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1 - IIJRWT KM ..,....*......*i............*..........~”..*..~
1 à 2
2
- PHYSlCkWAlE DU FO 1,RA IL DE E3AEÿ”BE\\ : EWTE 1974-1977.. , . . . . 3
2 . 1 . - Intérêt et cbjectif de I ‘enquête . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3
2 . 2 . - Yb%$thadal ogi e . . . . . . . . . ..*.... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3 àl 4
2 . 3 , - Résul tats et di scussion . ..*..*........~.....*........*
. . . . 4 àl 10
2 . 4 , - Ccnclusi cms ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
10à 13
Tableaux et graphiques.

Si l ‘abjet de ce rapport est essentiel Iement le d$oui l 1 emÉmt
d’une enquête effectuée sur le foirail de Banbey de 1974 à 1977, un travail
donc restreint et un peu en retard sur I ‘actual i t&, i I IIXZ paraît non Mons
utile de présenter en guise d’introduction le problème de la viande bovine
au Sénégal.
La production dépend fondamentalement des effectifs du cheptel
et de leur productivité.
Depuis 1973 des déficits pluvidtriques irrportants ont mis à nue
la fragilité de nos syst&nes d’élevage et ont infl igé des pertes ccnsidkra-
bles allant jusqu’is. 16 à 20 % des effectifs (D.S.P.A., Banque Mdiale, F.A.C.
1982).
La reconstitution du cheptel bovin à son niveau de 1972 n’est pas
encore acquise (voir tableau 1). En effet nos systèmes d’blevage sont encure
à dominante traditionnels qu’i Is soient pastoraux ou agro-pastoraux. Dans
les deux MS I ‘al imentat ion est exclusivement ou quasi exclusivement const i -
tuée de ressources fourragères provenant des pâturages naturels, des jachè-
res et des sous-produits agricoles. Ceci expl ique la dbendance de la produr..-
t ion bovine des al &s cl irrat iques.
Selon le rapport cité pr&z%kmwnt avec un taux d’exploitation de
11 % parr les bovins et 28 % pour les ovins et caprins (ces espèces four-
nissant 77 % de la production de viande), le S&&gal n’a disposé en 198CI
que de 69.067 tonnes de viande carcasse (toutes espèces confondues) et a ~$2
irtporter 2.625 tonnes pour atteindre le niveau de 12,5 kg/hab./an,
1 I apparaît danc que I ‘cbject if pour 1 ‘h,srizcn 1985 de 16,8 kg,lhab/
an est peu crédible,
Parmi I es principaux axes à degager pour fai re face à cet te si tua-
tien, qui n’est pas du reste propre’ à la production de viande, i 1 serait
grave et lourd de conséquences d’omettre i ‘amG1ioratiot-1 des circuits et struc-
tures du cwmwce du bétai I et de la viande.
Parmi le5 avantages, on peut signaler :
- une mei I I eure ccnna i ssance des caract éri st iques/ de ce
comrterce d’où une plus grande capaci té de prévision et d’adaptat ion aux va-
riatians de I ‘offre et de la de.rrande
- I ‘él iminat ion des intermédiaires parasi tes qui augmentent
le coût au consmteur sans profi ter le producteur ;
- I’am&lioration et surtout la garantie de la qualité sani-
taire de la viande.

Tableau no1 : Evoiut ion des effectifs bovins, ovins et caprins de 1972 à 1980 (en mi I I iers)
Source = Etude sectoriel I e de 1 ‘élevage au Sénégal (si tuat ion et perspectives)
- Q.S.P.A. - Banque hkndiale - F.A.O. 1982.
/
Année
I 1 9 7 2
1973
1374
1975
1976
1977
1976
1978
1979
19m
19EKI
Espèces
Bovins
2.W8
2.2zI
2.318
2.380
2.440
2.510
2.533
2 . m
2.238
OvinsXaprins
1 2.694
2.%xI
2.533
2.619
2.660
2.811
2.821
2.920
3.193
Porcins
140
1 4 5
150
160 ’
166,4
173
172
1 7 2
1 3 6
141
Volai I les
5.478
.5. cj2%
ci28
6.2ocl
6.37% l
0.8f.m
5.413
1.497 i
7.497
8.823

