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PRO&?S RECENTS ï;IIREkISTRES
DjQ?S Li3 DO&W$,DE LA PERIPNEUMOXIE CONTAGIEUSE
DES<BQVIDES. ;
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teanationale des Instrtuts a=
inalrr‘ k*opicale - due4. au 7 OCTOBRE
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La&ratoire natgdnal
de l'E'leva$!? et de...Recherches
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vétérinaires de D&AR-HANN.
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JUIN 1976 :<..tiTi ,
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PROGRES RECENTS ENREGISTRES DANS LE DOMAINE
DE LA PERIPNEUMONIE CONTAGIEUSE DES BOVIDES
A.Kader.DIALLO (x1 et Michel DOUTRE (xx)
-*-**-+.*+-
“$:.
.
La pgripneumonie des bovidés es% une maladie infectieuse,
contagieuse, due à l'action d'un microorganisme appartenant au
groupe des mycoplasmes : Mycoplasma mycoides. Signalée dès la fin
du XIXème siècle en Afrique Occidentale, dès que des pathologistes
8'intéressent 3 la pathologie
tropicale, l'affection a toujours
présente un intérêt considérable pour les responsables de la Santé
Animale (9-21).
L'incidence Cconomique de la péripneumcqie est à la fois
directe et indirecte : directe, par un taux de.mortalité et de mor-
bidité importane, indirecte, p ar les problèmes soulevés lors de la
commercialisation inter-africaine, par le rejet exclusif que manifes-
tent des pays, industriels,
:-'
consommateurs potentiels désireux avant
tout de prok&ger de toute contagion leur cheptel national indemne,
par l'entrave au développement de la traction animale et à la réali-
sation d'opérations de développement (ranching par exemple), etc...
;iF'
La lutte contre la péripneumonie doit &tre envisagée de deux
manières :
- par le biais de la prophylaxie sanitaire, nous disposons
des recommandations faîtes par les spécialistes de la maladie;
- par le biais de la prophylaxie médicale, nous faisons appel
aux vaccins.
Il est à noter que dans le passé, de nombreux pays, la France
par exemple, se sont débarrassés de la maladie uniquement par l'appli- +:
cation, sans doute rigoureuse, des mesures de police sanitaire et
..
Cela 2 une époque OÙ les interventions médicales demeuraient d&
plus sommaires.
Pourquoi donc de telles mesures FS sOnt4k3 r&$lées
insuffisantes, sinon rlLtrsoir43~ sur le cent- africain ? Pour
qui connazt les conditions de J.'élevag-1 qui s'y pratique, la réponse
est assez facile à fournir. L'immensité des zones concernées,
l'indiscipline des Eleveurs,
bien souvent nomades ou semi-nomades,
- -
(xl : Directeur du Laboratoire national de 1'Elevage et de M
vétérinaires (1.S.R.A)
(xx): Chef du service de Bactériologie du Laboratoire national de
~~El.eva~e et de Recherches vétérinaires (I.S.R.A.).

