-. PAR YAYA TiiONGANE REF. W"67/~IICRoBI0....
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PAR YAYA TiiONGANE
REF. W"67/~IICRoBI0.
JUILLET 1984.
S O M M A 1 R E
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SALMONELLOSES ANIMALES ET .HUMAINES
ASPl3CTS RACTERIOLOGIQUES ET Fl?IDEMIOLOGLQCTES
-C-L-----
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lare PARTI%
-
-
3.1 - &3,xIctères hioc.!.!s
3.1.1 - &tion sur les duci~es et alcool
3.1.2 -Actionsur lespxddes
3.1.3 - ktion sur les sels rlsacides or0aniques
3.1.4 - ltbuv0i.r réduct9r
3.1.5 - Culture sur milieu au CIIM
3.1‘6 - Culture sur Clark-Lu.& muge de métby7.e @,Y.) et Wxqes
Prdcauer W.P.)
3.2 -%qnostic 8e qroue
3.2.1 - l?&hcde rapide
3.2.2 - Pi- I.ente.
4.1 - Les antihes
4.1.1 - ?zti&.nes çcmratipa
4.1.2 - Anti*es fla$m.air~.
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..- I I
CHAPITRI: II : SALMONELLOSES
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1.1 - 'Etide cl-
1.1.1 - @.@re #pho$ij~ .a%. pcgq@dde
1.1.2 - Salmonelloses mitxares
1.2 - Etude &pidGciolo+ye
1.2.1 .2Jl* . ., : :
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1.2.2 - sem
: ,. 1.2.4. - Ara-&es et- qyle
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l.2.5 - sa&n
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1.2.6 - M.veau de vie
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1.2.7 - htivité pmfessionn&~
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2.1 - samne11oses cI.iniques .'
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2.2.1
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*r&pes
2.1.2 - Sa.imnellosgs sqq-+ixes .
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1.1 - Les viandes
1,2 -Lesoeufs
1.3 - IR, lait
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2.3.1 - a-
3.3.2 - ??tJlmm*
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ETUDE DE L& SENSIBILITE AUX ANTIEIOTIQUES
DE QUELQUES SOUCHES ISOLE$S CHEZ I.'JiNIWL. .
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2.1 y pr6lG~ts
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2,2 - Yilieux de culture
2.3 - .?htîbtiti~a
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3.2 - Jkkntification.
3.3 - SensLbilitE aux ant=hbio*S
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INT@YJDUCTfON _
Les Salmonelloses, Anthmpozoonoses ou -lus simplement Zoonoses, sont
dues B des Entérobactéries du ~emx? SaZmoneZZa, gemes lar~mnent r6pamlus
dans la nature. Ja détemïnation de ces bactkies bas&e essentiellement sur
l’analyse antip6niq~ue,~rmet de mconnaWe,2 l’heure actuelle,plus de 2 000
séroty-s. Panni ceux-ci, un petit nonibre est adaut <% une es@ce donnge oi.3
il enTendre une mlad.ie plus ou moins individualisée. Dans ce cas, OI?. assiste
sur le plan patbolo~ique,
à uni spécificité dth6te, Ce sont les cas de :
SaZmonelZa tgh2, SalmomZla pwtyphi A3 SaZmnelZa para@phi B chez l’homm,
SaLmoneZZa gaZlkwutn=pulZomun
chez la poule, Salrnonetla abarttL8-A8 chez
les ovins, etc...
A l’op~sé, un deuxi&ne cir~uue englobant la majorité des SaZmoneZZa pro-
voque des troubles uathologiques aussi bien chez l*home que chez ltanîmal,
Ces Salmonelloses clites %neureP offrent une larve extension et posent dans
nos Tays un probe& *ortant de sant6 publique et it’hy@.&ne &$ale.
TLe rkervoir de ces gemes qubiquitaires,
le rk$me animal et son environ-
nenmt puvent contaminer la chabe alimentaire et engendrer des toxi--
.
.I .-
infections chez 1 ‘hcme. Les dem-& d ‘ori@ne animale (viande, lait, oeufs)
jouent un rôle essentiel dans l’dtioloaie des gastro-entérites.
6, t interdépendance zoolopique (chaîne alimentaire) situe 1 t ampleur et
Itinrportance de la tâche du vét&inaire (hypiéniste et patholo@ste) dans la
pr&ervation de la santé publique. Il intervient dans la surveil?.ance 6pi&mio-
logique indispensable du réservoir animal. Cette surveil!.ance devant aboutir
B l’élaboration de mesures desti&es 2 endiguer le nh&m&e, nkessite 1.e
recueil de données bactériolopiques
(isolement et identification des sérotypes,
sensibilité 3 divers agents bactgricides) et épid.&io2o+ques
(principales
sources de contamination, modes de transmission, facteurs de survie dans les
,
produits et dans 1 tenvironnement).
CHA?lTRE 1 : FEFINITION ET IDEtiTIFI,CATION,
DES SALYOIVELLA_~
Les SahomZla conçtituent m vaste goupe de +x5 de 2 %JG sém?y$es
1
appartenant à la famille d.es Ent5robact6riac~ae et apparent% par 1eurS Ci&
~ctkes morphologicqes , cdtw-aux, bioc$.i&@s~ a.ntig4hiq.e.s e? hentue1 le-
‘.
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ment
lysotypiques.
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2,l - Sur bouillon.-
~Iles y poCl&xnt rapidement(& siXlxki&s) un troub?e homogène (mais
g&S a&&&5 ~~~‘Ed2er2ctia ci2Zi) avec. ~.~~~~colJ.ere+te 3 !.a surface d.u
liquile et yi3’ &pGt. Soulimons que S;@q?ti’et S,pfmztyphZ oftient un ?helq-
pement moinr; rar iae .
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.
Les’ cOlôties y aPparaissent’ rondes, ..sv&,lcsvées, qris-bland?Cttres , bril-
lantes avec bords rêwliers. J3lss~ont~~e 1 B l.,S m 4.e dia&tre, ,sauC quel-
.
ques exceptions : S.gal linarum-pultoman, S.abortw-ou-38 et S. QJ~~~~-su~s prEi-
sentent des fomes naines (~!+#G.an~ $,;celles des stqto,coques). La crois-
.
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sance des SuhoneIZa est*6pd%de”iJ 37°C et 3 q!l : 7,6 (28)‘.
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L'identification. des SaZnw12eZZa repose SLIYT des~caracth-es
I&chimiques
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que l’on doit systhatiquement rechercher avant de faire appel 2 ‘1 'afyhtina-
tien,
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3.1 .,l .- Action. sur les plucides- -
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Les ‘SaZmoneZZ& exercent ‘sur les glucides une acti% femtentgtive, cons-
tante et stable p0u.r une espke dorm6e. Elles fe-mentent avec souvent du mz,
le qlucose, le mnnitol et le sorC.tol. Elles sont sans action sur le i.ac+ose,
sauf de trYs rares excmtims (variante d,e S.unztim) ,
: !.
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Wîutr6k glucides $euv&t. 6tre employts pou? diff6kencier les s6rotypes
(mm l’arabinose ~OUF S.paratyphi C et S.choZerae-suis) (36) .et penrettent
d’etablir des biotyes B 1’ intérieur d’un skrotype. ‘/S
.;..:. L ‘...j..
3.1.2 - A&mi sur les motides
.
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. .
BAS ~aZmoneZZa, dans ieur majmit6,’ .*elahorent me dkarboxylase pour
1.a lysine, ltarpin& et ltOrriitihi~e mais sr$nt. &ms effet sllr l’acide gluta-
;
mique (20).
:
Elles n’hydrolysent pas 1’urGe (contrairemmt aux Proteus) et ne pro-
.
duise?t pas d’indole sauf des variantes de S,eastbo@@. et ,S.ordOwez (3, 28) +
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EiieS ne poss?cient
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as. de d&&&se $e la @hvl-alaniné et du trypto-
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phane! El$es liouéFietit ou non la'&ati.tie.
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3.:1,,,3 -: ,&+on su~...les ,.sels cj,‘agj.des ormniques-+
,
Cks bacthies utilisent ou ‘non. le citrate mme source de carbone
(citrate de Simrrons, de Christensen).
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- 4
3.7.4~
:L ~oqm+r $d@m.m .