3
I I - Pl-WSlCBKWE !Xl FO IRAIL DE fNM3EY : EK’UETE DE 1974 A 1977
2 . 1 . - Intérêt et abject if de I ‘enquête
Came on vient de I e dire, la tonnai ssance des principaux circuits
du bétai t et des caracterist iques des grands points de transaction re&t
une importance toute particulière dans les perspectives d’assainissement
du comnerce intérieur de la viande bovine. El le est indispensable a l a
mi se au point d’une pol i t ique abject ive des prix au juste profit des prc-
ducteurs et des cons-t eurs.
L’enquête que I ‘on se propose d’exploiter avait ainsi pour but
l’évaluation des variations des effectifs et de la composition des aniw-w
ca-rmercial isés au niveau du foirai I qui se tient à Barrbey chaque vendredi 1
En identifiant les n-ouverw>ts saisonniers et la tendance gén&rsie
il est possible d’en prkvoir les conskquences sur les prix.
Cette prévision est sans doute un éI&msnt déterminant pour fa rez-
tabi 1 i té, donc pour la diffusion de I ‘embouche qui se pratique par des
paysans de la zone.
2 . 2 . - fVIéthodoI agi e
2.2.1.
- Effectifs et corrposition du cheptel arrivant chaque
semaine sur le foi rai i
Les donnees sont obtenues par une nun-&ation systkmat ique de tous
les animaux et leur classification en catégories c:cmne suit :
a/ - Les jeunes bovins qui se subdivisent en :
- veaux : jeunes mâi es ou femel I es non encore sevrk
- t a u r i l l o n s : jeunes rrÉiIes entiers sevrés msis p a s
encore ut i I i sables pour la reproduction et en pleine
croi ssance,
- génisses : jeunes femel les sevrées mi s n’ayant paroi
encore eu une premi ère gesta t i on avancée ou un .tiêi ilge.
b/ - Les adultes :
- taureaux : bovins I+les entiers en âge de ccmwncer
sa carrière de reproducteur (x-l ayant d&jà e x e r c é .

4
- boeufs : bovins rrâles castrk. Dans cette catëyorie
WI eng lobe les bouvi 1 Ions (rrûl es castrés du sevmge
& 4 ans) et 1 es boeufs adu i! tes (âges de plus de
4 ans).
- vaches : ferre1 les ayant eu un premier vêlage ou iune
gest ion avan&e.
Les animaux a.insi classés sent divisés en deux grands groupes :
I es non errboucht% et I es e&ouchés (errbouche
paysanne).
2 . 2 . 2 . - L ’ e n q u ê t e c o n c e r n a n t stricterwnt 1 ‘er;bcuche pay.sanne
Le questionnai re de cet te enquête est sur le modèle de fi &e
représenté en annexe 1.
Cette partie, de par le ntire de fiches replies par jour
d’enquête serrble avoir été la plus diffici le.
En effet les qoérateurs sont très peu dlisposés à parler de prix
avec i es enquêteurs.
2 . 3 . - Résultats et discussion
2 . 3 . 1 . - Evolution des effectifs du foirail
2.3.1.1.
- Etude des variations
- - - I - - - - - - - - c - - - - - - -
Les tableaux 2 à 6 présenten t assez clairement les variations
des effectifs moyens hebdomadaires par catégorie et toutes catégories
confondues.
Les graphiques des figures 1 et 2 vi sual isent I e caractfsre peu
régulier des variations mensuei les à I ‘intérieur d’une même ann&e et d”une
année à 1 ‘autre.
3n constate n&nlm,ins pour I ‘enstile des observations que cerfaiiis
phénwènes de montee ou de baisse d’effectifs ont une allure à peu prk
saisonnière même si leur arrpleur reste tr&s variable. Ce caractère saison-
nier est plus évident si I ‘cm regroupe I es données en périccles de 4 mr,i s
(tableau e). C!n observe que les effectifs moyens hebdc*rtdaires les plus
&l evées se si tuent
dans la première pkriode qui va de janvier à avri 1.
Cine baisse est enregistrée entre mai et août ï et une remontée entre septetire
et décerrbre. L’année 1977 ne suit pas cette &volution. En effet elle a eu
son rraxirwrrr pour la deuxi&rw pet-iode (f Egure 3).

