cOMPOSITIONDUPATUPA~ NATWEL CONSOMME PARLES ...
cOMPOSITIONDUPATUPA~
NATWEL CONSOMME PARLES
BOVINS EN KILIEU Tl?OPICAL : NOTE SUR UNE
TECHNIQUE D'ETUDE NOUVBLLE
------.s-e.----e--
?W BLANCOU (J.), CALVET CH.1 et E'RIUI (D.1, VALENZA (J.1.
lN'RODUCTION
LÉS--an@ exacts du pZtura~ naturel amsomr&parles
bovins res-
mt enamz une incmnue maje- de la nutrition de ces animaux en élevage exten-
sif tropical.
, Or il est reccnnu :
l/ - que ces bovins élevés en milieu tropical (z*+, en g&&-al)
amservent, ou reccmrent, un certain emportement de ruminant sauvas, capables
d'exploiter aumaximumtoutes les ressources dupâturagenaturel ;
21 - que, cmpte tenu del'ext#me pauvreté dup%tumge hexbkcé à
certaines sakcms le bovin tropical Qit comenser cette pauvreté -en utilisant
d'autres ressoutms C~%urage aérien~particulin)
spil-veut survivre.
Lt- dupâturage naturel-tropical, sowent tr& bien connu en ce qui
concerne la strate herbacée, est bien rroins cmnue en ce qui concerne les autres
élémmts dup?ftura~ : feuiXks,f?ui.ts,gmines,émrces
oulianes.Laraismde
cette &connaissance tient à deux ordres de faits :
,?' - dsune part, on ignore souvent cequi estccmsomé oum8m sinple-
mnt appété parles animaux en dehors des hetiages apparemrrmtles plus importants
' - d'autre part, si d'excellentes enquêtes d'cbservaticm cl'. 2,
3, 5) ont parfois vernis de préciser et d'étudier la totalité des es~kces m&tées.
ii n'a ja&is 6-6 possible de déterminer la part exacte de &acun de& élérre%s
'
réeUemsnting&4s.
Nous proposons donc, dans la prkente m-te, d'apporter un élément de
réponseà œs questions en demivant une te&nique nouvelle-tise au point pour
les résoudre, et d'exp&ser les premiers rkiltats quPelle nous a fourni au
Sénégal.
MRI'EKCELETMEI'HODES
MATERIEL
Outre le matériel du laboratoire habituel nécessaire à ce type
dsexpériences' (p&lèvemnts,
ccmervation, analyses) le matériel animal utilisé
était essentiellement un zébe GCIXFI (SG?!r&gal) adulte, muni d'une fis-
S4?3JB3-
cale permanente (photo>.
>
Cette fis-&&- , rr6se en place selon une te&nique classique (1) à la
..* /
.*.

2
particularité d'être assez large (10 cmtirrètres de diamt?tre intérieur) pur y
laisserpénétrerlamain sars diffiaïlté.
L'animl fistulé avait été choisi, parmi dqautres congén&s, pour
son caract&-e docile indispersable aux mriipülations qu'il devait subir.
Lazone dep%ura@ naturel étuc?i& est celle delav&étaticn du-
nairedela~em expérimentale de Sangalkam, à 30 kilomètres deDakar,
Cette zone comporte une strate herbacée gmminéenne assez pauvre, parserrée de
zmes buisscnneuses ou arbo&s (photos), pr&édemnt inventoriées cl), dont une
ampcxition moyenne estprésent&en annexe.
l/ - Frélèvemnts
: Le principe de la r&thode est de laisser choisir, cueil-
'=Ï@*
lir et avaler par
amW.,enliberté totale dans le paurage, les différents
alimnts quqil a à sa disposition, puis à les r&.&er awnt qu'ils ne soient
di@&.
Sur ce principe existe déjà la technique dite de la "fistule oescphs
gienne" dam lquelle le bol alimntaire est dévié vexs une poche externe axole~
à la goutti&e oesophagienne.
