sachets’
de iÙ0 g de Granox pouvant traiter globabl ment 19 000 to&& de semences.
La SONACOS a un stock 175 000 sa hets de 200 g’poufant traiter 35 0OO”torines
de semences.
Soit pour toute Xa region 47,5 t nnos de fongicides pour traiter 47 000
tonnes de SCEXIICf3.S.
les produits phytosanitnires
rectton de la protection des végétaux a
ral.isé~ de la région de Diourhel lé&
matérie.Is r.t produits phytos&nitaires suiv üi Zth :
.
!
. . . / . . .
REGli?h, i'E THIES
RAPPC'RT
INTRdDUC
IF AU CRl' SPEC! AL
PAR LE MINITTRE I)I
DEVELflPPEMENT
R!IRAL SUR
I?E LA CAMPAGNE 1587 tc)sS'- ET LES PERSP E<T1 VE$
DE LA CAMP GNE 103~/19f39
:
THIES LE 13/@S/ 19'iF;
Ii A P 1'0 R T f‘ Il R : L ' I NS I'E ;T ELIR R E GIONA L
?E L'4GRICULTIIR
Il~t-~,1t1 ~~II~I S E N E
-._----... -
‘
1 - f.,k: B I L A N DB I,A CAMf’I\\GNE 108;‘/8t{
-
-
.----------.-A.--L--
uli-r sera trait.6 B~>us trois vol t t.:: I;rir;c i ;,ai .i-
ment :
L e v o l e t , pluviométrique, ( ?I.IJ~ des emblavures et. productions. et
d e l a commercialisatioi? el. d e s rembo rsement de dette.
l - L e B i l a n pluviométrique :
-
1,‘hivernage 1987/88 a é t é
l e p l u s p l u v i e u x e t l e m i e u x repart:L dan:;
1~: temps et dans 1 ‘espace dans notre Région depuis 1985.
En effet,, i:l a évolué du a n t l a p é r i o d e d e l a m a n i è r e suivantt. (Ian:?
l e s ~rc~is. Départements que compte la Région de Thies.
Dans 1-e Département de Th: 2s , la pluviométrie moyenne a i,tih de 420, jmm
e n 35,8 j o u r s e n 1985~‘86, d e 392,s Im en 25 jours en 1986/87 et de 488mm ei! 3li
.jours e n 1987/88.
D a n s î e Departement d e ‘ T i ‘aouane,
e l l e a é t é d e 310,3mm e n 25 ,t~ ,jours
eii 1985 i86, d e 249,9mm e n 20,li jeu 0s e n
1986/87, e t d e 499mm e n 19,o .io.lrs e*:
1’387 ‘88.
D a n s l e D é p a r t e m e n t d e Y IOUI’ >
elle a été de 460mm en
-j 4 ) 7 j 0 u r E e R
1985 T86, de 300mm en 2’5,2 jours en 1 86/‘87 et de 560,7mm en 41,l jours en 1-8’1: 88.
Ainsi
c l a n s t o u s l e s t r o s Départements,
l a p l u v i o m é t r i e en 198’; 8C
a
un redressement spectacul; i r e a y a n t p e r m i s ia s a t i s f a c t i o n d e s bes(iins
hydriques des cultures.
C e t t e s i t u a t i o n pluviomét ique a c o n t r i b u é à a s s u r e r u n e tres bc>nne
producti.vité des cultures emblavées
ans la Région.
2 - Les emblavures et les produ t i o n s d e l a Rcgion :
a - L’arachide :
-
L e c a p i t a l s e m e n c i e r d e 1 3 R é g i o n a v a i t a t t e i n t e n
1987 ?88 11647’1-33’:
dl,nt. 6~25~ de reserves personnel les
t 5210T353 de semences acquises.
Les semences acquises étai nt constituées de 1038~200 de vente au comptant.
110,‘7OC! d ’ é p a r g n e , d e 3982T250 de cr d i t CNCA et de 69 ,T115 de souscriptior: semencr-s
de vulgarisation auprès de la SONACO
Le capital semencier ains: constitué a permis d’emblaver iji( 37‘; H:I
Ion:.
21 860 Hi’ dans le Département de Thi
- .
-
-
S,
27239 Ha dans
le Wpartement dt. M~OU:-
et 39 271 Ha dar,s 1 e DS5partement de
-
-
ivaouane .
Les rendement,s ‘)bt.er~illS (31:
i II de
fampagne ont étC les sui V:III~:; :
Dans le Département de ‘I’h’
i 93i; K [ha,
d a n s l e Dcpartement d e “iibour,
t
426 Kg/ha e t d a n s l e Ddpartement de
i.vaouane 7 6 9 Kg/ha.
C e s b o n s n i v e a u x d e rer
srntant
o n t é t é o b t e n u s m a l g r é
l ‘util j saticn
I n s i g n i f i a n t e d e l ’ e n g r a i s sur* arack le avec 950 Kg sur crfidit CNCA ~)OUI’ 1 ‘chnsemtle
de 1-a Region.
Cependant, 1 ‘ e f f i c a c i t é tic l a l u t t e p h y t o s a n i t a i r e ayvec 2b ‘35C~ H a traite.3
-~-
C:ontre l e s p u c e r o n s s o i t
‘<O , :j x de E
superf ici.es Cultiv&es e n a r a c h i d e . el 5 014
-
-
ira t r a i t é s c o n t r e Zes i.ules, a d o n c
t’t.6 u n d e s élements c l e f s d u bcJI1 n i v e a u d e s
rendements arachide de la Hi;gion.
b - Les Mils, Sorgho et MZ 3 :
Les céréales, parti cul ièrt ?nt le mil et le mals sont
’ ob.i e ix de program-
mes spéciaux exécutés par la SODEVA
iris la Région de Thies.
Dans ce cadre, i3 y a 1.e
ro.iet d ’ i n t e n s i f i c a t i o n d e s c é r é a l e s A M b o u r
et de diffusion de semences dc Souri:
iT1 et de mil IBV 8001.
P o u r l e Pro*jet
i n t e n s i f
a t i o n d e s c é r é a l e s
à Mbour,
l e s o b j e c t i f s
de mise en place de semences ont
.é de 1 500 Kg de souna 1TI et dc 3 ,308 Kg
de Ma?s, a v e c 80TlOO d ’ e n g r a i s 8-18- 7 e t 60T400 d ’ u r é e . Il a é t é réaiisk 1 ‘j92 K g
p o u r 1.e Souna III e t 160 K g p o u r 1-e
ils.
Pour ce qui est de la d
fusion
des semences améliorées de souna III
e t d u IRV, il a été vendu 10 916 Kg
-
-
-
Jr 15 000 Kg de souna III mis en pl.ace et
8 076 Kg de IBMV sur 36 160 Kg mis E
p l a c e .
L ’ e n s e m b l e der v e n t e s d e
s e m e n c e s a m é l i o r é e s e t d e 1’intensifica;io:
d e s m i l s a c o n s t i t u é u n c a p i t a l s
ences mil de 20 484 Kg soit environ 5 12i
Ha.
Cependant le? emblavures
!n mi.1
de la
H é g i o n q u i o n t Çat.i, estic;+e.s
à 112 248 Ha confirment 1 ’ idee d ‘L
3 auto c o n s e r v a t i o n d e s e m e n c e s persur:nt-ile?
de mil chez les paysans de la régior
L’utilisation des semence
amcl iorées et 1’ intensif ica
possèdent un large espace 3 occuper.
Les surfaces de m-il sont
?Parties selon les Départements ii<* !a man.iPrr;
sliivante : T h i e s 2 5 715;
~-
62
Ha et Tivaouane
‘49 271 Ha.
--
-
-
. . . : . . .
Les rendements
été l e s sui\\,ant P : vj4.i KgIh:i
ii T h i e 6 ; 653 Kg,‘ha ;I Mlko
Les mises e n pl
o n t ét,c d e 220’1’800 d e î4-7-‘i ct d e itGo5G
- - - -
d’urée s u r crédi.t: CNCA.
s a n i t a i r e a p e r m i s tic tnaite::,
e f f i c a c e m e n t 66 670 H a c o n t r e les
aut e r i a u x s o i t . 55,4% d e s embla>Jures es 0075
H a c o n t r e l e s f l o r i c o l e s .
Ainsi 1. ‘all.ure
i c a c i t é d e l a luttc~ phyti;sani-
taire ont été encore ici
niveau des rendements atteints.
L’impact peu significatif d
niveau d’utilisation des semences s@lectin-
nkes en mil comme du nive
ication de la culture milicol e est lark;emen’:
illustré par les niveaux de rendemen
atteints comparativement au rendement moyen
de 1 000 Kg chez les pays
P o u r l e ma:i’s e n i n t e n s i
cation à M b o u r ,
avec 3008 Kg de semences .)
sebu1 360 Kg ont pu être r
; ce qui témoigne de la ‘Iimidite
de la promotion de la cul
tement pourtant favorable à cette
culture .
Pour le sorgho,
‘aucun programme d’amelioration
o u d ’ i n t e n s i f i c a t i o n d a n s l a Régio
l e s s u r f a c e s e m b l a v é e s o n t é t é d e 6 4 5 8
- - - - -
Ha dont 1 409 ha à Thies,
H a ;i Tivaouane.
-
-
Les rendements ont eté d
947 Kg 3 T h i e s , 860 Kg à Mbour et de 685
-.
Kg à Tivaouane.
L ’ a l l u r e d e l a p l u v i o m é t
e a é t é t r è s b é n é f i q u e p o u r c e t t e c u l t u r e
de cycle long.
A i n s i l e n i v e a u d e s r e n d m e n t s d e céréal e s d a n s l a R é g ion sont très,
e n d e ç à d e s p o s s i b i l i t é s q u ’ e l l e s r e c lient.
c - L e Niébé :
.
:
L e n i é b é a f a i t l ’ o b j e t
eux programmes dans la régi-on, 1 ‘un fi.nancÉ
par le FIDA a mis en FIlace 2 000
e semences dans le Département de Tivaouanr
dont 9 250 Kg réalisees ; et 1 ‘au
e est le programme d’urgence NiébG du MDF
avec 11 500 Kg de semences dans l e s
artements de Thies et de Mbour.
L e c a p i t a l semencier Nié
contrôle a été de 20 750 Kg soit 10 375
Ha environ.
L’estimation des surfaces
b!a‘rees en niébé donne 11 969 Ha d’emt !zvure.
Ainsi 1 es performances de
emblavures en Niebé sont étroitement 1 i ées
au programme contrôlé par ‘la SODEVA.
. ..‘...
3
La commercial isat ion et
- -I_- - - - - W
Lt.s remboursements de crédit :
---..-------
I - - -
D a n s la Région d e ‘I’hics,
sc~ule 1 ‘ a r a c h i d e a 6t6 commerci a 1 i.s6c p il r
u n O r g a n i s m e o f f i c i e l , l a c:ONACOS. : ier’ 8 ’ 7 s e c t i o n s v i l l a g e o i s e s dr* c o o p é r a t i v e s
et les 9 points 0PS comme mandatai.rc
s, et, 5 p o i n t s d e c o l l e c t e i tinerants p o u r
f
1 a SONACOS.
Les cGréales, comme le, nié1 i n’ont p a s et6 l’oh.jet d e c o m m e r c i a l i s a t i o n
o f f i c i . e l l e ,
d e s o r t e q u e l e Commiss wiat
Ti 1 a Sécurit 6 Alimentair(: n ’ a n.is pu
.i ouer son role de gérant d!J prix pl;
-
-
~cher des céreales dans les marches hehdoma-
daires.
a - La commercialisation de
_----~- 3 arachides :
-
La SONACOS a commercia1.i~~
aIl t i t r e d e s s e m e n c e s d ’ a r a c h i d e 4062~~648
et au titre des arachides d’huilerie $6 h58T743 Soit un total contrôle de 50721T391.
- -
L e s e s t i m a t i o n s d e produci i o n é t a i e n t d e 75 8 7 1 T e t l e s e s t i m a t i o n s
de collecte retenue conformément aux ]Ormes de collecte du programme de la filière
a r a c h i d e e s t d e 53 10gTï-2
A i n s i l a c o l I.ecte CcJntF6lé accuse un taux d’erreur de 4,5% très inf’é-
rieur au taux d’erreur :Lié au I)I.an de sondage adopté qui est de 10%.
