TNSTITUX SENEGALAIS DE RECHERCHES ” AGRICOLES ...
TNSTITUX SENEGALAIS DE RECHERCHES

AGRICOLES (X.S.R.A.,)
I
‘I-eCI.T.m.nLI
". LABORATOIRZ NATIQNAL DE L'ELEVAGE
, I
i
ET !JE KECZiERCHES VETERINAIRES
IDW--HANN
NOTE SUR LES CARACTERES CULTUR.&JX ET LA PATHOGENICITE
3E LA SOUCHE PPRV/75/2 iaE PESTE DES PETITS RLMINANTS
Par Y. LEFORBAN S. CISSOKHO, li. TYIOUNE
REF, LVü 77/VIRO,

INTRODUCTION
Le virus de la Peste des Petit s ruminants est difficile à cultiveret les
.:
souches conservéesp meme sous forme lyophiliséep
ont parfois du na1 A redémarrer
I
(observations'~personnelles).‘ '.
De plus, nos tentatives d'isolement A partir do foyers en 1984 ont été
infructueuses: bien que l'antigène précipitant spit régulikement
mis en évidence
,
dans les organes (ganglions, poumons;7 raclages de muqueuse intestinale) de chè-
vres atteintes'par la maladie naturelle ou expérimentale (LEFORBAN et Coll.,
1984).
Il nous est donc apparu'intkreosant d'utiliser une souche exogène
(Nigé-
rianne) et d'étudier son comportement cultural et sa pathogenicite sur les chèvres
senégalaises.
a.'
I- HETHODE ET PROTOCOLE
A. Origine de la souche
:.
2.'
Il s'agit de la souche isolée à VON au Nigeria ‘en 1975 à partir de cellules
:
epithéliales de gros intes,tin d'une shevre atteinte de Peste des Petits Ruminants
(TAYLOR et coll., 1979). Elle a d'abord Zt6 Cultiv&e par l'auteur sur cellules
reriales primaires d'embryon de mouton en utilisant le milieu 199 additionne 'de
5 p,lOO de serum de veau nouveau-neo avant duetre adaptae aux cellules- V&=o
(cellule de lignée de rein de singe : Cercopithecus aethiops).
Cette souche ous a eté confiee le 16.10.1984 par lc Dr NGUYEN f3A "QY, Qirolo-
7
.,.
giste à lîIEMQT (Institut d'Elevage et de ki&decine vétérinaire des Pays tropicaux),
sous forme de deux ampoules lyophilisées correspondant au 8éme passage sur cellule
.!
Qéro (lot du 2,03.1983),
:
&

- 2
_ c
B. Etude des caractères culturaux de la souche
Cette souche après reconstitution dans du milieu de culture a étlé pass& sur
:
tubes roulants de cellules Véro âgées de 2 à 4 jours : le milieu utilis6 est le
Hyla (milieu à I'hydrolysat dwlactalbumfne)
additionné de &rum de veau à la
concentration de 10 p.100 pour les czllules:avant oriaculation et 2 a 3 pc100
après. Les tubes peuvent ainsi être gardé jusqu'à 20 jours après l'inoculation.
L'inoculum viral d'origine est de 0,2 ml par tube.
Des essais de.culture de la souche virale en cinétique ont également étk
effectues o les cellules sont mélangees au virus au moment de la trypsination,
les tubes sont laissés stationnaires pendant 24 à 48 h puis mis en rotatïon ; la
concentration de sérum dans ce cas est réduite à 7 p.100 et le milieu est chang&
après 2 jours et remplacé par du milieu à 2 ou 3 p.100 de sérum,
Des passages alternés sur, cellules primaires dPembryon de rein de mouton ont
aussi ét& faits,
Cette souche, après 12 passages sur cellule Véro, a été utilisée pour rechw-
cher les anticorps anti virus PPR dans les sérums de 12 moutons de la zone de,
Ndiagne département de Louga avant et apres vaccination avec le virus bovipesti-
que de culture cellulaire (Tissupest). La s6Sroneutralisation est faite en micro-
plaque par la méthode cinétique o à virus fixe 100 DTCP50 (Dose infectieuse cyto-
pathogène 50 ~~100) et sérum variable: en dilution arithmétique dc raison 2,
I I
La spécificité de la douche a hgalement été contriil&e par séroneutralikition
avec le sérum hyp-erimum anti peste bovine purifié de lapin préparé au japon et
fourni par la, PAO,
:
'.: .<
<
CL' Etude de la pathogénicité
Trois chèvres de race sahéliennc ont été achetées dans les Hiayes au Nord. dti
:
-%
Dakar, région oii la peste des petits ruminants n'est pas signalée,
,.
Ces chèvres sont gardées en observation pendant 12 jours au Laboratoire avani;
I
dFêtre inoculées, A leur arrivée, elles sont identifiées par une boucle auriculnirc

