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~7si5kt. &&alais de Recher&es ,r,Ficoles
J-&dratoire national de lPEleva?;e
et c'e %Cherches v&érins.ires
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Il y a, je crois, un provwbe chinois qui dit qu'il vaut mieux voi.2 une
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fois CU' entendr?c-. (mille)fois et je suis fort tentc2 de 1 appliquer aux
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+oscmiases 3r33.1.esI
l- Voir le YYypanosca~e responsable de la ::al..~d :e a~.im~& est 1~s moy~ CC:?
diagnostic le plus sûr : cas ;nositif .indubitalble, esp&e identifi;:&Cie,
Df&, dans la mesure du Fssible> se dé?lacer avec le mat&?iel qui ;;?"-:?et
lgobservation sur le terrain :
- visiter un troupesfi et faire un examen d'ense?bl.e
.m trier les animaux cliniquement suspects
- p&lever sur chacun une Toutte, examirke directement
- des gouttes épaisses et des frottis, colorés et ex3minés au ca:~~ement
de lgenquêteur ou à son retour au Laboratoire.
Les moyens2 pour ce faire, ne sont pas considkables :
- microscope portatif qu?on peut éclaker ';ar lampe de poche avec ? ile
- lames, Gm.elles, colcrants, alcool.
Ils peuvent être plus importants, par (exemple un camion-laboratoire ccBw
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M
gortarit les m&nes CCXliiditéS qu'un laboratoire ù>@anté.
Ils sont, ? l'extrême, rudimentaires : distribution de lames aux .ar:erits
en brousse et dPalcool méthyliqut9 wur les fixer, puis expédition à 1~3 IXXP
ratoire avec les fiches de renseipements.
Yalheureusement depuis une bonne quinzaine d'anrkes., les enquêtes sur
les Trypanosomiases animales ne sont me&es que wr quelques laboratoires
tout au moins en -Afrique de l'&est. Les chertzheÜ.m vont sur le terrai? G>ais
ils ne reçoivent plus de @%ve?ents des agents en poste en brousse.
Ces actions él&entaires permettent de r$ond.re en partie au qtiestiwnaire
sur la situation des T'rypanoscmiases (FAO, 197-1. 1% matiere de~~-Tr~~~osaG.ases
animales africaines nous n'avons
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démssé cet-tG"j$Sse el.émc,ntairZ d'-i7iiuetes:
-e-d.. - -,
-. especes de ?hvwosomes et especes anales attsJ.ntes
m pourcentages de cas -sitifs par rapprt aux 2niwux ex<aminés
- fréquences relatives des esp&es de T..ryiMnosomes selon les r+ions, :-3 raprol:t
avec les espèces de tsétsé et les saisons
** incidence des traitzmcnts et d? la lutte antivectorielle etc OOQ
2 . Les méthodes indirectes- farce qu'elles ne sont yas à la port& d<: ~ES
les laboratoires. sont à considérer dans une ph~.se ultérieure, quand la lulte
contre les Trypanoso::iases
aura fait suffisa?X-knt de pro,*s pour son;;:--r Ci
l'&adication Qn tenant pour suspects les ~$.~~aux qui tifisuent ;70sit3.~72~nt
à la sérologie.

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