REPmLI~WsENEGAL( I----L-----.œ * DELEGATION...
REPmLI~WsENEGAL(
I----L-----.œ
* DELEGATION CZNER%E ALARECHEXCHE
.*
ScmIFIQuE ET TECHNIQUE
e---------L
"! INSTITUT sEXGALAISDERECHER~S
AGRICOLES m3?A)
--m--I------
LABoRATozRE NATIONAL DE L'ELEXAGE
ETDERECHERcF?.ES~INAIRES
PROJET “rnoMoTIoN LAIrnmE”
RAPFCRTDE SYNTM%EAPRES1OMOISDEFONCTIO-
L

.
GA--CALVET-DENIS-GASSAMA
Avril 1978

RElu3LIcgEDuSE3mQJ
I--------C-
'DELGATIONGENEPAI;EALA='==~
sc~m-w.
"n.
-"---------
INsTm SENEGALAI SDERECHERCHES
AGRICOLES mRA)
c1---------
lAI3OF!A~IREWIOWDEL'EL;EvAL;E
FRoJEr “moMcYrIoN LAITIERE”
RAPPORT DE sMIwEsE~S1O~ISDEEO~O-
GIUJCHET-CALm-DENIS-GASSAMA
Avril 1978

PROJE? "PROWTION IAITIEFE"
_1_--------_-1------------
RAPPOFTDESYNlXESEAPRES10MOISDEFWXIONNE?CNT
,
Ces unités sont implantées pcrur la plupart depuis le mis de ami 1977,
voilà presque un an, etdupointde vuepmdmtionlaitiè.m,denankeuses
vaches ont terminé leur lactation.
Il est nécessaire de tirer dès maintenant quelques enseignemnts sur :
- les rêsultats enregistrés ;
- les pmblk rencontr& dans le suivi et dans llintmduction de thèmes
ncweaux ;
- les nmdîfications à apporter aux thèmes de recherche et au suivi.
0.. / ..,

2
1. SIWATION ACTUELLE
Nous suivons actuellement 6 unités de taille différente et de rende-
ment variable qmnt à l'introduction des thdmes (Tableau 11
suivis oaxe)
Tém>iXE
Total
Veaux 1 Vaches 1 Veaux 1
8
1 ] G. SOW
3
5
5
I
4
I
4
l 1 8
7
7
1
7
1
7
I 2 8
SQ& 1 12 1 M. SIDIEE
4
4
I
3
I
3
I 1 4
2 9 1 27
27
2 4
107
11 faut noter que depuis le mis de décembre 1977, des génitm pa-
kistanais cnt été intmduits dans certaines unités OJnité 1, 2, 11, 6, 9).
Cette intmducticm :3 pour kxxt l'am5lioration du potentiel génétique laitier
des vaches des tmupeaux suivis.
Il convient de souligner dès rmintmt, et nam y reviendrons en d&
tail dans la partie wenseignements à tirer" , que la tiponse à la vulgarisz-
tion des thèmes de mbherche varie selon les unit&, voir selon les ethnies
mprkntées. Cette rem3ye est importante, car nous constatons que le
mrteur principal de cette action est ou bit être la prise de conscience
de l‘éleveur et par 1.3 R&E sa participation delle, effective et conti-
nue au projet. Ckla explique égalemnt le p-i-pris que nous avons .3 X96-
gardde certaines
unités,gui~leurtravailoul'int~~~~au~-
. . . / . . .

t
jet, nms invitent à aller plu5 avant.
II. PRmOCCH$ DE! SUIVI
Toutes les unit& sont suivies mnsuellemnt en ce qui conc~erne :
- l'&olution pondérale des &tes ;
,l'-
-11,
.
des jeunes ;
-1apmductionlaitière
:
. étude quantitative
. étude qualitative (des échmtillons prélevés sont analysés au LHEW.
Parall&mnt, nous allons mettre en place un suivi plus général au ni-
veaudu carr6,i.l concernera, m7msuellemnt :
- llévolution démgraphique du car6,
- l'évolution du troupeau et des divers paramètres zootechniques,
- les cultures vivrières et maraîchères,
- lfémde du carré :
. ressources
. circuit de cmmercialisation du Lait et C!es dériv&
. capacité de financement en vue d'une intensification du projet.
Mal& le faible nombre de villages enquêtés et la bonne r6partition
géographique autour d'un pôle constitué par la ferme expérimentalede San-
galkam, il est $ noter que les suivis demandés sont difficilement &alisa-
blespw un seul agent. Or il est kvident qu'un suivi, m être omrectemant
utilisable, doit être effectué régulikment.
i
III. ANALYSE DES RESULTATS
. ^
Ta-Les les unités ne r?éponaant pas avec la même intensité au projet mis
en place par le LERV, le suivi s'en ressent de façon évidente. Ajout-er à ce-
la un probl&r~ de véhicule empêchant pendant 2 mis les d6placemmts de l'a-
gent responsable, et ncm obtenons un suivi plus ou mins épisodique dans cm-
taixaes unités.
.
.
/
.
..a

