I,S,R.A,/D,R,P,S,A, - - - - - - - - - - ...
I,S,R.A,/D,R,P,S,A,
- - - - - - - - - -
LABORATOIRE NATIONAL,Dt L’eLEVAGE
ET DE RECHERCHES VETERINAIRES
- - - - - - - - -
B.P. 2057 - DAKAR/HANN
NOTE SUR LES INFEfiTIONS A COXIELLA BURNETI
CHEZ LES BOVINS AU SENEGAL
ENQUETES SERO-EP IDEM1 OLOG 1 QUES
P A R
KONTC, M, ; NDIAYE, M. ET NDIAYE, A,M,S.
REF, ~3358 /LNERV/PATHO, INF,

- l-
R E S U M E
Le statut immunologique des troupeaux bovins sénéga-
lais vis à vis de la Fièvre Q est étudié. Le taux d'infec-
tion parait faible et s'élève à 0,91 p-100, avec un pic
observé dans la Vallée du Fleuve Sénégal (zone 61, la basse
Casamance (zone 1) et le Sine-Saloum (zone 5) paraissant
quant eux indemnes.
P
Les cas positifs sont toujours trouvés
associés à des phénomènes d'avortement. Le rôle épidémiolo-
gique des tiques parait évident.
M O T S - C L & :
Sénégal - bovins - reproduction - infection -
Fièvre Q - Coxiella - sérologie - épidémiologie.

La Fièvre Q est à l’origine, dans les pays développés, d’acci-
dents pulmonaires et d’avortements chez les bovins, sans toutefois susci-
ter une trop grande inquiétude en milieu éleveur (français en particu-
l i e r ) , sur le plan sanitaire et même sur le plan économique. (8)
Au Senégal, Coxiella burneti, l’agent de la maladie, a été isolé
de tiques prélev6es d ‘abord sur dromadaires (en provcnancc dtb Mnur i tanic)
en 1948, puis sur bovins sénégalais en 1958 (9). Par la suite, des enquê-
tes sérologiques intéressant l’homme et plusieurs espèces animales (Zoo-
nose o b l i g e ) , domestiques et sauvages, o n t eté e f f e c t u é e s p a r l a faculte
de Médecine de l’Université de Dakar (9) ; un taux d’infection de 1,6 p.100
a ainsi été trouvé chez les bovins tandis que des singes capturés loin de
toute contamination humaine sont reconnus positifs à 6 p.100.
ROUX et BAYLET (9) admettaient comme probable la circulation de
C. burneti parmi les tiques et certains animaux sauvages, réservoirs d’in-
festation pour le bétail et l’homme.
L e p r é s e n t t r a v a i l a p o u r o b j e t l ’ é t u d e d e la prévalcnce actucllc
de la fièvre Q dans le cadre des recherches générales sur les maladies
affectant la reproduction chez les bovins au Sénégal, incluant l’idcntifi-
cation des facteurs de risque.
MATERIEL ET METHODES,
I-
M A T E R I E L ,
1.1. - MATERIEL ANIMAL.
1,‘enquêt.e nationale concerne aussi b ien l e c h e p t e l b o v i n nutoch-
Lone (z&bu Cobra en rbgíons Nord du pays, Laurins Ndama ;III Sud CL 11 l'I'st,

