. i/mA A l z REPUBLIQUE DU SENEML ...
.
i/mA A
l
z
REPUBLIQUE DU SENEML
-.m-w-----
INSTITIR'S'ENEGALAIS DERECHERcHES
1
AGRICO~ (I.s.R.A.)
M.m.M-Im---
L,mo~TOIRE NATIONAL DE L'EI-EVAGE
EZTDERECHERCHESV~RES
B.P. 2057
P
SYNTHESE DES TRAVAUX DE R :HERCHES ENTREPRIS
PAR LE SERVICE D
VIROLOGIE
de 1965 à
380
.
Juin 1980

-2
I- LA PESTE BOVINE (P.B.1
A - fise au point et an-klioration du
cin de cuit= cem.da~ (C'l')
Dès 1965, la mise en place de la
gne conjointe de vaccination
contre la P.B. dans les états de 1'
e de L'Ouest, dont le Laboratoire
de Dakar est le principal fournisse
essite la production de grosses
quantit&de vaccin.
vaccins antibovipestiques.
se renverse et
s sont abandonnés.
La mise au point définitive du vaccin
a suscité un certain nombre de
travaux : arklioration des conditions
production du virus, recherches
de cellules de première explmtation e mise au point de lignées cellulai-
res, amélioration de la themrésist
e du vaccin lyophiliséavant et après
remise en suspension.
Pour remédier au manque saisonni
de reins d'embryons de bovins, on
a recherche. d'autres supports cellul
s pour multiplier le virus :
a) Utilisation des cellules épithé
s thyroXdiermsde bovins adultes
(1965). La culture est facile à
iser, le tapis est complet en 4
jours9 le virus récolté 6 jours
s l'inoculation titre 10 5~5 DICT/5(
par ml. 1nconvénient:le rendement
cellules est faible et il est
Mispensable d'&tenir des thyro
s d'animaux jeunes et en bon état
physiologique.
. . . / . . .

-3
b) Mise au point d'une lignée cellûlati de rein d'embryon de veau : cette
lignée n'a pas pu dépasser le 42&ne : Lssage (1967).
cl Mise au point d'une lignée cellulair d'hépatocytes de kwins adultes
(1969-1970). La lig&e a été établie mr RIOCHE, elle atteint 134 pas-
sages. Malheureusement, elle est héti oploïde et ne peut ê-k-e utilisée
pour la production de vaccin, mais e : réservée au diagnostic ou aux
contrôles
sérologiques.
d) Utilisation de la lignée MDBKC (1966 1967). Lignée de reins de bovin
adulte mise au point aux Etats-Unis. ;On caryotype est hétéroploïde et
elle sert pour les timges ou le di vostic.
2 - Amélioration des conditions de cuit 'e et de récolte du virus
a) Action du pH du milieu d'entretien ( 165). Le milieu HanksLAYE utilisé
pour lventretien des cellules inocul 3s contient 0,35 gr. de C03HNa
par litre et son pH est voisin de 7, Le milieu doit êh?e changé 2 2 3
fois pour obtenir la destruction du
lpis à 80 "a. En portant la quantité
finale de C03HNa du milieu 2 2 gz?. p ' litre, le pH varie entre 7,6 et
7,8, le tapis détruit à 80 % en 6 jo is et un seul changement de milieu
est nécessaire. Le titre final du vi: xs varie entre 10 '
DI 50 CT/ml
et 105,5
b) Utilisation du liquide de la premièr récolte. ks examens en microsco-
pie électronique des cellules infect 3s nr>ntrent que le virus sort de
la cellule au niveau de la membrane ' Is la 48ème heure. Sa p&sence est
confirmée par titrage. Le S&e jour> luand l'effet cytopathog&e atteint
30 p. cent du tapis, le titre est su kieur à 10 5 DI 50 CT/niL. Le milieu
est changé, Le liquide r&olté sepa : &ngé par la suite au liquide de
la récolte finale faite le 6ème ou
3 7ème jour,
.*. /
. . .

-4
c) Action de différents sels mineraux s
la sortie du virus
Sulfate de magnésium
Sulfate de sodium = Résultats
Chlore de sodium = aucune action
Chlorure de calcium
d) Action de la pression osmotique sur 1 bourgeonnement du virus au niveau
de la membrane cytoplasmique (1968).
- Action de la concentration en I
qui varie de 10 à 100 p.100,
les dilutions étant faites dan!
idistillee, La concentration
la plus favorable est de 70 p.'lOO
- Rôle du rmment de l'introduction
la concentration à 70 p.100. Cette
introduction est faite 30 minutes 24 heures, 48 heures, 72 heures
après lsinoculation. LE titre mx
du virus est obtenu à la 72èm
heure.
I~ortance du temps de contact
fait varier de 1 - 2 - 3 - 4 -
6-7-8-9-14-
de contact le plus favorable
est de 3 heures pour une solution
70 p.100 introduite 72 heures après
19inoculation.
. . ./ . . .