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Elles tmnsfomtent 33s nitrates, en nitrites, pr$uisent 6% @néral dfi
l~hy~~gène sulf& et ne ??ossèdent Tas d.’ o.xydaSe.
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3.1 .s.- Sur milieu au cyanure de pdtassium ”
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3.1.6 - Sur Clark. et Lubg
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Elles swt roqe de m6thyle f (RI4 +) et VosFs-Proskaugr - (vp-) .
1
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3.li7 - El.l.es sont .catalase pos,itives.
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3.2 - ‘ji&wost,ic de sqoune (d&entiation &II pnre SaZmmeZW 'i
11 porte sur la combinaison des caractGres’biochimiq,ues
et s’~$R selon
ileux m6thodes :
3.2.1 -J%?thode ppidq-,(%)
F,Lle fait a.pnelY à des milieux combin6s (au notire Cie trois) pmettant
de rvcher&er plusieurs caractères 2 la fois. La lecture s’effectue en 24 ?I
au matimum.
- Milieu no1 : milieu de Hajna-KG.gler danne cinq r6ponses :
---
- fermentation du @u.cose,
- woduction dx Paz,
.
- fenilentation du lactose,
- production ?‘Y$,
- p&sence de lysine dëcarboxylase.
11 est en outre possible de 1 ‘utiliser pur la rechercT~e de la b&aoalac.
tosihse, les d&A.nases de 7 a sh6nvlalaG.w
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- 5
- ?îlieu no2 : rrilieu %annîtol.-mAilite” .ne,rmet’ de savoir si. le p33w est
. . ., i: “mkbîle et ierr%nte ‘le matiitol;
.,<
I 2
- Nil.ieu no3 : Filieu ‘?,&e-indole”, fournit trois tiponses :
.-
---.
- présence d5..Mhse, . .
- produc tion)d’ indole )
- yr5sence d t~.me tryltophana’ désaminase.
!,a corhinaison de ces rhonszs permet, dans la majorit 5 des cas, de poser
le diagnostic du uenre Sahone 2 Za. ’
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.’ . .
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3.2.2 - M&%ode len.te
S0ntrairemen.t à ?~a~n~&$ériente~’ cette M%ode, 71u.s co+Gte, met en jeu
une Etude ayprofondîe de la SOU~!!,I Q en cause nar la d6temination 8’ un ylus
mm4 nomhe de. cara&res gendaqt une vkiode 4.e dem semaines (observations
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d e viqes t a r d i f s ) . ”
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,,I Ley3 SaZrnone,ZZa,~ iront if% CaGKTG~S biochiniques spot identiques, ne
puvent être Cas&es au’en rec&r+mt .le~~rs, camnasants gti,$niques
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a@gtina+g;, avec ~?es s6ms spkifiques .
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4.1 - Les antiphes
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.4;1.1 - ‘:&M@nes :~omatiqu~?? [3;:,28, 3 7 , 3 8 ) .
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Il existe qjlatre WC& iIvantiyhes somatiques (du corps bactérifm) mis
seuls : 0 et Vi sont utilisés en ,diagnos$ic. ,.L’ gnti@nF q, $e ,nature corpl.exe
%
. .
@rotSine, polysac&.aride sp6cif ique , -nhos~hokGde)~ *ut &tre Çrkkicnn6
<LI’ ;
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;
sérologiquexent eh’ di&éren& facteurs’ anti+Sniques . ‘ceux-ci sont désikmés
par des nombres tillant dé 1 2 59 et servent 3. claksek les S&mnsiZZ~ en dive-Ls
gromes 0.
Cet antig&:e 3 rentismte~ lrendotOxi$R &Si SaZmoneZZa,
:
L1anti,a;ène vi., -ie kake vois& dé’ &l!.e de itanti$n6 0,’ PTetiste que
chez deux skotypes : S. iyphi ef S.&u&@h~ C.
,.:
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1l.s exhitesit ch& tOutes lcis formes n;obiles .de SaZrrrowzZcz.
- type mnophasique : une seule $âse comm :
S.typh2
= phEqe .x -,(q <..
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S,pqatyphS A = phas,e II- -: (a) ,,
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i’ ty$ diphasiaue : & ‘&].& .tih&is c& :
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S.paxatyphi B - phàse 1 i$~et~dbse 11 (1,2).’
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Les $Fes 11, ou phakes sp&ifiqLaés sont désl&es ?ar les lettres a, b,
,’
,. * ;.; :
‘c et les,, pha&$ II ) & phases non “$$&f6$ek par des chiffms arabes 1, 2,
:.:
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3 :‘a.. s ! /,,
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4,2 - Les shms
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)‘<... . . Ces Sé&,S ,*’ ~&@aTisS sur lanlns ,i. d&vent contenir des a,pglutj,nines cor-
gs&g-& Ii?Lu[ (?~ff$&j&“&t~aè*& 0. ee’ I-f,
,
”
,,
Les s53.,ms CI sont. nr+ar&, soit sous form de mélanm contenam plusieur
facteurs antQ&i+es tiunis , soit sous forme de skums .s$cifiques ou mono-
valents avec un seul. facteur antigFnioue.
Les s&ums H sont déI$tis 4qal.emnt sous ces deux fomes.
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4.3 .. i
IIiag2ostic
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serotjqe
1
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,~&a rnE+ode la plus couranté est l'ag~lvtina~iti sur 1.a.k etTbnisiste en
;,.:
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la. d.+enti*ation’ des antiyènes~ 0, I? et éve~tueiiement Vi.
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4.3.1 - CG temi-tien de 1' an$igène c\\
.
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) . , _
. . a ; - reche?qcher. 1'zn~Xutin,Nzion ,avec, les différents s$rums mélang6s : CI@-, 0X8,
j
- ; :
@6... '.
e-k ( p h a s e d’orie+atio:.I),
.
1 . ‘i
- rechercher 1 r a pplutination ave,p les s&ums monovalents corresmmdant
. . .
au
S6n.m 0 m&Ln~é,choisi 2 la phase dlorientation.
1, ,
L’identi:5xation des monovalents 0 conc$G,t à un oroqe du schGma de
Kauffqaw?@ite (grome A, R, Cl , cl., etc. , .) .
I
4.3.2 - Détermination des antigènes_-
!Qr& avoir identifié le &o~$e -3 Sur .le tableau de Kauffman-kkite, on
procB& i la recherche +s anti$%wzs 1:. ce
! s sérotypes les ~I,us frtiquents. Si
. . , ‘. ‘.
cett,e operatioh n’aboutit pas, on me& p& ordre a$&ab&tique.
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J.
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‘\\rot,ons pe la g&hod@ de Svq-Gard peut être envisagee au cas oc 1 kne
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des c&x .+ases dfis” antigènes est’ in~pnzkekte.
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W.fi Eorisiiste’ à cultiver la
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.T, .., ‘,. ;
souche en prcsence du s6mn anti-a&utinant la ph&e atipaiente-, et ainsi le
pem se &velo]-e en phase non apparente +k%kIement, I.aquelTe gmurra alors
&re Wetinée.
,A: ‘._>
. . ../.l .*
Ces anti+3ies 0, P et Bventl.iellement Vi constituent la fomu$e +ntiq+i-
. j
___.
::fl,ue,, caractCs.tique , dg c$zqqe sb.yzype et sur laquelle repose la cf..assif?-ca-
tien de llauf j5x3n-borhi te :., Ce Ile-ci est. yqz Kste des &Vers sdrot$p&s rbis
suivant u3 znti+ne CI qkifinue de chaque jg-0~~ (ltanti~ène 0 : 9 est COT~-
mun à toutes les Sahonell’e-i du goupe 3).
.’
4 . 3 . 3 - NF des $aZmong.lla (36)
Leur nm,enclature a vari.5 &xks Pe temps,
A 1 s origine, le nom de la SaZmane22a indiqrxxit le syndroxxe proVcKJu~ et
l’es&e x5lrale affect&, par exeqles. : s, abortus-ovh; S. typhti&im,
S.choZerm-sds.
Cette nomenclature prhentait ries &fauts car S.typh2nurLwn
n’est pas en, ri5alitG st.rictemPnf_ infGod&e 5 la nopul.ation murine.
