*Ii., ., 1 NST I TUT SENEGALA I S DE...
1 *Ii.,
.,
1 NST I TUT SENEGALA I S DE RECHERCHES
i
AGRICOLES (1 .S.R.A.. 1
0
-p--------y--m..me.--
‘\\ 4
LF\\BORATO I RE NAT I ONAL DE L’ ELEVAGE
ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
v
/
DAKAR-HANN
/
LE DEVELOPPEMENT D’UNE PRODUCTION
LAITIERE INTENSIVE ET SEMI INTENSIVE AU SENEGAL
METHODES ET CONSEQUENCES
/----------
P a r J . P . D E N I S , Mai-y OIAO e t B . TR/IO%
COMMUNICATION A L’ATELIER
R E F . No 21/ZOOT.
“METHODES DE LA RECHERCHE SUR LES
FEVRI ER 1986
SYSTEMES D’ELEVAGE EN AFRIQUE INTERTROPICALEsv
SALI-PORTUDAL 2 AU 8 FEVRI ER 1986.
LE DEVELOPPEMENT D'UNE PRODUCTION
LAITIERE INTENSIVE ET SEMI INTENSIVE AU SENEGAL
METHODES ET CONSEQUENCES
P L A N D E T A I L L E
l - HISTORIQUE ET JUSTIFICATION
Le problème de la production laitier-e constitue une preoccu~etion ancienne
et constante des autorit SS s&&alaises. En effet, les quantites disponibles par
tête dqhabitant s'amerr sent rQgulièrement malgré des importations de plus en plus
consequentes qui actuel ement ropr6sentont plus de 50 p 100 de la consommation
du pays.
Compte tenu Ue la faible productivité laitière des animaux I\\>caux, il a &tC
retenu une option d'examen des possibilites d'adaptation de racés importees i-rès
perform3-rte D ce qui explique en 1963, 65, 68 l'importation d'animaux pakistanais
(Sahiwal et Red Sindhi) en 1976, de femelles Montbéliardes. Ces travaux ont iiut-c
jusquqen 1982 et ont permis le dbmarrage du projet laitier actuel, cqest-à-dire,
la creation d'exploitations priveos situi?os
dans la zone dc: Sangalkam.
Lropèration repose au dCpart, sur une connaissance du milieu rQsuItat d9unc
part d'enquêtes zoctechniques dans 1.~7 zone, d'autre part, (:!e discussions et de
réun ions extrémement fréquentes entre les é leveurs et des agents du Laboratoire.
El les se sont tenues, à l'occasion il?unecop
ération de prom~:tion laitisro par un8
action alimentaire, malheureuswment arrêt6e faute de financement malgré des r&ul-
tats très intéressants. Elle repose aussi sur les connaissances acquises en
station, à Dahr-a si ,? Sangalkam, sur les caractéristiques de~production, de re-
production,
de r&istanco aux diverses
atteintes pafho-ogiques #..
Lo d&elcppement de /a production laitière nqa pas etO lance sans reflexions
prealables, ce qui explique le long doveloppement méthodologique qui precède
I'expos& des r&sultats proprement dits.
On notera d'autre part quo seul l'élevage intensif est abord6. Le partage
a é-te fait entre problemes urbains et ruraux qui sont très differents et ce
premier volet c-st consacré à la satisfaction des besoins émanant C!e la ville de
DAKAR, representant plus de 20 p 100 cjc: la population du pays.
,.. /. . .
-2-
I I - ORGANISATION
II.1 - Aspects généraux ( dot. no 77/ZOOT/NOV. 84)
- ppproche globalis@e des problèmes
- Prise en compte do l'environnement des exploitations
. facteurs externes
. facteurs internes
- Principe directeur : Iqaction
. identificatton des contraintes (ler stade)
. identification des contraintes à lt6volution
(Ze stade)
Il.2 - L'encadrement (CET&,)
11.2.1
- DefInition
Principes (dot no 77/ZOOT/NOV. 84)
l
* Indépendance structurellc et fonctionnelle par rapport
aux paysans, L'encadrement est un catalyseur de situations nouvelles.