4
Ikux points sont à étudier :
- l'évolution pondérale des animux ;
. adultes,
. jeunes.
- la pmduction laitière :
. analyse quantitative,
. analyse qualitative.
1) EtiXutlcn pondémle
Le Prob&e principal rencontr6 au niveau derévolution pond&ale des
animux des unités, est celui relatif à la mise en place d'animux témins
en noMbre égal à celui des animaux suivis. Cela tient en grande partie au
fait que les éleveurs ne comptant pas très bien l'utilité de ces animaux,
ont diffé-ré au maximum le choix des témins.
De ce fait, les comparaisons suivis/témins sont ablbea difficiles, voir
hasardeuses dans la plupart des unités.
1.1 : Jk3.u1tes
Nous ne considérons que deux unités , où le no&re dVanimux Est relati-
vement important ( 7suivis - 7 témins au 01/02/78) et permet donc me cm-
paraison suivi/t&min.
Les résultats fient dans les tableaux 2 et 3, et
les graphiques 1 et II.
. . ./ . . .

EVOLUTION WNIXZALE DES ACULTES
29-06
05-08
09-09
14-10
01-12
OI-02
Poids myen
237,70 229,14 225,00 263,64 279,43 264,57
Y--
+.,
39,36
37,50
38,22
34,46
35,61
33,74
Poids pondé-ré
100 ,oo
96,40
94,66 110,91
117,56
Ill,30
4
1
1
I
I
1 t
GtQ g/j
1 - 231 1
t 493
1
329 1 - 240 1
7
Poids rrmyen
249,s 247,00
-
283,64
308,43 295,29
CT--
9,19 14,85
'-
34,22
33313
38,00
P0ids.pondéI-é
100,OO 99,00
-
113,68 123,62
118,35 .l
GMq dj
- 68
t 523
' t 516 - 212
TAEXJZAU2
- Unité no 9
(Guendouf)
\\&@TE
S/T
‘.
23-06
10-08
27-10
03-12
03-02
..__ ‘-4
Poids myen
262,17 263,17 303,OO 297,83 291,17
ir-
21,51
18,76
8,85
13,08
16,40
Poids pondérG
100,OO
100,38 115,57 I 113,60
111,06
W fdj
1 t 21 1 t 687 1 - 140 1 - 107 1
295 ,oo
292,67
L--- 277,33
19,64
20,53
21,83
122,41
121,44
115,07
I
1fW dj
-73
1 t 991 1 - 6 3 1 - 247
.
TAEXWJ3 -
Unité no 2
(Miaga Ouolof).

M

8
a) Poids des arkaux à âge fixe
. Résultats
Pour l'ensemble du prwjet,les r&ultats figurent dans le tableau no 4,
etmtillustrés parle graphique III.
VEAUX: EYOWI'IONPONDEXALEAfGEFTXE
0
1
2
3
4
5
6
7
8
Nbreob-
servatim
5
9 13
1 4
1 5
7
11 8
6
2
23,40 27,78 34,91 41,57 48,31 56,61 66,33 73,0C 83,08 86,50
13,37 14,36 I 17,26 26,19 16$7
.
5
6 4
4
53,90 64,67 74,75 85,17
14,45 15,37 26,55 25,53
Dm.mJ4
Gksmble des U.E.)
ïRsr&ultats doivent être consid&ésavecpmdence
car,danslaplupert
des unités, les dates exactes de pesges sont sujettes a caution. Seul le vil-
lagedeQm&ufpr&enteunecertitudequant~ lV&eexact desveaux. (Ta-
blem 5).
. .
AGEl (jars)
7
21
44
58
80
9 3 115 128 163 176 225 238
Poids Q
15,5 23;0 25,8 31,s
TABLEfXJn*S
(~endouf).

. Analyse des rrkultats
Nous constatons qwz les poids des veaux suivis et témins su m%e âge
sont assez voisins, malgré la supplémentation distribu&e aux animaux suivis.
Il est à noter que c'est entre 0 et 4 mis que la croissance des t&hns s'a-
v&e assez nettmmt supérieum a celle des suivis. Cette différence peut s'ex-
pliquer pw le faît que les vaches suivies, meilleures productrices, sont
traites plus ca@&ement que les témins et en l'absence du veau qui ne sert
rt5ellemmt qu'a armer latmite. De ce fait le veau ne profite pas du lait
de sa mère, cela est: accru par la séparation pendant la nuit de la m&x et du
veau, suivi,q@.contrai~tauxt~ins
estisol& dans un parc.
b) Gainmyenquutidie.n
Ihs n'avons étudié l'évolution du gain moyen quotidien que pour les
veaux des unités no 2 et no 9, dans lesquelles les rkultats sont suffisam-
~txxmdmuxpourê-hx interprhibles.
Les Hkultats figurent dans les tableaux 6 et 7,
CiiAlXSmmS QUOTIDIEN DE$ VEAUX
S/T 23-06 - 10-08 lOd8.- 02-09 02-09 - 27-10 27-10 - 03-12 03-12
- 03-02
.s
. 36,SO
122,50
130,33
187,67
l29,OO
T
-31,50
284,33
284,33
131,OO
125,00
NIA@I CUOMF
0J.E. rP2)
TNXENJ 6

