SEMINAIRE PRODUCTION ANIMALE 24 - 26 MARS 1981 ...
SEMINAIRE PRODUCTION ANIMALE
24 - 26 MARS 1981
NOTE SUR LA MISE EN PLACE DE LA BERGERIE
EXPERIMENTALE DE NDIOL
Par J.C. RAVEAU
C. BELE
et
Ph. LHOSTE
REF. No 055/DOC
MARS 1981
i
.
NOTE SUR'LA MISE EN PLACE DE LA BERGERIE
EXPERIMENTALE DE NDIOL
Par J.C. RAVEAU", C. BELE**, Ph. U-IOSIFm*"
S - IWl'ROW2TSON
Le projet d'une expérimentation portant sur l'élevage ovin dans la
r6gion du Fleuve S6negal est assez ancien ; le Labratoire national
d'Elevage présentait déjà en juillet 1978 un document intitutlé"prOjet
de création d'une bergerie expérimentale dans la région du Fleuve'! La
recherche du finaxmt de cette opération prendra quelque temps et
c'est en déh-t 1980 que le breau d'Etudes et de Progyxwr&ion de la
SAEJI Kkllu3.e Elevage) obtier&a du FAC le finammt du projet
légèrement rerranié ; les aspects teclmiques du progrm ont été
réactualisés en concertation SAED - L5QRV.
La cmpbation entre la SAED et L'ISRA se traduira é@kment par
la localisation m&e de la bergerie expértitale sur la station ISBA
de Ndiol, et par une convention SAED - ISRA (ao& 1980) pour lsex&utbn
de cette exp&imentation. Ce n'est qu'en début d'année 1981 que le
Laboratoire national d'élevage pourra détacher un zootechnicien Zi
Saint-Louis pour suivre les actions de recherche zootechnique au Fleuve,
et en ~iculier, la bergerie de IWiol.
. . . / . . .
* SKD, Saint&xis
*a ISRA c2KmEro>, Saint-Louis
W% I.&ERv, Dam
,”
4
ri
-2
Dans cette note, nous rerdrons compte rapidement de la mise en
place de l'opération, des tous premims résultats zootechniques et de
l'mientation du progmme futur.
II - RAPPEL, DES OBJECTIFS
La bergerie exp6rimental.e doit servir avant tout de suppoti à une
action de prkmlgarisation de l'élevage ovin. Elle constitue donc la
première étape d'un pograme de développemmt de la production ovine.
Dans cette optique, des objectifs t&s pratiques ont été dkmninés :
a) Experimentation et rationalisation de l'alimentation fondée sur
l*utïlisation maximale des fourrages (na-twels et cultives> et des
sous-produits agricoles et agm-industriels disponibles dans la
région.
b) Maîtrise des aspects sanitaires - Prophylaxie, soins des animaux,
étude des cas pathologiques en liaison avec le Laboratoire d'Elevage,
&p6rimentation et rationalisation de la conduite du troupeau : made
d'élevage, rythme de reproduction, sevrage, finition.,.
d) Formation pratique du personnel d'encadrment et infomtion du
paysannat sur ces techniques,
e) Maptation àes infrastructures d'&vage, de conception simple,
utilisant des mt&iaux locaux.
f) Expérimentation fourmg&?e et valorisation des fourmges cultivés par
les ovins.
.'
89 Am6lioration &nétique et fourniture de g&iteurs'm$les et femelles
dans le milieu dtélevage environnant.
-3
Ces objectifs sont hi&archisés et c 'est volontairement que nous
avons placé les aspects alimentaire, sanitaire et conduite du troupeau,
avant lPaspect gérktique. La hi6rarchi.e des objectifs purra être
rnxiifiée en cours d'opération lorsque certains aspects seront maîtrisés.
III - MISE EN PLACE DE L'OPERATION
Les infrastructures de la bergerie, de corxeption très simple, ont
été &&Li&es au cours du second seJn&stre 1980 ; les parcs et les abris
seront forztionnels en décembre pour l'arriv&e des brebis. Les finitions
et certains aknagements sont actuellement en cours.
