avec le périodique Bulletin de la Société de...
avec le périodique Bulletin de la Société de Pathologie es*otique.
du tome ht’?, no 3, M:ai-Juin 195:S (pages 308 à 311).
,.
CARTE DE RÉPARTITION
DES TRYPANOSOMES-PATHOGÈNES
DES ANIMAUX DOMESTIQUES EN A. 0. F.
Par P. MOIINI~~ (‘)
L’essili de not,ntion carto,grnphiquc des trypanosomes patho-
,gi:nes drs ;~nilrr~~lx dome&ques en il. 0. F., que nous présentons
;l 12 Soc,ic!tk dc Pathologie exotique, n’a point 1~ prétention d’être
dc<finitif et ollrc des lacunes et des erreurs que nous n’ignorons
pas.11 ne vent :l:,oir Ijoarr rrleritc: q11e d e tradnire l e rFsultnt, d e s
prospcy*tions
faites en hrotlsse depuis cle~rx ans par les VMrinaires
tl’4. 0. F. et, de donner nne id& d’ensemble de la r&partition
des trj-panosomcs patho$ncs.
Biffirllltl!.~
rencontr&s.
-
-
Ainsi que l ’ o n t signal6
II. E. Illo~~~~~ (I) et, H. R. F. Cor,rr~a~ (2) il est trhs difficile,
peint-Ctrc mCme impossihlc, de repr&cnter correctement silr une
carte tolls les rcnscignemcnts ddsirables.
I<n erfct . le nombre d’espkes de trypanosomes rencontr@es chez
les animarix domcstiyrcs en Afrique est. tri% grand : Trypnnosonrn
cquiprlatn, Trvptnosomc~ thcileri. Tripm0swin~ mrrnsi. Tryp-
no.sot~,o ?‘hI.7’. Pr. I?ni~ormc),
Trypnnosomn brucei, (Trypno-
smnn siyi~~), T~~~pm~ww~c~
conqolensc.
D’ant,re part, le nombre d’es$33 animales ütteinles est E++
ment imp’ortant : dromadaire, cheval, 8ne, bwuf, mouton, chCvre,
porc, chien, cshat.. Et elles sont rr:ccptives h l’un ou l’autre t:‘pR-
noscime, parLois A plusieurs, d’o?~ infrslalions mixtes possibles.
FJn s o m m e , mat6riellement,
devraient 6tre indiqu& sur une
carte complète, les espèces de trypanosomes, les animaux infest&
par un OU plusieurs parasites, les zones (( d’action )) des &B(rents
trvpnnwomes (qui se chevallchcnt d’ailleurs) ; problème complexe
qki n’est pas p&t de rercvoir une solution satisfaisante.
En CC qui conc’erne la prospekon elle-merne d’autres obstacles
se manifestent :
IO Beaucoup d’animaux (dromadairrs et bovins en particulier) sont
prémunis contre certaines espèces de trypanosomes dans leur zone par-
ticuliére d’habitat, de sorte que les prélèvements de sang restent souvent
négatif2 ators que les animaux sont en réalité infestés.
StiANCES DES 1.9 HAI ET i-o JUIN ~,+5.4
?O<l
._ ‘& ,.,
,
Cet équilibre entre l’animal et le milieu est souvent rompu par le.
‘*@
maladies intercurrentes, In fatigue, la sous-alimentation, les carences
alimentaires..,.
ce qui se traduit par une N crise » pathologique et une
« explosion )) de parasites dans le courant sanguin. Malheureusement
les prospections n’interviennent pas forcément A ce moment-IA.
De sorte qu’il faut examiner un trés grand nombre de lames de sang
cle sujets malades ou sains (apparemment) pour obtenir un faible pour-
centage de résultats positifs qui ne traduisïnt pas l’infestalion réelle,
nettement plus élevée.
