RAFTORT DE MISSION ExFER- D' DE KAEDI (Rép. DE ...
RAFTORT DE MISSION
ExFER- D'
DE KAEDI (Rép. DE
Cette mission effectuée pour le
e de l'Or@sation pour la mise
envaleurduFleuve
Sénégal dulOaul4 féwr
1978 avait pour objet l'analyse
technique des résultats des essais d'embouche
isés et en cours dans lknité
d'embouche expkimentale de kédi (mjet fac
CD.73/VI/WS ; convention
911W73).
OWEiCTIFSDEYOLUSAL'UNI'IEDE
KAEDI
1
/
Ilestbondemppelerr~pidmentl ~sbutspoursuivisparcetam&age-
ment. Mise en place coumnt 1975, lknité de Ka di se proposait de pratiquer une
ttmbacheMba.gère à partirdes seulescultxxtw fourmgkes obtenues en pemmence
sous irrigation. A cette date, si des conna~issa ces solides dans le dmxine de
llembouche intensive étaient acquises au S6néga .etauMalià pa&rdediff&ents
pmduits et sous-pmduïts de cultures vivri.ères et industrielles, les données
concernantl'~tieà~irdefo~evert
étaient très fmgmzntaires sur les
plans techniques et économiques. Cette unité de ait apporter des éléments de répon-
se à un certain rmbre de probl&es dont la sol *ion pamit indispensable à la
P
mise en place des projets de plus gmnde enverg Y%.
DESCRIPTION !3CkMME DE L'UNITE
Sit&e à 10 km à l'Ouest de kédi e Jxx&mduFleuve S&égal,
entièrement cl8turée et d'une superficie totale de 9,s ha, elle est divisée en 8
pamel1e.s d'un hectare et deux parcelles d'un d mi-hecto (celles-ci réservées
au village voisin dans le but de sensibiliser e initier les habitants auxcultu-
ms foumag&?es). Le mde d'irrigation gravitai: e par infiltmtion~est celui
adopté à partir des eaux du fleuve refoul& m caniquemntdansunbassinde
réception.
Lescultures sont faites sur flancs debillons.
Les espèces actuellenent -cultivées sont :
pcrnnis~Ptn?purreum variété Kizozi sur 4 hecto: es (gzpminée vivace)
4
CI. I . . .

2
$tylosantheshumïlis surunha
vignaunguiculata (niébé) su~unhectare,ave~
janus cajan (poids d'angole) en
interrallaire.
un parc de stau&!itian
ec bascule pèse-bétail d'une
superficie totale de 720 m2 a été erm&a&
4 enclos identiques équi-
pés chacun d'un abrewoir de 200 1. Il n'y a ni
eoire, ni &telier, ni abri
pour les animaux,
Delféquipementmécanique complète
e unité dirigée par un Ingénieur
des 'Bavaux agricoles expatrié (responsable du
jet> assisté d'un conducteur de
travaux tractoriste, 8 manoeuvres et un gardien
RESULTATS OEIENJS - ms
Avant de traiter les r&uJ.tats conc
les essais d'embouche, objet
de la mission, il convient de présenter mpi
ceux concernant les cultures
fowT33gères.
Grace à un arrosage hebdomadaire,
apportrruyenmensuelde18oO
à
2 Ooo m3 d'eau et un épandage à la plantattin
après chaque coupe de 200 kg de
perlu&e, 150 kg de super triple et 100 kg de
de potasse, par hectare,
le@etumpurpureumvar. Kizozi,mis enpl
avec une densité de 25 000 pieds
parhectare,aproduiten~yenneetenp~
année d'exploitation 140 tonnes
dematikreverteparhectare&~ie en 4
L1intervalle entre deux exploitat
ison : 120 jo- emf3
novembre et février, 60 jours entre mars et j
, 45 jours entre juillet et
septembre.
Douze échantillons de ces permis
ont été adressés au LaJxxwtoire
de Dakar pour analyse bxmatologique : onze y s
parvenus et ont pu &re dosés.
Ces échankillons ont
chaque fois qu'une nouvel-
le coupe entrait en production. A ce titre, m l
leur petit nc&?e et l'espace-
ment des envois, ils constituent la seule
tion possible bien qu'unparfaite
de la valeur des fouwages distribués dans l'es
..* / . . .