,. Par I-a suj.te, les S@.xgone+s ont C%i; d&+on~es acly le nom de la ville
ou, de la r5+m. 012 elles ont &5 isoltxes Dcur la oremière fois : S.pikine,
’
S. 75darogej~ 3,. cmqo, / S, mihpsota, H.C. i ?
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- la cle termination de ch~~~otypes ,
- la dbterminat.i.& d e s lysoq~~s,
- la recherche de caractères 2nti &xiques 1
- la sensibilité aux antibiotiroues,
- la poduction de toxiw.~
.,
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: .<
5.1 ‘- Detexxitiation de ‘biotypes (pu chimiomes).
.i.
Les iUbSt2-lx33s e~10+%s ‘So?t le pliC5‘ souvent &s sucrys et peuvent aickr
à dif%rencier $4 &ikioty$s 3 1 vintéti-eur iI %m &rotype.
. .
‘i
RLns i Y i.1 =&iSte p& eiermle des' 'sdixhes de S.typ?z-i q&
.* ferrxmtep-t Je
,
xjlosv,
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d'autres qui ne le foW. $5.‘ Ui don $orTkur xylose + est B ~1’ origine
dkm -Foyer, toutes les souches’ isol6es seront. kykse + (38).
La dBterm&xztion 42s chi~iotyp2s requiert plusieurs substances de nature
différente. OWAXI, en 1971 (13) en eqloyant de 1’ inositol, du +tr6halose,
du d-tartrate, de La t6trathionate r&.ctase, &abl.it un sch2~ à 8 bictypes
pour classer 512 souches de S. typ?zZmttmum isolées en France .
.
..*
‘.‘S.b
/ . . .
- 10
Tableau no1 : Bjvoty*s de s, t;yPh2~&~ (fr6quence et c.aractères diff+entiûls)
-
:
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T-
(%ractères
biochitiques
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I ~kdd.2~ de
---eV
SOu&es
Inos’itol
I$Shalose
d ; taT-
trate
:
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a
231
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f
b
131
25,0
+
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9
C
15
330
+
*
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a.
23
4,s
+
4
‘JJ
‘9
+
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61
$0
*
*
+
+
44
8,s
+
*
4-
0,7
-
+
+
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- ----i-- -
- -
- Ic_.---
513
L
- - - -
E’agrès cx)PnAhJo, 1971 (13).
5.2 - Détermination de lysotypes-
Bile zzet en jeu la semibilite des &ZmneZk 2 une game s2lectiormSe
de ba&rio#ages . Cette m&hode, pratiquée dans les laboratoires sp6cialis65,
se moqse de d&erminer l-es *es 5nct&iopha$ques d’un xmke limité de
sémtypes
: bacilles typhiques, qaratphiq-ues et Ç. ttlphim~m&m essentielle-
ment. Cette tecknique offre une grande +kision (3, 31, 37, 47, 5C?),
5.3 - I?echerche 6e caractères antig&Cques
CODA?40 (13) soutient que 1’ Stude de 1. * anti+ne R : 5 ,-le S. typXm&w,
présente un intérêt épid6miolopi~ue Farce eue lié à un déterminant chromoso-
mique qui lui assure une stabiliti certaine. 11 rencontre cet antigène chez
toutes les souches in@iq&es dans une m&e &C!&nie en France. En revanche,
il écarte 1’antigSne 0 : 1 inst.able et d6pendant de l’inversion bacteriopha-
Fique.
- Il
I
5.4 - Sensibilité aux agtibiot&qxS-
Cette r&hde ckkiste à reckxxher le comortemnt des souches d’m.
‘M?ITES s&mty-e vi+his de certain -antibiotiques. 51 6tudiam une 6pidémie
à s, qjphidm, MA?~3, et cols c , en 1579 trouvent m toutes les S~UC!?~S cn
5.5
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- 22
CHP,PIT~
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SAL~XG~LLOSES
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,~tiin, la fi&vre typWide s8 saractbrise pas: J.e rGsm.ir excIh~ivem3it
-13
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S.-paratyphi P
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pM.1 f,Ecal,. etc...),
Tableau $5 : Wmnelks chez les portkrs sains (d'après KEXURdA et COU.,
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ou,1$!@3 à une atteinte c~rimniw non q3&.53que (tz3wEkism3, a0ci*ent, etc...‘
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flkxtbzs les.Sa7rmOpeZ~~ p&&a&ç‘,dans:le tube Cb3esti.S meuvent &ze à I'cXi*
de ~4s ysxzessus seddque~ et emmhir lkqfanirmne h1sc3es surtout) ,pr !.a
voie ~wnpuine et. lyqyhati-.
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En 1976, EXUTRE et E!ClClZ isalent chez le muton (1 JJ% +l&emH-s)
53 souches (taw d’i.Ilacti : 4,7 ~.lcD) am*?t % 37 sém-yl-s (25).
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apar&nant~ 27sémtpes.
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Un -ttîm.x d'irRWWion assez élev6 (38 p.100) est h-6 mur m survie
d'E3nvFron 23,s jours (avec un mximm de 42 jours).
c) Chez les chékmiens
m taux dUil-festation trC% 6lev6 (75 p.100) caract&ise cette esptk
(17, 26). Selcn ces auteurs, lorsque les inS.vidus -tenant a ce gmqe
L?A*1 s 8 j.p&c f-j%?-? ~ ils demumnt~rteurs your le reste de leur vie. 11 stm-
ble n'y avoir aucun némnim de neutralisation (absence dVagglutininr‘s).
Tm tmtqortQPx;nt ccpro@haq@ue contxïbue S. pmp&uer les risques d'infes*aticm.
IC5UiS. et Cdl, en 1970, étudiant le Kfle des narteurs dn3 chez I%cm~
xrr? dans l~~~idérklo$e des Salmn2lloses à Kinshasa consir;turent
qxz cette
infectic~ constitue un parasitism fugace et qu'et.le ne correq~~~T&.t qu'a
trn siq?le transit du qzxre dans le tub<- dieskif. m effet, un deux%k~ em-
mm de contr6le effectué trois semines aprgs me prerni&e analyse bact&iolo-
giry~ psitivz se rév%e nécqtif (34).
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CITAPITRE XII : SAL?lONELI;A IX%% LES DENREES D'ORIGXVE A3JIYAL.E
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(D.O.A. >-.
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1.1 - Les tiandes
-*
Tem mdes i?e cimtav~aticm sont divers.
F&I revandhe, chez Les px%?um, me contamination post-mr&m pwt (Itre
m3r les caycasses des qrcs etiawr, lSessentiel des suuillures survimt
lors 32 l'ëvis&rati.on. Elles puvent Btre aussi le fait des mains du, pers~-Xl
des outils ou des TIC%teTnents ma~pmpx?s.
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8
3,36
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17,52
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'pablq~~ no8 : SffZmoneZZa is0EeS l’ovqxOd~dtS cxrqelés ncm r+&m.zi.sf,s.
mtiers
23
-
Jaunes
36
Blancs
I
4
ILeS fercelles excdternt les SaZmoneZZa c?ans 3.e lait. 9fWhnt La p?xzz
@Mile de la rraladie,
SulmoneZLa &&Zin pro- des mamites ; 3.e lait des -imdms atkbteç
fut 4 1'orQine d'une Z&l.mmel~ose chez le prc (51).
Tbutefois, 3.es mti&es fkxles mnstitwnt la sourrse principale de mn-
tamimtion,
.
. . . / .+*
,
- 31
%e. d&eloppmzzt ?es SuZmoneZZa est irhib~ aux tem$ra?xres inf&Aeures
3 7eC. Ehtre ce .seuil de crois.sawz et les tmpkxtures de con~latior~, elles
dexeurent en ét& de iJo3mance. Un2 4es~tion maxhale est ob& au IX>~&
de Q3ll~la~on.
-31 1977, CTYZ3B.ZG mntre qu'à P ICIoC S.a mlti.lication fllune souphe de
S.h~ptim&~n c%mi une viaMe hach& est tr&s active, puis la multiyfUca?im
wut, 0oi.t se pmrmi.vre si les c.irconSt Lsont ~avmablss, soit&re
entravée, voire annihiler si des bactkies, telles les co3.A.forms, smt
présentes (6).
~%uli~ns sue la cxmissan~ fks SaZmmelZu rese32 possible jusquvà &OC.
Si l'an cizepte pzulques souches thmr@sistants, les tem&rames de
pasteurisation smt 1Rhales.