Y Les animaux en déplacement, (transhumants ou destinés à l’exporta-
tion) faussent la répartition géographique. l’itr exemple, les zébus du
Sahel, exportés sur pied vers le Sud, arrivent A Atridjan souvent infes-
tés par T. uioa;c. Faut-il admettre que cet h~mopnrasite est iuoculé en
cours de route, ou au contraire est le résultat d’une « sortie » chez un
animal fatigué mais irlftbsté dans sa région d’élevage d’origine?
Pour eviler une errellr ~OI:S ii& tenons pas compte de ces ras
particuliers.
Technique utilisée. -- Yous n’avons pas, en A. 0. F., par
many de personnel, d’&luipes spCcialis<es d e prospec’tion d e s
trypanosomiases animales, de sorte qne les prc%vcments sont
effectués par les vétérinaires à l’occasion tle tonrnfies polyvalentes.
Ils sont ensuite adressk au Laboratoire FtidCral de 1’Elevage
de Dakar pour détermination de 1’espi:ce de trypanosome en
cause. Il est évident qu’un ponrcentage d’erreurs est admissible
l o r s d e l a duterrnination m a i s i l e s t , h n o t r e a v i s , peu 6levh.
Certains examens difficiles à interpr6ter , devraient &tre rompl6tk
par des t,eeis biologiques (inocalat,ions) tinis Ic t,ra\\ail de prospec-
tion deviendrait trop complexe.
En A. 0. F., le Trypn:~son~~ quiperdrrrn (agent de la doarine
du cheval) n’existant pas, nous n’avons pas :t en tenir compte.
Trypanosorntr thcileri, d’auIre part. WI rare c l d e pathog6n&tc<
douteuse. T. unifome, souvenf, confondu awc~ T. rl~rr~. ne m6rite
pas une classification spkiale.
Quant à 1’. simine, son exist,ence reste disclltFc
Aussi n’avons-rions retenu que les clrmtrc grands gro~~pes de
trypanosomes : T. euansi, 7’. vil,rc.~-~rtsrtlbnlli,
?. brucri, 7’. ron-
golense, (lui seuls, sont représenk sur la c,arle. Iles espkes ani-
males infestks y seront intG@es altc~ricnrwnent ce tIui, ù l’heure
a c t u e l l e , s’avkre e n c o r e malais&, d’autnlit ye les’ pr6li:vements
reçus proviennent snrtollt de lmx~fs, chiens, chevaux. Les pots,
m o u t o n s , chhvres, chats ont fait l’objet, tic nloins de recherches.
La limite nord des tsi:-tstls, indicIu~~E: par noIls, est, transposc:e
des cart,es de ri:partition des glossines (Tablies par le Service Wnc:-
ral d’IIy$:ne Mobile et dc Prophylaxie ;le 1’A. 0. F.
310
BULLETIN DE LA SOCdTl? DE PATHOLOGIE EXOTIQUE
Interprétation des résultats. - La lecture de la carte permet de
noter :
10 La vaste répartition géographique de T. vioox trouvé du I 7” de lati-
tude nord jusqu’au 3”etdu 160 de longitude ouest jusqu’au 14’de longi-
tude est, soit du nord au sud, des régions sahariennes jusqu’à la rég on
côtière et, d’ouest en est, de l’Océan Atlantique aux bords du Lac Tchad.
En fait, la zone d’élection de cet hémoparasite correspond à celle de
l’habitat normal du zébu et des métis zébus-boeufs sans Loise.
20 T. evunsi est limité a la zoned’élevage du dromadaire, soit la région
saharienne et pré-sahélienne.
Le dromadaire est pratiquement la seule espèce animale infestée,
encore que le cheval soit réceptif. Mais les cas de contamination des
chevaux sur les bords du fleuve Niger (d’origine cameline) signalés
autrefois n’ont pas été mis en évidence par nous (‘)
30 T. brncei et T. congolense occupent surtout la région comprise
entre le 140 de latitude nord et la mer Il est impossible de différencier
les zones d’élection de ces deux espèces de trypanosomes qui se che-
vauchent, s’intriquent étroitement et ~orr,ecpondent aux regiuns à glos-
sines, insectes vecteurs et transmetteurs.
