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A G R I C O L E S ( I . S . R . A . )
- - - - - - - - - -
*
LABORATOIRE NATIONAL DE L’ELEVAGE
ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
B.P. 2057
D A K A R -HANN
LES RESSOURCES LIGNEUSES DE LA ZûNE
SYLVO-PASTORALE DU SENEGAL :
IZVOLUTION, GESTION ET
PERSPECTIVES DE
DEVELOPPEh4ENT
Par
Dr Amadou Tarn-tir DIOP
Communication présentée à l’atelier
t e n u 3 l ’ U n i v e r s i t é C . A . D!OP
d e D a k a r s u r “For&t, E n v i r o n n e m e n t
R E F . No 38/AGf’ZOSTC:
et Developpement du 22 ari
J U I L L E T 1989.
26 mai 1989,

1. INTl?ODUCTIOM
Comme dans toutes les zones à vocation pastorale, les ressources ligneuses
jouent un rôle important dans l’alimentation du cheptel et la satisfaction des
besoins des populations du Ferlo.
Ces ressources ligneuses connaissent depuis presque deux décennies,
des modifications par suite des variations pluviométriques et des multiples
interventions de l’homme.
Des programmes d’aménagement ont été instaurés en vue de leur améliora-
tion. Leurs résultats ont été pour la plupart peu probants.
Cette présente communication fait le point sur l’évolution de ces ressources
ligneuses, leur mode d’exploitation et dégage des perspectives de développement.

- 2
2. EVOLUTION DES PEUPLEMENTS LIGNEUX DANS IA ZONE
SYLVO-PASTORALE DU SENEGAL
L’étude de la végétation dans cette partie du Sénégal a débuté en 1940
par TROCHAIN Puis par ADAMS en 1953 (in GROSMAIRE, 1957).
La cartographie des formations végétales a été faite en 1972 par
VALENZA et DIALLO puis en 1985 par TAPPAN.
Des prospections dans des zones plus réduites ont été menées par plu-
sieurs auteurs parmi lesquels nous citons : POUPON (1980), DOYEN (1983)
et DIOP (1987).
Notre étude sur l’évolution de la végétation ligneuse sera faite à partir
de 1970, période à partir de laquelle le déficit pluviométrique s’est accéléré
(figure 1) .
Les figures 2 et 3 indiquent la répartition des principales formations
ligneuses au début des années 1970 et 1980 et les espèces qui les caractéri-
sent.
On se rend compte que la formation sur substrat gravillonnaire* demeure
caractérisée par Pterocarpus lucens bien que Balanites aegyptiaca s’y est
développé.
Sur le substrat sableux, celle à Acacia raddiana s’est étendue vers
le sud. Cette progression d’A. raddiana serait liée aux mouvements du chep-
tel qui assurent selon les éleveurs de la zone, la dissémination des graines.
Au niveau des différentes formations, Balanites aegyptiaca s’est maintenu
s’il n’a pas connu une progression comme Boscia seneqalensis et Guiera sene-
galensis.
La sclérophyllie**
élevée de ces espèces favoriserait leur développe-
ment (VANPRAET et ITTERSUM, 1983 ; POUPON, 1980). Cette grande résis-
tance à l’aridité avait permis à Calotropis procera de se développer.
. . . / . . .
* Le Ferlo est composé d’une partie sableuse au Nord et à l’Ouest et d’une
partie gravillonnaire au Sud et Sud-Est.
** SclÉ?rophyllie (indice de) : teneur en matière sèche par unité de surface
foliaire (POUPON, 1980).

FIG. 1: EVOLUTION DE LA PLUVIOMETRIE AU NIVEAU DE
QUATRE STATIONS DU FERLO NORD DE 1934 A 1988
(Service de la Météorologie Nationale) .
Pluie (mm) .
8OC
PODOR
Pluie (mm)
DAGANA
600
4oa
200
0
?Irll,r,lr,r,,,
,,,,,,,,,,
,,,,,,,,,
,,,,,,,,
I ,,,
1940
1950
1960
1970
1980
AnnCcs I
pluie (mm)
Pluie (mm)
MATAM
800
LINGUERE
600
5#,,,,‘,,,,,,,,,,,,,,,,

