DEP;\R Eh/IENT DE RECHERCHJ:S Sb LES...
DEP;\\R Eh/IENT DE RECHERCHJ:S
Sb
LES PRODUCTIONS ET
<,4 SANTE ANIMALsES
D.R.P.S.A.
DiK;iR
/
I.S.K.A. ----- PROJET E.S.P. .I.R.
t
II~4PPOR’I’ DE STAGE Al_J C.E.RM.
DU 6 .4U 26 FEVRIER 19
” LES SCHISTOSOhdES
DE L’HOh&fE
TECHNIQUES DE CARACTERI
PX
0 T
. DIAW
.
*
REF.
‘43 / PATE-LANM
AVRZL 93
*Sewice de Parasitologiie L.N.E.R.V. (I.S.R.A.). B.P. 2057 D
A R
. . . . .
Dans le cadre du projet E.S.P.0.I 12 “I~l~il~l~~lltlltlC iril&yC &
mn~r‘c 13 bilhxziose dans la
région de Saint-Louis” un stage a Al tfkctui: au C:‘.E.R.IWZ.S (
mey),du 6 au 26 Fevrries 1993
sur les Schistosomes de l’homme et du Mail c biologie.alzidimio~
Une plus grande attention a été portée sur les techniques tic car’n
risation des xhistosomcs :
-chronobiologie de l’émission cercarienne.
-chétotaxie des cercaires,
-polymorphisme enzymatique.
D’autres techniques : basées sur le pol~morphistne des oeuf-s
bilité mollusques-
schistosomes et l’épidémiologie, ont kti rwuzs .
Toutes ces techniques à partir des oeufs.des cerc.airçs et des ; iuites sont çoinplémentaks ct
permettent une meilleure caractérisation des schis tosomes .
Rappels des principes de base de ces techniques en faisant réfk ce aux principales publications
sur les caractkrisations des Schistosomes.
Ces techniques ont été étudiées en we de leus application da
es populations dc
schistosomes.
Mots clés :Schistosome- Cercaire- Oeui: Aloilusque-
Biologie-Isoenzymologk-Chronobiologie-Ce-
-1
LES SCHISTOSOILIFS DE L’HOXfkIE l-f?‘ DI’
ET,‘xli 8 :
TECHNIQCJES DE L~~C’7‘E:KlS..~‘l’I~)-
Dans le cadre du projet E.S.P.O.I.R.” Programme intégre de lu : contre la bilharziose dans la
région de Saint-Louis” nous avons effectué un stage au C.E. R.!v
:.S(C’entre de Recherches sur les
M&ingites et les Schistosomiases) (Niamey-Niger) du 6 au 26 1: rier 1003.
Le programme de travail était axé sur la caractérisation des 1~1
Iations de schisrnsomcs cie
l’homme et du bétail. En effet l’identification précise de ces schis
tomes pose d’imyortants
problèmes(identification au niveau des stades 1arvaires:cercaires.’
s xlultes.elr).
Il existe un grand nombre de marqueurs génétiques d’int&et CO’ 3léinenlnirc Jont l’utilisation
permet d’aboutir à une meilleure caractérisation des espÈccs de s istosomcs.
Au C.E.R.M.E.S. un certain nombre de ces marqueurs sont exl
ites tels que:
-la morphologie et la biométrie des oeufs!
-la compatibilité schistosome-mollusque:
-la chronobiologie de l’émission cercarienne,
-la chétotaxie des cercaires,
-le polymorphisme enzymatique, etc.
Durant notre stage nous nous sommes intéressé à ces technic
es de raractérisation et une
plus grande attention a été portée à celles faisant appel a In chrot 3iolorie de l’émission cercariennea
la chétotaxie des cercaires et au polymorphisme enzymatique.Dz
ce rapport nous ni‘ ferons pas un
exposé détaillé de ces techniques ,mais un bref rappel des princil 5 de base tout en se referant aux
differentes publications concernant ces caractérisations.
RAPPELS DES TECHNIQUES DE CARACTERISATIO
DES SC1 11 S’10s0-rIEI.s.