Si cette &thode est valablepurde faibles quanti.1
d'aliments, ingurgités à lsét&le ou au p&, elle ne l'est plus dans le cas des
grandes quantités de pâturage naturel grossier avalés enbrousse. En outre la fit
tule est elle-mêm ted-iniquemmt difficile et lcx-kceue à placer, et le sac à prélè-
vemnt g&e l'animl dans ses d6placements, ouest arrwhé.
C'est pourquoi mus avens pl-éf&é c+rer selon une rrÉ?thcde différent
qui cmsiste à vidertotàlenent (à la min> la parse de lqaniml, laisser ce der
nier débuter un repas nomal, et &.cupérer (toujours à la main) les élén-mts de
ce repas avant leur digestion.
Simulttalément un échantillm dupâturage sppété est récolté à la
mainparl'expérinsntateur.
. En pratique : Après p1Lsieurs essais p~liminaires lqopératicn que
F
rots avons ermute ripetee durant14 semaines cmsécutives,se dérouledelafa-
çon suivante :
l/ - vers 10 heures du patin, lqanimal est captu& et immbilisé deb
Il est alors procédé, par la fistule, à la vidange manuelle Com$ète de lapa.mE
dont le amtenu est rejeté dam un demi-fût de 100 litres. Cette vidmge est
am@te, du oardia au Aeau, et ne nécessite que 15 à 20 minutes pour unopém
teur entraîné.
2/ - le boeuf, fistule =fer&e, est x-elâ&é dans le troupeau sur le
phturap à étudier. I?&re pourunsujethabitué à ces manipulations, le repas ne
commence pas mim d'une heure ap&s la remise en liberte. Il faut donc laisser
lsaniml quatre heures libre si l'on veut recueillir un échantillon repr6sentati.
mais, au délà de ces délais prendre garde au début de la digestion microbienne -

g*erait les analyses ultérieures.
3/ - Vers 15 heures lîanimal est donc recaptur6 et l'on procède par
la fis-M-e, au pr6lèvement de tout ou partie du materie vé&al ingurgité (en
général 2 à 3 kilce de matières humides), placé. aussi-&%. en sac plastique scellé.
41 - La panse du zébu est alors r6errplie avec le contenu du dti-fû"c
qui a i&6 conserve pendant ce temps à l'abri de 19air et de la lumière,x puis
1 F aknal est rdâché.
5/ - Des étiantillons dupâturagequelYarkKL a été observé entrain
de brouter sent recueillis en sacs plastiques étiquettés et emportés pour analyse.
21 - halyses
Les analyses de llé&antillon aimi p&levé sont de deux teqs :
. Analyses visant à ét&lir la proportion de chacun des éléments cons-
tituant l'ingestat .
. fkalyses visant à établir, sépar&tent, la valeur bromatologique de
ces éléments, qu'ils aient été recueillis par le boeuf fistulé ou
par l'expérimentateur.
2/1 - ha.lyses établissant la proportion de &acun des éléments de l'inges-ti
Cette analyse se pratique sur un &hantillcn de 1 Oc0 grarrrres 16nimu.m
(poids humide) de prélèvement.
Ce dernier est tout d9abord homogénéisé kcanique-
ment, puis lavé par rinçages successifs à l'eau à traw
une &uble épaisseur
de pm. Cette opération élimine la fraction liquide du contenu stomacal, qui rrod
fierait aspect et ooiileurs des éléments in@&.
Gne paurtie aliquc&e de l'échantillon ainsi traité est placé aar; une
lcupebirocüLai&. # pour examen. Cet examen consiste en un tri minutieux, à l'aid
d'unepine histolo&ue, des différents &L&ents de l'é&antillcn. En pratique,
ces éléments peuvent tom être classés en deux caté~ries (vég6taux secs, végétau
verts), du &.ns en saiscn sèche. La seconde catégorie peut elle-même être subdiv
sée en quatre sous-gro*es : repusses d'herbes vertes, ti@s de lianes, feuilles
et fruits ou graines (ces trois derniers constituant le ($âturaF aériens'). Dans
tous les cas, un purcent= exact de chacun des mmpcsants peu&être établi, en
prenant came base les poids secs déteLrnin& après &ssication/ etuve ventil& à
800.
