REPUBLIblE DU SENEGAL ‘~~Iœ.-lm.--c” . ...
REPUBLIblE DU SENEGAL
‘~~Iœ.-lm.--c”
.
*flINISTERE CE LA RECHERCHE
_ fINSTiTUT SENEGALAIS DE RECHERCHES
AGRICOLES (I.S.R.A. 1
1:
- - - - - - - - - -
+ *‘&ORATOIRE NATIONAL DE L’ELEVA&
ET LE RECHERCHES VETERINAIRES
OMAR - HANN
N O T E S U R L E S T E N D A N C E S E V O L U T I V E S DE L A
V E G E T A T I O N L I G N E U S E O U FERLO S A B L E U X
S E N E G A L A I S
Par J. VALENZA
R E F . No 57/Al?ROSTO,
’
.
M A I 1 9 8 5 .
‘6
NOTE SUR LES TENDANCES EVOLUTIVES DE LA
VEGETATION LIGNEUSE DU FEPLD SABLEUX
SENEGALAIS
Dans le cadre d’un programme de surveillance continue de cinq types de
$!turagos naturelssahéliens s é n é g a l a i s , le protocole comptait à partir de
iS82, l’observation du peuplement ligneux. Cette observation est trop récente
.bciur ‘conclure deux ans après à une évolution définitive quelconque de cette
l ve~&a£ion”~ mais par contre une tendance évolutive peut être dégagée de l’ana-
lyse des observations sur trois saisons, comme cela a éte déjà fait pour les
trois années précédant notre periode d’étude tl),
..<
MATERIEL ET l%THOC)ES
Les observations intéressent la strate lfgneuse de cinq types de @turages
desservis par s&x lieux d’abreuvement permanents, tous localisés dans la’ partie
sableuse du kr1.o. s.enégalais, ehtre les paralléles 16’15 e t 16’50 n o r d e t l e s ,
m6ridiens 14’50 et 15’20 ouest IV ces Cinq types sont parmi les”plus’ répandus de
la zone:& 1 à 4 et Pa 1 (2). Les observations sont effectuBé’s~&$‘~ jan’v1’or sur
parcelles permanentes si.tuées à des distances variables des forages .a ;.2r./ 3 km,
4 / 5 / 6 km et 8 / 10 km (PK 2 .T 5 - ID1 de la feçon suivante, dérivantde
celle de PIOT et DIAITE (11
A partir d’un point quelconi$@ mais toujours le m&ne à l’intérieur de la
parcelle matérialisee par ouatre arbres marqués B la peinture rouge ,pour’.un. .
reperage facile, point pacfa&ter&-it positionné par rapport a un de’ces arbres,
inventaire de la stratell+,gneuse, comprise dans un cercle centré sur ce point
ayant un diametre de 56,4$soit une S u p e r f i c i e . d ’ u n h e c t a r e
J les l i g n e u x s o n t
répartis en 10 classes .de hauteur,tous les 25 cm jusqulà 2 m, de 2 à 4 m et ,au
-..:
dessus de 4 m. Seuls”ies É$hant$llons, vivants sont inventories et les espèces
multicaules sont comptées pour un individu.
_, .’
., 111.
..
,< ‘:
.
.
.
. . . / . . .
- 2
RESULTATS ET DISCUSSIONS
L’analyse des observations permet de
suivre 1’6volution dans le temps et
-
v
l’espace du peuplement ligneux et des eSp&C8S,qIJi le composent, mais
pas celle
des différents types (nombre
de parcelles insuffisant), ni celle
des producti-
vit6s
de cette strate.
Evolutions
des densit6s de ligneux et des diff6rentes espèces
sont donc
analysées
du point de
vue global et par stations. Po.ur facil,iter l a compârai-
son éntre les trois
distances retenues, tous les inventaires
ont ét6 rapport61
au même nombre de parcelles par
stations, 14
comme au PK 5 Ctableaux 1
et 21.
.
.