“,h

,>,,,,

I
,,,,,,,,,,,

,,,,(,,,
1940
1950
l%O
1970
1980
Annks
:940
1950
1960
1970
1980
Am&es

Figure 2 : Formations ligneuses de la zone sylvo-pastorale au début des années 1970
(3. VALENZA et A.K. DIALLO, 1972)
Balanites aegyptiaca
Balanites aegyptiaca
Acacia raddiana
8. senegalensis
+ A. seyal
C. glutinosum
1>>1 m
--’
Y ré Lao
Q
Sclerocarya birr -ea/Balanites aegyptiacai
/ CI
1) .-NM
C-d
Da râ
.
/
\\
Diagueli
.@
- - - -WC-\\
Ptérocarpus lucf 3s
Combretl;m glutinosum
A. seyal
B. aegyptiaca
+
A. senegal
-t
G. senegalensis
A. obesum
__ - ._ _._ __ .._ _
---.--.-_- ---

Figure 3 : Formations 1 igneuses de la zone sylvo-pastorale au début des années 1980
(TAPPLW G., 1985)
Balanites aegyptiaca/Acacia raddiana
Acacia raddianalBa1anite.s aegyptiaca
B. senegalensis
B. senegalensis
+
C. procera
\\
Lac de
I
-
\\
%
Guiers
.
e Tiengoli
‘7
Sclerocar.ya Balanites
I
Amali
1 Matarn
birrea
/ aegyptiaca
\\
'P
+
B. senegalensis
\\
\\
G. senegalensis
Reyane
1
c
/
/
/
c-
2-m-c
#-
4
L-*4
Denndoudi
Dahra
Diagueli
/
\\
I
Y @
Balanites aegyptiaca/Sclerocarya birrea
Pterocarpus lucens/Balanites aegyptiaca
B. senegalensis
C. glutinosum
+
A. senegal
G. senegalensis
+
A. seyal
C. glutinosum

- 6
Contrairement à ces espèces, Sclerocarya birrea, en dépit du fait qu’elle
demeure relativement importante au niveau de certaines formations, connaît
beaucoup de mortalité et sa population serait pour une bonne partie constituée
de sujets âgés (VAN PRAET e t I T T E R S U M , O p C i t )
Cette modification au niveau de la composition floristique, par suite notam-
ment du déficit pluviométri’ que, va se retrouver au niveau de la densité des
espèces et de leur répartition selon la topographie et le type de sols.
Ainsi, de 1979 à 1981, la densite moyenne des ligneux dans la zone sylvo-
pastorale est. passée de 446 à 376, 4 sujets/ha (P IOT, 1983). POUPON (19801
note aussi une baisse de la densité des ligneux au niveau de Fété Olé entre
1972 et 1973 mais le même auteur constate que la population ligneuse a double
en comparant la période allant de 1972 (409 ind. /ha) à 1979 (847 ind. /ha).
Les possibilités de régénération des espèces comme Boscia senegalensis avaient
compensé dans une certaine mesure les pertes dues à la mortalité d’autres
espèces e
Cette progression des espèces dites résistantes à la sécheresse ne semble
pas être arrêtée avec les bonnes saisons des pluies qui sont enregistrées depuis
4 à 5 ans et les formations aux alentours de Tatki, Mbiddi, Vendou Tiengoli e t
‘7 Amali font l’objet d’unevéritable colonisation par B. senegalensis et Calotropis
~-
procera ( D I O P , 1987).
Selon la topographie et le type de sols,
les formations ligneuses ont connu
une évolution. Au niveau de la station, les plus grands nombres d’individus
ligneux ont été enregistres dans les dépressions (POUPON, 1980) et au niveau
régional, la densité des ligneux dans les zones hydromorphes est le plus souvent
plus élevée qu’ailleurs (De WISPALAERE, 1983 et DIOP, Op Cit).
L’évolution des formations ligneuses ne se manifeste pas uniquement au
niveau de la composition floristique et de la densité mais aussi de la productivité
et de l’exploitation par les populations locales.
. . . i . . .