ar
à
J 0
sr ii

11
S/T 29-03 Y OS-OS OS-03 - 09-09 09-09 - 14-m
14-a - 01-12 01-12 - 01-02
S
223320
139,57
432,86
458,43
151,57
248,00
407,m
407,oo
239,80
106,40
0J.E. no 9)
TABLEXJ 7
Ncrus constatons que cm-ne pour les adultes, la croissance des veaux té&.ns
est plus rapide et plus intense au défxrt de l'hivernage, ces animaux semblant pro-
fiter plus intensémnt que les veaux suivis des nouveaux pâturages. L'effet de subs-
titution du CI l'ingestion de concenti doit jouer un rôle important dans cette fai-
ble utilisation des pâturages. La croissance en post hivernage est plus soutenue
chez les suivis que chez les términs kome chez les adultes), dans ce cas le con-
cent& est primo&ial pour l'entretien des animaux et leur croissance.
L'analyse de ce param&xe est corne l'indique l'intitulé du projet "PRMOTIW
LAITIERE'* le point central de cette étude. Il faut d'abord considérer que le zébu
Gobra et son croisement avec le Ndan-a, c'est à dix-x+ le Diawchorc, races les plus
xepr&mtées dans le pér.ir&re du projet, sont mal connues quant à leur production
laitière. De ce fait, cette étude a pmr but, non seulement de vulgariser ~zrtains
thèmtrs de recherche mis également, de COM&~~E les capacités laitikes des animux
locaw pris dans leur milieu.
Ce projet Wmnotion Laitière" nous peut donc de recueillir des données chif-
frées exploitables directement, mis égaleront de mettre en évidence les ireu, que
pourra rencontrer la vulgarisation 3 une plus grande échelle.. Ce damier pokt qui
nous oblige à mxiifier constmnt notre approche de l'éleveur et la présentation
de nos thknes est sans nulle doute, un des points essentiels de ce type de projet.
.v* / . . .

2.1 : F&%ll.tats
A - Ensemble du trwpeau des U.E.
Ces rhultats sont regrouph dans les tableaux 8 kmimmx suivis)
et 9 hxnhux t&rSns) et visualisés dans le graphique V. La courbe obtenue
ne tient pas ccmpte de l'influence du mis de velage, facteur que nous étu-
diemns plus l&n, mis du niveau de pmduction myenne atteint yxar les ani-
mux pour chaque mis de lactation.
La cou&@ de lactation des animux suivis se mppmche de la courbe ncr-
male (pic au second mis et décroissance progressive de la pmducticm). En ce
qui ccmemeles animuxtémins,mis
à paxtlepic situ égalemnt vers le 3e
mis (nous mnquons de données pour les 2 premiers mis), on constate que la
dhxLssance est brutale, la production atteint vers le Se mis un palier très
bas qu'elle ne quittera plus jusqu'au tarw.

13
PROLWi'I@I LAITIERE MJ- DES VACHES SUIVIES SEI&N LE I33IS DE LACTXI'IQN1
TAE3LJ%U 8
knsemble des U.E)
-
-
12
3
4
5
6
7
8
9
1 0
1 1
-
-
77
'5 1:,45 1,71 1,83 2,43 2,05 2,lO
27
3:JO
2,20 2,87 2,25
2,q3
55
1,65 234 0 2;$13 2,33 3,30 2,80
1,81
6
1,80 1960 2:,60 3,lO 2,53
1.78 taz?i
81
3,63 2,93 28 3 3:956 2,63 1,80
1,60 0,92
87
2,29 2,14 2918 2;175 2,83 2,30
1,90 1,07
7
3,20 3,15 3,50 3,30 3;113
1,86 l,W
10
1:,95
1,95 1,15
275
2,00 3915 2,98
3,51 0 3:147 2,oQ
1,lO 1,07
423
1,05 1954 1,58
2:100
1,80
1,57 0,95
16
1,38 2,26 2,20
3975 3,167 3,oo
2,20 1,15
14
1,50 2,13 2,48
5
2,6# 3,150 3,20
2,55 1,25
25
2,20 2,04 2,15
0
1,8r 1,190
0196
0,85
2 4
2,20 GO2 2,05 2,213 2,130
1,85
1,07
445
1,90
0,68 0,77
60
2,25
1,56 1,02
5
4,90
3,95
1,88 1,42
28
3,70 4,03
2,25 1,28
17
3,25 2,3(3 *
2,20 1,~
58
2,40
1, 63 1,lO
18
2,70 3930
1, 8 6 1,03
6 2
2,70
-
1,8(1 0, 88
4 0 1
1, 12
-
-
-
rl
9
13
16
1 3
II3
17
13
11
10
4
2,lO 2,81 2,55
2,4:1 2, 3 9 2,09 1,76 1,88 1,41 1,47
3,70 os93
3,82
3,713 0, 87 0,74 3,80 J,65 0,44
-
-
0,56