5
Ces variat ions pourraient être rel iées A tel I es des di sponi -..
bi lités en rbserves farrragères et de parcours, qui influent sur les mou-
vements des aninnux de la zone sylvopastorale vers le bassin arachidiw
et inversement.
2.3.1.2. - Eecherche des t endancea (t rend) et des coef f i --
cients saisonniers
L’examen des moyennes annuel les (tableau 6) et I yanalyse des
graphiques de la fig.2,
r&klent I ‘existence d’une tendance à I ‘augmenta-
tion des effectifs moyens hebdmdaires d’une année à I ‘autre.
II existe de ntireuses méthodes de détermination de la tendanw
consistant toutes à supprimer ou à réduire les fluctuations sai sannieres
af in de degager une a I I ure généra I e de I a 6-i e examin6e.
Par la m6thode des moyennes annuel I es 017 constate que ces troyen-
nes sent presque toutes alignées ce qui pemet de représenter la tendance
par une droite de la forme Y = a t bx.
En désignant par Y la moyenne hebdofradaire et par X le ran-, dL!
rwis considéré le mois de juillet 1974 étant de rang 1 on a après caiwl
Y
= 428 t 5,5 X pour I ‘éqt,iat ion de la tendance de la moyenne h&domadai re
a
tout es catégories.
y3 = 422 t Cl,42 X pour I ‘équat icn de la tendance cle la nwyenne hebdûtrtdaire
des an imwx non errbouchés et Yc = 19 + lij8 X pwr les animwx d’errbwche.
Les karts t3nt re I es val eurs cbservk peur la moyenne hebdom-
dai re toutes catégories et 1 es valeurs théoriques calculées i3 partir de
I ‘équaticn de tendance permettent de déterminer les coefficients saisonniers
Cj relatifs à chaque mois (tableau 7).
On a ainsi calculé la prévision pour janvier 1975 (le swl mOiS
d’cbservat ion pour cette année) en ajoutant .i la valeur donnée par I ‘<huä-
tion de tendance celle du coefficient saisonnier de janvier. La valeur
pr&ue de cet te façon est de 834 et la valeur &sewGe 761soi t une di ff&
rente de 73 points 6quivaIente
s une déviation de -t 1 70 de la valeur rke! 1;:.
2.3.2. - Les animaux d 1 en-bouche paysanne
2.3.2.1.
- Inportance et variations des effectifs d’nnimw
------1-1-.----------_________l__l___l___-------.-
enbouchés
-----.----
En vue d’isoler le poids relatif de chaque variable (catégorie)
dans la variation expl iqu&e de la moyenne hzbdwrndaire toutes catégories
(MtTC) on a effectué une regressïon en Stepwise dmt le tableau 14 contient
1 .-,r ,-:--:

--...
-c
@.