- 7
3. LA PRODUCTIVITE ET L’EXPLOITATIO!N DES PEUPLE!MElW-S LIGbllEISX
-
L’apport des ligneux peut être scindé en deux fractions :
. la production fourragère qui est constituée par les éléments que l’animal peut
incorporer dans sa ration (feuilles, fruits, fleurs, jeunes pousses, etc.. .l,
. et la production forestière qui est constituée par les produits des ligneux
utilisés par les populations.
3.1 - La pfuxiuctïon fwrragike
La production fourragère ligneuse est constituée pour environ 91’10 p a r
la production foliaire. Nous allons nous limiter à l’utilisation de cette biornasse
foliaire.
Elle est en moyenne égale à 110 kg MS/ha en zone sylvo-pastorale
(POUPON, 1980). En la comparant à celle issue de la strate herbacée qui peut
atteindre 1 000 à 1 500 kg MS/ha,
elle serait surtout importanti par les élements
nutritifs qu’elle apporte à l’animal notamment pendant la saison sèche.
Son utilisation par le cheptel est fonction de plusieurs facteurs. Les
observations de CNII4GUE et TLUCZYKONT (1985)à Vendou Tiengoli et de
SHARMAN et GNING (1983) à Labgar entre autres fournissent des indications
sur la variabilité d’utilisation des ligneux en zone sylvo-pastorale.
Selon les premiers auteurs, une espèce ligneuse qui n’est pas sélectionnée
par les animaux pendant toute une année peut être très appétée l’année sui-
vante (Calotropis procera et Boscia senegalensis par exemple).
auteurs
Les deuxi&mes/indiquent
que la proportion des ligneux dans le régime des
animaux est fonction de l’espèce (les caprins consomment plus de feuilles que
les ovins qui en consomment plus que les bovins], de la période (la proportion
des ligneux dans le bol alimentaire augmente au fur et à mesure que la saison
sèche avance) et de la disponibilité en feuilles.
F~OUS pouvons donc nous rendre compte que pendant les moments de fai-
ble productivité de biomasse herbacée, le prélèvement sur les ligneux est
augmenté pour atténuer les pertes en productions animales. Ce qui amplifie
les effets du déficit pluviométrique sur la strate ligneuse.
. . . i . . .

- 8
3 . 2 - Les prxxhctbs forestih
L’utilisation des ligneux par les populations pour la satisfaction de leurs
besoins est liée à la disponibilité du produit forestier mais aussi au manque
d’autres alternatives plus appropriées y compris les matières importées.
Pour ces raisons, la détermination des productions fourragères demeure
difficile. Aussi, nous nous limiterons à fournir quelques utilisations des li-
geux par les populations locales (tableau 1).
Le bois de chauffe le plus utilisé est celui de Crewia bicolor et de Bala-
nites aegyptiaca ; celui
de Dalbergia melanoxylon, très dur à couper l’est
moins tandis que le bois de Boscia senegalensis ne l’est qu’exceptionnellement
:y
du fait qu’il fume. PIOT et DIAITE (1983) ont toutefois noté dans le Ferlo
une plus grande utilisation du bois de D. melanoxylon comme combustible.
Le bois est ramassé entre 2 et 3,5 km du campement ou du forage
(PIOT et DIAITE, Op Cit). II sert à la cuisson des aliments et à chauffer les
cases en période de froid.
Le bois d’oeuvre le plus utilisé est celui de Sclerocarya birrea pour ces
mortiers,
ustenciles de cuisine et banquettes ; les pilons sont faits de bois de
Balanites aegyptiaca.
Les cases d’hivernage sont construites avec des branches de Grewia
bicolor et de Pterocarpus lucens, les pieux de soutien avec Dalbergia melano-
xylon ; les arcs avec Guiera senegalensis et Calotropis procera. Boscia senega-
lensis peut être utilisé en cas de raréfaction de ces espèces.
Les enclos des animaux et les clôtures des champs et des habitations sont
faites la plupart du cas de branches de Guiera senegalensis, Grewia bicolor et
Balanites aeqyptiaca. D’autres essences peuvent toutefois être utilisées en cas
de raréfaction de ces dernières.
La pratique du charbonnage serait plutôt liée à la présence d’habitats
sédentaires ; le peu1 utilisant surtout le bois pour satisfaire ses besoins en
combustible.
*.. /. . .