Donc le niveau de la col .ecte c o n t r ô l é e a c o n f i r m é l e s e s t i m a t i o n s
d ’ embl avures et de rendement ef f ec tu6 !s dans la Région.
D e cet.te coll.ecte contrô1C:> la SONACOS a évacué au 4 Mai 33 62~1'204
s o i t 72,05% ; les réceptions ont enre :istré une perte globale de 1,51% dans lesquels
les abattements constituent 1,21% et .es déchets de route 0,29%.
b - Le remboursement de crf
~---
- - lit :
-
L e credit r u r a l d a n s l a
égion
était constitué pour le compte CNCA
- 351 689 731 Frs d’exigibl ! pour les semences ;
- 21 360 514 Frs pour les
:ngrais
- 22 270 295 Frs d’arriéré : en semences.
et pour le compte SODEVA de
- 28 336 325 Frs d’en cours
- 12 819 690 Frs d’arriéré : et m o r a t o i r e s .
Les taux de remboursement o lt Gté respectivement de 91,4% pour I’exigi-
b:e semence alors qu’il es? inferieur
au taux réalisé ;i pareil le époque la campa-
gne dernière, de 41 5% sur le cr6dj.t
->
lngrais, d e 14,96% s u r l e s arri6:3Gs d e 48 77%
--2.-I
pour le crédit SODEVA.
C e s m a u v a i s e s perf‘ormance
d u r e c o u v r e m e n t d u c r é d i t r u r a l Iposent
pr 0 h léme e t
t
mérit,en 1Jr. CHI7 specia! (7 insacrk ;i c e t t e q u e s t i o n .
. . . / . . . .
11 - LES PERSPECTIVES DE LA CAMPAGNE
- - - - - . - - - - - 1988i89 :
- - - 1
Les perspectives dc: la car pagne prochainf v o n t ê t r e at;ordi~es d u p o i n t
de vue de la reconstitution du capi.t ? semer,ci c-r arachi d? : de 1 ‘Pt,at d e s program-
mes
c é r é a l e s
e t.
ni&bk,
de ii1 prob ématique
d e s aut,res f‘acttzurs de produlit ion
comme 1 ‘engrais et. les produits phyt s a n i t a i r e s .
1 - Reconstitution du tapi
-
- a1 semencier arachide :
----~-
Le niveau th@orique 311 cap ta: s e m e n c i e r r é g i o n a l e s t d e 10 OOOT repart
e n r é s e r v e s p e r s o n n e l l e s de 6 OOOT
c r é d i t C N C A e t v e n t e c o m p t a n t et Epargne
5. 4 OOOT.
L’estimation annuel 1 e du
iveau des réserves de semences personnrl les
T’a p a s é t é e f f e c t u é e c e t t e a n n é e
)ar manque d e f i n a n c e m e n t d e l a p a r t d e l a
SONACOS.
Cependant, t:oute proport ic 1 g a r d é e , 1-e niveau de réserves de semences
de l’annt5e précedente a é t é recondui
s o i t 6 OOOT.
Le crédit semence CNCA e: ; assorti d’un remboursement à 100% et d’ur;
apport personnel de 35%.
Alors que le taux de rembo rsement e s t juge i n s a t i s f a i s a n t , l e n i v e a u
d e s a p p o r t s p e r s o n n e l s s e si.tue ri
-4 940 103 Frs correspondant à un crédit de
352T.
La CNCA a clôturé la ré< :ption d e s a p p o r t s p e r s o n n e l s , c e q u i p o s e
un grand problème pour la constituti n du capital.
Les épargnes semences pou
la multiplication sont de 44 778 290 Frs
---_-
représentant 60% du programme de mu t i p l i c a t i o n
q u i e s t d e 6 0 8 T t o u t e s varjétés
-
-
et niveaux confondus.
Ainsi beaucoup d’incertitui es planent quant au niveau de ïa rei.o::otitu-
t ion du capital semencier régional, .les réserves ne sont pas connues de manière
p r é c i s e , 1 ‘épargne semence n ‘a pas e: tore satisfait le programme de mult pljcatio:R(
les dépots p o u r l e c r é d i t CNCA
son
à u n n i v e a u t r è s b a s ; I.es v e n t e s oul.‘erLes
depuis le 2 Mai n’ont. pas enl:ij;‘e enri g i s t r é
de rush.
A v e c l a b a i s s e de 2C; F r s SUI’ l e p r i x p r o d u c t e u r a r a c h i d e annon,:& l e
ler Mai 1988,
i l e s t 5 crai.nde que l e c r é d i t C N C A e t l e s v e n t e s d e s e m e n c e s
ne puissent se situer à un niveau sa. isfaisant.
D’où la nécessité de procé~ er à un sondage réserves semences personne!-
l e s d i s p o n i b l e s d è s l e m o i s d e ,Jui
p o u r a v o i r u n e idee d e c o n d i t i o n s réel.les
de démarrage de la campagne arachidil r e 1988,/89.
ixlt,erlsii’ication cl e SCLIIl;i 1 1 i , 500(
e t ; l ’ e x é c u t i o n d e 4000 lia de NiGbt.
L e programmt l u t t e c o n t.r
c o û t d u c r é d i t 35 800 ~b’rs/‘Ha.
-
-
-
Les grains tic r~endft:nent.z:
cbteriue S
1 ‘ h e c t a r e p~~r~~uvent, 1 cIut e s
2 - l,a problématique des autres fact
-
-
-
a - Engrais :
L’Union Nationale des
Co
71
tonnes
d e 6-20-10 d e p u i s janvi
ce jour.
L a CNCA a renouvel .i t son
conditjon d’accès le remboursement
c!ji‘dit A 100% et: 1 ‘apport de 10$, 1 ‘envelo--
pe est de 150 Mill ions. La CRC!2 n’k
-;r*egistri. j u s q u ’ i c i q u e 7 0 0 000 Frs d’:tppr,rt
correspondant
à 20T comme 1 R c amp a 16: précédante , 1 ‘engrais risque de ne jouer
qu’un rôle marginal dal?s la proaucti I tit! la campagne à venir.
b - Le matériel agricole :
L a CNCA a décide d e met.t 5’
tan o e u v r e p o u r c e t t e c a m p a g n e u n c r é d i t
d ’ é q u i p e m e n t p o u r 1 1 0 M i l l i o n s . L’, p o r t p e r s o n n e l e s t f i x é S. 2 5 % .jusqu’à n o s
jours,
aucun versement n’a étC enreg ;tré.
C _ Les produits Phyto :
L e s n i v e a u x d e production
otitenus la campagne passée sont largement
t r i b u t a i r e s d e s perforniances d e l a 1 :te pkyi9sar.i tai.re.
C e s p e r f o r m a n c e s dc,ivcnt:
;tllp
soutenues
c e t t e
campagne encore avec
la menace du criquet pélerir. déjS pi? sent d a n s l e s rCgions l i m i t r o p h e s .
U n e dotati.oc d’urget~ce (-31 I,rgiduits
e t materie1.s a p e r m i s l a mise, en
place A ce jour de :
- ULV - 2850 1% ;i ‘Tivaouane
- CF - hOO 1 pour la r+gi
- Poudre - 15 T
- 11 atomiseurs
- 60 pu1 v6risatc.urss manuel
- 7 5 p o u d r e u s e s ;i d(JP ti~l-et
. . . .
REPUBLIQUE DU SENEGAI,
-----__i_
UN PECPLE-UN BUT-UNE IW1
---------
M INISTERE DIJ DEVELOPPEMENT RIIRA 1.
---------
REGION DE LOIJGA
---------
INSPECTION REGIONALE DE I,'AGRICULTIJRE
---------
- BILAN DE LA CAMPAG E AGRICOLE 1987/1988 -
PREPARATION DE LA CAM
-~
4GNE AGRICOLE 1988/1989
(CRD DU
3 MAI 1988)
MAI 1988
Bilan Campagne Agricole 1987 1988
Ci
1- Mise en place des Factexs de Production
1.1. Se.mences Arachide
1.2. Se:mences Mil
1.3. Semences Niébé
1.4. En(grais
1.5. Produits et Ma-sériels de Traitement Phytosanitaire
II- DEROULEMEN'
2.1. Pluviométrie
3.1. Répartition de
points de collecte arachide
3.2. Situation de 1
commercialisation arachide (au 29/4,/88)
IV- CAMPAGNE MARAICHERE
5.1. Superficies,
VI- PROGRAMMES
VII- PROGRAMME SODEVA
IX- PROTECTION
9.2. Produits
X- CONCLUSIONS GENER
ECOMMANDATIONS
-
-
15
ANNEXE : TABLEAU PLUVIOMETI
- -
2
Comparativement à la prëcédente ca
agne agricole 19@1987, la région de Louga
a enregistré cette année des production
records notamment pour le mil qui a presque
trplë sa production.
En ettet, pour une augmentation de
superficies emblavées respectivement de
+ 26,32% et de 3,97% pour le mil et pou
l'arachide, la production est passée de
37,526 tonnes en 1986187 à 100,391 tonn
en 1987/1988, soit une augmentation de
+ 167,52% pour le mil et de 3,975 pour
arachide (51,932 tonnes en 1986/1987 contre
59,132 tonnes en 1987/1988. Le niébë pa
contre a connu une chute aussi bien de la
production - 51,05% que des superficies
blavées (- 34,092).
A- BILAN CAMPAGNE AGRICOLE: 1987/1988
-
-
-.
1- Mise en place des
1.1. Semences arachide
- Niveau I : 60 T ;
- Niveau II :
: 4,015 T, taux de réalisation 46,13%
1.2. Semences mil-
la SODEVA = 6,356 T
1.3. Semences niébë
I_-~
1.4. Engrais
-.-_
1.5. Produits et matériel de tr
- sumithion 2,5%
=
110 T
- fénitrothion P.P.
1
8 T
- thimul 35
=
1 250 1
- Lorsban 12 EL
220 1
- Fénitrothion 500 IJLV
4 020 1
- Sumicombi 32 (1
1 000 1
- Sumithion
750 1
- ChlorofacinoLie
400 1
- Pierre à carbure
40 fûts
- Canons à carbure
10 canons
- Sumicombi 1,'8%
20 T
- Sumithion
7 500
- Sacs poudreux
7 000
- Soufflets
120
- ?oudreurs à dos
10
- Pulvérisateurs japonrldis
90
- Masques
30
- Gangs
40
- Lunettes
25
- Bottes
50
- Combinaisons
50
- Radio transmission
1
- Crèmes de protection
25
- Casques
35
- Véhicules
3
II- Déroulement de la camp; Jne aqricole 1987/1988
2.1. Pluviométrie
- lère pluie uti: ! : 40m/m à Barkedji le 7 juin 11387
- pluie utile gér irdlisée
: à partir de la 2e décade
du mois de juil -et
- pause pluviomét ique : 2e décade Août
- mois le plus pl .vieux de l'année 1987 : septembre
- dernière pluie
nregistrée
: dans les départements de
Louga et de Kéh 'mer avec une moyenne de 11,8m/m le
17 octobre 1987 ; le poste de NDande avait enregistré
53m/m.
- precipitation rr lyenne annuelle =
421,54 m/m en
25 Jours
- taux de satisfa btion des besoins en eau les plus
é lC:?VéS :
L33,4% pour l'arachide à Barkédji
1 2 1 , 3 x P o u r l e
Ii.1 à Barkédji
es besoins en eau les plus bas I
de à Sakal
TABLEAU PLUVIOMETRIQUE :
2.2.
- apparition
lensis en juillet 1987
u niveau de la région, densité relati-
ement faible (pas de dégats)
chenilles défoliatrices, chenilles
pucerons, cantharides, rhinyptir.
et oiseaux granivores
: comités de lutte villageois
appuyés par 1'Inspection
Régionale de la Protection des
végétaux ont jugulé le mal à.
temps.
2.3. Estimations définitives de récolte :
~.
l
I
l
1 Années
1986/1987
I
1987/1988
l
l
l
1
1
1
l
I
I
sup.
I Rdt kg I
sup. I Rdt kg I
Prodt" I
I
Culture I
ha
l ha
I
/ ha
I
ha
l
CT)
1
I
I
-+-
I
I
--.A
I
l
I
I
i
/
! Arachides1
59 466
I
I 61 830 l
956
l
59 132
l
1
I
I
1157
j
)
I
j Mil
I 124 783
l
629
637
100 391
1
I
I
I
1
/ Niébé
j
53 273
l
/ 35 112 I
325
I
1 1 403
I
j
I
l
l
I
I
I
/
I
I - . -
I
I
l
I
-
1
. . . /
. . .
