- ? b) les...







- ?
b) les résultats des DIV n’5tant pas toujours retenus par cette méthode,
les équations d!G vivo ou d110 vivo = f ( d v i t r o ) o n t ét$ c a l c u l é e s ;
Dans certains cas, il a été. possible d’crnéliorer ces régressions en
ajoutant certains paramètres de l’analyse chimique en ne gardant, là
.
aussi, que les variables ‘dont les coefficients de a régression etaient
. .
I
significativement differents de 0.
.-...-.. .- ..-. . .- __ ,.
..__,.
_
:
-
_
.I. ,. . .
A- Résultats obtenus sur des pâturages naturels
N”
Equation de regression
N
r
SE
1
dMS 0,151
vive=
P?i4 - 0,069 ADF + 72,2
17
,0,918
4nO
2
dMSviVO= 0,226 YA
+
35,2
17
0,877
4,7
3
d??OvivO=. 0,132 XA - 0,086 ADF -I- 83,9
17
0,909
4,3
4
dK0 = 0,225 !--.?A + 37,9
17
0,848
5,3
vivo
5
dMSvivO= 0,757 aMsvitro+ 1638 ‘.
17
0,..6.7.9 _ ..7, 1
6
dHS 0,723
vive=
dBvitro- 0,103 ENA=67,7
17
0,827
5,7
7
dMS viv;-0,143
ADF + 116,5
17
0,826
,5,5
8
dMs 0,189
vive=
FA-0,053 Ce11 + 57,5
17
0,908
4,2
9
dMOviVO= 0,847 dMSvitrof 15,4
17
0,737
6,8
10
dMOvivo= 0,729 8!Ovitro+
21,5
1 7
0,662
7,s
11
dM0 viv;-0,151
.ADF +
122,6
17.
0,843
5,4
1
La meilleure équation de prévision ne fait pas intervenir les DIV mais
les matikes azotées et 1’hDF. Il faut être prudent dans l’utilisation de
‘.>
cette équation qui, du fait de leur nombre, donne. beaucoup de’ poi?Ts aux
pâturages naturels d’hivernage 9 forte teneur en a.&&; Lorsque les résul-
tats seront en .nombre suffisant , il sera nécessaire de, reprendre ces cal-
c
culs par saison (hivernage, saison sèche). ‘:
Les équations 5, 6, 9 et 10 font intervenir les DIV. Ri.en que les
c
corrélations ne soient pas très élevées, elles pourraient s’avérer utiles
pour l’étude des bols oesophagieno et dks rkoltes du berger.
. :
‘.
,<
. . . / . . .
. . :.

- 0
Remarque
:' Pour les digestibilités avec concentré, la dF!S vivo dont il a
c
été tenu compte est celle du fourrage seul calculée par différence ; de
même l'analyse chimique est celle du fourrage offert.
B- Résultats obtenus sur les fourrages cultivk
No
Equation de rêgression
N
r
S E
1
dEas vive= 0,462 dP!Svitro-
O,O3.f9~~IA.
.~
i...... 5.4 ~
+ 46,7
0,649‘
: 4,3
2
d?% vivo=..0~503...~~vi~ro+ 3 l-,-3..- -.-.
_.... . 5 4.
.&,.6.12
4,.4.
3
d'40vivo~, 0,490 dNS vi.tro+.3s.~3
5 4
0,623
4,;
.,,
.
.
.
_.. ._ _.,.
-_
4
dMS vivo=0,0742 YA + .50,8'.
54
0,479
4,9
5
dl20 '= 0,446 dIKJ.tro+ 38,7
vivo
31
0,563
497
6
d~~vivo = 0,0812 W + 52,3
31
0,539
4,8
-
L'équation 1 est la meilleure ; l'apparition de l'extractif non'azoté
semble curieuse bien que ce composant de l'analyse bromatologique se retrouve
assez souvent dans les équations de régression. L'équation 2 ne fait inter-
venir que la dMS vitro et la perte de précision par rapport à i'équation 1
est très faible ; même remarque pour 1'Èiquation 3. 1P.sèrai.t donc judicieux
d'utiliser Tes ..&+uat.io.ns. 2...et...3..rp.aus".....pr~~o~"~.
Les..dHS...vivo. e.t .dI40 vivo des
cultures fourrageres.
C- Résultats obtenus sur des pailles
:./
Le vocable pailles recouvre un ensemble assez'disparate comprenant :
.
- des pailles de riz, de mars ou de mil, avec ou sans concentré
- des pailles de maïs traitées â 1'urCe
- des Pailles de mil traitées à la soude, &ec ou sansconcentré.
*
;
22 rkultats de digestibilitcs vivo et vitro Gtant disponibles, il
était difficile de faire les calculs statistiques sur des sous-groupes
dont le nombre des donnees aurait BtE insuffisant.
*. . .
.
. . ./ . . .