.-
A.
. !::
- 2
.
. . s
une présence administrative diffuse et disposant de peu de moyens
humains et matériels ont fait, et font encore, que les décisions les
plus judicieuses conçues dans les'.centres urbains voient leur effi-
, ,
cacité diminuer considérablement lorsque l'on en vient, en brousse,
aux essais de réalisation sur le terrain. La prophylaxie sanitaire
aboutissant 3 des résultats médiocres et très aléatoires, les vétéri-
naires se trouvent donc obligés de faire appel, et de tout temps,
aux vaccins, faisant ainsi 2 leur tour la même démarche intellectuelle
que l'éleveur maure qui, avec la pointe de son couteau, insérait un
fragment de poumon péripneumonique'sous la peau du chanfrein de son
animal qupil tenai$,,à protéger.
.
Nous évo{uons volontairement ce geste d'un pasteur bien
éloigné des contingences de l'immunologie moderne, comme point de
départ de l'action immunisante. Progressivement la technique, spap-
puyant sur l'acquisition de connaissances nouvelles, a permis la
mise au point des produits actuels, d'emploi aisé, garantissant une
protection satisfaisante.
Il est reconnu que de par la nature même de leur constitution
les mycoplasmes sont de mauvais agents immunigènes; l'expérimentation'
a également montré que les vaccins tués obtenus à partir d'eux, sont
3
pratiquement inefficaces. Il était donc impératif de pouvoir disposer
de vaccins vivants. Mais l'inoculation sous la peau d'un bovin d'une
culture de M.mycoides provoque, si la souche n9est pas suffisamment
atténuke, le développement explosif in situ du germe avec apparition
concomitante d'un oedème extensif (réaction de Willems) qui peut
entraPner la mort; dgoù besoin absolu d'utiliser des souches vacci-
nales suffisamment atténuées pour ne pas produire de réactions
fâcheuses. Mais aussi, une atténuation excessive&btenue,
par de
trop nombreux passages, dépouille les souches vaccinales de leur
caractère immunigène, d'ou la nécessité de faire appel à des souches
à la fois ni trop virulentes, ni trop atténuées. De plus, pour une ,. ?
souche choisie, la quanti-t& minimum de microorganismes vivants,
présents dans une dose Va#ccinale, doit être supérieure ou égale ,,$
un nombre que des tests ont déterminé. Au dessous de ce seuil, :,.;#l
l'immunité sera fugace ou même nulle. Un vaccin, de titre sui'PFLFarrs
en fin de préparation, peut voir ce dernier s'effoe ;tll z&cka&w
et devenir totalement inefficace lors de l'errrploi. La stabilité
apparazt comme indispensable. Enfin, la dur& de+&.Quwnit6 conferée

:
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j.., :_
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‘,
. .
- 3
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. . . .
:
.,.
p.:.
,.
&des animaux vaccinés doit pouvoir être~kppréciée expérimentalement
. .
,$,'I y ..,.
i$
in vivo et pour cela, la reproduction de la maladie naturelle doit
'I .
être maîtrisée.
En matière de vaccins péri&eumoniques,
les progrès observes
~ ., .-
ces dernières années ont consisté h ,'apporter une réponse adéquate
?
aux différents points qui viennent d9être soulevés. "'
R
l- Choix de la souche vaccinale :;Après l'essai
.v
de la souche
1
KH3J dans différents Etats africains, ce'fut finalemknt la souche Tl
au 44ème passage qui retient les suffrages. KH3H totalement avirulente,
ayant dGçu par la faible qualité de l'immunité confkée et par la
possibilité de favoriser la creation de porteurs chroniques ("lungers'!)
au contact de sujets infectants (2). Son utilisation , à la rigueur
préconisable sur des races très sensibles, sous-entend deux interven-
tions par an :
.'
2- Obtention d'un titre convenable en microorganismes : Ce
but est atteint par l'emploi d'un milieu de culture riche qui utilise
les ingrédients suivants : macération de coeur, tryptose, glucose,
glycérol, acide oléique, extrait de levure préparé extemporanBment,
sérum de cheval décomplémenté. La stérilisation est.effectuée par
.
filtration sur plaques Seitz EKSI après clarification préalable sur
Seitz AS. Dans la fabrication du vaccin, on utilise une culture de
'Y r,
72 heures à 37*C. ensemencée avec un inoculum lui-même âgé de tc: h.
dont le volume est égal au minimum au l/lO de celui de la future
culture. Au cours des dernières 24 heures, les ballons sont portés
sur agitateurs magnétiques (3-S).
.< ?
:;
Le maintien du titre pendant la conservation est respecté
.
grdce au recours à la lyophilisation. Les vaccins liquides voyaient
en effet leur titre s'abaisser très vite par chute du PH du milieu,
d'oh nécessité d'une utilisation rapide. La lyophilisation a permis
de pallier cet inconvénient majeur, tout d'abord avec le vaccin
d'ovoculture T3, écarté en partie parce que accusé par certains de
produire des accidents pulmonaires liés à des phénomènes d'emboli-
sa-t-ion (81, puis avec les souches KH3J et TI. La viabilité du produit
lyophilisé est garantie si la dessication est poursuivie à très
*.
basse température, ce qui n'est possible qu'avec certains types
d'appareils
dont il faut pouvoir disposer (24). Le lait écrém6 sec
i
constitue le support d;: lyophilisation retenu. L'adjonction de
.*. /. . .