* Competence des agents en contact avec les paysans.
* Effectifs reduits en profondeur hiérarchique donc cohi-
sion de l'encadrement dans le temps et llcspace et adaptes en envergure.
* Remise en question des idSes et dos actions.
* Prise en compte d'intensitk d'intervention dlfferentes
* Outil de recherche (observation, am6lieration des tech-
niques, fiches d'observatiow- 3 et de mesures sur pothoiogie production, économie
des exploitations . . . prise en compte des rpblèmes).
. Constitution - structure
L'encadrement est compos6 de :
Chercheurs
: LNERV et SGK
D6veloppeurs : D/‘ELEVAGE ET AGENTS LOCAUX
Eleveurs
: RcprBsentant
,.. / .*.
Dans la structure actuelle, Ii> direction générale appartient à la recherche,
les activites étant pa,rta@es entre chercheurs (accompagnement) et developpeurs
(&alisations pratiques sur le terraln).
Los décisions d'actions 6manen-t de l'en-
semble des participants.
I l .2'.2 - Modes d'acticn
* hierarchisat ion des interventi cris dans les exploitations
traditionnelles,
- analyse JC IfexploitatIon
- identification des actions blémentaires
- notion de regle et de strate~ie
- niveaux dqintcnsificat
i ons regroupant des actions 6lemen-
tait-es et hierarch isés dans le temps.
cheminement vers I'expl oitation intensifiée (dot n3 91/
ZOOT/NOV. 84).
*M ise en place d'exploitat ions d'embloe
intensives.
II.3 - Les eleveurs
11.3.1 - Difforents types d'éleveurs
* debut de I'op6ration.
En raison des moyens financiers in-
existants, 6leveurs relatIvement nantis qui ont pris le risque de dumarrer I'opC-
ration avec nous. (type A)
* puis suite avec des eleveurs moins bien' lotis (type 5)
travaillant avec des animaux moins performants.
11.3.2 - Evolution du type d'eleveur
L'influx est donne, la confiance est acquise et il est pos-
sible de provoir l'entrée dans le projet d*Sleveurs à moyens très ~timités mais bé-
néficiant d'un prêt et d'animaux très performants (voir chapitre sur financement).
. . . / ..*
-4-
Donc 2 tendances actuclltmont :
- ceux qui peuvent riccéder seuls au statut d'eleveur
- ceux qui .empruntent et qui deviennent nos principaux interlocuteurs.
11.3.3 - Regroupement des Glevsurs
L'idGe est de respcnssbiliscr les&leveurs, Pour ce fciirc,
seul .Ieur regroupement peut 6-l-t-o efficace.
Dans le cas du ;!rojot laitier, c'est le GIE qui a QtG choisi (loi de mai 134 -
Crbation en janvier 85) Le GI E est pi lot& par :
- comité de gestion
- gestionnaire dOlég& (janvier 86) qui est' en m&ncl temps (actuellement) Iti
reprkentant des eleveurs dans CETÏWLAIT.
I 1,.4 - Reiations entre encadrament et éleveurs
11.4.1
- Formelles
- ri!unions periodiques
- rlssembl&es g@r&rales
- comitk de gestion
11.4.2 - Informelles
- à l'occasion des prob IGmes patholosiquos et de I'IA
- vis!-& des blovages.
II.5
- Passage des respvnsabifitk de I'encaUrement aux Cleveurs.
-
-
Dans un premier temps, I~encadrement @t-e l'ensemble des facteurs
externes et internes et essaye de mettro au point lour maÎtrisd.
Ensuite, au fur et 2 mesure de la r@solution, des problèmes, les res-
ponsabilitks sont transf&rées,
avec Ivaidc do l'agent du dSveloppement de la
CETRA, aux~structures de gestion de COPLAIT.
II s'agit d'un "pssage protég6v9
- cf schema du UQsengagoment progressif. II
faut signaler, qu'à tout moment, la liaison est permanente entre les difforents
participants.
