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PROBLEMES D9ACYTUALïTE I.)QE KGiXF LXS MALADIES KtCROFIE?~~ES DANS
t
L
M. DOUTRE, Docteur vkt&inaire,
Chef du Service de Bact&iologie,
Laboratoire national de 1'Elevage et de Recherches
.
v6térinrires - I.E.M.V.T. r4 DAKAR
J, ORUB, Docteur vétérinaire, Directeur du Laboratoire national
_-
de lFElevage et de Recherches vétérinaires .'
I,E,M,V.T, .-, DAK4R
La péripneumcnie contagieuse des bovid& est une affection qui revêt une
importance économique considérable. Les pertes qu'elle provoque tiennent à. ses taux
&Levés de mortalité et de morbidité et aux entraves apportges dans la commerciali-
sation du bétail et dans le ?zvel.or--_,+ment de la traction animale.
w
De gran% progrès ont ktii réalisés au cours des dernikes années dans la
connaissance de la maladie: néanmoins de nombreux problèmes demeurent encore à ré-
I
soudre.
L
La sérologie a Gté appliquée sous ses différentes formes au dépistage des
malades et des porteurs chroniques avec des résultats divers.
L'agent causal Mycoplacna mycoides-? a fait l?objet APétudes nombreuses,
Les recherches effectu6es
--'--Y
sur sa biologie ont permis la mise au point de milieux qui
favorisent l'obtention de cultures denses où les m.icroi'.:-t;anismes survivent pendant
un temps suffisant. Les récentes am6liorations enregistrées dans ce domaine sont
directement responsables de l'accroissomcnt des qualités antigéniques des vaccins,
La constitution intime du germe n'est connue quvincompl&ement~et
l'iso.?
lement de la fracticn protéique reste à &aliser. Il en va de même de l'isolement
de l'endotoxine. Le rôle eventuel que cette substance peut jouer dans le pouvoir
pathogène n'a pas encore é-G? mis en évidence.
.
Les connaissances concernant la pathogénie et l'étiopathogénie ont Été
largement approfondies, La reproduction expérimentale de la maladie n'offre plus de
difficultés, ce qui permet de réaliser des tests dvimmunité d'une valeur indiscutable.
9
Mais ce sont les travaux lies ?Y, 1"immunisation des animaux et à lvobten.>
*
tion de vaccins efficaces qui ont suscité les plus nombreuses recherches. En effet,
dans les conditions pr&alant en Afrique tropicale, la prophylaxie sanitaire demeure
i
d'application irrgalisable et seule la vaccination intensive constitue un moyen de
x
lutte réaliste.
I
f
*o / 00

2
Les vaccins tues se sont r6vélés inefficaces ou d’une difficulté de prépa
ration dépassant les possibilités mat6rielles actuelles.
Le problème des vaccins vivants est compliqué par les mauvaises qualités
antigéniques de M.mycoides,
l’instabilit6 des souches et les différences de sensi-
bilité qu’offrent les races bovines, L’eaploi de produits lyophilisés a permis dqa-
méliorer considérablement le temps de conservation,
Actuellement 3 plusieurs souche,0 vaccinales (vaccins vivants atténués 9
sinon avirulents) ont déjà servi 2 des programmes de vaccination systématique sur
le continent africain* Il reste donc à choisir la plus appropriée pour son emploi
. ..
dans d ’ ~vcntuelles csmpagnes de vaccination inter-&ats c
.