i-
.*.
- 4
.
.
,
sacharose ou de glutamate de sodium n'a pas présenté d'avantages
i...
particuliers. La répartition se fait;+sous un volume de 5,s ml. par
. .
flacon de type pénicilline de 20 ml."
En fin de lyophilisation, le titrage, par la méthode des
. . ..I.,;'
dilutions, du vaccin reconstitué donne une valeur comprise entre
*
~CI* et 10' unités viables par ml. Ce titre est égal à celui des
meilleurs lots de vaccin-culture mesuré au moment de leur wndition-
"
nement. On sait que la dernière Réunion du Groupe PExperts FAO/OIE
OUA a retenu,
7
en tant que norme minimum, 10 unités viables/ml.
La conservation 2 -2O'C. permet un stockage d'au moins deux
ans, Cette condition est réalisée au laboratoire. A + 4*C., le pro-
duit maintient son titre pendant 4 à 6 mois. Des expériences ont été
menées, en 1974, pour caractériser la potentialité de résistance à la
chaleur. Un vaccin titrant, en fin de lyophilisation, entre lO* et
10' unités viables/ml. voit son titre tomber à 107 apres 14 jours de
conservation à t 45OC. Fassé ce temps, le produit devient complète-
ment inutilisable. A 35'C. après 21 jours de conservation, le titre
.
demeure voisin de 107, pratiquement 14 jours constituant une .limite
i-
prudente de coneervation:'à cette température. A 25.C., il est bon de
ne pas dépasser 21 jours de stockage, L'ensemble de ces conditions
doit être prés,nnt à l'esprit des utilisateurs qui,'p&r manque de
moyens, seraient enclins à limiter le respect de la chaîne du froid
entre le moment de la réception du vaccin et son inoculation à
l'animal (6).
.-
5 ,*
3 - Contrale de la valeur de l'immunité : Dans le passé, les "';Y'
an&Faux
.
vaccintls au laboratoire étaient éprouvés par inoculation sous- 'y
. Gj.,, ‘.?y%
cu'%née d'une culture d'une souche pleinement virulente,$solée
d'une
lésion fraîche. L'apparition d'une lésion willemsienne $j.inait 12
non développement ou la rupture d'immunité, dans le cas contraire,
'f,
T;.
l'absence doedème signait lvimmunité.
Mais l'effet de Wixlem$ pouvait
difficilement &tre assimilé à la maladie naturelle et les chercheurs
butaient contre l'obstacle de la reproduction expérimentale de la
péripneumonie. Désormais, grâce aux travaux wstralians, cette hypothè-
que est levée. L'inoculation intra-trachéale de broyate de -iLa),
faite dans des conditions bien préçises,
permet le t$éclsnchement de
l'affection chez des sujets sains, sensibles.
+;ji
Aussi peut-on actuellem& effectuer aisément des tests
*
>
d'immunité, selon le principe dés expéri9rices';""irircontact'I
mises au'
* ..y:.,"A. .