i
l
I
I
I
-
,
i
I
, Ir
I I
n
; f
)
1 f
.
.
I
n
, r
I l
-
f
zz
u m h
-
I
CU Fi
t-
N
s cm - N 0 - ô s:
I
i2
u m *
m ii
cn
a T-4
2
m
n
d ci.
Ls
FI 0
CU G f

Tableauno : Regmypmentdesdonr&es enfonctiondeladuréeducycle
--~
etdelasaisondepmdwtion.
IX
.
Saison
Durée
MS
cycle
calculée
WI
MGMAT
M~ENA
Ere
ca
WO
7
50-66
157
209
22,l
91,2
301,2 376,3
105,9 3,2
80
166
/ 230,91 21,2 / 65,4 / 309
/373,1
126
3,3
1
220 j
81,4 2,6
l
155 / 166,91 24,7 / 72
92,5 2,3
l
80
166
188,6 15,1 102
310,4 383,9
z
86,8 1,8
325
170
24,3
98,3
306,9 399,6
89,1
2,lS
c

5
Le tableau no1 rappelle les &sult
s de ces analyses.
Son examen conduit aux constatatio
On note dlabord d'une façon géné
une grande variabilité de données
cxmne en térmigne l~imprtance du coefficie
variation pxté en comp1ément des
moyennes. La variabilité la plus
des matières azotées
totales et digestibles.
Or les travaux menés à Sangalkam,
plusieurs années, sur la
digestibilité et la valeur alimentaire du
et du Pennisetum pwpu-
reum ont mmtré, dans ces deux domaines, lp
ance primordiale que revcSt la
durée du cycle végétatif et dans une proport
mindre celle de la saison au
cours de laquelle s'effectue la culture.
Si on reepe les données pré&
es en fonction de ces deux critè-
res on obtient le tableau n02.
Cette présentation permet de diminu
sensiblementlavariabilité et
drordonner les résultats.
LA~S nouvelles valeurs fourmg&es
rtées dans ce tableau ont été cal-
culées à partu? des rkultats globaux obtenus
ement à l'issue de 19exploita-
tion des séries de digestibilités qui ont rm
une liaison appamment1inéaire
C%TtlWX = taux de MS O/O" et y = valeur fol
Les équations des dro
saisonsèche
Y = - 0,00560 x t 1,495 avec
saison des pluies y = - 0,00298 x + 1,06 avec
On constate alors que le fourrage,
fur et à mesure de son vieillis-
sementsec~rtediffé
En saison sèche, le Pennisetum
s'appauvrit rapidement en azote digestible,
qu'en saison des plties c'est
la valeur foumagke qui s'effondre avec l'a11
entent dv cycle.
. . . / . . .

2 - Le tableau no1 mntre encore que le taux
sèches n'a pas été dosé
pour tous les échantillons ; quand il lfa
s'agit du taux de MS au mment
de l'arrivée au kbmatoire. Il ne
pas à la teneur &elle en MS
de l'échantillon au mment de la récolte.
En effet, les échantillons sont
enusir&guli~ au Laboratok
quelquefois plus de 10 jours apr& leur
Les possibilités de déshydra-
tation ou de shydratation rendaient alors vain
toutes mesures des MS.
Pour ptilier cette lacune,
no1 porte des taux de matières
sèches calculées. Les travaux cités
ont permis en effet dp6tablir
des ajustements statistiques entre le mmbre de
de végétation et le taux de
MS correspondant.
En saison des pluies,
parabolique. L'équation
de la courbe de régression
t 8,kt 115,2.
m saison sèche l'ajustement est
ire et correspond à
Y = 3,8 x + 135,7
x =1+, n = nombre de jours de
En l*absence d'une mesure de rmtièré sèche r&lisée sur place, au m-
ment de la rkolte, nous pensons que ces deux éq
sont à m&m de fournir
me appmxîmtion valable des taux de mtières s'+hes des &hantil1ons.
3 - Une remrque importante ap-ît encore
du tableau n"l. Elle conce
ne les taux élevés et parfois très élevés
Ces taux correspondant en général
double de ceux observés
à Sangalkam. On sait que l'essentiel de
g&&al la silice contenue dans les fourrages.
Cette silice peut avoir une
- une origine constitutionnelle, la
te dans la plante au fur et à
mesure de sa croissance
- ke origine exog&ne, le vent et la pluie soulev t le sable qui vient se coller
sur ltappareil végétatif de la plante cultivée
sol sablonneux.