III- Campagne de collecte it de commercialisation
--_---.--~- --
.
Démarrage campagne de commercialisation de l'arachide et du
niéb& en décembre 1'387.
3.1. Répartition des points de collecte arachide
----
----
-
I
I
Organisme
1
Produit
Agricoles 1 Nombre de points
I
I de collecte
I
I Union des coopéra- /
l
I
tives
1
Arachide huilerie I
55
1
l
/ O.P.S.
I
II
I
34
l
I
I
1 SONACOS
II
I
6
l
/
I
I
II
I Arachide semences I
9
I
/-
I
I
TOTAL
I
l
104
l
I
I
I
I
3.2. Situation de la
-
-
commercialisation arachide
Date du ve ldredi 29/4/1988 :
-.._-
Produit
IEvacuation I Financement
AyriEole
-...--
I
I
1
l
I
Arachide 1
i Coopératives I
55-437
l
35585,303 I 2 8 8 6 3 , 8 3 2
I 3 32647029C
I
I
1
I
I
I
Huilerie )
(
II
I
I
I
I
0 P s
1
1 7 7 1 4 , 3 4 8
1 1 6 9 3 5 , 3 0 8
i i 6 9 4 0 2 5 3 6 1
l
I
I
I
I
ISONACOS
I
,I
I
340,012 I
3 3 9 , 9 9 7
l
3292OOLl
l
I
l
I
l
Total
46139,137 j 5 05341567(
I
-. -.-- _-~-
~----
I
Arachide )
ISONACOS
345000!1!
I
!Semence )
I
l
-. ..---.-.
,-_.__ ~ _.__ -
l
Tot.al Région
I
._
55,539 I 44522,203 I S 26.39156’7
l
I
l
3.3. Commercialisatic
II_-~.~_-
- achat par le ( mmissariat à la Sécurité Alimentaire :
75,639 T sur un objectif 300 T, soit un taux de réalisation de ;!5,21%.
- remboursement
rédit niébé SODEVA : 356,059 T sur un
exigible de 407,392 T, soit un
aux de réalisation de 87,40%.
- commercialisat on du niébé de multiplication (semen-
ce) par la SODEVA en étroite cc laboration avec 1'IRPCS : 52,026 T
achetées sur un objectif de 60
, soit un taux de réa lisat ion de
86,71%.
IV- CAMPAGNE MARAICHERE
La région de Louga pc sède d'importantes potentialités maraî-
chères. C'est ainsi qu'on disti gue deux zones écologiques à forte
vocation maraîchère :
- frange maritin
d'environ 52 km où l'on rencontre
des dépressions argileuses, ave
une nappe phréatique peu profonde :
c'est une zone très favorable 2
maraîchage la zone des "NIAYES".
- une zone Conti entale semi-aride, composée essentiel-
lement des alentours du lac de
uiers et des périmètres hydro-agricoles
à l'aval des forages.
Si la première zcne citée
les NIAYES) constitue la zone de
maraîchage par excelience, depL s, depuis quelques temps, on assiste
à l'installation d'importants E ojets privés aux alentours du lac de
Guiers.
On distingue deux types d' xploitations dans la région :
a)- Les exploitation: paysannales installées le long de la
zone des "NIAYES". Celles-ci, k en que très productives, sont carac-
térisées par un système de cuit re traditionnelle. Les principales
cultures, qu'on y pratique, sor
l'oignon, le chou, la carotte, Le
navet... et d'autres légumes dt
-
- - -
type
a f r i c a i n .
-
7
La production es .t rassemb ée, pr incipalement, au niveau des
marchés hebdomadaires de Potou et Lompoul lesquels constituent Les
principaux points de chûte de ,a production légumière de cette zone.
j
Sur le plan de l'organisat )ll, on note une présence fortement
marquée des intermédiaires (Ban .Banas). Cependant des tentatives sont
en train d'être menées pour par lire l'organisation des maraîchers
et diminuer l'action néfaste de
intermédiaires.
b)- Les périmètres ma iîchers bien structurés qui ont plus
de cinq (5) hectares de superfi .e dotés de systèmes de pompage et
d'irrigation. La plupart de ces exploitations sont situées aux alen-
tours du lac de Guiers, dans 1'
.rondissement de Keur Momar SARR.
Les productions de ces périmètr ;
sont aussi très variées et sont
destinées d'une part à alimente
les marchés des grands centres ur-
-
bains et d'autre part les usine
-
de transformation surtout pour la
-
tomate (SOCAS en particulier).
Ces périmètres sont :
- SENPRIM
10 ha à
Diokoul (KMS)
- L'exploitation de S iy DIOP
22 ha à
Iba SARR (KMS)
- Société Agro-Indust .elle de
Production et de CO lercialisation
:
100 ha à Touba
!Serigne Bachir MBA :E)
Keur Yérim (KMS
- Société d'Etude et
I
Réalisation de
Projets Agricoles ( :RPA)
:
65 ha à Louga
On peut noter également la Irésence d'ONG qui financent et enca-
drent des groupements de produc
surs. C'est le cas de la Fondation
Internationale pour le Développ
lent (F.1.D) qui encadre un périmètre
maraîcher à Ndieumb FALL, la vi
- .on Mondiale, le Church Would Service.
~-
Les principales production
recensées à la date du 04 mai 1988
sont résumées comme suit :
Le développement du maraîc .gc, au niveau de la Région, connaît
beaucoup de difficultes liés au
contra intes suivantes :
. ../...
8
j
- Inorganisation des
lroducteurs et manque de dynamisme
des coopératives existantes ;
- Absence totale d'en adrement pour I'amélioration des
systhmes de culture ;
- Absence de filières de distribution des intrants agricoles
(engrais, semences, produits ph tosanitaires).
- Enclavement des zon s de grande production au niveau des
Niayes (en l'occurence zones de Potou et Lompoule).
- Manque de protectio
phytosanitaire, ce qui fait un pullu-
lement de déprédaiteurs et de p rasites aux abords des zones de
production
- Inorganisation des
ircuits de commercialisation
- Absence d'entrepôts frigorifiques au niveau de la région,
le manque d'organisation semble être entretenu par une certaine mafia.
En effet cette campagne a u un débat d'action pour la redynami-
sation des sections villageoise
afin qu'elles puissent se poser en
interlocuteurs valables face au
autres intervenants de la filière
(commerçants notamment) d'une p rt
i
et qu'elles puissent aussi avoir
accès aux prêts de campagne de b- a Caisse Nationale du Crédit Agricole
du Sénégal -CNCAS).
Néanmoins, il reste beauc up à faire, en ce qui concerne l'encadre-
ment pour une diversification
t une répartition, dans le temps, des
productions en l'absence d'inf astructures de conservation.
. . . / . . .
9
- --__ ---I_.-_ -~ - .---~ --
--.------
l
/
1
CUMUL 1 CUMUL
1 CUMUL
IRECAPITU- I
/
EXPLOITATIONS /
CULTURES [ANTERIEUR /
PERIODE
1
TOTAL 1
LATION 1
I
I
CT)
I
CT)
I
(T)
IESPECES~T)~
/ -l_.
~-----.--~-~-----.-t--
I
I
~ .-._- l
1
I
I
I
l
1 Serigne B.
I
I
I
I
I
I
1 MBACKE
!Gombo
0,131
I
0,130
1
I
I
I
I
-
I
I
-/
[Pastèque l
6,718 I
I
6,718
l
- - - - - -
Pomme de
terre
---TE
I Société Agro-
Tomate
I Industrielle
Pastèque I
I
de Product" et Chou
I de Commercia-
M'elon
l lisat" (SAIPC) Gombo
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
TOTAL I
330,766
I
3 4 , 5 3 2
l
365,298
I
I
1 Exploitations 1
I
I
l paysannes de
IOignon
1,700 .l 20,900 I
I
l Lompoul
IPiment
I
0,500
I
3,400
I
l
ICarotte
I
29,90
3,500
I
33,400
I
ITomate
l
8,650
I
I Chou
i 37:E
3,900
I
41,100
I
INavet
1 15,80
2,100
l
17,900
I
IPatate
I
I
I
I douce
I
3,ooc
-
I
3,000
l
(Pomme de I
I
I
l
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3,8OC
0,750
I
4,550
l
IPastèque l
8,282
l
8,282
I
I
IAuberqine l
5,30(
0,800
I
6,100 I
I
I
I
I
l
1
Exploitations [Oignon
l paysannes de
l
Potou
I
I 257,60
1
l
I
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IPatate
I
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1 Pomme de
I
1
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I
II
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1 0
B-- PREPARATION
51 Superficies, Rendements et Productions
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I
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I
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Arachide
11275 /720
9 7 7 2138012887511008i29101~68749i
864/49489~
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I
I
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I
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/
I
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1 4 6 3 3 2 1 5 6 6 1 2 6 2 1 2 5 8 8 6 2 1 549lj322981579491
731l42391163143l 6 1 9 1 1 0 0 9 3 1
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I
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1
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l
I
I
I
I
I
I
I
I
I
1 A-.--
POURCENTAGE AUGMENTATION I~AR RAPPORT REALISATION
CAMPAGNE AGRICOLE 1987/19
-.
I
l
I
I
I
RUBRIQUES
I
i
i
CULTURES
SUPERFICIES
RENDEMENTS
l PRODUCTIONS I
i
I
I
I
-1
I
i
i
I
I
i ARACHIDE
I
11,19
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I
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0,43
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1
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1
3,49
-2,83
0,54
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I
I
I
1 NIEBE
I
21,02
I
0,31
I
21,53
I
1
I
I
I
I
I
52- Besoins en semences (ea tonnes)
I
I
i
i
I
BESOINS EN SEMENCES PAR SPECULATION (en tonnes) I
I
DEPARTEMENTS
l
I
I
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~ARACHIDE HUILERI
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1
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185,33
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403,50
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235,845
I
415,74
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I
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I
231,80
l
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l
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1
I
I
1
TOTAL REGION ET
i
I
I
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4 124,94
I
632,58
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849,82
I
l
I
I
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l
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I
I
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DOSES : Arachide
~-
:
60 kg/ha (décortiqués)
Mil
:
4 kg/ha
Niébé
:
20 kg/ha
53- BESOINS EN ENGRAIS (en zonnes)
-Ï
I
I
1 CULTURES ET
l
I
I
1
FORMULE
I
ARACHIDE
MIL-SORGHO
NIEBE
I
I
ENGRAIS
l
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I
I
l
I
/
-1
1 DEPARTEMENTS
1
6-20-10
I
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/
UREE
1
O-20-10
I
I
I
I
I
I
1.
l
I
I
I
-I
1 LOUGA
1 856,25
I
949,80 l
2 316,60 l
3 026,25
I
I .-
1
I
l
-1
l
I
-
l
l
I
1 KEBEMER
I
4 124,85
I
829130
l 2 943,lO 1
3 118,05
l
I
I
l
-
I
- I -
-
-
- I
l
l
l
I
I
LINGUERE
4 331,25
I
692,35 I 2 897,45 I
229‘35
l
I
/
l
/
I
1
TOTAL REGION 1
I
i
I
-1 /
I
ET
l
10 312,35
12
471,45 I 8 157,15 /
6 373,65
l
1 PAR REGION
l
I
l
l
I
I
l
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I
I
I
-1
DOSES :
- 150 k /ha pour 6-LO-:l.Cl et 14-7-7 sur arachide
mil-s :gho et niébé
- 50 kg la pour urée sur mil-sorgho
IV- PROGRAMME D:E MULTIPLIC CION
(source : IHPCS/LOUGA-
Ctuaion au 30 avr il 1988)
6-l Arachide :
. . /. .*.
12
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ZONE DE
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4 5 I
3 189124,5308l
54,51
l
I
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4 0 I
2 998123,06151
57,76
1
/ LINGUERE
IGASSANE
l N I
2 965122,80771
57,02
1
/
IFASS ~013
1 NI1
5 0 I
6 0 I
7 432157,16921
95,28
I
I
IvELINGARA
4 0 l
2 7735121,3346(
53,34
I
l
IDEALY
4 5 12 838,5121,83461
48,52
I
I
l
1
I
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l
l
1 REGION
I
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2 965122,80771
57,02 i
l
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5
I
NI1
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I
2 3 0
l 1 9 2311147,9308
64,32 1
/
I
6
1 TMC
1' !70 I 2 7 0 I 2 2 1961170,7385
63,24 l
I
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1
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Pour cela le "j'rojet de PLI INING DES MUTATIONS SEMENCES ARACHIDE"
se présente comme suit (RECAPITI ,ATIF)
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* Compte non tenu de: 40 tonnes de NI de Gassane devant
provenir de Tivaouane.