- 9
Dans un premier temps, 1~s cal,culs ont étC effectués sur l'ensemble
:
des 22 digestibilités ; les résultats sont les suivants.:
:
I
- ,. _ . <..
-....
.Equatlon
..^ .-
. .
.d.~..~6~resslon
.-.
._”
Na’-’
2
N
r
~$E.
1 . d@ vi;o= ti,90Ïd$jSvitro+ 10,5 -
.
2 2
0,701.
7,5
2
dM0 vive= 1,358 dl!Svitro- 4,9
15
0,663
8,8
3
dMOviv; - 0,516 Li + 80,2
12
0,637
9,7
_..
_ -'-.
_
."
‘r
Ces équations ne sont pas satisfaisantes, l'erreur standard étant très
élevée. La premiere equation est mal& tout la plus intéressante. Il fnu-
drait pouvoir la confirmer en augmentant le nombre des données.
Dans un deuxième temps, les digestibilit& avec concentré ont ètG
éliminées pour ne garder que celles comprenant les pailles seules. ou les
pailles traitées à'la soude ou a l'urée ; les résultats sont rassembles
dans le tableau ci-dessous :
No
'Equktion'de régression
N
r
S E
:
.._
_.
1
4%
= 1,070 dEISvitroC 4,9
13
.0,693
7,6
vivo
2
d~~Ovivo=.
_.
1,13 d~Bvitro + 3,8
13
0,645
7,8
Les équations obtenues.sont peu différentes des equations 1 et 2 du
tableau précédent ; les erreurs types sont similaires.
D- Résultats obtenus sur des aliments composCs
Aucune corrclation significative n'a Gté décelée sur les aliments
compoç&.
Ce fait est peut-être dû Z 1'héterogénéitG de ce type d'aliment
et à la difficuitf de travailler sur des echantillons représentatifs.
. . . / . . .

- 10
Seules sont sorties deux équations reliant la dMO vivo ,î. la cellulose
dans un cas,et à l'extractif non azote dans un autre ~3s.
.
.
_ . . .

<.
.
. - .
.
. . “ . .

.-
.
.
<_
N"
Equation de régression
N
r
S E
. ..". "...
.,
l
1
dM0 viv;-Q,0418 Ce11 + 69,2
2 7
0,594 6,3
2
dMOvivo= 0,0381 ENA + J9,4
2 7
0,422 7,l
.
Ces Equations ne semblent pas appelées rl rGvolutionner 13 nutrition
des'ruminants tropicaux.'
E- Résultats obtenus sur des fanes d'arnchide
Aucune corrélation significative en ce qui concerne les fanes,mais
les rksultats ne portaient que sur 5 digestibilités.
F- Résultats obtenus sur des ensilages
.^.
.."
NO
Equation dc? regression
N
r
S E
1 '.
dE.10 viv'-0,0&02 NDF + 29,7
9
0,671
0,l
-ii n'existe pris d'équationprédictrice
des dHS vivo ou d?iO vive
incluant les résultats du vitro pour les ensilages. Seule l'gquation ci-
dessus faisant intervenir NDF est significative,
-
. . .l . . .