Tfkihlaau nolO : Tbmm5sistarlc
423 sU&?lGneZZa dans la zone rde psteurisation
(60 - 63'C) (39).
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LS.anatm
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60
62
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S,gaZlinarwn
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s. r?ul?dlat ta?l
60
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Pr1
S. mekupidis
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I S.montevidc?o
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Tableau, no10 (suite)
S. para typ hi B
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S. papatyphi C l
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66,s
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30
2,s
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1,5
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63
l
0,s
60
15,d
60
39
62
186
63
2,s
S.mrtFnnpi%n 1
i.I
2.3 - ,utres facteurs
CHAPITRE XV t POSI!tWBJ DES SALMOJJELLA DRNS L'ENV5m~~m?T
Les txixres limoneuses sont kralmznt t&s fmxables à la pullulatbn
*c!es~s.
mur l!?~ricp, des données en ~rovename du :Wmc sont publiéee (161,
elles ne sontps tx%alemmt trampsables pour 1.2s sols trtK;icaux. Ceux-ci
subissent des conditions climatiq.~~ pi. influencent WY%xmmt la stie
rks SahkynetZa. CetSe mtlon dmmde à E!tre gm%is62.
BXE se &wloppr d'une fa?aur optimle, les Sa?mnellm ont besoin
t?kne temr&ature
.
ztnbiante convenable et de la mtire o;+,G@.z. CzLii- 151,~ -
ni&re est @ssentiellermnt dloriqine fkale, ainsi
les emm d'4k~oûts ov
pmmmt dVabattoirs sont les plus souvent incAïï~es,
Zklon la richesse, en mti&m orqngwe, les SuZmneZZa puvent survivre
de deux EEZD&ES 3. deux mis (54). X~I zme trxqicale, les conditions dihmi-
dît6 et de teqkatzme mb.iantes aswmmt cwtainmt une survie plus ion+;
. . . / .*.
Les salles &m&r&s de l'aI3attih ne sont vas 6par+es. Yais ce sont
les 17cEWx cri s'ef%?ctue la mnimlaticm des viscères ou r%o s-F 652s car-
Ca$ses saisies qui tllxxlstiturnt les lk?I,Ix les nlus ~lJ"uGs,
ils CtevierEQf.
ainsi la somce mjeure de cmkamhatior! 62 1'enVîriozXIemZk.
l . ./ . . .
- 38
.
60
156
Ir>caux (le triperie (boeufs, VealM,
ll-rxltons
SaJILe,d~abatta~ Ues prcs
t3ecteur "saCLe'" : salles de saisie,
Zicazhe, de rhx@ion des issues,
boyaud~îes
Eix : ahattoirdes v03ailles
-.a
Ir>cauxde,cmmxcialisat, sal-
les @es ventes, entrep%s frim?5-
fiaues
?3tilances
69
Chariots, ms,r&&+nts
56
Plans de travail
146
47
Outils, vétmts,pims de
7 7
72
46
26
- 39
q*. /
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- 40
La protecthnvis-22-v& fie l'in~ectim repose sux :
-lavaccination,
- la recherche de gxteurs et In lutte contre le $%AIL fécal.,
- l~t2ducation sanitaire 33s rdaaqSres et autres mmipulateur~
3'ciW3ts#
- la distribution de 7'eau ba&ri.olti~nt amtrôlée,
La prophylaxie des SaMmlloses o3nsfst-e à :
- fa rechhe et i'm..i~tion des parteurs (ce qui est actuelk-
mnt pssible mur la p..iLlomse et la tyghose aviaires par les
Spxwes s~roltiques),
- le coEtxBle bacth5olo@pe des aliments detitk& c*w: i-&t~ti
(farines de poisson, ?u viande et d'os),
- une ccnduite rationnelle de l'~levame (%mier, Qandap, etc..*).
c) Au n+au .des a@tjd.rs
- -
~risques decontaminatinde lavim$eau seinrP,desabatt~~irs
sonta imprtants et entral%mt J.e respect des nomE lors ?e la
conception des Jocaux destin& aux &I7erses lmn.igfiations des produA3 :
-c mise en place d'une vkanisatim af%kpate,
- ixc~lf%Z&ion du rylmhm de travail dans Ies esp.23~ non réfri&&es,
- 43
2Ume PARTTE
-------L-----l-w-
.xi
- 40
- la vamhtion,
b) -+s ,les ar&aq
La grop@yl&e des !Sa~~nelloses amsiste à :
- la redxmhe et i'élinination 6e.s partews (ce qui est actuelk-
mnt pssible t3x.r la puUf3mse et la typbse aviaires par J..es
z
- une m@uite rationnelle de lv=Glevam (%m.ier, Ppanda~, etc...).
des a<mb
I-
Les risques de cxm~inatin de la viznc?e au sein mke des abattoirs
sont=52t irtxmrtants et entrahznt l.e respect des nom33 lors ?e la
mmeption des locaux destink aux ?3.ver~s tipulations des pxdtlits :
- SCpration fies salles selon J_eur izsme et leur fkuré de corMmG.na-
tic%
- mise en place dkne ~:kanisation zw%+a*,
*.* / . . .
PERSPECTIE
Tales c o n c e r n e n t :
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- 42
- de déte 1~inpac-t du rêsuvolrr de xùus animal en daliamt :
- llinventaire des sérotypes renmn!Ss,
-ledWrmt&sespèces animles kpl&u&s,
- des enp?tes dqns le but .Ifélwider les diwxs mz&s de txarmvission,
- ~32 pdcisex le r61e p.rtkuLier de lqenTÈironnement sur ï'évo3xtkm
des Sdrmnel~oses (facteurs de stzxzss m&ez llanimal, factiws de survie
pur 12 bactErie, etc...).
3-~llaz=oration qientifkp
r'hzemllakmation étmiteztrédfèse avecleCentre sh*lais des
ISnt~m~c~ries de llInstitut Fastwr df2 r‘i-kar bt !e EErvice des IXrdSrobac-
téries de lp31.sti+ut Pasteur de Paris (Professeur LE YINX) doit pxxrmettre
une étude mm$Gte 8es souche!s isolées (chiviotypie etlysotypie). Une liai-
son avec les centres Smspitaliers locauxpourra aggorter des p%cisiom quant
aux4mrGes etthkapeutiques.
4 - R5sultats esaxpt&
9ncitera:
- la surveillame des foyers infectieux,
- 1'5c_E-jLgs*xmt ?kne carte épi+mioloqiq~,
- la tise au pdnt. Se msures concrètes de lutte (prhtioï~ et tmitmmt).
,ET,JJDB DE LA SE‘NS
AUX~_TSBJOT$QtJM .DE QUEL~+;~-
SOUCXES. ISOMiES CHEZ L'ANIWiL .
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- 44
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- 45
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niques. :Xdl.&ca~.t~et., ?972, 45 : 375-382.
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m
- 62
42 - pi4Tl!mm:3 (3,) - présçln~+ de Salm3nelles +lam les viand.3s MomW Sran-
pises et Strarq&es). An.Inst.mt., 1963, 104 : 589-620~
43 - PIP&?i (F.) " EtMe fit&3 itkxqi~~s ccane tisenmir de SuZnk7neZZu. ENI! .fBc,
s?.&amt., 1974 (3) : ?41-247,
45 - ‘“STcbzmm~ (A.) - SalmneLlosis in cattle, Vet,Rec., 1975, 96 (15):
329-331.
46 - ;33x3xsE (S.E.) - Tm SaLmowlloses au Vietnam VI.=~ au Ldmratiti. Bull.
soc.Path.mt., 1959 (1) : 15-56.
47 - '?I%X%E (J.1 .) -La fièweW@ko!ideauVietrm:&ude bact(criolcyiqm.
aid.mp.,
1979, 39 (4) 1 415-424,
48 - !23@PL (P.) - Salmmellmïe fte la poule à Salmnetta pikine, Pm.flev.P&,
vaapays trop., 1969, 22 (3) t 335-336,
49 - L??u4 OYE - I%r?!e 4e vie * certaines ezm&imkt~AicJs Si 1' +-te clessEdl6
a,t à la -tm+rature ~~&Lante. La Presse ~~-&Bcale, 1963, 71 (45) t
2121-2122,
.
PAR YAYA TiiONGANE
REF. W"67/~IICRoBI0.
JUILLET 1984.
S O M M A 1 R E
------1-----.œ-..