** Si et seulement SL Le t.aux de bruchage reste maintenu à
son niveau actuel (gousses - 4, 549 ; graine : - 2,39%).
Quant à la vente des semer zes sélectionnées d'arachide, pour la
campagne agricole 1988/1989 la situation se présente comme suit
(source IRPCS-LOUGA)
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-
I
l
I
I
I
SEMENCES
~AVEC F~N( ICIDE 100
~SANS FONGICIDE
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I
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FCFA/IG
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132
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130
127
I
I
I
I
/-
I
I
I
1 NIVEAU II
l
121
I
118
l
I
I
I
I
I
I
VII SODEVA :
Le programme de la SC ]EVA se présente comme suit :
a)- Niébé :
.~
- reconduct ion du programme 1987/1988 à savclir :
. 15 c 10 hectares pour la diffucion , et
. 225 iectares pour la multiplication
Néanmoins les modalités d' -ncadrement n'ont pas encore été dis-
cutées avec la Direction du Prc jet Niébé, de même que les objectifs
pour cette campagne agricole 1C b8/1989.
- le stock
60 T cert Pu Niébé disponible est de 656 T dont
fiées.
- en ce qui concerne les produits de traitement,
le stock i ctuel (de 34 000 litres) demeure lar-
gement si11 fisant pour les 15 000 hectares, de
-
ulvérisateurs
(3096 unités).
~
-
. . . /
. . .
1. 5
b ) - Mil :
- -
- la diffus
concerne IBV 8001 sur 3 000 ha.
A cet eff St 12 tonnes demeurent déjà disponibles
à raison
e 150 FCFA le kilogramme.
- la multip ication intéresse la variété IBV 8004
sur une s perficie de 50 ha parallèlement ces
- -
proyramme
évoqués ci-haut, la SODEVA dispose
d'autres
rojets tels :
l/- Le projet de lutt
nématicide (PLN) dont le test sera
poursuivi pour Lo ga sur l'arachide, le mil et le :!Jiéb&.
2/- .Les Banques céréa ières villageoises (BCV-AOOPAM)
Continuation du p ogramme et suivi des dix huit (18)
banques déjà mise
en place et possibilité de création
de cinq (5) nouve les banques (après la mission d'éva-
luation sur ces b# nques).
Indépendemment de ces banques céréalières AOOPAM, la
SODEVA mène actuellement la con truction de vingt (20) banques
céréalières sur financement FID.
-
de 1986/1987.
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REGION
1 TOTAL
j 115 000 1 50 0001 165 000 1 6 600
1
6 550
) 13 150 j
151 850
I
l
I
1
I
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l
1
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Taux des ventes :
6-20-10 =
5,73%
14-7-7
= 13,10%
Parallèlement au programme Engrais Action Coop-URCAL projette de commercialiser 15 000 sachets de fongicides !la commanc
déja passée).
Par ailleurs la coopération mène actuellement un programme de dix huit (18) Banques céréalières villageoises (BCV) dont
le principe directeur consiste à acheter des céréales pendant les périodes de récolte, les stocker dans ces banques pour
enfin les vendre durant la période de soudure.
Le résultat obtenu de ces banques est très satisfaisant et un projet de leur extension est introduit au niveau de la
fondation internationale pour le Développement (FIDA) pour la construction de magasins.
IX- PROTECTION PHYTOSANITAIRE :
._
Dans le cadre de la protection phytosanitaire, un stock de sécurité se trouve concentré actuellement â Louga. Il est
constitué de :
l/- Matériel de traitement :
- 15 poudreuses manuelles
- 45 pulvérisateurs DELTA-CLTN
- 15 pulvérisateurs JACTO
- 3 polyjacto.
‘a.
2/- Produits :
.-_IL
- 12 000 litres de fénitrothil
500 ulV
- 9 tonnes de fénitrothion 2%
- 3 000 litres lde sumicombi 31 EC
Par ailleurs le Secretariat d'Etat
la Protection de la Nature a mis à la dis-
position de la direction de la protectio
des végétaux tous les UNIMOGS des Eaux et
Forêt à Louga. La Direction de la Protec ion des Végétaux doit monter sur ces UNIMOGS ies
pulvérisateurs JACTO.
Par ailleurs pour la campagne agric le 1988/1989, 1'Inspection Régionale de la
Protection des Végétaux de Louga a reçu
I stock national de 395 tonnes de poudre
-
-
SUMITHION.
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS :
La campagne agricole 87/88 a vu la
Salisation des objectifs de programme de
multiplication à 100% pour le niveau 1 ( 3 T) depuis le mois de juin. Cependant le
niveau II et le programme de vulgarisati 1 n'ont connu respectivement que des taux
de réalisation de 38,53% et 46,13%. Egal nent les produits et matériels de traite-
ment phytosanitaires ont connu une mise
I place à temps ce qui a permis avec l'appui
des comités villageois de lutte (CLV) de juguler les attaques de parasites (puceron)
qui ont été signalées.
Avec une pluviométrie moyenne annue le de 421,54 mm en 25 jours la région de L
Louga a connu une bonne pluviométrie ce
ii a permis à toutes les cultures de boucler
correctement leur cycle de végétation. A isi la région a connu des productions re-
tords en arachide et mil (respectivement j9 132 T, 100 391 T).
La campagne de collecte et de comme' :ialisation a démarré depuis décembre ainsi ie
taux global d'évacuation est de 83,03% cl qui correspond à 93,89% par rapport aux
prévisions des récoltes.
La préparation de la campagne agricl le 88/89 a déjà démarré c'est ainsi que pour
les principales spéculations de la régio
arachide, mil, niébé les prévisions d'em-
blavures sont respectivement de 68 749 h
_l-l_ , 163 143 ha et 42 491 ha. Pour ensemencer
ces superficies les paysans devraient di )Oser de 4 124,94 T de semences d'arachide,
de 652,58 tonnes de mil et 849,82 T de n ?bé. En ce qui concerne la lutte phytosani-
taire proprement dite une nécessité impé ieuse s'impose de veiller davantage 2 ct: que
*
le placement des pr,oduits phytosan itai
tement soit effectué
correctement avant Ie démarrage de la
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: :SiilùT ;ENEûALAiS DE
iQ.C.t!fR'CHE AGkiCOLE
-------
'CENTRE NAT'IONA! DE
KEC!IERCHES AGKONOMï@JES DE
BAMBEU
--__-_-_
COMPTE-RENDU DES RE
.
REGIONAUX DE
A LOUGA,
1
- SOMMAIRE
--l_ ._.
Pour les besoins de faire e point d'une part du bilan de la campagne
agricole 1987/88 et d'autre part de / 'état des préparat ifs de ce Ile de 1988/89,
le Ministre du Développement rural a tenu, selon une tradition maintenant bien
établie à fixer un calendrier de réunions spéciales des Comités régionaux de
Développement (C.R.D.) pour les dix régions que compte le pays.
Nous avons été désigné par le Directeur général de 1'ISRA pour repré-
senter l'Institut aux réunions des C,R.D. de Louqa, Diourbel et Thiës tenue‘ res-
oect i vement les 10 et 13 Mai 1988.
[I - DEROULEMENT DES REUNIONS ET POI TS SAILLANTS A DEGAGER
-
-.--- _I_._..-___. -__ - -.-.-.-----~
Tant à Louga, Diourbel qu'
_
I
-
Thiès il est à noter la participation
effective aux réunions :
Notre représentattion de 1'ISRA aux réunions
e rentrant dans le cadre de la constitution
Si chaque réunion a été c sacrée principalement au bilan de la campagne
agricole 1987/88 et aux préparatifs
celle de 1988/89, il n'en reste pas moins
vrai que le Ministre du Développemen
Rural ou son mandataire a tenu à saisir ces
opportunités pour :
ler Mai 1988.
en particulier.
à l'examen du document élaboré pour 1
circonstance par l'Inspecteur régional dc
l'Agriculture et portant sur :
./. . .
2
ne agricole 1987/88 (mise en place
étrie, production/commercialisation,,
des dettes C.N.C.A et SODEVA, etc.,,) ;
'
d
t
- les perspectives
e la campagne agricole 1988/89 (mise en
t
renouvellement du capital semences.
r probables en arachide, mil, niébé,
de C.R.D, la présentation faite par
a suscité une série de questions, obser-
s comme suit :
ommunes aux trois C.R.D : il s'est
.I_~._--.- _. --..- - - -._ _.__.
es points de collecte d'arachide mise
ampagne par la SONACOS. Pour ce point,
illeure concertation entre la SONACOS
des points de collecte à
ommercialisation ;
lations rurales par leuis
présidents de coopératives),
ont réservé aux mesures
sols bien perçue par le
s soient difficilement
leurs coûts élevés ;
r et les rétentions de
ère de déclaration des
e Nationale du
n des céréales
es points spécifiques ont eu trait El :
l'intensificati
n de la culture du niébé et l'amélioration
de sa filière d commercialisation ;
. . . / . . .
c- la mise à la dsposition des agriculteurs du département
de Louga d'une variété d'arachide à cycle plus court que
la 55-437.
2.2 - C.R.D de Diourb 1: les points spécifiques sur lesquels ont
portë les discu Zions sont :
- la diversificat P n des cultures et notamment la réhabilitation
de la culture d mais en conditions pluviales ;
--la mise en valeu
des terres noires "dek" du département de
Bambey (notammen
celles de Ndiémane;;
.
- les problèmes de levée et de pureté variétale constatés sur la
varieté 73-30 ; i
- le projet SODEVP de prévulgarisation de la variété de mil
IBV .8061 ;
2.3 - C.R,D de Thies
les discussions ont porté entre autres sur
les points speci iques suivants :
- le faible taux d remboursement des de tes CNCA et SODEVA ;
- les difficultés
'adoption par les agr culteurs de la variété
de mil IBMV 8401 .
- le développement du maraichage et de 1 arboricu lture fruitière.
III - CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS
A la lumière des différent
interventions, le Ministre du Développement
rural (cas du CRD de Thies) ou son
ataire (ca6,des CRD de Diourbel et Louga)
a eu à dégager les conclusions et .r
mandations suivantes :
1" - mise en oeuvre de
utes les dispositions requises en vue de
l'implantation des ntennes régionales de la CNCA à Diourbel
et Louga quitte a
iliser des locaux provisoires ; s'agissant
plus spécialement
la région de Louga, l'antenne i::s;allée
à Saint Louis po
it @We-mise à contribution en attendant :
2" - nécessité pour les utorités locales de faire en sorte que le
taux de.rembours
t des prëts CNCA et SODEVA se situent à un
niveau acceptable.
3" - la date de clotu
e,dépots des apports personnels condition-
nant les .prèts à
sentir par la CNCA est prorogée jusqu'au
15 Juin 1988 en
ui concerne la région de Thies ;
4" - engagements pris p
le Département ministériel peur la mise
à la portée des
culteurs des intrants princ'ipaux : semen-
ces sélectionnée
ngrais et produits phytosanitaires ;
5" - mise en oeuvre d
plan national d'urgence de lutte contre le
péril acridien ;
xécution de ce plan requiert non seulement
la collaboration d
bailleurs de fonds mais aussi et surtout
une mobilisation
sive des populations rurales.;
4
6” - mise en oeuvre d'
nationale de transformation
o, et mais à mème de permet-
es faits le slogan "Consommer sénéga;
de transformation devant ëtre accompa-
e décentralisation au niveau des régions
de fertilisation des cultures et du main-
es sols notamment dans la zone du bassin
à la fumure organique mériterait de rete-
nir l'attention.
de diversification des cultures et notam-
des cultures maraichêres dans les régions
ités en sols et en eaux souterraines.
s personnelles en semences, il est impé-
teurs de les renouvelërsur la base du
ise en épargne et ce tous les trois ans
tous les ans pour le mil.
nous avons été amenés à apporter des préci-
Recherche à savoir :
55-437 par une variété à cycle plus court
et de pureté variétale constatés sur la
la variété IBMV 8401 par les agri-
a - Remplacement de la 55-437 par une variété d'arachide à cycle
plus court pour le departement de Louga :
f
Nous avons tenu
cours dans ce se
b-
Pour ce- point
l'objet d'échange de corre'spon-
dance entre ia
nous avons précisé ce qui
suit :
. les problèmes
e levée de la variété 73-30 ne sauraient Ê+tre
intrinsèques
la variété mais plutWliés à la qualité ger-
minative des
mentes utilisées ;
.I...