2/2 - Analyses hromatalopiques
Ces analyses sont conduites selon les techniques ckssiques décrites
pour d'autres travaux (1). Elles intéressent :
. 'Le p&lkvement effectué dans le runs?n, analysé glcbalement : il est
. . ./ . . .
x L9expéMence en laboratoire pr)auve que, dars ces ccnditicns, ni la microflore,
ni la microfaune ne sont sérieusement alterées parleur séjour extérieur (1).
x WILD, grossissement x G ou x 12, éclairage latéral.

4
en Cffet irrpossible de disposer d'une quantité suffïsmte, séparée, de chacrm des
élérrents .
Le p&lèvemmt '~parallèle" effectué le Gm jour par l~expérimnta-
teur sur les'éléments des p2rturages appétés parle bceuf. Dam ce ms , il devient
pcssible de disgxxer, s$xx&ent, 'de- ces différents ékents en quantités néces.
saires à l'analyse (cftableau 2 et annexe>.
ESUITATS
Les résüLtats sont exposés dam l'ordre oÙ1'm-t été les m@thodes
ayantpemis de les ét&lir :
l/ - ploportions des différents élérrents de l'ingestat
Ces pmgmticns sont rapportées dam le tableaul, et expri&es direc
terrent en pourcent~ de chacun des élémmts. Elles cnt été établies sur des
échantillons pesant en myenne, 8.416 millipmes hatière sèhe).
.., / . . .

5
TPBLEAU l'?' 1 : Proportions (p.100) des différerks &Grents de i'ingestat
1
V E G E T A U X
V E R T S
Dates des
Vég;étaux
Rqmsses l-
P A T U R A G E
A E R I E N
prél.èvfmznt
secs
herba&es
L;ies
Feuilles
Fruitsou
graines
Sub.totai
12/3/1976
96,8
0,96
1,28
0,64
l
f
0,32
2,24
19/3/1976
96,7
1,32
c,99
0,66
0,33
1,98
/
/
I
3/4/1976
91,6
0,84
1,68
0,84
5,01-r
7,56
9/4/1976
84,24
4,73
4,73
3,15
3,lS
11,03
l
16/4/1976
45,24
5,47
5,47
10,95
32,87
49,29
23/4/1976
49,54
25,24
15,14
5,04
5,04
25,22
30/4/1976
72,3
16,62
2,77
5,54
2,77
11,08
I
7/5/1976
68,8
15,6
3,12
9,36
3,12
15,6
1
14/5/1976
97,4%
1,25
1,@2
0,25
0
1,27
22/5/1976
35,9
6,41
19,23
19,23
19,23
57,69
29/5/1976
38,48
0
6,15
36,91
18,46
61,52
l
4/6/1976
56,68
4,33
4,33
4,33
30,33
38,99
11/6/1976
69,6
6,14
9,23
9,23
6,14
24,6
18/6/1976
51
479
938
44,l
/
998
24,s
68,lE %
M0yeI-W
6,7 %
6,@6 %
8,28 8
10,8 %
25,12 %
+ 12,9
+ 4,2
+ 3,l
+ 5,6
+ 6,7
-
+ 1221

6
TABLEAU I\\ra 2 : Analyse bromtologique corpar6e du pr6l&wrenttotal fait par
le bœuf fistudé (P.T.F.) et du prélèwmnt fait par l'expéri-
mwtateur soit SLL~ la strate herbacée tS.H.1 soit sw le pâtu-
rage &rien (F.A.1
A N A L Y S E
BROMATOLOGIQUE
k?igine
&ti&s
Ma-ti&es Insoluble
Date
du
sèCihes de T?&i+res
Matikes Matière Pmtéi-
chlorl-ly-
Prélèm-
l'éhan-
-
Grasses
CellriLosiq.~~ bru- drique
FhcsphoreCakium
(1976 mmt
tillon
Minérales
C$LE?S
tes
S.H.
