Rev. Elev. Méd. vét. Pays trop., 1978, 31 (1) : 57-62....
Rev. Elev. Méd. vét. Pays trop., 1978, 31 (1) : 57-62.
Capacité de résistance
à la sécheresse de la limnée (Limnaea natalensis),
Mollusque hôte intermédiaire
de Fasciola gigantica, au Sénégal
par G. VASSILIADES (*)
RÉSUMÉ
Une étude expérimentale faite au Sénégal sur une souche de Limnaea
natalemis démontre la capacité de résistance de cette espèce à une période de
sécheresse de l’ordre de 15 à 30 jours chez les grosses limnées adultes et de 60
à 90 jours chez les petites limnées.
Cette aptitude à résister doit être prise en considération pour fixer le
moment propice à l’épandage de molluscicides. La période correspondant au
début de l’hivernage est proposée.
INTRODUCTION
jours immergé dans l’eau douce et incapable
de survivre plus de quelques jours en absence
Limnaea natalensis, Mollusque Gastéropode
complète d’eau. Toutefois, les résultats indiscu-
de l’ordre Basommatophora, est l’hôte intermé-
tables obtenus par BITAKARAMIRE au Kenya
diaire de Fasciola gigantica, agent causal de la
(1968) (1) et des expériences effectuées à Mada-
distomatose, maladie considérée comme l’une
gascar en 1972 (6) démontrent que L. natalensis
des affections parasitaires les plus graves frap-
est capable de résister un certain temps sans
pant les Ruminants domestiques d’Afrique.
eau. BITAKARAMIRE a démontré en effet que
L. natalensis peut survivre pendant au moins 56
Les travaux de divers auteurs dont GRE-
à 168 jours en période de sécheresse, tandis qu’à
TILLAT (1961a, b) (3,4) au Sénégal et DAYNES
Madagascar il est prouvé que L. natalensis
(1967) (2) à Madagascar, ont permis de bien
hovarum est capable de survivre sans « eau
connaître le cycle évolutif de F. gigantica et
libre » au moins pendant 22 à 27 jours.
montré le rôle d’hôte intermédiaire joué par
Cette aptitude peut avoir d’importantes consé-
L. natalensis.
quences d’ordre épidémiologique. De plus, sur
La connaissance de la biologie de ce Mol-
le plan pratique, elle est de nature à modifier
lusque est donc fondamentale pour l’élaboration
les données généralement admises pour la con-
de tout programme de lutte contre la distoma-
duite des opérations de destruction de ces lim-
tose par destruction de son hôte intermédiaire.
nées par épandage de molluscicides.
II est généralement admis que L. natalensis
Aussi, au Sénégal, où la majeure partie du
est un Mollusque aquatique strict, vivant tou-
pays est soumise à une saison sèche très mar-
quée, il est apparu nécessaire de reprendre ces
expériences pour voir dans quelle mesure la
(*) 1. S. R. A., Laboratoire national de 1’Elevage et de
souche sénégalaise de L. natalensis est capable
Recherches vétérinaires, B. P. 2057, Dakar, Sénégal.
de résister à une longue période de sécheresse.
- 57 -

Dans ce but, une étude expérimentale a été
comprenant de grosses limnées (taille moyenne :
réalisée sur un élevage de L. natalensis soumis à
14,5 mm) et des limnées filles âgées de moins
des périodes d’assèchement de plus en plus
d’l mois.
longues. Les résultats de ces expériences sont
- Durée de l’assèchement : 16 jours.
présentés dans cette note.
- Observations 24 h après la remise en eau :
toutes les grosses limnées sont mortes. Par
MATÉRIEL ET MÉTHODES
contre les jeunes limnées sont toutes vivantes.
Dès ce Ier essai, il est apparu que les plus
Les limnées sont récoltées dans un marigot
grosses limnées sont sensibles à l’assèchement
de Sangalkam, à 37 km à l’est de Dakar et rame-
puisqu’aucune d’elles n’a survécu après 16 jours
nées au laboratoire où elles sont mises en éle-
sans eau. Par contre, les jeunes limnées, nées
vage dans 1 des 10 bacs en ciment situés dans un
quelques jours avant la mise à sec, ont parfaite-
bâtiment spécialement conçu pour l’élevage des
ment résisté. Cette observation se confirmera
Mollusques (GRETILLAT, 1964) (5).
au cours des essais suivants.