- 11
CONCLUSION
Les &quations Etablies dans les lignes ci-dessus ne peuvent être que
provisoires.
~lles~'.dewo.&..~tre recal.culGas au fur; et .&.me.sure que de nou-
veaux résultats seront disponibles. Il semble que la methode in vitro de
Tilley et Terry soit un bon moyen de prSvoir les coefficients de digesti-
bilité de la matièreis?khe et de la matière organique pour les p%urapes
naturels, les cultures fourragères et les pailles, Cette méthobe ne, semble
pas satisfaisante pour pkdire les coefficients de digestibilité des
aliments composSs et des ensilages.
Quelquefois, 'comme il est montr5 dans les tableaux, certains i'ararrè-
tres de l'analyse chimique sont de meilleurs prgdicteurs des coefficients
de digestibilitë que les_rÉsultats des DIV selon Tilley et Terry.
_.
.- ”
II
-
.
.<

.-.
.

(=) N N E X E
. LISTE DES ABRJ3YIATIONSET DES UNITES UTILISEES
DIV = digestibilitg in vitro selon Tilley et Terry
dPIS vitr,o et dY0 vitro = coefficients de digestibilit5 de la matière
sèche et de la matière organique in vitro (en Z>
i
dMS vivo et dl10 vivo = cocfficicnts de la digestibilitC de la matière
sèche et de la matière organique in vivo (en %>
\\
MS = Yatièree sèches
FI0 = Watières organiques
Y.A = Xatières azotées
Cell= Cellulose brute (mcthode de Vecnde)
Extractif non azot5
NDF = Neutral dttergent fiber
Ron g/kg de matière sèche
ADF = Acid detergent fiber
Li = Lignine
N = Nombre de donnEes
r
= Coefficients de corrélation
SE = Standard error (= erreur-type =
Gcnrt-type
V nbre de données

DIGESTIBILTTE IN VITRO SELOIJ TILLFY ET TF,?RY
.-
-----_-.
La méthode de digestibilité in vitro utilisée au Iaboratcire naticml de
1'Elevage de Dakar est celle de TIUEY et TERRY. Cette kthode a $ts Y;*...
difiée pour la rendre plus rapide et poui- mieux suivre la repmducti‘bilit~
des résultats.
PRINCIPE
La méthode de TILLEY et TFRRY a éte mise au point en Annieterre au GV.SSO
LAND RESEARCH INSTITl.?I'E, I?lle comprend 2 &tapes : di(sestion par l.es nicm-
organismes du rumn suivie d'une dig&zion par la pepsirx en milieu acide ;
cette digestion pepsique complète la digestion mr les ~icroo~ganisrs du
rumen.
MATERIEL
- 2 fioles jaugees de 2 litres
- 1 éprouvette gm.du& de 2 litres
- 1 système d'aspiration du jus de rumen (pompe, crcpine, lx& d'aspiration)
- 2 bacs f 8 portoirs en altu&s
- 2 agitateurs themstatk
- lthem&tre
- Béchers gradu& de 50 ou 100 cm'
- 64 tubes de dipestion (hauteur : l2Om ! dim&re : 52 m
>
- 64 bouchons un trou
pur tube ci--dessus (avec tube en verre et tuy
plastique fendu à la lame de rasoir)
- 1 bouteille de gmz carbonique
- 1 balance au l/lO w
- 28 capsules en silice (diamètre 1 55 mn : hauteur * 27 rm-9
- 1 étuve,
- 1 four à calcimtion,
- 64 creusets en alundm porosité large (dim-&tre : 41 m r haute : '3 m)
- 1 pince à creuset
L
- 1 pinceau 2 balance
- 1 m5.n pour pesée
._
- 2 dessicateurs
- 8 fioles à vide avec bouchon, allonge et collerette en caoutchouc!
- 1 pompe à vide,
..a / . . .