PROW~IONL@TIEE LES VACHEZTEMINS SEtor\\T LEMOIS i3E LACTATIOX
TPIBLJXJ 9
&rwmble des USE)
2
3
4
5 6
7
8
9
10
11
12
l _
2
0,65
5 4
0,60 0,40 0,14 0,lO 0,07
433
0,44 0,21
0,35 0,20
8
0,lO 0,09 0,25
0,34
0,47
1
0,60 0,23 0,13
0,26
0947
8 6
0,53 0,25 0,04 0,90 1,50 0,70
-
0,72
5 6
0,78 0,25 0,77
0,57 tarie
1 9
0,95
0,52
403
0,23
5 9
0,60
. . .
1,80
445
1,90
0,68 0,73
404
0,38
.a*
5 7
2,05
0,50 0,65
402
0,03
443
0,30
-.
n
3
2
5
10
9
2
6
2
3
3
x
1,42 1,29 Os42 0,43 0,35 0350 0,49 0,52 0,47 0,55
ci--
0,97 0,72 0,23 0,30 0,27 0,57 0,52 0,25 0,24 0324
C'est dSailleurs à partir du 5e mis dz lactation et jusqu'au 9e mis que
l'écart entre thins et suivies est le plus grand, Cela est du à une plus gran-
de persistance de la lactation chez les suivis induite en grande partie par le
_ /


16
cuncene.
i
4
5
6
7
8
9
10
11
12
S/T \\
T
(JO,85
X25$ 102,38 81,40 142,86 98,00 106,12 90,38 117,OZ
S
133,81 90,75
94,51 99,17
87,45
84,21 106,82 75,00 KY+,26
-
- / i
I
t
Etude du coefficient de pwsistance chez les anixwx
suivis (SI et témins (T) des U.E km %)
B - Etude de quelques lactations
Ncus avons choisit dans les U,E quelques va&es ayant twmbG leur lacta-
tion et pour lesquelles nous possédons des données fiables, Nous WQW caku%Z
la rmyenne mensuelle, la production totale, la durée et la myxme pour l'en-
semble de la lactation (tableaux 10 et Il).
..* /
. . .

L&JXI'ImS DE QUELQUES VACHES DES U.E. 2 et 11 (Ni=a ûuolof)/
-b
TLWEAU 11
-r
Vaches suivies
Vaches t6min8
7
.(2) 6
(2)
27
(2) 55 (11)
8
(2)
1
(2) 56
(11)
96 ,O
54,0
93 ,o
72,0
390
18,O
23,4
JUIN
3,20
1,80
3,lO
2,40
0,lO
0,60
OP78
97,6
49,s
68,2
66,O
24
791
758
tlr&LEr
3,15
1,60
2,20
2,13
0,09
0,23
0,25
__II
108,5
80,6
89,0
72,2
798
450
23,9
Aour
3,50
2,6O
2,87
2,33
0,25
0,13
0,?7
I
99,0
93,0
67$
99,0
930
690
66,9
3,30
3,lO
2,25
3,30
0,30
0,20
2,23
-
OCTOBRE
97,0
78,4
62,9
86,8
10,s
84
67,O
3
3,13
2,53
2,03
2,80
0,34
0,26
2,s
75,0
64,8
57,3
69,O
Il,4
693
46,8
NOVEMBRE
2,50
2,16
1,91
2,30
o,38
0,21
1,5E
77,s
'67,O
59,2
71,3
=a
698
27,9
E=RE
C&M@,
2 ,' 50
2,s
1391
2,30
0,39
0,22
0,9c
57,7
55,2
52,7
56,l
14,6
14,6
17,7
JANVIER
1,86
1,78
1,70
1,81
0,47
os47
0,57
"II
2 8
EVrn
Tarie
Tarie
28,0
Tarie
Tarie
Tari.2
140
1,oo
TOTAL
736,3
542,6
549,8
620,4
71,2
70,9
281,4
DURIE
273
245
245
273
245
245
214
2,70
2,21
2,24
2,27
0,29
0,29
1931