7
Sur les fourrages étudi&, le 2e c
paraît la plus vrais~le.
Le tableau no2 en effet nrmtre que l'inso
ique est plus élevé en
saison sèche qu'en saison des pluies. Or on
it dans la vallée du Fleuve la
ftiquence des vents tout au long de la
Quoiqu'il en soit, la silic
sible et négatif SUT la
digestibilit6 des fourrages qui en contiennent
s taux élevés. C'est ce qui se
pe6sente fréquemmt SLW les foumages étudiées t qui est alors de nature à mino-
rer de façon plus ou mins eensible les
eur alimentaire q@. ont
été pmduites.
2 -Ehibouchebovine
Deux lots de 15 zébus hxmres et Go
> mXles entiers âgés de 2 2 3
ans et d'un paids myen respectif de 24
2 kl0 @asdedifféren-
ce significative entre eux) sont mis à lq
le 25 janvier 1977 pour six mis.
Ils sont nourris uniquement au pennisetum coupé
fur et à mesure des besoins,
distribué une seule fois par jour, dans la mat
e, sur la base d'envimn 40 kg
par t&e.
Ils sont pesés tous les quinze jours
Le comportement pondéra1 myen des
ux lots figure au tableau no3 et
dans le graphique A.

a
I
Zébus Maures 1
I
Zébus Gobm 2
Date
Cds myen t inter
?p5 moyens
valle
bids pond&&
+ - IC
pids pond&&
-
25/1
245,8 2 16,4
100
100
10/2
242,4 f 16,6
98,s
97,3
25/2
237,3 2 16,2
96,s
94,5
10/3
232,a 5 15,9
94,7
92,9
24/3
230,5 2 16,2
93,7
:
19,Y
15,6
15,l
25,8 32 !?E 51iziz 16,6

8,8
7,8
7,6 10
92,7
10/4
229,2 +- 16',7
93,2
2 3,9 5 17,5
92,2
25/4
227,6 f 17
92,5
2 3,5 -e 7,1
92
XI/5
228,5 f 17,6
92,9
2 4,l * 6,6
92,3
25/5
230,2 2 18
93,6
2 6,4 k 7,7
93,3
10/6
231,2 + 18,7
94
2 8,2 2 7,8
94
24/6
243,8 +- 19,8
99,l
29
+- 8,4
98,7
11/7
247,4 k 19,9
100,6
2 1,4 rk 8,3
99,7
k gmphiqueA illustre parfaitement
les deux lots ont eu un m-
~rtement pond&& parall$le, tout particulièremnt dans la 2ème partie de la
courbe.
I
Du début de l'essai au 2514 les anima
perdentdupoids. Lapente est
d'abord rapide jusqu'au 10/3 puis s'atténue sensib ement. A partir du 25/4 on
observe un renversement de la tendance et la repri e de poids s'installe franche-
ment à partir du 10/6.
i