-5
e) Résultats retenus
Dans la technique de préparation ac
Ile, la quantité de CO3HNa du
par litre. Une première récolte
est faite quand 30 p.100 du tapis
sentent des lésions et la récolte
Primitivemnt, le support de lyo
lisation était le Mist Cessicans
constitué par un tampon de SorenseD à
7,2 contenant de l'hydrolysat,de
lactalbumine, du lactose et 2/3 de sé
de boeuf ou de cheval. Ce milieu
mélangé à ce milieu en parties égales
s lyophilisé,possède encore un
titre acceptable après 8 jours de séjo
à la teng-érstwe de 37*C (il con-
reconstitué.
Remis en suspension dans 1 ml dse
distillée et placé au bain-rmrie à
37OC, il contient encore 10 3yg
son titre démît rapidement.
69, 72, 71)
- Action du sulfate de sodium 0,5 M
du sulfate de mgnésium 0,5 M
dans le tist Lkssicans.
- Action du Thiosul~ate de sodium
dans le Mist Dessicans.
Après chauffage 3 jours à 37*C,
résultats sont contradictoires
selon les lots.
. . ./ . . .

-6
- Action de différents substrats de lyophilisation
Ont été testés, dilues en solution saline de Hanks et ensuite &lang&
en parties égales avec le virus :
le glutarmte de sodium à q95 p.100
la néopeptone à 5 p.100
l'hydrolysat de lactalbumine a 2,5 p.100
le saccharose à 5 p.100 avec le lait écr&& à 10 p.100.
Dans tous les cas, les pourcentages indiques concernent les pourcenta-
ges finaux du mélange Hanks et virus.
Aprk un séjour de 15 jours 2 37O des produits lyophilis&, le seul
mélange à atteindre 3,8 DL 50 (ZTI
ar ml est celui contenant 5 p.100
de saccharose et 10 p.100 de
(rapport poids - volume).
b) Amélioration de la stab
(1966, 71, 72, 74)
--_-----1--1-------_---
- Au Sénégal, le vaccin est reco
en eau distillée, ratière
première qu'il est possible de
er à peu près partout.
Les titrages faits
ccin contenant du Mist Dessicans
indiquent que la conservation ne épasse pas 30 minutes après chauf-
fage à 37OC.
Pour ar&liorer le themrésist
on a utilisé les produits suivants :
sulfate de sodium .M
sulfate de magnésium
thiosulfate de sodium
lait éc&& 0,2 "6 plus
ccharose 0,l %.
. . . / . . .

-7
1 - Le virus en phase liquide est stabi sé pendant 2 heures à 50°C avec
le sulfate de rrtagnésium M et le sül
e de sodium M.
2- Le thiosulfate de sodium M/50
sultats contradictoires dans
les suspensions virales chau
3 - Le ?&Lange lai-t écréd 0,2 % et sac
se O,% % correspotiant à la
dilution finale de ces deux subs
s après reconstitution de la pastil-
le de virms lyophilis6 dans 50 ml 'eau distillée, permet le mintien
de la'dose vaccinale au-dessus de
0 DI 50 CT après un chauffage de
2 heures à 37OC.
Dans la pratique, le milieu de lycphilisation actuel pour le vaccin
CT est constitué par une solution de Hanks BSS contenant 10 p.100 de
saccharose pur, que l'on tilage à parties égales avec le virus.
A ce mélange, on ajoute 10 p.100 de 1al.t écr&& rapport poids - volume.
4 - Obtention d'un vims vaccinal muta$t themstable en milieu liquide
T
par action in vitro d'un agent rnuthgène (1976)
l
Le schém exp6rimentcal retenu CO
r-te l'action.invitro d'un agent
mutagène, l'acide nitreux naissant et 'isolement des mtants éventuelle-
ment apparus par traitement
clonage successif,
L'action de l'acide ni-tmeux SUT
virus est stoppée par Ifaddition
d'une solution de Tris 1 M et le 11-61
e est dyalisé 1 nuit à + 40°C contre
un tampon Tris - Hcl 2 pH 7,2.
l . . /
. . .

clonés se font sur la lignée
(MDBKC).
I
On retient 3 échantillons traités
secondes par l'acide nitreux
puis cbmffés 2 heures à 3FC. Après t
ge, les plus hautes dilutions
sont inoculées sur des cellules MDBKC.
ès ri-colte, chaque lot est de
nouveau chauffé 5 heures à 37T puis t
la demi-vie du lot
A/5 à 37T en milieu liquide est de 2
s 15 contre 45 minutes pour le
virus de départ. Après 6 passages suc
s, cette demi-vie est toujours
de 2 heures 15, donc ce caractère es
. Ce virus lyophilisé et chauf-
fé à 3'7OC a une demi-vie de 3,5 jours
entique
à celle du virus d'origine.
COINE l'avait d&jà constaté FROVOSI', 1
therrmrésistances en milieu
liquide et à l'état lyophilisé ne fi
. . ./ . . .