Chaque bac utilisé, long de 215 cm et large
de 79 cm, est rempli d’eau du robinet jusqu’à
Expérience 2 (même bac)
une hauteur de 18,5 cm, soit un volume d’eau
égal à 314 1. Le fond est constitué de sable fin,
- Situation avant l’assèchement : nombreuses
d’une épaisseur de 8 cm. Une végétation aqua-
limnées filles provenant de l’expérience 1, après
tique se constitue rapidement après repiquage
1 mois de croissance normale (16.1.76) et donc
de plants d’EricauIon et le développement
âgées de 2 mois. Leur taille moyenne varie
d’algues vertes.
entre 6 et 7 mm.
L’alimentation des limnées est assurée par des
- Durée de l’assèchement : 49 jours.
feuilles de laitue fraîche.
- Contrôles de viabilité : au 2ge j, toutes les
L’assèchement du bac se fait par vidange grâce
limnées contrôlées sont vivantes ; puis le pour-
à un dispositif d’évacuation prévu à cet effet au
centage de mortalité passe de 40 p. 100 au
niveau de la surface du fond de sable. Au bout
35e jour, à 70 p, 100 le 42e jour et à 80 p. 100
d’l h, le bac est complètement vidé. Le sable
le 49e jour. La croissance est nulle pendant toute
s’assèche alors progressivement de la surface
la durée de l’assèchement.
vers le fond, en 1 semaine, par évaporation. A
-
ce stade, la surface se couvre d’une pellicule,
Croissance des limnées survivantes après
formée de débris organiques, d’algues vertes et
la remise en eau : en 45 jours, la taille moyenne
de sable, qui se craquèle rapidement.
des limnées est passée de 6,675 mm à 10 mm soit
une croissance de 3,325 mm pour un âge réel de
Pour le contrôle de viabilité des Mollusques
3 mois et 15 jours (la durée de la période d’assè-
en cours d’expérience, 20 d’entre eux sont récol-
chement, soit 49 jours, n’étant pas comptée).
tés au hasard dans le bac et mis avec de l’eau dans
une boîte de pétri. Dans les minutes qui suivent,
Ce 2e essai ne portait donc que sur des petites
chez les limnées vivantes, le corps rétracté et
limnées. Après 49 jours d’assèchement, 20 p. 100
immobile au fond de sa coquille se met en mou-
de celles-ci sont encore vivantes, ce qui constitue
vement (observation à la loupe binoculaire à
déjà un résultat appréciable. Au cours de cette
faible grossissement). Le décompte définitif a « diapause », les limnées se rétractent au maxi-
lieu 1 h après immersion. Pour l’ensemble du
mum au fond de leur coquille, dont l’ouverture
bac, les Mollusques sont observés directement
se plaque contre le sol et restent fixées à sa sur-
dans leur milieu, 24 h après la remise en eau.
face, immobiles, sans chercher à s’enfouir
(cf. photos). 11 n’existe aucun dispositif spécial
de fermeture. Pendant toute la période d’assè-
RÉSULTATS
chement, les limnées vivent sur leurs réserves
car il n’y a pas d’alimentation et la croissance
Expérience 1 (bac no 1)
est interrompue. Dès la remise en eau et la
reprise de l’alimentation, la croissance reprend
- Situation avant l’assèchement : (29.1 I .75)
normalement malgré la longue interruption due
souche élevée normalement depuis 1 mois
à l’assèchement.
- 518 -

Photo no 1. - Groupe de limnées en « diapause ))
sur fond de sable asséché.
Photo no 2. -Une limnée en « diapause » (gros plan).
Expérience 3 (même bac)
Dans cet essai, la mortalité a été très impor-
tante mais les quelques limnées rescapées ont
- Situation avant l’as,@chement : ( 2 3 . 4 . 7 6 )
quand même résisté 2 mois et suffisamment de
nombreuses limnées filles provenant de l’expé-
limnées ont survécu pour qu’après la remise en
rience précédente, âgées de 3 à 4 mois et mesu-
eau du bac la souche soit maintenue.
rant en moyenne 10 mm.
- Durée de l’assèchement : 60 jours.
Expérience 4 (même bac)
- Contrôles de Gabilité : au 30e jour, la
A la fin de l’expérience précédente, les limnées
mortalité est de 70 p. 100, au 45e jour :
survivantes ont repris leur croissance et se sont
75 p. 100. Au 60e jour, la mortalité est très
multipliées normalement. Des naissances sont
élevée, proche de 100 p. 100. Le bac est alors
observées le 12.8.76 à partir de pontes émises
remis en eau le 19.6.76 pour sauver la souche.
le 23.7.76, soit après 20 jours d’incubation.
- 59 -

Un mois après, les 2 générations sont séparées.
