REPUBLIQUE DU SENEGAL 3-L-----.-” INSTITUT...
REPUBLIQUE DU SENEGAL
3-L-----.-”
INSTITUT SENEGALAIS DE RECHERCHES
AGRICOLES Cl ,S.R,A,)
a MINISTRE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
w-m-m-mm-I--
i’
ET TECHN l QUE
LABORATO 1 RE NAT 1 ONAL DE L’ ELEVAGE
y
ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
6
L E S P E R F O R M A N C E S D E R E P R O D U C T I O N D E BOVI NS
LAIT1 E R S D E R A C E M O N T B E L I A R D E A U S E N E G A L
P a r J . P . DEN.IS
C h e f d u s e r v i c e d e Z o o t e c h n i e
L a b o r a t o i r e n a t i o n a l d e IvElevage
et de Recherches vétéri na i res
DAKAR (Sénécja 1)
COMMUN t CAT ION AU +EM I NA+ RE SUR
“LA REPRODUCT 1 ON’ DES RUM I %AN?S
î
ZONE TROPICALE” 8 AU 10 JUiN 1983
1
R E F , No 42/ZOOT.
\\
INTE A PITRE (Guadeloupe)
AVRIL 1982.

INTRCEUCTICN
Pour repondre aux besoins en lait et produits laitiers du Senégal qui
.conduI:s,~~t,~ce,,,pays
~2 des importa-t-Ions annuelles de IVordre de 3 milliards de
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F.,CFA,:pIusIeurs options de développement de la production nationale peuvent
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être envisagées. La Premiere concerne 17ametioration de la production traditlon-
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îiel le, ib seconde conduit â utiliser des animaux importés à forte prodüctlvlte
l&ltière dans dos'condltions d'élevage resolument fntensiflées. CPsst 'dans
l'esprit de cette dernière option que des travaux de recherches ont 6-i-é entre-

pris sur un lot de femelles de race montbéliarde,
Ces femelles au nombre de 24 2 leur arrivée (et 2 géniteurs mâles) sont
entretenuos sur la ferme de Sangalkam, annexe du Laboratoire national de
.
I'Elevage et do Recharches vétêrlnaires de Dakar, depuis décembre .IW'6.i Leur
alimentation intensive est basée sur la consommatlon de fourrages irrigués.
Apres 5 annees de présence au Sénegal, il est possible de don& un
certain nombre de rense'ignements sur les performances observ&es;-Celles
relatives B la reproduction font I'obJot du présent document.
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Fur 24, femelks aryivées au %-&al, 21 v&iges ont i;t& ch.erv& (2 fmelles
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TQns le berceau de la race l'âpe au ler v&law internient en rmyenne 2 2ans
et 8 mis soit 970 jours.
Initialerfwnt., il. était prbu de r\\hcer les femelles à la reproduction à pah-r
&. 15 mis et 350 kg. Sur 31 obswvations effectkes, le poids moyen ac-hlel 3.
-
15 z-mis est de ?07 k 18 kn. 1-3 go?lds 2 la %condation est de 397 Y! 26 kg 1'Sw
myen de 631 ioum soit 21 mis. Ccrmtc tenu de 1.a varialnilité observge (écart
tyw âpe au lm vélage 104,05 iourr:), TES femlles peuvent p,tlyr! consid&ks,
cm g..x3ceptih].es r?'@trf2 ?&ond&es à l'âge dC3 10 mis.
de 19intwvX!le entre vélape et saillie F&onde suivante, du&e dp la gestation.
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Il apparaît du vi;lam 3. au &lage 4 dans le lot de fondation une dmSl.iorxt7m