-9
B - Mise au pin-t des tests sémlogiques
l- S&meutralisaticn cinétique (1966 - 1968)
1---_---------1----------
-Y
Après la campagne conjointe, la D.S.P.A. a demandé au Labxatoire de
contrbler le niveau de protection du cheptel.
Au début, on utilisait la tec.hni
de sémneutralisation en tubes à
virus constant, sérum variable,
puis
a adapté la technique de sérmeu-
tralisatim cinetique en tubes à h&m
et pur fin& en microplaques.
On a pu ainsi par des sondages z-4
iers
au niveau de la frontière
nord,détecter des pourcentages de pro
ion inférieups à 70 p.100 et
alerter la D.S.P.A.
2 - Immncdiffusion radiale (Y!3781
--------------1--------
Cette technique adapt$e à la IXE~ arche <es anticorps dans 12s skums
de bxins donne des résultats sensibler mt comparables
à la sérmeutrali-
sation cir&ique à condition d'utiliser des dilutions plus faibles pour
les sérum. Les plaques de géloses cm-l z-iant le virus peuvent être conser-
vées à la temp&ature de congélateur et leur utilisation est possible sur
le terrain à la conditicn d'avoir à sa lisposition, frigidaire et étuve
ou de partir avec le camion labxatoire
. . . / . . .

- 10
.
C - Recherches diverses sur le virus P.l
1 - Etude au microscope électronigu~
---s.------------- ---------e- -a (1968)
Les examens sont faits au I.&xrato: ~2 de biologie ankrale de la
Faculté des Sciences de Dakar. Ils s'a& xsent soit à des coupes de cellules
r&ales dgembryon de veau i.nfe&es,, pu. s incluses dans l'épon et color&
à l'acetate d'uranyle, soit à milieux 1 quides recoltés ap&s dégér&-escence
des cellules et centrifugés à 100.000 g Une fraction du culot est ensuite
examinée en coloration négative.
2 - Assainissement des viandes Eest
1------------1-----1_I_____
.m"S pes p la chaleur (1966-1967)
L--e m------------
Trois parastres entrent dans l'as ainissement des viandes pestiques :
la durée de précuisson, les poids des
sceaux et la te*ra*e atteinte
au centre de la viande, En fixant le
ids des mx-ceaux entre 4 et 5 kg, le
virus disparait quand la température a centre atteint 6OOC. Le temps pour
atteindre cette tempkature est compri entre 3 heures 30 et 4 heures 30
d'imwrsion dans un bain-marie à 80°C, les TKEWZNX étant ensachés sous
vide, Le chauffage ne favorise pas le éveloppement de germes anaérobies.
Les viandes conservent leurs qualit&
ganoleptiques pour la préparation
de boeuf en gelée.
3 - Ekude de laprsistance du vir s chez les bovins innr~isés avec
-----eu---- ----------------e
---------_----------I___________
un vaccin inactivé (1965)
--w----M.---------...
P
Douze bovins
par un broyat de rate et de
ganglion pestique inacti& par le
1 et auquel on incorpore ensuite
du gel d'alumine. Vingt jours ap&s,
s bovins sont infectés par voie
nasale au moyen du viru
sacrifiés par groupe de 2 à J + 3,
J + 5, J t 7, J + 12, J t 15, J t 19 et J +
5. On préleve les amygdales des
gmglions lymphatiques : le wcus nas
et la muqueuse nasale. Chacun de
ces pr&èvements est inoculé à 2
Le virus est absent des tissus è IJ t 3 présent dans tous les tissus
à J + 7, J + 12, 3 .!a 15, absent du se lg seulement à J t 19, absent dans
tous les tissus à J + 25.
. . ./ . . .

D- Contrôles sémlogiques chez les an
ux vaccinés et étude s&logique
des maladies apparent6es à la peste
vine
1 - Contr6les sémlo
ation (1969,1971,1972,1978)
------m.-.--a-----
Après la campagne conjointe,
faits dans différentes
régions rxxWent qu'h ~ZU?~T de la
60 p.100 des bovins sont
protégk, 70 p.100 à la fin de la 251~
80 p.100 aprk la 3sme.
En 1972, une enquête faite dans
du Fleuve &véle que dans
le départemnt de podor,
est tomb6 à 42 p.100. La
D.S.P.A. est immédiate~nt alertée.
En 1978, la peste est observée dan la r&gion du Fleuve, les contr6ies
sérologiques faits après la
les bons résultats de
la plwphylaxie.
2- Variation des antico~s
en fonction de lP6tat
1-1-------------_---- -_------- ---------_-----------------
g&éral (1970)
-a--."-
ILS tests entrepris au Ranch de
i en décembre et en juin ne mxrkrent
pas de différence dans les pourcentage de protection et les titres,
3 - Etudes sémlogigues des mladi
-.-.-SS.--------- - -m.----w
s azyrentées à iaJeste bovine (1968)
whI.w-cI------e 1-----1---w
Para-influenza III : Inhibition de
chez 28 ?A 50 p.100
des a.ni~~~ux selon les régions.
Fkladie des rrmqueuses
alisation cinétique, on note une
séroconversion chez 60 d 88 p.?OO
Rhinotrachéite infectieuse : la sé
cinétique x-&&le 40
à 60 p.100 d'antiux psitifs