Les représentants des animaux domestiques les plus caractéris-
tiques de cette zone sont les metis zébus-bœufs sans bosse et les
bœufs sans bosse.
On peut noter une anomalie apparente dans la répartition des
trypanosomes, c’est la présence au nord de la limite des tsé-tsés
de quelques foyers de T. brucei et 7’. congolense, en particulier
dans les regions de Kayes, sud Bandiagara et nord Fada. Suivant
les donnbes classiques, il paraît difficile de concevoir ces deux
espEces de t,rypanosomes en dehors de la présence de tsé-tsés.
Pour l’expliquer nous (mettons deux hypothèses :
a) les tsé-tsés, en certaines saisons, remontent plus au nord qu’il n’est
admis généralement ;
b) certains troupeaux infestés en transhumance dans la zone à glos-
sines sont prospectés par nous plus au nord, à leur retour dans leur zone
habituelle d’élevage.
Ces deux hypothèses ont, à notre avis, la même valeur.
En plus de ces résultats qui peuvent être (( traduk )) de la
représentation @ographique, nous avons inscrit dans la légende
1 e pourcentage d’especes de trypanosomes détectées par rapport
a u x a n i m a u x inPest6s s o i t : T . uivax, 48 O/O ; T . congolense,
~8 o/o ; 7’. Oruwi, lg 010 ; T . evcrnsi, r> o/o.
Ces chillys n’ont q~t’une valeur relal.iw ct seront modifik au
Eur ct Zt mesure des prospeciions.
%
11 C~I, cxrlain, qtte ws clonn6es basks sttr In prospection chez
lcç nnirtxttx drvraient 61rc comphWes par d e s twhewhes paral-
lr!ci: sttt’ I’infwlalion des glossinos srtivanl Ics rcgjons.
eïrONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
(I) HOHNBY (H. IX.).
- Le reli,vemcnt cartograpltique de la rEpartition
des trypanosomiases en Afrique.
(2) COLBACK (H. R. F.). - Notr RU Su*jet de la cart,e des trypanosomiases
itnimales au (Congo Belge etau Ruanda-LJrundi.
Gomile Sclent&ue internationtrl de Ilecherchtq
s u r In ïi~~~I~nnosomin,~r, Lourenco M a r q u e s .
25-30 septembre 1952.
du tome ht’?, no 3, M:ai-Juin 195:S (pages 308 à 311).
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CARTE DE RÉPARTITION
DES TRYPANOSOMES-PATHOGÈNES
DES ANIMAUX DOMESTIQUES EN A. 0. F.
Par P. MOIINI~~ (‘)
L’essili de not,ntion carto,grnphiquc des trypanosomes patho-
,gi:nes drs ;~nilrr~~lx dome&ques en il. 0. F., que nous présentons
;l 12 Soc,ic!tk dc Pathologie exotique, n’a point 1~ prétention d’être
dc<finitif et ollrc des lacunes et des erreurs que nous n’ignorons
pas.11 ne vent :l:,oir Ijoarr rrleritc: q11e d e tradnire l e rFsultnt, d e s
prospcy*tions
faites en hrotlsse depuis cle~rx ans par les VMrinaires
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rencontr&s.
-
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Ainsi que l ’ o n t signal6
II. E. Illo~~~~~ (I) et, H. R. F. Cor,rr~a~ (2) il est trhs difficile,
peint-Ctrc mCme impossihlc, de repr&cnter correctement silr une
carte tolls les rcnscignemcnts ddsirables.
I<n erfct . le nombre d’espkes de trypanosomes rencontr@es chez
les animarix domcstiyrcs en Afrique est. tri% grand : Trypnnosonrn
cquiprlatn, Trvptnosomc~ thcileri. Tripm0swin~ mrrnsi. Tryp-
no.sot~,o ?‘hI.7’. Pr. I?ni~ormc),
Trypnnosomn brucei, (Trypno-
smnn siyi~~), T~~~pm~ww~c~
conqolensc.