1 - Evolution
des densit6s *
Elles
sont variables selon las
ann6es et les
espdces comme leur 6volutior
Il y a une baisse incontestable
de la densit6 du peuplement ligneux
toutes. classes de hauteur
confondues : 14,s p.1~0 l a premiérs
ann6e s u i v i d’ur
légère remontde,, la
deuxi&ne 3,7 p,lOCl, soit une baisse globale de Il,3
p.100
qui aggrave encore celle
déj&constat6e par
PIOT et DIAITE de 1979 à 1981 dans
le Ferlo sur
un plus grand nombre
de stations, et qui était de i4,2 p.100 puur
1.9s sujets vivants, O a h r a , Fete-Ol6
.except&.
.
Mais si l’on ne tient pas compte: des individus de Boscia &?n~&Zensi&“
iPsrs. 1 Lam. 8x Pair,
et ‘%&&es aeg@tiaca (L. Del, ) de la ciasse 1 .iorrès-
pondant aux jeunes plantules et repousses,
on constate
une tres ‘faible varia-
’ tion de la.densit6 la première
ann6e 0,4 p.100, puis une chute brusque la
deuxième
ann6e 12,!2:p.l00, consfrq.uence vraisemblable de la tras faible pluvio-
métrie de la
saison 1983, soit une baisse globale de 12,6
p.lOO:,
La remont6e. enregistr6e
en 1’984 par rapport
?I 1983 qu’on’ pourrait
consi-
d6rer
comme un rajeunissement
du peuplement n’est donc qu’apparente et momkn-
tanée, les individus de. l& classe 1 pouvant, n’avoir qu’une existence br&ve.’
Ceci. confirme
ce que.PLOT :ef DIAITE remarquaient concornant, l’importance de
Boscia senqahmh e t Gdera 8e?zega’lensis ,JiF. ti. mel. lici Balatifes
aegyp-
?!&%Ca~ “dans Ie rajeunissement des formations mais 6palerrBnt
en soulignant la
soudalnet6 et la possible briévet6
de l’évenement r6gén6ration
naturelle”.
- 3
T+ea,u n’?l : ‘Composition botanique de la strate ligneuse par ann6e
--
Esphes
1 9 8 2
1 9 8 3
1 9 8 4
en + ou -
---.
-7
ACUC<~ seneqa 2
5 9
6 7
60,
AqwSa seyal
1.1
7
4
Acc&u tort< Zis
1 0
1 2
11
Adamsonda
digi ta ta
1
1
Adenium obrsum
1
4
1
%uZanites aeqyptiaca
6 2 7
590
5 7 2
( c l a s s e II
(87:
(701
190,
%uuhCnia rufescens
1
1
1
Boseia seni&iZeizsis
3 1 7 4
2 6 3 4
2 ’ 697
- 0,7 o
u
7,5
[ c l a s s e II
(1 2 5 7 :
(6231
Il 1 2 3 3
Ca totropis procera
2 1 6
1 8 0
1 6 1
- 25,5 o
u
32,3
Combretum at3uleaiwn
2
1 5
Ii3
+
800
canbretwn glutinoswn
. . . .
q
2 4
19.
- 26,9
Con7niphom a.fkkaiza
2 4
2 4
2 7
+ 12,5
..<
DuZbeqia rrie’lanoxylon
7
6
6
- 14,3
Dfcr&ta$yS qii0mePata
1
3
3,
+ 20’3
GpsIdia
bicoZor
_.
-
1 0
8
5
- 50
&iëra senëplens&s
2 1 2
1 6 1
105
- SO,5
Jatropha chevaZie&
1 4
1 1
1 9
+ 35,7
Leptadewfa
‘pyrotechk&a
16
1 2
1 1
- 31,25
Sbletioctiya
birrea
‘-
1 7 3
1 6 2
1 4 6
- 15,6
SteTcu Zia setigkra
3
3
3
.i% ziphus kzur3 t2ana
4
4
4
--.
--. -
l-OTAL
4 5 9 2
3 9 2 6
4 0 7 3
lensité p a r s t a t i o n
4 0 9 ; :
93,!
9 7
.:
:
k en. plu.3 ou en moins
-
+ 3,7
e---
rotài sans classe 1
33nsi.t~ p a r s t a t i o n
~..<:
:.:”
D en plus ou en moinç
:/,
. .
-
4
Tableau no2 : Composition botanique de la .,stre.te ligneuse
L‘ .’
*
par annéeti ‘et stations.