9
en fin d'essai et a quelques kg
les gains de poids moyens
Tableau no4 : Gains quotidiens moyens par p&iod .
t
Périodes
duréej.
C,Q.M. gr.
Gob?a
25/1 au 10/3
43
- 381
25/1 au 25/4
8 9 j
- 207
25/4 au 10/61
46 j
I
t p, ( t 102 1
10/6 au 11/7
25/4 au 11/7
Ces r&ultats et llallure particul'
des courbes de poids obtenus
sont parfaitement explicables par une variation
la qualité des fourrages dis-
tribu& aux différentes p&iodes, la qualité j
également sur les quantités
spontanéwnt ingérées sur laquelle nous mari<
les quantités distribuées et les refus n90nt
précises.
En effet, lorsque conmxznce 19es
la période froide de la saison sèche au
tes est très ralentie ou complétement ar&tée.
obtenir un rendement à la .
coupe suffisant il a été nécessaire d'allonger s siblement le cycle de production.
Onadoncdistribué, à cettep&iode,unfo~
vieux relativement pauvre en
énergie mais surtout eXtremement déficient en
ières azotées digestibles. D'où
la parte de poids constatée. A partir
fe et le pennisetum repousse avec vigueur. Le
le d'exploitation favorable pour
la production se raccourcit ce qui
valeurdufourrage.
. . . / . . .

10
Sur la fin de la période, nous nous ituons au cours de 19hiveniage
avec une production abondante relativement const
en valeur, qui entraine une
reprise de poids vigoureuse où le facteur croiss
compensatrice joue un file
évident.
CONCLUSIONS CENERAGS ET RECOMMANDATIONS TECHNIQJES
l/ - En zone inter-tropicale, il existe une
ehivernale qui setraduitpar
un ralentissement plus ou moins accentué de la
gétation. Ce fait constitue un
facteur importantetcontraignantpourune exp
ation rationnelle de cultures
fourragères tropicales telles que le pennisetum
En effet, en raison du cycle climmt
et alors même que lvirrigation
reste équivalente, on observe deux rythmes de
tions tr& diffkents. Un
rythme ac&$éti durant la saison sèche chaude,
saison des pluies et les 2 ou
3 mis qui/suivent. Un rythme de production ML
i pendant la saison sèche froide
(hiver) au cours de laquelle pour obtenir les
ités de fourrages nécessaires
à l'alimentation des animaux il est indispens
e ralentir sensiblement le
rythme des coupes. On distribue alors un
de faible valeur et faible-
ment appété.
La façon la plus logique de
in-te pamit êWe de
constituer durant les p&iodes de production s
abondante et sous forme dtensila-
ge des r&erves fourragères qui se substitu
au fourrage habituel chn?ant la
saison froide.
. . . / . . .

Tableau no4 : Mesures de consorsnwtion sur mxton Chivernages 74175)
Extrqolation aux zébus de 250 kg (EST) dont les besoins d'entretien sont de 2,3 UF.
1’ Durée
Consort.
consom. ValeuruE Valeur
déficit
cycle
MS 0/0°
m3utons
P 0,75
consom.
VCXft
e MS
ration
UF
jours
g/kg P 0,75 Zébus 250
sec
24
96
40,9
62,87
2,57
26,7
0,77
1,97
0,33
35
124
41,o
17
2,57
20,7
0,69
1,77
0,53
45
141,8
3,45
24,3
0,63
2,17
OS13
55
138,7
3,55
25,6
0,64
2,27
- 0,03
65
158,9
3,91
24,6
0,58
2,26
OP
67
206,8
4,40
21,27
0,44
1,93
0,37
91
243.; 9
5,67
23,24
0,33
1,87
0,43