- 12
II - LA PESTE DES PETITS RUMINANTS
A - Etude du virus (1966 - 1967)
1 - Ont été examinges d ' abord les ] Fopriétés physico-chimiques :
Action de la chaleur
Action du sulfate de magnésium 3 5o"c
Action de l'éther
Action des pH 3 et 7,9, action de la 5 - iododesoxyuridine
2 - Puis les propriétés cytochimiq es
-
- Examen en fluoroscopie après traitement à l'orangé d'acridine
- Application au test de Brachl t par coloration au vert de rkthyle
r&langé à la pymnine et act on de la r$mmclease.
3 - Examen en microscopie électron aue
D'abord examen de cellules ino ulées fixées à diffkents temps
de la miltiplication du virus
.t incluses en résine pow pratiquer
des coupes ultrafines que l'ori colore
à l'acétate d'uranyle.
Puis examn en coloration
ive après obtention dsun culot par
ultracentrifugation à
:*
4 - Ettie de la multiplication sur/ différentes cellules
1
a) cellules de lère explantat on : cellules Analesde foetus de veau,
c--.m--.----------w.-w
----WV mm
de muton et de chèvre ; c llukzd'amnios humain et cellules
rgnales de singe.
i
b) lignées cellulaires :
-- -m---I--------M-
e BK K21 et ligrke MDBKC.
. . /. ..*

- 13
Ces études ont mont& que le virus PR est inactivé par l'éther, le
pH 3 et que la 5 - iododesoxyuridine ne loque pas sa synthèse. Le test de
Brachet et la réaction de Feulgen revéle
inclusicns cytoplasmi-
ques sont composées d'A R N, L'examen de coupes ultrafines en lI&Zt?OSCOpie
&ectronîque mntre que le virus
niveau de la membrane cellulaire
par un phéno&ne de bourgeonnement et e in l'examen après coloration
négative r&éle que le virus est c
~icules dont la taille va-pie
entre 150 et 600 nanomètres comprenant
e membrane et une masse interne
qui, après couverture de la membrane es
onstituée par un long filament
nucléocapsidien de 18 nanomètres de di
tre. L'ensemble de ces données a
permis de classer le virus PPR dan
p~~~ov~s D
B - Prophylaxie de la PPR (1969, 1970,
1976 et 1977)
L'expérimentation est faite au Daho
et au Sénégal sur des chèvres
de race lagunake ou guinéenne. Au Dah
, mcilheureusement, les conditions
ne sont pas idéales pour une exp&$ment
on correcte, achat d'animaux
tout venant sur le marche, entassement
s un parc de fortune, difficulté
dans l'hygiène et l'alimentation.
Au Sénégal, les animaux de race
éenne sont achetés dans des éleva-
ges sains de la région du Sénégal-Orie
1, maintenus dans de bonnes condi-
tions d'hygiène et d'alimentation et SO
s à une quarantaine pendant la
recherche des anticorps.
Les anticoprs sont titres chaque semk
et l'épreuve intervient après 30
jours* Le virus d'épreuve est inoculé p
voie sous-cutanée, chaque animal
. . . / . . .

- 14
ins scihéliens
T sur un lot d'&ux réalisés
dans les rrEmes conditions que pour les
irncrux lagunaires ont don& de très
bris résultats. Le titre minimum d'anti
s assurant la protection des
caprins sahéliens est égalemnt le l/ZO.
d'un village près de Thiès où la PPR av
fait des ravages en 1969,
ensuite par vaccination annuelle de 5 0
petits ruminants des unités
expérhntales de 1'IRAT dans le Sine-S
um à par-tir de 1976. Ces mesures
C - Fhqui3te épidémiologique sur la PPR
PPR, au Sénégal, au Dahorrey et au Togo.
te tenu des rapports antigéni-
ques entre virus PB et PPR, on a recherc
par la séroneutralisation ciné-
tique la ptisence d'anticorps pstiques
ns les sérums dilués au l/lO.
Dans les rhultats, on donne
des anticorps :
. . /. ..*

