Revue Sénégalaise des Recherches Agricoles et...
Revue Sénégalaise des Recherches Agricoles et Halieutiques - Vol. 4 - no 1,1992
INFLUENCE DES FACTEURS DE L’ENVIRONNEMENT
SUR LA CROISSANCE AVANT SEVRAGE
DES MOUTONS PEUL (SENEGAL)
R. S. SOW(“, P. K. ABASSA”, L. GARBA@).
K. NDIAYEc3) et A. DOUCOURE(3)
Direction des Recherches sur la Santé et les Produclions Animales
(‘) Chercheur de I’ISRA
~1 Commission Economique pour L’Afrique, Addis-Abeba (Ethiopie)
c3) Techniciens de I’ISRA
(4) E.I.S.M.V. de Dakar
RESUME
Les auteurs ont analyse la croissance de 317 agneaux peu1 de la naissance à 4 mois.
Poids et croîts joumalicrs sont sous I’inlluence de facteurs comme l’année, la saison,
le sexe, lc type dc naissance et le rang de mise bas.
A la naissance, les agneaux peu1 pcscnt 3,0 kg. A 1 mois, 3 mois et 4 mois les poids
atteignent respectivement
7,8 kg, 10,8 kg ct 12,2 kg. Le croît journalier qui est 147 g
entre la naissance ct 30 jours, chute à 54 g entre 30 et 120 jours.
Mots clés : Croissance, poids vif, GMQ, mouton, pcul, environnement, Sénégal,
Tropique.

INFLUENCE OF ENVIRONMENTAL FACTORS
ON THE GROWTH BEF0R.E WEANING
OF SHEEPS “PEUL” (SENEGAL)
SUMRIARY
Authors analysed the growth of 317 lambs “peul” from birth to 4 months. Daily
weights and increases are under influence of factors Iike year, season, sex, type of bîrth
and dropping.
At the birth, lambs “pet.# weigh 3 kg. At one, three and four months, the weights
mach 7.8, 10.8 and 12.2 kg respectively. The daily increase which is 147 g between the
birth and 30 days fa11 until 54 g between 30 and 120 days.
Key words : Growth - Live weight - Daily means increases - Sheep - Peu1 -
Senegal - Tropique.

3
INTRODUCTION
Au Sénégal, les Petits Ruminants contribuent pour un quart à la satisfaction des
besoins en viande des populations. L’importance du tonnage abattu et le rôle tampon joué
au niveau du marché de la viande expliquent l’intérêt grandissant accordé aux Petits Rumi-
nant (1). Le mouton joue également un rôle socio-culturel (fêtes religieuses, sacrifices...).
Cependant, dans son ensemble le cheptel national a une faible productivité (Source:
Direction de IlElevage) ce qui amène le pays à importer des animaux sur pieds à l’ap-
proche de la fête du mouton.
Depuis 1975 une politique d’amélioration des ovins basée sur l’alimentation, la repro-
duction et la génétique a été instaurée avec la mise en place dune bergerie au CRZ de
Dahra. Ainsi, en 1980 un schéma de sélection a été élaboré (2). L’objet est de déceler
les meilleurs individus mâles et femelles sur le plan croissance et reproduction. L’évaluation
génétique des candidats à la sélection suppose au préalable l’identification et la correction
des facteurs de I’environncmcnt qui influencent la croissance. En Afrique, plusieurs travaux
de ce genre ont été effectués (6, 8, 17). Les données sur l’évolution pondérale du mouton
Peu1 Sénégalais ont fait l’objet dune telle étude (10) dont nous présentons ici les prin-
cipaux résultats.
MATERIEL ET METHODES
Le milieu d’étude et les animaux
Il s’agit du Centre dc Recherches Zootechniques de Dahra situé en zone sylvopas-
torale du SenCgal. La région présente un climat tropical sec marqué par deux saisons
nettement distinctes : une longue saison skhe de 9 mois s’étalant d’octobre à juin et une
saison des pluies ou hivernage de 3 mois (juillet à septembre).
Traditionncllcmcnt les Pculs divisent l’année en 5 saisons :
+ hivcmagc ou saison des pluies :
juillet à septembre
+ saison des récoltes ou post-hivernage : octobre
+ saison sèche froide :
novembre à février
+ saison sèche chaude :
mars à mai
+ pré-hivernage :
juin
La végctation est une steppe à épineux. Elle est très liée au type de sol et à la plu-
viomctrie.
Le mouton Ic plus rcpréscnté dans la zone est le mouton Peul. C’est un animal à
robe bicolore noir (ou roux) ct blanc. La partie antérieure est toujours la partie colorée.
La femelle a une aptitude laitière faible (7). Le mâle est un bon animal de boucherie qui
s’engraisse facilement. La race est réputée pour sa rusticité (7).
Conduite du troupeau
Les animaux sont conduits au pâturage la journée (9 à 17 heures) ce qui est insuf-
fisant. C’est pourquoi ils reçoivent au retour suivant la saison et leur stade physio-
logique une alimentation complcmentaire et des minéraux. ,