point en Australie (7). Un lot d'animaux, *vaccinés depuis un an par
exemple, vit en cohabitation stricte avec un nombre égal de sujets
infectés 'expérimentalement depuis deux semaines, en présence de
témoins non immunisés. La maladie se propage des animaux infectants
. !
aux témoins. Les bovins vaccinés doivent seuls survivre en fin d'ex- ~:~;'.~.:~~
périence , Ce type d'Épreuve est bien sQr long et collteux à réaliser, :'*Y"
4
et exige les infrastructures indispensables.
Dans ces conditions, les épreuves, effectuées au cours des
années 196'8 et 1969 au laboratoire, ont démontré qu'une période de
protection minimum d'au moins un an pouvait être assurée. 14 mois
apres la vaccination, 90% des animaux sont encore protégés (3).
4- Vaccins mixtes : Pour diminuer et le travail sur le
terrain et la répétition des séances de vaccination, l'utilisation
des vaccins mixtes offre un intérêt certain.
Un mutant streptomycine-résistant de la souche T1/44 a été
obtenu afin de préparer un vaccin$&nixte péripneumonie-peste bovine
$& et la valeur de l'immunité conférée contre les deux affections a été
,.
%.G$tudiée (4-20). Aux concentrations d'antibiotiques utilisées au
laboratoire de Dakar, dans la préparation du va,c.cin antibovipestique
:&
""'.&
'y+ . ,.,..<.>. ,
de culture cellulaire, il a été montré que la~+@$&che T1/44 peut être
parfaitement incorporée à ce vaccin mixte, sans chute du titre en
.'.:y
mycoplasmes, titre évalué après lyophilisation. Un+Gaccin trivalent
,<..
,, 1...;<,..; .J$
&nti péripneumonie-peste bovine et charbon bactéridfen, a été préco-
nisé au Tchad (23).
5 - Innocuité des vaccins préparés avec la souche Tl : Le
_I
lieu d'inject&n préconisé est le tiers supérieur de la région
costale où le vaccin est inoculé (1 ml.> par voie sous-cutanée. Pour
être admise, une réaction post-vaccinale doit être observée par un
responsable competent car trop souvent, de fausses réactions vacci-
nales sont rapportéês, dont l'origine ne résiste pas à une enquête
..;:
menée de façon scientifique (absès, inoculation intra-musculaire,
non respect du lieu d'inoculation, désir de wir appliquer un trai-
tement ou de recevoir une indemnisation, etc...)Quoiqu'il en soit,
il est indéniable que le vaccin Ti peut produire des 'rhactions
b .
vaccinales chez de,g.;l-taurins particulièrement sensibles (Togo, CESte
y, ,.: .
d'ivoire (10-13). &$Si est-il recommandé de ne proc6der à @ géné-
&&y
ralisation d'une campagn@G~u'après exécution d'ess&s sur d?‘petits
nombres de têtes. Les troupeaux pilotes choisis doivent être. vfsitb
15 jours après la vaccination, afin de déceler et éventuellement

de traiter par la Spiramycine
ou le tylosine ou le novarsenobenzol,
etc... toute réaction post-vaccinale à caractère envahissant. Ces
risques sont pratiquement inexistants lorsque l'on s'adresse au
.
cheptel zébu de la zone sah~lienne (Sénegal, Mauritanie, Haute-Volta,
etc...).; pour ces animaux, l'innocuite de la souche Tl est pratiquement
:- Y.,
i
absolue. Rappelons qu'une réaction locale de 5 cm., ne manifestant
aucune tendance à liextension,
est normale et qu'elle ne doit pas
d
inquiéter (51.
.'L .c,"..v,.*
mous nous sommes volontairement étendus sur les pro&s réa*-
lis&s dans la pr&paration des vaccins antip&?ipneUmOniqUes CW les
résultats obtenus ont une incidence directe, essentiellement pratique
'
.,-
, . ..>'
et immédiatement utilisable dans la réalisation de campagnes de pro-
~ y
phylaxie nationales ou inter-états. Les conséquences de telles actions
sont encourageantes. Ainsi au Senégal, le nombre de foyers d&larés
en 1973 s'élevait à 4, en 1974 à 1, en 1975 à 1, alors que la migra-
tion vers le sud, ,due à la sécheresse des troupeaux de Mauritanie
faite dans des conditions souvent difficiles à cont&ler, pouvait
k“:'
laisser craindre une recrudescence de la maladie (5).
9.i:.
,.
En dehors de l'aspect prévention, l'étude de la p&i.pneumonie: s
a connu ces dernières années d'autres développements qui méritent
:,:y
d'être soulignés. Les méthodes sérologiques de diagnostic ont été affi-
nées Ci?) parce qu'elles ont bénéficié de techniques déjà mises au
point dans d'autres domaines (microtechniques en fixation du,&omplé-
ment (221, immunofluorescence (151, emploi d'autoanalyzers type
Techniccn, etc... >. Si l'application des recherches sur l'allergie
s'est avérée décevante (6-14-28) par contre la structure de M. mycoides
a été précisée (27) et le rE‘le tenu par les différentes immuno-glo-
bulines a été révélé par l'analyse immuno-électrophorétipue (12-$J6)
l
e t c . . .
,;
SI
;y
u
‘,‘Y . *
*
Est-ce à di$e qiren matikre de péripneumonie bovine tout . *
est connu ? D'aucuns le prétendent... En fait, nous ne partageons"'
pas totalement une telle position... Il reste en réalité un champ,
difficile à aborder, qui a donné déjà li,eu à de nombreuses-ries,
.z *.i;.
*.
reposant sur des expérimentations pas t&@jours reproductibles, et où. +
.. ..i.
les avis divergent : li+,,sZS,git
de la pathogènie. Pour l'affection à
M.mycoides,
comme pour,:'$nombreuses
autres affections dues à des
Mycoplasmes, ce domaine demeure encore partielleflent ou totalement
inconnt (Congrès International sur les Mycoplasmes de l'fic>mme,
< .,r . : ;.y:'
$,& 5 ::.' .:
.