SALMONELLOSES ANIMALES ET .HUMAINES
ASPl3CTS RACTERIOLOGIQUES ET Fl?IDEMIOLOGLQCTES
-C-L-----
x
lare PARTI%
-
-
3.1 - &3,xIctères hioc.!.!s
3.1.1 - &tion sur les duci~es et alcool
3.1.2 -Actionsur lespxddes
3.1.3 - ktion sur les sels rlsacides or0aniques
3.1.4 - ltbuv0i.r réduct9r
3.1.5 - Culture sur milieu au CIIM
3.1‘6 - Culture sur Clark-Lu.& muge de métby7.e @,Y.) et Wxqes
Prdcauer W.P.)
3.2 -%qnostic 8e qroue
3.2.1 - l?&hcde rapide
3.2.2 - Pi- I.ente.
4.1 - Les antihes
4.1.1 - ?zti&.nes çcmratipa
4.1.2 - Anti*es fla$m.air~.
. . ./ .” . .
..- I I
CHAPITRI: II : SALMONELLOSES
'.& *. i
:< \\ .y r. .
.
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1--m '. :.
". .' : ': .,
1.1 - 'Etide cl-
1.1.1 - @.@re #pho$ij~ .a%. pcgq@dde
1.1.2 - Salmonelloses mitxares
1.2 - Etude &pidGciolo+ye
1.2.1 .2Jl* . ., : :
"L' ,'
y',
.
<,.
1.2.2 - sem
: ,. 1.2.4. - Ara-&es et- qyle
:,
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l.2.5 - sa&n
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1.2.6 - M.veau de vie
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1.2.7 - htivité pmfessionn&~
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- III
II -
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2.1 - samne11oses cI.iniques .'
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.
2.2.1
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I
a&&ses
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*r&pes
2.1.2 - Sa.imnellosgs sqq-+ixes .
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1.1 - Les viandes
1,2 -Lesoeufs
1.3 - IR, lait
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2.3.1 - a-
3.3.2 - ??tJlmm*
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ETUDE DE L& SENSIBILITE AUX ANTIEIOTIQUES
DE QUELQUES SOUCHES ISOLE$S CHEZ I.'JiNIWL. .
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2.1 y pr6lG~ts
. '., ', ‘ j, :
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_
2,2 - Yilieux de culture
2.3 - .?htîbtiti~a
.- .<
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3.2 - Jkkntification.
3.3 - SensLbilitE aux ant=hbio*S
, :.
.. '-7
_'.
_
INT@YJDUCTfON _
Les Salmonelloses, Anthmpozoonoses ou -lus simplement Zoonoses, sont
dues B des Entérobactéries du ~emx? SaZmoneZZa, gemes lar~mnent r6pamlus
dans la nature. Ja détemïnation de ces bactkies bas&e essentiellement sur
l’analyse antip6niq~ue,~rmet de mconnaWe,2 l’heure actuelle,plus de 2 000
séroty-s. Panni ceux-ci, un petit nonibre est adaut <% une es@ce donnge oi.3
il enTendre une mlad.ie plus ou moins individualisée. Dans ce cas, OI?. assiste
sur le plan patbolo~ique,
à uni spécificité dth6te, Ce sont les cas de :
SaZmonelZa tgh2, SalmomZla pwtyphi A3 SaZmnelZa para@phi B chez l’homm,
SaLmoneZZa gaZlkwutn=pulZomun
chez la poule, Salrnonetla abarttL8-A8 chez
les ovins, etc...
A l’op~sé, un deuxi&ne cir~uue englobant la majorité des SaZmoneZZa pro-
voque des troubles uathologiques aussi bien chez l*home que chez ltanîmal,
Ces Salmonelloses clites %neureP offrent une larve extension et posent dans
nos Tays un probe& *ortant de sant6 publique et it’hy@.&ne &$ale.
TLe rkervoir de ces gemes qubiquitaires,
le rk$me animal et son environ-
nenmt puvent contaminer la chabe alimentaire et engendrer des toxi--
.
.I .-
infections chez 1 ‘hcme. Les dem-& d ‘ori@ne animale (viande, lait, oeufs)
jouent un rôle essentiel dans l’dtioloaie des gastro-entérites.
6, t interdépendance zoolopique (chaîne alimentaire) situe 1 t ampleur et
Itinrportance de la tâche du vét&inaire (hypiéniste et patholo@ste) dans la
pr&ervation de la santé publique. Il intervient dans la surveil?.ance 6pi&mio-
logique indispensable du réservoir animal. Cette surveil!.ance devant aboutir
B l’élaboration de mesures desti&es 2 endiguer le nh&m&e, nkessite 1.e
recueil de données bactériolopiques
(isolement et identification des sérotypes,
sensibilité 3 divers agents bactgricides) et épid.&io2o+ques
(principales
sources de contamination, modes de transmission, facteurs de survie dans les
,
produits et dans 1 tenvironnement).
CHA?lTRE 1 : FEFINITION ET IDEtiTIFI,CATION,
DES SALYOIVELLA_~
Les SahomZla conçtituent m vaste goupe de +x5 de 2 %JG sém?y$es
1
appartenant à la famille d.es Ent5robact6riac~ae et apparent% par 1eurS Ci&
~ctkes morphologicqes , cdtw-aux, bioc$.i&@s~ a.ntig4hiq.e.s e? hentue1 le-
‘.
,’
ment
lysotypiques.
.,.
_,
.,
: ., : .;
*
2,l - Sur bouillon.-
~Iles y poCl&xnt rapidement(& siXlxki&s) un troub?e homogène (mais
g&S a&&&5 ~~~‘Ed2er2ctia ci2Zi) avec. ~.~~~~colJ.ere+te 3 !.a surface d.u
liquile et yi3’ &pGt. Soulimons que S;@q?ti’et S,pfmztyphZ oftient un ?helq-
pement moinr; rar iae .
I.
,. .
*.
_:
.
Les’ cOlôties y aPparaissent’ rondes, ..sv&,lcsvées, qris-bland?Cttres , bril-
lantes avec bords rêwliers. J3lss~ont~~e 1 B l.,S m 4.e dia&tre, ,sauC quel-
.
ques exceptions : S.gal linarum-pultoman, S.abortw-ou-38 et S. QJ~~~~-su~s prEi-
sentent des fomes naines (~!+#G.an~ $,;celles des stqto,coques). La crois-
.
,’
sance des SuhoneIZa est*6pd%de”iJ 37°C et 3 q!l : 7,6 (28)‘.
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L'identification. des SaZnw12eZZa repose SLIYT des~caracth-es
I&chimiques
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que l’on doit systhatiquement rechercher avant de faire appel 2 ‘1 'afyhtina-
tien,
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).
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! r::.;..,‘ ”
3.1 .,l .- Action. sur les plucides- -
<.
:..
Les ‘SaZmoneZZ& exercent ‘sur les glucides une acti% femtentgtive, cons-
tante et stable p0u.r une espke dorm6e. Elles fe-mentent avec souvent du mz,
le qlucose, le mnnitol et le sorC.tol. Elles sont sans action sur le i.ac+ose,
sauf de trYs rares excmtims (variante d,e S.unztim) ,
: !.
: !
.; ; : - '.
- ;
Wîutr6k glucides $euv&t. 6tre employts pou? diff6kencier les s6rotypes
(mm l’arabinose ~OUF S.paratyphi C et S.choZerae-suis) (36) .et penrettent
d’etablir des biotyes B 1’ intérieur d’un skrotype. ‘/S
.;..:. L ‘...j..
3.1.2 - A&mi sur les motides
.
’
,,‘\\ ;
..: ^
. .
BAS ~aZmoneZZa, dans ieur majmit6,’ .*elahorent me dkarboxylase pour
1.a lysine, ltarpin& et ltOrriitihi~e mais sr$nt. &ms effet sllr l’acide gluta-
;
mique (20).
:
Elles n’hydrolysent pas 1’urGe (contrairemmt aux Proteus) et ne pro-
.
duise?t pas d’indole sauf des variantes de S,eastbo@@. et ,S.ordOwez (3, 28) +
.
. . . ,i
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EiieS ne poss?cient
:
77
L:
: 3 I ,
as. de d&&&se $e la @hvl-alaniné et du trypto-
._ .z . .,:’ ..,
phane! El$es liouéFietit ou non la'&ati.tie.
