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MXrtZSTE;RE DU DEVWW%MEM$ RURAZI
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INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERGHElS
AQRZCOSES (I,S&A.)
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DEPARTEMENT DE RECHERCHES SWR LES
PRODUCTTONS ET LA SANTE ANIMALES
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LABORATQIRE NATIONAL DE LsELEVAiE
ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
B.P. 2057
DAKAR - HANN
PROJET DOETUDE DU BETAIL TRYPANOTOLERANT
SITUATION D'EXECUTION DES ACTIONS DE
RECHERCHE ET DIFFICULTES RENCONTREES
Par
Dr A, DIAITE
Coordonnateur national du projet
REF. N063fPARAS21Q,
>
OCTOBRE 1989.

1. ~IWsent.ation
Le btit du prQjgt daris sa sëconde phaM est de continuer en
Qatibie et ati Sud dù Zk-&gal,
l e s etudes détaillhea SW l é tePFalit
pour &aluer les productions du bétail fidarne datioi iM isond$tlbiib
d’élevage villageois et pour dk@%fidré ëcQniwM~ 6iW pNdtiÉtion8
peuvent être affectSeri par ié rlst#ie qtie 4bn5itUent ie couple3
ntSé-t~é try$WiosMniasen d’ue part, et par les problémes de kQit6,
conduite et nutrition” d’autre- part. Le projet ehtt C6otionné d e
façon conjointe Par i'ILcA et l’ILFtJ@ atf@e hà Miti$&?atian des GiitiWP-
t;ie@rits de la Gainbie Pe$Wéeerité par & GfT 66 d u !Sfi&aI E’èpf-&MI$~
fjak i’x$J#;

- 2
Ce projet, bien que domicilié en Gambie dans l’enceinte du CIT,
en est différent de par lVorigine des sources de financement ; le
CIT étant finance par la Banque Africaine de Développement (BAR)
@ce à un pr& accorde au Gouvernement de Ga~&le et par des denna-
teurs divers.
2 . Objectifs
Ce projet de recherche orienté essentiellement vers les acti-
vités de terrain devraient se concentrer sur :
- la collecte de façon simultanée d*informat&aas sur la pPodw~~i~St$-
la santé et la pression glossinnaire,
- la détermination des meilleures wliP$ d*in%ervenkbon sjr la nutri-
tion en utilisant les aliments disponibles localement (tourteaux,
graines de coton, paille de riz, fanes d’arachide),
- lsimpact de lPintroduction de nouvelles méthodes de lutte contre
la trypanosomiase : utilisation par exemple planifiee de médica-
ments trypanocides curatifs ou preventifs.
3. Gofit et plan de financement
Le cofit global du projet a été estimé & deux millions six ce&
trente mille ECU (2 630 000) pour la seconde phase. Ce montant a 6333
à peu près obtenu auprès de la CEE.
. . . /
. . .

.*. / ..*

Ce gwmier rapport gmi%ente la sPtuattarr de IWkwt$f~~ati~n des
animaux, le nombre de villages encadres et les premiers ~&JU&%~$S
entomologiques et he;tmintkkoZogigues.
R&umts
Ce second rsppwt pr6sentc; I’ensesb3.e des resultats obtenus apa&
une phiode d’une anh? de co12ccte.bPZntesesaantes corrGlatQms
y ont &ténot&s entre les LsaS.aonso, les taux d’infection (vecteur
hbte), les pcrids rat eaffn LgLnfe&atfon paraalQ%iFe, IX y east en
ou$xw fait une 8&apftuZatf~1n des intervent$ons m4dicales 42%
sm38ta3mw3 tg~atuft& sffeatu4es,

4. .~.,.rt3ncontréeB
Le proJet a oO#%iu dé8 le départ un certain nombre de difficuul-
tés qul sont de deux ordres :
* Endogènes
- installation avec notamment les serv$oes de Douane qui ne
possedaient aucun document concernant le projet, ni aucun
protocole d’accord entre le Sénegal et la Gambie pour le
projet) p
- une receptivite des eleueurs tr8s sensibles aux problemes
de saignée réguliére (mensuelle) de lews animaux.
C’est ainsi que le village de SlnthIan Todja a quitté le
projet après le marquage des animaux pour les raisons evo-
quées plus haut et que, un second village Tabandinto, en a
récemment fait de m6me aprds cependant un an de collabora-
tion et d’excellents resultats en ce qui concerne les taux
de vêlage et le poids des veaux à la naissance,
- retard dans les envois de mémoires de depenses.
* Exogenes
- irrégularité des virements. Les virements rhnt pas toujours
été effectués de façon
régulière (trimestrielle s’entend)
de sorte que les ruptures en tresorerie ont été fréquentes,
ce qui a fait l'objet de nombreux télex entre Nairobi (Dr
Guy dZ’ICTEREN) et Dakar: DRSPA,
- la mise en place tardive des fonds virés pour le compte du
projet au niveau de la banque destinataire a Dakar (par
exemple le virement de mai 1988 n’a éte mis a la disposition
de 1’ISRA qu’en janvier 1989),

- 6
- 13arrêt du préfinancement qui avait permis jusquvà présent
de mener à bien le travail. Cela aentrahé B la plus grande
crise que le projet traverse actuellement au Shkgal et qui
menaLiE: xnâpua de fairo &ter ce travaU, En effet, depuis
juin &S@I, il y a un manque total de trésorerie.
Il faut dire que pour l'année 1989, aucun virement n'a été
fait à partir de 1'fLCA et 1'fLRAD et le projet au Sénégal a tourné
durant tout le premier semest~ de lC’aan.4a J$L& @iee au rew
dea. fonds a&~.& en 1988,
Agx der&be$ nouve$ies (rencontre avec Guy UfICTEREN 8 WagaA%w
gin), 14 CEE aurarit autorisé le débloquage des fonds de la seconde
phase le 15 aoQt dernier,
En outre, Un té$ex a été récetient (28 septembre) encore envoyk
au Coordonnateur du réseau a Nairobi pour lui signifier l'épuisement
de la trésorerie et le risqUe.de voir arrêter les travaux entamés,
faute de moyens finahclers,