- Contrôles de viabilité :
Les jeunes limnées âgées d’l mois restent dans le
même bac, les limnées mères sont mises dans
l Au Ile jour : 75 p. 100 de mortalité chez les
grosses limnées ; pas de mortalité chez les petites.
un autre bac (no 2).
l Au 35e jour : toutes les grosses Iimnées sont
- Croissance des limnées :
mortes ; toujours pas de mortalité chez les plus
Bac 1 (limnées filles) : en 25 jours, du 18.9.76
petites. Le bac est remis en eau et les jeunes
au 12.10.76, la taille moyenne des limnées est
limnées reprennent alors normalement leur
passée de 9 mm (âge 38 jours) à 12,90 mm
croissance. L’expérience est poursuivie dans un
(62 jours), soit une croissance de 3,9 mm.
autre bac sur une plus longue période.
Bac 2 (limnées mères) : pendant la même
Ce test n’a donc porté que sur des grosses
période, la taille moyenne est passée de 12,55 mm
limnées. Dès le 1 le jour d’assèchement, 75 p. 100
à 15,60 mm, soit une croissance de 3,05 mm. A ce
d’entre elles sont déjà mortes et à 35 jours, il
stade, une nouvelle série de pontes est observée.
n’y a plus aucune limnée encore vivante. Par
contre, à ce stade, les petites limnées qui se
- Situation avant l’assèchement :
trouvaient dans le bac au moment de la mise à
Bac 1 : limnées âgées de 2 mois (12,90 mm).
sec sont encore toutes vivantes.
Bac 2 : limnées mères (15,60 mm) et nouvelle
génération issue de pontes du 12.10.76.
Expérience 6 (bac no 4)
- Durée de l’assèchement : 25 jours.
- Contrôles de viabilité :
- Situation avant l’assèchement (4.1.77)
limnées de taille moyenne égale à 19,6 mm et
bac 1
bac 2
-
nombreuses petites limnées âgées de 15 jours.
l au 1O’jour : 5 p. 100 50 p. 100 (contrôles unique-
ment des limnées mères)
- Durée de l’assèchement : 98 jours.
0 au 15’ jour : 50 p. 100 55 p. 100
l Au Ile jour : pas de mortalité chez les
l au 25’jour : 95 p. 100 95 p. 100
petites limnées, mais 70 p. 100 de mortalité chez
les plus grosses.
La période d’assèchement a été écourtée en
raison de la très forte mortalité enregistrée. Les
l Au 35e jour : toutes les grosses limnées sont
bacs sont remis en eau pour assurer la survie de la
mortes, comme dans l’expérience précédente
souche qui n’est cependant plus utilisée dans les
(taille moyenne supérieure à 10 mm). Chez les
expériences suivantes.
petites limnées (taille moyenne : 6,2 mm) la
Dans cette expérience, 2 groupes d’âges ont
mortalité est de 10 p. 100.
été testés : des limnées de 2 mois et des limnées
plus âgées. Une très forte mortalité est notée
Durée
p. 100
dans les 2 groupes. Cependant 10 jours après
de l’assèchement
de mortalité
l’assèchement, on note une différence importante
-
-
dans les 2 lots puisque la mortalité n’est que de
- 11 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0
5 p. 100 chez les petites limnées, contre 50 p. 100
- 35 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
10
chez les autres. En fait, comme on va le voir dans
- 42 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
10
les essais suivants, les limnées des 2 groupes
- 56 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
15,38
avaient atteint au départ une trop grande taille,
incompatible avec une bonne aptitude de résis-
- 63 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
50
tance à la sécheresse.
- 70jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
62,5
- 77 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
66,66
Expérience 5 (bac n”3)
- 84 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
73,3
- 91 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
85
(Matériel nouveau, de même origine).
- 98 jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
100
- Situation avant l’assèchement : (4.1.77)
limnées de taille moyenne égale à 17,8 mm et
Au cours de cet essai, le degré hygrométrique
nombreuses petites limnées âgées de 15 jours.
a varié de 86 à 95 p. 100 le matin à 6 h et de 44 à
- Durée de l’assèchement : 35 jours.
67 p. 100 à 15 h.
- 60 -
--
-.

Jusqu’au 35e jour donc, les résultats sont
dité de l’air pour satisfaire en partie leurs faibles
identiques à l’essai précédent et l’expérience est
besoins en eau en rapport avec leur petit
poursuivie avec les petites limnées. Celles-ci
format (jusqu’à 95 p. 100 d’humidité dans
ont survécu à 91 jours d’assèchement avec un
l’expérience 6).
pourcentage de mortalité de 85 p. 100. A 98 jours,
la mortalité a été totale.
La capacité de résistance augmente donc au
fur et à mesure que décroît la taille des limnées
et inversement.
CONCLUSIONS
On peut penser que dans la nature, au niveau
des mares, les choses se passent de la même façon.
