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Au cours &s années 60 at 70, uw 6pfEaotie ...
Au cours &s années 60 at 70, uw 6pfEaotie dc ~O~UI~S~ frappe b?S herb'fvm?S
domstlqws du Farta, las bovins pwmt le plus lourd trfbut 21 la malad$e (1)
(4). Le diagnostic, fond@ tout d’aiiwd sur la s~t~~lugi%~ pulls sur la pro-
phylaxie (vaccfnatfon ~xp~ri~~~~~ avec lh9 anatoximo C et x)) st tnfjn sur les
analyses effactu&!s au L~~~t~~~ v@t&inaim de Dakar (nrfse en CEvidmce & tw
xiwe batullque de type C dans Te suivant de culture mixt@ & fuQ% et de cent@-
nu Intestinal en mllieu anu&obfa, puts isolrlnwetnt de d~ff~~~~s scmchw de Clos-
II_
tridim botulinfl typa C) est ~f~~~t~~~t acquis BB 1965 (3). A la m&m Bpoque,
des études affectu&s sur le mil7au naturel ont pwmfs der soulfgmr l%suffisan-
ce et Ta d@s&quf?ibre ~h~s~h~~~ciqu~ des sols, des mux dt des p8turagccs du Fer-
10. L%tuda des m?stantm s3ng~~~~s de zlobus Gobro. ~pp8~~~t B drs t~u~ux
vivant dans la Ferlo, muntm qu'31 anfstn WFIPI, ~~ph~8p~~~ dm animé de la
rGgfon du foragçl ds Labgar -
s ter satson dtBs pluiss, laraque les ~~tur~g~s
sont 1,s plus riehas- st qu'il
161 que le taux de phasphurs ~~~g&~~q~ pias-
matlque ne varie pas entm le taofs de d~~~~ et la mis ds juirr. Il exIstamit
dmc chez las harbivoms de la zone des fwagas unte ~~p~s~~~s~ "install&"
qui se traduit ~~fniq~~~t par la fmgilit& du squaaletW et par de l~~st~~h~gi~
(1). En 1967, l'apparition du botuIfsm en mm s~pt~~tr~~~~~ du SMgal est
atm expliq* par la schEkRa sulvaM 0
La prlrpamttm de l'anatoxine b~~~îq~ de typa C est aIcws sntreprtse au Labora-
twlr& d@ Dakar et la vacctnation ~~&t~q~$ dans les ZO~QS atWint+s pw la Wa-
d#i.
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A partir de 1!%7, 18 Servi@t de ~~~r~ologi@ a connaissance, dans le bfoloff et
le Sine-Salam, de foyers ~t~~~q~$~ trios lacalisBs, de typ@ C tot D, dont l'or6
gint est en tout point identique 3 ealle des ~8s renoonttis dans les pays indus-
trisls, 21 savoir : ~o~~~~~t~oR d% 'f'%aw de boisson (botultrama hydrique) ou d‘
un albmant (paille d'arachide) par un cadavre de petit carn~vowo ou de rougrstur
(2) (5) (7). Aussi eh 1971, l‘h~th~~% suIvante est propos4k dans 'te but d‘ex-
plQquer l'origim poss?lble de 1'6pizuotIe de botulisme qui $8 ~v%lup~ dans le
F%rlo depuis une d&zad% "'dans un ow ~~~~ew~s~~ges (les bassins rCTs%rvoirs sont
%nti#~nt 3 Pa+r lfbm, de
qu% 1%~ abreuvoirs) ou dans un des anel-iens
puits traditiannels, l'eau souil?& par un cadavre de chat ou de
ti t mamif;ere
quelconque (8) a pu Qtre la çaus@ d'un% tntoxicatfon botulique Mmit&e, Ensu+&,
les restes des animaux morts, d~s~~~s dans wn rayon de plwsfeurs centaines de
m&res rwtour du point d'eau contam‘k-6, furent il l'origine d% la p~~~t~on de
spores botwliques, leur absorption &mt favorisrle par ~'os~~ha9~e prlssantie
par des bovins en 4tat pemanent d~b~hos~ho~se. La diss~~t~o~ d%s restes,