II apparalt que sur la variation nmyenne des quatre ann&s, l a
cat&gorie des taureaux a eu le plus grand inpact , suivie de ce) le des
boeufs pour I es an imux non f3rbowhés
; cm trouve une catégorie mbou-
ChEe ’ tel Io des. boeufs, eh troisiktie posi tien.
Le m&ne mode1 e d Darm/yse appl ique séparkment aux ddonnées de cha-
que année met en &idmce des hiérarchies différentes (tableau 15).
Signalons que ies variables qui ne sont pas mticmées au nim-w
d’une année sont celles qui n’apportent pas plus :d~irtformtions 5 la
variation.
L’étude annuelle montre une nette augmer?tatim de la proportion
des anitmux wrtmuch6s dans i !effectif du foirai I 9 de 1974 & 1977. Qtte
bolut ion est rarwquable sur la f ig.2, où la pente de la droi tc Yc reGr&n.+.
*?.*. t a n t
la tendance des animux entmuch&k est plus forte que tel le de Yb
(animux non mbcuch6s).
En 1974 cmpte tenu d’une séri e antéri cure de sécheresses et
d’un deficit pluvicrmétriquc tres n-arqué, I ’ errixuche a dû se t rcuver dcvau; t
des problèmes insurmontables dsal imntat ion ce qui pourrait expl iquer la.
forte proportion d?animux maigres. L’accroisse-nerrt progressif des animux
enbouchés au niveau du foirai I peut être mis en relation avec les donnees
pluvi or&triques et de production des campagnes agri col es des années corws-
c pmdantes (tabl .16- D.G.P.A.).
En étudiant les corrélations entre tes &m&es de ce tableau
(ncmhre de jours de p?uie, hauteur d’eau, surfaces occupées, product i ohs ci
rcmdements) e t la proportion d’anirmux mtmuchés, s u r î ‘ e f f e c t i f moym
hdxlcmadai te tartes catégories, cm a trarvé que cette proportIon est plus
corrél ée à la superficie cul t ivk en arahide fr = O,cS4), 21 la product ioh
d’arachide (r = 3,871 et plus faible-t au rendemmt d’arachide cru gws::~es
(r = 3,57).
Par cmt re I es corrélat i ors avec 1 es aut res données sont très
f a i b l e s .
En d’autres termes, sans vouloir en tirer une relation de caust:
j effet, I ‘e9tmuche serrble subir entre autres facteurs, i ViwIsicm d e s
superficies cultivées en arachide. Ceci se conçoit aiskrrmt si I lcn acc~:;~,:;:
une bonne l iai sm entre les surfac es occap&s par (:ette CU1 turc et ladi +Orli-
13 i I i t 6
en fane al irmmt essentiel en er&ouche paysanne.
La corréiat ion avec la production de gousse peut être interpréfrk
doublement :

7
a/ - par Ii; rapport fane/gcusse qui est grache do 1 en
bonne année de production de gousse et de 1 1 5 pwdant I es rtauvai ses ann’ks
c ’ e s t - à - d i r e de forts séclwresse {!:Y. Vbodj e t E. T c h a k é r i a n . 1 9 7 8 ) .
b/ - par le faï t qu’une bonne production dsarachide en-
trains une rclativc augmsntation dv ressources financières chez les pays;îns
qui peuvcv7t alors invcst ir par I ‘achat de sujets maigres à engraisser cc 3
revendre plus tard.
O-I peut à prai ère vue se lai sser surprendre par I es faibl es cor.-
rélat ions entre l ‘c&~~che et les donnees pluviwr~triyues d’une part et
avec les données sur la culture du mi l-sorgho d’autre part.
En effet si les facteurs cl irrat iqties agissent favorablmt sur
la di sponibi I i té fcwragke et notannwt sur les fanes dans cette zen<:, t 1 s
ne sont pas suffisants .-3 promwvoir la culture de I larachide.
C’est ce que les autori tês ent conpris e-~ adoptant toutes les
fois que cet te cuî ture est nme&e des rwsures inci tat ives. C?ast ainsi
qu’à la canpagne
agricole 73/74 faisant suite à dle fortes séchcrcsscs q:ii
entraînèrent une tendance à la réduction des surfaces destin& à 1 ‘arae-
chide, il y a eu la distributiw d’une ristwmc exceptionrwlic de k.F,ikg
vendu, une prime de rru I t ipl i cat i on de smnce de 4.X0 F/tonne, I ‘anncnce
avant I ‘hivemagc des prix officiel s avec une augwtation d’environ 2 F’jl;g
par rapport aux deux demi &-es carrpagnes préckkntes (rapport annuel 3.;:.>..&
1974).
tiant 3. la cdl ture de mi l-sorgho dans. la zone, sa corrêlat ion
avec I ‘errbcuche
n’est pas évidente principalunent pour quelqtizs raisons yuti
v o i c i :
.\\
- l ’ u t i l i s a t i o n d e s p a i l l e s d e cérÉales eb wbouchti etait
beaucoup moins répandue à cette épwue. k%tw aujourd’hui la ccncurrcnce
d’autres uti I isations reste irtportant e notarrment la réfect iw des pal issadas
l a consofwetion au chan-p par les anirî-aux non soumis i l’enbouche, l a
cuisine etc.. ,
- i 1 n’existe prat iquwrent pas de s~~t-plus de cér&les $ou-
van t perrw t tre ieur ut i l i sat ion en etk~~~~he bovine. Le dérivé essent i dt :k
I’utilisat
WI des &Gales dans I ‘alimentatim hunaine (le son) est la pilés
souvent de S t iné aux chevaux s’ i I ne sert pas au troc contre du sel .
- la vente iie cértial es par I 13 paysan au mt d e l a r&ol t*
ne lui pcrtT+et pas de disposer d’un tapi ta! financier qui peut être rein-
vest i , rrais sert surtwt a couvrir des besoins nwnktai res urgents.