métis Djakoré au Centre, en élevage extensif classique ou amélioré) que
les animaux importés (taurins Montbéliards et zébus Pakistanais, en éle-
vage moderne laitier dans la zone des Niayes proche de Dakar).
Les animaux de plus de 6 mois d’âge son .t concernés.
1.2. - PRELEVEMENTS.
- Des tubes sous vide pour prélèvement sanguin, modèle "Venoject"
s o n t u t i l i s é s .
- Le sérum fourni par le sang après repos ct centritugüliuii est
conservé dans des flacons type "pénicilline", identifiés, con-
gelé ou à défaut, maintenu sous froid jusqu’au retour au Labo-
r a t o i r e .
- A i n s i , 1.505 prélèvements ont été effectués sur l’ensemble du
t e r r i t o i r e n a t i o n a l .
II -
MÉTHODES.
11.1. - SUR LE TERRAIN.
- Le territoire national est divisé en 8 zones expérimentales
s u r l a b a s e d e l ’ h o m o g é n é i t é é c o l o g i q u e , d e l ’ e f f e c t i f d u
cheptel et des pratiques agro-pastorales.
- La dispersion topographique du cheptel sur chaque zontv tietcr-
mine le choix des points de collecte.
- Les opérations se déroulent tôt le matin afin de libérer rapi-
dement les animaux allant au pâturage.
- Après contention, le sang est prélevé par ponction jugu laire
au "Venoject".
- L’extraction du sérum a lieu l‘après-midi, après repos en gla-
c i è r e p u i s c e n t r i f u g a t i o n ; il est conservé dans un flacon bou-
thé, é t i q u e t é , indentifié et placé dans une glacière, à défaut
de congélateur.

- 4 -
- Pour toute femelle prélevée, outre les éléments habituels
d ’ i d e n t i f i c a t i o n , i l e s t n o t é : le statut maternel (nullipare,
primipare ou multipare), le statut sanitaire individuel (nom-
bre de mise-bas vivante : veau vivant a la naissance, nombre
d’avortements
: mort-né ou nouveau-né mort avant 48 heures,
e t l ’ i s s u e d e l a d e r n i è r e m i s e - b a s ) e t l e s t a t u t s a n i t a i r e d e
troupeau à travers lequel peuvent être identifiés certains fac-
teurs de risque de transmission des germes abortifs (fréquence
des contacts bovins-petits ruminants, la traite des femelles
par les mêmes personnes ou non, l’existence ou non d’une mi-
c r o f a u n e d e r o n g e u r s s u r l e s s i t e s d ’ é l e v a g e , l ’ i n f e s t a t i o n
des animaux par les tiques, les manifestations de pica dans
les troupeaux.
11.2. - AU LABORATOIRE.
- Les sérums parvenus au Laboratoire son t P‘lacés dans un congé-
lateur, constituant la sérothèque.
- Les examens sérologiques destinés à rechercher les anticorps
témoins de l’infection à coxiella burneti mettent en œuvre la
méthode classique de fixation du complément, type Kolmer (cor-
respondant à une fixation à froid) en micro-réaction sur plaques
avec l’antigène des laboratoires Rhône Mérieux (1). Compte tenu
d e l a sp&cificité d e l a mbthodc, n o u s rctcnons, ai.nsi. (III~! lc
suggèrent les résultats expérimentaux de PLOMMET et al, la di-
lution au l/lO comme seuil de positivité (8).
RESULTATS,
I-
DONNÉES ÉPIDÉ~~I~L~GIQuEs,
1.1. - CARRIERE DES REPRODUCTRICES.
- Nombre de femelles a une mise-bas vivante X\\L rnc:in:; tt R ‘:I~;I~I
( P%.a’m :p- .+ -%=--q
jamais avorté ‘: cette analyse intéresse 836 reproductrices ré-
p a r t i e s d a n s t r o i s ( 3 ) c a t é g o r i e s e n f o n c t i o n d e l ’ i n t e r v a l l e
de temps séparant la dernière mise-bas de la prise de sang :