i
,.
1
.*:
- 7
. . ,'
*pi. :
%:..:.y des Animaux , des VCgétaux et des Insectes, Université de Bordeaux ,,:;%a
II-17 septembre 1974). Nous ne traiterons pas ici de cette
question, aussi renvoyons-n3us le lecteur à quelques références
Y. récentes choisies dans la littérature qui intrgduisent le sujet
a
.,.".ct constituent une mise au point actuel de la question (6,11,16,18
.*
I
.';19,25).
I
‘8
d
1
‘:
*.::. :<’
*
.
i
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*

B I B L I O G R A P H I E
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-
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philis& px@&s à l'aide des souches KH3J et Tl. Bull..3I&
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générai& de l'OIE, Paris, mi 2969.
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vaccin antip&?ipneumnique iyophilisé pr&xré à l'aide de la
souche Tl. Rev.Elev.Méd.v&t.Pays
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: ,:
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1975.
. y
, "..;-
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L
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*'
mai 1969.
"'Vu,; ,,
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. . .
$3.
'r:
: '
5
";
.::*+ q.*:. I
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?.
'l&"_.
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.
_ .:i:
-
:
*.+
7 )a
-'Y.
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c
péripneumonie.-XI,Un
vaccin viant mixte antibovipestique
antipéripneumonique inoculé en un seul temps.Conceptian,
,
production, contrôles~~z-Rev.Elev.Med.vét.Pays
trop.,1970,
1,
23 (21~143-162.
‘1. '.*Y
'..I
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mycoides et la p&ipned
contagieuse bovire.Situation
parmi les Hycuplasmes des
animaux,enseignemen,ts
&yidémiologiques,
immunologiques et
patho@ique&. -Bull.Soc.Sci.vét.&
Méd,comp.,Lyon,l$70,E.
(6):519-629.3
!S
/
. . . .,.

1.
.
.

,
, . .
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immunologiques sur la péripnêurnonie.XIV.
Description de deux techniques applicables sur le temain
pour le diagnostic de la maladie.-Rev.Eiev.M&d.vet,P.l$s
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contre la peste bovine, la peripncumonie et le charbon
bactéridien.-aXev.Elev*MGd.vgt.Pays
trop.,:974,27_."..w (:;.):335- .:::;
395.
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bovine.Evolution
des techniques et applications pratiques
actuelles-- Re~~.~lev.l~éd.s:i~.t.Pays
1974,27 (2):145-161.
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of cattf.e with
mycoides by nasal
383-386,
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Proceedings 19th Korld vét.Congress, Mexicq.City,1971,1
: ,.
348-3511.
.'
.
27 - STONE,S.S.,RALIti,S.
-1mmunoelectrophoretic
analysis of M CO lasma
mycoides var,mycoiàes.-Infect.&Immun.,lY7?,7(6):9
2-930.
-+F----
; +2 8 - WINDSOR,R.S.,MASXGA?W.N.
,BOARER,C.D.H.-A single comparative
%Vi .'il
a:, .,
intradermal test for the diagnosis cf CBPP,-Res.vét.Sci.,l974,1
. '..,/Iy
1974,-g (1) a 5-23.
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