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3.:1,,,3 -: ,&+on su~...les ,.sels cj,‘agj.des ormniques-+
,
Cks bacthies utilisent ou ‘non. le citrate mme source de carbone
(citrate de Simrrons, de Christensen).
. . . . . . .
l . . / ..*
- 4
3.7.4~
:L ~oqm+r $d@m.m .
.
,
.
:
Elles tmnsfomtent 33s nitrates, en nitrites, pr$uisent 6% @néral dfi
l~hy~~gène sulf& et ne ??ossèdent Tas d.’ o.xydaSe.
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..-; ‘.‘t -.
3.1 .s.- Sur milieu au cyanure de pdtassium ”
,.,. .‘,’
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:
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3.1.6 - Sur Clark. et Lubg
_.../ 1:. ;
Elles swt roqe de m6thyle f (RI4 +) et VosFs-Proskaugr - (vp-) .
1
.
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7
3.li7 - El.l.es sont .catalase pos,itives.
b
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i”,.’
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3.2 - ‘ji&wost,ic de sqoune (d&entiation &II pnre SaZmmeZW 'i
11 porte sur la combinaison des caractGres’biochimiq,ues
et s’~$R selon
ileux m6thodes :
3.2.1 -J%?thode ppidq-,(%)
F,Lle fait a.pnelY à des milieux combin6s (au notire Cie trois) pmettant
de rvcher&er plusieurs caractères 2 la fois. La lecture s’effectue en 24 ?I
au matimum.
- Milieu no1 : milieu de Hajna-KG.gler danne cinq r6ponses :
---
- fermentation du @u.cose,
- woduction dx Paz,
.
- fenilentation du lactose,
- production ?‘Y$,
- p&sence de lysine dëcarboxylase.
11 est en outre possible de 1 ‘utiliser pur la rechercT~e de la b&aoalac.
tosihse, les d&A.nases de 7 a sh6nvlalaG.w
,< ..,
.
.
0.. / . . .
- 5
- ?îlieu no2 : rrilieu %annîtol.-mAilite” .ne,rmet’ de savoir si. le p33w est
. . ., i: “mkbîle et ierr%nte ‘le matiitol;
.,<
I 2
- Nil.ieu no3 : Filieu ‘?,&e-indole”, fournit trois tiponses :
.-
---.
- présence d5..Mhse, . .
- produc tion)d’ indole )
- yr5sence d t~.me tryltophana’ désaminase.
!,a corhinaison de ces rhonszs permet, dans la majorit 5 des cas, de poser
le diagnostic du uenre Sahone 2 Za. ’
r
”
.’ . .
.;
3.2.2 - M&%ode len.te
S0ntrairemen.t à ?~a~n~&$ériente~’ cette M%ode, 71u.s co+Gte, met en jeu
une Etude ayprofondîe de la SOU~!!,I Q en cause nar la d6temination 8’ un ylus
mm4 nomhe de. cara&res gendaqt une vkiode 4.e dem semaines (observations
‘.
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d e viqes t a r d i f s ) . ”
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,,I Ley3 SaZrnone,ZZa,~ iront if% CaGKTG~S biochiniques spot identiques, ne
puvent être Cas&es au’en rec&r+mt .le~~rs, camnasants gti,$niques
<, ..Y*, par
:.
:,:
a@gtina+g;, avec ~?es s6ms spkifiques .
,. !’
i
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4.1 - Les antiphes
,.
'1
.
,:;c, t
.4;1.1 - ‘:&M@nes :~omatiqu~?? [3;:,28, 3 7 , 3 8 ) .
i
.:
Il existe qjlatre WC& iIvantiyhes somatiques (du corps bactérifm) mis
seuls : 0 et Vi sont utilisés en ,diagnos$ic. ,.L’ gnti@nF q, $e ,nature corpl.exe
%
. .
@rotSine, polysac&.aride sp6cif ique , -nhos~hokGde)~ *ut &tre Çrkkicnn6
<LI’ ;
.,y::
,!
;
sérologiquexent eh’ di&éren& facteurs’ anti+Sniques . ‘ceux-ci sont désikmés
par des nombres tillant dé 1 2 59 et servent 3. claksek les S&mnsiZZ~ en dive-Ls
gromes 0.
Cet antig&:e 3 rentismte~ lrendotOxi$R &Si SaZmoneZZa,
:
L1anti,a;ène vi., -ie kake vois& dé’ &l!.e de itanti$n6 0,’ PTetiste que
chez deux skotypes : S. iyphi ef S.&u&@h~ C.
,.:
t
1l.s exhitesit ch& tOutes lcis formes n;obiles .de SaZrrrowzZcz.
- type mnophasique : une seule $âse comm :
S.typh2
= phEqe .x -,(q <..
; :.
3
S,pqatyphS A = phas,e II- -: (a) ,,
:
. .
:
II
:.
_....
,_’
.,,~,
i’ ty$ diphasiaue : & ‘&].& .tih&is c& :
j, .,
.
<’
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._,‘,
S.paxatyphi B - phàse 1 i$~et~dbse 11 (1,2).’
‘<
-.,
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.I
,’
.,.,
‘,‘.
Y,/.,
..,,
t:.
.:
.)
- ‘i .)
Les $Fes 11, ou phakes sp&ifiqLaés sont désl&es ?ar les lettres a, b,
,’
,. * ;.; :
‘c et les,, pha&$ II ) & phases non “$$&f6$ek par des chiffms arabes 1, 2,
:.:
._,.
3 :‘a.. s ! /,,
<I
,*;,i:. ~
.’: . .,,- 5 .:.
‘ l .r / . . .
”
- 7
4,2 - Les shms
I
I
-
-
.
.
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.
. . . . .
,_.,.::
,.
)‘<... . . Ces Sé&,S ,*’ ~&@aTisS sur lanlns ,i. d&vent contenir des a,pglutj,nines cor-
gs&g-& Ii?Lu[ (?~ff$&j&“&t~aè*& 0. ee’ I-f,
,
”
,,
Les s53.,ms CI sont. nr+ar&, soit sous form de mélanm contenam plusieur
facteurs antQ&i+es tiunis , soit sous forme de skums .s$cifiques ou mono-
valents avec un seul. facteur antigFnioue.
Les s&ums H sont déI$tis 4qal.emnt sous ces deux fomes.
:.
‘II
8
;
" 'I
:..;
4.3 .. i
IIiag2ostic
&
serotjqe
1
,,’ . . ; .
,~&a rnE+ode la plus couranté est l'ag~lvtina~iti sur 1.a.k etTbnisiste en
;,.:
:
la. d.+enti*ation’ des antiyènes~ 0, I? et éve~tueiiement Vi.
‘.
’
:
.
: .,.,_
.
;
4.3.1 - CG temi-tien de 1' an$igène c\\
.
-
) . , _
. . a ; - reche?qcher. 1'zn~Xutin,Nzion ,avec, les différents s$rums mélang6s : CI@-, 0X8,
j
- ; :
@6... '.
e-k ( p h a s e d’orie+atio:.I),
.
1 . ‘i
- rechercher 1 r a pplutination ave,p les s&ums monovalents corresmmdant
. . .
au
S6n.m 0 m&Ln~é,choisi 2 la phase dlorientation.
1, ,
L’identi:5xation des monovalents 0 conc$G,t à un oroqe du schGma de
Kauffqaw?@ite (grome A, R, Cl , cl., etc. , .) .
I
4.3.2 - Détermination des antigènes_-
!Qr& avoir identifié le &o~$e -3 Sur .le tableau de Kauffman-kkite, on
procB& i la recherche +s anti$%wzs 1:. ce
! s sérotypes les ~I,us frtiquents. Si
. . , ‘. ‘.
cett,e operatioh n’aboutit pas, on me& p& ordre a$&ab&tique.
,
J.
.
,
../<
:
<’ ,’
‘\\rot,ons pe la g&hod@ de Svq-Gard peut être envisagee au cas oc 1 kne
. .._ , ._:...
., . . .
‘:
I
des c&x .+ases dfis” antigènes est’ in~pnzkekte.
“./_ ,.>
W.fi Eorisiiste’ à cultiver la
,
..
.T, .., ‘,. ;
souche en prcsence du s6mn anti-a&utinant la ph&e atipaiente-, et ainsi le
pem se &velo]-e en phase non apparente +k%kIement, I.aquelTe gmurra alors
&re Wetinée.