Les résultats obtenus au cours des diverses
Au moment de l’assèchement des mares, en
expériences réalisées permettent de conclure
saison sèche, les grosses limnées meurent assez
qu’il existe bien une capacité de résistance à la
rapidement mais les plus petites, nées quelques
sécheresse de Limnaea natalensis au Sénégal.
semaines seulement avant l’assèchement critique,
Cette aptitude est en rapport avec la taille des
peuvent survivre 2 à 3 mois selon les conditions
limnées et par conséquent avec leur âge. Dans
climatiques et en particulier le degré hygromé-
les conditions de notre expérimentation, les
trique, et attendre ainsi le retour de l’eau, aux
grosses limnées, de taille moyenne supérieure à
premières pluies, pour recoloniser la mare
10 mm et âgées de 3 mois et plus, ont une capa-
temporairement asséchée.
cité de résistance limitée mais néanmoins réelle
Dans ces conditions, il est nécessaire de recon-
de 15 à 30 jours. Les petites limnées, de taille
sidérer l’opinion antérieurement admise selon
moyenne inférieure à 10 mm, et âgées de moins
laquelle il ne peut exister de distomatose dans les
d’un mois, sont beaucoup plus résistantes puis-
zones où les mares s’assèchent périodiquement à
qu’elles peuvent survivre après une période
un moment de l’année, surtout quand cet assè-
d’assèchement de 60 à 90 jours. Dans tous les
chement n’excède pas 2 à 3 mois. Cette notion
cas, le pourcentage de mortalité est de plus en
doit être désormais prise en considération dans
plus élevé à mesure que la sécheresse se prolonge,
les enquêtes épidémiologiques et les prospec-
mais le nombre de limnées survivantes est suffi-
tions malacologiques. Sur le plan pratique, le
sant pour assurer la pérennité de l’espèce après
moment généralement recommandé pour I’épan-
le retour des conditions normales.
dage de molluscicides est la période des plus
Au cours de la « diapause » les limnées s’im-
basses eaux pour toucher le maximum de limnées
mobilisent sur la surface du sable sec sans
concentrées dans les derniers bas-fonds avec une
chercher à s’enfouir dans le sol, cessent de se
quantité minimale de produit, toujours coûteux.
nourrir et de croître, vivant sur leurs réserves.
Dans ce cas, les limnées en « diapause » dans les
Dès le retour de l’eau et la reprise de l’alimen-
zones asséchées, seraient épargnées et pourraient
tation, les limnées encore vivantes reprennent
recoloniser le gîte traité. Aussi, à ce sujet,
un développement normal sans être apparem-
nous partageons entièrement l’opinion de BITA-
ment affectées par cette interruption.
KARAMIRE (1968) (1) qui propose de choisir
La différence observée entre les grosses lim-
plutôt la période correspondant à quelques
nées et les petites limnées quant à leurs capacités
semaines après les premières pluies, donc en
respectives de résistance, peut s’expliquer par
début d’hivernage, quand toutes les limnées sont
une plus grande exigence en eau chez les lim-
alors immergées dans l’eau. Cette solution, bien
nées adultes de grande taille, tandis que les
que plus coûteuse, aurait plus de chance de
petites limnées doivent pouvoir utiliser I’humi-
donner de bons résultats.
Snail resistance to dryness. The case of Z.imnaea natafensis,
an intermediate host of Fasciolu gigantica in Senegal
In an experimental study carried out in Senegal on a strain of Limnaea
natalensis, it was shown that this species could survive in drought situations
for periods of 15 to 30 days in case of large sized adults and for 60 to 90 days in
case of Young snails of small size.
As a result, it is suggested that the optimal time for the application of
molluscicides should be the begining of the rainy season.
- 61 -

i
RESUMEN
Capacidad de resistencia a la sequedad de Limnaea natalemis,
molusco huesped intermediario de Fasciola gigantica en Senegal
Un estudio experimental efectuado en Senegal sobre una cepa de Lirnnaea
natalemis demuestra la capacidad de resistencia de dicha especie a un periodo
de sequedad de unos 15 a 30 dias en las gruesas limneas adultas y de unos 60 a
90 dias en las pequerïas limneas.
Se necesita tener en cuenta esta resistencia para elegir el moment0 propi-
cio para el esparcimiento de helicidas. Se propone el periodo corespondiendo
a1 principio de la invernada.
BIBLIOGRAPHIE
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lutte anti-mollusques. Rev. Elev. Méd. vét. Pays trop.,
natalensis in drought conditions. Bull. epizoot. Dis.
1961, 14 (3) : 293-313.
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ruminants domestiques. Leur prophylaxie par la
l’assèchement des gîtes, p. 79-84.
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