1 8
LACMTIONS DE QUELQUES VACHESDE L'U.E. no 9 (Guendouf)
l
Vaches suivies
1
Ténrrins
.I
8 7
275
423
1 6
14
433
8 6
I
108,9
68,7
46,0 (29 9,s (93
31,7 (22j) 15 ,o (loj 13,2
1539
JUIN
0,53
/
3,63
2,29
2m
1305
1,38
1,50
0,44
90,8
66,3
97,7
47,7
70,l
66,O
6,5
738
JUILLET
2,93
2,14
3,15
1,54
2,26
2,13
0,21
0,25
87,7
67,6
92,4
ROUIY
I 49,0
68,2
76,9
857
192
2,83
2,18
288 1
1,58
2,20
2,48
0,28
0,04
-
107,4
ë2,5
105 ,o
53,7
-T-~~ 112,5 79,5 897 27,O
3,so
~~~~
3,58
2,75
1,79
3,75
2,65
0,28
0,90
81,s
i7,7
107,6
62,O
113,8
108,5
10,9
46,5
0cr0Bl?E
2,63
2,83
3,47
2,00
3,67
3,50
0,35
1,50
.
54 ,o
69,0
6O:O
54,0
90,o
96 ,O
690
39 >o
NOVEMEW
1,80
2,30
2,00
1,80
3m
3,20
0,20
1,30
52,7
65,l
48,l
52,l
80,6
89 $0
DECEMEW
3,7
3133
bxrtti)
1,70
2,lO
1,55
1,69
2,60
29
0,12
1,Ol
-
-
49,6
58,9
68,2
79,l
1,l (23 15,8 (23
JANVIER
1,60
1,90
2320
2,55
OP05
0,72
25,8
30,o
32,2
35,0
:FEVRIER
0,92
1,07
1,15
1,25
TOT~
658,4
595,8
620,7
402,4
667,3
644,9
58,7
184,5
DUZEE
273
273
265
251
265
253
236
236
MOYENNE
2,41
2,18
2,34
1,60
2,52
2,55
0,25
0,78
- -.- --

1 9
Nous obtenons les résultats moyens suivants :
- vache suivie :
601,7 1
en 261,6 j
soit 2,30 l/j
- vache t&min :
108,2 1
en 235,2 j
soit 0,46 l/j
Le rapport est donc de 1 à 5,5 pour les suivies, cela est considkable,
vu le faible apport alimentaire de 4Y.g de concent&.
C- Influence du mois de velage
Les animawc retenus dans les U.E. au wurs de cette première annGe ont
été choisis au hasard, ou plutôt selons les d&irs des éleveurs. ?Je ce fait,
les dates de velages sont assez étalées ce qui nuit à la cmparaison des lac-
tations entre elles, mais nous permet une étude de l'influence du mis de vélage<.
Les résultats figurent dans les tableaux no 12 et 13, il faut considérer
que n'ayant délruté le projet que depuis le mis de Tki 1977, certaines données
nous manquent. Mais les courbes tracées à partir des données recueillies nous
fan-t apparaître des points intéressants (waphique VI et VII). Il sismble que
le pic de lactation soit en relation plus directe avec les mis calendaires
qu*avec le stade de lactation. En effet, on constate que quelque soit la date
de &lage, le pic de lactation se situe toujours pendant les mis de (Août) -
SeptembE -* Octobre. Or il est évident que ces mis comespondent àla saison
des pluies et donc à la prbsence de pâturages de meilleure qualité. Cette re-
marque est valable pour les animaux suivis conme pour les animaux t&mins. Cette
comtatxrtkm nous peut d'envisager de mettre en place un nouveau th&re :
%gmupemmt des velages", en effet, si l'on étudie les courbes tracées à par-
tir des données et si on les compare à une courbe de lactation théorique, on
peut penser q.ue celle correspondant à des velages en Août est la plus proche
d'où le choix de cette période comne "saison de vélage", La saison de Saillies
correspondante se situant donc en Octobre - Novembre. Cette période est na-3-
lement favorable, car les pâturages sont encore de bonne qualité et cz&wt les
conditions d'un Flushing naturel. (c'est dsailleurs une pGrio& me de cha-
leurs chez les animaux locaux).

20
PROIXJCPIONS LAITIzJIEl?ENm SEXDNLEMOISDE VELAGE
(S : suivi>
CT I témoin>
-
-
- 1,05 2,27 1,96 2,35 2,34 2,04 2,lO 1,45 0,89
S/T1 2 3
4 5 6 7 8
9
10
11
1 2
g
s - -
1,65 2,40 2,13 2,33 3,30 2,80
-
-
1,81
-
!Ii
$0)*
ITI-I-I-
~0,78~0,25~0,77~2,23~2,16~
- 1 - 10,571
-
--A-S/T
3 4 5 6 7 8 9
2,20 2,85 2,10)2,10~1,75)1,40~0,96~ - 1 - 1 - ] - 1 - 1
I
1
I
I
I
I
t
i-+1
- ~1,80~1,36(0,9510,60(0,J+1~ - 1 - 1 - 1 - 1
.
I S/T 112
5
6
7
8
9
10
11
1 2 I
- 4,30
E 3 43,08 2,302,001,711910 - - - - -
+
I
I
1,95 -
- 0,59 0,61
-
-
-
-
-
I
*
CZnsmble des U.E.1
. . . / . . .
TAECEAU12

2 1
PRODUCTION LAITIERE MENSUELLE SELON LE MOIS DE VELAGE
(Vaches suivies uniquement)
3
4
5
6
7
8
9
20
11
12
Vélageen
Mai
u 2,96 2,53 2,50 3,16 2,73 2,05 1,90 1,75 1,OO
-
-
1
2
Wageen 2,70 2,8S
s e p t - +
Gkmmble des U.E.)
TABmu 13
D - Analyse qualitative du lait
Des p&lèverwxts sont effectués dans les U.E tous les mois, et le Labo~~-
toîre analyse un pr&èvement de lait de mélange pour chaque unité. &tiw
ont débuté en Septembre 1977, et ma&& le faible nombre de r&&tats, nous
pouvons déjà avoir une idée de l'évolution qualitative de ce lait.
. .
. . . / . . .


M
23

2 4