et déparaait6es avec le Fenbendazole (Panacur XD.), elles sont.aussl traitéeo.
contre la Coccidiose pendant 5 jours 9vec I%mprolium (Amprol N.D,),
La temp&ature rectale des animaux est 'rclevee tous les jours à partir de
leur arrivge et les chèvres sont gard& e s en observation pendant un mois apres
leur inoculation. Celle-ci est faito par voie sous-cutan&e au niveau de luencolure
le ,volume de l'inocul<m variant de ï & 5 ml,
Un prêlevement de sérum est effectu6 lc! jour de l'inoculation et un mois
après celle-ci,
Les anticorps sont titrés à la fois sur tubes et sur microplaqua par 13
methode en cinetique décrite plus haut,
Des Qcouvillonnages nasaux sont pratiqués au moment de la mont& thc'rnique.
Les virus sont rwberchés dans ces 6couvlllons par passage sur cellulaa rénales
dFembryon de moutons ; 3 passages sur oel7ule sont effectuGs pour chaque &couvil-
lon.
Les nnkmaux fontl’objet d'un examen clini.qw! journalier et tous les symptôaies
sont rapport&,
RESULTATS
A. Caracteres culturaux de La souche
Le premier passage à Dakar 3 sur tube de cellules Véro (9ème passage total)*
ne revèle aucun effet cytopathog&ne (ECP) apres 13 jours* Les tubes sont congelés
et dBcongelés et c'est au 2ème passage à Dakar (1Oème passage V&o) qu'apparaissent
certaines zones r&fringentes sur Le tapis a partir du Berne jour9 ceci aux plus
faibles dilutions
1 . .
de virus (pur etm emo),
Les essais de culture en cinétique ne donnent pas de meilleurs r&ultats
,,, _.-.,"
que' l'inoculation differée du virue,yut-,nt au developpement l'ECP,
La souche au ïOème passage VGrop repassée 2 fois sur cclluï~de rein
d'embryon de mouton n'a pas montxG non plus d'ECP et en consGquence, nous n'avons
pas poursuivi les passages sur ce substrat.
/

- 4
*
Au llG!rna passage V&o, l@ECP devient plus net, les plages réfrigentcs appa--
raissent entre le 4ème et le Qème jour et das cellules ,arrondies .sa d&tcichcnt tiu
tapis. De plus, au 8&me jour> 1'ECP est aussi observé dans les tubes inocules
1
i
avec le virus dilué au m et au l~oû &me;.
Au 12ème passage (4ème passage Dakar), 1'ECP devient très net avec dz nom;
breuses cellules arrondies et très tSfringentes,? bu 8ème. ~DUT~, il touche 7C; à 6.0
p,l# du tapis cellulaire, mais assez peu de cellules se détachent, cr?lui-*ci
demeurant .complqt.
Le 6ème passage est ef£ectuQ sur bofte de Roux de manière à r%oit~ uac
quantite de virus suffisante pour constituer une banque. Cette fois, la r&olt,::
est faite en 2 temps : première rscolte au 4ème jour en d8but d'&ppurition du
l*ECP, le surnageant est recueilli et remplaci! par du milieu neuf, La rGcoit;.
finale3 est faite au 8ème jour, lorsque 80 p,lûO des cellules environ son? KCX~~~U~~
Les flacons sont gardés congel& à -3O'C.
Le titrage de ces deux récoltes a QtG effectué sur deux lots dfffCrants du
virus en utilisunt la technique cin&ique en microplaque. Les titres sont donnas
au tableau 1, ils sont exprimhs en DICP 50 par ml.
Tableau I : Titre du virus PPRV/75/2 au G!ème passage sur cellules 'V&o
La deuxième rhcolte du lot 1 a ~Ztc divisge en 2 parties9 l'une A Gt;G rGp.~:~eiti
-:
en aliquote et congel& à -30°C, lDautre a Gté lyophilis&e en utilisant zomm~2
.
tampon le milieu de Victor à p%7,3 '(1 partie de virus9 @sur 2 parties de t&.zpon).
.'
<'