Le jour de lvempl~iy il faut ajouter 1 cm3 de la solution B 2 1.000 cm3
de 1.a solution$j.
V&ifier le pF qui dcit être situ entre 6,8 et 7,@,
2) Soluticn de pe
-.
psine
Cette solution doit 6tre p&paréc au mxient de l~emplci. :
Pepsine 1 : lO,O~~O . 3 l . * 9 r . 0 . . . . . * . a . 0 _1 0 L <I
3.2 g
raoosno.*..

- L
compléter à !?Oc! cm" avec de l'eau distillée.

3) Solution d'acide chlorhydrique dilué
_e.?--
L
Acide chlorhydrique concenth à 37 0 : 200 cm3
- Compléter à 1.000 cm" avec de l'eau hi-distillk.
FDE OPmATOIPF
1) Faire barbotter un volume 1&%ement sup&ieur 2 4 litres de la SO~U--
tien A pkédente avec du gaz carbonique pendant au mmins 30 minutes 2
39-T 0
2) F?$lkvement de jus de rumen
sur 2 ou 3 bovins Fistulés du rumen, ptilever environ 1 litre de jus de
rumes. Les bovins fistu& doivent recevoir une ration constante (ali-
ment LD du moulin) 0 L'abreuvement et lîalimentation des donneurs doivent
être interrornnus au moins 1 heure avant le prglèvemsnt de jus de rumen.
k jus de rumen ne doit pas être prélevc trop bas dans le rumen. Le jus
de ruxn n&lek est fi.16 sur 4 couches de gaze. Dans 2 fioles de 2
litresY placer 400 cm7 de jus de rurwn dans chaque fiole : ajmter 2 ml
de la solution P 2 chacune des fioles et compléter 2 2 litres avec la
solution P. Faire barbotter le contenu des 2 fioles avec du Paz carbo-
nicue pendant un minimn.m? de 30 minutes
.
2 39*C, V&ifier le prS qui doit
se situer entre 6.8 et 7,0,
PXMROITE: : s'il est impossible d'utiliser irru&diatement le jus de rumen,
il faut conserver ce jus à 39*C dans un flacon bouche.
3) Digestion avec le jus de rumen
Après G&age, les échantillons à tester sent broyés au broyeur GONIYRD
(grille de 1 m>. Les déterminations de la mati&e sèche et de la matiière
organique sont effectuées sur ces Êchantillons.
Placer environ 0,5 p exactement pese,'c dans les tubes à digestion. Ajouter
rapidement 50 ml du rr&lan~e salive + jus de rwnen, boucher et mettre à
incuber pendant 46 heures ci 39*C, 8 tubes ne contenant pas d'khantillon
mais seulement le mélawe jus de rumen + salive artificielle sont r&kar-
tis dans les 2 bacs themrostatés. Veiller, pendant ces 48 heures4 2 ce que
des particules d'échantillons ne se collent pas aux parois. Apiter douce-
.