4
L’abreuvement est à volonté. Les luttes qui durent un mois, sont annuelles et se déroulent
en lots, d’avril à mai - juin préférentiellement, après un mois d’alimentation intensive.
Dès l’âge de 30 jours les agneaux ont accès à une alimentation solide (paille d’arachide).
Le troupeau est vacciné contre la peste des petits ruminants, la pasteurellose, le botu-
lisme et la clavelée. Avant et après les pluies il subit un déparasitage interne.
Enregistrement des performances individuelles
Dès la naissance les animaux rqoivent une identification individuelle qui permet le
suivi et l’enregistrement dc leurs performances.
Les agneaux sont pcsCs tous les 20 jours à partir de la date de naissance du premier
individu. Les poids et dates de pesée permettent de calculer les poids à âge type par inter-
polation 1inCairc. A 4 mois les agneaux sont sevrés ct pesés.
Ces informations sont rcportécs sur des lïches indiquant :
+ I’asccndancc patcrnclle ct matcmelle
+ la date dc naissance
+ le sexe
+ le type de naissance
+ le rang d’agnelage
+ le poids à la naissance, à un, trois et quatre mois et les gains quotidiens (GMQ)
entre O-30 et 30-120 jours.
Les données sont analysCes par la méthode des moindres carrés (11). Le modèle d’ana-
lyse de variante à effets fixes est le suivant :
Yijiklmn = U + Ai + Mj + Sk + Tl + Cm + Eijkmn
+ U est l’effet fixe commun à toutes les variables.
+ Ai est I’effct de l’année de naissance de l’agneau
+ Mj est l’effet de la saison de naissance
+ Sk est l’effet du sexe
+ TI est l’effet du type de naissance
+ Cm est I’effct du rang d’agnelage dc la mère de l’agneau
+ Eijklmn rcpréscnte Ics effets résiduels alkatoires.
RESULTATS
Au tableau 1 figurent les rCsultats de l’analyse de variante effectuée sur les variables
poids à âge type dc la naissance au sevrage (4 mois).
Le tableau 2 indique Ics rbsultats de l’analyse de variante sur les gains moyens
quotidiens.
Les moyennes estimées par la méthode des moindres carrés pour les poids à âge
type et Ics GMQ figurcm rcspeclivement aux tableaux 3 et 4.
L’année dc naissance a un cffct significatif sur les poids et les croîts journaliers. La
saison de naissance, qui influence les gains el le poids de naissance, n’entraîne plus d’effet
sur les poids à un, trois et quatre mois.

5
La supériorité des mâles est significative de la naissance à 120 jours. Cependant les
croîts journaliers ne sont significativement différents entre les 2 sexes qu’au delà de l’âge
d’un mois.
Les agneaux nés simples sont toujours plus lourds que les doublons @ < 0,Ol).
Cependant la différence de GMQ s’atténue au delà de 1 mois @ c 0,OS).
L’influence significative du rang de mise bas de la mere ne s’observe pas sur le poids
à un mois et le GMQ O-30 jours.
Les croîts 30-120 jours sont faibles comparés aux croîts O-30 jours (différence de
63%).
DISCUSSION
D’une manière générale les poids obtenus dans l’étude sont supérieurs à ceux de la
période 19751979 (15). Cette amélioration résulte d’une meilleure gestion du troupeau
accompagnée .d’un retour progressif des pluies à la normale. Ainsi le facteur année de
naissance est très significatif et ce sont tes animaux nés en 1984 et 1985 qui sont les plus
performants.
La croissance des jeunes de la naissance au sevrage n’est que le reflet de leur condition
d’cntrcticn (allaitement, alimentation du produit et de la mère) et du poids à la naissance.
II existe une relation entre la production laitière des brebis (quantité de lait consommé
par l’agneau) ct la croissance du produit (4, 13). S’il est établi que le disponible alimen-
taire influence le niveau de production laitière (14), la brebis Peu1 néanmoins, comme
beaucoup dc races uopicalcs (3), a une aptitude laitière faible. Néanmoins les GMQ
estimes par la méthode des moindres carrés (147 g/j) suggèrent qu’il y a assez de lait
pendant un mois seulement. Au delà de cet âge on note une chute spectaculaire du croît
(54 g/j).
Du fait de la programmation des luttes, 87% des naissances ont lieu en saison des
récoltes (octobre). Les naissances de saison sèche sont rares et sont essentiellement à l’actif
d’agncllcs en première lutte, aux performances faibles. L’effet de la saison de naissance
est nul sur les poids à partir dc l’âge d’un mois et sur les GMQ. Ce résultat est contraire
à celui trouvé sur la memc race en station (15) et en milieu éleveur (9) et sur moutons
Djallonké (8). Cette absence d’effet significatif de la saison serait due au déséquilibre
prononcé des effectifs entre saisons de naissance. Ainsi, compte tenu des erreurs types
des moyennes saisonnières les tests ont pu ne pas être significatifs. Les moyennes de poids
en fonction de la saison (tableau 3) apparaissent différentes. Le modèle d’analyse utilise
n’a certainement pas permis de positionner tous les effets estimables.
La supériorité des mâles sur les femelles passe de 6% à la naissance à 11% à 4 mois
(+1,3 kg). Lorsque tes jeunes dépendent étroitement de la mère (naissance à un mois) on
ne note pas de differcnce significative de croît entre les 2 sexes. Sous la mère, les mâles
sont donc dans I’impossibilite d’extérioriser leur supériorité. En l’absence d’une alimen-
tation corrcctc à partir de l’âge d’un mois les mâles ont la même vitesse de croissance
que les fcmcllcs (9, 15). On a là un exemple d’interaction génotype-milieu.
Les agneaux nCs simples sont Ics plus lourds à tous les âges. Le mode d’allaitement
des agneaux est cependant très variable :