é variétale, elle peut être de
: (le déficit pluviométrique peut
e dégénérescence) ; ce facteur
controlable ;
: mélange de variétés au moment
ésërves personnelles en semences ;
.
: phénomène de dégénérescence intrinsè-
Ces précisions étant, nou avons tenu à souligner que des trois origines
probables de la non pureté variétal
seule celle d'origine génétique interpelle
la Recherche. Aussi, avons nous inf mé la r&tinion qu'un travail de reconstitution
des noyaux génétiques de la variété 73-30 est en cours au CNRA de Bambey et que
1,es bulk renouvelés seront mis à la disposition du programme production de semences
de prébase à des fins de multiplication pour les besoins de multiplication NI et
NI1 de la DPCS.
C - Difficultés d'
loption par les Agriculteurs de la région de
Thies et de
iariete de mil IB-1 ..
Nous n'avons f ; manqué de porter à la connaissance de la
réunion que li variété IBMV 8401 a été sélectionnée par
1’ISRA pour 15 !one Centre-Sud et non la région de Thies
(pour laquelle la variété de mil préconisëe par la Recherche
est IBV 8001). Il n'est de ce fait pas ëtonnant que les
agriculteurs c
la région de Thies portent leur préférence
à la Souna III jlutôt qu'à cette variété dont le cycle est
incompatible i x la pluviométrie de la rëgion. De ce fait,
nous avons suc $rë que le restant des 10 000 tonnes de semen-
ces IBMV 8401
placer auprès des ,agriculteurs au niveau de
j
la région de 1 ies par la SODEVA soit plutôt transfére dans
;
les régions dc :aolack et Fatick. Il nous paraît indiqué
qu'une lettre
lit adressée à Monsieur le Ministre du Déve-
loppement Rurz
pour porter à sa connaissance cette situation. l
Fait à Bambey, le 20 Mai 1988
Le Chef du Centre
.*,
L
Al
Arachide rl'huflerie
---
Assurées par 85 points de col1 cte (69 aux coopératives et 16 aux O.P.S.),
les operaricns de collecte .je sont bien
éroulSe8 après quelques grincements au
deport (lenteur dans le finnncement). di si 8 la date du li mai 1988 le volume col-
lacté, d'arachide d'huilerie: se chiffre p .r l'ensemble de la région de Uiourbel à
49 896,674 tonneb soit une valeur de 4.4
.700.660 francs CFA sur un financement de
4.695 432.210 Francs CFA ; les reprises
fonds s'élèvent à 204.731.550 Francs CFA.
Cette quantité commercialiée
r resente 95,5 % des prévisions rQajustéas
(52 250 tonnes contre 56 000 tonnes init
lernent).
En résume 51,3 X de la product
n estfmée en uachide d'huilerie (97 222
tonnes) ont été collectéa pendant la pr6 nte campagne (87/88) contre 41.7 $ l'aru-&
dernicre
(86/67).
Les évacucitions se poursuivent
t ont déjà porté sur 36 738,282 tonnee
_ (reste A Gvacuer 13 158,392 to:ises) (1 un cadence de 2 500 tonnes par semaine.
B/
Semences d'Arawide
Les 19 seccos sous surveillant
d u contrôle régional des semences ont, pu
rlaliser les objectifs de collecte (3 02
tonnes pour les niveaux N 1 et N 2) à 100%
pour le N 1 (240 tonnes SUT 240 tonnes)
il 87,3 X pour le N If (2 428,121 toanes
sur 2 780 tonnes). Kl S’8g:kt là de semen s certifiées.
Le montant des épargnes semenc
de multiplication se chiffre à 19 307 000
Francs CFA ; à noter que cette valeur es
loin de couvrir les besoins du programme
estimés & 465 tonnes.
C/
Hi1
Sur 150 tonnes de prevleions d
colïectr,
la SODEVA a pu, dans le cqdrle du
progrduamt: EIUA d'intensification du mil,
chr?té 84,413 tonnes (59,ó X> soit un finan-
cernent de R 37ti 000 Francs CFA.
D/
Niébé
~.
La collecte Confi&e cette anné
a u commissariat à la skurité alimentaire
a été timide et n'a porté que aur 11,632 onnes sur une période d‘un mois af;r&i .la
'
mise c;n place! du financement intervenu 1 27 décembre 1987.
. .
/
. a..
’
tii) d e h o r s deb: leritcurfi danti la
isr e n ~SOC~ des fittwcementu d e Istigachide
cUr;sCi..téee
au tout dhut des operutions, il est B dlplorer pour la regioix de Diourbei,
le retard accusé par le C.S.A pour achcte
la niébé et l’absence d’intervention de
cette même structure
Ll
-’ PREPARATfOh’ D E LA C
~~““A~RICOLl,oB~~~~~~
a-
i-Clt: coneiste à f i x e r l e s objet fs d’embkwure pour les différents pro-
grammes et & aetimer l e s bssoine e n intra 6 pour une conduite convenable des dit6
pr*ogrammes,
A/
- Sur la basa de hausses respec ves d e 10 X, 7 2 e t 20 X l e s emblavure:s
pourraienr atteindre
148 800 ha poar le mil. et 1.8 000 ha
pour lt: II!.~;!+ portant
268 800 ha soit 77 Z de la su:rface
cult~vlîbie (contre 72 /D en 1987).
- Concernant le mil, le progra
PIDA (SODEVA) prévoit 1’ encadrement de
6 000 izn A raison de
d i f f u s i o n . L e succès
et la pourïiuite d’un
ment dan8 les possi.bilit&3
o f f e r t e s ;iux contract
- Le programme niéb6 SODEVA quan
à lui portera sur 6 900 ha (SODBVA) .
Cependant la mise en
ncore d’accuser des
retards du fait qu’on
service R.égionul de
l’agriculture conduira ce programme.
B/ I,es Semences
- Compte tenu des vcrleurs cultur
20 kg/ha les besoins théoriques en semence
o n r Gvaliués i
- 12 240 tonnes pour l’arachide
595 tonnes pour If mil ;
360 tonnes pour Pe niébé.
.Y.
..d ?k
Le programme de multiplicsttion d
.i le til sposition d&e Bfi+&!$~pice,ura
dcre q
e ‘
.
pour la 73-liO ’
* 50 ronntc d
e
3 J C?li prOVv?;:r:C
(ST
+ :“::> tor?n<is de faf ”
‘<
10
. . /. ..,
i
+ 25 tonnes de N 1 en provenance de Tivaoune
i
ts
1,
du stock
rtsgional.
mme portent sur 465 tonnes de semencea.
C/ L e s e n g r a i s
L’hypothèse d’une fertilisation
u Lier’ dee superficies permet d’évaluer
les besoins en engrais à :
- 5 900 tonnes de 6 - 20 - l!j (s achide f iriébé) ;
- 7 400 tonnes de 14
- 7 -. 7 (d 1 ;
- 4 900 tonnes <‘urée
(ni ).
a seule structure g opErer dans secteur
-
100 tonnes de 6 - 20 - 10
5L tvrirws de 14 r 7 - 7
D/
Lés Fongicides
. .
L’U.N.C.A dispose’ de 100 000 sac e t s de 100 g de Thioral et 25 000 sachets’
de iÙ0 g de Granox pouvant traiter globabl ment 19 000 to&& de semences.
La SONACOS a un stock 175 000 sa hets de 200 g’poufant traiter 35 0OO”torines
de semences.
Soit pour toute Xa region 47,5 t nnos de fongicides pour traiter 47 000
tonnes de SCEXIICf3.S.
les produits phytosanitnires
rectton de la protection des végétaux a
ral.isé~ de la région de Diourhel lé&
matérie.Is r.t produits phytos&nitaires suiv üi Zth :
.
!
. . . / . . .
REGli?h, i'E THIES
RAPPC'RT
INTRdDUC
IF AU CRl' SPEC! AL
PAR LE MINITTRE I)I
DEVELflPPEMENT
R!IRAL SUR
I?E LA CAMPAGNE 1587 tc)sS'- ET LES PERSP E<T1 VE$
DE LA CAMP GNE 103~/19f39
:
THIES LE 13/@S/ 19'iF;
Ii A P 1'0 R T f‘ Il R : L ' I NS I'E ;T ELIR R E GIONA L
?E L'4GRICULTIIR
Il~t-~,1t1 ~~II~I S E N E
-._----... -
‘
1 - f.,k: B I L A N DB I,A CAMf’I\\GNE 108;‘/8t{
-
-
.----------.-A.--L--
uli-r sera trait.6 B~>us trois vol t t.:: I;rir;c i ;,ai .i-
ment :
L e v o l e t , pluviométrique, ( ?I.IJ~ des emblavures et. productions. et
d e l a commercialisatioi? el. d e s rembo rsement de dette.
l - L e B i l a n pluviométrique :
-
1,‘hivernage 1987/88 a é t é
l e p l u s p l u v i e u x e t l e m i e u x repart:L dan:;
1~: temps et dans 1 ‘espace dans notre Région depuis 1985.
En effet,, i:l a évolué du a n t l a p é r i o d e d e l a m a n i è r e suivantt. (Ian:?
l e s ~rc~is. Départements que compte la Région de Thies.
Dans 1-e Département de Th: 2s , la pluviométrie moyenne a i,tih de 420, jmm
e n 35,8 j o u r s e n 1985~‘86, d e 392,s Im en 25 jours en 1986/87 et de 488mm ei! 3li
.jours e n 1987/88.
D a n s î e Departement d e ‘ T i ‘aouane,
e l l e a é t é d e 310,3mm e n 25 ,t~ ,jours
eii 1985 i86, d e 249,9mm e n 20,li jeu 0s e n
1986/87, e t d e 499mm e n 19,o .io.lrs e*:
1’387 ‘88.
D a n s l e D é p a r t e m e n t d e Y IOUI’ >
elle a été de 460mm en
-j 4 ) 7 j 0 u r E e R
1985 T86, de 300mm en 2’5,2 jours en 1 86/‘87 et de 560,7mm en 41,l jours en 1-8’1: 88.
Ainsi
c l a n s t o u s l e s t r o s Départements,
l a p l u v i o m é t r i e en 198’; 8C
a
un redressement spectacul; i r e a y a n t p e r m i s ia s a t i s f a c t i o n d e s bes(iins
hydriques des cultures.
C e t t e s i t u a t i o n pluviomét ique a c o n t r i b u é à a s s u r e r u n e tres bc>nne
producti.vité des cultures emblavées
ans la Région.
2 - Les emblavures et les produ t i o n s d e l a Rcgion :
a - L’arachide :
-
L e c a p i t a l s e m e n c i e r d e 1 3 R é g i o n a v a i t a t t e i n t e n
1987 ?88 11647’1-33’:
dl,nt. 6~25~ de reserves personnel les
t 5210T353 de semences acquises.
Les semences acquises étai nt constituées de 1038~200 de vente au comptant.
110,‘7OC! d ’ é p a r g n e , d e 3982T250 de cr d i t CNCA et de 69 ,T115 de souscriptior: semencr-s
de vulgarisation auprès de la SONACO
Le capital semencier ains: constitué a permis d’emblaver iji( 37‘; H:I
Ion:.
21 860 Hi’ dans le Département de Thi
- .
-
-
S,
27239 Ha dans
le Wpartement dt. M~OU:-
et 39 271 Ha dar,s 1 e DS5partement de
-
-
ivaouane .
Les rendement,s ‘)bt.er~illS (31:
i II de
fampagne ont étC les sui V:III~:; :
Dans le Département de ‘I’h’
i 93i; K [ha,
d a n s l e Dcpartement d e “iibour,
t
426 Kg/ha e t d a n s l e Ddpartement de
i.vaouane 7 6 9 Kg/ha.
C e s b o n s n i v e a u x d e rer
srntant
o n t é t é o b t e n u s m a l g r é
l ‘util j saticn
I n s i g n i f i a n t e d e l ’ e n g r a i s sur* arack le avec 950 Kg sur crfidit CNCA ~)OUI’ 1 ‘chnsemtle
de 1-a Region.