.
Soui ignons toutcfoi s que lorsque les paysans ont des c&réalt?s
pour leur alimentation, l Fwrbouche
dure plus
ongtmps et les aniirfmx sont
vmdus à rmturi té.
Ces exp1 icat ions sont sans doute trop axées sur urée Visi\\on
liai irrmtari Ste” des supports de I ‘mbfflche paysanne mis el ies n’en je-
meurent pas pour autant mins pertinentes,
2.3.2.2.
- Origine et race des anirreux mbcuchés
--l-----.-------l----__________l_l____c
Les an irraux enbouch& qu ‘on ret rouv~‘r au foi rai I de t3arrbey provi m-
nmt :
- soi t des troupeaux des paysans de la zone,
- soit ont été achetés parmi l e s an irmux rmigres tout venant U
Dans le premier cas, i I s’agit de jeunes qui ne sont pas conser-
vés pour I e renouvcl I cmeflt du troupeaux y de taureaux? de boeufs et plus
. .
raremmt de vaches de réf orms. I I arrive alors que 1 ‘éi wmr-nai sseur

soi t aussi ertbouch~~r ou que I es deux fonct i cms soi ent Gparées,
Pour les anirmux achetés parmi les tout-venant (“Thioga1”) pour
des mboucheu rs 9
i I est difficile de retrouver leur base de départ cm,e
tenu des éventuels changemmts de propriétaires pmdant I eur d&placet-rw-,t
et I ‘absence rmss i ve de I ai ssez-passer r&gu I i èrernent vi sés parS des autw i t 6::
de contrôle aux différentes étapes.
Cmccrnan t I a race, 89 CT0 des animux observés sont des z&bus Gzbw
7 % des z6bu.s i\\“aures et 4 ‘$, seulmcnt des Marra. Ii zst ciai r que I e foi -
rai I est frGquent6 par i es zéGus et que les taurins n’y arrivent presque
pas, leurs axes cmrciaux passant plus à I ‘Ouese de Barrbey (vo; r cartti:
en annexe 2).
2.3.2.3. - Les cpérations rencontrées ati cours de I ‘enqui?iti-:
-.------------------_I_______C__________---------....-
I I est préférabt e rn fait de parler des opérateurs rencontrés
puisque certains agents intervfmant
dans I es t ran~act i cms au niveau du
foirai i n’apparaisser,t pas da ns I ‘mquête. Ainsi ies intcmédiaires
cm I es coxeurs et I es court i ers, dont I 1 inf lumce sur la forrmt ion cles
prix est pourtant très narquée ne sont pas mentionnés.
2 . 3 . 2 . 3 . 1 .
- &Spart i t im ethniqu e et prof crssi onnr:i i ‘;.. &s
- - - - - - - - - - - - - .I - - - - - - ---
cpérat w r s
w---w
Les opérateurs rencontrés appartimwnt aiux éthnies peulh,
sérère, ou01 of , t amwl eur et mure. Les fréquences des échanges en’! r,:
ithnies sont représentées à la figure &.