III - FINANCEMENT
C'est un problème important sachant que les sources do financement ne sont
pas intarissables, L'idee est donc dc valoriser au mieux, lPargent obtenu aussi
bien au niveau Us l'encadrement qu'au niveau des exploitants.
111.1
- Encadrement
En fait dans le système de financement cxterieur (FAC) du projet
laitier, l'encadrement joue 2 rbles~ I-
- consommation des credits alloués~ directement : in0estissements et fonction-
nement constituent des fonds perdus.
- le mise en route des crédits d5vclus aux &levours. Ces:cr$its se partagent
en 2 volets :
0 volet investissement : fonds perdus non recup6rable.
. volet fonctionnement : fonds en partie récuperables et permettant la
création dvun fonds de roulement pour le GIE (cf schéma).
II faut signaler que les "services rendus par I 'encadrement nt sont pas payants
de façon directe et cn tout cas jamais totale. C 'est-à-dire que It)s médicaments
sont payants plus un petit pourcentage dans le prix de la dose d91A sont inclues
les depenses de personnel, de transport et de conservation des dostis (en fait
actuellement 191A est gratuit-c)...
Par contre, le prix des aliments (usinier prive) intègre tous les cc)ûts de
production.
Ill.2 - Eleveurs
Le problème du financement des exploitations dans la vcic de 19inten-
sificaticn est complexe, en effet, il y a néccssit6 d'un certain investissement
et même dans le cas d'un prêt du type de celui consenti par la CNCAS, il y a
necessit6 d'un appert personnel qui d@asse les capacitds de I'oleveur. Donc,
recherche de subventions appliquées au bon endroit& au ben mcment, c'est à vue
pour 6liminer la nkessitb de Isapport personnel. II ne s'agira cas d'un don mais
d'un pr&t sans Intérêt, rkup&r& par le GIE ost redistribu imm&!iatement soit
dans l'achat d'animaux soit dans la mise en place d'exploitations nouvelles
(cf schbma).
Remboursement
Int@rêt + Capital
-
Nouvelles exploitations
Rcrboursements
tV - RESULTATS
IV.1 - Indentification des Drobl&mes
Une des cçns6quences de I'applicatlon d'un type d'explcitatlon (règltis!
es+ I1applicetlon des problèmes et de 4ifficult6s ?I r6soudrc par Ivensemble des
participants.
Cos problèmes sont de 3 ordres :
IV.1.1
- D&eloppement et organisation g6n6rale du Projet
Alimentation mise en 6videnco des problèmes r3els de prix,
de disponibi I i-t& de transport ou arrive à la creation d'ateliers Privés, nécess ité
de décisions P@l itiques.,..
Habitat cf. le problbme des tiques qui induit une forme
d'habitat un PGU différente, cf. muret de profectlon.
\\
.., /
. . .
-7-
- évolution de I-'encadrement
- reproduction, organisation de I'IA
- pathologie (prix azote . ..)
- gestion
Formation des IA.
IV.1.2 - Recherches
- p&?holor)i e
. plis des tiques : prophylaxie CdiffGrents essais)
. plis des rickottsioses (diagnostic, traitement : essais diff6renSs,
. traitement des mammits
11
.
des m6trites et influence sur la repro:!uction
- reproduction
. F&ondit& : influence de la patholcgie et del17alimentatlon
. détect1cn des chaleurs
. technique de I'IA.
- gestion : mise au point de techniques simples de suivi.
IV.l.3 - ProblGmes humains
- compétence des Qleveurs propri&tai res intwvient de même
que leur presence dans l'exploitation.
- rapports entre les proprietaires et leurs bergers
- comment pr@senter les innovations (fiches techniques), sur-
tout sur quelles cordes jouer peur d<clenchcr
;!cs actions à partir des proposi tions
de Ifencadrement.
- prcbleme du passage 2 I'actfon (@CIOC. no 88/ZOOT/LNEEV/A O(JT
1985.