Cependant, 1 ‘ e f f i c a c i t é tic l a l u t t e p h y t o s a n i t a i r e ayvec 2b ‘35C~ H a traite.3
-~-
C:ontre l e s p u c e r o n s s o i t
‘<O , :j x de E
superf ici.es Cultiv&es e n a r a c h i d e . el 5 014
-
-
ira t r a i t é s c o n t r e Zes i.ules, a d o n c
t’t.6 u n d e s élements c l e f s d u bcJI1 n i v e a u d e s
rendements arachide de la Hi;gion.
b - Les Mils, Sorgho et MZ 3 :
Les céréales, parti cul ièrt ?nt le mil et le mals sont
’ ob.i e ix de program-
mes spéciaux exécutés par la SODEVA
iris la Région de Thies.
Dans ce cadre, i3 y a 1.e
ro.iet d ’ i n t e n s i f i c a t i o n d e s c é r é a l e s A M b o u r
et de diffusion de semences dc Souri:
iT1 et de mil IBV 8001.
P o u r l e Pro*jet
i n t e n s i f
a t i o n d e s c é r é a l e s
à Mbour,
l e s o b j e c t i f s
de mise en place de semences ont
.é de 1 500 Kg de souna 1TI et dc 3 ,308 Kg
de Ma?s, a v e c 80TlOO d ’ e n g r a i s 8-18- 7 e t 60T400 d ’ u r é e . Il a é t é réaiisk 1 ‘j92 K g
p o u r 1.e Souna III e t 160 K g p o u r 1-e
ils.
Pour ce qui est de la d
fusion
des semences améliorées de souna III
e t d u IRV, il a été vendu 10 916 Kg
-
-
-
Jr 15 000 Kg de souna III mis en pl.ace et
8 076 Kg de IBMV sur 36 160 Kg mis E
p l a c e .
L ’ e n s e m b l e der v e n t e s d e
s e m e n c e s a m é l i o r é e s e t d e 1’intensifica;io:
d e s m i l s a c o n s t i t u é u n c a p i t a l s
ences mil de 20 484 Kg soit environ 5 12i
Ha.
Cependant le? emblavures
!n mi.1
de la
H é g i o n q u i o n t Çat.i, estic;+e.s
à 112 248 Ha confirment 1 ’ idee d ‘L
3 auto c o n s e r v a t i o n d e s e m e n c e s persur:nt-ile?
de mil chez les paysans de la régior
L’utilisation des semence
amcl iorées et 1’ intensif ica
possèdent un large espace 3 occuper.
Les surfaces de m-il sont
?Parties selon les Départements ii<* !a man.iPrr;
sliivante : T h i e s 2 5 715;
~-
62
Ha et Tivaouane
‘49 271 Ha.
--
-
-
. . . : . . .
Les rendements
été l e s sui\\,ant P : vj4.i KgIh:i
ii T h i e 6 ; 653 Kg,‘ha ;I Mlko
Les mises e n pl
o n t ét,c d e 220’1’800 d e î4-7-‘i ct d e itGo5G
- - - -
d’urée s u r crédi.t: CNCA.
s a n i t a i r e a p e r m i s tic tnaite::,
e f f i c a c e m e n t 66 670 H a c o n t r e les
aut e r i a u x s o i t . 55,4% d e s embla>Jures es 0075
H a c o n t r e l e s f l o r i c o l e s .
Ainsi 1. ‘all.ure
i c a c i t é d e l a luttc~ phyti;sani-
taire ont été encore ici
niveau des rendements atteints.
L’impact peu significatif d
niveau d’utilisation des semences s@lectin-
nkes en mil comme du nive
ication de la culture milicol e est lark;emen’:
illustré par les niveaux de rendemen
atteints comparativement au rendement moyen
de 1 000 Kg chez les pays
P o u r l e ma:i’s e n i n t e n s i
cation à M b o u r ,
avec 3008 Kg de semences .)
sebu1 360 Kg ont pu être r
; ce qui témoigne de la ‘Iimidite
de la promotion de la cul
tement pourtant favorable à cette
culture .
Pour le sorgho,
‘aucun programme d’amelioration
o u d ’ i n t e n s i f i c a t i o n d a n s l a Régio
l e s s u r f a c e s e m b l a v é e s o n t é t é d e 6 4 5 8
- - - - -
Ha dont 1 409 ha à Thies,
H a ;i Tivaouane.
-
-
Les rendements ont eté d
947 Kg 3 T h i e s , 860 Kg à Mbour et de 685
-.
Kg à Tivaouane.
L ’ a l l u r e d e l a p l u v i o m é t
e a é t é t r è s b é n é f i q u e p o u r c e t t e c u l t u r e
de cycle long.
A i n s i l e n i v e a u d e s r e n d m e n t s d e céréal e s d a n s l a R é g ion sont très,
e n d e ç à d e s p o s s i b i l i t é s q u ’ e l l e s r e c lient.
c - L e Niébé :
.
:
L e n i é b é a f a i t l ’ o b j e t
eux programmes dans la régi-on, 1 ‘un fi.nancÉ
par le FIDA a mis en FIlace 2 000
e semences dans le Département de Tivaouanr
dont 9 250 Kg réalisees ; et 1 ‘au
e est le programme d’urgence NiébG du MDF
avec 11 500 Kg de semences dans l e s
artements de Thies et de Mbour.
L e c a p i t a l semencier Nié
contrôle a été de 20 750 Kg soit 10 375
Ha environ.
L’estimation des surfaces
b!a‘rees en niébé donne 11 969 Ha d’emt !zvure.
Ainsi 1 es performances de
emblavures en Niebé sont étroitement 1 i ées
au programme contrôlé par ‘la SODEVA.
. ..‘...
3
La commercial isat ion et
- -I_- - - - - W
Lt.s remboursements de crédit :
---..-------
I - - -
D a n s la Région d e ‘I’hics,
sc~ule 1 ‘ a r a c h i d e a 6t6 commerci a 1 i.s6c p il r
u n O r g a n i s m e o f f i c i e l , l a c:ONACOS. : ier’ 8 ’ 7 s e c t i o n s v i l l a g e o i s e s dr* c o o p é r a t i v e s
et les 9 points 0PS comme mandatai.rc
s, et, 5 p o i n t s d e c o l l e c t e i tinerants p o u r
f
1 a SONACOS.
Les cGréales, comme le, nié1 i n’ont p a s et6 l’oh.jet d e c o m m e r c i a l i s a t i o n
o f f i c i . e l l e ,
d e s o r t e q u e l e Commiss wiat
Ti 1 a Sécurit 6 Alimentair(: n ’ a n.is pu
.i ouer son role de gérant d!J prix pl;
-
-
~cher des céreales dans les marches hehdoma-
daires.
a - La commercialisation de
_----~- 3 arachides :
-
La SONACOS a commercia1.i~~
aIl t i t r e d e s s e m e n c e s d ’ a r a c h i d e 4062~~648
et au titre des arachides d’huilerie $6 h58T743 Soit un total contrôle de 50721T391.
- -
L e s e s t i m a t i o n s d e produci i o n é t a i e n t d e 75 8 7 1 T e t l e s e s t i m a t i o n s
de collecte retenue conformément aux ]Ormes de collecte du programme de la filière
a r a c h i d e e s t d e 53 10gTï-2
A i n s i l a c o l I.ecte CcJntF6lé accuse un taux d’erreur de 4,5% très inf’é-
rieur au taux d’erreur :Lié au I)I.an de sondage adopté qui est de 10%.
Donc le niveau de la col .ecte c o n t r ô l é e a c o n f i r m é l e s e s t i m a t i o n s
d ’ embl avures et de rendement ef f ec tu6 !s dans la Région.
D e cet.te coll.ecte contrô1C:> la SONACOS a évacué au 4 Mai 33 62~1'204
s o i t 72,05% ; les réceptions ont enre :istré une perte globale de 1,51% dans lesquels
les abattements constituent 1,21% et .es déchets de route 0,29%.
b - Le remboursement de crf
~---
- - lit :
-
L e credit r u r a l d a n s l a
égion
était constitué pour le compte CNCA
- 351 689 731 Frs d’exigibl ! pour les semences ;
- 21 360 514 Frs pour les
:ngrais
- 22 270 295 Frs d’arriéré : en semences.
et pour le compte SODEVA de
- 28 336 325 Frs d’en cours
- 12 819 690 Frs d’arriéré : et m o r a t o i r e s .
Les taux de remboursement o lt Gté respectivement de 91,4% pour I’exigi-
b:e semence alors qu’il es? inferieur
au taux réalisé ;i pareil le époque la campa-
gne dernière, de 41 5% sur le cr6dj.t
->
lngrais, d e 14,96% s u r l e s arri6:3Gs d e 48 77%
--2.-I
pour le crédit SODEVA.
C e s m a u v a i s e s perf‘ormance
d u r e c o u v r e m e n t d u c r é d i t r u r a l Iposent
pr 0 h léme e t
t
mérit,en 1Jr. CHI7 specia! (7 insacrk ;i c e t t e q u e s t i o n .
. . . / . . . .
11 - LES PERSPECTIVES DE LA CAMPAGNE
- - - - - . - - - - - 1988i89 :
- - - 1
Les perspectives dc: la car pagne prochainf v o n t ê t r e at;ordi~es d u p o i n t
de vue de la reconstitution du capi.t ? semer,ci c-r arachi d? : de 1 ‘Pt,at d e s program-
mes
c é r é a l e s
e t.
ni&bk,
de ii1 prob ématique
d e s aut,res f‘acttzurs de produlit ion
comme 1 ‘engrais et. les produits phyt s a n i t a i r e s .
1 - Reconstitution du tapi
-
- a1 semencier arachide :
----~-
Le niveau th@orique 311 cap ta: s e m e n c i e r r é g i o n a l e s t d e 10 OOOT repart
e n r é s e r v e s p e r s o n n e l l e s de 6 OOOT
c r é d i t C N C A e t v e n t e c o m p t a n t et Epargne
5. 4 OOOT.
L’estimation annuel 1 e du
iveau des réserves de semences personnrl les
T’a p a s é t é e f f e c t u é e c e t t e a n n é e
)ar manque d e f i n a n c e m e n t d e l a p a r t d e l a
SONACOS.
Cependant, t:oute proport ic 1 g a r d é e , 1-e niveau de réserves de semences
de l’annt5e précedente a é t é recondui
s o i t 6 OOOT.
Le crédit semence CNCA e: ; assorti d’un remboursement à 100% et d’ur;
apport personnel de 35%.
Alors que le taux de rembo rsement e s t juge i n s a t i s f a i s a n t , l e n i v e a u
d e s a p p o r t s p e r s o n n e l s s e si.tue ri
-4 940 103 Frs correspondant à un crédit de
352T.
La CNCA a clôturé la ré< :ption d e s a p p o r t s p e r s o n n e l s , c e q u i p o s e
un grand problème pour la constituti n du capital.
Les épargnes semences pou
la multiplication sont de 44 778 290 Frs
---_-
représentant 60% du programme de mu t i p l i c a t i o n
q u i e s t d e 6 0 8 T t o u t e s varjétés
-
-
et niveaux confondus.
Ainsi beaucoup d’incertitui es planent quant au niveau de ïa rei.o::otitu-
t ion du capital semencier régional, .les réserves ne sont pas connues de manière
p r é c i s e , 1 ‘épargne semence n ‘a pas e: tore satisfait le programme de mult pljcatio:R(
les dépots p o u r l e c r é d i t CNCA
son
à u n n i v e a u t r è s b a s ; I.es v e n t e s oul.‘erLes
depuis le 2 Mai n’ont. pas enl:ij;‘e enri g i s t r é
de rush.
A v e c l a b a i s s e de 2C; F r s SUI’ l e p r i x p r o d u c t e u r a r a c h i d e annon,:& l e
ler Mai 1988,
i l e s t 5 crai.nde que l e c r é d i t C N C A e t l e s v e n t e s d e s e m e n c e s
ne puissent se situer à un niveau sa. isfaisant.
D’où la nécessité de procé~ er à un sondage réserves semences personne!-
l e s d i s p o n i b l e s d è s l e m o i s d e ,Jui
p o u r a v o i r u n e idee d e c o n d i t i o n s réel.les
de démarrage de la campagne arachidil r e 1988,/89.
ixlt,erlsii’ication cl e SCLIIl;i 1 1 i , 500(
e t ; l ’ e x é c u t i o n d e 4000 lia de NiGbt.