5.
Les çér&-es
ct ies peulhs apparaissent com les plus gros ven-
deurs au niveau de ce foirail alors que les ouolofs vimnent m tête pwmi
lés acheteurs.
Du point de vue professionnel , ce sont les dioulas qui sont pfus
nortbreux. Tartes les ethnies sont relativement bien représentées dans cettr.
profession avec une dominante des peulhs suivis des cuolofs, des s&ères,
des toucoulcurs et des mures (tableau 17).
Après I es di ou las vi et-mm t I es ewbouchews
1 les bouchers e,t I es
él evwrs-nai sseurs.
Les bouchers sont en majorité des ouolofs et des toucouleurs
alors que les errboucheurs et I es él evmrs-nai sseurs sont surtout des
séréres ce qui expl ique I cw- posi t i on parmi I es vendeurs.
Les diuulas sont au centre des transact ims (figure 5).
2.3.2.3.2.
- Répart i t i on des opérateurs par provenance
. - - - - - - - -. - - - - - - - - - .,*- -
La variété de la provenance des agents de transactions est sans’
doute un indice d’irrportance d’un t-mrche.
Le tableau 18 peut en cela permettre d’avancer que le foirail
de Darrbey zt t i re des opérateurs de divers hori zens.
A tôt é des dl oui as convoyeurs venus du P~ord (depart mm t s de
Ling&?e, Patam et de la t&uri tanie) et suivant les axes du hétai I 9 i I y a
ceux qui viennent des centres ut-bains cm DiourSel, Thies et Dakar pour-
s’approvisionner en sujets de boucherie.
Les opérateur-s habitants le département de Dambey restent ctpwdant
plus rmrbreux car c’est cssent i e l lm-mt eux qui forfmnt les mboucheurs :zt
I es él eveurs-nai sseurs.
2 . 3 . 3 . - Cc prix du cheptel Sur pied
Cette partie de I ‘enquête est celle qui a le plus souffert des
insuffisances du dispositif utilisé ; en effet, tout en ee proposant do sui-
vre I ‘&olutim des prix, c’est seulement au cours de six derniers mis de
i977 que I ‘on a fait figurer sur les fiches d’enq&te I ‘âge et Ii- poids Le?
anir;aux dont cn a recuei I I i les prix de vente.
D&s 10:-s i I s’avère inexact de parler d’&olut ion vu la localisa-
tion des données sur le stil stzywnt jui Ilet-décmt~re 1977. il faut aussi
signaler que les poids vifs dont on parle sont des poids est imés à vu pu i s--
que I ee mquêt eurs n’ont pas effectué des pesks.

C’est là des faiblesses qui enlèvent, 2 ce volet sur les prix &i;
bétai I sur pied, I ‘inté& qu’il aurait pu avoir.
Néanmoins, I ‘analyse de ces donn&cs mcntre une augmentation du
prix du ki Iograrmw de poid s vif estimé qui passe (de 172,2 F en juillct-
août à 193,5 F en noverrbre-déc&re avec une moywne de 182,3 F.
L’absence de r6pét i t i CH-I sur d’autres années ne pensât pas de
caractériser cette montée des prix c’est-&Ai re dle vérifier si el I e est
saisonniere ou cent ingente donc I iée à la seule année d’cbscrvat ion.
0-1 peut cependant rewirquer que ju i I I et +wAIi t , correspond à une pé-
riode de contraction de l’offre d’animaux bien engraissés. Les sujets
présentés sur le foi rai I sont rraigrcs rrai s relativement coûteux par rap-.
port à la p&iode préc6dente. La continuat ia? de la hausse du prix du
poids vif estimés ‘expl ique par la rwi I I L*re valeur bouchère des animaux.
grâce à I ‘amél iorat ion de leur al irr-wtat ion. Concourt égaIunent à c e l a l a
situation écawmique plus favorabt e des paysans eraboucheurs
qui sont nains
soumis à des besoins pressants de I iquidi té,
Au cours de ce semestre le prix de la viande était ,fixé officiel--
lerwnt à 300 F/kg pour le d&partemwt de EJarrbey rreis Se prix pratiqué &tC3iî
à 4x F .
Le prix moyen du ki logramm, vif estimé représentait donc, (?3 wtt<+
6poque, 60 % d u p r i x officiei d e I a viande et 45 % du prix pratiqué. En
supposant que I ‘estirration du poids vif sur pied était proche du poids vif
réel 9 on conprend que ie prix pratiqué de la viande se soit &zart& du prix
Of fi ci el . Ilemwque?s que le prix de la viande est relativement plus stable
que celui du betai I sur pi&.
i I est en fait plus faci le au boucher de
jouer sui* son habi lette! peur
s’en t i rer que de proposer à ses c I i cmt s une
succession rapprochée de hausses de prix.
Ce point nxmtre encore conbien i I est irrportant que la f ixatior!
des prix de 13 viande parte toujours d’une connaissance effective des c&itr,
qui sont e17 atwnt dct de leurs variations.
2.4. -ConcIusi ans
Le foirail de &t&wy se r&vèle selon cette enquête, comne un
rrarché de bétai I en plein essor.
Ce d&el oppcmsnt repose sur deux points :
- Ia position de ESarrbey sur les axes du bétai I qui vient ,AL!
Nord (zone sylvopastorale,
i+auri tanie) Et. qui peut y transi ter avant de ~XYJP
suivre vers Thiès et Dakar & l a dcrrande ne cesse de gonf Ier.