IV.2 - Résultats teb;\\niques Ccf annexe no 1 à 5).
/
..,
.a.
-8-
IV.3 - Résultats écongn?iques
IV.3.1 - Globaux
IV.3.2 - GIE - COPLAIT (voir annexe no 6)
IV.3.3 - Projet au sens classique du terme
IV.3.4 - Exploitations
1.V
IV.4 - InductLon et Gmanage d'un tissu de dhveloppement
- Cap-Vert Ayrl
- Artisan (parage des pieds, marquage des animaux)
- IA.
‘
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ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
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DAKAR-HANN
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LAITIERE INTENSIVE ET SEMI INTENSIVE AU SENEGAL
METHODES ET CONSEQUENCES
/----------
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R E F . No 21/ZOOT.
“METHODES DE LA RECHERCHE SUR LES
FEVRI ER 1986
SYSTEMES D’ELEVAGE EN AFRIQUE INTERTROPICALEsv
SALI-PORTUDAL 2 AU 8 FEVRI ER 1986.
LE DEVELOPPEMENT D'UNE PRODUCTION
LAITIERE INTENSIVE ET SEMI INTENSIVE AU SENEGAL
METHODES ET CONSEQUENCES
P L A N D E T A I L L E
l - HISTORIQUE ET JUSTIFICATION
Le problème de la production laitier-e constitue une preoccu~etion ancienne
et constante des autorit SS s&&alaises. En effet, les quantites disponibles par
tête dqhabitant s'amerr sent rQgulièrement malgré des importations de plus en plus
consequentes qui actuel ement ropr6sentont plus de 50 p 100 de la consommation
du pays.
Compte tenu Ue la faible productivité laitière des animaux I\\>caux, il a &tC
retenu une option d'examen des possibilites d'adaptation de racés importees i-rès
perform3-rte D ce qui explique en 1963, 65, 68 l'importation d'animaux pakistanais
(Sahiwal et Red Sindhi) en 1976, de femelles Montbéliardes. Ces travaux ont iiut-c
jusquqen 1982 et ont permis le dbmarrage du projet laitier actuel, cqest-à-dire,
la creation d'exploitations priveos situi?os
dans la zone dc: Sangalkam.
Lropèration repose au dCpart, sur une connaissance du milieu rQsuItat d9unc
part d'enquêtes zoctechniques dans 1.~7 zone, d'autre part, (:!e discussions et de
réun ions extrémement fréquentes entre les é leveurs et des agents du Laboratoire.
El les se sont tenues, à l'occasion il?unecop
ération de prom~:tion laitisro par un8
action alimentaire, malheureuswment arrêt6e faute de financement malgré des r&ul-
tats très intéressants. Elle repose aussi sur les connaissances acquises en
station, à Dahr-a si ,? Sangalkam, sur les caractéristiques de~production, de re-
production,
de r&istanco aux diverses
atteintes pafho-ogiques #..
Lo d&elcppement de /a production laitière nqa pas etO lance sans reflexions
prealables, ce qui explique le long doveloppement méthodologique qui precède
I'expos& des r&sultats proprement dits.
On notera d'autre part quo seul l'élevage intensif est abord6. Le partage
a é-te fait entre problemes urbains et ruraux qui sont très differents et ce
premier volet c-st consacré à la satisfaction des besoins émanant C!e la ville de
DAKAR, representant plus de 20 p 100 cjc: la population du pays.
,.. /. . .
-2-
I I - ORGANISATION
II.1 - Aspects généraux ( dot. no 77/ZOOT/NOV. 84)
- ppproche globalis@e des problèmes
- Prise en compte do l'environnement des exploitations
. facteurs externes
. facteurs internes
- Principe directeur : Iqaction
. identificatton des contraintes (ler stade)
. identification des contraintes à lt6volution
(Ze stade)
Il.2 - L'encadrement (CET&,)
11.2.1
- DefInition
Principes (dot no 77/ZOOT/NOV. 84)
l
* Indépendance structurellc et fonctionnelle par rapport
aux paysans, L'encadrement est un catalyseur de situations nouvelles.