.,
M s t a n c e s ”
Pu 2
PK 5
PK 10
Espèces
62'
63
84
62
83
64
62
64'
Icacia senega Z
33
4O
22
23
&&a rreyai! :
5
2
1
1
!ca&a t0rtiZ-h
7
7
4
3
kiamonia d@t&a
1
Idenhrn obamm
.-
!kdan7I te8 aegyp t<aaa
230
205
276
270
107
[classe
1)
,J36I
(17)
(311
(331
(231
9au~m'a ryfescens
1
*
'W
1
k38cda senegaten8is
5 1 1
423
1 112
869
1 551
1 342.
(classe
1)
(1551
.tl241
(4061
(236
C6961
12633
~atotmpis procem
56
54
110
85
41
bnbretum
atxteutum
1
1
4
9
?ombretwn gtutimawn
6
16
14
.4
22mrdphom afticana
6
5
5
9ztbergia rnettxmqfton
7
6
?icro&a?hys gtomeruta
. 1
1
2
Bwia bicotor
3
2
2
1
1
6
24uiera
eenegateneis
56
35
2
2
36
14
120
?OS
6 9
7atrop?zu chevu ZZeri
9
6
9
5
6
5eptadencia pyrotechn2ca
2
2
2
10
9
.
,
;Ct momxya bbrea
52
49
38
56
53
64
. 57
<"
,55
%emutia setigera
z
w
2
2
1
1
&?2phl# ??laurîtiana
3
3
3
1
1
TOTAL
988
8 4 9
875
i-z 1 367
1 390
1 946' 1 710
1 soi3
Densitf5 par stations
70,6
so,c
62,! 118,4: . 97.0
99,1 140,3- q22,i
q29#8
.,
1
k en plus ou en moins
- 14,6
I + 3,j
- 17,6.
+ 1,7
- 13
I
-T-
+ s,3
_.~-
-
jl,t;
- 16,l
. ‘_
Total sans claqse 1
795
708 630
1 221' 1 098
932
0snsitB par stations
56;7
,5O,6 45
87J i 78,4: 66,5
_
<._
m .I.
3 en plus ou fan moins
- 10,7
- 11' :'
- 10,l
- -15,2
+15,8 -9
-
1
_ 1
- 20,7
- 23,7
+5,3
,
- 5
r
Les densités sont toujours plus faibles dans les Stations proches des
’
forages 06 l’action combines homme1bétai.l est d6jà ancienne et -Forte, alors
.
q u ’ e l l e s s ’ o n t t o u j o u r s p l u s 6lev6es dans’ l e s s t a t i o n s l e s p l u s éloignees o ù
cette action est moindre et m&ne tres faible.
Cette baisse générale de densité est egalement variable selon les stations
donc selon le degré de pression de l’homme et de ses animaux sur le milieu.
Actuellement elle est plus forte au PK 5 qu“au PK 2, 16,l p.100 contre Il,5
toutes classes comprises ou 23,7 contre 20,3 si o $Fient pas compte des indi-
vidus de moins de 25 cm de hauteur, alors que les Mmes auteurs que précédem-
ment avaient constaté 1 ‘inverse : 8,4 contre 21,4 pour les sujets vivants non
_
compris ceux de F&ane. Au PIC 10, on note une baisse de 7,s pour la totalité
des individus contre une lepère hausse pour ceux de plus de 25 cm de hauteur,
,,< ::
Il faut remarquer que c’estaussi à ce niveau que la remont6e enregistres
entre ‘1983 et 1984 bieniqu’apparente, a été.la plus forte.
Cette forte baisse enregistree au PK 5 pourrait traduire une extension à
cette zone de la pression.défavorable de l’homme et de son bétail sur lss.li-
gneux qui s’est pendant longtemps 1imLtée aux premiers kilomètres 1 cette pros-
sion semble-s’exercer actuellement au PK 10 mais surtout sur les jeunes indi-
.vidus de l’annee facilement ,detrults par piétinement et plus ou. moins consommés
puisque les plus grands voient leurs effectifs augmenter.
. .
2- Evolution,, des différentes espèces
-4
: Lés vingt et une espèces composant la strate ligneuse, Svo.luent différem-
ment. face aux dures conditions climatiques actuelles et aux agresSions dont
ellës sont l’objet ,de la.part de l’homme et de son btStaA.1. Pluviométrie et
distance au forage interviennent .donc.