- E3arrbey est aussi I e point de r&f érence de rmrbreux
paysans-agropasteurs qui pratiquent de plus en plus il ‘Mouche à base ~5;
sous-produi t s agri coi es. CI-s mboucheurs s’y approvisionnent en sujets liai-
gros qu ’ i 5 peuvent y revendre après engrai ssetrten t .
Certains dioulas de Thiès et Dakar sont at t i r*Es par les prix
qu’ils y trouvent et qui leur permettmt sûrement de réaliser des $n6fi-
ces intéressants.
Ce mrch6 cormaft des fluctuations à caractère sai sonhier plus
QJ reins prononcé, de
‘offre d’animaux maigres C~~~TE embouches cc qui
n’est pas sans irfpl ica t ions sur le rmouvEment des prix du kilograrrme sur
piec31.
Les r6percus.s i ons au niveau du prix de la viande ne sont pas irmr&-
diates celui-ci g&jus:ant après un certain terrps de latente.
Si ces fluctuations sont en partie I iées à la nature de la pro-.
ducticn (1 ‘&ouche bovine paysanne etant encore forterrent tributaire
d’alirnznts dait la disponibilité est oral planifiée) elles d6pendent &~a--
lerment d’une organisation du rtarch& et d’une pol i 1: ique de prix peu &volu&~s.
a/ - L’organi sat ion du marché. Nous venons dc di re que
i3arrbey est 1 ‘un des ntirwx foi rai 1 s se si tuant dans 1 e cent t-e-nord du
bassin arachidier c)t sur les mes des anirrwx venant de !a zone sylvo--
pastorale, des localités faisant pfrontières avec la #auritanie et dz la
PAauri tani e. Ces mwchés
meçoivwtt donc, ne serai t-ce quFen transit 9 un2
bene part i e des animaux de boucheri e cons~s au Ç&-Ggal .
Paradoxa I ewn t
eur organisation est loin d’être a la hauteur de
I eur vocat ion. A part un calendrier d’ouver ure assez biwi slaboré pour
&i ter qu’i Is se tiennent les memZs ,jours Y ces rmarch4s sont en fmajoritE-
sans structures.
II serait souhaitable qu’i Is soim bien situés, bien clôtu&s
avec des entrées st des sorti es adapt%es aux exiga?ces de cent rôl e et ci’h~a-
cuat ion des anirraux.
Les structures internes devraient penmettre de parquer les ani-
creux par catégorie et par destination, avec des possi b i I i tés d ‘abreuvewn t
(gratuit) et d’al irmentat ion par achat.
La disponibi I i té d’un tmatériel de pesage pour les anirraux vendus
serrble nécessaire si I ‘WI veut connaître les prix pratiqués de façon pré-.
cise. Si au debut, cela pourrait rencontrer des réticences notarrrment de ta
part do ceux qui profitent ou pensturt prof i ter de la si tuation actuel 12, CC?
syst&ne finirait par être accepte.