- 15
Sénegal-Oriental
(caprins 27 p* 00)
(ovins
35 p. 00)
Ferlc
(caprins 66 p. 00)
(ovins
45 p* 0 0
Cap-Vert
b&ns
. 45 p.
62 p.
00)
Dahcmey
(caprins 40 p.
(ovins
34 p. ,001
,001
Togo
kaprins 21 p,
(ovins
34 p. .oO)
D - Devenir des anticorps chez les
LX vaccinés et chez les ieunes
nés de &res vaccinées
1 - flI-liTIEtux vaccinés
---c------------
Cette étude a été tialisée dans le: unités expérimentales de l'IRAY';
les résultats indiquent le pourcentage c s anaux prctéges.
avant vaccination
(capri 1s 46 p.100)
(ovins
64 p.100)
5 mis après vaccination (ovlmE 1s 99 p.100
94 p.100
12 mis après vaccination GcEip?: 1s 2 à 6 rrrcis 19 p.100)
(cap??: 1s plus de 1 an 53 p.100)
bcxin: 2 3 6 mis 10 p.103
(ovin: plus de 1 an 22 p.100)
Suite à ces résultats, la vaccina-b m annuelle a été recommndee et
appliquee.
,.. /. . .

- 16
2 - Caprins nés de mères vaccinges
-" """"""""""""""""""""____I__
âgés de 1 à 2 mis
(10 p.130)
âgés de 2 2 4 mis ( 0 p.130)
d'où la recomrmdation de la vaccimtion dès l'âge de 1 mis.
E - Persistance du virus dans les carcasses de chèvres mlades et
vaccinées (1971)
1 - Camasses d'anirmux mlades consmvées à f 4OC :
"""-""""""""""""""""_______I____________""""""
Le virus est encore présent dans les ganglions lymphatiques
après 8 jours de conservation,
2 - Carcasses d'animux vaccinés
C""""I"""-"""""""""""""""""""
Le virus est retrouvé dans les
@ions lymphatiques 3, 7 et 13
jours après l'épreuve et dis

- 17
III - LA PESTE EOUINE
A - Prophylaxie de la peste équine
l- Mise au pin-t d'un vaccin vivar
--w-s--- ----------------------
sur lignées cellulaires (1967)
------- "I--------".-----
Suite aux travaux faits par les cl- rcheurs de la FAO et les chercheurs
iraniens, il a e-té possible d'adapter 1 s souches vaccinales neuro-tropes
aux cellules MS et ensuite à la lignée éro. Cette dernière lignée est
sans doute r&ns sensible que la lignée MS, mais en compensation elle est
mins fragile.
A l'heure actuelle, on prépare 2 t pes de vaccins :
- le vaccin monovalent constitug par la souche S2 passée 5 fois sur cellules
V&o, diluée en l/lO en tampon et tri et lyophili&à raison de 1 ml
par flacon = 1 dose vaccinale,
- le vaccin polyvalent groupant les typ s 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7,passés
séparément 5 fois sur cellules V&o,
klangés et dilués au l/lO en tampon
tris et lyophilisés à raison de 1 mil.
ar flacon - 1 dose vaccinale.
Points import&ts : le virus ne doit pa subir plus de 5 passages sur
cellules V&o, et, après récolte à tond tion de réajuster le pH avec du
C03HNa à 55 p.100 aux environs de 7,6,
1 est conservable à + 4*C pendcant
au mins 1 an. La congélation est une 0 ntre-indication absolue. Enfin,
pour obtenir un meilleur rendement en v ?US ) on doit utiliser un milieu
d'entretien constitué par 2/3 de Hyla R rmal, 1/3 de Hyla sans C03HNa et
2 p.100 de sérum. Quand l'effet cytopat ique touche 80 p.100 du tapis, ce
qui demande entre 2 et 6 jours suivant
2s types, on ajoute 3 ml de C03HNa
par boîte, puis on les laisse 24 heures 2 t 4OC et on ajoute à nouveau le
pH à 7,E et le lendemain on procède à 1 récolte.
Dans la pratique, les souches lyop: ilisées sont constituées par le
3ème passage de chacun des types, les l( Ls de semence par un 4ème passage
conservij à tl°C jusqu'à 2 ans et les va0
Sème passage.
/
. . . . .

2- Plise au pint d'un vaccin
___y_cI-_ _-----------.--..e-
Le virus est produit SUIT cellule
mxIifié par 102 passages sur cerveau-x
Lk virus est inactivé par le fo
00 à 1'étt.m à 37OC et
sous agitation durant 48 heures ; puis p
la béta-pwpiolactone à + 4OC
avec agitation pendant 24 heures.
ite soit du gel d'alumine
soit un adjuvant huileux Ù base dgArlac
et d'huile de paraffine,
Chez les chevaux sensibles inocul
avec le vaccin inactivg par voie
sous-cutanée, on note une élevation de
index de neutralisation à partir
du 8èrre jour jusqu'au 15ème jour, ensu
il diminue jusqu'au 3oème jour.
Après un rappel fait le 30ème jour, 1'
ex monte rapidemnt, se nuintient
en plateau pendant 12 mis et décroît
n-tewnt jusqu'à 15 rois. L'épreuve
faite à 45 jours, 8 rrtois et 15 mo
(pas de réaction des
chevaux).
B - Epidémiologie (1972 - 1976)
L'épidémiologie de la peste é
parente à celle des arbovins.
En effet, le virus bien que classé p
les réovirus, est transmis au
cheval pai? un vecteur appartenant aux
hropodes timtophages les culi-
cordes. TA cheval joue
UT. Reste à identifier l'hôte
naturel ou r&ervoir qui, pour le ~r0me
est inconnu. En dehors des p&io-
des dsépizootie,
5 et 1979, la maladie est
silencieuse. La zone d'endémicit~ p
nte est localisée en Afrique
intertropicale d=ans la bande favorab
l'élevage des chevaux.
Cette zone occupe environ la moitié
I superficie du Sénégal c-t: l'éle-
vage du cheval y est prospère. Les an
ont acquis depuis le jeune &e
une inununit~ naturelle contre le virus
la sérologie, notarrment la
fixation du complément permet de vérif
les pourcentages des contacts
récents, la rkaction devenant negative
u bout de 6 Pr?is environ. En 1971,
on a remarque sur 1 500 échantillons
dans la zone ag&ole (zone
.., / . . .