,A: ‘._>
. . ../.l .*
Ces anti+3ies 0, P et Bventl.iellement Vi constituent la fomu$e +ntiq+i-
. j
___.
::fl,ue,, caractCs.tique , dg c$zqqe sb.yzype et sur laquelle repose la cf..assif?-ca-
tien de llauf j5x3n-borhi te :., Ce Ile-ci est. yqz Kste des &Vers sdrot$p&s rbis
suivant u3 znti+ne CI qkifinue de chaque jg-0~~ (ltanti~ène 0 : 9 est COT~-
mun à toutes les Sahonell’e-i du goupe 3).
.’
4 . 3 . 3 - NF des $aZmong.lla (36)
Leur nm,enclature a vari.5 &xks Pe temps,
A 1 s origine, le nom de la SaZmane22a indiqrxxit le syndroxxe proVcKJu~ et
l’es&e x5lrale affect&, par exeqles. : s, abortus-ovh; S. typhti&im,
S.choZerm-sds.
Cette nomenclature prhentait ries &fauts car S.typh2nurLwn
n’est pas en, ri5alitG st.rictemPnf_ infGod&e 5 la nopul.ation murine.
,. Par I-a suj.te, les S@.xgone+s ont C%i; d&+on~es acly le nom de la ville
ou, de la r5+m. 012 elles ont &5 isoltxes Dcur la oremière fois : S.pikine,
’
S. 75darogej~ 3,. cmqo, / S, mihpsota, H.C. i ?
r
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“; ,. 2;
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. . . ” _’
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* :
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,
‘.
,.
. . . / . . .
.a;
,:...
.,
:
- la cle termination de ch~~~otypes ,
- la dbterminat.i.& d e s lysoq~~s,
- la recherche de caractères 2nti &xiques 1
- la sensibilité aux antibiotiroues,
- la poduction de toxiw.~
.,
,’ >’ i.
;
: .<
5.1 ‘- Detexxitiation de ‘biotypes (pu chimiomes).
.i.
Les iUbSt2-lx33s e~10+%s ‘So?t le pliC5‘ souvent &s sucrys et peuvent aickr
à dif%rencier $4 &ikioty$s 3 1 vintéti-eur iI %m &rotype.
. .
‘i
RLns i Y i.1 =&iSte p& eiermle des' 'sdixhes de S.typ?z-i q&
.* ferrxmtep-t Je
,
xjlosv,
'.
d'autres qui ne le foW. $5.‘ Ui don $orTkur xylose + est B ~1’ origine
dkm -Foyer, toutes les souches’ isol6es seront. kykse + (38).
La dBterm&xztion 42s chi~iotyp2s requiert plusieurs substances de nature
différente. OWAXI, en 1971 (13) en eqloyant de 1’ inositol, du +tr6halose,
du d-tartrate, de La t6trathionate r&.ctase, &abl.it un sch2~ à 8 bictypes
pour classer 512 souches de S. typ?zZmttmum isolées en France .
.
..*
‘.‘S.b
/ . . .
- 10
Tableau no1 : Bjvoty*s de s, t;yPh2~&~ (fr6quence et c.aractères diff+entiûls)
-
:
,i
.
T-
(%ractères
biochitiques
l
I ~kdd.2~ de
---eV
SOu&es
Inos’itol
I$Shalose
d ; taT-
trate
:
.<
-
- d.---I
a
231
. ‘*
+
f
b
131
25,0
+
+
*
+
9
C
15
330
+
*
+
a.
23
4,s
+
4
‘JJ
‘9
+
,-.
61
$0
*
*
+
+
44
8,s
+
*
4-
0,7
-
+
+
I
-
- ----i-- -
- -
- Ic_.---
513
L
- - - -
E’agrès cx)PnAhJo, 1971 (13).
5.2 - Détermination de lysotypes-
Bile zzet en jeu la semibilite des &ZmneZk 2 une game s2lectiormSe
de ba&rio#ages . Cette m&hode, pratiquée dans les laboratoires sp6cialis65,
se moqse de d&erminer l-es *es 5nct&iopha$ques d’un xmke limité de
sémtypes
: bacilles typhiques, qaratphiq-ues et Ç. ttlphim~m&m essentielle-
ment. Cette tecknique offre une grande +kision (3, 31, 37, 47, 5C?),
5.3 - I?echerche 6e caractères antig&Cques
CODA?40 (13) soutient que 1’ Stude de 1. * anti+ne R : 5 ,-le S. typXm&w,
présente un intérêt épid6miolopi~ue Farce eue lié à un déterminant chromoso-
mique qui lui assure une stabiliti certaine. 11 rencontre cet antigène chez
toutes les souches in@iq&es dans une m&e &C!&nie en France. En revanche,
il écarte 1’antigSne 0 : 1 inst.able et d6pendant de l’inversion bacteriopha-
Fique.
- Il
I
5.4 - Sensibilité aux agtibiot&qxS-
Cette r&hde ckkiste à reckxxher le comortemnt des souches d’m.
‘M?ITES s&mty-e vi+his de certain -antibiotiques. 51 6tudiam une 6pidémie
à s, qjphidm, MA?~3, et cols c , en 1579 trouvent m toutes les S~UC!?~S cn
5.5
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Au ZaTre, la pi.&trie serait sanA effet.(34)-.
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pM.1 f,Ecal,. etc...),
Tableau $5 : Wmnelks chez les portkrs sains (d'après KEXURdA et COU.,
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ou,1$!@3 à une atteinte c~rimniw non q3&.53que (tz3wEkism3, a0ci*ent, etc...‘
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flkxtbzs les.Sa7rmOpeZ~~ p&&a&ç‘,dans:le tube Cb3esti.S meuvent &ze à I'cXi*
de ~4s ysxzessus seddque~ et emmhir lkqfanirmne h1sc3es surtout) ,pr !.a
voie ~wnpuine et. lyqyhati-.
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En 1976, EXUTRE et E!ClClZ isalent chez le muton (1 JJ% +l&emH-s)
53 souches (taw d’i.Ilacti : 4,7 ~.lcD) am*?t % 37 sém-yl-s (25).
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~a r&$e an&e, chez la ch?vre, 37 souches (taux d’inSection : 3,6 a.l(XO
apar&nant~ 27sémtpes.
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Un -ttîm.x d'irRWWion assez élev6 (38 p.100) est h-6 mur m survie
d'E3nvFron 23,s jours (avec un mximm de 42 jours).
c) Chez les chékmiens
m taux dUil-festation trC% 6lev6 (75 p.100) caract&ise cette esptk
(17, 26). Selcn ces auteurs, lorsque les inS.vidus -tenant a ce gmqe
L?A*1 s 8 j.p&c f-j%?-? ~ ils demumnt~rteurs your le reste de leur vie. 11 stm-
ble n'y avoir aucun némnim de neutralisation (absence dVagglutininr‘s).
Tm tmtqortQPx;nt ccpro@haq@ue contxïbue S. pmp&uer les risques d'infes*aticm.
IC5UiS. et Cdl, en 1970, étudiant le Kfle des narteurs dn3 chez I%cm~
xrr? dans l~~~idérklo$e des Salmn2lloses à Kinshasa consir;turent
qxz cette
infectic~ constitue un parasitism fugace et qu'et.le ne correq~~~T&.t qu'a
trn siq?le transit du qzxre dans le tub<- dieskif. m effet, un deux%k~ em-
mm de contr6le effectué trois semines aprgs me prerni&e analyse bact&iolo-
giry~ psitivz se rév%e nécqtif (34).
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CITAPITRE XII : SAL?lONELI;A IX%% LES DENREES D'ORIGXVE A3JIYAL.E
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(D.O.A. >-.
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1.1 - Les tiandes
-*
Tem mdes i?e cimtav~aticm sont divers.
F&I revandhe, chez Les px%?um, me contamination post-mr&m pwt (Itre
m3r les caycasses des qrcs etiawr, lSessentiel des suuillures survimt
lors 32 l'ëvis&rati.on. Elles puvent Btre aussi le fait des mains du, pers~-Xl
des outils ou des TIC%teTnents ma~pmpx?s.