* Competence des agents en contact avec les paysans.
* Effectifs reduits en profondeur hiérarchique donc cohi-
sion de l'encadrement dans le temps et llcspace et adaptes en envergure.
* Remise en question des idSes et dos actions.
* Prise en compte d'intensitk d'intervention dlfferentes
* Outil de recherche (observation, am6lieration des tech-
niques, fiches d'observatiow- 3 et de mesures sur pothoiogie production, économie
des exploitations . . . prise en compte des rpblèmes).
. Constitution - structure
L'encadrement est compos6 de :
Chercheurs
: LNERV et SGK
D6veloppeurs : D/‘ELEVAGE ET AGENTS LOCAUX
Eleveurs
: RcprBsentant
,.. / .*.
Dans la structure actuelle, Ii> direction générale appartient à la recherche,
les activites étant pa,rta@es entre chercheurs (accompagnement) et developpeurs
(&alisations pratiques sur le terraln).
Los décisions d'actions 6manen-t de l'en-
semble des participants.
I l .2'.2 - Modes d'acticn
* hierarchisat ion des interventi cris dans les exploitations
traditionnelles,
- analyse JC IfexploitatIon
- identification des actions blémentaires
- notion de regle et de strate~ie
- niveaux dqintcnsificat
i ons regroupant des actions 6lemen-
tait-es et hierarch isés dans le temps.
cheminement vers I'expl oitation intensifiée (dot n3 91/
ZOOT/NOV. 84).
*M ise en place d'exploitat ions d'embloe
intensives.
II.3 - Les eleveurs
11.3.1 - Difforents types d'éleveurs
* debut de I'op6ration.
En raison des moyens financiers in-
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ration avec nous. (type A)
* puis suite avec des eleveurs moins bien' lotis (type 5)
travaillant avec des animaux moins performants.
11.3.2 - Evolution du type d'eleveur
L'influx est donne, la confiance est acquise et il est pos-
sible de provoir l'entrée dans le projet d*Sleveurs à moyens très ~timités mais bé-
néficiant d'un prêt et d'animaux très performants (voir chapitre sur financement).
. . . / ..*
-4-
Donc 2 tendances actuclltmont :
- ceux qui peuvent riccéder seuls au statut d'eleveur
- ceux qui .empruntent et qui deviennent nos principaux interlocuteurs.
11.3.3 - Regroupement des Glevsurs
L'idGe est de respcnssbiliscr les&leveurs, Pour ce fciirc,
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Dans le cas du ;!rojot laitier, c'est le GIE qui a QtG choisi (loi de mai 134 -
Crbation en janvier 85) Le GI E est pi lot& par :
- comité de gestion
- gestionnaire dOlég& (janvier 86) qui est' en m&ncl temps (actuellement) Iti
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I 1,.4 - Reiations entre encadrament et éleveurs
11.4.1
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- vis!-& des blovages.
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- Passage des respvnsabifitk de I'encaUrement aux Cleveurs.
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Dans un premier temps, I~encadrement @t-e l'ensemble des facteurs
externes et internes et essaye de mettro au point lour maÎtrisd.
Ensuite, au fur et 2 mesure de la r@solution, des problèmes, les res-
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avec Ivaidc do l'agent du dSveloppement de la
CETRA, aux~structures de gestion de COPLAIT.
II s'agit d'un "pssage protég6v9
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faut signaler, qu'à tout moment, la liaison est permanente entre les difforents
participants.
III - FINANCEMENT
C'est un problème important sachant que les sources do financement ne sont
pas intarissables, L'idee est donc dc valoriser au mieux, lPargent obtenu aussi
bien au niveau Us l'encadrement qu'au niveau des exploitants.
111.1
- Encadrement
En fait dans le système de financement cxterieur (FAC) du projet
laitier, l'encadrement joue 2 rbles~ I-
- consommation des credits alloués~ directement : in0estissements et fonction-
nement constituent des fonds perdus.