- 5
CLest le virus congel& qui a Gte utilise par la suite pour le tc&t de sera-.
neutralisstion sur microplaque en utilisant 100 DCY 50. Lz lecture du test est fait6
faite au Berne jour,
B. Tests de skonautralisation
La souche de virus est neutralisée par le s&rumw anti peste bovine
a un titre superleur au -
1 eme.
4 0
Les rgsultats des seroneutralisations des serums de moutons sont donnes au
tableau 2. Il appareit, si 1"on considere ie seuil de positivité des skums au
1
10 ème, que- 5 animaux'&r 12 ont d?s anticorps anti PPRY avant vaccination dont
l'un a un titre élevE (&IO
Tous Iles onfmaux negotifs avant vaecizlation ont au plus 2 ans, mais un jcunc:
ovin de 12 mois (n" 3097) a dos anticorps avant vaccination (titre : & 1.1 ne som-
ble donc pas qu'i3. y ait do ralation stricto entre l'gge de l'animai et le titrr
dvanticorps anti PPRV bion quo la pr&encsdP,a soit plus frequente chez 1~
animaux Zges,,
Chez 7 animaux sur 12, la vaccination avec le vaccin Peste bovine n'a pas
entra"mé de montkd'anticorps
anti PPRV,
Chez les 5 autres> la mont& d'anticorps est variable mais elle est particu-
lièrement importante chez le 1253 OUI lu titre est passé du & è-me au 1.
*
m eme.
C. Pathogkkitê
Conctirnant les expBrimcntations sur :In chevre, ii faut tout dPsbord souligner
le probl&w dc l'adaptation de cette
\\
Gspece 8. la claustration et au nouveau régime
alimentaire.
Ses difficultes ont dij& rt<i remarqueos par de nombreux aut&rs,
Cet-@'adaptation
_-
zntralne une grande variation dans la tempëraturc rectale
des animhx, Ainsi, pendant la @riode dz pr&inoculation, la températurc rectale
des animaux a vari. entre 38"2 et 4.O' po~z: la ch&vre n"73, 37O8 cl: 40" pour la
chèvre n"74$ 37'6 et 39'6 pour Pa chcvrti n"75.

-6
Tableau 2 : I$ésultat du titrage d'anticorps chez 12 ovins de
race Pa,uïh-Peulh avec la souche J?PRV/75/2.
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Numiro
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* Les animaux ont Sté vaccinés avec le Tissupest (virus bovi*pestiquc de culture-s
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cciluiairas) efi"utilisait"ln dose recommandée par les bovins (2 1 0 2!. 5 DLCF SC> e
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-8
En cons&quence, les animaux ne sont consid&r& en hyperthermio quk lorsqw;
la températurc rectale dépasse 40°'C.
Le rksultat des inoculations est schematisé sur le tableau 3.
Aucun des animaux n'avaient d'anticorps avant lYinoculation titx% < ,i 115
ont tous trois d&clopp@: des anticorps contre la soqcha inoculée kit& >4%mej A
Les réactions à l'inoculation ont &e modérkas : la montee thczmiqus n'r: zItl?
observée que sur les chèvres 73 et 74 l'une au 2ème jour0 l'autre au Gnie jcilx:
Les symptômes sont demeur& frustres (toux fugace? legère diarrhée, anorc?xie)-
L'animal n"75 n"a dkveloppé aucune reaction thermique, ni aucun syrapt&e eçsorit
bien qu'une montée des akticorps ait éte nothe.
DISCUSSION
Concernant les caractères culturaux, il est apparu que cette souche wt
difficile à redemarrer après lyophilisatioa mais qu'après 4 passages sur cellule
Véro, I'ECP est devenu plus net et particulièrement &Vident à partir du t5ér-1~
passage a Dakar p ceci tant sur tube qus sur boTte de Roux.ee sur microplaqw,
Les 2 passages effectu& sur csllule de rein de mouton n'ont pas pt-rmis
le développement dPune meilleur ECP,
Le W~G le plus Elevé est obtenu quand 70 à 80 p,fOO des cellules pr~~eat:?rt
,.
des lésions : celui-ci estobtenu entre .le @me et le Sème jour.
La technique de séroneutralisation en microm&thode mise au point dwne 3.:~
resultats tr& fiables :'les memes s$rums de moutons titrÉs à deux rkprlsos
avaient dans les deux cas des titres identiques,
Cette technique Utilis&e avec le S&%U~ hyperimum de lapin antipeste ~zvT~;~
a permis d'identifier la souche PPRV/75/2 comme proche antig&niquencnt *Zu aime
peste bovine puisque neutralis6
2 un titre çupkrieur à 1/40ème,