100 krebis de race Touabire ont été achetées dans le milieu
d'élevage traditionnel en novembre et d&xmbre 1980, en choisissant
dans la mesure du pOssible, de jeunes brebis gestantes.
A l'arrivée à Ndiol, début d&embre, on dénombre 100 brebis et 8
agneaux nés xGcme.nt.
Deux béliers seront obtenus en mars 1981 au CRZ de IMXB et quelques
béliers supplkntaires seront achetes en milieu traditionnel.
Les brebis se sont bien adapties à l'arrivée et les mises bas se
passent bien, dans l'ensemble. Les difficultés rencont&es pour l'ins-
tant sont les suivantes :
a) des difficultés pour le tri des brebis au retour du p%u.rage, en
raison de 17insuffisance des aménagements ; d'où la nécessité de
réaliserun~detri ;
b) des problèmes de pâturage, les parcours avoisinnants étant d6jà très
chargés ; il faut envisager l'utilisation de paille de riz connne
aliment dti lest, en complément du pâturage naturel, en att~&rant de
disposer de fourrages cultivés,
. . ./ . . .
-4
IV - ~'RESULTATS ZOOTECHNIQUES
4/1 - Effectif
Au 19.3.81, l'effectif total d'animaux est le suivant :
99 brebis
2 béliers
72agneaux
38 mEiles
34 femelles
4/2 - Repxkxhtion
75 agnelages ont eu lieu dont 5 doubles, ce qui nous donne une
prolificité de 106,7. Les agneaux se r$xwtissent en 41 rrâles et
39 femelles.
80 % des agnelages observh ont eu lieu entre le 15 décemlxle et le
15 février. Les agnelages se sont répartis conme suit :
27 en décembre
30 en janvier
16 en février
2enImrs
La mxtralité des agneaux est de 10 06; les raisons sont les
suivantes :
-lpx&xmlré
- 1 écrwsé par sa mère
- 2 agneaux doubles peu avant la mrt de leur mère
- 2 pneumonies
- 2 indéterminés.
-5
4/3 - PerforlrBties
- Poids
w--m,-
Le poids moyen des brebis sur 3 rrr>is est de 37 kg : 37,8 en janvier,
36,4 en février, 36,8 en mws.
Les béliers sont arrivés le 11~s avec des pids de 48,7 et 57,7 kg.
Le poids myen des agneaux à la naissance est de 3 kg pour les
femelles, 3,l kg pur les tiles.
- Gain rrûyer quotidien (C?l(J)
M--I--- -MB ---m-------- -
Les G.M.Q. : 0 - 30 jours doivent permettre de sélectionner l'apti-
tude laitière des lxebis. Les G.M.Q. sont les suivants :
.
..Fffectif
G.M.Q.
myen glj
Mini.
&ixi.
IBles
34
150,6
59
238
Femelles
30
141,2
33
227
4/4 - Sevmge
6 agneaux seulement ont été sevrés à 105 jours, au poids rra3yen ( 3e
14 kg. Il ssagit des agneaux nés hors station.
Les futurs sevrages doivent Etre effectués en 90 j. p3ur un poids
moyen de l'ordre de 15 kg.
4/5 - Suivi sariitaire
'Des dépTasitages externes (tiques> et internes (vers ronds,
coccidies, douves) sont prévus Sgulièrement.
Trois vaccinations sont effectuées systérr&iquement :
. . /. ..*
-6
- la Pastewellose
- la Peste des petits mminants
- la Clavelée.
4/6 - Suivi alimentaire
Seules les brebis passent la journée au pâturage, elles reçoivent
une cmplhentation le soir. La paille de riz est distribuée à volonté.
Mélange
concentré
% farine
% tourteau
quantité/tête
de riz
d'arachide
75
25
EGliers
100
l
0
à volonté
75
25
‘--q-G--
-7
V - ORIENTATIONS DU'PROGlWWE DE TRAVAIL
Comme nous l'avons rappelé ci-dessous (§ II>, les objectifs qui:
nous devons aborder en priorité sont les suivants :
- alimentation et reproduction : ces deux aspects sont très li6s chez
la brebis
- contr6le sanitaire
- gestion du troupeau : gestion des reproductrices, des m3les (sélection,
finition, etc...).