ara&idièr%?), 20 p.100 seulement des c
aux avaient eu un contact &Cent
contype fi0 p.100
"
dans la zone d'élevage (le Ferlo) et 80 p.100 ilirs ânes
dans cette r&me zone.
En 1975, après plusieurs annces de sécheresse, une enquete faite dans
le Ferlo r&& que le taux d'animwx a ant eu un contact -récent est voisin
de 0. L'examen en séroneutralisation de sémurs récoltés en 1971 et 1975
mwtrs une tigression du pourcentage de index de neutr~alisation qui de
90 p.100 en "1971 rétrocède
à 53 p.10 en 1975. Ce fait est certainement
en relation avec la diminution des cul' oïdes suite à la sécheresse.
/
En 1976, un virus de type 9 est i olé
4
2 Saint-Louis, puis en 2979,
une forte épizootie sévit dans le Sine Salcum et le Ferlo.
Essai d'isolement du virus à part
de culicoTdes, les captures faites
en janvier 1973 n'ont pas permis l'iso ement du virus.
r
C - Conclusion
A l'heure actuelle, les éleveurs églipent plus ou moins la vaccina-
tion. Il serait prudent pour éviter 1' pparition de nouvelles épizooties,
de conseiller une vaccination tous
r
le< 2 ans avec le vaccin monovalent
type 9,
La nature du réservoir est inca
,il est fort pssible que ce dernier
soit en définitif le cheval lui-
V~S disp~&s~t de l'opganis-
me pour se fixer à l'intérieur de
s de la &g& blanche et puvant
réapparaîm sous l'action de
tées des culicoïdes. Ceci a été
démont& pour le virus de la B
. . /. ..*

- 20
IV - ANEMIE INFECTIEUSE
Une enquête faite sur plus de 2
sérums soumis au test de Co&ns
révéle que le taux d'infestation est
s faible 0,54 p.100 et bien que
les conditions climatiques favorisant
pullulation des arttiopodes
hérmtophages salisent en théorie les onditions optimales pour la propa-
gation du V~~US. On constate qu'au S
la maladie n'a pas tendance
à s'é-ten&e.
v - ENCEPHALONYELITE OU ENCEPHALOSE DU CHEVAL (1972)
Au printemps 1971, on observe de
d'encephalose l'un à I%ra,
l'au- à Kaolack, la mladie se
par une fièvre modé&e, une
inccxmXnatioI3 mtrice, et finalement
décubitus complet avec quelques
muvemnts de pédalage.
à 8 jours. On relève égale-
mnt des formes plus
ne montre rien de
particulier et aucun virus n'a pu
isolé de la rate ou du sang, A
l'époque, nous avions
cerveau et moelle
épinière.
Les sérm d'animaux guéris ou
ilades 3ont confiés 2 l'Institut
Pasteur de Dal~? pm..w di~ostic!~ i-t ion du complément,l'éventualité
d'un
contact avec un arbovirus existant Em Afrique. Ces r&mes sG3ms sont
envoyés à l'Université de Yale aux 'iJ. 3,A. pour identification dïun
éventuel contact avec les virus enci lalitiques Est, Ouest et Ver&uela.
Les &sultats sont les suivant: .
-1 Encéphalite Est
0
- Encéphalite Ouest
0
.- Encéph&te Venezuela 0
- CWcungunya
0
- Sinbis 8
0
- Semliki
+
-O- nyonnyong
0
- West nile
0
- Wessel born
0
-II
/.
.
.