- 9
Tableau 1 : Quelques utilisations des ligneux en zone sylvo-pastorale
(PIOT et DIAITE, 1983 et DIOP, 1987)
Bois de
Bois
Bois de Cnarbon
chauffe
d'oeuvre
construc-
de bois
Fruits
Gommes
Autres
tion
Balacites aegyptiaca
fx
+
f
+
+ +
Boscia senegalensis
+
+
Calotropis procera
+
;/ ..
Dalbergia melanoxylon
+ x
?
+
J
Grewia hicolor
+ x
+
+
Guiera senegalensis
t
Sclerocarya birrea
$
+
Ziziphus mauritania
X
+ +
Pterocarpus lucens
X
Combretum glutinosum
X
Combretum aculeatum
X
Acacia senegal
‘Y
I
x
Combretllm nigricans
X
X
(colle cel-
-
lulosique) 1
Sterculia setigera
X
Commipbora africana
X
(encens)
Acacia seyal
X
X
Mitragyna inermis
X
Adansoniadigitata
X
+
utilisé
selon DIOk
-.
non utilisé
l
x
utilisé
selon PIOT et DIAITE

- 10
L’exploitation des fruits se limite à ceux de Balanites aegyptiaca et
Ziziphus mauritiana ; ce sont les femmes et les enfants qui vont ies ramasser
pour les vendre au marché hebdomadaire. Les fruits de Boscia senegalensis
sont mangés essentiellement en période de disette et les drupes de Sclerocarya
birrea sont surtout recherchées par les enfants qui les consomment.
A partir de ces quelques éléments sur les productions forestières, il
ne sera pas possible de faire un bilan de leur exploitation. Toutefois, on
peut se rendre que certaines espèces signalées comme étant en régression
(Sclerocarya birrea, Dalbergia melanoxylorr, Grewia bicolor) , sont très uti-
lisées par les populations.
Perspectives de ciéveloppemfmJ
Le développement des ressources ligneuses dépend de la pluviométrie,
de l’intensité d’exploitation et de l’importance des programmes d’aménagement.
Concernant ia pluviométrie, si la tendance à la remontée se maintient,
les espèces ligneuses vont pouvoir se développer. La question à se poser est
de savoir pendant combien de temps les espèces résistantes à la sécheresse
vont continuer leur progression ?
Une autre .période de déficit pluviométrique se traduirait par une reprise
des mortalités au niveau de toutes ies espèces notamment celles qui sont moins
résistantes au déficit hydrique.
Selon les disponibilités en fourrage herbacé, !a pression animale sur les
ligneux sera plus ou moins importante. Ainsi, en période de déficit, le brou-
tage des jeunes pousses et l’émondage sont augmentés.
L’utilisation des produits forestiers (bois, fruits, écorce et séve)
est fonction de la propension des populations locales à faire usage d’autres
produits (animaux, produits manufactrarés et médicinaux, etc.. . ) pour la
satisfaction de leurs besoins.
.
.
i
.
..a

- 11
Comme pour la zone sylvo-pastorale, le mode de vie des populations
locales n’a pas connu de grands changements,
l’utilisation des productions
des ligneux en vue de compenser les pertes en productions animales et de
réduire les dépenses monétaires est donc demeurée importante.
Avec l’augmentation de la démographie humaine et animale et la sédenta-
risation autour des ouvrages hydrauliques,
les prélèvements sur le matériel
végétal, auront tendance à croître,réduisant les capacités de régénération des
formations ligneuses.
Les programmes d’aménagement des ressources ligneuses ont eté basées
sur le reboisement et la mise en défens.
ils avaient pour objectif I’accroisse-
ment de la productivité des ligneux autour des forages.
Cependant, au niveau des parcelles de reboissement, de fortes mortalités
(jusqu’à !OO % des effectifs) ont été enregistrés annihilant les efforts de plu-
sieurs années d’investissement humain et matériel.
En plus,
les populations locales n’adhèrent pas souvent à ces actions et ils
n’hésitent pas à laisser leurs animaux s’introduire dans les parcelles.
La nouvelle stratégie a consisté à créer des parcelles où l’éleveur et
son animal sont acceptés : les périmètres pastoraux comme on les appelle
devront leur réussite à la participation des éleveurs qui
auront
chaque
.
fois?réduire l’effectif de leur troupeau si la capacité de charge de la parcelle
qui leur est attribué est dépassée.
Nous pouvons donc dire qu’en zone sylvo-pastorale, en dehors du pro-
blème de la pluviométrie où
aucune prévision à long terme n’est pour I’ins-
tant possible, le développement des ressources ligneuses reste donc entre
les mains des populations locales.
Leur perception de la notion de dégrada-
tion ou plutôt d’évolution des formations ligneuses, très fataliste en général,
sera dét.erminante.