L e programmt l u t t e c o n t.r
c o û t d u c r é d i t 35 800 ~b’rs/‘Ha.
-
-
-
Les grains tic r~endft:nent.z:
cbteriue S
1 ‘ h e c t a r e p~~r~~uvent, 1 cIut e s
2 - l,a problématique des autres fact
-
-
-
a - Engrais :
L’Union Nationale des
Co
71
tonnes
d e 6-20-10 d e p u i s janvi
ce jour.
L a CNCA a renouvel .i t son
conditjon d’accès le remboursement
c!ji‘dit A 100% et: 1 ‘apport de 10$, 1 ‘envelo--
pe est de 150 Mill ions. La CRC!2 n’k
-;r*egistri. j u s q u ’ i c i q u e 7 0 0 000 Frs d’:tppr,rt
correspondant
à 20T comme 1 R c amp a 16: précédante , 1 ‘engrais risque de ne jouer
qu’un rôle marginal dal?s la proaucti I tit! la campagne à venir.
b - Le matériel agricole :
L a CNCA a décide d e met.t 5’
tan o e u v r e p o u r c e t t e c a m p a g n e u n c r é d i t
d ’ é q u i p e m e n t p o u r 1 1 0 M i l l i o n s . L’, p o r t p e r s o n n e l e s t f i x é S. 2 5 % .jusqu’à n o s
jours,
aucun versement n’a étC enreg ;tré.
C _ Les produits Phyto :
L e s n i v e a u x d e production
otitenus la campagne passée sont largement
t r i b u t a i r e s d e s perforniances d e l a 1 :te pkyi9sar.i tai.re.
C e s p e r f o r m a n c e s dc,ivcnt:
;tllp
soutenues
c e t t e
campagne encore avec
la menace du criquet pélerir. déjS pi? sent d a n s l e s rCgions l i m i t r o p h e s .
U n e dotati.oc d’urget~ce (-31 I,rgiduits
e t materie1.s a p e r m i s l a mise, en
place A ce jour de :
- ULV - 2850 1% ;i ‘Tivaouane
- CF - hOO 1 pour la r+gi
- Poudre - 15 T
- 11 atomiseurs
- 60 pu1 v6risatc.urss manuel
- 7 5 p o u d r e u s e s ;i d(JP ti~l-et
. . . .
REPUBLIQUE DU SENEGAI,
-----__i_
UN PECPLE-UN BUT-UNE IW1
---------
M INISTERE DIJ DEVELOPPEMENT RIIRA 1.
---------
REGION DE LOIJGA
---------
INSPECTION REGIONALE DE I,'AGRICULTIJRE
---------
- BILAN DE LA CAMPAG E AGRICOLE 1987/1988 -
PREPARATION DE LA CAM
-~
4GNE AGRICOLE 1988/1989
(CRD DU
3 MAI 1988)
MAI 1988
Bilan Campagne Agricole 1987 1988
Ci
1- Mise en place des Factexs de Production
1.1. Se.mences Arachide
1.2. Se:mences Mil
1.3. Semences Niébé
1.4. En(grais
1.5. Produits et Ma-sériels de Traitement Phytosanitaire
II- DEROULEMEN'
2.1. Pluviométrie
3.1. Répartition de
points de collecte arachide
3.2. Situation de 1
commercialisation arachide (au 29/4,/88)
IV- CAMPAGNE MARAICHERE
5.1. Superficies,
VI- PROGRAMMES
VII- PROGRAMME SODEVA
IX- PROTECTION
9.2. Produits
X- CONCLUSIONS GENER
ECOMMANDATIONS
-
-
15
ANNEXE : TABLEAU PLUVIOMETI
- -
2
Comparativement à la prëcédente ca
agne agricole 19@1987, la région de Louga
a enregistré cette année des production
records notamment pour le mil qui a presque
trplë sa production.
En ettet, pour une augmentation de
superficies emblavées respectivement de
+ 26,32% et de 3,97% pour le mil et pou
l'arachide, la production est passée de
37,526 tonnes en 1986187 à 100,391 tonn
en 1987/1988, soit une augmentation de
+ 167,52% pour le mil et de 3,975 pour
arachide (51,932 tonnes en 1986/1987 contre
59,132 tonnes en 1987/1988. Le niébë pa
contre a connu une chute aussi bien de la
production - 51,05% que des superficies
blavées (- 34,092).
A- BILAN CAMPAGNE AGRICOLE: 1987/1988
-
-
-.
1- Mise en place des
1.1. Semences arachide
- Niveau I : 60 T ;
- Niveau II :
: 4,015 T, taux de réalisation 46,13%
1.2. Semences mil-
la SODEVA = 6,356 T
1.3. Semences niébë
I_-~
1.4. Engrais
-.-_
1.5. Produits et matériel de tr
- sumithion 2,5%
=
110 T
- fénitrothion P.P.
1
8 T
- thimul 35
=
1 250 1
- Lorsban 12 EL
220 1
- Fénitrothion 500 IJLV
4 020 1
- Sumicombi 32 (1
1 000 1
- Sumithion
750 1
- ChlorofacinoLie
400 1
- Pierre à carbure
40 fûts
- Canons à carbure
10 canons
- Sumicombi 1,'8%
20 T
- Sumithion
7 500
- Sacs poudreux
7 000
- Soufflets
120
- ?oudreurs à dos
10
- Pulvérisateurs japonrldis
90
- Masques
30
- Gangs
40
- Lunettes
25
- Bottes
50
- Combinaisons
50
- Radio transmission
1
- Crèmes de protection
25
- Casques
35
- Véhicules
3
II- Déroulement de la camp; Jne aqricole 1987/1988
2.1. Pluviométrie
- lère pluie uti: ! : 40m/m à Barkedji le 7 juin 11387
- pluie utile gér irdlisée
: à partir de la 2e décade
du mois de juil -et
- pause pluviomét ique : 2e décade Août
- mois le plus pl .vieux de l'année 1987 : septembre
- dernière pluie
nregistrée
: dans les départements de
Louga et de Kéh 'mer avec une moyenne de 11,8m/m le
17 octobre 1987 ; le poste de NDande avait enregistré
53m/m.
- precipitation rr lyenne annuelle =
421,54 m/m en
25 Jours
- taux de satisfa btion des besoins en eau les plus
é lC:?VéS :
L33,4% pour l'arachide à Barkédji
1 2 1 , 3 x P o u r l e
Ii.1 à Barkédji
es besoins en eau les plus bas I
de à Sakal
TABLEAU PLUVIOMETRIQUE :
2.2.
- apparition
lensis en juillet 1987
u niveau de la région, densité relati-
ement faible (pas de dégats)
chenilles défoliatrices, chenilles
pucerons, cantharides, rhinyptir.
et oiseaux granivores
: comités de lutte villageois
appuyés par 1'Inspection
Régionale de la Protection des
végétaux ont jugulé le mal à.
temps.
2.3. Estimations définitives de récolte :
~.
l
I
l
1 Années
1986/1987
I
1987/1988
l
l
l
1
1
1
l
I
I
sup.
I Rdt kg I
sup. I Rdt kg I
Prodt" I
I
Culture I
ha
l ha
I
/ ha
I
ha
l
CT)
1
I
I
-+-
I
I
--.A
I
l
I
I
i
/
! Arachides1
59 466
I
I 61 830 l
956
l
59 132
l
1
I
I
1157
j
)
I
j Mil
I 124 783
l
629
637
100 391
1
I
I
I
1
/ Niébé
j
53 273
l
/ 35 112 I
325
I
1 1 403
I
j
I
l
l
I
I
I
/
I
I - . -
I
I
l
I
-
1
. . . /
. . .
III- Campagne de collecte it de commercialisation
--_---.--~- --
.
Démarrage campagne de commercialisation de l'arachide et du
niéb& en décembre 1'387.
3.1. Répartition des points de collecte arachide
----
----
-
I
I
Organisme
1
Produit
Agricoles 1 Nombre de points
I
I de collecte
I
I Union des coopéra- /
l
I
tives
1
Arachide huilerie I
55
1
l
/ O.P.S.
I
II
I
34
l
I
I
1 SONACOS
II
I
6
l
/
I
I
II
I Arachide semences I
9
I
/-
I
I
TOTAL
I
l
104
l
I
I
I
I
3.2. Situation de la
-
-
commercialisation arachide
Date du ve ldredi 29/4/1988 :
-.._-
Produit
IEvacuation I Financement
AyriEole
-...--
I
I
1
l
I
Arachide 1
i Coopératives I
55-437
l
35585,303 I 2 8 8 6 3 , 8 3 2
I 3 32647029C
I
I
1
I
I
I
Huilerie )
(
II
I
I
I
I
0 P s
1
1 7 7 1 4 , 3 4 8
1 1 6 9 3 5 , 3 0 8
i i 6 9 4 0 2 5 3 6 1
l
I
I
I
I
ISONACOS
I
,I
I
340,012 I
3 3 9 , 9 9 7
l
3292OOLl
l
I
l
I
l
Total
46139,137 j 5 05341567(
I
-. -.-- _-~-
~----
I
Arachide )
ISONACOS
345000!1!
I
!Semence )
I
l
-. ..---.-.
,-_.__ ~ _.__ -
l
Tot.al Région
I
._
55,539 I 44522,203 I S 26.39156’7
l
I
l
3.3. Commercialisatic
II_-~.~_-
- achat par le ( mmissariat à la Sécurité Alimentaire :
75,639 T sur un objectif 300 T, soit un taux de réalisation de ;!5,21%.
- remboursement
rédit niébé SODEVA : 356,059 T sur un
exigible de 407,392 T, soit un
aux de réalisation de 87,40%.
- commercialisat on du niébé de multiplication (semen-
ce) par la SODEVA en étroite cc laboration avec 1'IRPCS : 52,026 T
achetées sur un objectif de 60
, soit un taux de réa lisat ion de
86,71%.
IV- CAMPAGNE MARAICHERE
La région de Louga pc sède d'importantes potentialités maraî-
chères. C'est ainsi qu'on disti gue deux zones écologiques à forte
vocation maraîchère :
- frange maritin
d'environ 52 km où l'on rencontre
des dépressions argileuses, ave
une nappe phréatique peu profonde :
c'est une zone très favorable 2
maraîchage la zone des "NIAYES".
- une zone Conti entale semi-aride, composée essentiel-
lement des alentours du lac de
uiers et des périmètres hydro-agricoles
à l'aval des forages.
Si la première zcne citée
les NIAYES) constitue la zone de
maraîchage par excelience, depL s, depuis quelques temps, on assiste
à l'installation d'importants E ojets privés aux alentours du lac de
Guiers.
On distingue deux types d' xploitations dans la région :
a)- Les exploitation: paysannales installées le long de la
zone des "NIAYES". Celles-ci, k en que très productives, sont carac-
térisées par un système de cuit re traditionnelle. Les principales
cultures, qu'on y pratique, sor
l'oignon, le chou, la carotte, Le
navet... et d'autres légumes dt
-
- - -
type
a f r i c a i n .
-
7
La production es .t rassemb ée, pr incipalement, au niveau des
marchés hebdomadaires de Potou et Lompoul lesquels constituent Les
principaux points de chûte de ,a production légumière de cette zone.
j
Sur le plan de l'organisat )ll, on note une présence fortement
marquée des intermédiaires (Ban .Banas). Cependant des tentatives sont
en train d'être menées pour par lire l'organisation des maraîchers
et diminuer l'action néfaste de
intermédiaires.
b)- Les périmètres ma iîchers bien structurés qui ont plus
de cinq (5) hectares de superfi .e dotés de systèmes de pompage et
d'irrigation. La plupart de ces exploitations sont situées aux alen-
tours du lac de Guiers, dans 1'
.rondissement de Keur Momar SARR.
Les productions de ces périmètr ;
sont aussi très variées et sont
destinées d'une part à alimente
les marchés des grands centres ur-
-
bains et d'autre part les usine
-
de transformation surtout pour la
-
tomate (SOCAS en particulier).