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INTROEUCTlON
Pour repondre aux besoins en lait et produits laitiers du Senégal qui
condui.sant_ce,,pays + des importattons annuelles de l'ordre de 3 milli&ds de
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P.,CFA, ,pIusieurs options de développement de la production natlon~'~e,peuvent
être envisagées. La premlere concerne 17amélloration de la production tradltton-
neIle,' ici seconde conduit â utiliser des animaux Importés â forte productlvlté
laitière dans des conditions d'élevage résolument intensifiées. C'est dans
l'esprit de cette dernlere option que des travaux de recherches ont eté entre-
pris sur un lot de femelles de race montbéliarde,
Ces femelles au nombre de 24 à leur arrivée (et 2 géniteurs mâles) sont
entretenuos sur la ferme de Sangalkam, annexe du Laboratoire national de
I'Elevage et do Recherches vétérinaires de Dakar, depuis décembre .1.976.; Leur
alimentation intensl& est basee sur la consommation de fourrages irrigués.
Apres 5 annees qe présence au SQn&gal, il est possible de donner un
certain nombre de renseignements sur ios performances observaes;.@elles
relatives à la reproduction font I'obJot du présent document,
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basI. ktwllwmt 19 +nelJea n6e.s au S&-&al on-t'v3.6 pour la mmù.Cq fois.
: 11. amaratt (t&-%au no 3.) Oulil existe une diff&ence simi.ficat$ve en-t33 les
4rJes au ler S!:arre des snimux de -Fonilation et ceux n& au SMjxiL kespecti-
vewnt 35 et ?n mis r+t ,y%&).
T?hl.eau 'no !. : Me au ler vSlam en kurs
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et 8 mis soit 970 jours.
Initialenmt., il. était p+vu de r\\lacew, les femlles à la reproduction à pah-r
de 15 mis et 350 kg0 Sur 21 obswvations effectkes, le poir?s moyen actuel 2‘
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15 mis est de 307 3: 18 kn. k Doids 8 la f%condation est de 397 t 26 kp llâw
mmen de 631 ioum soit 21 poiss Pmntc tenu de la variabilité 0kervGe (écart
tyw âee au lw vglage 104,05 $ours). Les femelles peuvent êtm considérées,
cm susceptjhles d'&tre ?%con&es à lPâge de 18 mis.
II - I?m?w4?d,FS FWRF: LES LT:LRr^FS
-~----- - - A - . - - - -
L'intervalle qrtre les v6laws neut e,trc. déconpsé en plusieurs plw.ses : duF&
de 19interva71e entre vélape et saillie 6conde suivante, dur6e dr la gestatior. - .
La syntF\\he des di.f..kentes données peut nezmeth?e d9&tahlir les myennes des
-9
i"ifxs aux difzférents vélapes.
II.l/ Rmn6es &néfales
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Tes diF&entes donnfks concernant liiMzzwXL~~ ?%Yen entre les V~@S
apmraissent au tableau no 2. On ne neut !wt~~e en hidence de diffhn-
ces sicmificatives ni entw les divers ~31~s ile v&m ni entre les ï?eb.

.
mbleau no 2 ': IntcFvalies entre les v6laqes (en iours)
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melles de .fond;rtion'e;t celles rii'es au S&&a1 (F = 0,05 NS>, Cq-pte tenu du
nombre relativernmt 3.imité de donrhs, la ,mde vmiabi1i-t~ des zerformnce~
ohswv6;e exlime ce fait. TJne mpmche un peu ili.f~&ente du pPkr&n~, peut
.
.
pxmettre ceperi?antde situer mieux la '&ace'des nerfommces des cl?ff&ents
lots dvan?m.ux. '.
Si~un.intervalle in%+ur à 420 joum peut êt-e consi&- com cor&& (IL:
et 480 jours la limite 3 ne ps d6passF-r (16 j-mis) on peut &ri.re lk"t&&kti
suivant ho 3).
Tableau PO 3 t Rbwtitior, fks in-tervall~es en n.100
.,
:

. ., 4-
Il apparait du vGlam 3. au V&~E: 4 dans le lot de fondation une &l.imat.ion
.-
des yxr?omnces oIxem~es. M.ns le lot de femolles nGes au Sénégal, les pep-
E9?rMnceS fie d6part Se&&rt 3wiXkms, DFune~mni&re hhxt.~e cependant sw
43 (pond&&) et 17 (%nhm1! intervalles ohser$sT
.
.
il. c-n reste respectivemz-k
35 'et 18 p.lrK) suv~rie\\u7s 3 4qo -jours) les di+.ficult& les P;lus importantes se
situant 'en-t& 3.e Ier 'n$ ICI! T?e +l,age.' '. "
II Semble sue Ics fe?w7.l~s r&es au Sén+al pYY;sentcnt des performances myennes
milleuw-s q.ue celles des %mellcs de fondation, mais elles ne sont ceDen&n?
nas 2 l'Abri des ~~~Kli;mes CT+. fécondation.
1I.W Dufie f-Je la mstati.on
WI_
des femlles de fondation et des femel.les noes au SFiiiripal &ableau no 5). Les
?ufies de gestation'&% ~erwXI.ek de fondation sont semblables 2 cel.3.es .o&er-
Tableau"nO 5 : R.r& de la rrestktion (en ~OUF~)
.'. :
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vées dans le berceau de la mce (284 $-m~s~~
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. . .

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Il n'y a vs de diffgwnce significative. entre ces durées dans les 2 lots
de r$melles. D'une rgq&re &&ral~, l'inteyvalle dure 7,5 mxi.~.mais~d+i-
<:
nue &puliC!?!ement du ler au 5e velape (16,9 ; 5,9 d 5,7 ; 5,3).
0bseTvations eWxtu&s.
.: ,<',.:; :
TX ,4/ Ag, nqren &IX r?iff&ent.s. v&$es '*'.'
. ..<
! --..-A-&--...-"~, ..-- ., ~,
LE& d$W-&en-is c@ffres ~rk6dents nezmettent d'ijtablir un tableau rtha~i--
: ,_, .,. .-._ . -. - . .i
:
tulkif des apes mov&s aux divers v6lapeS (tableau no 7).
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?x&u nC) 7 : AP mwen a13h $i.ff&entc; v6lages
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Fondation
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4..aqs
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10 mois
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5 ans
11 mois /j
6 ans
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11 mois I
. . ./ . . .

satisfaisantes.
Le taux de'missanca est une aq?r&iation du nm&?w de produits n6s pz~ rapmrt
au n0nlx-e de -FemIles en Gtat de reprcduire.
Les .&&ses smt'intro~uites dans le lc?t dc repmd.uction 13 partir de 18 mis
et cmmtmt dans IcS calculs de taux d'uw année si cet Sge est atteint en
janvier et '~6vrier de l'ïm-ke en cours.
?!Mre la f%Ym?.atic?n et le v&!gJe d9un ve~.u viz.hl.e, peuvent survenir aX)rtePpnts
I
et mkes bas d'anin-aux mrts~&s.
JZ ficmitulaticm 6-&ritle de ces donn6es fait l'oh<& du tableau ne 8.
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Tableau no 8 : J?écapitu.latim des &nr&es rie repm&.~ction
-a -.".*<m-
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- tableau n? 9 23 fonction du ranp de véfage,j et
- tableau no 10 en %nction de lga&e.
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.
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.

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T&leau no 9 - Avortemnts en fmwtion, du mg de vélarre
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"hbleau no 10 * Avortements en fonction de l'année
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Nwribre avortements I
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k mbre de pestatipns obser&es est de 126, le nom?xe de veau ni;,s viable&
(compte @nu des nai&xz&es &wllrrires) de 110. IR taux de ve+~ &&'viables
est donc de 0,87.
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k taUX d'avorftemcnts-(14,3 p.100) est re1ativerrien-t élev$ suytout~si~on y -&
9
clut 1es~mm-B nés (16,7 p.100).
.
4 rkissances &nellaires ont été obse&cs (9 pmduits).
Les diffhnts taux de naissance deviennent donc les suivants (tableau no 11).
.
.
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Tableau no II : Taux de repmduction'en r>.lM
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1981 't
73,3
76,7
.76,7
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Si on cherche à cmxre~ animmx de fondation et n6s au Séné~ai (tal-h%'fi* 12)
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fondation
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FJ6es au S%&al.
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Taux vachesI
Tmx
naissmces-.Taux v&age fgbhd6es
naissances
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~~TOUT&S pour 45 p.100 des cas pendant les jnois de
Tableau-no 13 : J?épwti-&~~~ fies naissances en fonction du mis et de lgqmSe
-:
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‘.
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décembre. janvier et f&rier. ~epndnnt en examinant le tabl,eau no 13, On'put
noter que si 100 3.100 des naissances' ont eu lieu entre ianvier et mi, la pre-
m.i+z ann@e.
un certain.transfert s'est effectué dès 1979 vers la fin de l'ai-,
. .
née, pt., l++ dépyt, de ï '+n?c...-
-5~ suivante. En tout cas il existe un crwx-net de mi.