1 2
Avec de tel les dispositions,
i 1 devi cmdmi t ai s6 do cent rôt tir*
la provenance des animaux, d’avoir des statistiques fiables sur les cnt&=s
les sorties et les ventes, et par ai I leurs de freiner la vente d’anirmux
vclés et d’appl iquer lu decret 77-963 du 2 novembre 1977 portant I ‘o~]a~
ni sat ion et la r6gl emmtat ion des professions touchant au cmrce du
bétai I et de la viande.
Les taxes sur tes ahinnux vendus pourraient alors &tre fixées ~CV*
ki logram de poids vif alors que les droits d’entrée et de parcage s’et.aO-*
b I i rai en t par ani rm 1 . Les taux ccmeman t ces redevances devrai en t prendre
en cmpte I ‘amortissement total ou partiel des infrastructures et les
salai res du personnel de gest i on.
b/ - La pal i t ique des prix
Le prix est un él&rmt d’6qui I ibre entre I ‘offre et la demande.
I I se forme 2 part i r de deux besoins convergents :: tel u i de céder un b; an
de la part du producteur et celui d’acquérir ce bien de la qart de I ‘miw-
teur. Cependant I lacte de vente-achat conci I ie deux volontés contradictoires
En effet celui qui achète veut que le prix soit le plus bas possib le alors
que le vendeur désire maximal iser sa tmrgti b&&f iciaire,
Ces carat t&ristiques du prix déterminent sa facul t6 d’6qu ilibwr
I ‘offre et la demnde et d’etre en IT&IW tewps sensible à leurs effets.
Une bonne pot i t ique de prix doit tendre à ce que le prix dr base
ou prix d’&qui I ibre soit assez bas pour engager I ‘acheteur (consomate~rj
et suft i sarrmmt Ul ev& pour encourager I e vendeur (producteur).
Ainsi le système de ccmmrcial i sat ion du Gtai I doi t 9 pour êt t-z
efficace prendre eh cwpte I es facteurs de product ion ut i I i ses dans i ti cycle
d’errbouche,
leurs c&ts et les causes de variat im de ceux-ci sans omett.ro
les possibi I i t&s du cmscmmteur de la viande (revenu).
Pour faire jouer à I ~errbouche paysanne de cet te zone Je rôle qu’oh
lui a assigne dans la stratification de ta production nationale de via&:
bovine, il faut par aillwrs proteTer les producteurs contre les sp&zuia.-
tions sur les aliments de betai I produits par I ‘agro-industrie et de plus
en plus utilisés dans la cmpl&=mtation des rations d’mbouche.
ci - La planification de la production
Le caractkre saisonnier de la production de bovins de boucherie
de bonne quai i te et en ntire élevé résulte principalement des réserves
fourragères et de la facon dont elles sont utilisées.

13
U-E borwe planification au niveau des paysans-&xx.&eurs
pour-
rai t att&uer cet effet-saison eé ai>+61 iorer la qtial i t& des carcasses
vendues en f in rxti son s&che d&bul hivernage.
En demiere analyse, i I apparart que ces trarchés de bwtai I ETI
zone agropastoral ë const i tucn t des pôles de stiwlation de la production
paysanne de bovins & boucherie. 1 I e s t souhaitable à c e t e f f e t d’asaai:Iir
leur fuxtionnmt et de suivre leur kvolut ion. C’est swlcmt ainsi qti,,
I ‘on peut corner 1 es mesures apt os à ori en ter de façon &qui I ib&e I ’ ~rboi~~:!-iC
paysivtrk.

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Tabl&3u hIo13 : Rbtrice d e corr&latims simples cmtrt! les diffhnts
effectifs de 1974 h 1977
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rableau nolo : Pluvic&trie et product icms v&&t...les du d&artcment de Ekmbey
(sa;rce = rapports annuels de la D.G.J.A.)
Pluvicmétrie
Données sur I es cul tures
Surf aces occup&es (ha
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1 IProduct ions Itmtes)
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( P.P,
1425 à 14.31).

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