Ces périmètres sont :
- SENPRIM
10 ha à
Diokoul (KMS)
- L'exploitation de S iy DIOP
22 ha à
Iba SARR (KMS)
- Société Agro-Indust .elle de
Production et de CO lercialisation
:
100 ha à Touba
!Serigne Bachir MBA :E)
Keur Yérim (KMS
- Société d'Etude et
I
Réalisation de
Projets Agricoles ( :RPA)
:
65 ha à Louga
On peut noter également la Irésence d'ONG qui financent et enca-
drent des groupements de produc
surs. C'est le cas de la Fondation
Internationale pour le Développ
lent (F.1.D) qui encadre un périmètre
maraîcher à Ndieumb FALL, la vi
- .on Mondiale, le Church Would Service.
~-
Les principales production
recensées à la date du 04 mai 1988
sont résumées comme suit :
Le développement du maraîc .gc, au niveau de la Région, connaît
beaucoup de difficultes liés au
contra intes suivantes :
. ../...
8
j
- Inorganisation des
lroducteurs et manque de dynamisme
des coopératives existantes ;
- Absence totale d'en adrement pour I'amélioration des
systhmes de culture ;
- Absence de filières de distribution des intrants agricoles
(engrais, semences, produits ph tosanitaires).
- Enclavement des zon s de grande production au niveau des
Niayes (en l'occurence zones de Potou et Lompoule).
- Manque de protectio
phytosanitaire, ce qui fait un pullu-
lement de déprédaiteurs et de p rasites aux abords des zones de
production
- Inorganisation des
ircuits de commercialisation
- Absence d'entrepôts frigorifiques au niveau de la région,
le manque d'organisation semble être entretenu par une certaine mafia.
En effet cette campagne a u un débat d'action pour la redynami-
sation des sections villageoise
afin qu'elles puissent se poser en
interlocuteurs valables face au
autres intervenants de la filière
(commerçants notamment) d'une p rt
i
et qu'elles puissent aussi avoir
accès aux prêts de campagne de b- a Caisse Nationale du Crédit Agricole
du Sénégal -CNCAS).
Néanmoins, il reste beauc up à faire, en ce qui concerne l'encadre-
ment pour une diversification
t une répartition, dans le temps, des
productions en l'absence d'inf astructures de conservation.
. . . / . . .
9
- --__ ---I_.-_ -~ - .---~ --
--.------
l
/
1
CUMUL 1 CUMUL
1 CUMUL
IRECAPITU- I
/
EXPLOITATIONS /
CULTURES [ANTERIEUR /
PERIODE
1
TOTAL 1
LATION 1
I
I
CT)
I
CT)
I
(T)
IESPECES~T)~
/ -l_.
~-----.--~-~-----.-t--
I
I
~ .-._- l
1
I
I
I
l
1 Serigne B.
I
I
I
I
I
I
1 MBACKE
!Gombo
0,131
I
0,130
1
I
I
I
I
-
I
I
-/
[Pastèque l
6,718 I
I
6,718
l
- - - - - -
Pomme de
terre
---TE
I Société Agro-
Tomate
I Industrielle
Pastèque I
I
de Product" et Chou
I de Commercia-
M'elon
l lisat" (SAIPC) Gombo
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
TOTAL I
330,766
I
3 4 , 5 3 2
l
365,298
I
I
1 Exploitations 1
I
I
l paysannes de
IOignon
1,700 .l 20,900 I
I
l Lompoul
IPiment
I
0,500
I
3,400
I
l
ICarotte
I
29,90
3,500
I
33,400
I
ITomate
l
8,650
I
I Chou
i 37:E
3,900
I
41,100
I
INavet
1 15,80
2,100
l
17,900
I
IPatate
I
I
I
I douce
I
3,ooc
-
I
3,000
l
(Pomme de I
I
I
l
terre I
3,8OC
0,750
I
4,550
l
IPastèque l
8,282
l
8,282
I
I
IAuberqine l
5,30(
0,800
I
6,100 I
I
I
I
I
l
1
Exploitations [Oignon
l paysannes de
l
Potou
I
I 257,60
1
l
I
!Navet
l
IPatate
I
I douce
l
1 Pomme de
I
1
-
-
-
l
1~--..-
-----_-
i Total région
I
II
- - - - -
1 0
B-- PREPARATION
51 Superficies, Rendements et Productions
I
~---- _
-1
I
i
i
I
I
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Arachide
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864/49489~
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POURCENTAGE AUGMENTATION I~AR RAPPORT REALISATION
CAMPAGNE AGRICOLE 1987/19
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I
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I
I
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RUBRIQUES
I
i
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CULTURES
SUPERFICIES
RENDEMENTS
l PRODUCTIONS I
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11,19
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0,43
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3,49
-2,83
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1 NIEBE
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21,02
I
0,31
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21,53
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1
I
I
I
I
I
52- Besoins en semences (ea tonnes)
I
I
i
i
I
BESOINS EN SEMENCES PAR SPECULATION (en tonnes) I
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DEPARTEMENTS
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I
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~ARACHIDE HUILERI
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1
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I
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DOSES : Arachide
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:
60 kg/ha (décortiqués)
Mil
:
4 kg/ha
Niébé
:
20 kg/ha
53- BESOINS EN ENGRAIS (en zonnes)
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I
1 CULTURES ET
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I
I
1
FORMULE
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ARACHIDE
MIL-SORGHO
NIEBE
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I
ENGRAIS
l
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I
l
I
/
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1 DEPARTEMENTS
1
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UREE
1
O-20-10
I
I
I
I
I
I
1.
l
I
I
I
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1 LOUGA
1 856,25
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949,80 l
2 316,60 l
3 026,25
I
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1
I
l
-1
l
I
-
l
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1 KEBEMER
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4 124,85
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829130
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3 118,05
l
I
I
l
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I
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-
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l
l
l
I
I
LINGUERE
4 331,25
I
692,35 I 2 897,45 I
229‘35
l
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/
l
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I
1
TOTAL REGION 1
I
i
I
-1 /
I
ET
l
10 312,35
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471,45 I 8 157,15 /
6 373,65
l
1 PAR REGION
l
I
l
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I
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I
I
-1
DOSES :
- 150 k /ha pour 6-LO-:l.Cl et 14-7-7 sur arachide
mil-s :gho et niébé
- 50 kg la pour urée sur mil-sorgho
IV- PROGRAMME D:E MULTIPLIC CION
(source : IHPCS/LOUGA-
Ctuaion au 30 avr il 1988)
6-l Arachide :
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3 189124,5308l
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2 998123,06151
57,76
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57,02
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7 432157,16921
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2 7735121,3346(
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Pour cela le "j'rojet de PLI INING DES MUTATIONS SEMENCES ARACHIDE"
se présente comme suit (RECAPITI ,ATIF)
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* Compte non tenu de: 40 tonnes de NI de Gassane devant
provenir de Tivaouane.
** Si et seulement SL Le t.aux de bruchage reste maintenu à
son niveau actuel (gousses - 4, 549 ; graine : - 2,39%).
Quant à la vente des semer zes sélectionnées d'arachide, pour la
campagne agricole 1988/1989 la situation se présente comme suit
(source IRPCS-LOUGA)
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I
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SEMENCES
~AVEC F~N( ICIDE 100
~SANS FONGICIDE
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1 NIVEAU II
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121
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118
l
I
I
I
I
I
I
VII SODEVA :
Le programme de la SC ]EVA se présente comme suit :
a)- Niébé :
.~
- reconduct ion du programme 1987/1988 à savclir :
. 15 c 10 hectares pour la diffucion , et
. 225 iectares pour la multiplication
Néanmoins les modalités d' -ncadrement n'ont pas encore été dis-
cutées avec la Direction du Prc jet Niébé, de même que les objectifs
pour cette campagne agricole 1C b8/1989.
- le stock
60 T cert Pu Niébé disponible est de 656 T dont
fiées.
- en ce qui concerne les produits de traitement,
le stock i ctuel (de 34 000 litres) demeure lar-
gement si11 fisant pour les 15 000 hectares, de
-
ulvérisateurs
(3096 unités).
~
-
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. . .
1. 5
b ) - Mil :
- -
- la diffus
concerne IBV 8001 sur 3 000 ha.
A cet eff St 12 tonnes demeurent déjà disponibles
à raison
e 150 FCFA le kilogramme.
- la multip ication intéresse la variété IBV 8004
sur une s perficie de 50 ha parallèlement ces
- -
proyramme
évoqués ci-haut, la SODEVA dispose
d'autres
rojets tels :
l/- Le projet de lutt
nématicide (PLN) dont le test sera
poursuivi pour Lo ga sur l'arachide, le mil et le :!Jiéb&.
2/- .Les Banques céréa ières villageoises (BCV-AOOPAM)
Continuation du p ogramme et suivi des dix huit (18)
banques déjà mise
en place et possibilité de création
de cinq (5) nouve les banques (après la mission d'éva-
luation sur ces b# nques).
Indépendemment de ces banques céréalières AOOPAM, la
SODEVA mène actuellement la con truction de vingt (20) banques
céréalières sur financement FID.
-
de 1986/1987.
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) 13 150 j
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Taux des ventes :
6-20-10 =
5,73%
14-7-7
= 13,10%
Parallèlement au programme Engrais Action Coop-URCAL projette de commercialiser 15 000 sachets de fongicides !la commanc
déja passée).
Par ailleurs la coopération mène actuellement un programme de dix huit (18) Banques céréalières villageoises (BCV) dont
le principe directeur consiste à acheter des céréales pendant les périodes de récolte, les stocker dans ces banques pour
enfin les vendre durant la période de soudure.
Le résultat obtenu de ces banques est très satisfaisant et un projet de leur extension est introduit au niveau de la
fondation internationale pour le Développement (FIDA) pour la construction de magasins.
IX- PROTECTION PHYTOSANITAIRE :
._
Dans le cadre de la protection phytosanitaire, un stock de sécurité se trouve concentré actuellement â Louga. Il est
constitué de :
l/- Matériel de traitement :
- 15 poudreuses manuelles
- 45 pulvérisateurs DELTA-CLTN
- 15 pulvérisateurs JACTO
- 3 polyjacto.
‘a.
2/- Produits :
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- 12 000 litres de fénitrothil
500 ulV
- 9 tonnes de fénitrothion 2%
- 3 000 litres lde sumicombi 31 EC
Par ailleurs le Secretariat d'Etat
la Protection de la Nature a mis à la dis-
position de la direction de la protectio
des végétaux tous les UNIMOGS des Eaux et
Forêt à Louga. La Direction de la Protec ion des Végétaux doit monter sur ces UNIMOGS ies
pulvérisateurs JACTO.
Par ailleurs pour la campagne agric le 1988/1989, 1'Inspection Régionale de la
Protection des Végétaux de Louga a reçu
I stock national de 395 tonnes de poudre
-
-
SUMITHION.
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS :
La campagne agricole 87/88 a vu la
Salisation des objectifs de programme de
multiplication à 100% pour le niveau 1 ( 3 T) depuis le mois de juin. Cependant le
niveau II et le programme de vulgarisati 1 n'ont connu respectivement que des taux
de réalisation de 38,53% et 46,13%. Egal nent les produits et matériels de traite-
ment phytosanitaires ont connu une mise
I place à temps ce qui a permis avec l'appui
des comités villageois de lutte (CLV) de juguler les attaques de parasites (puceron)
qui ont été signalées.
Avec une pluviométrie moyenne annue le de 421,54 mm en 25 jours la région de L
Louga a connu une bonne pluviométrie ce
ii a permis à toutes les cultures de boucler
correctement leur cycle de végétation. A isi la région a connu des productions re-
tords en arachide et mil (respectivement j9 132 T, 100 391 T).
La campagne de collecte et de comme' :ialisation a démarré depuis décembre ainsi ie
taux global d'évacuation est de 83,03% cl qui correspond à 93,89% par rapport aux
prévisions des récoltes.
La préparation de la campagne agricl le 88/89 a déjà démarré c'est ainsi que pour
les principales spéculations de la régio
arachide, mil, niébé les prévisions d'em-
blavures sont respectivement de 68 749 h
_l-l_ , 163 143 ha et 42 491 ha. Pour ensemencer
ces superficies les paysans devraient di )Oser de 4 124,94 T de semences d'arachide,
de 652,58 tonnes de mil et 849,82 T de n ?bé. En ce qui concerne la lutte phytosani-
taire proprement dite une nécessité impé ieuse s'impose de veiller davantage 2 ct: que
*
le placement des pr,oduits phytosan itai
tement soit effectué
correctement avant Ie démarrage de la
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