Si Ccrt;li;lC:: J&j-Fj,(J.icL> ‘j.i(J~-~~~~icnnes comix la septicemie h6morragique, le
charbon bactéridien, le charbon syÏ?ptc,ii.zLique, les sak3onclloses, etc... n'offrent
plus de répercussions 6ccn~~iques im~o:%antes, o,~âce & Ilefficacité des mesures de
prophylaxie médicale prises 2 T~êu.1' LICORNE, il en va tout autrement de diverses
autres affecticns. Parmi ces dernikes, se range en toute première position la péri=
pneumonie contagieuse des bcvid6s, puis viei,nent la skeptothricose et la nocardiose.
De grands progr?s ont 2% r&lisés au cours des dernières années dans la
connaissance de la maladie, i&nxioins 9 il est hors de doute que de nombreux points
restent % 6lucid.z.
Les différentes méthodes s&ologiqu?s
(agglu-tination sur lame et en tube,
hdmagglutination iiidirecte,
agqlntination indirecte de yarticules de latex, précipi.c.2
to,-diffusion en &osc- précipitation,
d6viation du complément sous ZYifférentes for-3
mes et tout r6comment uilergie) ont ét6 appliquges au diagnostic des malades et au
dépistage des porteurs chroniq-ues avec un suc&% in6gal. En particulier, l*agglutina-
.
tion sur lame donnz lieu 2 de fawses r&ctions positives et la déviation du compl&
ment ne décèle pas tous les c.~nina~~~ ::tirteurs de lésiox.
d
La tcchniyue des anticorps fluorescents ect à considérer davantage corne
une méthode immunolo$qur que came ~1 instrument de diagnostic.
En ce qui conce2ue l'agent causal, Pyconlasma mvcoides. la biologie et les
^---
besoins nutritifs ont 6t6 tek p?:tic.slièrement étudiés et des milieux de culture
mis au point pour assu- ey 1 v cb.t,cü-t, <or! de cultures denses oi2 le microorganisme survit
pendant un temps suffisamment long.
Au regard de l'kirrunisztion , lvanaiyse fondamentale est incompl&te. Si
l*isolement de la fraction li~opolycsidique
et du galwtane a Été réalisé, il en va
tout autrement de celle des éléments prot6iques. Le r8le de ces fractions dans lQélacm
boration des divers anticorps reste 2 préciser,
Si 1 9 existwce c?vuile ei~&toXine sable avoir été mise en évidence, son iso-
.
lement n'a pas , jur,uqit3, ce jour, été effectué, De &'me le rôle que cette substance
peut jouer dans le pouvoir yatho$;ie de ~.!ycoplnsma mvcoides
-Y_
demeure inconnu.
.
L:analyse antiq$.ique des souches et &e:rtuellement l"~tc.blissement sur des
critères biochimiques d7nn .:A-s-&le de classification pourrait faire l'objet d'une
étude spécialisée,
Les domaines de la pathogénie et de l'dtiopathogénie ont Et6 largement
approfondis. De m&e, la reproduction expérimentale de la maladie s'effectue d&ormais
.
avec facilité.

2
Les travaux concernant l'obtention de vaccins valables ont é-t6 les plus
abondants. En effet, dans les conditions prévalant en F.frique tropicale, In prophy..7
laxie sanitaire demeure ü'application pratiquement irréalisable, sauf exception rare
et très locale. Devant les difficult& rencontrées, la vaccination constitue le pal-.>
liatif nécessaire. Il est logique de supposer que stile recours à la prophylaxie
m&G.cale pendant ui2 te5iPs suîfisank, sur des territoires étendus 3 peut pernettrc de
vaincre ou tout au moins de p?atiquoment Eliminer la maladie. C'est à ce que devrait
tendre une campafine conjointe inter,-états,
.
Les vaccins tugs se sont r&&l& inefficaces ou d'une difficulté de pr6pa=
ration depassant les possibilit6m r3 pratiques actuelles (vaccin tuf5 avec antigène de
Freud et adjuvaiit huileux).,
-c
Le probke des vaccins vivants est rendu difficile Tar les mauvaises qua-
lités antigéniques de !!ycoplasma rzycoides et par l'instabilit6 des souches dont la
virulence décroit dans le tergks, au fuL et à mesure de leur utilisation, Les diffé.,
rentes de sensibilitg des races bovines (asbus ou taurins) font que l'on enregistre
des réactions vaccinales nulles ou d'intensité variée suivant les lieux d'utilisation.
L'em$oi de produits lyophilisés a pemis d"an&iorer considérablement le temps de
conservation.
Actuelleneilt, le Labomtcire de Dakar dispose d'un certain ncmbre de souches
vaccinales de Mycoplasnia mycoides que l'on peut classe dans l'ordre de virulence crois-=
sante : KH3J (totaleiYlent avirulente), souches T et souche Dr (isolée et atténu6e %
Dakar, qui conserve u3e virtiencre certaine).
1
t
Les vaccins antip&ipnecnoniques
peuvent être présentés sous deux formes :
'3 vaccins liquides : en ampoules scell6es ou en flacons, de conservation limitée à
d
quelques semaines (souches KH$, Tl et DK),
:-# vaccins lyophilis& : en flacons t-ype pénicilline, que l'on peut conserver au congé-
lateur pendant plu5 d'un an.
La lyophilisation peut porter soit sur une culture en bouillon de la souche
vaccinale à lPaide d"un diluant ap?roPrié (KH3JY Tl et DK), soit sur une culture de
Mycoplasme dans lPoeuf (m-o-vaccin T3),
Compte tenu des difficult6s de conservation, une mmpaqne de vaccination
massive et étendue ne peut utiliser qu'un produit lyophilisé. Il nous paraît diffi-
cile de retenir l'ovo=vaccin pour we action pronhylactique importante, ne serait-ce
qu"en raison des difficult& techniques de sa pr6paration.
Pratiquement,
seul peut être envisagé l'emploi d'un vaccin de culture en
bouillon lyophilisé dans des conditions telles, que la arésence du nombre d"unitês
viables minirmm par d.ose vaccinale soit assurée (10' unités viables par ml).
Il reste à dE$oïTlir.:Y
quelle souche vaccinale doit être utilisée dans
l?Ouest-Africain. CO-te tenu de l'expérience acquise par le Laboratoire de Dakar,
la souche DIT et lPovo,vaccin T3 offrent une virulence trop grande pour les races sen-
sibles (taurins). Aussi, est-il permis de retenir 1 emploi des souches att&mées de
type KH$ on Tl.
z
o* / o*