6
+ simple allaite simple
+ simple allaité double (adoption d’un autre agneau par la mere)
+ double allaité simple (l’autre doublon est mort ou adopté)
+ double allaité double.
La variable mode de naissance apparaît donc assez complexe si on y adjoint le mode
d’allaitement. La correction de ce facteur est rendu difficile par la taille faible et déséqui-
libr& des classes. De plus, le mCme agneau peut changer de classe avant le sevrage. Par
exemple un individu né simple et allaité simple peut partager le lait maternel avec un
adoptif quelque temps aprcs.
C’est pour contourner cet obstacle (16) que les agnelles de renouvellement de la
bergerie de Dahra sont jugées mua-classe avec des seuils d’acceptation différents.
En milieu traditionnel, du fait des phenomèncs d’adoption, l’allaitement des agneaux
répond à cette classification. Nous pensons donc qu’il faut manipuler avec prudence le
croît O-30 jours pour juger des qualites laiticres d’une brebis dans ce milieu. Ce croît tra-
duirait également la capacitc dc l’agneau à trouver le lait nécessaire à sa croissance.
Le rang d’agnclage n’a pas CU d’effet sur le poids à un mois et le croît O-30. La lactation
des brebis semble être constante quclquc soit l’âge ct le nombre de mises bas des femelles.
Un tel résultat a été relevé en Côte d’ivoire sur mouton Djallonké (12). Néanmoins,
l’adoption même partielle de produits de jeunes mères par des brebis plus laitières a-pu
occulter l’effet du rang de mise bas sur le croît. Il est courant de voir dans les troupeaux
traditionnels un agneau allaite par sa grand-mère. En station les agneaux nés de mères
agalactiques sont adoptés ou allaités artificiellement au lait de vache.
La chute spcctaculairc du gain journalier de poids après l’âge d’un mois peut être
liée à la baisse de la production laitière des mères, un mois après les mises bas et à
l’absence d’une alimentation adéquate.
Une bonne alimentation dCs Ics premiEres semaines de vie des agneaux amélio-
rerait les performances dc croissance ct aurait permis de les sevrer plus tôt. On peut citer
l’exemple d’agneaux Awassi sevré à 2 mois (6).
CONCLUSION
La préscntc Ctudc montre que l’agneau Pcul est sous la dépendance de la mère de
la naissance au scvragc. Cependant, l’alimentation lacdc des jeunes doit être complétée
par une ration adaptCe qui leur sera distribuée assez tôt. Une attention particulière ac-
cordée à l’entrcticn des femelles allaitantcs leur pcrmcttra de nourrir correctement les jeu-
nes jusqu’au scvragc. Les besoins nutritionnels des brebis suitécs doivent eue étudiées.
Compte tenu dc I’influcncc maternelle trEs forte sur la croissance des jeunes, il serait
mieux indiqué dc fixer Ic prcmicr point dc selcction des candidats au tcstagc à un âge
supérieur à 4 mois (entre 9 ct 12 mois) cc qui amcliorcrnit la précision de la prédiction
des valeurs génétiques. Cette pratique Cviterait de proccdcr cn milieu élcvcur a un sevrage
contrôlé et précoce qui risque dc buter contre un problbme dc main d’oeuvre et d’infra-
structure. Dans ce milieu, il faudra cependant veiller à ce que les individus retenus ne
disparaissent pas avant l’âge d’un an par suite de don ou de vente.