ment chaque tube deux fol's par ji3ur (une fois le matin. une fois le soir).
V&ifier r+üLierement la tem&rature aui doit rester fixée c3 39O -t 0,2OC.
4) Digestion par la pepsine en solution acide
.-.----,--
Aprgs les 4'3 heures de digestion par le r&lan,rre salive + jus de rumen,
ajouter directement dans chaque tubs= 4 cm' de la solution d'acide chlo-
rhydrique dilué nour bloquer l'activité bact&ienne (laisser couler le
1on.g du tube pour nettoyer les parois). Ajouter ensuite 5 ml de solution
de pepsine par tube. Reboucher les tubes et laisser 2 39OC pendant 48
heures. &iter doucement chaque tube deux fois par jour (une fois le ma.-
tir! et une fois le soir),
Filtration
&rGs les 48 heures de di,pestion pepsique, filtrer le contenu des tubes
sur des creusets en alundum mnnt6s sur des fioles 2 vide religes 3 une
pompe à vide (les creusets auront pr&lablement 6t6 tar& après calcina-
tion et refroidissement dans un dessicateur).
TL,es creusets t tisidu sec sont séchés une nuit 3 103°C. Laisser refroidir
dans un dessicateur et peser. Cal.ci.ner le creuset f r&idu sec pendant
au moins deux heures. Laisser refroidir dans un dessicateur et peser.
M s
: rratière sèche de 7'6chantill.on en p/k,~ brut
MO
: mwti&e ovaniaue de l'échantillon en p/kg sec
PE
: prise d'essai en F brut (= (capsule f &hcîntillon) -caps~$.~ vide)
RS
: r&sidu sec en ,o = (creuset t &sidu sec) - (creuset + r&idu sec
témoin)
R S T
: &sidu sec temoin en r (identique 2 ? S mis concerne les tubes ne
contenant sue le n-&lanpe jus de rumen t salive wtificielle)
R O
: r&idu organique en p = (creuset t &sidu sec)- (creuset + cendres)
ROT * résidu organique témoin en g (identique 2 R 0 mais concerne les
tubes ne contenant que le m&nge jus de rumen + salive artificielle)
dYS : digestibilité de la matière s&he en %
dM0 : digestibilitg de la matière Org<anique en %
**o / sm.

1000
---- x 100
PEx.A
Km0
PE x
Ns x
X0
,.. ..-_II.
1000
1000
L-,-”
P--“.---.
e.. - - .-
REMAROUES :
1) Calendrier des opérations
- Lundi
: 8 h 30 : PI-1 de la salive : barbottarge à 3YT sous CO2 de
la salive *
9 h 30 : ptil&~nt du jus de rumen : pH de ce jus *
p&paration du m&nge salive f jus de rumen ;
10 h - 10 h 30 : ptiparation des tubes ex$riment?u.x et mise en
incubation 3 39OC;
vkification de la temkrature (matin et soir) :
witation des tubes (une fois le matin, lune fois
G
le scir) '
peser les creusets + rkidus calci;& de la se-
mine p&&dente ~
- Mardi
: V&ification de la temi&wture (mWin et soir) a,
anitation des tubes (une fois le matin, une fois le soir).;
~~ P?ermedi : Ajouter HC1 + pepsine :,
.
vkfication de la tempkwture et a,yitaticn des tubes
(cf.
Ci-*dessus)
- Jeudi
: V6rification de la teq&-ature et agitation des tubes,
- Vendredi :
Filtration des creusets et mise à l'huve de ces creusets ;
dgtermkxtion des matières sèches et organiques des @CM-
tillons de la prochaine skie.
.*a /
.,,

. . G
- Samedi : ?esée des creusets + &sidu sec :
nes6.e des 6chantillons de la prochaine série y
calcination des creusets + r@sidu sec.
2) Echantillons-r&éti.tion~
_.Chaque série comprend 64 tube-s P$artis en 2 bacs thermostat& soit 32
tubes y.r bac se r5partissCaKt de la m.nii;rre suivante :
4 tubes t&oins (salive + jus de rmen)
.d
C. 28 tubes ex$r&ntaw pour 14 échantillons (soit 2 tubes/&hCantillon/
kelc).
Sur les 14 échantillons, il est fortemnt souhaitable d'inclure un &han-
tillon témin qu'on olacera dCans chaque s&ie, tout au long de Ifann6e ;
ceci permet de vérifier la repmductibilit6 des r&ultzts d'une s6ric à
une autre : on peut ainsi 6limine~ les skies dont les rkultats du
fourrage témoin s'éloiment des rkultats habituels0
Les 14 échantillons ci-dessus sont testés in vitro sur au mins 2 semi-
nes cms~cutives i un 6chmtillon est ainsi test6 sur 8 tubes (2 tubesx
2 bacs x 2 semines).