Certaines caractéristiques des schistosomes sont utilisees c rime marqueurs dans In
caractérisation des populations de schistosomes.
A)CHRONOBIOLOGIE
DE L’EMISSION CERCtWEN’NI!
L’ètude de la chronobiologie de l’émission cerckienne permet ( border les phénomcnes qui
gouvernent cette émission(rythme et quantité).l’appareil utilisé 1 .x cette approche est le
chronocercatiomètre de ThéronLes cercaires émkses pendant c que tranche horaire sont récupérées
aprés filtrationpuis colorées au lugol et comptées au microscop<
,es résultats de ces productions
cercariennes horaires permettent de mettre en évidence un pic n
:en d’émission.Ce pic est
caractéristique d’une espéce de schistosome ou d’un groupe de s
istosomes.
Ainsi les études ont montré que les schistosomes du bétail @‘ch,
2sotm Dosis et .Y. c7rmw3ni) ont
leur pic entre 8H et lOH,et que les schistosomes de l’homme (S. v3~~atihi~im et 5. ttkmsonij
emettent plus tardivement(‘pic de 10H à14E-I)
B)CHETOTAXIE DES CERCAIRES
C’est l’etude des cercaires basée sur la disposition et le nombre d led
caudales. Aprés émission des cercaires ces demieres sont imprég
s au nitrate d’argent(techniclue
décrite par Combes et al. 1976).Cette technique permet de mettrei
les papilles qui sont
caractéristiques de l’espèce.La distance de certaines papilles
permet d’établir les indices
AD et AL,et l’indice U représente le nombre de papilles caudales. es indices sont calculés sur un
minimum de 30 cercaireset les valeurs moyennes permettent de
les espéces.
Les protiines et plus particulièrement les enFines ont été freque
ent étudiks en raison du
potentiel de variabilité trés ilevi qui caractérise ces molécu1es.C
nt les méthodes analytiques qui
ont et< csploitées en paiticulier les techniques électrophorétiques,
ur étudier le polymorphisme
enzymatique des schistosomes.
La technique I.E.F(iso&lectrofocalisation) est l’une de ces techniq
.qui permet la siparation dzs
ptoréines en fonction de leur charge &ctriyue par migration d
gel de pol!:aqal~tmide i
gradient de pH .
‘I’oures les protéines contenues dans un extrait à analyser(schist
me,sporocyste,çercaire etc)
subissent la migration électrophorétique,et c!est le choix de la sol
de révklation qui permet dc
faire apparaike tel ou tel systéme enzymatique(ensemble des pr
s ayant la mîtme fonction
catah?ique.c’est 5 dire se révélant à l’aide du même substrat).L’i
étation des rkultats se fait en
fonction de la position des bandes d’activité.
.\\PPLICATION PRkTIQUE
-Utilisation des marqueurs des schistosomes
Toutes ces techniques ont éte étudiées et 1~s manipulations ont
En application de ces techniques nous avons identifié
es de schistosotne en utilisant
2 marqueurs tels que la chronobiologie de l’émission des cerca
la chétotaxie(6 mollusques
infestés expérimentalement avec 3 espéces de schistosome ont
diés). La chronobiologie de
l’imission cercarienne a été étudiée pendant 3 jours et la chéto
s cercaises établie sur un
minimum de 30 çercaires par mollusque.Les pics de l’émissio
çaires et les valeurs des indices
c.hétotasiques ont permis de séparer les schistosomes(
mi. et S. hnertlnfc,hizrnl 1.
-1nfestation expérimentale d’animaux (ovins ,caprins et souris).
Ces animaux d’expérience ont été infestés avec des cercaires de . bmis et S. çu~‘lsonrzi(~estn-
tion monospécifique et infestation mixte chez les petits ruminants
-Infestation expérimentale de mollusques avec les miraçidium
3 espèces de sçhistosome.
(Les miracidium sont obtenus à partir des féces des animaux
stés expérimentalement.)
-Etude du taux de réussite d’infestation (monospécifique et
les ovins et caprins:
-localisation des schistosomes au niveau du tube digestif
-récolte des schistosomes ,
-abondance des schistosomes(espèce et sexe),
-caractérisation des espéces suivant la forme des oe
En plus de ces études techniques ,nous avons profité de la bi
des recherches bibliographiques sur les schistosomes(bio1
REMERCIEMENTS
Xous remerçions le Directeur Général de 1’I.S.R.A. qui
Nos remerçiements et notre reconnaissance au Projet E.
“Lutte contre la bilharziose dans la
région de Saint-Louis” qui a financé ce stage .
Enfin nos remerciements vont au Docteur B. Sellin Directeur d
.E.R.M.E.S.pour nous avoir
accepté dans son centre.Nous exprimons toute notre reconnaiss
e et sympathie au Docteur Ph.
Rremond et à kfadame E.SeJlin pour nous avoir encadre duran
tre stagr;.Nous y associons tout lc
personnel technique et administratif du C.E.R.M.E.S.
REFERENCES BIBLIOGRM’HIQTJE
1.. BAYSSADE DUFOUR (CH.),CABARET (J).,NGENDAH YO( L.D.),ALB;~RE’I‘(
tJ.1.)
CARRAT (C) and CHABAUD( A.G).
Identification of Schistosornn haen1ntohitrrn.S.
hm% t7i1C1’ S.
hy multi\\:ariate analyis of
c;erc;atial pappillea indices.
International Journal for Parasitology : 1989,vol.
2-BREMOND
(PH-)
Contribution à la biologie des populations de Schistoson1es.P
A‘. nl~x~woni en <~uadeloupe.CaractCrisation
Thése de Doctorat,Académie de
Languedoc.l987,ppl-1987
3-CHASSE ( J.L) and THERON ( A).
An exemple of cirçular statistics in chronohiological studies:An
cercarial emergence rythms of S. nzunsoni cercariae.
Chronobiology International , 1988,vo1.5,N”4,pp.433-439.
kCOh4BES (CL.),BAYSSADE DUFOUR (CH). et CASS
Notes et informations sur l’imprégnation et le montage des
our l’étude chétotaxique
&Annales de Parasitologie(Paris) 1976, t.51, N03: pp 399-400.
5MOt~AHlD (A).,h4ONE (H.),ARRU (E),CHASSE (J.L.
(A.),COMBES (CL).
Analyse comparative du rythme d’émission des cercaires de
dcS. bovis(Trematoda
Schistosomidae).
Parasitologie. 1987,29,pp79-85.
6MOTJAHID
( A.),hlONE ( H).,CHAIB ( A).,and TETER
Cercatial schedding of S. bosis nnd S. hixemnt&‘ml fiom sin
and mixed infection of Rulinrrs
truncafz~.
Journal of Helminthology(l991),65, 8-14.
7-&fOUCHET( F,),THERON ( A).,BREh4OND
(PI$, SELL
E),and SELLIN ( B)..
Pattern of cercarial emergence of Schistosoma curassoni from
er and comparision with three
sympatric species of schistosomes.
J.Parasitol.,78(1),1992,pp 61-63.
S-PITCHFORD ( R.J.).
DBerences in the egg morphology and certains biological
of some African and
Middle Eastern Schistosomes,Genus Schistosoma,with Te
Hull. org mond. Sante,1965,32,105-120..
.9-PITCHFORD (R.J).and DU FOIT (J.F).
The schedding patern of three lime know Afiican Schistes
under outdoor conditions.
Annals of Tropical Medecine and Parasitolou,( 1976 j,vol. 20
-4
Il-KOSS (G.(.‘).;B.-~~‘SS,t.l)II
I)L;FOIiR ( C H ) , SOl_TT
LBARET (J.L.)
NC,EITJ~~HAYO
(LIX),C’HABA\\.rD
(A.G).
Relationships between cercarial indic.es of Schisfosum~r IIW~LJ
Senegal and the Isoenzyne Genotypes of the adults.
~4nn.Parasitol. Hum. (lomp.,1987,C;2.N”G,pp
507-515.
12-THICRON (A).
Early and laie shedding patters of Schisfosomu mur~sor~i ce
transmission to human and murina hosts.
J.Pararisitol, 198~170(5).pp.Gj2-G55.
Polyno@isme du rythme d’émission dqcercaires de Schist sema mansoni et ses relations
avec l’écologie de la transmission du parasite:
F,ïe Milieu ,1983.35.( I j,pp.23-31..
:
Sb
LES PRODUCTIONS ET
<,4 SANTE ANIMALsES
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” LES SCHISTOSOhdES
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AVRZL 93
*Sewice de Parasitologiie L.N.E.R.V. (I.S.R.A.). B.P. 2057 D
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Dans le cadre du projet E.S.P.0.I 12 “I~l~il~l~~lltlltlC iril&yC &
mn~r‘c 13 bilhxziose dans la
région de Saint-Louis” un stage a Al tfkctui: au C:‘.E.R.IWZ.S (
mey),du 6 au 26 Fevrries 1993
sur les Schistosomes de l’homme et du Mail c biologie.alzidimio~
Une plus grande attention a été portée sur les techniques tic car’n
risation des xhistosomcs :
-chronobiologie de l’émission cercarienne.
-chétotaxie des cercaires,
-polymorphisme enzymatique.
D’autres techniques : basées sur le pol~morphistne des oeuf-s
bilité mollusques-
schistosomes et l’épidémiologie, ont kti rwuzs .
Toutes ces techniques à partir des oeufs.des cerc.airçs et des ; iuites sont çoinplémentaks ct
permettent une meilleure caractérisation des schis tosomes .
Rappels des principes de base de ces techniques en faisant réfk ce aux principales publications
sur les caractkrisations des Schistosomes.
Ces techniques ont été étudiées en we de leus application da
es populations dc
schistosomes.
Mots clés :Schistosome- Cercaire- Oeui: Aloilusque-
Biologie-Isoenzymologk-Chronobiologie-Ce-
-1
LES SCHISTOSOILIFS DE L’HOXfkIE l-f?‘ DI’
ET,‘xli 8 :
TECHNIQCJES DE L~~C’7‘E:KlS..~‘l’I~)-
Dans le cadre du projet E.S.P.O.I.R.” Programme intégre de lu : contre la bilharziose dans la
région de Saint-Louis” nous avons effectué un stage au C.E. R.!v
:.S(C’entre de Recherches sur les
M&ingites et les Schistosomiases) (Niamey-Niger) du 6 au 26 1: rier 1003.
Le programme de travail était axé sur la caractérisation des 1~1
Iations de schisrnsomcs cie
l’homme et du bétail. En effet l’identification précise de ces schis
tomes pose d’imyortants
problèmes(identification au niveau des stades 1arvaires:cercaires.’
s xlultes.elr).
Il existe un grand nombre de marqueurs génétiques d’int&et CO’ 3léinenlnirc Jont l’utilisation
permet d’aboutir à une meilleure caractérisation des espÈccs de s istosomcs.
Au C.E.R.M.E.S. un certain nombre de ces marqueurs sont exl
ites tels que:
-la morphologie et la biométrie des oeufs!
-la compatibilité schistosome-mollusque:
-la chronobiologie de l’émission cercarienne,
-la chétotaxie des cercaires,
-le polymorphisme enzymatique, etc.
Durant notre stage nous nous sommes intéressé à ces technic
es de raractérisation et une
plus grande attention a été portée à celles faisant appel a In chrot 3iolorie de l’émission cercariennea
la chétotaxie des cercaires et au polymorphisme enzymatique.Dz
ce rapport nous ni‘ ferons pas un
exposé détaillé de ces techniques ,mais un bref rappel des princil 5 de base tout en se referant aux
differentes publications concernant ces caractérisations.
RAPPELS DES TECHNIQUES DE CARACTERISATIO
DES SC1 11 S’10s0-rIEI.s.
Certaines caractéristiques des schistosomes sont utilisees c rime marqueurs dans In
caractérisation des populations de schistosomes.
A)CHRONOBIOLOGIE
DE L’EMISSION CERCtWEN’NI!
L’ètude de la chronobiologie de l’émission cerckienne permet ( border les phénomcnes qui
gouvernent cette émission(rythme et quantité).l’appareil utilisé 1 .x cette approche est le
chronocercatiomètre de ThéronLes cercaires émkses pendant c que tranche horaire sont récupérées
aprés filtrationpuis colorées au lugol et comptées au microscop<
,es résultats de ces productions
cercariennes horaires permettent de mettre en évidence un pic n
:en d’émission.Ce pic est
caractéristique d’une espéce de schistosome ou d’un groupe de s
istosomes.
Ainsi les études ont montré que les schistosomes du bétail @‘ch,
2sotm Dosis et .Y. c7rmw3ni) ont
leur pic entre 8H et lOH,et que les schistosomes de l’homme (S. v3~~atihi~im et 5. ttkmsonij
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B)CHETOTAXIE DES CERCAIRES
C’est l’etude des cercaires basée sur la disposition et le nombre d led
caudales. Aprés émission des cercaires ces demieres sont imprég
s au nitrate d’argent(techniclue
décrite par Combes et al. 1976).Cette technique permet de mettrei
les papilles qui sont
caractéristiques de l’espèce.La distance de certaines papilles
permet d’établir les indices
AD et AL,et l’indice U représente le nombre de papilles caudales. es indices sont calculés sur un
minimum de 30 cercaireset les valeurs moyennes permettent de
les espéces.
Les protiines et plus particulièrement les enFines ont été freque
ent étudiks en raison du
potentiel de variabilité trés ilevi qui caractérise ces molécu1es.C
nt les méthodes analytiques qui
ont et< csploitées en paiticulier les techniques électrophorétiques,
ur étudier le polymorphisme
enzymatique des schistosomes.
La technique I.E.F(iso&lectrofocalisation) est l’une de ces techniq
.qui permet la siparation dzs
ptoréines en fonction de leur charge &ctriyue par migration d
gel de pol!:aqal~tmide i
gradient de pH .
‘I’oures les protéines contenues dans un extrait à analyser(schist
me,sporocyste,çercaire etc)
subissent la migration électrophorétique,et c!est le choix de la sol
de révklation qui permet dc
faire apparaike tel ou tel systéme enzymatique(ensemble des pr
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catah?ique.c’est 5 dire se révélant à l’aide du même substrat).L’i
étation des rkultats se fait en
fonction de la position des bandes d’activité.
.\\PPLICATION PRkTIQUE
-Utilisation des marqueurs des schistosomes
Toutes ces techniques ont éte étudiées et 1~s manipulations ont
En application de ces techniques nous avons identifié
es de schistosotne en utilisant
2 marqueurs tels que la chronobiologie de l’émission des cerca
la chétotaxie(6 mollusques
infestés expérimentalement avec 3 espéces de schistosome ont
diés). La chronobiologie de
l’imission cercarienne a été étudiée pendant 3 jours et la chéto
s cercaises établie sur un
minimum de 30 çercaires par mollusque.Les pics de l’émissio
çaires et les valeurs des indices
c.hétotasiques ont permis de séparer les schistosomes(
mi. et S. hnertlnfc,hizrnl 1.
-1nfestation expérimentale d’animaux (ovins ,caprins et souris).
Ces animaux d’expérience ont été infestés avec des cercaires de . bmis et S. çu~‘lsonrzi(~estn-
tion monospécifique et infestation mixte chez les petits ruminants
-Infestation expérimentale de mollusques avec les miraçidium
3 espèces de sçhistosome.
(Les miracidium sont obtenus à partir des féces des animaux
stés expérimentalement.)
-Etude du taux de réussite d’infestation (monospécifique et
les ovins et caprins:
-localisation des schistosomes au niveau du tube digestif
-récolte des schistosomes ,
-abondance des schistosomes(espèce et sexe),
-caractérisation des espéces suivant la forme des oe
En plus de ces études techniques ,nous avons profité de la bi
des recherches bibliographiques sur les schistosomes(bio1
REMERCIEMENTS
Xous remerçions le Directeur Général de 1’I.S.R.A. qui
Nos remerçiements et notre reconnaissance au Projet E.