D’ant,re part, le nombre d’es$33 animales ütteinles est E++
ment imp’ortant : dromadaire, cheval, 8ne, bwuf, mouton, chCvre,
porc, chien, cshat.. Et elles sont rr:ccptives h l’un ou l’autre t:‘pR-
noscime, parLois A plusieurs, d’o?~ infrslalions mixtes possibles.
FJn s o m m e , mat6riellement,
devraient 6tre indiqu& sur une
carte complète, les espèces de trypanosomes, les animaux infest&
par un OU plusieurs parasites, les zones (( d’action )) des &B(rents
trvpnnwomes (qui se chevallchcnt d’ailleurs) ; problème complexe
qki n’est pas p&t de rercvoir une solution satisfaisante.
En CC qui conc’erne la prospekon elle-merne d’autres obstacles
se manifestent :
IO Beaucoup d’animaux (dromadairrs et bovins en particulier) sont
prémunis contre certaines espèces de trypanosomes dans leur zone par-
ticuliére d’habitat, de sorte que les prélèvements de sang restent souvent
négatif2 ators que les animaux sont en réalité infestés.
StiANCES DES 1.9 HAI ET i-o JUIN ~,+5.4
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._ ‘& ,.,
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alimentaires..,.
ce qui se traduit par une N crise » pathologique et une
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De sorte qu’il faut examiner un trés grand nombre de lames de sang
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nettement plus élevée.
Y Les animaux en déplacement, (transhumants ou destinés à l’exporta-
tion) faussent la répartition géographique. l’itr exemple, les zébus du
Sahel, exportés sur pied vers le Sud, arrivent A Atridjan souvent infes-
tés par T. uioa;c. Faut-il admettre que cet h~mopnrasite est iuoculé en
cours de route, ou au contraire est le résultat d’une « sortie » chez un
animal fatigué mais irlftbsté dans sa région d’élevage d’origine?
Pour eviler une errellr ~OI:S ii& tenons pas compte de ces ras
particuliers.
Technique utilisée. -- Yous n’avons pas, en A. 0. F., par
many de personnel, d’&luipes spCcialis<es d e prospec’tion d e s
trypanosomiases animales, de sorte qne les prc%vcments sont
effectués par les vétérinaires à l’occasion tle tonrnfies polyvalentes.
Ils sont ensuite adressk au Laboratoire FtidCral de 1’Elevage
de Dakar pour détermination de 1’espi:ce de trypanosome en
cause. Il est évident qu’un ponrcentage d’erreurs est admissible
l o r s d e l a duterrnination m a i s i l e s t , h n o t r e a v i s , peu 6levh.
Certains examens difficiles à interpr6ter , devraient &tre rompl6tk
par des t,eeis biologiques (inocalat,ions) tinis Ic t,ra\\ail de prospec-
tion deviendrait trop complexe.
En A. 0. F., le Trypn:~son~~ quiperdrrrn (agent de la doarine
du cheval) n’existant pas, nous n’avons pas :t en tenir compte.
Trypanosorntr thcileri, d’auIre part. WI rare c l d e pathog6n&tc<
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pas une classification spkiale.
Quant à 1’. simine, son exist,ence reste disclltFc
Aussi n’avons-rions retenu que les clrmtrc grands gro~~pes de
trypanosomes : T. euansi, 7’. vil,rc.~-~rtsrtlbnlli,
?. brucri, 7’. ron-
golense, (lui seuls, sont représenk sur la c,arle. Iles espkes ani-
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reçus proviennent snrtollt de lmx~fs, chiens, chevaux. Les pots,
m o u t o n s , chhvres, chats ont fait l’objet, tic nloins de recherches.