- 5 -
. prise de sang 0 à 3 mois après mise-bas (M O-3) : 28,09 p-100
. prise de sang 4 à 8 mois après mise-bas (M 4-8) : 27,15 p-100
. prise de sang plus de 8 mois après mise-bas (M > 8) : 49,64 p.100.
EJUA?. + Pub-n. -P ns.&!.&* .)
- Effectif des femelles n'ayant jamais avorté
l'analyse concerne
1.328 femelles :
. multipares :
37,12 p.100
. M O-3 mois :
14,53 p-100
. M 4-8 mois :
17,09 p-100
. M > 8 mois
: 31,25 p.100.
- Effectif des femelles ayant avorté au moins une fois : l'ann-
lyse intéresse 80 femelles :
. M O-3 mois :
22,50 p.100
. M 4-8 mois :
17,50 p-100
. M > 8 mois
: 60,OO p.100.
- Taux de fécondité : c'est le rapport entre le nombre de veaux
nés dans l'année (repéré par l'intervalle de temps mise-bas/
prise de sang qui doit être inférieur OU égal à 12 mois) et le
nombre de femelles en âge de reproduire (femelles d'âge supé-
rieur ou égal à 4 ans, comme hypothèse de travail), multiplié
par ïO0. Ce taux a été établi en calculant les équations de
régression "Y = bx - a", dans lesquelles y représente le nom-
bre de produits, x l'âge de la mère en années et b le taux de
fécondité. (3)
Ainsi le taux de fécondité par zone expérimentale est le suivant :
21 : 69,l p-100 ; 22 : 78,5 p-100 ; 23 : 79,l p.100 j 24 : 78,3 p-100 ;
25 : 78,6 p.100 ; 26 : 66,96 p.100 ; 27 : 63,46 p-100 ; z8 : 85,5 p-100.
1.2. - DONNEES SANITAIRES DE TROUPEAUX.
Afin de permettre une étude de corrélation, les facteurs de ris-
que retenus sont rendus quantitatifs grâce à un système d'indices obtenus
en faisant le rapport entre le nombre de troupeaux positifs pour une va-
riable donnée et le nombre total de troupeaux et la zone.

- 6 -
TABLEAU No 1 :
FACTEURS DE RISQUE ET SEROPOSITIVITES PAR ZONE.
/

l
FACTEURS DE RISQUES (Indices)
% SERO-
/
ZONES
i--
I
CPR
TRA
PAU
TIQ
PIC
POSITIFS
1
0,166
0,ll
0,83
0,22
0,39
0
c- -- 2 ;
0,357 -
0
0,43
095
0,78
0,81
j
3 T--- O,l
0
0,20
0,4
0,6
0,47
._ -__-.
-
-
-.
- - - -
4 1
t
0
0,86
0,86
1
2,45
5 0,286
0
0,71
O,71
1
0
6 0
095
1
095
1
2,04
7
O,20
0,20
0,20
038
0
1,05
8
0,5
0
095
1
0,50
0,81
- ------
- -
0,39
0,076
0,68
0,57
0,65
0,91
II -
ANALYSES Si$ROLOGIQUES,
Les résultats sérologiques par troupeaux, par zone et à
l'échelle nationale sont contenus dans le Tableau no 2. Un histogramme
en donne une représentation graphique.
I I I -
ETUDES A N A L Y T I Q U E S S~RO-~PID~MI~LOGIWI~,
111.1. - TAUX DE FFXELLES SEROPOSITIVES PAR CLASSE D'AGE.

- 7 -
TABLEAU No 2 :
RESULTATS SEROLOGIQUES.
-__.._-_
Ï-
NUMERO DES
NOMME DE
NOUDRE DE
2 DE POSITIFS
2 DE POSITIFS
j
ZONES

!
TROUPEAUX
CAS NEGATIFS
CAS POSITIFS
PAR TROUPEAU
PAR ZONE
t -- - -.--
1

/
l

1
0
I
,
1 ---
--..--
24
25
:i
15
2
16
0,81
0,47
247
2,45
:9
3 9
128
0
3
:5
:511
2,04
51
51
62
33

- 8 -
Pathologie de .-la reproduction
Fievre Q bovine. positive par zone
% s4!wopositivlt6
3
r------------
-
2
1,5
1
095
0
I
I
1
2
3
4
5
6
7
8
Zones
histogramme n
Isra ecopatho.bacterlo