Le contact avec le virus
valley est confirme, par
inhibition de l'hémagglutination et sé neutralisation.
A souligner que parallèlement
nquête chez les enfants à Dahra
&véle un contact avec le virus
1/4 des individus.
Depuis, nous n'avons plus rien obs rv& de semblable et nous n'avons
jamais osé inoculwle virus Semliki au theval faute d'un local étanche.
VI - LA CLAVELEE
Signalce en 1963 - 1969 dans le
de Tambacounda, la maladie
s'est &endue à d'autres régions avec
e recrudescence dans les centres
urbains au mrnen-t de la cormnercialisat' n des moutons pour la fête de la
Tabaski.
i;'
Dans les troupeaux atteints,
t la forme nodulaire, entraîne
une perte de poids mais est rarement
telle, sauf chez les jeunes où la
localisation de pustulgau niveau
use buccale, provoque l'ano-
rexie. A signaler egalement chez ces d
des complications pulmonaires
Le virus a été isolé à plusieurs eprises et passé en série sur
cellules rénales de mouton. L'eff
est assez long à apparaî-
tre,et tour accélérer le processus~
able d'inoculer les
cellules au moment de la distr
Le vaccin est constitué: pr une s che virulente yougoslave passée au
mînirmun 30 fois sur cellules rénales
mouton par les chercheurs Iraniens.
A ce stade, son inocuité est totale.
Laboratoire, nous utilisons la
souche IYmnienne RM/65.
D'a&s les auteurs iraniens, c
souche donne un effet cytopatho-
gène en 96 heures. Or, au Laboratoir
e délai d'apparition varie entre
8 et 10 jours. Quand 1-e tapis est tou é à EO p.100, le flacon contenant
la suspension virulen-Le est mis 2 -

I
- 22
Le vaccin est prépa& en mélangeant le virus en parties ggales avec
du Mist dessicans et le &lanee réparti b raison de 3 ml par flaccn de 10
ml puis lyophilisé. Au moment de 17empZc&, on dilue la pastille dans 100
ml d'eau distillée et les animaux sont 4ccinés psr voie sous-cuta&e 2
raison de 1 ml.
I
Des accidents ont été signal& en ôte-d'ivoire avec le vaccin lot
1/77. Une nouvelle souche a été fournie par l'IENVT, les tests d'inocuité
pratiqués avec cette souche sont restés négatifs avec des moutons saheliens
dépourvus d'anticorps. Nais jusqu'à pre ve du contraire, la souche RW65
ne doit pas être utilisée sur les anirrn
lagunaires.
i
VII - LA FIEVRE APHTEUSE(1975-1978)
La fièvre apteuse existe au
y elle sévit sous forme benigne
et touche uniquement les bovins.
s isolé est identifié par le Labo-
ratoire de Pirbright et du type S&T?.
Un projet de centre de diagnostic
d'identification pour l'Ouest
africain a iilté remis au Secrétariat d'
à la Recherche Scientifique pour
étude et financement.
VIII - MALADIES D'ETIOLOGIE DIVERSES
fi - &&die des oed&nes (1974)
La maladie est rencontrée dans
du Fleuve S&&a1 sur les
bords du Lac de Guiers. Elle débute
septembre ap&s les pluies et se
termine en novembre. Elle affecte
chevaux, les 2nes et pour
une mindre part les bovins.
Les animaux sont assaillis psr de Tabanidae, leurs piqûres &p&es
provoquent la formation de plaies, pui d'oedèmes en parties déclives du
poitrail et du fourreau.
r
.*. / . . .

- 23
L'ced&mz peut gagner tout l'abdome
et remnter jusqu'à la région
de l'auge. Les formes graves non traité s entraînent lam2rt. Onapu
a
isoler à 2 reprises un bacillus au niv u de la serosit des plaies.
La thérapeutique est basée sur l'e
d'un anti-infectieux général
(pkicilline, streptcmycine ou terramyz
>, associé à un corticoïde.
B - Walkabout disease
Maladie observée au mois d'aoiit
dans un centre équestre
d'Abidjan, Sur un effetif de 35 che
meurent avec les signes
suivants : arrêt de la digestion, temp
ure légèrerwznt sup5rieur-e à la
normale. Fuis le cheval tourne sans
dans son box ou appuie sa tête
contre le nBKi en poussant et allant
jusqu'à la mutilation. A ce stade,
les nn2queuses oculaires sont fort
estionnées ou safranées. Fuis
arrive une phase depressive, l'anirral
ste prostré au fond de son bcx.
A la phase terminale, il tombe sur le
1, entre dans un profond CO~I.
et mwrt.
A lDautopsie, on note une hé
nérative avec début de cirrtise.
IXS examens de labzzatoire ont to
L'histologie confir-
me l'hépatite centrolobulaire avec déb
de cirrhose.
Les données bibliographiques révé nt que cette maladie est due à
l'ingestion de plantes contenant
zolidine trouvée
dans diff&entes espèces, surtout les
talaires et les Senecio.
Les chevaux sent
à la pyrrazolidine, mis
les symptômes peuvent
apr&s l'ingestion de
la plante toxiq.ue. Cette intoxication st bien connue en Australie.
l ., /
. . .