- 12
B I B L I O G R A P H I E
1 - De WISPALAERE (C.) (1983) - Système de production d’élevage au
Sénégal. Etude et cartographie de l’évolution de la végétation par télé-
détection aérospastorale. Compte rendu de fin d’études. ACC-CRI ZAT
( L A T ) .
2
DIOP (A.T.) (1987) - Les ressources de l’aire pastorale de Tatki : inven-
taire et étude du mode d’exploitation, propositions de plan d’aménagement
et de gestion rationnelle. Dakar : L N E R V , 1 9 0 p . ( R é f . n017/Agrosto).
3- DOYEN ( 1 9 8 3 ) - Forêt - Conservation - Développement.
(Comm. Coll. sur le Lac de Guiers.
Problématique d’environnement et
de développement, Dakar : 09-11 mai 1983). pp : 147-191.
4 - GNINGUE (D. 1.) et TLUCZYKONT (S.) (1985) - Observations des parcel-
les de mise en défens partielle dans la zone nord (Com. Sém. sur problé-
matique et les stratégies sylvo-pastorale au Sahel. Dakar : 6-l 1 mai 1985).
P P : 161-184.
5 - GROSMAIRE (1957) - Eléments de politique sylvo-pastorale au Sahel séné-
galais. Inspection forestière du Fleuve : Saint-Louis, 10 fascicules.
6 - PIOT (J.) et DIAITE (A.) (1983) - Système de production d’élevage au
Sénégal. Etude du couvert ligneux. Compte rendu de fin d’étude. -
C . I . T . : Nogent sur Marne, ISRA : Dakar-Hann, 30 p. + 4 annexes.
7 - POUPON ( H.) (1980) - Structure et dynamique de la strate ligneuse
d’un steppe sahélienne au Nord du Sénégal. - ORSTOM, Paris, 351 p.
8 - SHARMAN (M. J. ) et GN I NC (M. ) (1983) - Comportement du cheptel au
Ferlo. Résultats des suivis quotidiens (Com. Coll. sur méthodes d’inven-
taire et de surveillance continu des écosystèmes pastoraux sahéliens.
Application de développement. - Dakar, 16, 17, 18 novembre 1983) :
P P : 209-221.
/
. . . . . .

- 13
9 - TAPPAN (G.) (1985) - Végétation et utilisation des sols en cartographie
et télédétection des ressources de la République du Sénégal. - Dakar :
Direction de IlAménagement du Territoire. Agency for International
Developpement - pp : 477-629. 49 fig. 1 carte hors texte en couleur
au 1/500.000 (4 parties).
10 - TROCHAIN (J.L.) (1980) - Contribution à l’étude de la végétation du
Sénégal. Thèse, Paris - Librairie Larose : 433 p.
11 - VALENZA (J) et DIALLO (A.K.) (7975) - Etude des pâturages naturels
au Nord Sénégal. - IEMVT : Paris, LNERV : Dakar. Etude agrostologique
no 34 ; 311 p. ( 1 carte couleur à 1/200.000 ou 3 feuilles.
12
VANPRAET (C. L.) et ITTERSUM (1983) - Considérations sur des analyses
dimensionnelles de quelques espèces ligneuses de la zone sylvo-pastorale
au Sénégal (Com, Coll. sur méthodes d’inventaire et de surveillance conti-
nue des écosystèmes pastoraux sahéliens. Application au développement,
Dakar, 16, 17, 18 novembre 1983) - pp : 243-249.