Lesr&ultats figurantdansletableau14,ms~
àfairel~cm-
mentaires suivants :
1) Matière sèche
Elle varie nettement selons les U.E, celles ayant les vaches les plus
pmductrices ont le taux de M.S le plus faible (U.E nb 12 et 9).
2) Matière grasse
Même remarque que pour la M.S
3) Nombre de gemnes/ml
En 78 on constate que le lait n'est que lé$kremmt contaminé, le nom-
bre de germes/nil variant de 198000 à 348.ooO. Cela est relativement
faible, et est du en partie aux conseils de l'agent responsable et de
l'utilisation de matériels plus r;iropres et facilement lavable (seaux
plastiques, etc...>.
. . . / . . .

2s
ANALYSE QUALITATIVE DU LAIT DES U.E.
t&ti$e Matière
Contaminxtion
Jniti
No
tP==
azotée nombre de genneshl
77
-
-
-
-
I
-
I
12
Z!F 1,032 128,8
7,27
68,20
47,oo
38,80
I 198 .OOO
Légibement cona
77
1,032
141,4
6,84
42,96
41,44
36,25
9
I
837 000
contaminé
3
1,032
144,6
7,oo
68,oo
37yoo I 3ay40 I
77 1 1,031 ( 16o,3 / 7334 j 43,67
52,21
6
l 44,29 I 1.73o.ooo
Wi% contaminé
;,;l 1,030 1 16031 j 7J4 1 63,4o
72,80
43,62 1
348.800
I
contaminé
77 1 1,031 1 157,3 / 7,4+G- 56,18
37,51
2.238.OOO
Tkès contaminé
1
578F 1,031 156,l
7,38
60,92
65,10
38,62
319 .ooo
contaminé
77
1,031
157,3
7,47
42,52
56,18
37,51
2.238.OOO
2
Tri?s corrlxminé
?!i
I
1,030
161,6
7,22
60,22
71,00 I 39,24 I
31o.m
contaminé
77)
- l- ) - / -
1 1
x1,1, 1,030 1 172,8 1 7,25 1 6%3o 65,00 41,20
2oo.ooo
Légèrmlentmm
77 1 1,031 1 154,Ol 1 7,28 / 42,92
51,50
38,89
1.76O.OCO
n?ès contaminé
LOTAI. ;*;I 1,031 / 154,oo ) 7,23 1 &;y 59,55 39,98
282 .ooo
IIé-t e
L'année 78 ne concerne que les mis de Janvier et de Février (J.F.).

2 6
IVCONCLUSIONS mWXS ET ?ROBLEMES DE SUIVI RENCONTRES
Le présent travail de synthèse réalisé après 10 mis de fonctionnement
du projet "pmwtion laitière" a permis demettre enévidenceuncertainncm-
bre de faits qui kitent d'être soulign&tant dans le damaine de la pmduc-
tion laiti&e en milieu paysan, que dans celui du suivi pmpsé par le projet.
4.1 : FMdwtion laitière en milieu paysan
4.1.1 : Faiblesse de la pmduction : le projet a pemis d'obtenir des
données chiffkées dansce domaine encoremal ex@o~.Bnsles
conditions mrmles la @uction laitière est faible, 108 litres pour
une lactation de 235 jours soit 0,46 l/j en myenne.
4.1.2 : L"aliméntation : est pour le mment le facteur limitant essen-
tiel comne le soulignent les faits suivants :
- le p& de production de la lactation ne se situe pas par mp-
port à la date du velage, confo n&ment à la courbe classique, mis ap-
para& toujours en hivernage,~riode correspondant à des conditions a-
limentaires plus favorables ;
- la distribution journalière d'un complément alimentaire permet
d'extérioriser une production plus de 5 fois supérieure à celle des té-
dns (600 litres en 261 jours soit 2,3 l/j en moyenne) ;
4.3.3 : Enfin, la lactation est beaucoup plus abondante quand la mise
bas survient au début de lthivemage. Il faut donc sseffomer
de regrouper les saillies au mis de nov~ ou début décembre pour
obtenir des naissances en Juillet ou aoQt.
4.2 : Réaction des animaux à la complémentation
4.2.1. : adultes : si la ccmplémentation a eu des effets indiscutable-
ment favorables au niveau de la lactation, il ne semble pas pu'-
il a soit de &me en ce qui concerne l'état d'entretien ou la cmissan-
ce des animux. En effet, la totalité des nW&ments apportés par le
ccxnplément correspondant à la production théorique, n'a pas étG utïtisk3
pour la lactation mis, a pemis d'assurer une partie de lgentretien de
. . /. *..

2 7
l'animal. De ce fait, les vaches suivies, en raison des facilités de subsis-
tance qui leur étaient offertes semblent avoir manifesté une certaine désaf-
fection pour le p&urage m&me et surtout en hivernage, époque où ce dernier
est abondant et de bonne qualité. Il en est résulté, à cette période, une crois-
sance mzdndre chez les suivis que chez les témoins.
Il s'agit là d'un phénomène préjudiciable qui peut être, soit une consé-
quence obligatoire de toute complémentation des animaux au p&turage, soit te-
nir à la nature du campl&nent administré. Cette intemiogation reste posée et
il conviendra dans l'avenir de tacher d'y apporter une réponse.
4.2.2 : Les jeunes : La ccxnplémentation des jeunes n'a pas eu d'effet si-