2 août ($8. o.lOO.des,~yél+p).
i:
7
On neut en tirer la réprtition des !fécondations (tableau rP 14Y.
Tableau no'14 l. Répartition 'des f&ndations"[~S%? 2 198?)
Il apmraît donc que pendant la *iode d'hivermpe, la vie de remoduction
des femelles semble fortement diminuer (18 p.100 des fécon&t-ions de juillet

- lO-
v- sq wv-l-0
Sur l'ensemble des naissances de veaux viables, on peut noter un sex ratio de
54,8 v.lO? mn faveur dos f6,mellec:. 9~ fait cette valeur est due au nom?& &?s
ipwwtant rl,cs tiaissances de .femellr?s la prer&?re ar&e de essence des ankw
(tablealj no 15J..
Tshleau no 1.5 : M+tions r?smuel..les du~seX ratio (en p.100 de m%es)
--
1977
Le nombre de sailliw Gcclssaires TXXF assurer 3s fkondatipn (tableau no 16)
est él& chez ks +k~A.les de fondation, ?-ais raisonnale chez 'les fe&lles
n&s au S&&~a1 (berceau de 'la rac& 1,641'.
Tableau no 1.6 I Saillies nkessaires pour une ?%condation
1-
IlJcmhx de
1 saillies
. . /. .*,

- 11 -
bd taux n-q-en de vélages observs de 1977 à 1981 chez les ~~~JTFNDC monttiliards
de Sangalkam est de 73 ~~100, ce oui constitue une perform%ce honorable pur
des taurins imnort& en milieu tropical. Si cette performance moyenne est exa-
min~$e de @us nr&s on s'apeqoit que les nerfomces des femelles r&es au Sé-
n&al semblent meilleures que celles des animaux de fondation (taux moyen de
&lape de 83 n.100 contre 66 PB1oO). Cette ?Bmarque est int&essante car elle
permet d'envisager une diffusion de la race dans la zone du Cap-vert, mais à
partir des animaux nés au Séri&a1 et non d'wrtations directes.
Les efforts à &aliser doivent se porter essentiellement sur l'intervalle entre
le vii;lane et la saillie fécondante suivante. Il faut dtcabord tenir cormA-e de
l’effet saisonnier q,ui semble assez net. Ensuite un suivi plus ripureux du
retour des premii-res chaleurs et de l'apnarition des chaleurs successives ul-
t&ieunes doit &Te effectué. C'est 3 cet eTet qu'un taureau de race mon-thé-
liarde a étg vasectomis~ au cours de l'année 1981. Enfin des interventions hor-
monales svstkwtiques sont p&vues d?s que les femelles s'&artent des pévi-
siens (les causes nathologiques &ant &iminées), Lpirgortant est de chiffrer
le coût des diffisrentes interventions entrenrises par rapport aux gains réali-
sés en veaux et lait r&olté.
Un autre nmbl&ne 2 examiner de &s est celui des avortements (87 n.100 de
veaux n& viables). Les diverses analyse.s détaillées n'ont pas *permis de
mettre des causes microbienne ou virale sn&ifiques en évidence. Seules,
~>our certains animwx, des maninulations de contr& de gestation neu adaptges
ont 312 &tre incriminées.