La limite nord des tsi:-tstls, indicIu~~E: par noIls, est, transposc:e
des cart,es de ri:partition des glossines (Tablies par le Service Wnc:-
ral d’IIy$:ne Mobile et dc Prophylaxie ;le 1’A. 0. F.
310
BULLETIN DE LA SOCdTl? DE PATHOLOGIE EXOTIQUE
Interprétation des résultats. - La lecture de la carte permet de
noter :
10 La vaste répartition géographique de T. vioox trouvé du I 7” de lati-
tude nord jusqu’au 3”etdu 160 de longitude ouest jusqu’au 14’de longi-
tude est, soit du nord au sud, des régions sahariennes jusqu’à la rég on
côtière et, d’ouest en est, de l’Océan Atlantique aux bords du Lac Tchad.
En fait, la zone d’élection de cet hémoparasite correspond à celle de
l’habitat normal du zébu et des métis zébus-boeufs sans Loise.
20 T. evunsi est limité a la zoned’élevage du dromadaire, soit la région
saharienne et pré-sahélienne.
Le dromadaire est pratiquement la seule espèce animale infestée,
encore que le cheval soit réceptif. Mais les cas de contamination des
chevaux sur les bords du fleuve Niger (d’origine cameline) signalés
autrefois n’ont pas été mis en évidence par nous (‘)
30 T. brncei et T. congolense occupent surtout la région comprise
entre le 140 de latitude nord et la mer Il est impossible de différencier
les zones d’élection de ces deux espèces de trypanosomes qui se che-
vauchent, s’intriquent étroitement et ~orr,ecpondent aux regiuns à glos-
sines, insectes vecteurs et transmetteurs.
Les représentants des animaux domestiques les plus caractéris-
tiques de cette zone sont les metis zébus-bœufs sans bosse et les
bœufs sans bosse.
On peut noter une anomalie apparente dans la répartition des
trypanosomes, c’est la présence au nord de la limite des tsé-tsés
de quelques foyers de T. brucei et 7’. congolense, en particulier
dans les regions de Kayes, sud Bandiagara et nord Fada. Suivant
les donnbes classiques, il paraît difficile de concevoir ces deux
espEces de t,rypanosomes en dehors de la présence de tsé-tsés.
Pour l’expliquer nous (mettons deux hypothèses :
a) les tsé-tsés, en certaines saisons, remontent plus au nord qu’il n’est
admis généralement ;
b) certains troupeaux infestés en transhumance dans la zone à glos-
sines sont prospectés par nous plus au nord, à leur retour dans leur zone
habituelle d’élevage.
Ces deux hypothèses ont, à notre avis, la même valeur.
En plus de ces résultats qui peuvent être (( traduk )) de la
représentation @ographique, nous avons inscrit dans la légende
1 e pourcentage d’especes de trypanosomes détectées par rapport
a u x a n i m a u x inPest6s s o i t : T . uivax, 48 O/O ; T . congolense,
~8 o/o ; 7’. Oruwi, lg 010 ; T . evcrnsi, r> o/o.
Ces chillys n’ont q~t’une valeur relal.iw ct seront modifik au
Eur ct Zt mesure des prospeciions.
%
11 C~I, cxrlain, qtte ws clonn6es basks sttr In prospection chez
lcç nnirtxttx drvraient 61rc comphWes par d e s twhewhes paral-
lr!ci: sttt’ I’infwlalion des glossinos srtivanl Ics rcgjons.
eïrONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
(I) HOHNBY (H. IX.).
- Le reli,vemcnt cartograpltique de la rEpartition
des trypanosomiases en Afrique.
(2) COLBACK (H. R. F.). - Notr RU Su*jet de la cart,e des trypanosomiases
itnimales au (Congo Belge etau Ruanda-LJrundi.
Gomile Sclent&ue internationtrl de Ilecherchtq
s u r In ïi~~~I~nnosomin,~r, Lourenco M a r q u e s .
25-30 septembre 1952.