12
Une autre solution à plus longue
serait de rechercher des
vari&& plus rkistantes au froid capables
intenir leurs capacités de pmduc-
tion durant les rmis~de décembre,
2/ - Quoiqu'il en soit, et même en
soient résolus les problèmes que
nous vemns d'évoquer, inhéw-rts à
de ces espèces fourm-
gères, on ne peut guère espérer, lorsque le pe isetmi constitue la seule source
alimentaire du iroupeau une production de Gand
D!une façon générale,
caractérisent par
une forte teneur en eau qui limite les
ingér&es .
Concernant la consommtion de ces
dispxxms de 2 séries
de données.
Les pmnières ont éte obtenues au CO
d'une exp&i.men-tation d'mbou-
che foumiagère réalisée 3 Sangalkam durant 1.O
e 76. Laconscmmtionmyen-
ne par 100 kg de poids vif, pour un fourrage
uneteneurmyenne
bla
dist&.bution de 28 % de MS, a été de 2,33 kg MS.
Ces x&ultats sont assez peu transp
les aux conditions de Kaédi,
car , a Sangalkam le fourrage était haché à 1'
, préfané,r@wtidans
des
auges accessibles à tous les animaux et camp
un concentré.
L'autre série de chiffres pmv
i s de consomrration effec-
tués chez des moutons au cours des
Or on admet de façon assez
génémle, qu'à condition d'utiliser la notion de
ids métallique (P 0,751 la
consommtion observée chez le muton serait tmn
sable aux besoins.
Cette hypothèse accepté nous permet
tablir le tableau n"4.
On constate alors que la consommt.
awnte H$uli&ement avec le
taux de matière sèche du fourrage, rmis qu'en
n de la dimimtion parallèle
de la valeur UE', la ration d'entretien ne peut
couverte qu'avec des foumages
de 55 à 65 jours ayant un taux de MS compris e
..* / . . .

13
Une conclusion parait donc évidente. Pour obtenir une production de
viande avec un affourragement de pennisetum, il st indispensable de pr6voi.r une
ccmplémentation adaptée.
ne
Eh outre, on doit veiller à un appo
minéral convenable ce qui/semble
pas avoir été r&lisé au cours de ces premiers e sais.
La solution la plus facile parait d' tiliser un concent& ayant un
rapport MAd/UF voisin de 100 et une teneur en se s minéraux suffisante pour cou-
vrir les besoins des animux.
:
Les quantités de concent& à distribuez journellement devraient &re
suffisantes pour enrichir la ration, mis relati ement modérées pournepasdimi-
nuer la consommtion de pennisetum.
Une autre solution qui pourrait sans oute être que partiellemais
serait de nature à diminuer le besoin en concen ' consisterait 3 complémxrter le
.d
foumage de graminées par un fourrage de légumin
e bien appété et riche en azote
Sgestible.
En *ère approximtion, le foin del niébé parait correspondre à ces
conditions, son seul handicap se situant au 1
d'une productivité relativement
faible.
3/ - Distribuées telles quelles, les cannes de
isetum ne sont en général
qulincmplétement consomées. Les animaux
les feuilles et négligent
en partie les tiges ce qui entraine des refus rel
ement importants. Pour obte-
nir une meilleure consormmtion, il serait nécessa
que l'unité s'équipe d'un
appareil capable de hkher feuilles et tiges de
çon à restraindre le choix des
aJliIIBux.
4/ - Il parait également indispensable de soigner davantage la présentation du
fourrage auxanimaux.
Déposé au sol dans le parc, tel que
tiqué actuellement, la comp&i-
tion des animaux et les souillures que subit le
sont de nature à limiter
.*. / . . .

14
la consonxxWion. Si le foumage n'est pas broyé, es râteliers en nombre suffisant
paraissent un minimum nkessaire, Bris le cas c traire, devraient &XX prévues
des mangeoires adaptées dont la longueur totale evrait correspondre à 0,9 m par
animal.
5/ - Les conditions de s-tabulation pourraient é, lement être am&lio&es. Un abri
serait utile pur pxwtéger les animwx aux heure chaudes de la journée.
6/ - Il est regrettable enfin que l'on n'ait pas disposé de plus de données chif-
frées en ce qui concerne en prticulier lPa:Lime
ation. Sans faire de la recherche
dans cette unité, il aurait été souhaitable quo
COUTS du dérrxkment de cette
opération, le contr3le de l'alimwrtation ait été plus se& pxr mieux cezyner les
résultats techniques et économiques.
Telles sont les principales r%lexio
succitées par cette visite à
Kaédi. Ce premier essai d'embouche a été plein d'enseignements. Nous souhaitons
que les améliorations nécessaires, encore quPell s nécessitent souvant un supplé-
ment d'investissement non négligeable puisse vo' le jour au cours des prwhains
essais.
: