REF’UBKQUE W SENEGAL w---c-- INSITIUT ...
REF’UBKQUE W SENEGAL
w---c--
INSITIUT swSEREc33ERxES
MxNImREDrEL'ENSEIGNEMEw1:s~
FT DE LA RlXHEfCHE SCIENTIFIQUE
KGRICOLES (1.S.R.A.)
.mCI"BW.m
--..--e-
SEC-TD'ETATALA-
LAl3ORATOIRENATIONALDEL'ELEVA~
SCIENI?FIQUE EYI' TJXHNIQUE
ETDERExxmHEsvETERINAIREs
INCIDENCE DE LA TRYPANOSOMIASE ANIMALE ET
EVALUATION DE SON IMPACT ECONOMIQUE.
REVUE DE LA SITUATION
Par S.M. T0UREi
REF. No 096/PARASITO.
JUILLET 1981

INCIDENCE DE LA TRYPANOSOMIASE ANIMALE ET
EVALUATION DE SON IMPACT ECONOMIQUE.
REVUE DE LA SITUATION
Par S.M. 3?JRE*
i
l3nsl~étudedel~incidence
delaTrypanosomiaseanimle,onaurait
souhaité &passer les génémlités pour faire des évaluations Pr&ises. Mais
la tâche est malaisée. IQlg&toutce quia été dit dans œs instances depuis
mebonne dizaine d'ann&s,les informations sont toujours très rares conter-
riant la plw,des pays africains et, si elles existent, se rappxtent sou-
vent à des cas particuliers. Nous nousbornerons parconséquentà Ehter
certaines situations, que l'an retiendra sinrplmnt à titrrr d'exeqles, en
évitant de génuser de façon non justifiée.
Ekaucoupdepays africains sont touchés parlaWypanosomiase,mis
de
façoninégale. Enbordure saharienne et dans le Sahel,lamladie
du Drwnadaim
Mue à ~sonn euansd) est importante, mais il y a peu de données sur son
incidencer&lle.
La tmnsmission mhnique de T. tliwx, dans les &&ons sans Glossines,
neserrblepastrèsimportante:
des enquêtes faites au Sénégal (18) ne revèlent
que de très rares cas chez les zébus duNord.
En zones infestées de Glossines, les pourcentages d'animaux parasités
dépendentpourbeaucoup des races anirmles. AuNiger, pays & iln'y apas
de bétail trypanotolérant, des enq&tes anciennes, faites au sud du pays,
avaientpemis de &elerdes lkypanosornrs chez 6 %des bovins,avecune nette
phkminance de T.vhzx (76 % des cas contre 24 % pour T.congolense),
Au S&égal (181, les pourcentages de cas positifs ne dépassent pas 16 % en
haute Casamance, &gi.on 2 forte incidence, avec une grande ftiquence de
T. congu lense. Ailleurs, dans des mnes d'Qlevage de bovins Ndam et de Ekuxïlé,
les infections par T.congoZense ont tendance 3 pr&bminer aussi ; selon les
localités, les cas positifs parmicroscopiepeuventatteindre
8 % globalemmt
(3). Cependant il Lmporte de xx?tenir, concernant les animux tiputés trypam-
tolérants, que les pou33Xnta~s de Cas positifs a l'emn micrwcopiqu@ IX2
. . ./ . . .
* Institut sénégalais de Recherches agdcoles - Labmtoire national de
1'Elevage et de Recherches vétérirtis
- B.P. 2057 - JXKAR43ANN Gétigal).

- 2
renseignent pas suffisammt sur l'incidence de la maladie, En fait, la
pkpart des animux s'ils ne sont pas etes , sont susceptibles d'héberger
des Trypamsom~s~ que l'on ne voit qugoccasionnellement. Toutefois on peut
affirmer que si les pourcentages de cas positifs rapportés sont faibles, la
trypanotol&ance est élevge ; par contre si ces pourcent~s sont forts,
c'est que la situation est réellement mauvaise (trop d'espèces de Glossines,
trop de types antigéniques variants de Trypanosomes en circulation).
Il y a donc lieu, en plus de la parasitémie, d'asseoir les évaluations
~urd~autres critères : parexerr@errmbidit~ etmrtalité des veaux,avorte-
Ents chez les femelles, poids myens des animux en fonction des densités
en tsé-tsé, etc. E. CAMUS, 1980-1981 (51, s'est penché sur ces problèmes en
CGte d'ivoire. Il trouve qu'à Fe.&éssédou@u, par exemple, 21 % des veaux
sont infectés kontre 12 % dans les secteurs voisins ; T.bmceZ brupei est
très f&quent dans ces enquêtes (67 p.100 ; contre 24 p.100 et 9 p.100,
respectivenient, pour T.tivm et T.congoknse).
Une enquête r&ente menée au J3Gni.n (7) fait ressortir des poumentages
élev& d'infectés &ez les bovins de mce Pmgou non traités par des trypam-
cides (eh moyenne 50 %). Ces EDrgou sont des croisements natumls entre
taurins et Abus. Les Lagun&es, qui sont des taurins vrais, r&èlent des
pourcentages appamnts mins élevpés (16,8 % globalemnt, mais 23 % dans les
gmupes non (ou~ir&guli&nent) tmités par des trypanocides. Chez tous ces
anin-&ux, les infections dues à T.v?km~ sont nettemnt p&dominantes, mis les
infections mixte; (T.tivaz - T.congoZense) sont assez fkéquentes. LWktocrite
des animaux sans Tkypanosomes apparents varie autour d'une moyenne de 31 à 32
(contre 25 $ 28 pour les parasités). Ces valeurs tmduisentune anémie chroni-
que et donc des pertes en viande et en lait.
Les publications émanant d'Afrique centrale sont rares. Quelques situa-
tions sont décrites du Cameroun (12) oti la Ikypansomiase atteint 8 à 13 % des
arximuxde laR&gionde Snoué. Des données Acentes concert le Zaïre Cl61
indiquent qws dans la Plaine de Ruzizi, zone d'Uvim, 15,5 % à 33,3 % des
animaux examinés héberentdes Trypanosomes
: T.wLvax est pr&ominant (22,2 %),
. . ./ . . .

suivi de T.coragoknse (11 %) et T.bru& (444 %). D'autres examens, pmtiqu&
par LJZMJB, 1979 (15) sur les Ndam des élevages de J. Van LANCKEB dont l'effec-
tif est estir& à 13 325 bovins, ont r&élé des taux d'infection de 10 à 35 %.
Ces animux doivent être traités &gulièremmt et des bamières anti tsé-tsé
entretenues, ce qui entraîne des frais de production sensiblement accrus.
A défaut de résultats Pr&is de diagnostic, l'évaluation de l'incidence
de la Trypanosomiase découle plus souvent d'apprréciations de mx!bidit& et de
quantifications de mndmzs de doses de trypamcides utilisés. Rares sont les
auteurs qui proposent des évaluations poussées.
Les pertes directes causées par la Trypanosomiase résultent des effets de
lamaladie sur les animux : amigrissement, faible croissance des jemes,
inaptitude au travail, baisse de fécondité et avortements, baisse de lactation
et de pmdu2tion .de viande et, à la limite, mrtalité. Ltestimtion de ces
pertes est tout aussi inprécise que l'évaluation des cas réels de Wypanoso-
miase. On peut citer ici les travaux de CAMJ!S et &, 1979 (4) qui essaient de
faire une cofilation entre l'anémie et le poids (traduit par le périmètre
thoracique) de bovins Ndami et Bamlé. Chez les Ekoülé il y a des diffkwices
significatives selon que les animux sont porteurs de Bypamsomes et ont une
h&mtocrite basse ou bien qu'ils sont apparemmt indemes et ont une hémto-
mite supérieure à 30.
Des eny&tes, faites en côte d'Ivoi.re,
dans les élevages suivis par la
SODEPF!A,mntrerrtque les F&oulé sontmins fréquemEntpar?asités que les
Ndama (17). Sur 194 tmupeaux faisant au total 3 048 bêtes, 52 % des troupeaux
présentent un ou plusieurs cas de Trypanosomiase. Les conséquences de la mla-
die dans ces tmupeaw: sont multiples ccmw Tx)us l'avons dit : mauvais état
généml, faible poids des veauxà lanaissance,mrtalité
des jeunes plus
élevée (entre 0 et 1 an, 15 % de mrts dans les troupeaux atteints, contre
10 % chez les indemnes ; au-dessus de 1 an, 3 8 et 1,5 % respectivemnt). Le
tmitemnt Qypanocide est xwmmar&, dans ces cas, pour tous les Eaux,
entrele15Sm et le 45&m joum qui suiventlanaissance,pétiodependant
laquelle les veaux murent le plus (61.
. . ./ . . .

-4
LRs pertes directes sont d'autant plus importantes que l'animal est
victzi~~~~ d'autres maladies chroniques associges ou d'une alirentation insuffi-
sante. Dans une étude pxwmnt en coqte deux mladies, Brucellose et
Trypanosomiase, CAMUS et IANDAU, 1981 (6) nmtrent que la Trypanosomiase
diminue de 6 % le bénéfice annuel des éleveurs de bovins sédentaires, dans
le mti de la C&e d'Ivo.ire, soit une perte qui dépasse 90 millions de francs
CFA par an pour les 330 000 têtes de bovins sédentaires en question ; la
Bmcellose diminue de 10 % ce mêmz bénéfice annuel, soit une perte de 150
millions F CFA.
On peut citer ici les publications de GRIFFIN et ALJJNBY, 1979 (10) (11)
consécutives à des tmvaux rimés en Afrique de l'Est sur les aspects émmomi-
ques de la Trypanosomiase des petits Ruminants : en pratiquant des tr&te=nts
Wypanocides, il est possible de réaliser des bénéfices, par tête, d'environ
900 F CFA pour les chèvres et 1 700 F CFA pour les mutons (d'après les
valeurs rrrinétaires converties), L'absence de traitexxntconduitauconQxxiu(e
à des pertes.
Les dépenses de traiteJnent ne sont cependant pas toujours acceptées par
les éleveurs.
En fait, les -des OoQtent de plus en plus chers. Le
prix, toutes taxes comprises (au Sénégal), pour traiter 1 UBT" était, en 1981,
d'environ 55 F CFA ; en 1981, il est d*environ 100 F CFA **. A cela s'ajoutent
des charges (inconWlables) d'administration, bien qu'a priori les actes
thérapeutiques de laplupart des serwices vét&inaires afmcains soient
gratuits. C'est ce qui fait qu'en réalité, les aninwx ne sont traités que
dans des situations particulières,
et en faible pourcentage. Par voie de
conséquence, les pertes indirectes dues à la Trypanosomiase sont @rtantes.
La conséqueme indirecte la plus Bcheuse de la maladie réside dans la
contrainte qu'elle impose au développerxxznt
rural, en e-an-t: l'élevage ds
bétail productif rrais r&eptif à la Byparxxomiase (8). Bris 19agriculture
traditionnelle, le manque d'aniraux de tra?t et de fumier se mduit par de
faibles renderrents 3 l'hectare. Mais il est possible d*as&liorer la situation
(1) (2). En de ombreuses régions, l'existerrce de Trypanosomiase interdit
. .
/
. e.,
E UBT (unité de bétail tropical : 250 kg).
NE Estim&ons d'après comrrnuïications
personnelles.

-5
mal& tout un développement haxmmieux de l'élevage (14). La conséquence
en est que le titail a tendance 3 se concentrer dans des zones plus saines,
aurisque~ d'un surp3turage.
La possibilité de maintenir, dans les zones infestées, un bétail ttypano-
tolémnt mis de petit format, est une solution provisoirement heureuse ;
toutefois la production globale obtenue avec ces animmx est tr&s faible.
Du fait d'un d&eloppemnt&iocm de lapmduction anMe, le régim
al5.mmtai.m des populations accuse des carences enacides aminés,particulière-
nmt sérieuses clorez les enfants qui viennent d'être sevrk.
A ces pertes indixectes, s'ajoutent les frais occasionnés par les traite-
ments trypanocides pratiquk pour guérir les animaux malades ou pour protéger
ceuxqui sontrrrmxk,
ainsi que les investissemmts de toute nature pour
lutter contm les vecteurs (8) (9). Les actions thérapeutiques n'ont jamais
intéressé qu'une faible partie du cheptel exposé à la maladie et les applica-
tions de la lutte contre les Glossines ont souvent été très limitées et rare-
mnt suivies dz continuité. EYmr ces misons, les frais engagés n'ont pas
engendx6 des retotis économiques appx&iables. Le bénéfice attendu de telles
opkrations peut se trouver compromis par une utilisation anamhique des terres
au détriment de l'élevage (14).
Ces études socio+momiques
ausens large sont indispensables pour
mieux saisir l'in'pact tiel de la Trypanosomiase animale sur le développement.
Il est à souhaiter qu'une publication récente, celle de HAB-, 1979 (131,
connaisse une large diffusion et soit judicieusemmt exploitée pour appliquer
avec profits les techniques de lutte contre la Trypanosomiase. Dans sa thèse,
cet auteur propose une &hode analytique pour quantifier les déterminants de
la Trypanosomiase animle africaine en Ethiopie, en se servant c?.e 29 variables
depr&isionetd%ne variable dépendante CfrGquence delamladie). Ces
mdèles mthémtiques sont proposés pour atteindre de bons &sultatPj écollomi-
ques dans des situations particulie3mnécessitant la lutte contre la
Trypanosomiase.
. . . / l . .

-6
De tout ce qui précède, il ressort la nécessité impérieuse d'aborder
les prx3blèn% de la Trypanosomiase dans un cadre pluridisciplinaire. Cela
admis, on mesurera aisément le retard accusé en nnatière de lutte et de mise
en valeur de zones concernées par la Trypanosomiase, car très peu de cadres
africains ont été forri& (ou sont utilisés) à cette fin.
R E S U M E
L'évaluation de l'incidence de la Trypanosomiase anim&e et de ses
effets économiques Este un sujet difficile car les données publiées sont
rares. Des situations particulières sont décrites, à titre d'exemples, dans
ce rapport. Il y a habituellenurnt des pertes directes dues à la Trypanosomiase
aninde (faibles poids du fait de rxxbidité liée à l'anémie, rrprtalité éle&e
Surtout chez les jeunes, faible croissance nurrkique des troupeaux) et des
pertes indirectes incalculables avec pr6cision. Les études socio-économiques
liées à la m3ladie sont à renforcer partout.
S U M M A R Y
INCIDENCE OF ANIMAL TRYPANOSOMIASIS AND EVALUATION
OF ITS ECONOMIC IMPACT, A SITUATION REVIEW
It is still a rather difficult matter to evaluate the incidence and the
ecomnic impactofanim3l ~somiasis because of the paucity of published
data. Particularsituations,tobetakenjustas
instances,are describedin
this rqxxft. Directlosses usuallyxrasultfromthe disease,such as 32wweight
of anbls due to mxbidity associated with anemia, high rate of mrtality
dnly in young animais, low numrric increase in herds. Indirect losses are
incalculablewithacuracy andsocioeconotic studies on animal Trypanosomiasis
needtobereinforced.

B I B L I O G R A P H I E
l- BOURN (D.1 - Cattle, rainfall and tse tse in Africa. Journal of &id
Envimnmnts, 1978, & : 49-61,
2- BOURN CD.1 et SCOTT (M.1 - The successful use of wrk oxen in agrictitwal
developmrrt of tse tse infested land in Ethiopia. Trop. Anim. Hlth Pmd.,
1978, 10 (4) : 191-203.
3- CNUS (E.) - Approche épizcmtiologique et incidence clinique de la Trypa-
msomiase sur le bétail bovin sédentaire dunord delaC&e dsIvoire.