- le mise en route des crédits d5vclus aux &levours. Ces:cr$its se partagent
en 2 volets :
0 volet investissement : fonds perdus non recup6rable.
. volet fonctionnement : fonds en partie récuperables et permettant la
création dvun fonds de roulement pour le GIE (cf schéma).
II faut signaler que les "services rendus par I 'encadrement nt sont pas payants
de façon directe et cn tout cas jamais totale. C 'est-à-dire que It)s médicaments
sont payants plus un petit pourcentage dans le prix de la dose d91A sont inclues
les depenses de personnel, de transport et de conservation des dostis (en fait
actuellement 191A est gratuit-c)...
Par contre, le prix des aliments (usinier prive) intègre tous les cc)ûts de
production.
Ill.2 - Eleveurs
Le problème du financement des exploitations dans la vcic de 19inten-
sificaticn est complexe, en effet, il y a néccssit6 d'un certain investissement
et même dans le cas d'un prêt du type de celui consenti par la CNCAS, il y a
necessit6 d'un appert personnel qui d@asse les capacitds de I'oleveur. Donc,
recherche de subventions appliquées au bon endroit& au ben mcment, c'est à vue
pour 6liminer la nkessitb de Isapport personnel. II ne s'agira cas d'un don mais
d'un pr&t sans Intérêt, rkup&r& par le GIE ost redistribu imm&!iatement soit
dans l'achat d'animaux soit dans la mise en place d'exploitations nouvelles
(cf schbma).
Remboursement
Int@rêt + Capital
-
Nouvelles exploitations
Rcrboursements
tV - RESULTATS
IV.1 - Indentification des Drobl&mes
Une des cçns6quences de I'applicatlon d'un type d'explcitatlon (règltis!
es+ I1applicetlon des problèmes et de 4ifficult6s ?I r6soudrc par Ivensemble des
participants.
Cos problèmes sont de 3 ordres :
IV.1.1
- D&eloppement et organisation g6n6rale du Projet
Alimentation mise en 6videnco des problèmes r3els de prix,
de disponibi I i-t& de transport ou arrive à la creation d'ateliers Privés, nécess ité
de décisions P@l itiques.,..
Habitat cf. le problbme des tiques qui induit une forme
d'habitat un PGU différente, cf. muret de profectlon.
\\
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- évolution de I-'encadrement
- reproduction, organisation de I'IA
- pathologie (prix azote . ..)
- gestion
Formation des IA.
IV.1.2 - Recherches
- p&?holor)i e
. plis des tiques : prophylaxie CdiffGrents essais)
. plis des rickottsioses (diagnostic, traitement : essais diff6renSs,
. traitement des mammits
11
.
des m6trites et influence sur la repro:!uction
- reproduction
. F&ondit& : influence de la patholcgie et del17alimentatlon
. détect1cn des chaleurs
. technique de I'IA.
- gestion : mise au point de techniques simples de suivi.
IV.l.3 - ProblGmes humains
- compétence des Qleveurs propri&tai res intwvient de même
que leur presence dans l'exploitation.
- rapports entre les proprietaires et leurs bergers
- comment pr@senter les innovations (fiches techniques), sur-
tout sur quelles cordes jouer peur d<clenchcr
;!cs actions à partir des proposi tions
de Ifencadrement.
- prcbleme du passage 2 I'actfon (@CIOC. no 88/ZOOT/LNEEV/A O(JT
1985.
IV.2 - Résultats teb;\\niques Ccf annexe no 1 à 5).
/
..,
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-8-
IV.3 - Résultats écongn?iques
IV.3.1 - Globaux
IV.3.2 - GIE - COPLAIT (voir annexe no 6)
IV.3.3 - Projet au sens classique du terme
IV.3.4 - Exploitations
1.V
IV.4 - InductLon et Gmanage d'un tissu de dhveloppement
- Cap-Vert Ayrl
- Artisan (parage des pieds, marquage des animaux)
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