“Lutte contre la bilharziose dans la
région de Saint-Louis” qui a financé ce stage .
Enfin nos remerciements vont au Docteur B. Sellin Directeur d
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Rremond et à kfadame E.SeJlin pour nous avoir encadre duran
tre stagr;.Nous y associons tout lc
personnel technique et administratif du C.E.R.M.E.S.
REFERENCES BIBLIOGRM’HIQTJE
1.. BAYSSADE DUFOUR (CH.),CABARET (J).,NGENDAH YO( L.D.),ALB;~RE’I‘(
tJ.1.)
CARRAT (C) and CHABAUD( A.G).
Identification of Schistosornn haen1ntohitrrn.S.
hm% t7i1C1’ S.
hy multi\\:ariate analyis of
c;erc;atial pappillea indices.
International Journal for Parasitology : 1989,vol.
2-BREMOND
(PH-)
Contribution à la biologie des populations de Schistoson1es.P
A‘. nl~x~woni en <~uadeloupe.CaractCrisation
Thése de Doctorat,Académie de
Languedoc.l987,ppl-1987
3-CHASSE ( J.L) and THERON ( A).
An exemple of cirçular statistics in chronohiological studies:An
cercarial emergence rythms of S. nzunsoni cercariae.
Chronobiology International , 1988,vo1.5,N”4,pp.433-439.
kCOh4BES (CL.),BAYSSADE DUFOUR (CH). et CASS
Notes et informations sur l’imprégnation et le montage des
our l’étude chétotaxique
&Annales de Parasitologie(Paris) 1976, t.51, N03: pp 399-400.
5MOt~AHlD (A).,h4ONE (H.),ARRU (E),CHASSE (J.L.
(A.),COMBES (CL).
Analyse comparative du rythme d’émission des cercaires de
dcS. bovis(Trematoda
Schistosomidae).
Parasitologie. 1987,29,pp79-85.
6MOTJAHID
( A.),hlONE ( H).,CHAIB ( A).,and TETER
Cercatial schedding of S. bosis nnd S. hixemnt&‘ml fiom sin
and mixed infection of Rulinrrs
truncafz~.
Journal of Helminthology(l991),65, 8-14.
7-&fOUCHET( F,),THERON ( A).,BREh4OND
(PI$, SELL
E),and SELLIN ( B)..
Pattern of cercarial emergence of Schistosoma curassoni from
er and comparision with three
sympatric species of schistosomes.
J.Parasitol.,78(1),1992,pp 61-63.
S-PITCHFORD ( R.J.).
DBerences in the egg morphology and certains biological
of some African and
Middle Eastern Schistosomes,Genus Schistosoma,with Te
Hull. org mond. Sante,1965,32,105-120..
.9-PITCHFORD (R.J).and DU FOIT (J.F).
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under outdoor conditions.
Annals of Tropical Medecine and Parasitolou,( 1976 j,vol. 20
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Il-KOSS (G.(.‘).;B.-~~‘SS,t.l)II
I)L;FOIiR ( C H ) , SOl_TT
LBARET (J.L.)
NC,EITJ~~HAYO
(LIX),C’HABA\\.rD
(A.G).
Relationships between cercarial indic.es of Schisfosum~r IIW~LJ
Senegal and the Isoenzyne Genotypes of the adults.
~4nn.Parasitol. Hum. (lomp.,1987,C;2.N”G,pp
507-515.
12-THICRON (A).
Early and laie shedding patters of Schisfosomu mur~sor~i ce
transmission to human and murina hosts.
J.Pararisitol, 198~170(5).pp.Gj2-G55.
Polyno@isme du rythme d’émission dqcercaires de Schist sema mansoni et ses relations
avec l’écologie de la transmission du parasite:
F,ïe Milieu ,1983.35.( I j,pp.23-31..
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