gnificatif sur leur croissance et par rapport a~tésrwins. Ce fait peut être 1%
au phénomène précédent. C'est-à-dire une moindre ardeur des animaux ccmpl&nentés
à exploiter le pâturage, mais il peut ter-k également à une Ir&e plus ccmplè-
te chez les femelles suivies. Il peut enfin r&ulter d'une ccmpxition de l'a-
lime@k &lisé mal adaptée à la nutrition du jeune. Dans ce dcmaine également
leprotocole est à revoir.
.
4.3 : Problèmes rencontres au niv&u du suivi
Le suivi n'a pas toujours été effectue d'une façon aussi rigoureuse qu'il.
aurait dQ l*être.
ceci est dQ surtout à un manque de personnel, un seul agent, mal& son
d&ouement, ne peut faire face à toutes les tâches qui lui inccmbent et qu'il
faudrait encore élargir. De plus, le véhicule dont il se sert lui a fait plu-
sieurs fois défaut pendant des p&iodes plus ou &ns longues ce qui a forte-
ment CXXQX&S la continuité des observations.
Un facteur très génant dans l'interprétation des résultats, rësulte du
xnnke insuffisant des t&wins ou de leur caractère@xxlique.
Les paysans, en effet, acceptent les contraintes au niveau des aniw~~
suivis, mais C=ent K& la nécessité des témoins et mettent peu @enthow
siasme à en désigner, ou à les manipuler lorsque le besoin s'en fait sentir.
L'identification des anir~~ux a parfois été imparfaite. Les marques utilisées

2 8
ont été trop souvent arrachees et perdues. Les incidents ont contraint à des
marquages successifs, source de fréquentes confusions.
Par manque de personnel, des obswations sur la totalité des tmupeaux
d'& sont issus les animaux suivis, ont 6té inccunplètes. Il est indispensable
de connaître rapidement les paramètres essentiels de la reproduction (p&iodi-
cité des vélages, espacement entre les mises bas, mortalité des jeunes) qui
ne peuvent &tre obtenus à partir du petit rmibre d'animaux suivis.
Enfin et d9une façon générale, l'efficacité du suivi a dépendu des ethnies
intéressés, et le protocole a porté plus de fruit chez les Peulhs que chez les
Ouolofs. Ceci tient essentiellement à une g,-&$cm différente du troupeau dans
l'un ou 19autre des cas, chez les Peulhs, la gestion est directe tandis qu9elle
est assméepar inter&diairedebergersrémnér&
surlapmductionchezles
Ouolofs. Ce dernier mde ne va pas sans poser des difficultés entre pro-ai-
res et bergers au niveau du partage des fruits du suivi et du paiw du cm-
plJ%Tmt.
VPERSPECTNES D9AVEZIR
La rkadaptation du projet doit tenir compte des problèmes apparus au COUPS
de cette première phase et déjà soulign&, et du fait que certains éleveurs pa-
raissent aptes à progresser plus rapidement que d'autres et doivent donc faire
l'objet de mesures spéciales.
Ces deux aspects impliquent le renforcement du personnel affecté à cette
opération, ainsi que des myens mis à sa disposition.
L,e premier problème concemie la complémentation et lrétat d9&itreti. dés ani-
lIEU.lX.
Pour remédier aux inconvénients signalés une première solution consiste
à changer le type de complément utilisé, La graine de coton devrait &re es-
sayée. En effet, elle est de nature à fournir des quantités équivalentes d'é-
nergie et de matières protezques sous un plus faible volume. Ce qui très pro-
bablement i.nterfére??ait
mi.m que 19aliment actuel, au niveau de 19utilisation
du pâturage.
. . . / . . .

2 9
La deuxi&ne solution repose sur une gestion diffkente du troupeau et
peut être pposée au niveau des "éleveurs de pointe". Elle consisterait à
faire alterner 19utilisation du @turage et la s-tabulation libre. Les cinllTklu;-
seraient x-et&% du @turage dès que ces derniers deviennent insuffisants et
mwis tot-alement à l'&able jusqu'à la prochaine saison des pluies.
Nous devons nous efforcer de tester l'une et l'autre de ces solutions.
Regtxxpemerrt des naissances
Ckmne nous lvavons souligné,l'époque des naissances la plus favorable pour
la lactation& Bdevenir du jeune, se situe en hivernage et particulikrement au
nrois d'aoQt. Dans les conditions normales, on observe dans l'année deux pério-
des de plus grande fkéquence des naissances ; l'une au début de lVCann6e fjm-
vier - février> et l'autre précisément en juillet ou aoGt. Fbur parvenir en
un regroupement des naissances en hivernage deux méthodes peuvent être utilis6es
Ecarter du troupeau les mâles et ne les y rdintroduire qu'en nownb= ou