Parmi les espikes peu nombreuses qui se sont multipliées,: il faut surtout
noter
Combrettun acuirecrtum Vent. (neuf, fois plus abondant], ?o?n&pkwu a.Wcanu
Engl. mais leurs effectifs en 1982 etaient faibles et le restent encore. Cer-
taines c o m m e 27Xp7zia
mautiti#m .Lam.,
Stc?rcuZia setigera D e l . ,
Dalber&a
me Zano3yZon G. Bt Perrkj
,AcacLa .Se?WgaZ (L-1 Willd e t 4 . t;Orti27k S a v i . o n t
pratiquement conserve leurs effectifs, faibles eux-aus,si,
- 6
.
Plus
nombreuse$ sont celles quf.ont regressé, 11. Les taux de mortalit8
s’échelonnent de 63,6 p.lQO piwr.Acatia s@jaZ Del. à 0,? pour Bos&a
senega-
* .
lensis~~
Par ordre décroissant et
pour’ ies espèces abondantes 80 ‘1982, le6 taux
.’
.’
d e mortelit &~ivent o n t é t é enfegistr& :
..;
GuZeTa
ienega Zen8723 50,S
,
. .
,
.,
32,3 fifidividus c l a s s e 1 exoeptésl
,’ .< .,.
Gc$otrop;28 procera
..,
.,
5
,’ <.,
C~mbretum ~h,&nosum 26,9’
ScZerocarya birr&. ‘25,6
BaZa&tes
aeLgyptia&
10;7
(
-Iv-
-“-
,” -
3
Bom-ia seiieqalm8is 7,s ( i n -
-.“-
-“, ]
Mais pour
chacune d’elles, .ce m&ne taux, peut
varier selon les
stations,
donc avec le degré
d’exploitation du milieu.
IJeux espèces dominent très largement :
BoscLa senqatensis e t
BaZatites
ae$J@tiCk?a.
Le premier
est nettement plus
abondant au PK 10 qu’aux PK 2 et 5,
avec un pourcentage plus
éleve de jeunes sujets dont,les chances de survie
sont .peu compromises, o’oil
un acqroissement des classes 2 a jO.entre 1982 et
1984 ij? 17.7 % i. par contre cette
m8me population a baissé de 31,9 % au
PK 5
et de ‘I9,4 % au
PK 2.
Mais partout
cette esoèce domine le paysage : respecti- l
vement 77,5 - SI,6 e t 45,s %.
Le,second a un comportement
différent. En effet, les
populations corrposan
les classes 2 à 10 sont en natte rG?gression surtout au
PK 10 I- 16,4 p.1001
et è un degré moindre au
PK 2 (- 12,51 alars
qu’au PK 5 elles sont gtkérale-
I
ment plus abondantes avec, un taux de mortalitb infkisur,
6,l p.100. Cette
espece marque encore le paysage,
mais beaucoup moins que la precédente, princi
palement
dans les parties proches
des forages : respectivement:26,6 - 24,7 et
6,s
en 1964 contre
24,l - 20,l et 8,4 en 1982.
..
:-
Viennent ‘ensuite +%?krocar~a~tirrea CA. Rich. 1 Hochst et G’&Gz’Q senegah??
<.
.” 828 avec des comportements comparablas
J mais, le
Second:a une répartition
spatiale très .varia,ble et ac.cuse a toutes .les
distances une ,mortalité
plus
.‘.
<
él@d3e : ,60,7 au P& 2, contre 26,s au
p-m+, 61,l,au
PK 5 contre 7,C! et 42,s
c o n t r e ’ j4,~I a u
PK 10. :;
-2
/
. . . l . .
- 7
Cette différence pourrait etre la conséquence d.‘une plus grande a,c,cessi-
bilite du second à la dent du bétail, puisque des deux, G$~cr e~6?Z~u@?IeiS
aurait l’indice de sclerophillie le
plus élev4 (31, donc une meilleure résis-
,’
.
,.
tance aux dures condi.ti.ons climatiques’ ‘cctuelles. Mais comme pour beaucoup
d’autres espèces, on ne note que, très.,pe:u :&‘individus ?kk”Jjeunes classes et’
pas du tout de jeunes’plantules de!l’année (ceiles
dë Sc’lero&@jcz b&W?u tibser-
vees en fin de saison *des” pluies n !Ont aucune’ chance d’a&ler ‘eu- dol&].