940,7
93,l
15,3
428,3
35,8
64,4
1,05
432
12/3
P.A.
936
58,5
27
251,2
83,8
17,3
3,78
8,4
I
P.T.F. ' 921
go,7
15
448,l
50,l
26,7
4>34
5,25
s .H.
913
96,4
17
413,7
42,6
63,3
1,12
4,19
2/4
P.A.
922,6
52,2
25,2
283
90,l
14
1,58
5
P.T.F.
904,4
117
16
377,3
54,2
72,4
2,68
7,76
S.H.
926,8
238,7
13
357,4
61,&
201,s
1 $1
3,93
9/4
P.A.
93533
60,7
23,2
223.,4
88,7
19
1976
5,61
P.T.F.
945
8 9
17
441,4
57,5
39
4,2
732
S.H.
925,9
125,'p
21
I
396,7
54,4
106,2
1,46
3,87
715
P.P..
938,4
52,l
34,9
281,9
90,8
12,9
1,55
6,53
P.T.F.
929,7
60,7
22,7
510,9
52,l
29,5
232
4,19
S.H.
925,8
103,l
19
415,6
43,3
84,4
0,96
3,53
21/5
P .A.
918,6
56,7
29
323,9
89,4
11,8
136
6,41
j
P.T.F.
901,4
74,l
33,8
370,7
88,6
18,5
3,17
$68
S.H.
916,5
96,7
19,9
373,4
39,Q
61,9
1,02
3,34
28/E
P.A.
917 ?7
56,2
29,6
250,7
57,5
13,3
1,62
6,73
P.T.F.
915,3
70
18,5
395,2
70,9
11,9
5 $5
4,61
S.H.
914,3
129,2
18,5
3ô1,5
35
88,9
099
3,42
P.A.
908,4
47,9
31,7
207,7
57,4
921
1,51
5,08
P.T.F.
900,s
77,3
25,3
390,7
47,3
15
448
3,75
.-_-.__l.-
I
. _.e.. . . . .
-.
.,
.
_.
-....
. . .

7
2/ - Analyses brormtologiques
Leurs r&ultats sont exposés au tableau no 2. Afin de pe une
c~araison directe des kultats de chacune des 8 analyses effectuées sur 8 se-
mines, œs derniers sont re~upic; en :
l- Xkultats concernant l'échantillon de strate herbacée ("S.E.")
prélevé sur le pâtumge par l'expérimntateur, au vu des espèces
appétées par le boeuf.
2 - Résultats concernant l'écharkillon de pâturage a&ien ("P.A.")
p&levé dans les r&-es conditions.
3 - Résultats mncernant l'échatiillon rGcupér6 dars le rumen du
boeuf fis-tulé, analysé dans sa totalité (V.T.F."),
DISCUSSIOPJ - COIJUION
La technique dC6tude de la com&sition du pâturage naturel ccnsom&
par les bovins paraît dcnc relativement facile à mttre en oeuvre, à condition de
dispcser d'un bceuf fis'cülé habitué aux manipulaticm. La s6paration ultérieure
sms la loupe des differents copcsants ingk6.s est aussi relativement aisée,
dvautant plus que lîobservateur y aura acquis un certain entr~nemznt ou que la
séparation réalisée sera mins discriminante.
Elle est, bien entendu, susceptible
dV&lioration COME lscnt été des techniques similaires courament utilisées en
zcolopie .
ks rkmltats pr&Litinaires obtenus par cette technique, en trois moi
de saiscn S&e au Sképal, scmt particüLi&emnt d&onstratifs. On constatera,
à la lecture des deux tableaux, un certain rmrbre de faits :
1 - Il existe, pour un I-&IE sniml, de très imortantes variaticns
joumali&es dans la corrpositicm du pâtura~ naturel in&&. Ainsi un jour le
repas du bœuf fistül.é étaitcm&.t& à plus de 20 % de frui-ts de "Ficus*~~îv~
liautre jour de m.anli;ues vertes : l'animal exploite a fond 1'occasi.c~ se pré-
sente "d'arkliorer 190rdinaire~'.