Ikns cette optique, nous proposons un protocole de base qui. vise
à comparer 2 niveaux d'alimentation difftients que nous caractériserons
ainsi:
A- "Wensif amélioré" (régime éconxti.que>
B- "Serni-intensif" b$$me plus riche).
Ces régimes seront précisés en fomtion des disponibilités ; ils
vCarieront dans la saison, mais en restant dans le même rapport. Nous
avons évit% volontairement le régime -&moin, "extensif pur", S~ans
complémentation,
srachant qu'on ne peut qu'en attendre des catastro;:hes,
compte-tenu dés besoins physiologiques des brebis et des dis~xxibilités
du flturage environnant.
Les brebis seront réparties au hasard entre ces deux régimes et
elles n'en changeront plus.
Four la constitution des lots de repxoduction et pour Ifadaptation
des rations alimentaires, on tiendra compte de l'état physiologique
des brebis.
. . ./ . . .
- 8
Concernant le rythme de reptiuc-tion, 2 formules sont envisageables :
a) contacts pments avec les brebis et d&rmkztion des intervalles
entre agnelage T-iaturels", les femelles reprenant dès que kwssible ;
b) lutte contrôlée n~ur obtenir des mises bas tous les 8 mois, par
exemple ; ce type de calerdrierseraitajusté en fonction des
résultats.
Concernant la gestion des p~3uits de l'opération, nous proposons
en annexe un schéma indicatif qui fait apparaître les taux moyens de
rrortalité, de sélection et de réforme retenus.
CONCLUSION
La bergwie expérimentale de Ndiol a été mise en place en concerta-
tion entre le développent CSAED) et la recherche WJEW).
Ses objectifs doivent permettre de faire passer kmédiatement les
résultats acquis dans le milieu d'élevage de la r&ion, par le canal
de l'encadrement de la SAED.
24 - 26 MARS 1981
NOTE SUR LA MISE EN PLACE DE LA BERGERIE
EXPERIMENTALE DE NDIOL
Par J.C. RAVEAU
C. BELE
et
Ph. LHOSTE
REF. No 055/DOC
MARS 1981
i
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NOTE SUR'LA MISE EN PLACE DE LA BERGERIE
EXPERIMENTALE DE NDIOL
Par J.C. RAVEAU", C. BELE**, Ph. U-IOSIFm*"
S - IWl'ROW2TSON
Le projet d'une expérimentation portant sur l'élevage ovin dans la
r6gion du Fleuve S6negal est assez ancien ; le Labratoire national
d'Elevage présentait déjà en juillet 1978 un document intitutlé"prOjet
de création d'une bergerie expérimentale dans la région du Fleuve'! La
recherche du finaxmt de cette opération prendra quelque temps et
c'est en déh-t 1980 que le breau d'Etudes et de Progyxwr&ion de la
SAEJI Kkllu3.e Elevage) obtier&a du FAC le finammt du projet
légèrement rerranié ; les aspects teclmiques du progrm ont été
réactualisés en concertation SAED - L5QRV.
La cmpbation entre la SAED et L'ISRA se traduira é@kment par
la localisation m&e de la bergerie expértitale sur la station ISBA
de Ndiol, et par une convention SAED - ISRA (ao& 1980) pour lsex&utbn
de cette exp&imentation. Ce n'est qu'en début d'année 1981 que le
Laboratoire national d'élevage pourra détacher un zootechnicien Zi
Saint-Louis pour suivre les actions de recherche zootechnique au Fleuve,
et en ~iculier, la bergerie de IWiol.
. . . / . . .
* SKD, Saint&xis
*a ISRA c2KmEro>, Saint-Louis
W% I.&ERv, Dam
,”
4
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-2
Dans cette note, nous rerdrons compte rapidement de la mise en
place de l'opération, des tous premims résultats zootechniques et de
l'mientation du progmme futur.