(Rapport). Rapport no 207, 16 pp. XLVIIe session du Comité de l'office
international des Epimoties, Paris, 21-26 mai 1979,
4- CAMUS (E.1, BJX#T (J.) et MISHRA (G.S.) - Etude de la trypamtolémnce
de taurins dans la Région de lbmdiali en côte d'Imire. Rev.Elev.@d.
v5-t. Pays trop., 1979, 32 (3) : 241-245.
-
5- CNWS (E.) - Note SUT une essai de traitement trypanocide pour lutter
contre la pr%m-infection chez les veaux Baoulé. Rev.Elev.*d.v&, Pays
trop., 1980, 33 (3) : 289-293.
6- CAMUS CE.) & LANDAIS (E.1 - &thocblogie de l'évaluation sur le terrain
des pertes provoq&es par deux affections majeures Cbypanosomiase et
Brucellose) sur les bovins nord-ivoiriens. Bull.Off.interm.Epizooties,
1981, à pandtre.
7- CODJIA CV.) - Trypanotolérance et imnunité. Recherches sur les taurins
de la %Publique populaire du Bénin. Thèse de doctorat vétérinaire, Ecole
inter-Etats des Sciences et N%eci.ne v&érinaires, 1981, no 11, 85 pp.
a- FAO - Gmsültation d'experts FAO/PNUD sur les tipercussions économiques
delaTrypanoscmiase,Rome,5-
9 décembre 1977, 74 pp. (W/L 5740).
a
9- FAO - (Report of the second consultation of the progrm for the ccmtml
of Af%ican mbml ttyparmmiasis), Lusaka, Zambie, 5 - 7 déceribm 1978,
75 pp. (AGA - 803 1978).
. . ./ . . .

10 - GRIFFIN (L.1 et ALLONBY (E.W.1 - The economic effects of Trypamsomiasis
in sheep and goats at a range mwarch station in Kenya. Trop. Anim. Hlth
Pmd., 1979, 11 (3) : 127-132.
-
11 - GRIETIN CL.1 et ALLDNBY (E.W.1 - Studies on the epidemiology of Trypanoso-
miasis in sheep and goats in Kenya. Trop. Anim. Hlth Prod., 1979, 11
- (3) :
133-142,
12 - GRUVEL (J.1 - mapport).Camrom : établissemnt de la Division d'éradi-
cation des Glmsines de la Bérmé. Comnmication personnelle, 1979.
13 - - CT.1 - (A study of African Trypanosomiasis using epidemiologic
mdels : the case of Ethiopia) - Thèse de doctorat. University of Califor-
nia, Davis, 1979 IX t 388 pp.
14 - JORI%N (A.M.) - Txypanosomiasis control and land use in Africa. Outlcok
on Agriculture, 1979, g (3) : 123-129.
15 - LEMEK) (N.Y.) - Contribution à l'étude de l'incidence de la Trypanosomiase
bovine chez le Nw. Cas des élevages J.V.L./Mushie. (Sous-&gion de
m-N&mbe,ZonedeMushie : Région de E&ndundu). Lubumbashi, Zaïre,
Faculté de tidecine vétérinaire, université du Zalre, 1979, (3) t 90 pp.
(Thèse dedoctomtv&érinaire~.
1 6 - SADIKI (S,) - La nagana bovine et ses conséquences sur les dlevages de
la Plaine Ruzizi (Zone. d'Uvim). Lubumbashi, Zaïre, Faculté de tidecine
vétéw, Université du Zaïre, 1979, (4) t 46 pp. (T&$e de doctomt
VétérinaiE) .
17 - TACHER CG.1 et GRUVEL (J.) - Quelques pmbl&m économiques li&s aux
Trypanosoms (Rapport) cmmunication personnelle, 1980.
*
*
1 8 - TOURE (S.M.) - Métlmdes de diagnostic et d'em@tes épimot<olo&iques
appliquées au Sénégal et r&ultats obtenus en 1978 - 1979 (sw presse).
*