- 24
C - La paraplegie des mutons de Basse-&%mance
L'affection est uniquement rencon
e en Basse-Casamance autour
d'Gussouye et de Ziguinchor.
an-t la fin de la saison sèche
de janvier à avril et disvaît au mm?
des pluies. Elle est épiscdique
et touche les mimaux qui se nourrisse
les animaux en
enclos ne sont pas tcuch&.
Sur le plan clinique, le signe do
an-t est une paralysie des membres
suivie de mrt entre 5 et 8 jours. D
es formes les plus légeres,
miculier. Les essais de Wansmission
des animux sains ont été vains.
L'examen histopatholopique du syst
nerveux central ne révéle aucun
processus inflarmttoîre,
de Furkinge ont une coloration acidoph e et sont atteintes de chromtolyse.
Cette image indique un processus dégéné
tif qui peut être dgorigine toxiqut.
A retenir mm hwthèse de travail,
champignon fix6 sur les paspalumab~~d
s dans les rizi&res.
Cette intoxication est observee
s le secteur de Louga suite à
l'ingestion de feuille de Jatmpha che lieri par des bovins venant du
fleuve, I& Frincipe actif est une to
bmine.
. . /. .*.

PREVISIONS DE RECHERCHES SUR LA PATHOLOGIE
VIRALES DES ANIMA JX
l-ETUDEDELAFIEVREAPHTEUSE:Terminée:
maladie pur le n-ornent bénigne
doit être considerée comme une maladie l'avenir. Un projet de création
d'un centre de diagncstic et d'etude de ; souches pour l'Afrique de l'Ouest
a été remis au Sec&tariat d'Etat à la techerche scientifique et techniq.ue.
2- MALADIE NODULAIRE DES BOVIDES
Maladie d'avenir : atténuation de .a souche virulente à poursuivre
durée 2 ans,
3 - ETUDE ET ENTRETIEN DES LIGNEES CELLUL& KS ET DES CELLULES DE PREMIERE
EXPL4NTATION
Travail de routine à faire.
En principe les cellules se consei lent au minimum 2 ans à l'azote
liquide.
4 - ETUDE, AMELIORATION ET CONTROLE DES VA( XNS
a) Amélioration : vaccin anticlaveleux
--pc----y--- -------------------- le semble pas convenir pour les
moutons vivants en zone humide, nécess: É de faire un contrôle sur place
et d'augmenter le nombre de passages s Y cellules rénales de mouton pour
atténuation.
b) Vaccin tissu*ste utilisé contre la
--c--------
--_1---------1-----1__I
ZPR : ne semble pas convenir pour
les caprins vivants en zone humide, née :ssité d'utiliser une souche plus
atténuée que la RP BKg2 de PLOWRIGHT el la passant à 40 fois sur cellules
rénales de foetus de veau pour arriver lu passage 100 - durée 2 ans.
Nécessite c'ie mettre au point un vi zcin spécifique en partant de la
souche PPR - ati.ein&e au minimum 70 à 30 passages - durée 3 ans.

- 26
5- PESTE EKWDJE
a) Contx-&z. du taux de protection du
el dcans la région du Fleuve tous
les ans ; alerter la D.S.P.A. dès
e taux est inférieur à 70 p.100.
b) Mise au point du diagnostic par
ofluorescence,
prépwation d'un
antigène purifié par ultracentrifuga ion et d'un antisérum spécifique,
du&e 2 ans.
6 -AFFECTIONSVIR&ESDES PETITS RUMINANTS
Peste des petits ruminants
a> Diagnostic : mise au pzht du diagno tic
-mm e-B...--
pir irxnunoflwrescence, prépa-
ration d'un antigène purifié par ult acentrifugation et d'un antisérum
spécifique - 2 ans.
:
b) Vaccin : voir alir&a 4.
---m-w
Clavelée
Vaccin : voir alinéa 4.
7 - IW~DIESVIFWES EQUINES
a> Diagnostic peste équine par
escence - 2 ans
b) Etude épidhiologique - 3 ans
c) Etude de l'encéphalose à Semliki for
valley - durée dépend de
l'appzwition des foyers.
8 - MALADIES VIRALES PORCINES
. Inventaire des maladies contagieus
. Mise au point' du diagnostic de la
ste porcine africaine par
GrmunofSuorescence et test de tran
lymptiblastique - 3 a.ns.

- 27
Voir dans quelles mesures les
en cours sur les lymphocytes
peuvent avoir une application sur le
diagnostic et contrôle des
vaccins. Nécessité d'un &cyclage
de virologie de Thiverval
Grigwn pour voir les applications poss,bles à Dakar.
QUESTIONS A POSER AUX RESPONSABLES DU DJELOPPEHENT
- Les éleveurs sont-ils intéressés par la diffusion de la vaccination
contre la PPR en zone sahélienne dont l'efficacité est prouvée
dans les unités exp&imentales dl- 1'IRAT ?
- Les 6leveurs et propriétaires de chevaux sont-ils int&esses par
la vaccination contre la peste éfpine à virus mwwalent type S2 qui
devrait être répétée tous les 3