II - RAPPEL, DES OBJECTIFS
La bergerie exp6rimental.e doit servir avant tout de suppoti à une
action de prkmlgarisation de l'élevage ovin. Elle constitue donc la
première étape d'un pograme de développemmt de la production ovine.
Dans cette optique, des objectifs t&s pratiques ont été dkmninés :
a) Experimentation et rationalisation de l'alimentation fondée sur
l*utïlisation maximale des fourrages (na-twels et cultives> et des
sous-produits agricoles et agm-industriels disponibles dans la
région.
b) Maîtrise des aspects sanitaires - Prophylaxie, soins des animaux,
étude des cas pathologiques en liaison avec le Laboratoire d'Elevage,
&p6rimentation et rationalisation de la conduite du troupeau : made
d'élevage, rythme de reproduction, sevrage, finition.,.
d) Formation pratique du personnel d'encadrment et infomtion du
paysannat sur ces techniques,
e) Maptation àes infrastructures d'&vage, de conception simple,
utilisant des mt&iaux locaux.
f) Expérimentation fourmg&?e et valorisation des fourmges cultivés par
les ovins.
.'
89 Am6lioration &nétique et fourniture de g&iteurs'm$les et femelles
dans le milieu dtélevage environnant.
-3
Ces objectifs sont hi&archisés et c 'est volontairement que nous
avons placé les aspects alimentaire, sanitaire et conduite du troupeau,
avant lPaspect gérktique. La hi6rarchi.e des objectifs purra être
rnxiifiée en cours d'opération lorsque certains aspects seront maîtrisés.
III - MISE EN PLACE DE L'OPERATION
Les infrastructures de la bergerie, de corxeption très simple, ont
été &&Li&es au cours du second seJn&stre 1980 ; les parcs et les abris
seront forztionnels en décembre pour l'arriv&e des brebis. Les finitions
et certains aknagements sont actuellement en cours.
100 krebis de race Touabire ont été achetées dans le milieu
d'élevage traditionnel en novembre et d&xmbre 1980, en choisissant
dans la mesure du pOssible, de jeunes brebis gestantes.
A l'arrivée à Ndiol, début d&embre, on dénombre 100 brebis et 8
agneaux nés xGcme.nt.
Deux béliers seront obtenus en mars 1981 au CRZ de IMXB et quelques
béliers supplkntaires seront achetes en milieu traditionnel.
Les brebis se sont bien adapties à l'arrivée et les mises bas se
passent bien, dans l'ensemble. Les difficultés rencont&es pour l'ins-
tant sont les suivantes :
a) des difficultés pour le tri des brebis au retour du p%u.rage, en
raison de 17insuffisance des aménagements ; d'où la nécessité de
réaliserun~detri ;
b) des problèmes de pâturage, les parcours avoisinnants étant d6jà très
chargés ; il faut envisager l'utilisation de paille de riz connne
aliment dti lest, en complément du pâturage naturel, en att~&rant de
disposer de fourrages cultivés,
. . ./ . . .
-4
IV - ~'RESULTATS ZOOTECHNIQUES
4/1 - Effectif
Au 19.3.81, l'effectif total d'animaux est le suivant :
99 brebis
2 béliers
72agneaux
38 mEiles
34 femelles
4/2 - Repxkxhtion
75 agnelages ont eu lieu dont 5 doubles, ce qui nous donne une
prolificité de 106,7. Les agneaux se r$xwtissent en 41 rrâles et
39 femelles.
80 % des agnelages observh ont eu lieu entre le 15 décemlxle et le
15 février. Les agnelages se sont répartis conme suit :
27 en décembre
30 en janvier
16 en février
2enImrs
La mxtralité des agneaux est de 10 06; les raisons sont les
suivantes :
-lpx&xmlré
- 1 écrwsé par sa mère
- 2 agneaux doubles peu avant la mrt de leur mère
- 2 pneumonies
- 2 indéterminés.