2 - La som de ces variations journalières semble tendre à une aug-
mntation r6gül.i~~ de la proportion de pâturap aérien à mesure qu'avance la
saison S&&e : 5,7 % en mars-avril, 20,5 % er! avril-mai, 45,38 % en mi-juin...
3 - La pucrportion penne du pâ-turaF a&.i.en, observée sur trois mis
est de 25,12 p.10 (+ 12,l). On quantifie ainsi, pour la première fois, l'inpm?
tance de cette com&?ante de la nutrition des bovins tropicaux et souligne l'inté'
rêt r"ajeur de leur prise en C~I@E dans Itapp&&&imd9un pâturae naturel tm-
pical.
4 - L'analyse bromatologique confirme parfaiterrent les faits pré&-
dents : on constatera (tableau nO 2) que la valeur bmmatolopique du repas de
l'amiral (F.T.F.) est la rkultante du &lan~ strate herbacée + pâturage aériens
œ dernier ccmpensant sérieuserrent la pauvreté de la strate herbacée en certains
éléments,en particulier les patières protéiques (x1.

a
A N N E X E
COWOSITION IOYEWE IX PATUVGE 1?A-
-/
1 - STRATE HERBACEX
. Espèces dominantes :
Erafmstics trmula - Aristida mxtabilis.
Chcf-xus biflorms - Dih$kpogcm Hagerupii...
l3c...
. Imposition brorratologique : @bale prkentée au tableau no 2
. Espèces dorkrmrrtes :
Parrinari. macmphyla
- Wmtigma reticulatum - Pcacia àlbida
Ficus SP., - Chrys&ol.anm otiicularis -1 Lantanacarmra-
Chiera senegalensis - Mmordica balsmina etc...
e
cOmpcx;itim brmatolo&ue @obale I pr$sentée au tableau no 2
e
Cixpcsitim bmmatologiq,w des &hents dxiinan-ts J analysés durant le mis de
juin 1976 :

A KALYS E
B F.OMATO L,OGI Q UF;
ELXXENIS
fatikes
latikes
PNALYSES
èches de
mt6iqu~ h-E oluble
'échan-
!ati ères
!atièn5s
?atihs
bmtes
Z!lld-l@Ei
'hosphoxx hlciurrl
illon
Enérales ;rasses
X?llUlO-
siques
que
chrysoBàLatlu
957,4
65,5
o&icüLatis
270,9
66,8
35,5
1,15
6,24
1_-,
-
aliera
Senegalensis
351,3
86,6
14,2
195
7,76
Lantana
cmara
956,3
118,7
35,5
247,l
107,8
52,4
1,97
14,16
-w
.$om&ia
125,î
balsamina
15,s
412,5
31,9
2,04
7,91
k&-mr.i
macrophyla
33,6
58,l
285,4
45,a
0,89
3,22
-w-
Pilostigm
reticulatum
893,3
37,4
30,a
221,5
63,5
1,25
5,28
-
-
-
Picus sp.
945,3
7 1
83,6
295,6
79,l
10,3
2,22
5,91 i
1
Acacia
24
1,63
albida
938,6
43,4
281,8
93,3
1,s
3,98 /
1
Une r&htie d'étude du &tura~ naturel rkllemnt aman& par les
bovins tropicaux a été pise su point. Elle Lest- basée sur l'er@oi d'un hceuf fis.
tulé dont le rw-en est ~r&L&lerrent vi.&, pemettant de recueillir ensuite uri
échantil.lon, fmis9du 33+35 naturel. Cet ~c3mntillcn sutiit une sr.aJrse bmmatolo
,nique est un excaren 0Dtique. Les rkultats concordants de ces deux analyses ont
mntti qu'en skon s"&che, au ct6n+al, un zébu. pouvait inp6Rr en rroyenne
25 p.100 de pStura,Fe a.érien.