7
Tableau no 1 : Analyse de variante du poids vif de la naissance a 120 jours
CamLs moyens Carri% moyens Carrés moyens Carrés moyens
Source de variation
ddl Poidsnaissance Poidsnahnce Poids à 3 mois Poids à 4 mois
x 102
x 102
x 102
x 102
-
Année de naissance
4
436 ***
14911 **
30600 ***
24280 ***
Saison de naissance
3
98 *
620
1546
1452
Sexe
1
154 *
,1188 *
12111 ***
12569 **?.
Mode de naissance
1
422 ***
7521 **
26354 **
25199 **
Rang d’agnelage
5
464 ***
311
2331 **
2692 **
Résiduelle
305
30
256
692
815
* I-J < 0.05
** P< 0,Ol
*** P< o.ooo1
Tableau no 2 : Analyse de variante des gains moyens quotidiens
Sources de variation
ddl
Carrés moyens
Carrés moyens
GMQ O-30 Jours
GMQ 30- 120 Jours
Ann& de naissance
4
168467 **
2794 *?
Saison de naissance
3
10021 **
1343 *
Sexe
1
4292
7354 ***
Mode de naissance
1
40014 ***
1619 *
Rang d’agnelage
5
3546
1263 **
Résiduelle
302
2323
406
*
P < 0.05
**
P c 0,Ol
***
P c 0,001

8
Tableau no 3 : Moyennes estimées par la méthode des moindres carrés pour la
croissance des agneaux
Variables
Effectif
Naissance
1 mois
3 mois
4 mois
Moyenne générale
317
3,O
798
10.8
12,2
Année de naissance
1981
33
3,5’
6,5”
9,2’
10.9Lb
1982
26
3,4’
6,5’
8,9b
10,2’
1983
94
2,7bc
6,9b
9,2”
11,3b
1984
106
2,9”
9,9”
13,7’
15,2”
1985
58
2,7&
9,l’
12,6d
13,6d
Suisort de naissance
Saison sèche froide
3
3,3’
599
8-7
10,l
Saison sèche chaude
7
2,7b
896
10,2
11,9
Saison des pluies
30
2,9bc
8,6
12,2
13,4
Saison des récoltes
272
3,2”
891
11,9
13,5
Sexe
Mâles
163
3,l’
8,o”
11,4’
12,9’
Femelles
154
2,9b
7,6b
10,lb
11,6b
Mode de naissance
Simple
293
3,3”
x,7’
12,6’
14.P
Double
24
2,sb
6,P
8,9b
10,Sb
Rang d’agnelage
ler agnelage
72
2,7’
7,7
10,6’
12,@
2ème ”
90
3,l”
890
11,3b
12,9”
3ème ”
81
3,4b
7,9
11,5b
13,OM
4ème ”
35
3,4b
890
11,lM
12,5’-
Sème ”
27
2,8”
793
9,2’
10,7’
6ème N
12
2.7”
8,1
10,9*
12P
Pour une même classe, les moyennes indicées de la même lettre ne sont pas significati-
vement différentes au seuil de 5%.

9
Tableau no 4 : Moyennes estimees par la méthode des moindres carrés pour les GMQ
Variables
Effectif
GMQ O-30 ’
GMQ 30-120
r
Moyenne gCnérale
317
147
54
Anm!e de naissance
1981
33
91 I*
53 L
1982
26
96 d
40”.
1983
94
128 d
53 L
1984
106
221 b
64b
1985
58
199 =
62 b
Saison de naissance
Saison s&che froide
3
82 a
53 L
Saison sèche chaude
7
161 w
40b
Saison des pluies
30
187=
55 ac
Saison des rkoltes
277
158d
65 c
S e x e
Mâles
163
151
59 *
Femelles
154
144
49 b
Mode de naissance
Simple
293
169 L
59 ’
Double
24
125 b
50 b
Rang d’agneloge
1 er agnelage
72
155
54 aC
2ème ”
90
151
56 a
3ème ”
81
143
60 b
4ème ”
35
151
62 b
Sème ”
27
147
45 d
6ème ”
12
156
48 d
Pour une mEme classe, les moyennes indicées de la même lettre ne sont pas significati-
vement différentes au seuil de 5%.

10
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