-5
4/3 - PerforlrBties
- Poids
w--m,-
Le poids moyen des brebis sur 3 rrr>is est de 37 kg : 37,8 en janvier,
36,4 en février, 36,8 en mws.
Les béliers sont arrivés le 11~s avec des pids de 48,7 et 57,7 kg.
Le poids myen des agneaux à la naissance est de 3 kg pour les
femelles, 3,l kg pur les tiles.
- Gain rrûyer quotidien (C?l(J)
M--I--- -MB ---m-------- -
Les G.M.Q. : 0 - 30 jours doivent permettre de sélectionner l'apti-
tude laitière des lxebis. Les G.M.Q. sont les suivants :
.
..Fffectif
G.M.Q.
myen glj
Mini.
&ixi.
IBles
34
150,6
59
238
Femelles
30
141,2
33
227
4/4 - Sevmge
6 agneaux seulement ont été sevrés à 105 jours, au poids rra3yen ( 3e
14 kg. Il ssagit des agneaux nés hors station.
Les futurs sevrages doivent Etre effectués en 90 j. p3ur un poids
moyen de l'ordre de 15 kg.
4/5 - Suivi sariitaire
'Des dépTasitages externes (tiques> et internes (vers ronds,
coccidies, douves) sont prévus Sgulièrement.
Trois vaccinations sont effectuées systérr&iquement :
. . /. ..*
-6
- la Pastewellose
- la Peste des petits mminants
- la Clavelée.
4/6 - Suivi alimentaire
Seules les brebis passent la journée au pâturage, elles reçoivent
une cmplhentation le soir. La paille de riz est distribuée à volonté.
Mélange
concentré
% farine
% tourteau
quantité/tête
de riz
d'arachide
75
25
EGliers
100
l
0
à volonté
75
25
‘--q-G--
-7
V - ORIENTATIONS DU'PROGlWWE DE TRAVAIL
Comme nous l'avons rappelé ci-dessous (§ II>, les objectifs qui:
nous devons aborder en priorité sont les suivants :
- alimentation et reproduction : ces deux aspects sont très li6s chez
la brebis
- contr6le sanitaire
- gestion du troupeau : gestion des reproductrices, des m3les (sélection,
finition, etc...).
Ikns cette optique, nous proposons un protocole de base qui. vise
à comparer 2 niveaux d'alimentation difftients que nous caractériserons
ainsi:
A- "Wensif amélioré" (régime éconxti.que>
B- "Serni-intensif" b$$me plus riche).
Ces régimes seront précisés en fomtion des disponibilités ; ils
vCarieront dans la saison, mais en restant dans le même rapport. Nous
avons évit% volontairement le régime -&moin, "extensif pur", S~ans
complémentation,
srachant qu'on ne peut qu'en attendre des catastro;:hes,
compte-tenu dés besoins physiologiques des brebis et des dis~xxibilités
du flturage environnant.
Les brebis seront réparties au hasard entre ces deux régimes et
elles n'en changeront plus.
Four la constitution des lots de repxoduction et pour Ifadaptation
des rations alimentaires, on tiendra compte de l'état physiologique
des brebis.
. . ./ . . .
- 8
Concernant le rythme de reptiuc-tion, 2 formules sont envisageables :
a) contacts pments avec les brebis et d&rmkztion des intervalles
entre agnelage T-iaturels", les femelles reprenant dès que kwssible ;
b) lutte contrôlée n~ur obtenir des mises bas tous les 8 mois, par
exemple ; ce type de calerdrierseraitajusté en fonction des
résultats.
Concernant la gestion des p~3uits de l'opération, nous proposons
en annexe un schéma indicatif qui fait apparaître les taux moyens de
rrortalité, de sélection et de réforme retenus.
CONCLUSION
La bergwie expérimentale de Ndiol a été mise en place en concerta-
tion entre le développent CSAED) et la recherche WJEW).
Ses objectifs doivent permettre de faire passer kmédiatement les
résultats acquis dans le milieu d'élevage de la r&ion, par le canal
de l'encadrement de la SAED.