Un projet de travail a Eté 6laborg en vue d'un financement extkrieur, Il
.
comporte deux points essentiels :
l"/ L'i%ude expérimentale de la valeur compar6e de l'immunit6 conférée par les va%,
tins lyophilis&, préparés à partir des souches vaccinales de type KI?3J et T10
Ce probl$me s'inscrit dans les recommandations de l-2 ConfCrence des Experts de
la Pkipneumonie bovine tenue à Khartoum en février 1967'.
*
2O/ Les moyens à mettre en oeuvre pour assurer la production annuelle d'environ
3.000.000 de doses du vaccin retenu, destinées R permettre l'application d'une
campagnes d'immunisation dans les Etats de l'Afrique francophone de l'Ouest,
-e.
En résut&, nos connaissances en matière de péripneumonie bovine peuvent
être améliorées dans les domaines suivants :
'.a détection sérologique des porteurs chroniques,
- constitution antigénique, isolement de la fraction protéique et de l'endotoxine,
L., immunisation.
STREPTOTHRICOSE
Les données scientifiques que nous possédons sur la StreptOthriCOSe sont
s
relativement abondantes: par contre, nos moyens d?action sur cette affection, cause de
pertes économiques importantes, sont pratiquement inexistants,
I
L'étude bactériologique de l'agent causal germatophilus congolensis et de
sa variabilité R été effectuée nar différents auteurs, Le pouvoir anti&nique du germe
a été mis en évidence par des réactions immunologiques diverses (agglutination sur
lame, hémagglutination passive, précipitation interfaciale en milieu liquide, préci-
pitoL,4diffusion
en milieu &lifié,
d6viati.w du compl&ent, immunofluorescence),
La reproduction expérimentale de la maladie chez les animaux de laboratoire
a fait l'objet de multiples essais, il en va de même de l'étude histologique des l&-,
siens.
Les conditions climatologiques favorables à l'apparition de la maladie ont
été dégagées avec précision, mais bien que l'on reconnaisse un rôle certain joué par
les tiques et les insectes hématophages, 19%tiopatho&nie de la stre?tothricose demeure
encore bien obscure.
.
Les moyens de lutte sont Fresque inexistants. Les essais de vaccination à
l?aide d'un vaccin tué, huileux, se sont r&élés sans valeur. La chimiothérapie, jusqupà
.
ce jour, mis & part l'usage des ammonium quaternaires n7a donné que des r6sultats df,cec-
vants. L'antibiothérapie,
si l'on excepte l'association à très haute dose pénicilline
retard =. dihydrostreptomycine,
n'a pas apport6 de solutions radicales. Seul le recours
répété aux bains détiqueurs, à base dvacaricide et d'ommunium quaternaire, exerce une
3
action prophylactique certaine.

4
En réswé, en matière de stre-tothricose, les recherches doivent avant
c
tout Forter sur :
.= l'&io,nathog&ie,
- la prophylaxie,
- le traitenw-it.
1
î?I;OCARDIOSE DES BOVIDES
*.
La nocardiose des bovidés ne grésente pas l'izportancc des deux affections
préc%dennent citees, car cette maladie, beaucour, rroins répanduej ne provoque aucune
mortalité du bétail. Mise à part la forme cuta&e,
la découv ate des lésions .1 qui
peuvent prêter 8 confusion avec celles dûes à la tuberculose w= r&ulte le plus sou,
vent de l'exsznen des carcasses, et les pertes isconomiques enregistrées proviennent
des saisies que l'inspecteur d'abattoir est amené à exécuter.
Les connaissances que nous possédons sur le farcin sont très fragentaires
et les moyens d'action inexistants.
Des enquêtes sur la présence et l'importance de la nocardiosc bovine ont
été effectuées dans différents pays : SFkégal, Tchad, Soudan et Sonalie.
L'agent pathogène, Nocardia farcinica, a fait l'objet d'études diverses,
La position systématique du germe donne encore lieu à discussion, sa structure antiL-
g6nique est na1 connue; existe..,t-ail une espèce unique ou des variétés?
3
Les travaux à exécuter restent entiers dans les domaines touchant la patho-
génie, l'étiopathogénie et la rewoduction expérimentale de la Ealadie. La physiolo%-
gie et l'irzmunologie de ?,farcinica sont incconues, De même, nous ignorons s'il y a
toxinogénèse et s'il y a production d'allergènes, avec possibilité d'utiliser une
réaction allergique pour le déFistage des ccntankiés et des malades,
La confusion avec la tuberculose, par réaction croisée, est un écueil connu
mais il n'existe pas de test spécifique. L'obtention d'une "farcinine" est-elle à
envisager? Autant de points qui deneurent à préciser,
Enfin les mesures de prophylaxie et de traitement sont totalement inexis
tantes.

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