d&tnbre ,
Agir sur les femelles en provoqua& et en regroupant les chaleurs aux mê-
mes époques fovorables. Gn en revient alors au problème de la synchxr&ation
des oestrus pour lequel, i>eu de données précises existent, à l'heure actuelle,
enrégion ~picale.
L'essai de cul~fo~agè~qui deva.&
être &alisé au début de l'hi-
vernage dernier et qui avait recueilli l'adhésion de la plupwt des éleveurs
du pjet a buté sur des conditions climatiques à propos desquelles il es-t inu-
tile de stétendre. De pareilles cirwnstances peuvent se remuire et il parc&
indispensable de dôter lesmspabteursde moyens permettt d'éviter le renou-,
vellement de pareils échecs en leur donnant la ~ssibilité de mettre en place
et d'assurer la rkolte queué que soit l'importance ou la r&artition des
pluies. L'essentiel de ces myens est 1% aux possibilités d'krrigation. L'é-
quipement hydraulique qui paurnsit Gtremis en place dans cette région, ccmpo-
sé de petits fcwges ou de puits à débit suffisant ne peut &re envisagé seule-
mentpourune production fourw@kemais devrait permettrededéveJopperun
système associant cultures fourragères et waîch&es, les unes &$ect&s en
. . . / . . .

hivernage, les autres en saison sèche. Les éleveurs sont prêts, dans la mesure
de leurs possibilités, à participer à cet équipement. Il appartient au pmjet
de mettre au point avec la collaboration des services techniques cmpétents,
un pgrame d?hy&aulique adapté à la Agion, et ensuite de prospecter la
soume et les mcdalités de financement pmnettant sa réalisation.

ANNEXJZl : ALIMENTSDISTRIBUES -
PL 1
(Vaches suivies)
PL1 : Coque d'amchide
mm
Q
MS
U.F
MPd Ca
P
Coquearachide
2s
20
0
375
120
10
Mélasse
1 5
11,3 1 2
225
3.3,s
1 2
Son de blé
40
35,2 2 8
4472
35,9 452
Tourteau parachide
3
2,7
2,8
1415
2,9 16
sc%ho
1 4
12,7 12,8
1072
3,5 4599
Granicalcim
2
198
600
sel
1
08
100
84,5 55,5
7559
775,8 535,9
Soit
096 UF/Kg
MPd/UF = 136
75,6 g MPd&
PL1 : mue graine de coton
COMPOSANTS
Q
M.S
U.F
MPd Ca
p
Coque graine de coton
3 7
34,4
9,62
148
4 3
4898
M&asse
1 5
11,2 l2,7
4 5
l3,5 l2
Son de blé
40
35,4 2 8
4472
36.1 455
Tourteau arachide
6
5,5
6
2688
4,9 2w
Carkonate de chaux
2
193
600
100
86,6 55,62
7533
697,5 545
Soit
MFWJF = 135
. . . / . . .

ANNEXE2
: ALIMEXEDISI'RIBUES - PL2
tkaux suivis)
COMPOSANTS
Q
M.S U.F MPd Ca
P
Son fin de blé
16
, 14,24 12,32 1.724 15,9
170
2 2
20
20
1.685
5,6
7 2
Ma!is
3 5
3 1
38,l
2.376
4,6
9 3
Tourteau arachide
7
6,42
7,28 3.301
6,9
38J
Farine de pisson
8
7,84
6,24 3.792 441
241
Mélasse
7
5,25
5,6
Bicalcique
136
1,28
352
272
Calcium
099
0,72
270
CNV bovin
2,5
2
Huile de foie de mme
0,25
100,25
88,75 89,54 12.878 1.096
886
Soit
0,89 UF/Kf
m/uF = 144
128,5 g MPd/Kg

PROPOSITIONSPOURUNEASSISTAN~AuX
ELJEVEURS DU PRCMET "PROMCEION LAITIERE"
Les pâturages naturels de la région de Sangalkam sont complètemnt épuish
et les animuxcomnencent à souffrir de la faim. Lemmentpara!kvenu,
com
cela avait été envisagé, d'essayer d'apporter une aide alimentaire étendue à
la totalité du cheptel des éleveurs participant au projet.
En premi@?e appmximtion cette aide devrait intéresser appmximxtiwmznt
250 têtes.
La formule alimentaire qui pourrait être utilisée et qui para& la plus
avantageuse est la suivante :
Q
MS
UF
ca
P
Prix
Coque de grain? de
coton
6.
55,8
1 8
240 j 69,7 1 79 1 195 1
Cms son de blé
38
33,4
26,6 4248 34
429
456
Carkxmate de chaux
1
0,8
-
300
-
-
Sel
1
0,8
-
100
91,0
44,E 4488 1403,7 1 508 1 716 j
4 kg de cette formle/jour/animl apportent 1,76 UF 178 MAd 16g de Ca et 20 g
de P pour un prix de revient journalier de 28 F.
Pour une complémntation de 90 jours et pour 250 animwx les besoins en
pmduits de base seraient les suivants. :
Besoins'~ dimrrt.
4 x 250 x 90 = 90 tonnes
mue de graine 90 x 0,6 = 54 T à 3333 R-s/+ = 179.820
son de blé
90 x 0,38= 34,2 à 15000
= 513.000
calcium
90 x O,Ol= 0,9 a 50000
= 45.000
sel
90 x O,Ol= 0,9 a 15000
= 13.500
F!répamtion et transport 3 Frskg
270.000
Total projet
1.021.320
Cet alimnt pourrait être cédé à raison de 5Fks le kg, ce qui correspondmit
pur las &lm & une dépense joumalike de ZCFrs/jour/animl.
'Récapitulation
Coût du projet
1.021.320
participation éleveurs
450.000
cr&iits à rechercher
571.320
2.042.640
-1---w----
----------