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8
3,36
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'pablq~~ no8 : SffZmoneZZa is0EeS l’ovqxOd~dtS cxrqelés ncm r+&m.zi.sf,s.
mtiers
23
-
Jaunes
36
Blancs
I
4
ILeS fercelles excdternt les SaZmoneZZa c?ans 3.e lait. 9fWhnt La p?xzz
@Mile de la rraladie,
SulmoneZLa &&Zin pro- des mamites ; 3.e lait des -imdms atkbteç
fut 4 1'orQine d'une Z&l.mmel~ose chez le prc (51).
Tbutefois, 3.es mti&es fkxles mnstitwnt la sourrse principale de mn-
tamimtion,
.
. . . / .+*
,
- 31
%e. d&eloppmzzt ?es SuZmoneZZa est irhib~ aux tem$ra?xres inf&Aeures
3 7eC. Ehtre ce .seuil de crois.sawz et les tmpkxtures de con~latior~, elles
dexeurent en ét& de iJo3mance. Un2 4es~tion maxhale est ob& au IX>~&
de Q3ll~la~on.
-31 1977, CTYZ3B.ZG mntre qu'à P ICIoC S.a mlti.lication fllune souphe de
S.h~ptim&~n c%mi une viaMe hach& est tr&s active, puis la multiyfUca?im
wut, 0oi.t se pmrmi.vre si les c.irconSt Lsont ~avmablss, soit&re
entravée, voire annihiler si des bactkies, telles les co3.A.forms, smt
présentes (6).
~%uli~ns sue la cxmissan~ fks SaZmmelZu rese32 possible jusquvà &OC.
Si l'an cizepte pzulques souches thmr@sistants, les tem&rames de
pasteurisation smt 1Rhales.
Tfkihlaau nolO : Tbmm5sistarlc
423 sU&?lGneZZa dans la zone rde psteurisation
(60 - 63'C) (39).
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LS.anatm
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60
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60
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s. r?ul?dlat ta?l
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I S.montevidc?o
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Tableau, no10 (suite)
S. para typ hi B
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63
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S. papatyphi C l
60
12
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66,s
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30
2,s
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60
1,5
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63
l
0,s
60
15,d
60
39
62
186
63
2,s
S.mrtFnnpi%n 1
i.I
2.3 - ,utres facteurs
CHAPITRE XV t POSI!tWBJ DES SALMOJJELLA DRNS L'ENV5m~~m?T
Les txixres limoneuses sont kralmznt t&s fmxables à la pullulatbn
*c!es~s.
mur l!?~ricp, des données en ~rovename du :Wmc sont publiéee (161,
elles ne sontps tx%alemmt trampsables pour 1.2s sols trtK;icaux. Ceux-ci
subissent des conditions climatiq.~~ pi. influencent WY%xmmt la stie
rks SahkynetZa. CetSe mtlon dmmde à E!tre gm%is62.
BXE se &wloppr d'une fa?aur optimle, les Sa?mnellm ont besoin
t?kne temr&ature
.
ztnbiante convenable et de la mtire o;+,G@.z. CzLii- 151,~ -
ni&re est @ssentiellermnt dloriqine fkale, ainsi
les emm d'4k~oûts ov
pmmmt dVabattoirs sont les plus souvent incAïï~es,
Zklon la richesse, en mti&m orqngwe, les SuZmneZZa puvent survivre
de deux EEZD&ES 3. deux mis (54). X~I zme trxqicale, les conditions dihmi-
dît6 et de teqkatzme mb.iantes aswmmt cwtainmt une survie plus ion+;
. . . / .*.
Les salles &m&r&s de l'aI3attih ne sont vas 6par+es. Yais ce sont
les 17cEWx cri s'ef%?ctue la mnimlaticm des viscères ou r%o s-F 652s car-
Ca$ses saisies qui tllxxlstiturnt les lk?I,Ix les nlus ~lJ"uGs,
ils CtevierEQf.
ainsi la somce mjeure de cmkamhatior! 62 1'enVîriozXIemZk.
l . ./ . . .
- 38
.
60
156
Ir>caux (le triperie (boeufs, VealM,
ll-rxltons
SaJILe,d~abatta~ Ues prcs
t3ecteur "saCLe'" : salles de saisie,
Zicazhe, de rhx@ion des issues,
boyaud~îes
Eix : ahattoirdes v03ailles
-.a
Ir>cauxde,cmmxcialisat, sal-
les @es ventes, entrep%s frim?5-
fiaues
?3tilances
69
Chariots, ms,r&&+nts
56
Plans de travail
146
47
Outils, vétmts,pims de
7 7
72
46
26
- 39
q*. /
..r
- 40
La protecthnvis-22-v& fie l'in~ectim repose sux :
-lavaccination,
- la recherche de gxteurs et In lutte contre le $%AIL fécal.,
- l~t2ducation sanitaire 33s rdaaqSres et autres mmipulateur~
3'ciW3ts#
- la distribution de 7'eau ba&ri.olti~nt amtrôlée,
La prophylaxie des SaMmlloses o3nsfst-e à :
- fa rechhe et i'm..i~tion des parteurs (ce qui est actuelk-
mnt pssible mur la p..iLlomse et la tyghose aviaires par les
Spxwes s~roltiques),
- le coEtxBle bacth5olo@pe des aliments detitk& c*w: i-&t~ti
(farines de poisson, ?u viande et d'os),
- une ccnduite rationnelle de l'~levame (%mier, Qandap, etc..*).
c) Au n+au .des a@tjd.rs
- -
~risques decontaminatinde lavim$eau seinrP,desabatt~~irs
sonta imprtants et entral%mt J.e respect des nomE lors ?e la
conception des Jocaux destin& aux &I7erses lmn.igfiations des produA3 :
-c mise en place d'une vkanisatim af%kpate,
- ixc~lf%Z&ion du rylmhm de travail dans Ies esp.23~ non réfri&&es,
- 43
2Ume PARTTE
-------L-----l-w-
.xi
- 40
- la vamhtion,
b) -+s ,les ar&aq
La grop@yl&e des !Sa~~nelloses amsiste à :
- la redxmhe et i'élinination 6e.s partews (ce qui est actuelk-
mnt pssible t3x.r la puUf3mse et la typbse aviaires par J..es
z
- une m@uite rationnelle de lv=Glevam (%m.ier, Ppanda~, etc...).
des a<mb
I-
Les risques de cxm~inatin de la viznc?e au sein mke des abattoirs
sont=52t irtxmrtants et entrahznt l.e respect des nom33 lors ?e la
mmeption des locaux destink aux ?3.ver~s tipulations des pxdtlits :
- SCpration fies salles selon J_eur izsme et leur fkuré de corMmG.na-
tic%
- mise en place dkne ~:kanisation zw%+a*,
*.* / . . .
PERSPECTIE
Tales c o n c e r n e n t :
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rechexches bact&io
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- 42
- de déte 1~inpac-t du rêsuvolrr de xùus animal en daliamt :
- llinventaire des sérotypes renmn!Ss,
-ledWrmt&sespèces animles kpl&u&s,
- des enp?tes dqns le but .Ifélwider les diwxs mz&s de txarmvission,
- ~32 pdcisex le r61e p.rtkuLier de lqenTÈironnement sur ï'évo3xtkm
des Sdrmnel~oses (facteurs de stzxzss m&ez llanimal, factiws de survie
pur 12 bactErie, etc...).
3-~llaz=oration qientifkp
r'hzemllakmation étmiteztrédfèse avecleCentre sh*lais des
ISnt~m~c~ries de llInstitut Fastwr df2 r‘i-kar bt !e EErvice des IXrdSrobac-
téries de lp31.sti+ut Pasteur de Paris (Professeur LE YINX) doit pxxrmettre
une étude mm$Gte 8es souche!s isolées (chiviotypie etlysotypie). Une liai-
son avec les centres Smspitaliers locauxpourra aggorter des p%cisiom quant
aux4mrGes etthkapeutiques.
4 - R5sultats esaxpt&
9ncitera:
- la surveillame des foyers infectieux,
- 1'5c_E-jLgs*xmt ?kne carte épi+mioloqiq~,
- la tise au pdnt. Se msures concrètes de lutte (prhtioï~ et tmitmmt).
,ET,JJDB DE LA SE‘NS
AUX~_TSBJOT$QtJM .DE QUEL~+;~-
SOUCXES. ISOMiES CHEZ L'ANIWiL .
l
- 44
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- 45
- 46
- 43
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