des oss%mtnts, des nouvelles vktimes et 1%~ ~o~~o~t~o~ par des anfœux Caren-
db, aurahmt germis 3 la maladl% 4% fa5re tache d‘hutle cat de s~~~~~ pmgms-
afvœent 3 towte la tigfun dWev%ge (6)". La ach&a swJvant r6s
ettte prupo-
%itQHJ :
Depuis 1971, le% observations de cdis d% botwlfrtme hydr?qu% se sont nwltipli&es et
il est apparu lagiqwe de supposer que 1es ~o~~~~n~tio#s r@p@t%es d% dertaJnt puits
pouvaient trouver une cxpltcatian dams tc dtsficit plwvi~t~~q~ %~~g~st~ a par-
tir des anrrQ5es $0 dans les mn%s s%h~l~~~~e et so~a~o~sah~~~~* Qn rmarque, en
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effet, que les fayess de botulisme hyd~~q~ se localisent au Word (r+$m Pas-
torale ou araehidi&%) (5). en dépit que dans ces r&gions, la pmsqus totalitG
dQf puits soit pourwe d’ttne! mrgellar cimentée, sur(afa* d”m &tm envirun.
Dans le sud du Pays (Casamnce), les puits, tr& n~reux, sont le plus souvent
entau&s de quelques troncs d'arbres, disp6s@s au carrlr, sur lesquels s'appufe
Ye~hwwe manuelle. Ce dispositif, haut d'une quarantafne d~8 cent%tres au ma-
xtmum, n'a85sure qu'une p~tect~~~ tris tmparfafte de l'or9fice et les rtsques
de chute de petits mamm?f&es ~~~~t Qtre accrms ~~autea~~a~~ce en partfcu-
lier), Or le batulisnss est immmu dans toute ?a partie ~r~di~~le du SBnQal.
T!ans la pwtfe sertontrlonale, les eap;éces antmles. responsables des cas de ba-
tulfsme hydrique, sont essentielkment des carraivores PrlSdateurs. En tout Pre-
mier Heu, vient 'le chat hant (a), puis lrs viverrldes ~ge~t~~~ cfvettes, @an-
gwstes) auxquels un peut Jofndre un mstellid6 (morille). Dans un cas, un B~U-
reufl fouisseur a Bt* trouvé d~~$~ dans l'eau de curage d"un pu4ts,
L'installation progressive et d~~~~t~nue de la s&heresse a p~~b~e~~t rlsduft
le nombre des carnivores par ra~fact~o~ des profes @ongeuras, oiseaux). Dans
la lutla Pour leur arurvje, cs~tdns individus se sont ~Pp~~h&s des c~~aut~~
hmlms, 1 la fafs Pour s'alim'!ter et s'abreuver+ Les esp#cea qui viennent d*&
tm 4%twmWks, essentQe11
nt nofzéwrnas (sauf t%ureu~l fuuisssur), peuvent
&re attir&?t par ~'h~idît~ du ~1 qui entoure le puits (otl la ci%ane, en Maur+-
tanle mWd~onale, le botuli
a connu le M&m développât qu'au Ferlo, au
Tchad, un foyer de botultme hyddqwa a 483 d#krJt dans le ~~ (9)). d'o0 pran-
dant la jaum4e, l'eau est mÇMe dtune façan presque cmtlme. De nwft, lors-
que tout% la flaque d'eau a disparu, un anitnal assoîff4 pwt, dans sa qtflte,
fmknchir la mrgello ~l@r~qu'e~~e exiote- et se pr&cipitw acc~~~te~~~~t dam
le putts. La liaison entre batullsr~ et s&cherasse appamlt dam le ach
SUI-
vunt :
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BISLIQGRAPHIE
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- --.-- _L.._---C---.----"_.<-.-
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t r o
Pays p - . ,
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-y_---..!..--
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