- 9 -
:3
0
1
10
7
1,05
22:
:1
45
72
7
8
73
8
0,81
:5
;
76
11
:8
13
79
6
-.- -_
TOTAL
79
1415
0,91
---. .- .-_-. ._ .I_
-
- âge inférieur ou égal à 3 ans et demi :
0,52 p-100
- âge compris entre 3 ans et demi et 5ans :
1,77 p.100
- âge supérieur à 5 ans
: 0,96 p-100.
111.2. - TAUX DE FEMELLES SEROPOSITIVES EN FONCTION DE LA CARRIERE DE
REPRODUCTRICE :
(tJdu+-s P,-,;p.- t ndlrp-- /J
- Femelles n'ayant jamais avorté 1:
0,54 p-100
- Femelles ayant avorté au moins une fois :
7,59 p-100
- Femelles n'ayant jamais avorté et nombre de mise-bas vivantes
( &-+im;yPu, -t nuJ%.ptulonj
supérieur ou égal à l/:
0,37 p.100.
111.3. - TAUX DE FEMELLES SEROPOSITIVES ET DONNEES SANITAIRES DE TROU-
PEAUX PARZONE.
Le Tableau no 1 donne les corrélations respectives.
D I S C U S S I O N S .
1 - ANALYSE DES FACTEURS DE RISQUE,
- Le contact entre bovins et petits ruminants existe dans la majo-
rité des cas, sans être trop fréquent (1/3 des cas), très varia-
ble en fonction des zones ; il est ainsi inexistant dans lazone 6

- 10 -
pour tous les troupeaux visités, alors qu’il semble de règle dans
la zone 4, ces modes de conduite des troupeaux étant dictés par
des coutumes pastorales. (10, 11)
A i n s i , si le troupeau de bovin est constitué sur une base associa-
t i v e , regroupant les animaux appartenant à plusieurs personnes
sous la conduite d’un berger rémunéré, en général, en nature (lait),
alors que celui de petits ruminants est la propriété d’une personne
seule,
le contact entre les différentes espèces n’a pas lieu dans ce
cas. Par contre, il a lieu lorsque bovins et petits ruminants appar-
tiennent à la même personne, qui les élève alors dans sa concession.
- Dans la majorité des cas, des personnes différentes traient séparé-
ment bovins et petits ruminants, corroborant ainsi les analyses
faites par DIOP (2), FALL (4), SONKO (10) et TOURMND (11) dans le
cadre de leurs études sur les systèmes d’élevage. Habituellement,
le berger et sa famille traient les vaches, en troupeau associatif,
alors que les petits ruminants le sont par le propriétaire lui-même
ou un membre de sa famille.
- L’existence d’une microfaune de rongeurs est en général assez fré-
quente sur les sites pastoraux. Cependant, aucun des 6 troupeaux
visités dans la zone 6 n’a signalé son existence, probablement à
c a u s e d e l ’ a r i d i t é d e s l i e u x .
- L’infestation des animaux par les tiques est fréquente voire régu-
lière dans toutes les zones visitées. La charge parasitaire semble
cependant plus faible dans les troupeaux du Sud et du Sud-Est du
pays que dans ceux d’ailleurs, le Nord en particulier.
GUEYE nous rappelle l’existence de diverses espèces dc tiques au
Sénégal, réparties de façon variable en fonction de leur biologie
propre et des conditions climatiques. (5, 6)
MOREL signale, par ail leurs,
l’infestaiton d’animaux sauvages par
l e s t i q u e s . (7)