2 posent le problème de la ~îrcul~tian du V~~US PPR dans les troupeaux sans symp-
tome clinique, S'agissant d'ovii?, ceci semble. rtre la rcgle, car nous n'avons
jamais observ& de réels foyers de peste àes petits ruminants au SGn&gal dans; cet%
espèce. Dans ia zone ou fec sErums ont éte pr&w5 (Xdiagne)p aucun foyer de PPR
n'a, non plus, :?t& obçcyvg dz,ns 1' couac:: -aprine et pourtant la virus semble, prQ--
1
sent puisque l'un des sérum ovin a un tâtrï supérieur au 320 &TW avant vaccination.
La mont& d'anticcrps anti PPR,aprè s vaccination avec le vaccin boviyestiqut,
est inconstante : Ella n'cs.1: obscrvec: que criez 4 animaux sur 12 F l'on est en
droit de 8.~ demander si Ila seroneutralisation avec le virus P2R detacte les anti-
corps anti P?R, anti peste bovine ou les deux à la fois, La r&ona~
à cette qws=
tion pourra être apport&
SI kprouvant les mêmes serumç vis-à-vis du virus peste
bovine comme cela a étQ fait au Nig&Aa (TAjlLOR, 1979).
La pathog&nicittG chrz IAS trois chevres da la soucis-: inoculee A diffkrsnts
passages sur Ygro paraït axtrkmcnt faible. Comme nous l'avons dejà souligne,
les montees thermiques post-inocuiation sont difficiles à interpreter compte tenu
de la grande variabilité de la températurti rectale des chèvres maintenues en clauç-
tratlcn, On peut cependant considerar que 40°3 et 40"6 correspondent 5. la r&action
post-inoculation, Quant aux sympt%ets observés, ils sont à la fois tardifs par
rapport à la rFaction thermique, et discretso
rjes étudesde pathog&.icite ont daj& $t$ effectuées avec les souches daka-
roises passier sur rein d:embryon de mouton h des temperatures diffgrentes 37 et
40" (GILBERT zt V~il., i962), M~is :ks ZB~SIÇ de vaccksation avec cette souche a
différents niveaux de passages ont &t& decwants, celle-ci gardant un pouvoir
pathogène rEnidu.:f important m&e epres 55 passages (BEETAZRT, 1373),
Nos résultats a,vcc la souche nlr.';arîanna adaptke aux V&o, concernant seulement
trois chevres et il faut se garder *de tircr.des conclusions hatives concernant 6%
faible pathog<nicit&.
Des études c«r:p3..&~~~éaires
cievront Ztre faites eur un plus
grand nombre dPan.imaux pour juger de <:elle-ci, Le facttiur racial peut Egalement
intervenir (chkcs guinéennes :~lus sensibles que chèvres sah&liennes 1)"

- 10
Le virus obtenu après plusieurs passages sur V&ro,ayant un titre ~ela~i+~~
ment éleve 10 59.2 DICP 50, les inoculations pourront Ztre faites avec des qua~~ti-
tés de V~INS bien dêterminées et lPeffet de la dose pourra ainsi. etre ~,esure,
I
' .i
CCNCLUSION
'
:
La souche PPRV/75/2, objet du présent travail, parart extrêmemenlr il-&r-~,:~-,
sante pour les futures recherches sur la peste des petits ruminants ~11 SonGg:~.'.:
Les axes de recherches pourraient être les suivants :
I
- comparaison entre les titres d'anticorps anti peste bovine et anti pcstd d.;;
petits ruminants dans les &es serums
- poursuite de lVQtude de la pathog6nicité de la souche & différents nkv~?w~ .;:J
passage sur V&o et à différentadosq
(mise au point d'un vaccin homoiogu.-)
- comparaison de la souche nigérianne 2t des souches sérkgalaises,
RESUME
Les caractères culturaux et la pathogenicité de la souche PPRV/75/3. 61s
Nigéria au Sème passage sur cellule Véro ont été étudiés.
Après 5 passages supplementafres,
elle produit un effet'cytopathegene :ET 0
Cette souche a été utilis&e pour la recherche d'anticorps neutralisunts ahfi. 1 Y
dans les sérums de petits ruknants en micro-méthode.
Son inoculation â trois chèvres depourvues d'anticorps sériques T;'? provr:':!~;
qu"un léger pic thermique chez deux d'entre elle s suivi d'une symptomotolo$e
'EL(:~
frustre,

1 - BEFAZET (B.) --. L-a peste! des pet:ii:S rlmin3nts c Gtude exp&imcntale de In
vacclnstion, Th&se DOCC, vk. Toulousr> 1973.
2 - GILBERT (Y,), MONNIER (J.) .. Adaptation du virus de lu peste des petits rumi-
nants aux cultures ceilulairas. ~~~J.~~e.'J.~i~d.vet.
Pays trop,, 1952, 4 (15) i
-
321-335 0
3 - LEFEVRE (P,C,) *- Feste des petits ruminants et infection bovipestigue Iies
ovins et caprins. Maisons--Alfort, EFkWï, 1982.
4- LEFORBAH (Y,), CPc3SOKHO (SO), TRIDUNE (Mo), BIJREAII (F,) '*' La syndrome '*peste
des petite ruminrants"9'8chez
la ::Gvrk: ; observations de foyers et iytude expkk-
mentale. LNEkV Dakar. Rdf. n"GiO/VIRO, juillet 2304,
TAYLOR (W;E,) a=. Serologicnl stüdkx
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Res. Vdt.. Sui., i975, 26 : 236-242,
-
TAYLOR (\\J,E.), ABECXNDE (As) -a Isolation of peste des petits ruminz~ts virus
from Nigariî sheep and goata
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