Pour
cette dernière, il n’y a aucun repr$sentant. dans les classee ? à 8 - 9.. La. sur-
vie de ces deux
espèces est donc fortement menacge pour ne pas dire impossible.
Parmi les autres espèces, il faut
mentionner CaZotPopis pocexa Ait. plus
abondantau
PK 5, zone où se situent
~Gnéralement les campements d’éleveurs
favorisant
cette espèce anthropiqus pourtant
en voie de régression, Quant à
ri
”
Cimbietwn
gIh.dtinisum Pkrr., il a marqué
un .net recul
au PK 5 uniquement,
:
43,75 p.ÎOO, alors qui‘11 n’a pas varié ailieu&. Les autres esp&cf3s, en très
i,
petit nombre, ne présentent que peu’d’intér8t dans l’analyse des changements
3urvenus.
L’analyse des observations
effectuées depuis 1982 sur la strate ligneuse
autorise
les conclusions suivantes concernant sa tendance évolutive et rappe-
lant celles
émises par
VANPRAET et VAN ITTERSUM (31 :
- nette tendance B la r6gression de la
densite plus ou moins forte
selon le
degré
de pression de
l’homme et de
son bétail,
mais généralement croissante
avec lui ;
- taux de rT~rtalit6 variables selon les espèces et pour certaines d’entre elles
selon la distance au forage ;
- pression qui semble s'accentuer au PK 5 I
- modification floristique certaine
quelle que soit la situation avec tendance
à l’aridification puisque ce sont les espèces à
plus fort indice de sclero-
phillie qui ont des taux de mortalité les
plus faibles 1
- disparition certaine
de quelques espkes par
suite d’absence totale
de sujets
des classes de hauteur les plus basses maigre pourtant la
présence de jeunes
*,. /
. . .
-8
.
.
.
blan.tUles en fin de saison’ deti’ pluies (cas’de ScZmcarya bzkr~1 mais qui
fie' &rront alier a u d e l à ’ j’ ”
.% =
?. _ 1, .‘.
:
.,
/
- survi+I aléatoire
de certaines par s’uite d’une très
faible régénér&iOn J
',".
-. mult$,pl%cation appbrente et dominante, P$US ou moins impor!ante d’autres,.
du fait’ de l’action
du bétail seule .ou liés, 6 :la
faiblesse de la pluviom&
t.de,,' comme &l,adtes .ae$y@iaca et ~o8c$u:eepqd!fm$8, J
._ : - ackon ‘ce+taine d6 l’homme e’t de ‘sbn ‘b&lA~~l dur
les modi’fications’ floristiqu
’
et quantitative s de cette s’trate et sur son :appauvrissemeiit .d’une façon
générale. :
;
:
’
Mais, Si l’importance prise par certaines
espèces dans le paysage ne
parait
pas ,grave
dans la mesure où elles
sont consommées par le bétail’ ou le
deviennent, beaucoup plus inquietante est la baisse plus ou
moins forte
de
la densi’té de ce peuplement pour le devenir du Ferlo,
. .
/. <.
.’
,:
.,,
_ ,
:
,.
.:
.
.
:
:
..:
‘.‘.
.,
:
‘.
.
.
:-
_ .
.:
.,
,,
. .
; i
.’
,;
:
:
‘:
.<.
.
.
i-
. . <.>
- 9
FIBLIOG2APHIE
l- PIOT (J. 1 et OIAITE (1.1 - “Systame de production de
1’6hW3gE? a u SQn6gal.
Etude du couvert ligneux. Rapport ÛRIZA 1983.
2 - VALENZA LJ.1 et DIALL(i tA.K.1 - Etude des paturazes naturels dy Nord
S6négal. M a i s o n s - A l f o r t , IEMVT, 1 9 7 2 ,
3- V.4NPRAET (C*L. 1 et VAN ITTERSUM (G. 1 - Considérations sur des analyses
dimensionnelles de quelques espèces ligneuses de la zone sylvo-pastorale
au Sénégal.
Atelier : Méthode d’inventaire et de surveillance continue des Qcosystèmes
pastoraux sahf5liens
- application au développement. Dakar lljl 17 et 18
novembre 1983.