- 11 -
- L e s m a n i f e s t a t i o n s d e pica s o n t signalees prcsquc parloul ; p a s
cependant dans la zone 7 qui bénéficie d’un encadrement vétéri-
naire particulier, pour autant que ceci puisse induire cela.
II -
ANALYSES SÉROLOGIQUES,
Le taux global de 0,91 p-100 obtenu atteste d’une infection très
d i s c r è t e , voire quasi nulle (en tenant compte des résultats par excés et
des faux résultats positifs) des bovins sénégalais par C. burneti.
La méthode de fixation du complément a permis d’identifier des zo-
nes où le taux d’infection est relativement élevé, notamment les zones 4,
6 et 7. En tous les cas, les taux d’infection les plus élevés concernent
uniquement les femelles ayant avorté.
Une enquête sérologique réalisée par ROUX et BAYLET (9) chez des
bovins de Dakar et du Ferlo donne un taux d’infection de 1,6 p.100.
I I I - A N A L Y S E S SÉRO-ÉPID~MIOLOGIQUES.
- Les séropositivités les plus importantes concernent les jeunes
femelles pubères, celles qui sont à leur première gestation en
p a r t i c u l i e r . A j o u t e r à c e t t e o b s e r v a t i o n l e f a i t q u e s e u l e s l e s
femelles ayant avorté manifestent les taux d’infection les plus
élevés et l’on aura fait de la Fièvre Q une affection essentiel-
lement abortive chez les bovins au Sénégal, quoique de prévalence
f a i b l e .
- L’examen du contexte sanitaire des élevages révèle que le taux
d’infection à Coxiella et celui de l’infestation par les tiques
varient dans le même sens ; ce qui corrobore l’importance des
tiques dans la chaine épidémiologique de la Fièvre Q. (9). Dans
cc domaine, se rappeler que la présence de tiques est autrement
p l u s s i g n i f i c a t i v e d u p o i n t d e v u e q u a l i t a t i f (biologie p r o p r e ,
pouvoir pathogène) que quantitatif (la charge parasitaire s’en-
t e n d ) . ( 5 , 6 ) .

,
__-- _..__.
- 11 -
C O N C L U S I O N S ,
La Fièvre Q existe chez les bovins avec cependant une pr6valcncc
qui a été et demeure faible ; elle détermine des avortements chez cette
espèce.
Les tiques semblent assurer l’entretien et la propagation de
l’affection au niveau de la population bovine, et l’évolution de la ma-
ladie semble liée à celle des tiques.

- 12 -
BIBLIOGRAPHIE
l-
DELCUEILLERIE, J., 1984 - Données récentes sur la Fièvre Q : son
incidence sur les avortements bovins en Loire-Atlantique, Thèse
Doct. Vét., Nantes, France, no 29.
2-
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CRZ de Dahra. Mémoire de confirmation. ISRA/CRZ-Dahra/Oct, 1987.
3-
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mique de la pathologie de la reproduction des bovins en Afrique ccn-
trale notamment de la brucellose. Thèse Doct. d'Etat ès-Sciences Nat.
Unversité Paris XII Val de Marne. Septembre 1988.
4-
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tion, performances et contraintes. Mémoire de titularisation - ISRAj
CRZ-Kolda/Décembre 1987.
5-
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PARASITO./LNERV/Décembre
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6 -
GUEYE, A. -
Incidence de la sécheresse (1972-1986) sur la distri-
bution des tiques au Sénégal. Réf. no 23/PARASITO./LNERV/Mars
1988.
7 -
MOREL -
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d'animaux sauvages. Mém. I.F.A.T., 1956, 48 : 229-232.
8 - PLOMMET, M. j CAPPONI. M. ; GESTIN, J. et RENOUX, G. - Fièvre Q
expérimentale des bovins. Ann. Rech. vétér., 1973,
4 (2) : 325-346.
9 -
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sioses au Sénégal. Communication aux VIIème Journées médicales'de
Dakar, 1973.
10 -
SONKO, M.L. -
Contribution à l'analyse du fonctionnement des sys-
tèmes d'élevage en basse Casamance : étude monographique des modes
d'appropriation et de gestion des ruminants dans le village de Bou-
landor (région de Kalounayes). In : "Etudes et Synthèses de ~'IEMVT~',
20, 1986.

- 13 -
11 -
TOURRAND, J.P. -
Les systèmes d'élevage du Delta du Fleuve Sénégal.
Méthodes d'analyse, typologie et élements relatifs au fonctionne-
ment de ces systèmes. In : "Etudes et synthèses de l'IEMVT", 20,
1986.